RPartage - Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

Bikko

Au ptits heur du matin Bikko et Stelle, Leodogan et Pupuce et la vielle amie de Bikko Bebe, tous arrivèrent enfin au porte de Castillon.
Fermer pour la nuit Bikko s approche de la trape la ou le gardien pouvais regarder qui venais et partait, pour a voix haute: Gardiiieeen ouvre cette porte fainéant... tu garde les portes ou tu dors sur les portes Connaissant le caractère de Bikko, le gardien de dit pas un mot et leur ouvre la porte Je te réveille ? et ben t as pas changer... t as pas changer apres toute ces années Le gardien, grognon de caractère lui répond... Eeet bieen toiii non plus ... tas pas changer mais pas duuu touuuut Et bien nooon j ai pas chaaangeeer et ma sousoupe ... et bien je la sert toujouuuurs t en veeuuux? Lui répond Bikko en lui montrant son poing,le gardien se tait en ouvrant les porte puis , tout l monde passèrent les porte pour se diriger dans le maison se reposer... enfin.
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Ciaram

Le Major avait réussi à prendre un petit moment pour aller vérifier si les tours de garde avaient bien été pris aux portes de Castillon , elle y envoyait de temps à autre une nouvelle recrue pour qu'elle se familiarise avec les rondes , factions et surveillance de la ville en réel , la maréchaussée ne lui en tenait pas rigueur car ils travaillaient tous dans le même but , l'ordre et la sécurité

La Garde Territoriale de Castillon était un corps d'armes très particulier , un groupe d'hommes et de femmes motivés et décidés à protéger leur village par tous les moyens , ils n'étaient pas à proprement parler des soldats aguerris , ils ne partaient pas en campagne au loin , non eux ils étaient là et bien là !!

Et l'expérience des combats rapprochés et de la défense passive les avaient endurcis et préparés à toute éventualité , un visiteur trop curieux , une charette trop lourdement chargée qui couinait sur ses essieux , un groupe d'hommes à la mine trop avenante ou au contraire trop patibulaire .....et hop leur sixième sens prenait le dessus , ils suivaient , écoutaient ou prenaient directement les armes suivant le cas

Le village pouvait dormir sur ses deux oreilles, les gardes veillaient , se relayaient et sécurisaient le périmètre comme on disait dans leur jargon , croisaient de temps en temps les patrouilles de la ville , taillaient une bavette courtoise mais écourtée rapidement pour reprendre les rondes interminablement

Enfin bref , elle était arrivée et pour le moment , ne voyait pas l'ombre d'un garde ........eh ben ça commence bien !!!

Elle fit le tour plusieurs fois , dans la guérite rien , elle prit l'escalier de pierre , sur le chemin de ronde et les crénaux rien non plus ......... elle dut se rendre à l'évidence , le nouveau Garde Maxime n'était pas à son poste et son Sergent Drine qui devait le former sur le tas non plus ......

Furieuse , elle fit demi tour de suite ......Si je les trouve en taverne , ça va chauffer !!!!!!!!!

Et elle se précipita dans les ruelles sombres et désertes à cette heure, bien décidée à les trouver .................

Drine65

Drine n etait pas loin elle etait juste allée remettre du bois dan sla cheminee de sa taverne,

Son homme a tout faire Alexii etait en ce moment un peu abscent.

Ciaaaaaaa, je suis la^^

Elle arriva en courant avant que son Major ne disparaisse de l entree des grilles.
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Ciaram

Mais juste comme elle allait franchir les portes , Ciaram entendit la douce voix de son sergent fourrier instructeur .......Ah quand même Drine , je commençais à m'inquiéter , n'importe qui pourrait entrer sans que personne ne s'en rende compte , ça va pas du tout là !!

Et en plus , c'est pas toi qui est de garde mais Maxime qui doit apprendre à surveiller les abords du village , il est où ???

En parlant , Cia lançait des regards à gauche et à droite espérant à tout moment voir apparaître le minois du jeune garde .....pour sa première mission, il aurait pu être plus assidu quand même!!

Maxime63

Maxime arriva aux portes du village il était à la caserne.

Je suis désolé pour le retard Major Ciaram !

Louanne1000

Louanne et Ludo avait prit monture et se dirigeaient vers les grandes porte du village tout était calme et serein un garde silencieusement vint vers eux la reconnaissant elle lui sourit et lui dit

Bien le bonsoir soldat ouvrez donc cette porte que nous puissions passer je voies que vous etes à votre poste c'est bien j'en ferais le rapport à mon amie la major Ciaram
continuez ainsi notre beau village peut ainsi reposer en paix

Elle le saluat du chef ainsi que Ludo et il partirent tranquillement quelques centaines de metres plus loin sur une colline ils se retournèrent pour regarder une dernière fois leur village se sourirent et mirent leurs chevaux au trop léger
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Ciaram

Le Major vit enfin arriver le nouveau garde qui avait du se perdre en chemin , elle décida de ne pas en rajouter et oublia de suite ce léger retard

Bien Garde Maxime, je vous laisse avec votre sergent qui se fera une joie de vous expliquer vos consignes mais en gros c'est simple, personne ne passe sans que vous n'ayez vérifié identité et raisons de la venue ou départ de Castillon ....et ce surtout avec les personnes qui vous sont étrangères bien évidemment

Ciaram lui montra la guérite où il lui faudrait veiller et lui montra du doigt les créneaux d'où il pourrait surveiller les abords proches des portes

Nous essayons de sécuriser au maximum les entrées du village il est ensuite bien plus facile de le défendre si nous restons en éveil constant ......alors ouvez l'oeil , Maxime ,je compte sur vous !!!!

Maxime63

A vos ordres chef !!!

Maxime alla à son poste de suite.

--Menschnichtmehr

Au matin, marchant à longues enjambées, son long manteau et ses bottes couverts de la poussière des chemins, sous sa capuche, musette à l'épaule et bâton en main, le voyageur parut en vue des portes de la ville. Il ne fut pas plus étonné que cela de les trouver fermées et attendit patiemment le guetteur qui, comme cela se faisait à chaque fois, ne manquerait pas de l'interroger avant de le laisser entrer.

Ach ! Zeit ist für alle hart, leider... Und noch mehr für die reisenden !

Drine65

Drine malgré la nuit avait entendu du bruit et ses yeux habitués a l oscurité tenterent de voir le visage de l homme qui approchait.

Qui va la?

Déclinez votre identité et retirez moi cette capuche que je vois votre visage

Elle attendit la reponse calmement habitué a toutes les situations meme les plus dangereuses
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--Menschnichtmehr

Comme souvent, le guetteur qui parut était en armes, mais à l'allure et à la voix, il s'agissait plutôt d'une femme... N'entendant rien à ce qu'elle disait, le voyageur sortit lentement de son sac un parchemin et lui tendit en expliquant en sa langue, de sa voix profonde mais chaude.

Guten morgen Lady ! Ich bin in ein fremdes land reisen. Ich weiß nicht ihre sprache. Hier ist ein pass gut genug um mich zu machen war. Nehmen sie sich zeit zum lesen finden...
{Bonjour Dame! Je suis en voyage sur une terre étrangère. Je ne connais pas la langue. Voici un laisser-passer qu'on a été assez bon pour me faire. Prenez le temps de lire je vous prie...}

un traducteur a écrit:

Le porteur de cette lettre a fait longue route et vous serez aimable de le conduire à une auberge.
Quand il sera rendu en Périgord, menez-le auprès de Dame Méline Deschain et Dame Dragones de Tinùviel afin qu'il leur remette ce qu'il doit...

Drine65

Drine lu le message,

Sa collègue était venue la relever elle décida donc d emmener le messire en ville a la recherche de Meline ou Dragones.

Ils traversèrent la ville pour arriver a la taverne municipale.

Drine offrit un verre et un morceau de pain au messire qui paraissait épuisé.

Attendez ici je vais chercher une des dames que vous me demander.

Elle savait qu il ne la comprenait surement pas mais les gestes parlaient pour elle.
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Maxime63

Maxime ayant vu Drine accompagner le messire à la taverne et la voyant sortir sans lui il se demandé ce qu'il ce passait. Il courut à la taverne et vit le messire épuisé sur sa chaise.

Il faudrait peut être le surveiller celui-là pendant que drine est parti ! Je me demande ce quelle est aller faire ?

Je vais lui poser quelque question. Vu qu'il à parler allemand devant les porte on va lui poser en allemand !
Messire, warum sind Sie Sie Castillon im Moment sogar und woher kommen?

Traduction si possible pour ceux qui ne connaissent pas la langue.
Merci.
Otolep.

--Menschnichtmehr

Confiant dans sa guide, il la suivit par les ruelles de la ville jusqu'à la taverne. Arrivés là, il s'assit sur une chaise, posant près de lui, sur le banc, sa musette et son bâton, remerciant sa guide de l'avoir mené et lui offrir le repas.

Lady, ich danke ihnen für ihre großzügige hilfe.
{Dame, je vous remercie pour votre aide généreuse.}

Puis il leva le verre qu'elle lui offrait et posa une main sur son coeur.

Du bist eine frau die guten willens sind. Prosit !
{Vous êtes une femme de bonne volonté. Santé !}

Le voyageur mangeait et buvait tranquillement, attendant le retour de sa guide, quant un homme vint à sa table et l'interrogea en sa langue. L'entendant, il s'interrompit et tourna vers lui ses yeux clairs, répondant de sa voix grave et profonde.

Guten morgen, Herr ! Ich bin der bote ... der bote des todes .
Ich bin glücklich, jemand, der spricht und versteht meine sprache zu finden.
Ich trage nachrichten von einem tod für die lebenden ...
Ich machte ein versprechen für die erteilung dieser nachrichten .
{Bonjour, Sire ! Je suis le messager ... le messager de la mort.
Je suis heureux de trouver quelqu'un qui comprend et parle ma langue.
Je porte les messages d'un mort pour des vivants ...
J'ai fait la promesse de délivrer ces nouvelles.}

Traduction si possible pour ceux qui ne connaissent pas la langue.
Merci.
Otolep.

Voilà qui est fait !

LJD menschnichtmehr

Maxime63

Und welche also diese berühmten Neuheiten sind ?

Maxime n'en croyait point ces yeux.

Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

---fromFRGawin_Derohan

Gawin arriva ce matin là au lever du soleil pour être sur d'être le premier à acceuillir Robinne, Robin et Obakhan, de retour de Sarlat. Une rumeur noire venait de l'Est, parlant d'hérésie et d'excommunication, pour des motifs plus rocambolesques les uns que les autres. Robinne lui avait même écrit craindre le bucher. Le bucher! Et pourquoi pas la crucifiction en place de grêve ou l'écartellement public!

Gawin ne l'entendait pas cette oreille et était décidé à défendre mordicus le bon sens - pour ne pas dire le bon droit. Il se percha donc sur un fut, droit comme un cierge, observant le point où la route en serpentin coupait l'horizon, s'attendant à y voir apparaitre 3 petits traits noirs à tout instant. Quiconque viendrait les cueillir devrait passer sur son corps et sa prose, et Gawin était prêt à défendre chèrement la raison même s'il devait lui même en pâtir. La folie des hommes il l'avait trop souvent vue à l'oeuvre et comme il se plaisait à le dire dans ses moments noirs, elle a les deux visages du cirque : celui des clowns et celui des lions.

Il n'avait pas d'arme, rien que ses mots et son coeur.

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"L'appetit vient en mangeant. La soif s'en va en buvant (Rabelais)"

Robinus70

Robinne arriva en vue de Castillon accompagnée de Dame Princesslust, et Sir Obakhan. Leur voyage c’était déroulé sans encombres, et c’est la bourse bien remplie et vierge de toute violation que Robinne ramenait Oba à Kahhlan.

Plus ils approchaient de la ville plus ils distinguaient une présence au bas de ses portes. Lorsqu’elle reconnu la silhouette, Robinne hâta le pas telle une Montbéliarde à l’heure de la traite.
Sur un tonneau, tel un chevalier servant Gawin attendait, et guettait leur arrivée.
Elle couru à sa rencontre heureuse de le retrouver, et s’empressa de le couvrir de tous les bisous dont elle était missionnée pour lui.
Au contact de son corps, elle comprit que le pauvre homme était frigorifié d’avoir ainsi patienté dans le petit matin, il avait le bout du nez légèrement tinté de violet, et si on ne le connaissait pas on eut pu penser que la dite couleur provenait de certains abus…

Gawinnnnnn, vous êtes gelé ! Venez vite, nous allons faire une bonne flambée….

Popotine va bien ? Et puis je vous ai rapporté quelques fruits et aussi de délicieux poissons, et puis il faut que je vous dise aussi …..

Laissant là Obakhan et Princess qui se dirigeaient eux aussi vers leurs amis, Robinne n'autorisait pas son voisin en placer une. Elle lui prit le bras et l’entraîna, vers la première taverne venue.

J’ai une de ces soifs mon ami, vous rendez-vous compte ? Quatre jours sans boire une goutte…

Wevarine

Castillon, assez tard dans la soirée

Une taverne semblait un peu plus animée que les autres.

Un homme en sortit, dans un état lamentable. Ceux qui avait croisé ce vagabond lors de son séjour dans ce village aurait pu difficilement le reconnaître.
Pourtant, Wevarine avait essayé de limiter sa consommation ce soir. En général, on va plus loin et plus vite quand on a pas trop bu que quand on rampe. Mais certaines personnes ont moins de chances que les autres, la bière est accro à elles. Et on ne peux pas lui résister.
Malheureusement pour lui, Wevarine faisait parti de ces personnes.

Il salua le cochon volant qui l'attendait à la sortie, et lui demanda son chemin.

Suivant les indications de l'animal, il prit la direction du nord, fit plusieurs fois le tour de la fontaine, se recueilli sur la porte d'entrée d'une maison, et enfin se dirigea vers l'ouest. Après une cinquantaine de mètres, il bifurqua vers le sud.

Une fois sur le bon chemin, il marchait d'un pas (presque) assuré.
Wevarine ne dit pas un mot et ne se retourna pas, mais ses pensées n'étaient pas pour autant vide (tous ces légumes qui parlent, cela lui donnait mal à la tête).

Dix bonnes minutes plus tard, le blond était de retour, à essayer de retrouver les stères de bois qu'il avait égaré.
Il reprit finalement sa route, chassé par les habitants qui essayaient de dormir.
Cette fois, c'est la bonne se dit-il.

Le voyage sera long et difficile...

---fromFRGawin_Derohan

L'apparition des 3 voyageurs avait mis fin à son calvaire. Il gelait à pierre fendre pour un mois de mars et de la fière stature de chevalier servant il était passé à celle de la gargouille en plâtre recroquevillée, 2 cierges de glace suspendus à ses narines rouges vif, le sourire en berne.
Le bras de Robinne lui fit du bien, sans parler des bisous, ni des bons fruits de Bergerac.

ATCHHHHAAAAAA!!! Bou diou, j'ai pris froid je crois...

Oba avait une mine sombre et restait silencieux, de même que Dame Princess, qui semblait murée dans une méditation profonde.
Robinne, que le froid et la fatigue n'ébranlaient pas, invita tout ce petit monde en taverne histoire de tourner la page.

Bonne idée, ça va nous réchauffer les arpions! Et on a mille choses à se raconter!!

A ce moment arriva une sorte d'épave à 4 pattes, la chemise maculée de boue et autres menues choses, bredouillant en machouillant ses mots comme s'il avait une enclume sur la langue. Il empestait la bière à cent mètres. La chose n'aurait pas été si extravagente à cette heure de la journée où les piliers de tavernes rentrent chez eux si ce n'était que celui là demandait son chemin au pilori en l'accusant de lui avoir piqué son bois pour s'en faire un manteau

Si il s'entêtait et essayait de lui coller un pain, le malheureux y laisserait quelques phalanges.

"Eh! Ca va mon vieux? Besoin d'aide?"
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"L'appetit vient en mangeant. La soif s'en va en buvant (Rabelais)"

pnj

Après avoir été pendant plus d'un mois entouré par un groupe d'innombrables soldats du Périgord et de l'Angoumois, c'est seul que Zarhroc arriva aux portes de Castillon. Epuisé par le voyage, il s'était un peu ressourcé à Bergerac, où il a pu d'ailleurs revoir quelques amis.

Sa jument le guidait, au pas, tout droit vers la ville, il dormait à moitié, la yeux à demi fermé, la tête penchée vers l'avait, les deux mains sur le pommeau de sa selle.

Lorsqu'il arriva à quelques mètres de l'entrée de la ville, il stoppa sa monture et redressa doucement la tête :

Oh là ! Quelqu'un ! Peut-on ouvrir s'il vous plait ?

pnj

...Ici, il n'entra pas dans le village. De toute façon il ne voulait rencontrer personne pour le moment, ou alors une seule personne. Il hésita entre rentrer chez lui et s'asseoir là, à l'ombre d'un arbre quelconque, pour observer les va-et-vient des paysans et artisans du village, des quelques vagabonds de passage, ou soldats de garde. Peut-être que parmi tout ces gens, elle sera là.

Rien que d'y penser, son coeur battait à une vitesse folle, il ne pensait pas que cela pouvait lui arriver de nouveau... et pourtant...
Maintenant en y repensant, il souriait même d'avoir douté de cette éventualité... Hé oui ! Il n'avait pas encore 20 ans...

Quelques heures passèrent, perdu dans ses pensées, partagées entre ces paroles qu'elle lui avait dites plus tôt, ses yeux, son sourire, elle...

Solenn_wolback

Pumae, après la messe et sa petite déclamation de poème se dirigea au hasard dans la ville.
Elle n'avait d'autre but précis que de se promener, de laisser le vent lui rougir les joues, lui emmêler les cheveux et ses jambes se délasser de la semaine. Elle longea le cimetière, puis sorti des fortifications. Elle traina un moment dans le champs de bleuets, quelques fleurs osant pointer leur nez malgré les quelques gelées tardives.

Elle dépassa le terrain de Cascas, et arriva jusqu'aux portes de la ville, transie et frissonnante. Elle n'avait pas pris le temps d'enfiler une cape, le soleil brillant lorsqu'elle était partie, mais le vent et les nuages avait fait leur entrée depuis...

La place n'était pas très occupée, peu de personne se risquant à prendre la route avec ce temps si changeant. Elle se retrouvait donc de l'autre côté de la ville par rapport à sa maison, et dans un quartier où elle n'était passée que rarement.

Elle s'arrêta à l'abri du vent, et regarda les quelques personnes présentes. De l'autre côté, elle aperçut une silhouette familière. Elle hésita un moment, puis se dirigea vers Zarhroc, l'air perdu dans ses pensées.

Peut être qu'il serait partant pour boire un verre en taverne se dit-elle.

Elle avança vers lui, tenant de ses mains et bras serrés sa houppelande qui ne souhaitait que jouer avec le vent. Arrivée à une vingtaine de pas, elle s'aperçut qu'il l'avait remarqué et lui sourit, tout en se pressant vers lui.

Coucou Zar! Son coeur battit un peu plus vite, mais elle n'en laissa rien paraître. Elle ne souhaitait pas être inconvenante ou insistante, et c'est lui qui déciderait.
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pnj

Son regard toujours plongé dans le vide remarqua quelques cheveux qui volaient au vent. Zarhroc regarda plus attentivement... C'était bien elle... Pumae... Son regard fut soudainement focalisé sur elle, son coeur battait bien plus rapidement, un sourire venait d'apparaître.

Heureusement, elle ne l'avait pas encore vu... Il essaya de rester naturel mais ne pouvait pu détourner ses yeux...
Oh... Elle l'a vu ! Elle vient...

Coucou...

Il ne savait pas quoi dire de plus. Sa gorge se nouait, son coeur battait de plus en plus vite.
Sans vraiment s'en rendre compte, il prit une grande respiration puis se leva avant de demander :

Euh... Tu vas bien ?

Solenn_wolback

Pumae s'était arrêtée à deux pas de lui, le dos au vent. Il parut surpris de la voir là, et sa voix sortie, enrouée.

Euh... Tu vas bien ?

Elle lui sourit. Il n'avait pas l'air de ressentir le froid mais elle était glacée.

Ca va, et toi?

Elle frissonna, et ajouta

Je dois bien avouer que je suis complètement glacée.

Elle tenait toujours sa houppelande de ses bras croisés, dans l'espoir de garder la chaleur à l'intérieur de ses vêtements.
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pnj

Elle était vraiment tout près là... Un pas chacun et ils tombent dans les bras l'un de l'autre. Elle a froid, il ne sait pas quoi dire, son coeur bat tellement vite !

Il se rapproche, et, sans vraiment savoir s'il se rendait compte de ce qu'il faisait, il prit chacune des mains de Pumae :

Pumae... je...

Il baissa la tête, la relève, la regarde dans les yeux :

Je crois bien que...

Il sentait son souffle maintenant, ils s'étaient encore rapprochés :

...je...

Il finit dans un murmure :

...t'aime...

Solenn_wolback

Pumae sentit la chaleur de ses mains se poser sur les siennes. Elle le regarda, et l'entendit dire ses quelques mots. Elle lui sourit, ferma les yeux, et l'embrassa.
Elle se serra contre lui, essayant à la fois de se réchauffer et prenant plaisir à cette première étreinte.
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Et le baiser arriva, le premier, pur moment de bonheur pendant lequel on oublie tout. La seule chose qui compte est celle qui nous embrasse, que l'on embrasse...

Zar' serra Pumae tout contre lui, le temps venait de s'arrêter...

Solenn_wolback

Pumae rouvrit les yeux au bout d'un temps, et les plongea dans ceux de Zarhroc. Un frisson la parcourut et elle se serra contre lui, posant sa tête juste dans le creux de son épaule.
Un sourire restait dessiné sur ses lèvres, ne voulant les quitter.

Elle releva la tête le regarda, les yeux brillants lui sourit et lui demanda

Et si on entrait dans un endroit chaud?

Elle ne sentait plus ses mains et le bout de son nez lui piquait près de la chaleur de Zar'
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pnj

A un moment, Pumae le regarda, posant son doux regard dans le sien. Zar' sourit puis elle posa sa tête tout contre son épaule. Il la serra encore dans ses bras, regard dirigé vers l'horizon. Leurs battements de coeurs se confondaient presque.

Pumae releva sa tête et demanda si on pouvait entrer dans un endroit chaud. Zar' en avait oublié le froid, mais c'est vrai qu'elle était gelée.
Il avait d'ailleurs une folle envie d'embrasser ce petit bout de nez rouge tout froid... Et ne s'en priva pas, en déposant un petit baiser dessus avant de répondre :

Oui... Tu veux aller où ?

Solenn_wolback

Où elle voulait aller? Aucune idée! Au chaud! Ses mains et ses pieds étaient glacés, et même si leur étreinte lui apportait un peu de chaleur ses frissons se faisaient plus vifs.

Ou tu veux mais au chaud ! dit elle avant de l'embrasser à nouveau
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pnj

Zarhroc sourit avant de se faire embrasser. Bon où est le plus proche ? La taverne ? Non... Trop de monde là-dedans... La Bibliothèque ? Euh... non... L'Eglise ? Fait froid là-bas !
Bon... Ben alors chez moi ? Chez elle ? Le plus proche ? Le plus acceptable ?

On va chez toi alors ? Pas loin du lac c'est ça ?

Solenn_wolback

Pumae lui sourit.

Chez elle? .... Pourquoi pas!

Elle avait comme toujours bourré la cheminée de bois pour qu'il fasse chaud en rentrant de la messe, et même si elle n'était pas rentré directement, le feu devait toujours brûler.

Elle hocha la tête se serra contre lui avant de se détacher de ses bras, frissonnant de plus belle.

Ils avancèrent lentement, la main dans la main, puis arrivant au terrain de soule, commencèrent à se presser un peu.

Ils traversèrent le pont, puis se hâtèrent vers la maison de Pumae

[suite au 74 quartier de l'amitié.]
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Meline_deschain

Vendredi 11 avril 1456 - Fin de soirée

Quelques cavaliers, armés, passèrent les portes de la ville, parmi eux, une femme un enfant serré contre elle.
Ils quittaient leur ville, leur nid et ne savaient quand ils reviendraient.

Méline avait bien attaché son fils contre elle, il dormait malgré les soubresauts que provoquaient les chaos du chemin.
Silencieuse, Elle chevauchait auprès de son mari et de ses amis, à la fois heureuse d'être près d'eux et triste à l'idée que demain elle devrait laisser son fils en garde.
Sa soeur s'en occuperait bien, elle n'en doutait pas, il allait terriblement lui manquer, mais il était de son devoir de partir.

pnj

[Toujours le 11 avril]

Parmis ces cavaliers, Zarhroc, écuyer de la Licorne, accompagnait ses amis avant de rejoindre son Ordre un peu plus tard. Le gascon avait un air des mauvais jour, on ne montait jamais vers la guerre avec plaisir, surtout en ce moment pour lui.

Durant tout le voyage il ne dit pas un mot, il pensait trop à elle, Pumae, qu'il devait quitter pour cette guerre. Son image resta gravée dans sa tête, il se demandait comment elle allait, ce qu'elle faisait. Il aurait encore voulu la serrer dans ses bras, au moins une fois, lui dire à quel point il l'aimait, la revoir lui sourire...

Sa jument suivait le groupe, lui ne la dirigeait presque pas tant sa tête était ailleurs. Il ne se préoccupait pas du tout de ce qui allait lui arrivé, il a bien assez de temps pour ça...
Il regardait les autres de temps en temps, certains discutaient, riaient même de temps à autre, la guerre n'effrayait pas encore, si proche de sa maison.

Jetant un dernier regard dans son dos, on ne voyait presque plus Castillon, Zar' murmura alors, yeux humides, prit d'émotion :

Adishatz, au revoir Castillon, à bientôt mon amour...

*silence*

[Le 2 mai]

Dans les brumes de l'aube, une petite charrette, chargée de sacs de farine, tirée par un âne et conduite pas un gros bonhomme rougeaud, s'immobilise un instant aux portes de la ville.

Allez gamine ! Saute donc de d' là ! Castillon ! T'es rendue !

La petite brune lève la tête et observe. Elle sourit, saute de la charrette, tire sur sa robe blanche pour la défroisser, s'époussette pour tenter de se débarrasser de la farine sur ses vêtements et ses cheveux. Puis elle fait le tour de la charrette et remercie le bonhomme, lui donnant quelques écus pour le remercier de l'avoir conduite jusque là.
Tandis que l'équipage reprend la route de Bergerac, elle entre dans sa ville encore endormie, lentement, rêveuse... Elle repasse des images de ses aventures à Margency, dans le château de son amie la Comtesse de Brantôsme, Wiatt Diane d'Azayes.
Elle revoit ce gros homme barbu, le théologien Odoacre ! Lui elle ne l'aime pas ! Mais alors pas du tout ! Et apparemment c'est réciproque ! Il faut dire qu'il avait trouvé le moyen de commencer par la traiter de toutes sortes de mots en "P", comme Païenne, Polygame, Pornographique... et d'autres encore ! Bien sûr, elle ne les avait pas tous compris, mais de la façon dont cela avait été asséné, cela ne laissait aucun doute sur la méchanceté des termes employés... Et ces inepties qu'il avait sorties à propos de la Lune, que c'était un astre maléfique avec plein de créatures mauvaises qui rampaient dessus ! Mais quelle sottise ! Il y était allé lui, sur la Lune, pour voir comment c'était en vrai ?
Oh mais ce coup-ci, elle ne s'était pas laissée faire ! Du haut des ses quinze ans, elle lui avait dit ses quatre vérités et claqué le bec, au gros vieux homme barbu ! Ca n'avait pas fait un pli ! Et lui, comme il avait mal digéré, il lui avait dit qu'il la trouverait... Eh bien qu'il y vienne le gros vieux homme barbu, pour dire ses bêtises ! Pis de toutes façons, elle saura le recevoir ! Ca se fait pas de s'inviter chez les gens sans demander, surtout pour être désagréable !
Elle revoit Siléo, ce garçon qui parle sans mots, ses yeux verts si beaux, ses traits si fins, si doux qu'elle avait cru une fille au début... Ils en avaient fait des courses folles dans les jardins du château ! Lui, elle voulait bien le revoir... Elle l'avait même invité à Castillon ! Mais elle savait bien qu'il y avait peu de chances qu'il vienne, comme il aimait rester au château, pour lire, pour écrire, pour apprendre...

Elle entre tranquillement dans les rues du village... Elle connait par coeur, comme les lignes de sa main, depuis trois ans qu'elle grandit ici ! Tout dort encore... Et Julia ? Elle aussi doit dormir encore ! Il vaut mieux la laisser profiter du sommeil et des rêves, elle la réveillera bien assez tôt !
Quoi faire ?
Aller à la Villa ? Pour peu que Médée y soit, vu son humeur au réveil, ce n'est peut-être pas judicieux...
Aller au lac ? C'est joli, mais quand on ne sait pas nager, ce n'est pas bien prudent...
Aller dans une taverne ? Ce serait bien en attendant, mais tout est fermé à cette heure matinale...

Elle va s'asseoir contre un arbre, elle sent son village qui s'éveille, les volets qui grincent, les premières conversations feutrées, l'odeur du pain chaud dans le four... Elle sort un courrier, relit en tremblant et verse quelques larmes... Puis s'essuie bien vite et sourit, tout à l'heure, elle ira trouver Julia !

pnj

[le même jour, mais à quelques temps et quelques pas de là]

Des portes, un frisson. Toujours le même. Serrer ses bras autour de soi, inspirer fort, puiser dans l'air encore frais de ce matin de printemps le courage d'entrer dans cette ville. Pourquoi celle-ci? Peut-être parce qu'elle est loin. Au sud. Sud forcement chaleureux. En tout cas, c'est ce qu'elle se dit pendant qu'elle trépigne sur place, tête haut levée devant ces portes qui ne lui disent rien.

Elle grommelle, s'adressant à elle même :

Bah, entre toujours, bécasse, tu verras bien. Cà ne peut pas être pire que le chemin que tu t'apprêtes à quitter.

Elle bouge encore un peu, faisant du sur place, avant de résolument rentrer les épaules et passer les portes. Un toit, il lui faut un toit. Puis un travail. Enfin, viendra la vie, qu'elle a hâte de se construire.

Pas vifs, silhouette menue qui semble pourtant énergique. Quelque chose dans sa tenue qui fleure la misère, peut-être un rapiècement de trop, ou la couleur, plus terreuse que joyeuse. Une main rougie frôle le jupon, elle se redresse. il ne sera pas dit qu'elle courbera l'échine, même si elle ne sait ni où aller, ni comment glaner le pain de ce soir.

*silence*

[Et comme souvent... deux routes qui se croisent...]

Elle se met enfin en route, les yeux et le coeur plein d'étoiles, sur le chemin qui mène à la chaumière de Julia. Toute à ses pensées, fredonnant un de ses petits airs préférées, elle heurte celle qui vient en face, qu'elle n'a pas vue venir, et qui lui ressemble tant, et se retrouve sur le derrière.
Elle reste un instant hébétée devant l'apparition : une petite vagabonde, brune, vive... Elle croit se voir entrer dans Castillon, il y a trois ans déjà... Quel choc ! Elle écarquille les yeux, se relève en se frottant les fesses, et s'empresse d'aider la jeune fille à se relever, lui prenant le bras et souriant en balbutiant.

Pardon... suis désolée... vraiment... désolée...
Euh... Moi Silence... euh... revient de voyage de Paris... euh... et rêvassais et pour ça pas fait attention de toi... euh... pardon...

Tout en continuant à bavarder, elle se met à épousseter les pauvres habits de la brunette, avec empressement, comme s'il s'agissait de riches vêtements.

Ca va aller là... euh... pas trop de mal... euh... t'ai jamais vue avant à Castillon... euh... pourtant connais bien du monde tu sais...
Le nom de toi.. euh... si ça embête pas... euh... c'est comment ?

---fromFRSileo

Une arrivée ... somme toute un peu comme les autres

C'est vrai, après tout, qu'est ce qui distinguait une arrivée d'une autre ... par une nuit sans trop de lune ... Pas grand chose ? Hum, et bien si peut être la personne ... La personne qui arrivait ici présentement n'était pas si banale que ça ... enfin, il aimait a le croire et puis ... pour le reste c'était aux autres de voir. Quoi qu'il en soit un jeune garçon, jeune homme arrivait doucement dans le village sur un cheval presque un peu trop petit pour lui. Ses longues jambes auraient pu racler le sols si la monture avait été de quelques dizaine de de centimètres en moins ...

Mais bon, il ne pouvait pas se plaindre ... il avait obtenu malicieusement ce cheval en échange d'un âne au cours d'un échange embrouillé et plutôt douter. Il fallait juste que l'acquéreur découvre que sa monture se fut mystérieusement transformée en un âne ... un peu comme dans un conte de fée mais a l'envers. Bah, ça ne pouvait pas faire de mal il n'en avait pas si besoin que ça, et puis comme ça Sileo en avait profiter pour travailler son équitation... qui, il fallait l'avouer, était plutôt débutante voire quasi-inexistante comme en pouvait témoigner les quelques chutes du début. Mais doté de cette capacité d'adoption assez étrange, il avait réussit a comprendre l'essence de l'équation qui reposait , il fallait le dire ... sur le centre de l'équilibre que l'on arrivait a créer et sur la direction qu'il faut faire prendre a la monture.

Enfin, bref ... voilà donc Sileo à la porte de Castillon, jeune homme au regard d'émeraude, une lueur brillante de malice au fond des yeux, silhouette plutôt gracile sur un cheval trop petit ... drôle de duo, certainement ... Mais le jeune homme avait été invité ici, et il comptait bien trouver ou se trouve celle qui l'avait invité ici. Léger sourire amusé alors qu'il repense à cette invitation ... à son avis, elle se doutait peut être que le jeune homme puisse venir ici ... Mais il aimait prendre quelques décisions ainsi et puis ... il avait eu envie de découvrir un peu d'autre endroit que Paris et ses environs ... Mais ...

Enfin bref ... Bon ... par ou se diriger ... la ville était plutôt réduite, très petite ... en fait, aussi petite et espacée que le jeune homme en était perdu .. habitué au rue de Paris, il se sentant un peu étrange, mais ce n'était pas si désagréable. Il allait juste besoin d'un peu plus de temps pour s'orienter parfaitement dans ce genre d'endroit ... Une prise de repère rapide. Par ou se diriger ? Il met pied à terre d'un geste plutôt leste ... réussissant le tour de force de ne pas dégringoler alors qu'il manque réellement d'habitude pour ce genre de chose. Ce n'est pas l'occasion d'avoir un cheval qui est répandu a Paris ... on peut dire ça comme ça.

Allez. .. une direction aux hasard, il verrait bien. Air amusé et malicieux, comme toujours ... en route vers un itinéraire encore inconnu ...
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pnj

Nom de moi? Remise debout aussi vite qu'elle s'etait retrouvée sur les fesses, elle parait hebetée, tendance poisson qui pense.

Déroutée, palpée, elle s'ecarte pour eviter les gestes empressés qui semblent pourtant amicaux. Elle n'aime ni être bousculée, ni qu'on la touche ainsi. Vague malaise, qui trouble ses yeux, elle baisse la tête. Machinalement, elle s' epoussète aussi, puis se redresse, et tente quelques paroles coherentes.

Heu.. Calanthae. Pas de mal non. Je viens de ....

Elle designe les portes, d'un geste vague. Trop compliqué à exliquer, et puis elle n'est même pas sûre qu'on lui ait demandé. Un cavalier les frôle, qui met pied à terre d'un air décidé. Lui doit savoir où aller.... Elle soupire, et du coup, se concentre vraiment sur la femme qui l'a renversé. Evaluation rapide, faite d'un coup d'oeil habitué à juger de la dangeurosité possible des inconnus croisés. Celle ci n'a l'air ni venimeuse, ni roublarde, ni folle. Un bon début. Elle pourrait peut-être? Mordillement des lèvres, sourire qui apparait, hésitant.

Je viens d'arriver, et à vrai dire sourire qui s'elargit Je ne sais pas du tout où aller.

Peut-être que le hasard l'aura encore une fois bien servie?

*silence*

Voyant le pas de côté de la brunette et comme elle baisse les yeux, Silence s'empresse de ranger ses mains dans son dos et adopte la même attitude, tête baissée, pour ne causer plus de gêne. La fille a l'air d'avoir supporté la collision, c'est l'essentiel ! Elle écoute sagement, puis relêve la tête en souriant.

Calanthae... Très joli le nom... très joli... Ca fait penser comme un nom de fleur... un peu...

Bizarre ça qu'elle mord ses lèvres... rien dit de mal là ! Ah nan ! Ca va ! Elle sourit... Croyais encore dire une bêtise moi ! Ah bah viiiii ! C'est bien ça que me disais moi ! Elle vient de ailleurs... Ah ! Où aller elle sait pas... Ben alors peux lui indiquer moi... Facile ! L'aurais même accompagnée ! Le problème c'est toujours ma Tite Soeur ! Elle a écrit tu prépares la fête à la prairie... Alors comment on peut faire là ? Ah viiii ! Bon alors... Peut aller à la Villa en attendant, y aura bien ma Tite Soeur ! Enfin faut espérer qu'elle sera un peu mieux polite que d'habitude, passe que souvent... ou alors sinan peut aller à la chaumière, Julia elle sera contente voir une nouvelle tête... ou alors... ou alors... me rejoindre dans la prairie... Bah voilà ! On sait où elle va passer ! C'était facile ça !

Silence répond à son sourire, commence à se gratter la tête, fronce les sourcils en levant les yeux au ciel, tire un petit bout de langue : La machine se met en route, lentement, comme toujours, mais ça a l'air de circuler là-dedans ! Il est hors de question de la laisser comme ça, sans savoir où aller... Ca gratte, ça fronce, ça lève, ça tire, ça soupire... et soudain, ça y est ! Elle est là l'idée ! La voilàààààààà ! Silence reprend la pose initiale avec un sourire jusqu'aux oreilles et des yeux pétillants ! Elle est pas peu fière d'avoir trouvé ça toute seule !

Les bonnes idées de moi ! Tu vas voir ! Suis trop forte des fois !
Alors premier endroit où passer, Villa Eleusiana. Avant habitais là... mais déménagée... des histoires compliquées... tout ça tout ça... Enfin, là tu peux aller ! Tu dis tu viens de la part de Silence et tu seras reçue comme princesse ! La Villa c'est grand... plein de chambres... un jardin... des thermes... C'est très luxuriant ! La personne qui t'accueillera c'est sûrement Médée, ma Tite Soeur, tu pourras saluer pour moi... Euh... Pour rentrer dans la Villa tu toques pas passe que y a plus de porte là et crois pas c'est réparé... C'est à cause des invasions barbares... T'expliquerais plus tard...

Regarde ! C'est la grande grande maison avec des murs un peu jaunes et le toit plat avec les tuiles rouges, tout en haut de la colline.

Elle lui désigne de la main, afin qu'elle ne se perde pas, la Villa.

Sinan tu vois la tite maison avec les murs roses un peu et le toit bleu, tout à côté de la Villa ? Tu peux aller là aussi ! C'est la chaumière de Julia ! Julia c'est l'amie de moi : Elle est adorable et belle et polite et gentille et... et... enfin tu verras si tu vas là ! La chaumière c'est pas grande mais très jolie très confort et on peut faire de la place facile. Julia suis certaine elle sera heureuse te connaitre. Tu dis tu viens de la part de Silence et tu l'embr...euuuuuuh... Tu donnes le bonjour de Silence et que moi arrive bientôt...
Là y a une porte où tu peux toquer... enfin a bien failli jamais avoir... ni de murs... ni de toit... ni de chaumière d'ailleurs... C'est à cause des invasions barbares... T'expliquerais plus tard...
Si jamais on ouvre pas, c'est que Julia est pas là... Elle travaille au champ maintenant passe que des gens racontaient des trucs... enfin... faut pas tout écouter... C'est à cause des invasions barbares... T'expliquerais plus tard...
Donc pour être sûre, si c'est là tu veux aller tu dis et moi te donne ma clef, comme ça tu peux t'installer tranquille en attendant que Julia ou moi on rentre... Plus simple comme ça !

Ou sinan autre idée ! Moi dois passer prendre mon tit âne au pré pour porter les tentes à la prairie. C'est une idée de ma Tite Soeur que trouvais bien l'idée avant savoir que moi dois tout installer... Bon... pas grave... Toujours c'est comme ça, ma Tite Soeur... Bon... pas grave... L'idée c'est un grand piquenique de tout le village avec la musique et tout ça... Alors me suis dit si y a la pluie ! Eh ouiiiiiii ! Moi des fois pense dans ma tête ! Ben si y a la pluie pas grave ! Silence elle fait des tentes comme ça la fête elle est pas ratée ! Nan passe que des fois ça pleut bien ici... Pis alors l'hiver, te dis pas... C'est froid... froid... comme... comme... euh... comme un truc froid quoi !

Elle lui désigne en bas, à l'opposé de la Villa et de la chaumière, le lac aux eaux argentées, et juste à côté, une grande étendue verte : la prairie de Castillon.

Enfin elle s'interrompt, reprend son souffle, encore toute excitée de la perspective d'avoir une nouvelle amie, sans même avoir conscience d'avoir pu la noyer dans ce flot ininterrompu de paroles. Elle croise ses mains devant ses genoux, les tortille, se tortille, avec un grand sourire et des yeux étincelants.

Alors ? Sont pas belles les idées de Silence ? Alors ? Tu voudrais où toi ? La Villa ? La chaumière ? La prairie ? Choisis... comme tu veux...

---fromFROMBRE***

Il revient mettre les pieds dans la trace de ses pas et s'avance à couvert, s'appuyant sur son bâton de marche...
Il laisse derrière lui des ombres dont il ne dira rien.
Il garde en lui une ombre qu'il taira.
Est-ce qu'il fuit ?
Est-ce qu'il traque ?
Le sait-il seulement lui-même ?
Ce qu'il sait, c'est qu'il trouvera ou qu'on le trouvera...
Il dépasse deux demoiselles en train de bavarder et marche d'un pas lent mais sûr vers une destination connue de lui seul...
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---fromFR*P'ti Lou*

L'gamin guettait les arrivées. Pt'être qu'il trouverait son bonheur parmis les passants.
Quand il vit un bonhomme tout couvert avec sa cape, l'gamin approcha discrétement, enfin si on veut, en croquant sa pomme tranquille, essuyant le jus qui coulait avec sa manche.
Quand le gosse fut assez prêt de celui qui essayait de passer inaperçu, il chercha à voir où était la bourse du sieur. D'vait bien êt' quequ'part quand même!

---fromFROMBRE***

Il eut tôt fait de repérer le gamin qui rôdait. Lui aussi avait débuté comme ça dans cette vie : essayer de chaparder à ceux qui possédait un peu de bien... Observant le manège du gosse, il s'assit et l'appela.

Viens là garçon ! Je ne te veux pas de mal ! Tu veux des pièces et je t'en donnerai... des pièces honnêtement gagnées... si tu effectues pour moi un petit travail... ça te dis ?
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---fromFR*P'ti Lou*

Erf, repéré... Effectuation d'un demi-tour discret, bah wé, pas envie de se faire choper hein...Dire qu'y en a qu'y voit jamais rien... Pas d'bol d'êt' tombé sur un malin. Mais p'ti Lou se stoppe en entendant le sire lui proposer des pièces contre un boulot. Beh pourquoi pas...
Le gamin fait donc marche arrière, se stoppant face au sieur qui s'était assit, et l'regarde en r'niflant avant de prendre la parole.

Des pièces pour un boulot? Wé pourquoi pas.... Faut qu'j'aille faire quoa?

---fromFROMBRE***

Sous la capuche, deux petits yeux gris se mettent à luire intensément... Tout en parlant, l'ombre se souvient...
Le petit garçon qu'il a laissé derrière lui, sera-t-il lui aussi jeté au ruisseau, comme ce gamin ?
Et le garçon qu'il fut lui-même... qu'en reste-t-il à présent ?
Ne pas s'apitoyer, ni sur lui ni sur soi... Rester dans le dialogue...
L'ombre reprend paisiblement, appuyée sur son bâton.

Voilà garçon ! Peut-être pourras-tu me renseigner ?
Tu es sans doute plus au fait des allées et venues dans ce village que n'importe qui ici... et je cherche quelqu'un : Une demoiselle imprudente... une demoiselle qui a pour nom Sorianne... Saurais-tu si elle est encore ici ? Si je peux la trouver quelque part ?
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---fromFR*P'ti Lou*

L'gamin continuait d'manger sa pomme, croquant dedans à belle dent. L'avait chipé sur l'étal du marché pendant qu'le marchand discutaillait avec des poules. Z'étaient bien mignonnes d'ailleurs les donzelles. Mais l'était trop jeune d'aprés elles. Pff... Pis quoi encore!
Il ne perdait pas non plus une miette de ce que racontait le bonhomme.
Sorianne? Ca lui disait quequ'chose... Ou l'avait d'jà entendu c'nom?
Lou se gratta la tête en réflechissant... Quand soudain il se rapp'la!

Aaaaaaaaaaaaaah! Elle s'rait-y pas p'tite avec des ch'veux noirs!? Des yeux tout verts!! Et s'balade avec un géant! Wé j'lui ai fait du charme mais l'ma dit qu'j'étais trop p'ti... Qu'est ce faut pas entendre...
Wé j'sais où elle est... Croque dans sa pomme...Et reprend, la bouche pleine, V'lui voulez quoi?

---fromFROMBRE***

Sous la capuche, un sourire éclaire le visage de l'ombre. Il se doutait bien que le gosse saurait le renseigner. Il sort de sa bourse cinq écus et les tend au gamin, tandis qu'il se lève en s'appuyant sur son bâton.

C'est bien elle, garçon ! Voilà pour le renseignement ! Je t'en offre encore autant si tu parviens à me mener jusqu'à la demoiselle imprudente... Ca te va ?

L'ombre reste silencieuse un moment, puis reprend.

Ce que je lui veux ? La paix de l'esprit, garçon, rien de moins...
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---fromFR*P'ti Lou*

Le gamin se r'cula d'un pas quand le bonhomme s'leva, et tendit la main comme par réflexe pour prendre les écus. Il les r'garda un moment, y croyant pas tell'ment y en avait!!
Bon l'gars avait pas l'air mauvais en fait. Just'il avait une capuche et, 'fin bref...

Z'êtes prêt à marcher? C'est qu'la dernière fois qu'j'lai vu, elle s'taillait. J'crois avoir entendu qu'elle habitait Anguilène... Ongouline... Wé bon l'village en haut du comté quoi! Direction l'nord! Moi j'veux bien vous emm'ner pour 5 pièces comme ça! Ca j'sais compter!!! Avec ça j'suis riche!! On part quand? Z'avez quequ'chose à faire ici? Ou on part de suite maint'nant?

---fromFROMBRE***

Prêt à marcher ? Comme toujours ! A courir même s'il faut ! Et d'ailleurs... Castillon, Montélimar, Valence, Draguignan, Narbonne, Fayence, Murat, Epinal, Saint-Claude... l'ombre aux semelles de vents avait-elle jamais fait autre chose que cela ? Et vers quoi encore ?
Il sourit encore... posa une main sur l'épaule du gosse...

Mène-moi à la demoiselle imprudente et les pièces sont à toi, garçon ! Partons dès à présent...
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Bikko

Au loin,une silhouette chantonnante et sifflotant un air joyeuse

Biiiiikko ss'en va en guerreu foouette en haut fouette en bas fouette en l aiiiireu biiikko sss en va...(sifflote)

puis il s arreta devant les grandes portes et fait un grand saut pour y entrer
et se coucha par tere en ouvrant les bras et les jambes pour en faire une forme d ange au sol et de son doigt dessine une oréolemais trouva qu il manquait quelquechose...

il dessine deux cornes

castillon enfin me voilaaaaa

Et se mit a chantonner et sifflotter en sautillant sur une jambe et sur l autre

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*silence*

Julia et Silence franchirent les portes du village sans même s'en apercevoir, main dans la main et n'ayant d'yeux que pour l'autre, toutes occupées à bavarder, comme si elles allaient en promenade.

Ma puce, je crois que j'ai oublié quelque chose...
Quoi encore ? On a tout là ma chérie !
Tu vas rire ! Toi tu as un bouclier... une épée... et moi...
Ben nan tu vois ! Fait pas rire ton truc là ! Pfffffff
Et si on croise des brigands ou des sortes de soldats qui zigouillent tout... On fait comment ?
Si t'avais dit avant... Ben tant pis ! On fait pas demi-tour ! T'à qu'à te serrer fort fort contre moi !

Julia vint se blottir contre Silence qui en profita pour l'enlacer par la taille, malgré tout son barda.

Dis La Belette, t'es avec pour rencontrer Alix...
Je crois pas... Elle m'aime pas Alix...
Nan mais on dirait comme ça... mais si elle te connait mieux, elle t'aime... Forcément !
Si c'est comme avec ta soeur...
Nan mais là c'est pas pareil ! Pis faudra bien qu'elle fasse avec toi aussi...
Ah !!!! On verra...

Une fois les portes franchies, elles continuèrent dans la campagne, suivant simplement le chemin.

Au fait... T 'as encore une histoire de procès... Ca fait pas bonne image ça tu sais...
C'est à cause de la grille des prix, j'étais pas au courant...
Ben ça, ma chérie, ils voudront pas entendre... Pis leurs juges là, quand ils ont quelqu'un dans le nez, se privent pas... seront trop contents de nous coller encore un truc sur le dos...
Mais c'est la vérité, ma chérie !
Ouais ben c'est pas ça qu'ils aiment ! Avec un peu de chance, on va encore tomber sur des gens bien conseillés qui vont dire qu'on les a violés, pendus par les pieds et attachés à une branche, au milieu des moutons... ou un truc du genre...
Mais c'est pas possible si ils sont pendus par les pieds !
Rhooooo mais... Pis si ! Te ferai voir La Belette ! Ca se peut !
Nan mais c'est pas ça la question... Pffffffffff
Pis... D'accord ! On s'en fout !

Elles arrivèrent enfin à la croisée des chemins.

Quoi ! Déjà !
On prend quelle direction, ma puce ?
Euh... Oui... Euh... Marmande... C'est un joli nom !
T'es sûre ?
Bah oui ! Tu trouves pas joli toi ?

---fromFRprinceKris

PrinceKris se leve de bonne heure et décide d' aller visiter Castillon avant d aller au champ.
En arrivant à la porte ouest, à travers la brume du matin, un jeune fille fort belle mais très fatiguée entre dans la ville. Tiens se dit princeKris je n ai jamais vu cette jeune femme jusque là à Castillon.
Tout d un coup la jeune fille s appuie contre le mur dune maison et semble défaillir. PrinceKris se précipite et la rattrappe avant qu elle ne tombe.
Demoiselle prenez appui sur moi il y aune fontaine toute proche.
PrinceKris installe du mieux qu il peut la jeune femme. Il sort de sa poche un linge blanc et propre, le trempe à la fontaine, l essore et essuie le visage et la nuque de la jeune femme.
Merci messire. je m appelle Ellanesse et je cherche ma soeur Idryl la connaissez vous?
Non ...cela ne me dit rien
Excusez moi je dois y aller , je vais à la mairie voirs si ils peuvent me renseigner.
Et aussi vite qu elle apparut Ellanesse disparait dans cette même brume matinale

Solenn_wolback

Pumae vit les portes de la ville sous les zébrures du soleil couchant.
Elle était heureuse de revenir enfin à Castillon. Leur départ avait été réfléchi, leur voyage agréable, mais Castillon demeurait dans ses pensées sans cesse.
Elle força le pas pour arriver aux portes avant que la nuit ne tombe, mais ne rentra dans la ville même que sous le levé de lune.
Elle se hâta vers leur maison, regrettant que Fli soit allé chez les moines. Elle ne rêvait que d'un bain pour se décrasser de tout ce voyage.
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---fromFRbebe6cheri

Bebe6cheri qui avait tant preparer son voyage que a la derniere minute elle avait pris du recule .Aussi a la derniere minute kahhan et Oba on accepter de garder Daivd jusqu'au son retour . Bon il etait tant qu'elle quitte le village
Merci Kahhlan et a toi aussi Oba ses tres gentil de votre part de faire pour moi . je me sens plus assurer qu'il soit avec vous.

Les regardes a nouveau et les serres tres fort dans ses bras et vas embrasser son fils une derniere fois passa la main dans les cheveux de David et dit : Je t'aime mon fils quoi qu'il arrive...
Bon il etait tant qu'elle parte si elle voulait arriver....

et elle commenca a marcher

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je vous aime .........

Hakann

Oba et Kah regardèrent Bébé s'éloigner. Ils lui avaient assuré prendre grand soin de David. Ce dernier observait la scène, ses yeux grands ouverts, bien installé dans les bras de Kahlan'.
Le couple salua une dernière fois la jeune mère puis partit...

Kahhlan

Kah' David dans ses bras ... Oba lui enserrant la taille d'une main et le paquetage du petit dans l'autre se dirigèrent vers leur maison afin d'y installer son petit fillot au mieux ...
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Solenn_wolback

Pumae accompagnée de Oups, Duke et Latribale rentrèrent tard dans la nuit en Castillon.
Le voyage avait été court, mais éprouvant.
Pumae salua tout le monde, indiquant un endroit où dormir à Latribale et Duke, fit deux grosses bises à Oups et fila droit vers chez elle.
Elle avait hâte d'y être de se prélasser dans son lit et espérait que Flibidi soit là.
Elle s'inquiétait pour lui, sans nouvelles depuis tout ce temps...
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Don32

OYEZ OYEZ!!! Voyageurs soyez informés de ceci!!!

Citation:

27 juillet 1456
Chères Gasconnes, Chers Gascons,

Au vu des récents évènements d'insécurités de part les brigandages et autre délire mégalomane du sus nommé "l'Empeur", nous vous annonçons la mise en place de lances militaires mobiles.

Ces lances composées de soldats de notre Ost ont pour but de nettoyer nos routes de ces sombres individus et de redonner à nos habitants la sécurité qu'ils méritent.

Qu'il soit su que nos lances militaires mobiles seront sur toutes nos routes dans le but de sécuriser l'intégralité de notre territoire.

La Région Est de notre Duché étant assez active en ce moment, nous demandons à la population d'y restreindre ses déplacements dans les prochains jours afin d'éviter toutes rencontres avec nos troupes.

N'hésitez pas à vous rapprochez de nos groupes de maréchaux ou de moi même pour vous informer des différents passages de nos lances.

Craftouille
Capitaine de Gascogne

Lisez, répandez et sachez!!! Ne vous exposez pas inutilement!

Solenn_wolback

Le 29 au soir,

Pumae rentra à nouveau dans Castillon.
Fatiguée par ce double voyage coup sur coup, elle décida de ne plus quitter Castillon pour une semaine au moins !
Dans sa grosse charrette se trouvaient des denrées en tout genre. Encore une fois, elle avait bien vendu à Blaye et acheté quelques affaires intéressantes.
Au milieu de tout son fourbis, un colis bien plus léger et bien plus précieux dormait à point fermé.
Elle avait ramené avec elle le fils de Totort. Le bambin l'avait reconnu et avait été agréable pendant le voyage.
Il s'amusait à essayer de la suivre à pied, mais ses petites jambes n'étaient pas suffisante pour la suivre, au pas allongé qu'elle avait adopté pour voyager.
Il tirait régulièrement sur sa cape pour demander à grimper dans ses bras, et elle s'empressait de l'accueillir en lui décrivant toutes les choses qu'ils voyaient.
Le soir tombant, il s'était endormi dans ses bras, et elle lui avait aménagé un lit dans la charrette.
Désormais, il aurait quelque chose de plus agréable pour dormir !

Elle pressa le pas vers chez elle...
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---fromFRmeolie

Méolie arriva aux portes de la ville... Elle sourit... Son voyage fut long mais elle était enfin arrivée... Elle regarda autour d'elle et ne vit pas grand monde... Elle avança lentement dans la ville, cherchant un endroit chaud et calme pour s'abreuver... Elle vit une taverne non loin de la... Elle poussa les portes et entra...

Elle pris place et demanda une bonne chopine de bière... Elle était enfin prête a découvrir les habitants de cette charmante bourgade...

Elle se présenta enfin à eux...

- Mes hommages... Me voici! Dame Méolie pour vous servir. Je viens d'arrivée dans votre village et espère avoir une place parmi vous... Je suis plutôt drôle et aime faire de nouvelle rencontre...

Kahhlan

Il faisait encore très chaud en fin d'après midi et Kah' s'arrêta un instant aux portes de Castillon, se rafraichit la gorge d'eau bien fraiche conservée dans son outre en peau et s''asseye sous un arbre lui donnant un peu d'ombre.
Elle admirait le paysage et la vue de son village lui procurait une immense joie.
Enfin, elle allait retrouver Oba, son cher et tendre amour qui lui avait tant manqué .. elle s'imaginait déjà le bonheur d'être dans ses bras ...
Elle allait retrouver ses amis et son petit fillot ...
Se relevant et époussetant sa robe qui tout comme elle méritait un bon bain, elle s'avança dans Castillon sourire aux lèvres ...
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Dragones

Dragones tiens la main d'Olryx jusqu'au porte de Castillon. Aucun mot ne franchir leur levre... Leur regard etait plein de promesse d'amour, malgré la tristesse de cette separation. Olryx, le coeur serrait pris Dragones dans ses bras et l'embrasse tendrement...

A bientot mon ange!

Dragones s'accroche a lui, l'embrasse avec tout son amour ...Je t'attendrais!...

Dragones le regarde s'eloigner jusqu'a ce qu'il disparaisse a sa vue, soupire et retourne chez elle...
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Dragones

Dragones arrive en trombe jusqu'au porte de Castillon, son sang lui bouillait les tympans, son souffle etait sacadé. Sa main se porte a ses poumons, elle grimace de douleur... Cette course effrenée l'avait epuisé, elle l'etait autant physiquement que psychologiquement.
Tant de choses c'etait passé en si peut de temps...

La peur de perdre Olryx... son depart, son combat a cause d'une épée etrange, le prochain depart de sa meilleur amie, la detresse d'une autre, la presence d'un autre et maintenant ca, Kirika part...

Dans la nuit du coté des rempards les gens n'arrivaient pas a savoir si le hurlement qu'ils avaient entendu etait celui d'un animal ou d'un etre vivant...

elle repartit en courant de plus belle les larmes coulant sur ses joues, elle se sentait si...
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---fromFRKirikayumura

Elle avance d'un pas résolu, tête basse, ses lames à la ceinture et sa musette sur l'épaule. Passant les portes de la ville, elle se retourne un instant, un petit sourire ironique au coin des lèvres. Elle serre les poings, toujours... Puis elle se retourne, regarde droit devant elle, pensive... C'est l'heure, l'heure où le rouge va basculer dans le noir... Elle sait que la danse des sabres va reprendre, ailleurs... et que cette fois-ci, il n'y aura plus personne pour l'empêcher de danser !

La petite forme blanche qui la suit reste à distance... Ils vont ensemble... mais ils restent à distance... comme ils ne peuvent rien l'un pour l'autre...
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---fromFRKirikayumura

[Sur la route de Bergerac]

Bien sûr, ce n'était pas très malin de faire la route de nuit... pas très prudent... mais elle n'avait pas vraiment choisi son heure... C'était plutôt elle qui l'avait choisie !
Elle était en vue de Bergerac quand ils sortirent du bois, juste derrière elle.

Et bien ma jolie, on fait un petit tour ? Tu comptais aller où comme ça ?
Ca a l'air bien lourd ce que tu portes, on peut t'aider ?
C'est ça ! Envoie ton sac ! On va le porter nous ! Tu te sentiras plus légère ! Envoie !

Et ils partirent de leur rires gras.

Deux hommes. Brigands. Un gros. Trois pas derrière. Un plus maigre et plus nerveux sans doute. Un pas en arrière à droite de l'autre. Cibles... localisées ! Armes... prêtes ! Distance... évaluée ! Rispote... déterminée ! ACTION !!!

Elle ne bougea pas, puis, lentement, passa la bandoulière du sac par dessus son épaule et...

Elle se tourne brusquement, lance le sac à la face du gros, roule sur elle-même en tirant ses lames, et bondit sur l'autre, lui tranchant la gorge dans un bouillonnement de sang, avant même qu'il ait eu le temps de comprendre sa mort, retombe sur ses pieds, roule à nouveau, en arrière, se retourne, lance un coup de pied dans la dague du gros, se redresse, tend les bras, opère gracieusement une boutonnière verticale, de bas en haut, dans le ventre du gros, qui se répand en hurlant d'horreur... le temps que sa tête aux yeux exorbités, figés par l'effroi, ne roule sur le chemin...

Elle regarda les deux cadavres, se vidant lentement de leur sang, les poussant du pied avec dégoût, tout en essuyant ses lames. Après les avoir délestés de leurs bourses, récupérant son sac, elle afficha un petit sourire ironique en se détournant du tas de viande sanguinolent.

Je suis... NOIR... et vous n'êtes plus rien...

Elle se remit en route, tête basse, ses lames à la ceinture et sa musette un peu plus pleine sur l'épaule, sans se retourner... une petite forme blanche la suivant, à distance... comme toujours...
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---fromFRprinceKris

PrinnceKris accompagne Oups aux portes de la ville sans un mot.
Il n arrive toujours pas à croire qu elle repparte déjà
PrinceKris embrasse une dernière fois Oups d un baiser rempli de tout l amour qu il a pour elle.
A bientôt ma douce Oups! Noublie pas il y a Castillon mais il y a nous aussi!
Oups monte sur Elfie sa jument et s enva dans les brumes de la nuit.Le coeur lourd PrinceKris la regarde partir
OUPS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! JE T AIME!!!!!!!!!!
Le cri déchire la nuit calme qui repose sur Castillon

pnj

Oups partait déjà au galop lorsqu'elle entendit
[i]Oups je t'aimeee

Elle se retourna et vit Kriss elle lui envoya un baiser de la main et le coeur serré reprit sa route. Il lui manquait déjà tant son Kriss.

---fromFReadulf

Après un court voyage sans encombre, Ead aperçut, au détour d'un chemin, les toits de sa ville natale. Le coeur serré, il s'approchait, se remémorant les joies des soirées en taverne dans cette ville.

Castillon, je t'avais bien dit que je reviendrais!!

Dragones

Dragones tenant la main d'Olryx suivait Camulus et Bikko...

Ils se retournerent pour dire au revoir a Olryx et reprirent leur marche...
Arrivée devant les grandes portes Dragones s'arretta et embrassa Olryx...

Prend soin de toi et a bientot... Elle lui caresse le visage, l'embrasse encore...
Se retourne et court rejoindre Camulus et Bikko qui la taquinerent un peu...
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Robinus70

Au petit matin, sous une couverture grise, et cotonneuse, un couple passe les portes de la ville, main dans la main. Une jeune femme les accompagne, qu’ils ont guidé et protégé durant le voyage.
Castillon est calme et sous le ciel délavé. Leur rire et leur complicité, vient apporter une touche colorée, un parfum d’humour et de tendresse embaume l’air.
Ils signent le registre, puis dans un dernier sourire, un dernier clin d’œil, leurs mains se lâchent, se retenant encore un instant dans une ultime connexion tactile.
Raoul dans un grognement significatif, rappel à Gawin son grand désir de maïs, Bérengère réclame sa dose de fleures bleues au petit déjeuner.
La taverne est en vue, et une file de personne attend le pain frais rapporté spécialement de voyage.
Alors Gawin et Robinne se séparent, heureux comblés, la tête pleine de souvenirs tendres de gaieté, de connivence, d’amitiés partagées.

Hysteria

il était déjà temps de repartir sur les routes. hysteria se retourna vers le village et se dit qu'elle n'oublierait pas cet endroit, première étape fort agréable de son périple. Prince miaula sur son épaule, comme pour lui donner le signal et elle s'éloigna, le sourire aux lèvres.

Princekris

Princekris arrive a la porte d entrée de Castillon. Il a passé une bonne soirée avec son ami Mordock en taverne. Il sinstalle dans le coin de la haute porte de la tour d entrée Est de Castillon. Il s enroule dans la couverture de laine qu il a ramené des années passées en terre Cathare.
Oups je suis la , arrive mon amour

pnj

Oups arrive de bon matin, il fait frais et Eflie est las.
Oups approche de Castillon et elle voit au loin une personne, elle s'approche et reconnaît Kris.
Oups descend de cheval et se câle contre lui et l'embrasse tendrement

Coucou mon amour je suis là

oups l'embrasse tendrement et main dans la main il rentre chez eux.

Princekris

princekris dort d un sommeil léger. Des bruits de sabots...une cavalière approche dans la brume du matin...Elle descend de sa monture et court vers princekris
OUPS!!!!!!!! CEST TOI MON AMOUR!!!!!
princekris la prend dans ses bras et l embrasse à perdre le souffle. Son coeur bat fort
Viens rentrons chez nous

Kahhlan

Dans la brume et l'humidité de la nuit deux cavaliers trottant d'un pas tranquille tournèrent le dos à Castillon...

Dans le dernier virage leur deux visage se retournèrent et, si l'on avait pu les distinguer, on y aurait lu ce combien ils devaient aimer leur village...

les formes disparurent et l'on ne pouvait plus qu'entendre le bruits des sabots galopant dans l'obscurité ....
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Dragones

Dragones avait accompagné Kahhlan et Oba jusqu'au porte de Castillon...

Apres les avoir embrassé et leur avoir souhaité un bon voyage, elle les regarda s'eloigner. Le coeur serrait, les larmes coulant sur ses joues elle les regardes s'eloignait. Leur fait un dernier salue...

Dragones retourne en taverne vider quelques chopines...

Dragones

Dragones accompagne Olryx jusqu'au porte de Castillon...
Comme a leur habitude aucun mot ne franchit leurs levres, leur regard en disait long sur leurs sentiments...

Olryx la regarde, un doux sourire sur ses levres, lui caresse les cheveux et l'embrasse tendrement....
Dragones lui sourit, le serre contre elle en l'embrassant....

Olryx s'eloigne monte sur son cheval, la regarde encore une derniere fois et s'en va au galop en criant...Dragones lui repond en criant aussi...

A dimanche mon ange...

A dimanche mon amour...

Dragones le regarde partir et part vers la taverne pour pouvoir changer ses idées...
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Eadulf

Ead mit son balluchon et ses stères de bois sur une grosse charette, installa confortablement Guenièvre. En cette soirée, il avait le coeur triste de partir de Castillon. Il avait revu ses amis, Gawin, Robine, croisé Vanu, rencontré des gens fort agréables.

Au revoir à tous!!!!!!!
au plaisir de boire un coup en taverne ensemble!
et merci Pumae de nous avoir permis de bûcheronner!

Ils franchirent les portes de Castillon le coeur lourd

Hagos

Hagos arriva entiérement vétue de sa cuirasse de son casque et de ses autres protection diverses récupéré de ci de la sur les champs de batailles.
Et lorsqu'il arriva devant la porte de Castillon il leva son cor et en sonna trois fois

TOOONNNBR TONNNNBR TOOOONBR

Me revoilà Castillon

Il sourit en coin avant de faire avancer son cheval vers la porte.
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*silence*

Elle revient dans son village natal, de passage seulement, avant de retourner à Eleusis, parce que Julia l'a demandé. Le problème c'est qu'elle marche vite et qu'apparemment Julia traîne un peu la patte. Alors elle est un rien énervée de s'être pressée comme ça, alors qu'elle a mille choses à faire dans sa cité... Mine de rien, elle s'assoit sur une sorte de rocher à l'entrée du village et râle en soupirant.

Ah oui d'accord ! On avait dit on file à Casti... et m'y voilà toute seule comme une gourdasse ! Remarquez j'ai l'habitude, m'enfin faudrait pas non plus que d'habitude ça devienne réflexe...
Bon ben vais attendre... Après vais voir Dragones pour infos, ma tite soeur pour râler (pour une fois que c'est moi qui râle dessus), chez Ju après... pis ce sera bien là... passe que c'est pas tout ça mais si Julia veut vraiment faire vestale à Eleusis, on a du boulot là !

pnj

Un chat blanc aux yeux bleus approche lentement mais sans crainte de Silence, en poussant un petit miaulement plaintif, la queue toute hérissée, la regardant droit dans les yeux... comme pour l'avertir d'une chose à laquelle elle ne peut s'attendre... ni elle ni personne d'ailleurs !

*silence*

Intrigué par le petit animal, Silence descend de son rocher et le caresse, tandis qu'il se met à ronronner doucement, oubliant toute prudence.

Tu es mignon toi... Tu cherches quelqu'un ? Où sont tes maîtres ?

pnj

Une chose à laquelle elle ne peut s'attendre... ni elle ni personne d'ailleurs ! Personne ? Vraiment ?

*silence*

Toute occupée de ce joli chat, Silence ne prête plus attention à ce qui se passe autour d'elle : elle le caresse, lui parle comme à une personne... Comment pourrait-elle savoir à qui il appartient ? Comment pourrait-elle se douter que son propriétaire se tient à l'affût, dans son dos, à quelque pas seulement ? Comment pourrait-elle sentir qu'elle est prise pour cible ? Et que sa vie ne tient qu'à un fil... où plus exactement à une corde... celle d'un arc, tendu, derrière elle !

pnj

Julia arriva enfin, toute essouflées.

aaah... ben te... voila toi !!! quelle trotte !!!! pffffiou... tu etais pressée oulaaaaa

Julia regardait aux pieds de Silence, un petit chat

Qu'il est beau !!! il est a qui? on peut le garder s'ils n'a pas de maitre????

Julia s'agenouilla et caressa le petit chat qui ronronnait

Nous voila enfin a Castillon... piouf, voila un repos bien merité, pas vrai

Dragones

Dragones arrive au porte de Castillon et reconnait Silence ...

Silence! Julia!

Bonjour!!

Hooooo Myshkin...

Dragones se baisse et regarde les yeux brillant de larme.... Myshkin....

Ta retrouver le chemin, ta l'air d'aller bien...
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pnj

Julia se releva et prit Dragones dans ses bras

Ca fait si longtemps !!! tu nous a manqué !!!! Comment vas tu depuis tout se temps?

Dragones et Julia discuterent pendant quelques instants, puis julia demanda

Tu connais ce chat? il a donc un maitre...

Un homme avec son baluchon sur le dos passa. Avec tous son embarra, julia le regarda, il parraissait tout triste...

Dragones

Dragones se releve sourit a Julia la bisouille discute un peu...

Elle voix Dea...va vers lui le serre dans ses bras le bisouille...

Prend soin de toi et fait attention, bonjour a ta dame... A bientot

Dragones le regarde s'eloigné, le salue en souriant le regard un peut triste du depart d'un ami...
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*silence*

Que de monde tout à coup aux portes de la ville ! Silence embrasse Julia, heureuse de la retrouver enfin, puis Dragones, qui lui a bien manqué depuis tout ce temps, et salue d'un geste de la main l'homme qui s'éloigne...
sans voir que le chat blanc vient de filer dans les fourrés, sans entendre un léger bruit de pas qui s'éloignent rapidement, dans le sous-bois, de l'autre côté de la route, sans se douter que la venue providentielle de tout ce monde a dérangé le tireur, qui s'en est allé... pour le moment... et vient de lui sauver la vie... pour cette fois...

Oh ! Le petit chat ! Il a filé ! Disparu ! Il a du retourner voir ses maîtres !
Suis bien contente de te trouver Dragones... Fallait te dire des choses...

Puis elle se tourne vers Julia avec un air malicieux et l'embrasse tendrement, lui murmurant à l'oreille.

Quant à toi la belette, tu ne peux même pas imaginer comme tu manquais et le souci que me faisais... Toi aussi faudra on parle...

Dragones

Dragones regarde s'eloigner Myshkin...

Moi aussi, je suis contente de vous voir toute les deux! Allons a la villa j'ai preparé le repas et vous devez avoir surement faim
Et on pourra parlé, mais je pourrais pas rester longtemps cette nuit je suis de garde.
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*silence*

Emboitant le pas à Dragones, Silence demeure perplexe, fronçant les sourcils et levant les yeux au ciel, comme chaque fois qu'elle cherche une réponse aux questions qu'elle se pose. Dragones dit avoir préparé le repas à la villa...

Dis moi Dragones, tu habites la villa maintenant ? Ou bien ce serait que ma tite soeur a enfin trouvé une esclave pour faire ses repas, son ménage et tout et tout ? Comprends pas là...

Dragones

Dragones regarde Silence..

Non! Pas d'exclave c'est moi qui me suis occuppé de votre villa depuis que Kirika est partie et comme tu m'as dis que vous alliez arriver, je vous ai preparé a manger et fait le plein de vos placard...
Votre maison est prete a vous acceuillir et je te rend la clé d'ailleur.

Dragones joignit le geste a la parole...
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*silence*

Silence attrapa Dragones par le bras, abasourdie de ce qu'elle venait d'entendre, ouvrant de grands yeux.

Euh Dragones... vraiment gentil de toi tout ça... et sais pas comment remercier... d'avoir pris soin de ma tite soeur !

Elle n'osa prendre la clé de la villa et éclata de rire.

Dragones ! La Villa Eleusiana c'est là où vit ma tite soeur ! Julia et moi on est à sa chaumière depuis longtemps déjà... C'est Médée qui doit être contente de tout ton travail !

Dragones

Dragones regarde Silence surprise.

La Villa Eleusiana!! Mais moi je te parle de la maison de Julia...
Hooo j'ai tout melangé moi!!
Excuse moi!

Dragones la regarde et se demande ou elle mis sa tete...
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*silence*

Silence ne savait plus où donner de la tête dans les incohérences de Dragones, elle se tourna vers Julia avec un air désemparée, puis reprit.

Bon... ben c'est bien tout ça... enfin, si tu veux bien, on va te laisser nous conduire pour voir et avec Julia on suit et comme ça on arrivera bien quelque part... et si on de la chance, ce sera chez quelqu'un qu'on connait... et au pire des cas, on s'invitera de ta part...

Là dessus, Silence éclata de rire. C'était souvent comme ça quand elle ne comprenait pas ou que ça l'angoissait, une bonne dose de rire pour évacuer les inquiétudes !

Dragones

Me grimace devant sa maladresse...

Ben tu vas reconnaitre vue que ce sera chez vous!!
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Kahhlan

Trois cavaliers arrivèrent au petit matin ...
Devant les portes de Castillon ..Kah descendit de cheval et lui flatta l'encolure en la félicitant ..
Leur voyage avait duré une quinzaine de jour et Castillon lui manquait vraiment ...
Elle regardait Oba et Olryx en riant ..

Allez !!!!! mais pressez vous un peu j'ai faim moi !!!
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Dragones

Dragones arrive pres des portes de Castillon tranquillement en souriant, elle avait fait en sorte tout le nuit de passer regulierement pres des portes au cas ou elle le verrais arriver, elle etait impatiente de le voir...

En s'approchant qu'elle ne fut pas sa surprise en voyant descendre de son cheval Kahhlan et vit non loin d'elle Oba et Olryx...

Dragones se mit a courir pour les rejoindre...

Kahhlan, Oba, Olryyyyyyx!!!

Dragones arrive en trombe et prend Kahhlan dans ses bras toute heureuse de la voir, la serrant contre elle, la bisouillant...

Dragones se retourne en entendant son amour...

Mon angeeeeeeeeeeeeee!!

Dragones lui saute dans les bras, heureuse qu'il soit de retour, l'embrassant tendrement...

Dragones se retourne encore et va serrer dans ses bras son grand frere, le bisouillant...

Je suis si heureuse de vous revoir...
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Kahhlan

Kah embrassa tendrement Dragones ..la laissant aller saluer son prince de coeur comme il se devait ...

Je suis si contente de te revoir aussi !!!
Et fouler le sol de Castillon est si bon !!!

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Hakann

Oba imita Kahhlan et Ol ; il descendit de cheval et étreignit sa p'tite soeur, tout heureux qu'il était de la retrouver. Ne voulant pas la distraire plus que nécessaire, car il la savait de garde, il proposa de se retrouver plus tard en taverne. En attendant ils avaient faim, et Oba était fatigué.

pnj

[ Mardi, neuvième jour du mois de septembre mille quatre-cents cinquante-six ]

Douce et agréable nuit qui arrivait à son terme, chauve-souris, hibou et autres animaux nocturnes commençaient déjà à rejoindre leur habitats respectifs.

Le soleil se levait, il devait être pas plus tôt que la cinquième heure du matin. Toutefois, s'il l'on voyait la pénombre qui s'éclipsait peu à peu, aucun rayon venait montrer le bout de son nez. L'obscurité était encore très présente dans le paysage et la brume matinale recouvrait le sol et les cimes d'arbres.

Les travailleurs de Castillon la belle commençaient à se lever, partir labourer, semer ou récolter tardivement leurs champs voire s'occuper de leurs élevages en tout genre. La vie s'animait peu à peu en ce matin-là.

Cela faisait depuis la veille au soir que Takeo montait sa jument à la robe noire. Venant de Marmande, plus au sud, en Guyenne, derrière la frontière du Périgord Pourpre, le castillonais pur souche revenait de bien loin, mais cela était une histoire à conjuguer au passé.

La jument marchant au pas, sabots résonnant légèrement sur la route gravilloneuse disparaissant de temps à autre dans la brume du matin. Sur son dos, un homme d'une vingtaine d'année, grand, les épaules puissante et proéminente, la chevelure noire de jais mi courte, légèrement en pétard, le visage aux traits magnifique mais gaché par une blessure récente, cadeau d'une bataille en Gascogne, l'oeil mort, caché par un bandeau noir et une énorme cicatrice sur la côté droit, face ravagée.
Il portait son sempirternel long mantel de cuir bordeaux, ellimé, rapiécée par endroit, mais encore regardable. Ses braies rouges ainsi que ses longues bottes en cuir bordeaux étaient toujours de la partie, tout comme sa longue et blanche cape. Le casque blanc accroché à la selle; sa puissante hache de guerre, son symbole, n'était que du passé, sa magnifique épée de sa propre création avait sûrement suivi un faussoyeur trop zélé après la bataille.

Même si le jeune homme n'avait que 20 ans, on lui en donnait aisément une trentaine, tendance accentuée par son rasage non effectué.

Bref, le soleil pointant timidement son nez, Le forgeron castillonais franchît le dernier coude de la route, sortant de la lisière de la forêt, pour atterir, à cinq cents pieds de la grand-porte de Castillon.

Son oeil unique, d'un bleu acier profond, scruta le haut de la porte géante et close, là où deux gardes pointant leurs carraux d'arbalètes sur le Lieutenant.

Ces deux-là arguèrent :
-" Halte-là ! Declinez vot' identité il a dit, l'prévôt ! "
D'une voix rocailleuse et pénétrante; Takeo répondît d'une voix neutre et sur un ton uniforme, après un bref laps de temps;

-" Bah dîtes-lui à vot' prévôt, que le lieutenant Desfontaines, alias " Takeo " ou le "Lion du Périgord " selon goûts et convenances; aimerait rentrer chez lui, au 83, quartier de l'amitié ... s'il vous pl' ... euh ... nan même pas s'il vous plait; Tout de suite, mes tendres agneaux !"

France7804

France arriva en compagnie de Paul aux portes de Castillon.

"Ca fait plaisir de revenir à la maison n'est-ce pas mon coeur?"

Elle était épuisée par tous ces allers retours, mais vraiment heureuse d'avoir pu découvrir le comté en bonne compagnie. De plus, aucunes mésaventures graves n'étaient arrivées, elle en était reconnaissante profondément.

Elle avait bien hâte de revoir tous ses amis et surtout sa soeur qui l'attendait quelque part dans le village.

"Viens Paul, allons voir si Peluchette est en taverne!"

Elle prit la main et Paul et entra dans son village adoré.
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Paul1er

mon amour je ne peux aller en taverne de suite mais part voir tas soeur je file a la garnison lheure et grave

jespere que je pourrais vous rejoindre pas trop tard il me tarde de la voir

paul stoppa la serra dans ces bras et lembrassa follement

puis il parti tres vite en oubliant meme de la saluer encore tant il etait dans ces pensées

pnj

le chat s'était régalé chez Dragones, mais elle n'avait pas pu l'accompagner en promenade... Alors, dans sa grande bonté, il décida de l'attendre ici, près des portes de la ville, au cas où elle se déciderait...
Lassé d'attendre et poussé par la faim, il se remit en chasse et retourna arpenter le village à la nuit tombante.

Gaudali

GauDali attendait pour passer par la petite porte, qu’un gros nuage noir masque la lune pâle. Il s’était enveloppé d’une grande cape noire. Il quittait Castillon, honteux, la tête basse.
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"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."

Medee

médée fesait le guet a son poste de douane...
il fesait froid et la fatigue commençait a se faire sentir...
...
elle fut sortie de sa demi torpeur par des voix qu'elle ne reconnu pas...
...
sans vraiment voir qui venait de passer non loin du poste elle s'ecria

HALTE Là !!!

puis s'approcha de deux personnes...
apparement une femme et un homme...

bonjour,
loi martial dans tout le comté...
avez vous des autorisations de sejour ?

Deaconfrost

deacon s'approcha du sergent avec lae

bonjour sergent, oui autorisation nous avons !! cherche son parchemin dans ses braie lui sourit...

Expéditeur : Meline_deschain de Bunzac
Date d'envoi : 2008-09-21 08:06:45

Nous, Méline deschain, comtesse du Périgord Angoumois octroyons laisser passer et autorisons sieur Deaconfrost à séjourner en Perigord Angoumois pour une durée de 15 jours.
A l'issue de ce délai, une nouvelle demande devra être faite si la loi martiale est toujours en vigueur.

Nous déconseillons fortement tout deplacement au sein et hors du comté durant le temps d'application de la loi martiale, ceux ci se feraient à ses risques et perils.

Fait à Périgueux
le 21 septembre 1456

la regarde reluquer le papier...reprend son parchemin du nez du sergent.. sourit à lae tout content et fier lui fait un clin d'oeil

Laelia

Laelia sert fort la main de Deacon un peu inquiète en entendant d'un voix forte "HALTE Là"....

Elle regarde son goulu avec de grands yeux sans dire un mot..et fouille dans sa besace d'où elle sort un parchemin et le tend la dame...

...voici notre autorisation dame, j'espère satisfaire votre demande....

Titre : autorisation de sejour

Expéditeur : Meline_deschain de Bunzac
Date d'envoi : 2008-09-21 08:06:12

Nous, Méline deschain, comtesse du Périgord Angoumois octroyons laisser passer et autorisons dame Laelia à séjourner en Perigord Angoumois pour une durée de 15 jours.
A l'issue de ce délai, une nouvelle demande devra être faite si la loi martiale est toujours en vigueur.

Nous déconseillons fortement tout deplacement au sein et hors du comté durant le temps d'application de la loi martiale, ceux ci se feraient à ses risques et perils.

Fait à Périgueux
le 21 septembre 1456

Méline Deschain
Comtesse du Perigord Angoumois

Laelia regarde dame lire son parchemin et attend patiemment

Medee

médée jeta un rapide coup d'oeil aux autorisations tendu par les 2 voyageurs,
juste le temps de verifier les dates et d'authentifier les documents...
puis leur sourit...

parfait,
je vous souhaite de passer un bon sejour chez nous,
bonne journée.

puis elle rejoignit son poste....

Pierobero

Pierobero passa en trombe sur son cheval, il venait de quitter le dernier quartier de Castillon et allez passer par la porte. Quand il en fut proche, il fit ralentir progressivement sa monture, pour finir au pas. Quand il fut à la hauteur du poste de douane, Piero souria à Medee puis quand il vit qu'elle l'avait reconnu, il repartit, lançant son cheval au grand galop jusqu'à Bergerac!
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Sénéchal du Périgord Angoumois

Medee

des bruits de sabots se firent entendre...
la monture semblait aller au galop...
médée trouva ça suspect...
elle s'avança quelque peu...
le cheval ralenti...
elle put apercevoir un visage connu...
celui de pierobero...
elle lui fit un signe de la tête avant qu'il ne reparte au galop...

Cymoril

Une amazone toute vêtue de noir passe les portes de la ville, en toute discrétion. La robe de son étalon luit sous les premiers rayons du soleil, éclatant de blancheur, en contraste parfait avec la légère écuyère.
Allez mon Bagual! On est arrivés, faut que j'me trouve une taverne, j'ai soif!
Elle évite le poste de garde, espérant que personne n'aura la mauvaise idée de lui demander un laissez-passer qu'elle n'a pas, et se demande si elle croisera le Grand Lion du Périgord au cours de son passage éclair.

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Dragones

Dragones arrive devant les portes, salue Médée et se dirige vers le couvent en criant par dessus son épaule...

A lundi!!

[le couvent]

Dragones frappe sur la lourde porte et attend...une soeur apparrait

Bonjour, je suis Dragones...vous m'attendiez.

La soeur fit un signe a Dragones d'entrer en lui demandant de la suivre, ce qu'elle fit...

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Medee

médée vit passer non loin d'elle le sergent dragones...
elle la salua puis quitta son poste afin d'aller se preparer a la villa...
elle avait été invitée a un mariage...
apres cette longue journée de garde un bain et des vetements propre s'imposaient...

Muriperle

il était tôt et l'on pouvait voir les lueurs dans les habitations de Castillon...
Muriperle, nouveau Marchand Ambulant de la Teste de Buch s'avançait accompagnée de Saull, qui avait bien gentiment accepté de l'accompagner sur les routes...Elle était contente d'arriver enfin à destination et se demandait déjà quand pouvait elle trouver Dame Pumae pour pouvoir déposer le mandat que lui avait confié Fanta , la maire de sa ville...

pnj

sur la route de Bergerac à Castillon

Qu'est-ce qu'elle fout ? Elle aurait du revenir depuis longtemps ! Castillon, c'est pas le bout du monde ! Elle a manqué son coup ? Impossible ! Elle rate jamais... Elle a manqué à sa parole ? Non plus ! Elle tient toujours ses promesses... toutes ses promesses... Elle a oublié ? Je crois pas... depuis le temps qu'on est ensemble... Non... autre chose... qui la retient... Faut aller voir sur place !

C'est ce qu'elle se dit, Chloe, en marchant tranquille sur la route de Castillon, les yeux rivés sur l'horizon... Deux jours de marche, au plus, et elle finira bien par trouver...

pnj

Couvert de poussière, éreinté de fatigue, Puzz arrivait enfin à Castillon, tirant sur le harnais de ce maudit cheval, qui refusait d'avancer. Bestiole, aboyait, mordant les jarrets de l'étalon pour lui faire augmenter l'allure. Enfin, les lumières de la ville apparurent

Viens Bestiole, laissons là ce maudit canasson, j'ai hâte d'aller au moulin, vérifier si les rats n'ont pas dévorer tout le grain, ensuite nous irons écouter si le moulin à paroles à de nouvelles histoires à conter. Viens, nous voilà chez nous, enfin, on va se prendre une boulasse d'enfer!

pnj

sur la route de Bergerac à Castillon

Elle taille la route à grandes enjambées, dans ses bottes de peau, emmitouflée dans sa cape épaisse, sous la pluie qui la rince, mais c'est que de l'eau et elle s'en fout ! D'ailleurs elle sent même pas... Elle s'affale au pied d'un arbre et sort de son sac de quoi manger vite fait, un bout de pain, de jambon sec et elle repart aussi sec que le jambon... A cette allure, elle sera à Castillon demain, ou le jour d'après, au pire... et là, elle aura vite fait de trouver ce qui s'est passé...

pnj

en vue de Castillon

Alors c'est ça Castillon !? Des gros murs, des petites maisons à la pelle, une église... un village quoi ! Est-ce qu'elle a trouvé au moins ? Est-ce qu'elle l'a fait ? Est-ce que c'est terminé ? On va savoir...
C'est ça qu'elle se dit en passant les portes de la ville, avec son visage fermé, sa grande cape qui lui bat les mollets et son air de flotter sur le chemin, trempée par la dernière averse, plutôt que de marcher... Elle sourit un instant, puis le visage se referme... Elle va chercher à savoir...

Princekris

Princekris faisait son petit tour du soir habituel dans Castillon lorsqu il arrive devant la porte principale de la ville. Il monte sur les remparts et regarde au loin la campagne, les forêts. Une forte envie de départ le prend. Combien de temps allait il encore tenir à attendre Oups. Le vent fouette son visage et s engouffre dans sa chevelure donnant un air de capitaine à la proue de son navire. Il est temps pour lui de partir , il a soif de rencontres.

pnj

Arrivé aux limites de Castillon, Puzz fit arrêter son cheval, il se retourna et contempla Castillon endormie, la reverrait-il? Comment le dire, rien n'était moins sûr. Il regarda encore quelques instants, puis mis son cheval au galop et parti sans se retourner

Medee

médée s'installa non loin du chemin qui relié bergerac a castillon...
elle avait prit le temps de prendre une pomme et une bouteille de lait a la villa avant de partir...
elle s'adossa a un arbre et croqua dans sa golden tout en gardant un oeil sur la route...

Dragones

Le 16 Octobre de l'an 1456

Dragones arrive devant les portes de Castillon avec Ness…Elle avait fait ses au revoir, le cœur gros elle avance et franchit les portes…ce retourne et regarde Castillon…voila son deuxième voyage…

Castillon la belle, qui était devenu à ses yeux Castillon dans la brume…son amour de la ville était toujours bien présente mais elle avait besoin de cet éloignement pour retrouver sa belle Castillon…

La voilà avancent dans le froid de la nuit… ne ressentant pas le froid alentour tant l’émoi de son corps était encore présent en elle…

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Le 22 Octobre de l'an 1456

Dragones arrive en vue des portes de Castillon...Son cœur s'emballe...sa ville...sa vie...était devant elle...

Le soleil se lève et éclaire Castillon d'une belle lumière doré...elle a l'impression que la ville lui dit bienvenue a toi ma fille...te revoilà parmi les tiens...

Dragones franchit les portes les larmes aux yeux heureuse de retrouver cette amour de Castillon presque aussi pur qu'a son arrivé...
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Robinus70

Le 25 octobre à la nuit :

Ce soir là dans la nuit froide de l’automne, Robinne traversa le village.
Si jusqu'à ce jour, elle le parcourait avec joie et bonheur, ce soir là, le tableau de son âme était fait d’une seule valeur, le noir…
Ses petits yeux fouillaient l’espace du ciel, cherchant la guidance des étoiles, mais un voile humide troublait sa vue. Sur ces joues roulaient de grosses larmes.
Pour se donner force et courage elle avait emmené Popotine avec elle, sa compagne de toujours. Le pas lourd de la Montbéliarde guidait son humeur.
Elle serrait contre elle, comme un trésor, la chemise de Gawin, enfouissant son nez dans la toile de chanvre, cherchant l’odeur et la chaleur de l’homme qu’elle laissait là pour de longues semaines.
Dans les rues les tumultes de rires des tavernes lui parvenaient comme des échos renvoyés par les murs, les lueurs diffusaient joies et bonne humeur.
La nuit était froide et humide. Aspirant à grandes goulées l’air, elle cherchait l’énergie nécessaire au départ.
Un immense vide, l’emprisonnait comme une étreinte douloureuse et pénible, un étau broyait sa gorge et son cœur.
Elle se retourna croyant entendre un pas derrière elle. Un sourire fugace apparut sur son visage, alors qu’elle se retournait vivement, espérant le voir encore un instant, mais le sourire s’effaça rapidement….
Seul le vent faisait rouler quelques feuilles sur le chemin, Gawin devait être à l’étable…
*Marche ma fille, marche et avance tu as une mission à accomplir*
Ses épaules s’affaissèrent, secouées de soubresauts, elle mit un pas devant l’autre, serrant contre son cœur un morceau de toile, ce petit lien qui la ramènerait ici a ses côtés.
Son corps frissonna, son chagrin explosa, elle accéléra le pas, comme une fuite, comme une chute vertigineuse dans laquelle le vide l’absorbait. Elle passa les portes de la ville…

Eadulf

Ead arriva avec ses compagnons, Pacotille et La Faune. L'heure du concert approchait. Tirant leur chariot empli des instruments, ils entrèrent dans la ville.

Castillon n'avait pas changé!!! D'un pas rapide, Ead guida ses amis vers l'auberge de la ville

Seamus

Seamus et son amie arrivèrent enfin en vue de la cité dont on lui avait tant vanté les mérites.

Il s'arrêta un instant, intimidé.

Alors te voilà, belle Castillon murmura t'il comme à une amante ou à une amie très proche en regardant les murailles et les portes imposantes de la ville

Je ne chercherai pas à te prendre d'assaut, je nous laisserai nous découvrir à notre rythme.
Il était écrit que nous nous rencontrions, je me présente humblement à toi

Il regarda son amie et lui sourit, son esprit et son cœur étaient prêts

Je te suis lui dit il, comme toujours ajouta t'il pour lui même

Medee

médée, endormit contre son bel arbre fut reveillée par quelques voix inconnue...
elle se leva d'un bond et se mit sur la route...

HALTE Là !!!

devisageant les etrangers d'un oeil suspicieux elle dit :

bien le bonjour,
médée, douaniere de castillon...
je n'ai pas l'honneur de vous connaitre...
...vous etes ???

Seamus

Seamus s'arrêta et regarda la Dame plantée au milieu du chemin

Bonjour Dame Douanière,

Je vous présente mes respects

Je me nomme Seamus l'Irlandais et j'ai fait un long chemin pour venir admirer votre cité dont on m'a dit le plus grand bien.

Je m'y établirai peut être si l'on m'en donne le droit et si la ville correspond à mes attentes dit il en souriant

M'octroyez-vous le passage ?

Medee

médée observa l'homme pendant tout le temps où il lui parlait...
puis resta silencieuse quelques secondes...
... avant de repondre par un sourire

bienvenue a Castillon la belle, messire.
que votre sejour soit bon.

bonne fin de journée.

elle laissa le passage libre puis retourna s'affaler contre son arbre...

Seamus

Merci de votre accueil Dame Douanière

Votre travail est difficile et parfois ingrat et je vous souhaite bon courage pour le service que vous rendez à la communauté

Il sorti sa flute et ses doigts virevoltèrent quelques instants pour donner vie à un air joyeux en s'éloignant du lieu de la rencontre

Premier contact très sympathique se dit-il

Gaudali

En arrivant à la grande porte, GauDali descendit de cheval. Après avoir desseller sa monture, lui avoir flatté l'encolure et caressé le front, il lui dit à l'oreille :

Voilà l'endroit, mon beau Pégase fidèle compagnon. Nous voilà arrivé chez nous. Tu y seras heureux, enfin je nous le souhaite. Viens tu vas au pas et je marche, tu vas visiter les lieux.

Et GauDali sourit, quand il ne comprendra pas le langage des hommes, il pourra toujours leur répondre :

Oui, certes, j'en parlerai à mon cheval…

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"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."

France7804

France se présenta aux portes de Castillon accompagné de Paul, Elux et Lust pour raccompagner sa soeur Peluchette chez elle.

Elle était triste de quitter son village et ses amis, mais elle serait bientôt de retour.

Elle repris sa marche, car ils en avaient pour un long chemin, fallait pas trainer!
_________________

“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Solenn_wolback

Elle s'en voulait encore d'avoir raté le départ de la lance le jour précédent.
Idiote qu'elle était ! Cambronne lui avait répété deux fois qu'ils repartaient en début de soirée ! Deux fois!
Et non, elle n'avait rien trouvé de mieux à faire que de trainasser sur le marché, essayant de trouvé des présents pour ses amis. A ça elle en avait trouvé ! Mais elle avait été bien enquiquiné quand elle était arrivé au point de départ et que plus personne n'était là...
Elle avait passé la nuit dans un auberge et était reparti au petit matin, espérant ne pas faire de mauvaise rencontre ...
Elle n'en avait pas faites ! Ouf !
Castillon lui tendait les bras

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pnj

Voix rauque qui tombe de derrière.

On pose tout là ! Armes, bagages et surtout la bourse avec les jolies piécettes ! Et on trace sans se retourner ! Allez mignonne ! Comme ça, pas de bobo...

pnj

[ euh ... elle est partie de Castillon la Pumae ... elle pourra pas te répondre dans l'immédiat ... s'tu veux faire un p'tit RP sympathique, Takeo peut arriver, il s'ennui un peu, donc il se balade un peu dans le village voire les vers les portes

À toi de voir

]

pnj

[HRP : C'est bien ma veine ! Je saute sur un fantôme... MDR
Pas tout de suite ton tour Takeo, dsl pour deux raisons :
- pas d'effet de surprise... donc pas d'avantage...
- seule contre un vieux baroudeur une petite voleuse... Y a plus facile pour gagner sa vie sans risquer de la perdre... Tu crois pas ?

Ca veut pas dire qu'on se croisera pas, note bien... mais... pas comme ça...

]

Solenn_wolback

[mhhhh la pumae arrivait bien à Castillon si si !
seulement elle a vite filé à l'église (ah ces croyants

) et pour info porte l'épée et le bouclier

on peut relancer le RP si tu veux LJD Chloé]
_________________

pnj

Ben alors Takeo... c'est quoi tes infos bidon ? mdr
D'ac Pumae avec épée et bouclier... mais pas des yeux derrière la tête hein ?

Voix rauque qui tombe de derrière.

On pose tout là ! Armes, bagages et surtout la bourse avec les jolies piécettes ! Et on trace sans se retourner ! Allez mignonne ! Comme ça, pas de bobo...

Voyant la maigreur de la bourse, préfère se casser en pleurant de rire... Trouvera mieux ailleurs !

pnj

[ PFFF ... Pumae, joues donc le jeu, rhalalala ! J'protégeais ton jolie p'tit fessard :/ ]

Medee

médée marchait tranquillement sur le chemin...
la tête ailleurs... comme souvent...
elle n'avait pas croisé grand monde ces derniers jours...
et les rare personnes qu'elle avait vu n'etait pas tres bavarde...
...
elle repensa soudainement a l'invitation qu'elle avait reçu de son ancien sergent saberblue...
avait-elle le temps d'y repondre favorablement ???
elle ne le pensait pas...
entre la douane et son entretiens avec le "frere" griffes...
pas vraiment le temps...
de toute façon, pensa t'elle, il ne s'apercevront pas qu'elle n'etait pas presente...
de plus... l'invitation avait été faite alors qu'elle etait encore leur superieur hierarchique...
enfin bref...
peu de chance de la voir a ce mariage donc...

pnj

Puzz se tenait sur une colline avec Bestiole, il pouvait encore apercevoir Castillon au loin. Une dernière pensée pour ces quelques amis, il faudra qu'il leur explique, il enverra bestiole leur porter missive. Il prit son baluchon, siffla bestiole

Allez, viens, trouvons un village qui possède une place avec plein de monde et de rire, en route!

*silence*

Un peu grandie, un peu déçue aussi par le Royaume tel qu'il allait et par les autres tels qu'ils y vivaient, la petite vestale était devenue prêtresse maintenant... et quoi de plus logique quand on passe sa vie au service des Déesses ! Elle avait changé sa tunique de vestale pour la robe longue, tenait en main le bâton de commandement, signe de sa suprême autorité sur le Temple, avait adopté la coiffure des Ptolémées, mais restait malgré tout cela, une jeune fille de seize ans, simple et aimant par dessus tout la vie.
Elle avait quitté la Cité d'Eleusis et ses pas la portèrent à nouveau vers Castillon, le village qui l'avait vu naître...
Elle était suivie par deux jeunes filles qui portaient son bagage. Avant d'entrer dans la ville, elle s'assit au bord du chemin, sur un tronc abattu, et fit venir auprès d'elle la grande blonde aux yeux verts.

Electre s'il te plaît, viens auprès... Comme nous arrivons bientôt, il y a encore deux trois choses à expliquer.

Puis elle se tourna vers l'autre jeune fille en souriant.

Toi aussi Adrastée, viens auprès et porte un châle s'il te plait... me souvenais plus il fait si froid ici... Me demande comment ma Tite Soeur fait pour survivre dans un temps pareil !

--Electre

Elle posa le sac et fit comme avait demandé sa petite maîtresse, s'asseyant à ses pieds en souriant.

Oui Maîtresse... Electre écoute...

*silence*

Voilà Electre... quand nous serons arrivées à la Villa, tu entreras au service de ma Tite Soeur, Médée. Elle sera ta nouvelle maîtresse et tu la serviras en tout, sans jamais la décevoir, comme tu as fait pour moi jusqu'alors... Silence a toujours été satisfaite de tes services, toujours et pour tout... Pour ça que tu serviras désormais ma Tite Soeur et tu écouteras bien ses désirs comme tu as su écouter les miens. Tu verras, tu seras bien dans notre Villa... C'est entendu Electre ?

*silence*

Silence caressa doucement les cheveux de la blonde, comme pour la rassurer.

pnj

adrastée se couvrit, c'est vrai qu'il ne fesait pas chaud par ici.
la pretresse parlait, elle l'ecouta silencieusement.

--Electre

Elle acquiesça de la tête en souriant, balançant ses longs cheveux dorés, qui descendaient sur sa tunique blanche, plus bas encore que ses reins gracieusement cambrés.

Oui Maîtresse... Electre a compris et fera comme tu ordonnes...

*silence*

Silence se tourna vers Adrastée, en riant.

Adrastée s'il te plait ! Pour Silence un châle... et viens t'assoir auprès un peu toi aussi... On a bien marché là... On peut souffler un coup...

pnj

adrastée avait du mal a comprendre certaines phrases de sa nouvelle maitresse.

excusez moi maitresse,
je suis confuse.

elle lui apporta un châle, tout en baissant la tête.
ce nouveau service s'annonçait plutôt rocambolesque.

elle prit place au côté d'electre.

*silence*

Silence avait acheté Electre sur le chemin d'Eleusis au Royaume, à un marchand d'esclaves sarrasin de la côte. La grande jeune fille blonde était d'origine slave et ne parlait pas un mot de la langue du Royaume, mais elle avait tout de suite plu à Silence qui s'était empressée de l'acheter, d'abord pour elle-même... puis pour sa petite soeur chérie, tellement elle la trouvait agréable à regarder et serviable.
Elle avait eu soin de la rebaptiser, comme elle n'arrivait pas à prononcer son nom, de lui apprendre un peu la langue, et de la former à son propre service, ce qui serait sûrement du goût de sa Tite Soeur.

Silence sourit de la confusion et referma le châle sur sa jolie peau dorée.

Merci Adrastée... C'est vrai faut s'habituer comme Silence parle pas toujours bien... mais tu verras on arrive... Electre est arrivée aussi... On sera bien à la Villa tu verras... Moi suis pas compliquée... Un peu le bain, la toilette, la coiffure, le parfum, le massage, l'habillage, les courses, le repas, un peu de linge propre, la chambre propre, et... causer aussi... Rien de compliqué !

pnj

adrastée sourit a sa maitresse.
il lui tardait d'arriver enfin a la villa dont elle avait tant entendu parler.

--Electre

La grande fille musclée releva la tête vers sa maîtresse, un peu soucieuse.

Dis Maîtresse... avec la nouvelle Maîtresse, Electre fait tout comme avec toi ?

*silence*

Silence eut l'air de réfléchir, puis sourit en rougissant, lui caressant la joue.

Tout... euuuuuuh... nan... nan nan... peut-être pas... Electre, si tu ne sais pas tu demandes... comme ça tu es sûre d'être agréable et bien faire...

Silence se leva, encore toute rouge, et fit signe aux filles de la suivre.

Adrastée ! Electre ! Suivez-moi... Direction la Villa !

Tout en marchant, elle se retourna vers Adrastée, avec un adorable sourire d'ange.

Ah ! Silence oubliait ! Une fois à la Villa, Adrastée, cela ferait plaisir d'avoir un bain parfumé... de pouvoir être belle... avec une robe propre... d'avoir une chambre aérée et propre aussi... s'il te plait...

Seamus

Seamus passa les portes et regarda l'horizon

Bientôt se promit il, bientôt nous nous rencontrerons, Monde

Frah

Enfin , elle arrivait aux porte de Castillon....cela était pas trop tot !!!
Elle allait pouvoir découvrir la ville...
On lui en avait tellement parler...
Posant son baluchon elle regarda....
_________________
*La confiance est une chose rare....*

Solenn_wolback

Nouveau départ pour Pumae. Son baluchon sur le dos elle s'éloigna à regret de Castillon
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Kahhlan

Sur la butte ...Kah regardait son amie partir ...
Elle soupira encore et était d'humeur si grinche ...
elle lui cria avant qu'elle ne passe le virage ...

Reviens vite Pumae !!!!!!!!!!!!!!!!!
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Frah

Son sac sur l’épaule, elle avançait…
Se retournant encore une fois pour regarder Castillon de là.
Elle y avait passé de bon moment en taverne, rencontrer des personnes sympathiques…
Frah ne devait pas s’attacher…non illusion encore…

Elle repartie sur la route seule cette fois ci, ses amies restant encore…
Qui sais ce qu’il l’attendait cette nuit…

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*La confiance est une chose rare....*

Seamus

Seamus s'avance vers la porte, ses possessions sont maigres, encore plus qu'avant

Mais il sourit, demain, il fera jour se dit il, et en ce jour nouveau, j'espère faire partager un peu de ce que j'ai trouvé ici à tous

Il inspire profondément et jette un dernier regard en arrière sur la ville perdue dans la brume matinale et lâche ses seuls mots de latin

Alea jacta est, le sort en est jeté

Il se retourne et s'enfonce dans la forêt vers l'inconnu

Seamus

En arrivant sous les arbres, Cabotine gémit et Seamus luis redonna son doigt à téter

Seamus resserra les pans de son manteau autour d'elle et se retournant à demi, il aperçu une silhouette se détacher sur le ciel matinal et se dit qu'il laissait un pan de sa vie de côté mais qu'il ne pouvait pas faire demi tour maintenant ou il ne partirait jamais

Il prit un pas décidé et commença sa route

pnj

Le jour se lève sur Castillon et au sommet de la colline qui surplombe la ville, dans les rayons d'or de l'astre du jour qui entame sa course, émergeant des pâles brouillards matinaux, la silhouette irréelle d'un étrange cavalier de métal, paraissant surgir d'un autre âge, lance en main et bouclier au côté, sur son étalon noir, se découpe sur l'horizon brumeux.
Il se tient immobile, semblant observer, surveiller, attendre...

pnj

Un paysan, en vêtements loqueteux, âgé d'une trentaine d'années environ, arriva en tirant une charrette à bras, sur laquelle étaient déposées quelques maigres affaires en vrac, au milieu desquelles trônait une vieille desséchée, emmitouflée dans une sorte de pelisse en peaux de chats.

A la porte de la ville il se présenta :

Le salut-Dieu à vous, gens du guet ! Je m'appelle Honhon, fils de Honhon l'Ancien, écorcheur de chats réputé dans tout le Périgord et même au dela !

Nous arrivons de Glissay sur l'Agadoue, charmant petit village situé à quelques lieues au nord d'ici, mais qui offre bien peu de perspectives d'avenir pour un jeune homme entreprenant tel que moi.
Je viens donc m'établir en ville, espérant y trouver de l'ouvrage, et un digne lieu de vie pour ma pauvre mère... - Il jeta un rapide coup d'oeil à l'ancêtre, et continua à voix basse - afin que ses derniers jours... lui soient moins pénibles.

Medee

médée avachit a son poste de douane vit un homme, accompagné d'une vieille dame s'avancer vers elle...
elle se redressa, tapota un peu sur son uniforme pour lui donner une forme correct...
elle s'apprêter a crier son fameux "HALTE Là !!!"...
mais l'homme fut plus rapide qu'elle...
il se mit a parler et parler...
assurement l'homme n'avait pas dû croiser grand monde lors de son voyage...
...
elle l'ecouta patiemment, d'une oreille distraite a certain moment...

bien bien, messire !!!
vous pouvez entrer...

pnj

Le cavalier releva la tête, regardant le soleil en face, comme l'aigle haut dans le ciel.

«Mourir au premier rang, lutter pour la patrie,
C'est le sort le plus beau digne d'un bon guerrier !"

Puis cabrant sa monture et brandissant sa lance, il exulta.

Nikaiiiiiiiiiiiiiia !

Il piqua des deux et dévala d'une traite la colline, emporté dans le fracas des sabots qui martelaient lourdement le sol, le nuage de poussière qu'il faisait lever tout autour, le balancement régulier de l'étalon noir, son souffle haletant et le ronflement profond des naseaux, et fondit comme un rapace sur les portes, bousculant au passage une sorte d'esclave barbare qui traînait une charrette, tournant autour de celle qui semblait garder l'entrée en la fixant de son regard noir, son cheval piaffant et suant sans jamais cesser, tandis qu'il abaissait sa lance.

Salut Gardienne ! Alessandros est mon nom !

Medee

médée vit s'approcher un cavalier...
il avait l'air de vouloir faire son interessant...
...

Salut Gardienne ! Alessandros est mon nom !

elle le fixa avant de dire

bien...
je peux faire quelque chose pour vous ???

pour le moment elle n'avait pas envie d'être aimable avec cet etranger...

pnj

Le cavalier continuait de caracoler autour de cette femme, la fixant toujours de son regard noir.

Je dois passer ! Je viens rencontrer ceux d'Eleusis ! J'apporte mon bras armé et ma volonté pour les servir !

Medee

quoi ???
c'est quoi encore cette histoire ???

je fait partie des compagnons d'eleusis...
et je ne pense pas que nous ayons besoin "de bras armé" ici...
...
qui vous envoi ???

pnj

Le cavalier sourit.

Heureuse rencontre ! Tu as mon salut et mon respect, Gardienne ! Personne ne m'envoie... Je viens de mon propre chef, conformément à l'annonce que j'ai lue sur la Gargote et la Halle... Je viens me présenter à Silence ou Médée...

Medee

médée leva les yeux en ciel...
mais qu'avait elle fait aux déesses pour meriter ça ???
elle avait pas assez de choses a gerer en ce moment peut être...
pfff...
...

bon... ecoutez...
déjà je ne suis point gardienne... mais douaniere...
par contre j'ai un gardien... et si ça vous dit vous pourrez faire sa rencontre en notre cité d'Eleusis...
ça vous dis ???
...
je ne suis absolument pas au courant du papier que vous me dite avoir lu...
et etant a la tête du temple celà me semble plus qu'etrange...
...
ah oui...
j'oubliais...
je suis médée...
...
et pour le moment je n'ai pas vraiment envie de vous laisser entrer a Castillon...
je ne vous connais pas...
vous dites venir apres lecture d'un papier venant du temple qui pour moi n'existe pas...
non... et non...
il va me falloir plus que ça pour vous autoriser a penetrer ce village qui est le mien...

pnj

Il cabra son étalon et regarda avec perplexité celle qui prétendait être Médée et n'était pas au courant des annonces d'Eleusis.

Médée... enfin à ce que vous prétendez... me prendriez-vous pour un menteur ou pour un imbécile ? Comment serais-je là sans votre annonce... Mais vous semblez si peu au courant de tout cela que je finis par douter de votre prétendue identité ! Médée ne serait pas au courant des annonces qu'elle a fait afficher il y a de cela quelques mois... Vous plaisantez je gage ?

Medee

le v'là maintenant qu'il lui parlait de papiers affiché il y a quelques mois...
elle pfoufa...

vous me fatiguez là...
nous n'avons, et je n'ai, jamais demandé par affiche ou je ne sais trop quoi, de bras armé...
si c'est notre philosophie de vie qui vous interesse alors soit...
mais si c'est guerroyer ou je ne sais trop quoi...
passer votre route...

pnj

Un papyrus se déroula brusquement sous son nez

Cela vous dit quelque chose peut-être ?

Medee

roooh non... il avait une preuve le cochon...
il allait falloir se le coltiner...
pfff...

oui...
oui... bien sûr que ça me dit quelque chose...
mais...
avez vous suivit le protocole ???
je ne le crois pas...
...
vous n'avez pas envoyé de courrier...
sinon j'en aurez eu connaissance...
vous ne vous etes pas non plus presenté a notre temple [HRP sur le forum secondaire des RR]
donc vous n'avez rien a faire là...
je ne vous connait pas...
et ne peut vous autoriser a entrée... en plus avec comme faire valoir un hypothetique lien avec les compagnons...
non... de non...

pnj

Il cabra à nouveau son étalon en volte et déclara.

Que cela soit entendu, Médée ou qui que vous soyez, nous nous trouverons bientôt à nouveau !

Puis il piqua des deux et repartit au galop, remontant la colline qu'il avait dévalée et disparaissant derrière l'horizon.

Medee

médée n'etait pas mecontente de s'être debarrassé de cette brute...
...
elle le regarda s'eloigner, prit une pomme dans sa besace et croqua avec force dans celle-ci...
puis dit en machouillant...

ouais ché cha !!!
a bientôch !!

Opusone

Bonjour gens de Castillon.
Notre groupe s'est présenté à la porte de la ville. Sibille la guide et son fils Win, l'ânesse Caprice et le chien Barack et votre serviteur Opus, grand-père et père adoptif de Win. Nous arrivons de Bergerac, mais nous sommes parti du BA il y a de nombreuses semaines. Notre pélerinage nous amène ici pour un ou quelques jours. Bientôt nous repartirons, heureux d'avoir découvert votre cité.

Sibille

Sibille arrive juste après Opus et sourit de l'entendre déclamer fièrement une tirade sur leur petit groupe, mais cela pourrait être difficile à comprendre. Grand-père et père, un âne, un chien... Alors elle rajouta tranquillement lui prenant la main.

Bonjour je me nomme Sibille meunière de Montluçon en BA et voici mon fils Winbill dans son petit couffin sur le dos de l'ânesse. Mon compagnon de voyage Opus a sû conquérir mon coeur et c'est ainsi qu'il est devenu son père adoptif. Peut-être que si nous vous rencontrons en taverne, nous vous expliquerons les détails qui vous éclaireront.

Elle se tourna vers Opus et l'embrassa tendrement et reprenant le licol de Caprice, entra plus avant dans la ville.

Medee

médée observa et ecouta les nouveaux arrivants...
ne leur trouvant rien de suspect elle se decala du chemin afin de les laisser entrer dans le village...

bon sejour chez nous...

pnj

Un nouveau jour se lève et les premiers rayons du soleil dissipent peu à peu les brouillards nocturnes, laissant paraître une sombre masse en travers du chemin, juste devant les portes de la ville. C'est un corps, enveloppé dans une cape sombre... une jeune fille... autour d'elle de fines lames éparpillées... un sac de toile qui a répandu quelques plats et couverts argentés, des bijoux, une bouteille de vin brisée... du sang... beaucoup de sang... le corps est comme lacéré... et les blessures sont profondes... Elle ne bouge plus... ne respire plus... Elle est morte.

{La_vouivre}

...

Nabeille

C'est avec un grand plaisir que Nabeille s'arrêta un instant pour contempler à quelque distance son village.

Enfin de retour ! Cet exil un peu forcé m'a permis de me rendre compte combien Castillon m'est cher ... Bon, encore quelques minutes et je retrouverai ces rues qui m'ont tant manquées ...

Puis prenant la main de GauDali dans la sienne :

Allons prendre des nouvelles de nos amis et des derniers évènements !

C'est en riant qu'elle se hâta de se rapprocher des portes de la ville.
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[Pour le RP en cours, cliquez sur la bannière]

Kathien

Kathien arriva de Bergerac un peu échevelée étant partie seule elle avait bien du courage se dit-elle.

Il était grand temps qu'elle revienne pour s'occupée de ses champs!

Surtout pour revoir ses amis qui lui était cher... Barbeblues....et ses amis de taverne.

Elle rentra tard dans la nuit et alla chez elle car il était passé pour la voir mais hélas elle était déjà partie. Elle se dit qu'elle prendrait une chance d'allé voir à son échope. C'est ce qu'elle fit en courant de retour à Casti!

Kathien

Kathien aussitôt revenue à Castillon du repartir vers Bergerac!! Elle se dit qu'elle n'avait pas bien le temps d'aller en taverne mais bon il fallait qu'elle poursuivre cette mission pour la 3ième fois elle retournait à Bergerac rejoindre Dragones sa meilleure amie!

Dragones

La marche du groupe se fit rapide, tous était plus ou moins impatient d’arriver à Castillon.
La nuit était fraiche mais la conversation allait bon train pour se tenir éveiller…

L’aube arrive enfin et avec elle la vue de Castillon, leur ville enfin, elle brillait ou était ce
du à son imagination, Dragones n’aurait pu le dire.

Les voilà de retour tous entiers, la joie se lisait dans le regard de Dragones mais il y avait
une légère tristesse la tout au fond… On dit que les batailles change les gens...elle était parti
de Bergerac laissant derrières elle des blessés, de nouveaux amis…
Ses compagnons de voyage avaient poursuivi leur approche…les rattrapes et ensembles entre
dans Castillon et tous s’arrête la…pas un mot, pas un son puis léger rire et embrassade, chacun
allant de leur coté se promettant de se voir en taverne…
_________________

Kathien

Kathien étant revenu de Bergerac le coeur léger était bien contente de revoir ses amis à la taverne. Et elle se dit qu'il serait merveilleux de revoir son cher Barbeblues! Ah qu'il ferait bon de rentrer à la maison avec le souvenir de ces longs voyages en vitesse pour défendre la ville de Bergerac. A son grand étonnement le dernier voyage fut court et des plus agréable car elle revenue avec Dragones et les autres, elle se dit mission accomplie cette fois serait la bonne elle pourrait rester dans son pays natale à sa grande joie!

Isabel_de_mendoza

La petite Isabel se mit sur les pointes des pieds pour être bien vue…

Bonjour Dame la Dounaière, je voulais vous signaler que nous sommes 5 amis de Bergerac qui venons rendre visite à nos amis castillonais avec le seul but d’envahir les tavernes et de vous remercier encore de votre aide dans ces jours si durs…

Elle pointa du doigt chaqu’un de ses amis…

Ce grand garçon brun est Eadulf, sergent , garde de Bergerac et éleveur de gruiks
Le blond à la barbichette c’est notre « comositeur », le doux La_Faune
La petite blonde est Frengonde2, nouvelle arrivée de Bergerac.
La rouquinne c’est Pacotille, tisserande, animatrice et ma meilleure amie
Et moi-même, Isabel, pluri employée et pochtronne.
Nous siégerons chez messire Mordock, pourriez vous nous indiquer la route ?
_________________

Eadulf

Ead et Lafaune avaient arrêté la chariotte devant la porte de la ville. Isa était descendue déclarer notre arrivée.

Citation:

Nous siégerons chez messire Mordock, pourriez vous nous indiquer la route ?

Il échangea un regard avec Lafaune

Euh, Isa, tu fais ce que tu veux, mais nous, c'est une binouze en taverne!!!
Vous êtes adorables toutes les trois, mais bon, il fait chaud à tirer cet engin de malheur!!!!

Seamus

Seamus se promenait hors des murs et aperçu de la poussière sur la route

Étant à la milice aujourd'hui, il décida d'aller voir ; depuis la tentative de révolte d'hier, il préférait prévenir que guérir

Il reconnu quelques silhouettes de loin et alla les saluer

Il s'approcha en souriant

Bonjour et bienvenue à Castillon
Isabel, estoy encantado
La_Faune, c'est un plaisir de vous recroiser ici
Dames et messire, venez vite vous réchauffer

Il les guida sur quelques mètres et les laissa découvrir les lieux par eux mêmes

Au plaisir

pnj

En entendant Eadulf, Frenegonde éclata de rire, elle avait cru pendant tout le voyage que c'était des boeufs qui tiraient la chariotte !!!

Bien le bonjour à vous Castillonais, je me nomme Frenegonde, nouvelle habitante de Bergerac !
Au plaisir de vous rencontrer en taverne !

Frenegonde sourit et suivit ses amis...

Isabel_de_mendoza

Citation:

Euh, Isa, tu fais ce que tu veux, mais nous, c'est une binouze en taverne!!!
Vous êtes adorables toutes les trois, mais bon, il fait chaud à tirer cet engin de malheur!!!!

Â l’écoute du mot magique, Isabel oublia toutes ses bonnes résolutions.
Tu as raison cerdito, Je crois que Mordock ne prendra pas à mal si l’on arrive chez lui un peu plus tard. Faut reconnaitre que ronfler toute la nuit sa sèche la gorge.

En relevant un peu se jupe, Isabel fit une révérence à Madame la Douanière, à Seamus qui passait par là et sauta dans la carriole en songeant déjà à la cervoise qui allait couler à flots….
_________________

Kahhlan

Il faisait froid et humide ce matin ..
Kah s'était posté à la porte de Castillon depuis l'aube ...emmitouflée dans sa cape au capuchon fourré ne laissant entrevoir que le bout de son nez et ses yeux que le froid faisait larmoyer ...elle attendait là .....

Elle faisait les cents pas pour ne pas geler sur place en ruminant encore contre sa stupidité .... elle n'était pas prête d'oublier la vilénie de certaines gens ..mais pas si sur qu'elle ne se laisserait pas encore piéger ...
Pester l'empêchait de trop penser ma foi ...

Oh vu qu'ils arrivent sans encombre ....
Elle cherchait du regard ...la silhouette de son amie ...même attifée comme on peut l'être après un si long voyage ..elle la reconnaîtrait entre mil ....
Elle sourit en se remémorant ... Anne ma soeur Anne ne vois tu rien venir ...

son visage s'illumina et elle se mit à courir ....

Rob............................ine !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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pnj

Il suivait tranquillement sa marraine adoré. Pour la fin du voyage, pour faire grand, il était descendu du canasson de Robinne et fait la fin du voyage à pied. Bon bon bon... ça faisait un peu mal sans chausse... Pas grave...

Il faisait bien attention à Bestiole, la plus moche bête de toutes celles qu'il avait rencontré. Mais fallait la garder... Pour Gawin ! Encore un type dingue qui sait pas à quoi il s'attend. La bonne nouvelle c'est qu'il habitera pas avec lui. Ouf ! Plus de chien puant pour dormir ! Quelle bonne nouvelle !

On voyait les portes de Castillon ça y est :

Tiens ! Ya quelqu'un qui court là-bas... Tu crois que c'est la défense de Castillon ? Qui se défend contre les brigands ?

Ah non ! On attendit bien un "Robinne" :

Mais t'es connue dis donc !! Hé hé ! Trop féminin pour être Gawin je crois. Faudrait peut-être que tu descendes de cheval là. Elle va pas réussir à te sauter dans les bras sinon... Et aussi ! Fait gaffe à Bestiole. Elle va se faire bouffer sinon.
Oui oui... je suis une vraie mère pour toi. Tu peux le dire !

Amaniu éclata alors de rire ! (Oui il s'appelait Amaniu... j'avais oublié désolé). Puis commença à sauter partout, à danser, à chanter :

On est arrivé ! on est arrivé ! on est arrivé !!! Bon... Elle est où ta taverne !! J'ai soif !

Il regarda Robinne :

Trop jeune moi ?

Robinus70

Enfin, les portes de Castillon, un mélange de craintes de bonheur et de joie se mêlaient dans la tête de Robinne.
Son fillot Amaniu dansait de joie en passant les lourdes portes, il avait l'insouciance et la joie de son jeune âge.
Le comtois continuait a pas lent, Popotine derrière portant bois, farine, viande, et poissons. Amaniu surveillait d'un oeil Bestiole.
Soudain une silhouette apparu au loin agitant les bras craint son prénom.
KAHHLANNNNNNNN

Robinne sauta de cheval et alla sauter dans ses bras de bonheur. Elle lui présenta son fillot qui réclamait déjà une chope.

Hélas Amaniu pas pour moi aujourd'hui, je dois aller décharger Popotine, et me précipiter au fournil que nous puissions manger.
Kahhlan ? puis je te confier mon fillot ?
Je vais vite décharger tout celà et vous rejoins dès que possible..

Elle les embrassa chaleureusement tous les deux, adressa un clin d'oeil à Amanui, et fila aux bleuets où d'autres taches l'attendaient.

pnj

Puis-je te confier mon fillot ?

Amaniu regarda Robinne deux secondes :

Tu rigoles ? non je vais me débrouiller ! Ce soir je suis chez toi t'inquiètes ! Je suis sûr tout le monde te connait... Ce sera pas dur pour trouver le chemin ! Hé hé !

Puis il partit en courant s'engouffrer dans les rues étroites du super beau village de Castillon... A la recherche d'un seul endroit très important à ses yeux.
1h après avoir cherché en vain, il interpella une très joli jeune dame, trop vieille pour lui malheureusement... Mais bon on peut pas tout avoir :

'Scusez, vous savez pas par où c'est pour la soule ici ?

La dame grimaça, beaucoup moins jolie d'un coup... Elle voulut dire quelque chose mais Amaniu la coupa :

Vous savez pas ? Tant pis je vais trouver quelqu'un d'autre :

Puis il repartit en courant, et trouva un gros balourds... beaucoup moins séduisant pour le coup... Mais il y avait plus de chance de trouver ce qu'il veut avec lui :

- Le bureau de soule ? Alors vous prenez le rue là, puis ensuite à droite, puis.... etc...

- OK merci m'sieur.

Kahhlan

A peine les embrassades terminées... Robinne pressée par ses tâches ....

Le fillot était déjà envolé

Oups .........................................................

Bin ça alors

tu parles d'un fillot quelle m'a confié

Rooooo le sagripant de garnement de bourri de !!!!!

Va m'entendre quand je vais le retrouver

Elle piqua des talons à son tour se promettant de quelques leçons au polisson ...
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pnj

[Après une année d'inactivité je suis de retour pardon à mes amis que j'ai connu et que j'ai abandonné soudainement.]

Il faisait jour, un matin d'hivers, froid et neigeux, un peu de brouillard était tombé sur la contrée. Cela faisait fort longtemps qu'elle n'était pas venue proche de la civilisation, elle ne s'était réveillée qu'il n'y a peu, nue, au plus profond de la forêt, dans une grotte. Elle avait erré et survécue pendant ce temps ne se souvenant de rien à part de ce qu'elle était et de certains gouts, certaines habitude qu'elle avait eut dans le passé.
Elle revint après longtemps dans la ville à Castillon, retrouver sa demeure qu'elle avait presque oublié, elle se souvenait de l'emplacement, retrouva sa boucherie et son champ en jachère. Elle en sourit entra sans se faire remarqué n'ayant pour seul vêtement alors qu'un drap abimé qu'elle avait trouvé.
Elle murmura en sa langue natale qu'elle n'avait jamais oublié, quelques mots: "tadaima..." un sourire affiché au lèvre elle était de retour. Peut-être pour longtemps, peut-être pour peu de temps, elle n'avait plus grand chose chez elle et devait se reconstruire... reconstituer sa mémoire peut-être en retrouvant ses anciens compagnons qu'elle a malheureusement oublié, ou presque. Elle ne se souvient que d'une jeune femme qui l'appelait "Oiseau" sans se souvenir du nom de cette douce personne.

C'est ainsi que Michiyo revint en Castillon, inconnu de beaucoup, oublié peut-être aussi. Elle n'en voudrait à personne et si elle ne retrouvait pas la mémoire elle se débrouillerait pour se construire une nouvelle vie.
Michiyo fut discrète pour son retour, caché par le brouillard épais sur la ville personne ne l'avait remarqué, elle allait se réinstaller avant de faire un tour en taverne et peut-être aussi de se balader dans les rues.

Dragones

A peine arrivé et les voilà déjà reparti…

Dragones accompagné jusqu’au porte de Castillon Dea et Lae…

Promesse de se revoir chez l’un et promesse de l’autre de revenir…
Sourire aux lèvres malgré la tristesse du départ pour eux et de la tristesse pour elle de les voir partir…
Embrassade et accolade et les voilà s’éloignant retournant a Marmande…

Elle reste la a les observé s’éloigner…resserre le châle sur ses épaules et s’enfonce dans les rues de Castillon…
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Opusone

Opus accompagné de Sibille, du petit Winbill juché sur l'ânesse Caprice et de son chien Barack franchit les portes de Castillon.

Après plusieurs semaines passées ici, il était temps de continuer le voyage.
Castillon avait été une belle découverte, la plus belle du voyage commencé fin août. Ils y avaient rencontrés des castillonais chaleureux et accueillant. Ils y avaient vécu de belle aventures. Ils avaient découvert une halle animée par des habitants plein d'imagination et d'humour.

MERCI A TOUTES ET A TOUS !!! ON SE REVERRA CERTAINEMENT ENCORE EN 1457.
QU'ARISTOTE VOUS GARDE !!!

Sibille

Sibille avait passé un dernier moment avec ses amis et s'était mis en route auprès de son tendre compagnon Opusone, de son chien et de l'ânesse qui portait maintenant bien assis son fils Winbill.

Allons-y tendre amour, après nous n'aurons plus le courage, je crois que je me suis attachée ici... Que de beaux souvenirs, une baignade, une fête, la cuisine avec toi, la bataille de neige...

Sa voix s'estompa au fur et à mesure qu'ils avançaient.

pnj

C'est avec tristesse que Honhon regarda s'éloigner la petite famille ; vrai qu'à cause de la tyrannie... de l'état de santé de sa pauvre mère, je veux dire, il n'avait pas réellement pu partager avec eux comme il l'aurait souhaité.

C'est cependant le coeur léger qu'il accueillit l'annonce de leur probable retour.

Il eut l'idée d'agiter son mouchoir pour leur faire signe... mais comme avec les rigueurs du climat il avait chopé un bon rhube, il préféra remettre rapidement l'objet dans sa poche après l'avoir déployé...

Seamus

Seamus arriva trop tard aux portes pour les derniers adieux, le réveil avait été trop dur

Il apercevait dans le lointain la neige qui volait en tourbillon derrière le petit groupe.

Le tonton sourit en repensant à la soirée de la veille... Un bon moment oui

Il allait rentrer lorsqu'il vit Honhon

Je vous souhaite bien le bonjour messire dit il en souriant avant de retourner doucement vers la ville

Seamus

Seamus passa les portes et s'aventura hors des murs.

Il signala aux gardes en faction qu'il allait chercher des plantes médicinales, mais il allait aussi à la recherche d'une amie

Chemin faisant, il récolta des écorces de Bouleau, de Frêne et en voyant des Chênes il en profita pour ramasser également leur mousse
Les forêts de Castillons étaient verdoyantes et l'humidité ambiante leur donnait une odeur unique

Il avisa des Violettes sur le bord du chemin et s'en approcha.
Il en cueillit quelques poignées et remarqua enfin une trace...

Un loup était passé par là, mais la trace était sèche depuis longtemps avant qu'il ne se mette à pleuvoir

Il reprit espoir en même temps que la route ; encore deux heures avant de déjeuner, il lui restait un peu de temps

Il parcourir tous les chemins et les pistes qu'ils pratiquaient ensemble par le passé, mais ne trouva que peu de traces, encore moins de traces fraiches

Dépité, il fit demi tour

--Wolfen

Il était a l affût depuis un bon moment quand il vit une forme se profiler se plier vers terre !
il huma l air et sentit quelque chose d indéfinissable mais connu en meme temps il allait montrer les crocs quand la pluie se mit a tomber et vit la forme s en aller Il décida de la suivre son instinct de male dominant lui disctait de le suivre il va le conduire il le faut quitte à en mourrir !
Mais il faut qu il sache il le suivit tout en se profilant dans les moindres recoins en restant sur ses gardes

--Dalen

L'homme était arrivé depuis peu dans le village.

Il errait depuis des semaines sur les routes et vivait de peu.

Exilé, il faisait son possible pour subvenir à ses besoins, mais trop épuisé pour faire mieux, il survivait plus qu'il ne vivait... Il n'en pouvait plus de cette existence là.

Il aperçu enfin les portes de cette cité dont on lui avait tant vanté les mérites.

Il s'attendait à rencontrer des soucis avec la douane ou la garde, on aimait peu les vagabonds de nos jours, mais son espoir le poussait de l'avant

Le soleil était encore haut cet après-midi, mais le vent et l'humidité avaient presque eu raison de lui

Une fois de plus, il fit le compte de ses maigres possessions et espéra sans grand espoir qu'il pourrait trouver du travail et une salle commune ou au moins une écurie au sec pour se reposer

C'est les épaules basses, mais l'espoir le portant qu'il passa les portes de la ville

--Cabotine

La louve allait passer la porte lorsqu'un lapin passa à sa portée
Était-elle devenue une ombre que même ses proies ne la remarquent pas ?

Elle fit un bond puissant, l'attrapa par la nuque, et d'un mouvement la lui brisa

Elle le dévora sur place, affamée qu'elle était

Elle allait repartir lorsqu'elle senti de nouveau cette odeur autrefois remarquée

On était entré sur son territoire en son absence ; et c'était récent

Son esprit se vida, blessure, faim, tout cela disparu : son instinct reprenait le dessus

Elle marqua de nouveau son passage et fila

Robinus70

Robinne arriva à Castillon, derrière elle un petit homme laid et coquin, une sorte de conscience noire ….
Il ne cessait de lui parler, et elle répondait à peine.

Foutre : Dis tu vas fêter ça dans le pétrin ?
Robinne : Hum ?
Foutre : Non mais tu sais Mordock m’a promis de venir regarder derrière ta fenêtre.
Robinne : ça ne m’étonne pas ….
Foutre : Si ça se trouve ton Gawin il s’en fiche !
Robinne : n’importe quoi !
Foutre : Il a peut être trouvé quelqu’un d’autre.
Robinne : t’as pas une autre chanson ?
Foutre : Elle te plait pas ?
Robinne : Nan elle est trop courrante, trop classique !
Foutre : ahhhhhh parce que Mâdame fait dans l’originalité ?
Robinne : ouep
Foutre : T’as l’air d’un bisounours à l’espérer comme ça ton éleveur de cochons !
Robinne : tais toi t’y connais rien !
Foutre : T’es vexée ?
Robinne : …..
Foutre : allez boude pas regarde, y a deux grands bras qui s’ouvrent.
Robinne : bon ben alors tu me laisse dac ?
Foutre : pffffff jamais le droit de voir ton coté croustillant !
Robinne : Ben non c’est privé ces affaires là !
Foutre : bon ben salut j’vais voir Mordock…
Robinne : Salut Foutre !

*silence*

Voilà ! C'était fait ! Elles s'en allaient vers ailleurs... vers le soleil... vers la chaleur... vers la lumière... vers la douceur de vivre... vers la terre de Silence...
Deux filles se tenant par la main, menant un petit âne blanc bien chargé, en route vers Bordeaux, le port où embarquer pour la Cité...
Deux amoureuses rescapées d'un naufrage... alors que d'autres devaient encore se débattre dans la tempête qu'elles avaient déchaînée, sans vraiment le savoir...
et qui avaient tout de même eut encore la force de tendre la main à qui voudrait bien la saisir...
Silence baissait la tête en traversant le village, ne sachant plus même interpréter les sourires et les signes que faisaient les villageois sur leur passage... Soulagement ? Regret ? Ironie ? Dégoût ? Jalousie ? Dépit ? Compassion ? Non ! Elle ne comprenait plus... ce qu'il y avait derrière les masques... Tout avait changé si vite ! Les regards, les paroles, les gestes... sur elles... et c'est pour cela aussi qu'elles allaient ailleurs... Pour elles ! Pour les autres ! Comme elle avait hâte, Silence ! Hâte que tout cela soit derrière, loin derrière elles !
Pour la première fois de sa vie, Silence ne releva pas la tête, ne se retourna pas, en passant les portes de la ville. Elle accéléra même le pas, tirant comme elle pouvait la corde de l'âne qui ne comprenait pas, serra davantage la main d'Ulayha, fermant douloureusement les yeux, pour qu'on ne vit pas comme ils brillaient, murmurant entre ses lèvres serrées.

Fais comme moi, mon amour... Regarde pas... Entends pas... Dis rien... Va tout droit... tout droit... Te tourne pas... On avance pas là... Plus vite... Plus vite... Tire-moi... Traîne-moi... Arrache-moi... Avant que tout ça me déchire...

Dragones

Dragones arrive en courant, elles sont trop loin…Elle regarde autour d’elle…La tour, mais oui…

Elle monte à la tour espèrent qu’elle l’entendrait…Dragones met les mains en porte voix et se met à crier…

Silenceeeeeeeeeeeeeeee !
Bonne routeeeeeee, Soyez prudenteeeeeeee !
Revenez viteeeeeee !

Dragones se met à agiter les mains au-dessus de sa tête secouant un foulard en soi blanche qu’un ami lui avait donné et qui était toujours sur elle...
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*silence*

Elle entend la voix, Silence ! Elle reconnait... et elle pleure... sans bruit... passe que y a encore quelqu'un ici qui souhaite qu'elles reviennent un jour... qui leur en veut pas... qui juge pas... qui condamne pas...
Elle regarde, Silence ! Elle voit... un drapeau blanc sur la colline... Elle aurait mieux aimé dans le coeur des autres... mais ce drapeau là qui flotte... comme la grande voile carrée de l'Argo... c'est déjà beaucoup...
Elle lache la corde un instant... Elle lève la main... fait un signe...
Reprend la corde... tire... tire... Aubain... Ulayha... elle... irrésistiblement... vers l'horizon... le point de fuite... où convergent et se rejoignent... toutes les lignes du tableau...

Dragones

Dragones espère qu’elle la voit, le foulard blanc se fait voir au loin.
Elle perçoit un arrêt, elles l’ont entendu et à présent la regarde…Un signe lui est fait…

Une amis s’en va, un ami est triste…Dragones pense a Lotx et Julia…soupire…

Dragones reste un moment à regarder au loin, le cœur et gros…
Elle ne peut s’empêcher de penser au prochain départ d’amis cher a son cœur et des larmes de tristesse envahi son visage…

Elle quitte enfin la tour retournant dans le cœur du village…
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Kiefen

Le jeune homme passa la porte principale de Castillon ,d'un pas vif malgré la fatigue accumulée lors de son bref voyage. Une vague d'émotion surgit en lui lorsque, sans ralentir, le bout de ses doigts frôlèrent la pierre des remparts de la ville qui l'avait vu naître.
Rabattant les pans de sa cape de voyage sur lui, pour se protéger de la pluie qui l'avait trempé des pieds à la tête, il se dirigea vers sa demeure où un bon feu de bois le réchaufferait.

Louanne1000

Louanne arriva de tres bonne heure a bride abbattu de Marmande de surcroit de forte mechante humeur son amour est retenu pas cette derniere
il a ete enrolé de force pas leur milice et ca ils n avaient pas comprit
ellle se retourna pour voir que tous avaient suivit et fut rassuree elle fila direction leur demeure prendre quelques repos brefs pour pouvoir repartir des ce soir accompagnée des quelques amis pour l aider elle etait fiere de leur devouement et leur aide
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Seamus

Arrivant avec Louanne et Tintaglia, Seamus était colère contre cette mésaventure qui leur avait fait perdre Ludo la veille

Heureusement, ils avaient au moins ramené la fillotte de Dragones saine et sauve

Bon, à peine le temps de poser les sacoches et de nourrir les chevaux et hop, retour pour Marmande

Il montra à Tintaglia leur maison ou elle pourrait loger tant qu'elle le souhaiterai et alla faire un tour en taverne

Dragones

Ronde de la marechaussée...

Elle avait fait le tour de la ville est rien était a signalé.
Le village est calme, les gens sont au chaud dans leur demeure…

Dragones monte à la tour de gais et regarde au loin…
Au loin, elle voit des silhouettes s’éloigner de Castillon…
Que votre quête vous mène sur des aventures qui rempliront vôtres cœur de joie et de bonheur…

Elle se met à faire le tour et regarde régulièrement l’entré de Castillon…
Il reviendra par ce chemin…Je ne peux le louper…
L'attente commence...
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Seamus

La chevauchée fut rapide et sans encombres, ils sont de retour chez eux... enfin

Seamus est las, prêt de huit jours qu'il est en alerte sur les routes, la main sur son arme et dormant peu
Bien qu'en bonne compagnie, il lui tarde de revoir sa douce mie, sa moitié et de pouvoir souffler un peu

Il se sent écartelé loin d'elle

Son poney est éreinté, il l'a poussé à bout pour suivre le rythme des autres et arriver au plus tôt, pas question d'être à la traine

Une ombre se détache enfin sur le morne paysage nocturne : les portes

Ses compagnons sont habitués et filent comme le vent
Ils se saluent dans le matin en se remerciant pour la promenade de santé, heureux au fond que cela soit fini

Lui ralenti, se demandant si la relève de la ronde a déjà eu lieu... et si...
Il scrute les remparts et croit apercevoir une silhouette familière

En passant, il affiche son nom sur un carnet utile à la maréchaussée

Un large sourire orne son visage alors qu'il se dirige vers elle, espérant ne pas se tromper ; son cœur se met à battre plus fort, la fatigue de la nuit s'envole comme une plume dans le vent et ses joues se colorent

Il a l'impression de revivre

Si ils arrivaient trop tard, il se précipiterait vers leur demeure et la chaleur de son sourire pour la prendre dans ses bras

Paul1er

20 lieus de marche paul arrive qu'au petit matin ereinté , il avait essayer de suivre le poney de seamus pendant lomptemps mais au detour de la foret de castillon , il ne le vit plus , juste une vague silhouette et dont il etait meme pas sur de la provenance
cette virée lui avait fait du bien voir dautre gens mais la bas ca avai failli mal tourné deux fois il avait poser sa main sur le pommeau de sa dague
deux fois ils s'etait ravisé pensant quil etait en terre inconu et seul et que dragonne naurait pas aimé ca
pourtant cette haine pour cette ville etait la ,marmande qui etait vérolé de brigands et tueurs
il se mit a penser qu'il etait bien a castillon et que si un jour on recevait ce type d'individu on se devait detre soudé plus que jamais et faire bloc

paul passa les portes de la ville vit seamus qui chercher a son avis sa tendre
il etait tant pour lui d'aller rassuré france

Dragones

Dragones remonte à la tour venant de finir un autre tour du village…
Elle regarde L’horizon…Des cavaliers…des voyageurs…Elle dévale en courant les marches…

Reprenant son souffle, elle sourit à Paul…

Bonjour !

Dragones regarde Seamus sur son cheval, le cœur bat la chamade…son sourire brille…
Elle s’approche lentement lui laissant le temps de descendre de sa monture…

Il touche le sol…la voilà courant pour l’atteindre…Les quelques mètres qui reste se font dans un cri de joie…
Il écarte les bras…elle saute à son cou…
Enlacé ils se retrouvent…La joie d’être avec l’autre les réchauffes…Baiser passionné échangé…

Ils restent un moment ainsi sans bouger, respirant l’autre avec bonheur…
Revenant peu à peu à la réalité, dragones prend conscience des autres et les saluts en rougissant…
_________________

Seamus

A son contact, Seamus se sent enfin chez lui : sa douce, son cœur, sa patrie

Il répond fougueusement à son étreinte passionnée, ivre de bonheur

Quelques instants plus tard, la sentant s'écarter, il se rend compte qu'il respire enfin

Il se rappelle alors une maxime de son enfance : on ne se rend compte de la chance que l'on a qu'une fois qu'on l'a perdue

Il la regarde les yeux brillants d'Amour... je sais la chance que j'ai se dit il en caressant doucement son visage du dos de la main, nous ne nous perdrons pas

Là, au milieu du passage, il ne pense à rien d'autre qu'elle

Un sourire éclaire son visage alors qu'elle rougit
Il se retourne et voit les autres
oups dit il dans un murmure avant de leur souhaiter une bonne journée et de saluer un Paul éreinté

Tu as fini ta garde, je t'enlève dit il en l'entrainant à sa suite en souriant

Paul1er

mardi.....

paul etait en avance et attendait son groupe , il etait fort bien armé , une batarde ,un pavois et une magnifique masse d'arme

l'avait quitter france precipitemment mais il navait pas voulu voir ses larmes

paul se cala contre un vieux chene et attendit dans la semi obscurité ses amis

Dragones

Apres qu’elle se soit rassurée en donnant cataplasme et peau a Choubard, ainsi que quelques échanges…
Elle lui souhaita un bon rétablissement et était parti.

Dragones avait rejoint Seamus en taverne et de la ils prirent la route vers les portes de Castillon.
Ils rejoignirent Paul qui attendait, peu de temps après Guillouch et Kathien arrivèrent.

Tous les regards graves et le sourire quand même sur les lèvres ils prirent la route…
Laissant Castillon dans leur dos et leurs amis…

La troupe avance d’un bon pas tous armés et paquetage sur le dos…
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Dragones

De retour de Bergerac

Des qu’elle aperçoit au loin Castillon, son pas accélère…
Comme à chaque fois qu’elle voit sa ville son cœur se resserre
Passant la tour de guet, elle relève la tête, sourit et fait un signe a Iseult leur douanière…

Elle poursuit son chemin, chacun allant à ses activités…

Dragones regarde son époux…sourit…

J’ai une course à faire mon ange, je vous dis a tout a l’heure…

Elle l’embrasse et part en courant avant qu’il lui demande quelle course…
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Kahhlan

Elle arrivait la première surement car nulle trace de ses compagnons de route ..
Elle stoppa Calinou son petit âne bien plus solide que Faênora pour ce genre de voyage à charrette ..

Ola mon beau !!

Elle s'enveloppa d'une couverture et grignota quelques noisettes en attendant ..
elle profita de cette pause pour regarder encore et encore ce magnifique paysage que lui offrait son village et sa campagne aux alentours ...
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Dragones

Dragones arrive au portes de Castillon et y vois une charrette, avance encore…
A la faible lueur de la lanterne elle reconnait la silhouette de Kahhlan et sourit.

Elle fait avancer Iroise jusqu'à sa hauteur…
Coucou, Kahhlan.
Prête, rien oublié ?

Dragones en demandant cela regarde le village, léger pincement an cœur comme à chaque fois qu’elle quittait le village…

Des que Bikko et Pupuce les usent rejoint la p’tite troupe se mit en route…
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Louanne1000

Louanne etant levée de bonne heure fit le tour de la ville avec Graco Falco et Perle quand en s approchant des remparts elles vit des hombres se profiler avec charrette s elloigner a la lueur de la lune qui etait pleine
On entendait a peine le bruit des sabots Elle reconnu Dragones Kahhlan
Bikko et Pupuce ils partaient voir leurs amis elle esperait qu ils les trouverait en meilleur sante
Elle fit une priere silencieuse vers Aristote qui les protege tout le long de la route
Elle se retourna et reprit sa promenade avec ses loups pour profiter des ces quelques instants de serenitudes matinales
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pnj

C'était un jour pas comme les autres …

Habituellement retirée et calme, Gaely était sortie en taverne …
Certes, elle avait déjà rencontré Kahhlan, était aussi passée au bureau du Tribun … mais ce moment là fût différent …

Elle avait rejoint la confrérie des Trucmachinchosistes sous le nom de ..AVEC.. mais aussi et surtout , Kahhlan l'avait prise en estime …

Kah partait …

Gaely avait rejoint les portes de Castillon … Elle aurait tant aimé l'accompagner …

Le cœur serré, les yeux perdus vers l'horizon, sa pensée était près d'elle …

Prends soin de toi mon amie …

Seamus

Seamus arriva en vue des portes de la ville le sourire aux lèvres : enfin se dit il

Il faisait déjà presque nuit en cette fin d'hiver et les jours étaient encore trop courts à son goût

Le soleil couchant dessinait de magnifiques ombres portées sur la ville et le clocher de l'église dépassant tous les édifices affichait à tous les idées partagées en ce lieu

Son séjour passé chez les bons pères lui avait fait manquer le départ de son épouse et de ses amis pour la Teste et cela l'attristait, mais il lui avait permis deux découvertes ; les moines s'y connaissaient fort bien sur deux autres sujets que la religion : la distillation d'alcool et les ouvrages concernant le corps humain

Il avait plongé dans leur bibliothèque avec délice et avait appris beaucoup de choses sur un sujet qui l'intéressait au plus haut point, le miracle de la vie. Néanmoins, il était resté sceptique sur de nombreux points et avait besoin d'en parler auprès de certaines personnes ne souhaitant pas blesser par erreur une patiente

Néanmoins, la froideur des soirées et des nuits l'avait obligé (si si ^^) à se réchauffer comme il l'avait pu et force lui était de reconnaitre que les pères s'y connaissaient au moins aussi bien en préparation à la Boulasse qu'en préparation au baptême

Il franchit enfin les portes et se dirigea vers la première taverne qu'il trouverai, heureux de rentrer chez lui

Seamus

De très bon matin, Seamus et Cabotine se présentèrent sur les remparts de Castillon du côté des portes

Des amis et leur chère Dragones étaient de retour et il leur tardait de les revoir

Seamus faisait les cent pas et Cabotine ne tenait plus en place

Il aperçu au loin un léger nuage de fumée et chercha la louve des yeux

Elle filait déjà comme une flèche hors de la ville pour rejoindre le groupe de nouveaux venus

Seamus sourit et descendit à son tour pour aller à la rencontre des nouveaux venus

Dragones

Dragones regarde l’horizon et voit au loin son village, le sourire augmente, le cœur s’emballe…
Les trois amis sont tourné vers la même direction, le silence ce fait chacun savourant la vue…

Iroise continue d’avancer sans plus de cérémonie ainsi que Ness.
Dragones regarde au loin, se redresse espérant le voir…
A ce moment la Bikko se met à la taquiné et rit…
Dragones ne disait rien mais n’en penser pas moins.

Et la... une sensation quelque chose se passé, Iroise était nerveuse ainsi que Ness.
D’abord inquiète Dragones regarde tout autour d’eux, Bikko eut le même reflexe…
Pupuce glisse du dos de Bikko et se prépare aussi.

Qu’allaient-ils leur arriver ?

Puis elle vit une Cabotine venir en trombe sur eux.
Dragones eut juste le temps de sauté à terre et d’accueil Cabotine.
Bikko et Pupuce se détendirent et se mirent à rire.
Dragones se retrouve poussé par une Cabotine sautant sur elle…

PAF !...

Dragones rit et cajola Cabotine tout heureuse de la revoir en bonne forme.
Apres que Cabotine l’ai laissé plus ou moins tranquille, elle put se relever et reprendre la route.

Cabotine repart en sens inverse, Dragones savait…

Son cœur s’affole, son pas est plus rapide…
Machinalement, elle attache la longe a la selle d’Iroise et alors qu’elle relève la tête en direction des portes…
Il est la, son visage s’illumine.

Seamus.

Elle lache Iroise est s’élance dans le chemin, court…

Seaaaaaaaaaamuuuuuuuuuuuuuuuuus !

La joie de le revoir l’envahi, sourire et larme se mélange…

Leur corps se retrouve, les bras s’enlace, plusieurs baisers échanger.
Il la serre dans ses bras, elle se blotti contre lui heureuse de le retrouver…
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Louanne1000

Louanne Ludo et Clel avaient voyagés toute la nuit a bride abbatus pour rentrer a Castillon la belle ou l ambiance leur avait cruellement manquée
Ils dirent aurevoir a Clel et a bientot de se revoir en taverne
Lou et Ludo se dirigerent vers la maison de Paul et France pour remettre un present gustatif et audorant de la part de Peluchette
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Sindbad

En compagnie de Louanne, Sindbad franchit les portes de la ville.

Son voyage aller touchait presque à son terme. Que de chemin parcouru depuis Montpensier...Entre son voyage en Lyonnais-Dauphiné et celui qu'il entreprenait...

Et ce n'était pas fini. Il avait encore un amour à serrer dans ses bras quand il reviendrait à Montpensier, et un passé à retrouver.
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Orléans Territorial Diplomatic Representative on English Counties,

French Royal Ambassador for England

pnj

Le cœur gros elle se retourna pour s'imprégner du village qui l'avait accueillie …

La colline verdissait, le lac semblait le plus beau des miroirs … la plaine se transformait, la roue du moulin tournait ….

Au nord Périgueux … à l'ouest la route qui la mènerait revoir Kahhlan … Elle s'y arrêterait mais continuerait sa route vers le sud …

Gaely s'asseya un moment regrettant de n'avoir pas salué ceux qui l'avaient si bien acceptée …
Elle écrasa une larme ... se remémora les bons moments passés ...

Elle sorti de sa besace encre, plume, parchemin et nota
Ecrire à Dragones …
rangea le tout, soupira, regarda le nord et prit la route qui la mènerait au sud …

Scafee

Scafee arriva, car elle revenait de marmade, car elle avait une amie à rencontrer.Un peu triste, songeuse, charmante à la fois, on aurait dit une rossignole à la recherche d'un proche.Elle se caracterisa comme un oiseau, car les voyages était presque sa vie, peut etre une nouvel horizon qui s'offrait à elle.

.mahaut.

Un groupe bruyant s'avançait vers les portes de Castillon ce matin là. Il était tôt mais les éclats de voix et hurlements laissaient à deviner qu'ils savaient que tout le monde dormait, et qu'ils s'en fichaient comme d'une guigne. La charrette s'avançait en bringuebalant, Trax sautant de toute sa hauteur le long du chemin

Ca y est je vois les portes ! YOUUUUHOUUUUU, les gens !!! On est là !!!

Mon p'tit chat, calme toi tu vas tomber, j'te dis. Lapinou, vous v'lez bien l'empêcher de grimper sur c'rocher, là ?

Grrrrmbblll...

Oui, moi aussi j'vous aime bien, j'vous ai raconté comment j'suis d'venue l'amie de Marie la salo... Marie la Salopette ?

Mais comment osez-vous ? Ne me parlez plus j'ai dit, restez dans la charrette ! Mahauuuuuuut, tiens ton Paman, là !

Hein ? Quoi ? C'est Maman, arrête de dire n'importe quoi, voyons. ON EST ARRIVEEEEEEEEES !!! Faut aller signer un registre ou quoi ?

Le Terre-Neuve arriva le premier, heureux de retrouver la belle ville de Castillon et ses habitants chaleureux qui laissaient trainer de la viande un peu partout sur les étals du marché. Arriva ensuite une Mahaut sautillante, un sourire si grand qu'il lui mangeait les joues. Joues qu'elle avait toutes rouges, rapport au fait qu'elle avait essayé de boire du vin en sautant sur place...
Arriva enfin un Fazzino ronchonnant mais heureux quand même de retrouver la ville et une société plus développée que ses compagnons de voyage.
Et dans la charrette, les cheveux décoiffés par la vitesse folle imprimée par les bœufs dopés à la gnôle, se tenait Mme Makrel, mère adoptive de Mahaut et cauchemar de Fazzino et de tant d'autres...

.mahaut.

Le temps avait passé, il était déjà l'heure de repartir à Bergerac.

Trax avait chassé tellement de poules qu'il était légitime de se demander comment les Castillonais allaient manger des oeufs dans la semaine à venir.

Mme Makrel était passée voir les filles derrière l'église et avait fini en lançant des cailloux à un client malpoli.

Fazzino avait été rêver et gribouiller dans son moulin préféré.

Et Mahaut avait bu comme un trou et tenté de convertir tout Castillon au trucmachinchosisme. Elle avait aussi décidé de devenir dame de compagnie et garde du corps de la Reyne d'Angleterre mais c'est une trop longue histoire pour la raconter ici.

Faut signer un registre ou pas alors ? Bon en tous cas je vais mettre un mot.

Toute fière de ses premières leçons d'écriture, Mahaut prit un bout de charbon et un parchemin et traça des lettres avec la plus extrême concentration. En sortant la langue, oui.

Hon san va. Paredon pur les poulles et lé pijons. Paredon pour le meussieu à qui Maman a di kil auré la sifilisse et que cété bien fai poure lui.
Janporte un peux de charecutteri parcekelle é a moua vu kel é dans mé poche.
Je reviendré, praumi !!
Vives Castillon !

Mao"

Ricco

Ricco avait accompagné Robi sur le chemin de Bergerac à Castillon.

il passa signe le registre:

Ricco de Bergerac vient passer quelques jours dans votre belle villes afin d'y rencontrer ses amis

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Dorennor

Dorennor aurait bien voulu venir signer le registre avec Ricco .

Mais voilà, un malentendu l'avait jetée en prison, elle qui n'a qui 20 points de force aurait fait du mal à une juge qui a une fameuse réputation (255-niveau 3).Il y avait eu abus de pouvoir!

Toujours est-il que c'est famélique, qu'elle arriva auprès du registre des arrivées.

Ah! Je vois que je vais quand même pouvoir signer en-dessous du nom de Ricco.

Sourire aux lèvres, elle sorti de la pièce pour aller se restaurer.

Aurelien_le_ninja

Arrivé sur la place du village, Auré posa son baluchon.
Tous les volets autour de la place étaient encore fermés.
Il admira les façades des maisons en se frottant les mains pour se réchauffer
Il réfléchit encore un moment puis sourit.

Je dois faire honneur à mon village et à mes amis je vais me présenter

Il se racla la gorge et mis ses mains en porte-voix

Bonjour je suis Auré et je viens de Marmande avec mes amis....
Je suis très honoré d'être ici !

Rien ne bougea. le silence continuait...
Fronçant les sourcils Auré réfléchit à nouveau puis sourit ....

Hééé !!!!!!!!!!!! Héééé Hooooooooooo!!!!!!!!!!!!
...
CASTILLON C'EST UNE VILLE ...
UNE VILLE DE ...
UNE VILLE DE GROS COUILLONS ?
....
NOoon ?....
...
Nooon ?
....
je, je sais pas si j'ai eu une bonne idée de me présenter comme çà
D'un coup Auré eut peur, repris son baluchon et repartir dans les ruelles sans faire de bruit

Dragones

Dragones qui marcher sans but précis entend…

Bonjour je suis Auré et je viens de Marmande avec mes amis....
Je suis très honoré d'être ici !

Elle vois de loin un homme qui regardait tout autour de lui et qui se remit à crier…

Hééé !!!!!!!!!!!! Héééé Hooooooooooo!!!!!!!!!!!!
...
CASTILLON C'EST UNE VILLE ...
UNE VILLE DE ...
UNE VILLE DE GROS COUILLONS ?
....
NOoon ?....
...
Nooon ?
....

Dragones en l’entendant, se mit à sourire et s’approche du sieur…

Bien le bonjour sieur Auré. Dragones s’incline…
Bienvenue en Castillon, venez donc boire une chopine en taverne. Je me présente Dragones.

Dragones regarde derrière le jeune homme pour vois si ses amis seraient la…
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pnj

Partis en fin d'après-midi de Bergerac, ils avaient marché toute la nuit, à l 'exception d'une courte halte dans une grange accueillante pour s'abriter d'une averse.

La fatigue se faisait sentir mais Lucille se retourna en souriant vers Chapuce.

Nous y sommes, mon aimé, les portes de Castillon. Allons signer le registre, et essayons de trouver un endroit pour un peu de repos.
Même s'il est toujours aussi plaisant de voyager en votre compagnie, j'avoue que mes vingt ans sont fort loin, et je n'ai plus la vaillance d'autrefois.

Ils entrèrent dans le bureau de l'octroi pour s'enquérir du droit d'entrée et signer le registre.

La nuit avait dû être longue également pour les gens du guêt qui semblaient un peu endormis. Le garde désigna néanmoins le registre et s'enquit de l'identité des visiteurs bien matinaux à son goût.

Lucille inclina légèrement la tête, et tout en signant le registre de son paraphe "LYs", expliqua la raison de leur présence :

Je suis Lucille Ysengrin, mon compagnon et moi, venons de Périgueux, et cherchons une ville susceptible de nous plaire pour nous y installer.
Mais en attendant nous cherchons une auberge où prendre un peu de repos et nous rafraîchir.

Taquin, Chapuce, comme pour souligner les dires de Lucille, retira un brin de paille des cheveux de Lucille. Le rouge aux joues de peur que le geste soit mal interprété, Lucille ne put s'empêcher de sourire aux facéties de son aimé.

Isabel_de_mendoza

E-pui-ssée…
Voyager avec sa filleule était très plaisant mais fatigant….
Fallait inventer des activités pour la distraire sinon chaque trois pas on pouvait s’attendre aux « Marraine, c’est quand qu’on arrive ? » « Marraine, on est encore loin ? »…

Voyager pendant la journée était bien plus pratique car on pouvait lui dire »Compte les cèdres de la route et quand tu arriveras au 80ème c’est qu’on est à Castillon » mais de nuit…on voit à peine le chemin, alors les cèdres….

Les activités de la soirée furent variées …
On sautilla, on chanta, on picola, on taillada des arbustes en formes assez…variolées et on laboura la route avec la pointe des épées si longues…
Arrivées devant les portes de Castillon, Isabel laissa les honneurs de signer à Mahaut, pas pour rien que la Markel se décarcassait pour l’apprendre à écrire…Fugace pensée pour celui qui devait faire de même avec elle me ne trouva jamais du temps…
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.mahaut.

Juste ciel, que le voyage était long. Et pis marraine disait à chaque fois qu'on était bientôt arrivées mais c'était même pas vrai. Pis Mme Makrel réclamait qu'on s'arrête toutes les 10 minutes pour un arrêt pipi, marraine s'énervait et disait qu'on aurait du prendre ses précautions etc. etc.
Mais bon, elles s'étaient bien amusées.

Mahaut sautillait comme à son habitude (que voulez-vous, elle aime bien venir à Castillon, la foi où elle était allée Périgueux, c'était autre chose). On avait fini par sortir les bouteilles de liqueur de gland et de mirabelle, et pour éviter de faire trainer les épées par terre (parce que soit disant c'était pas fait pour ça), elles avaient tailladé les arbres sur le bord de la route. Makrel s'en était mêlée et résultat, les arbres avaient des formes effilées, elle trouvait ça joli et puis ça la faisait rire.

Enfin arrivées, Marraine Isa laissa Mahaut signer le registre. Très fière, et très concentrée, Mahaut laissa son empreinte :

Ojourd'huis, Isabele, Michellle Makrel et Mao son arrivé a Castillon-la-bel !
Sorté les boutheilles ! Rentré les pijons é lé poulé, Trax é la ossi.

pnj

Et voilà que la fine équipe, menée par Robinne et Popotine, était enfin en vue des remparts de Castillon !

C'est avec soulagement qu'on envisageait le retour au bercail, le séjour en Guyenne avait tout de détestable ; heureusement que les Castillonais avaient été présents pour faire vivre un peu les cités traversées !

Sitôt entré en ville, Honhon, qui avait toujours aussi peu de lettres, s'en fut voir l'écrivain public ; et il lui dicta la missive suivante :

Citation:

Madame,

J’ai cru comprendre que vous aviez, dans les effectifs de l’armée de Messire Pierobero, recensé les personnes suivantes :

Robinus70 ; Kahhlan ; Obakhan ; Gawin_derohan ; et moi même Honhon.

Je m’insurge car ceci n’est que calomnie ; nous sommes certes de PA, mais étions en voyage de façon totalement pacifique, afin de rapatrier notre ami Obakhan, qui fut fauché entre la Teste et Bordeaux par l’armée d’Amelianne il y a 45 jours et quelques.

Nous avons décidé de lui faire cette escorte, connaissant le peu de sûreté sur vos routes.

Nous n'avons rien à voir avec cette armée, même si nous y avons plusieurs connaissances.

En attendant, votre titre de Duchesse ne vous autorise nullement à calomnier des personnes innocentes, et diffuser des informations erronées ne fait que causer du tort à votre Duché et à vous-même.

Nous ne sommes que de simples paysans, mais n’allons pas en rester là ; je vous demande une lettre d’excuses adressée personnellement à chacune des personnes susnommées, faute de quoi nous porterons plainte à votre conseil pour diffamation.

Bien à vous !
Honhon, maraîcher et meunier en Castillon.

Puis il la fit envoyer, dûment affranchie, à l'attention de Dame Enorig, au chateau de Bordeaux.

Hé non, les paysans allaient pas se laisser piétiner les harpions par les aristocrates ; était-ce l'esprit sans-culotte de Robinne qui déteignait sur lui ? Un élan de solidarité qui s'éveillait au contact des gens fabuleux qu'il avait rencontrés en Castillon ? Toujours est-il qu'il repartit le coeur léger en direction de sa maisonnée ; même si la lettre restait sans conséquence, cette grande dame apprendrait un peu les bonnes manières ; et de la part de rustres parmi les rustres, ironie de la lutte des classes !

.mahaut.

Il était déjà l'heure de repartir. Isabel et Makrel était prêtes et attendaient Mahaut qui rechignait. Elle essayait de retarder. Elle avait caché Trax sous des feuilles d'arbres et faisait mine de le chercher.

Traaaaax ! youhou !!! On peut pas partir, j'ai perdu Trax !

Faisant semblant de tomber en pleurs le long du chemin, le chien sauta vers elle pour vérifier qu'elle allait bien.

mais euuuh je t'avais dit de rester caché, pffff. Bon, on y va, je laisse un mot.

O revouar Castillon ! Ne mangé pa de la charcutterie de Lotx ! A bien tau !

Ricco

Si il fallait signer en entrant... il fallait aussi signer en partant

au revoir Castillon, à la prochaine fois

Ricco de Bergerac

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Seamus

Seamus était de garde cette nuit là lorsqu'il vit son ami La_Faune entrer en ville en galante compagnie

Bienvenue mon ami dit il en leur faisant un signe

Ma ronde se termine déjà et je dois filer

A très vite en taverne ou ailleurs, et n'oublies pas que mon invitation chez nous vaut pour vous deux

Au plaisir ajouta t'il en souriant

pnj

La ville était en vue. Ils étaient enfin arrivés ...

Le voyage n'était pas long, mais aurait pu leur être fatal.
La Gascogne se déchirait, les faucheuses ratissaient.
Même les Gascons avaient besoin d'autorisation pour circuler dans leur propre Duché!
Il leur avait fallu pas moins de trois autorisations pour se rendre de Mimizan à La Teste, rien que pour bouger en Gascogne.
Mais ils étaient entiers et bien vivants !

Les portes de Castillon étaient là ...

Dax n'avait pas voulu d'eux.
Ils avaient proposé leur aide, les portes s'étaient fermées!
Certains ne daignaient même plus leur dire bonjour! Il fallait laisser Dax dormir …

Ils étaient partis, avaient abandonné leur maison, il perdait son champ, un ami, avait rejoint le groupe.
Ils s'installeraient a Castillon.

Gaely embrassa tendrement Duncan, regarda Pilou, fixa les yeux sur la ville qui l'avait vue naître.

Voilà nous y sommes, elle leur sourit, à nous les tavernes, elle rit, j'ai hâte de retrouver mes amis.

Trolldegironde

Partis très tard hier soir de Bergerac et ayant marché presque toute la nuit, ils arrivèrent tôt à Castillon, juste pour l'ouverture des portes de la ville. Quelques paysans et vagabonds se pressaient aussi pour rentrer en même temps.

- Enfin Castillon, cette ville semble magnifique. Je vais chercher où nous devons signaler notre arrivée.

Troll entra dans la ville avec Apolonia, à la recherche du bureau de douane, et le temps de faire quelques pas dans la rue principale, s'aperçut qu'Apolonia s'était volatilisée. Il sourit en pensant qu'elle avait probablement déjà un rendez vous, ou peut être simplement avait-elle entendu le cri de désespoir d'une chope de bière pleine abandonnée sur un bord de comptoir... Elle ne changera pas, pensa-il amusé. Et de toute façon, quel intérêt à faire changer une pareille femme.

Troll entra donc seul dans le bureau de l'octroi, et salua

- Bonjour messire, je suis Troll et j'arrive de Nîmes accompagné de Dame Apolonia. Nous ne sommes pas armés, nous ne sommes pas non plus des commerçants, et nous venons avec la ferme intention de boire quelques tonnelets de votre bonne bière si réputée.

- .... zzzzz ....

Visiblement, la nuit avait été aussi difficile pour Troll qui avait beaucoup marché, que pour le garde qui avait du beaucoup garder, et aussi beaucoup soutenir son moral, se dit Troll en observant les bouteilles vides qui avaient roulées par terre.

- Hum Hum, y a t-il un registre à signer?

Troll chercha des yeux et vit derrière la porte une petite table avec un énorme livre ouvert. Dessus, des noms des dates, et des lieux en face. Aucun doute possible, c'était là qu'il fallait s'enregistrer. Troll remplit donc le registre pour lui, et pour pour Apolonia. Comme personne ne réagissait, il salua de la tête et reparti à la découverte de la ville.

- Au moins, ils ne sont pas pénible, ici pour accueillir des étrangers

Hagos

Hagos arriva par un matin de printemps plutot doux , les champs recomençait à verdir et les foréts débordaient de bourgeons impatients d'éclorent ...
Il sourit en apercevant les portes de sa ville natale ... cela faisait des mois qu'il était parti .Il pressa l'allure et arriva dix minutes plus tard.

Bon bon bon je vais enfin revoir mon village .... En effet ce triste personnage parle souvent tout seul Castillonais ! OUVREZ MOI !
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Dragones

Comme promis en taverne, Dragones gravit les marches de la tour de guet et salue le garde…

Avec une longue vue elle guette, espérant que la Dame et l’enfant étaient bien arrivé en Bordeaux s’en difficulté…
Elle ne sait combien de temps elle était restée ainsi sans bouger, osant à peine respirer…

Le garde était parti et revenu de sa ronde la laissant faire…
Dragones s’était fait une place pouvant être assise et restait à guetter l’horizon…

Au matin, la surprise…

Deaaaaaaa…….Laeeeeeeeeee…..Nessaaaaaaaaaat…Robiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin…Signe de la main...

Elle dévale aussi vite qu’elle le peut les marches de la tour se tenant au mur et se précipite vers ses amis…

Les larmes coulent sur son visage…Mes amis, que je suis contente de vous voir…J’ai eu tellement peur pour vous…

Dragones les sert dans ses bras…
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Nessat

C'était un peu épuisée que Nessat arriva aux portes de la ville de Castillon avec ses amis.
Elle vit Drag les accueillir chaleureusement.

Bonjour!!!!!
Ohh ne t'en fait pas Drag, ça va bien. Comme tu le sais, tout s'est arrangé pour notre ville.

Par contre, pfff, j'ai même pas eu la possibilité de dormir tranquillement dans la charette durant le voyage. On a été trop occupé à se faire brigander en route... euh je devrais parler plutôt de tentative de brigandage.
Mais bon, comme tu le vois, ça va bien!! Un bon coup de pied dans le derrière et hop, plus personne pour nous enquiquiner. Bin oui, s'attaquer aux défenseurs de Marmande, il y en a qui n'ont pas froid aux yeux.

Nessat sourit et se penche vers Drag.
Elle lui murmure discrêtement:

Bon, tu ne le dis pas hein, mais je crois bien que c'est mon chapeau qui les a fait fuire... chuuut.

Elle se recula à nouveau et regarda Drag.

Rohh et toi, dis moi comment ça va? Et le petit ça va?
Tu m'as quand même l'air un peu fatiguée.

Dragones

Dragones écoute Nessat et l’expression de son visage change au fur et à mesure des dires de la jeune femme…

Heureusement que tout va bien alors…Ton chapeau?…Elle la regarde et sourit…Ben j’aime bien ton chapeau moi…
La maison est pretes pour vous acceuillir, faudra passer au marché pour faire le stock pour mon Dea…

Dragones se tourne vers celui-ci et chuchote à Nessat…Il a l’air plus léger, non ?
Ca va comme une femme enceinte de 8 mois et qui a participé au festival des couronnes.
Oui, les petits vont bien, ils bougent souvent et donc je passe des journées à dormir et à travailler…

Dragones lui sourit…
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Laelia

Enfin les portes de Castillon....après une nuit fort agitée, Robin, Ness, Deacon et Laelia arrivent soulagés d'être vivants et pas délestés de leurs biens...

..Drag, quel bonheur de te voir...misère, que d'émotions cette nuit!...nous avons rencontré de vilains brigands tout noirs méchants! ...mais fort heureusement nous avons trouvé la force et la rage pour nous défendre..ou peut être tout simplement le goût de la vie a pris le dessus...mais viens un peu ici que je te regarde de plus près toi!

Laelia enlace bien fort son amie Drag ..avec un peu de mal car son ventre s'est bien arrondi depuis leur dernière visite...

...ben alors, il serait presque temps qu'ils montrent le bout de leur nez ces garnements, je voudrai pouvoir t'enlacer comme il se doit moi ....Laelia rit

Tout en embrassant son amie elle lui murmure...

...je ne pense pas que ce soit son chapeau qui a fait peur aux brigands il lui va à ravir en plus...mais plutot la grimace de mon goulu...on aurait dit qu'il voulait les manger vivants....Laelia éclate de rire.

Elle se tourne vers son goulu qui cherche à savoir ce qu'elle peut bien raconter et tout en riant lui donne un doux baiser..heureuse de le voir sain et sauf ainsi que ses amis auxquels elle tient énormément.

Dragones

Dragones n’en revient pas de cette attaque que ces amis avaient subit et c’est tout retourné qu’elle sert Lae dans ses bras…
Les bébés s’entend quelques chose de pas habituel se mirent à remuer…

Dragones reprend son souffle et pose les mains sur son bidon…
Moi aussi j’ai hâte qu’ils sortent…

Dragones rit au propose de Laelia et du chapeau de Nessat…
Dragones regarde son Dea, heureuse de le voir en forme comme eux tous…
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Deaconfrost

deacon arrive en rage avec ses amis devant les portes ronchonne décu

a meme pas pu attrapé une oreille des pas mimi....

écoute sa boulie avec attention...voit son amie drag qui a grossit...comme vache ....lui fait un gros bisou et la prenant dans ses bras

tout paniqué

sont fous ici !!!!!

on a faillit pas te voir toi !!!! et le jumeau l'est ou il fait le cochon ??? on va manger ou quoi ???

cherche pas ci par là .....

prend sa boulie par la main en prenant chemin qu'il connait bien.. ..et lui murmure heureusement qu'il t'ai rien arrivé mon amour à moi ..je t'aime

Dragones

Dragones regarde Deaconfrost et lui sourit…

Haaa mon Dea…Le bise et le serre comme elle peut dans ses bras.

Oui, ben si je les attrape je vais leur botté l’arrière train moi !

Seamus et au bureau du tribun et tout est prêt à la maison.
Allez venez vous reposer de se voyage laborieux.

Dragones d’un pas lent les suit…
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pnj

Il était très tôt ce matin là, le jour commençait à poindre.
Aux portes de Castillon Gaely s'était rendue.

Elle voulait voir le soleil se lever sur cette route …
cette route qu'avait empruntée son amie Kah, partie pour un long voyage,
cette route qu'elle-même avait empruntée, qui l'avait emmenée vers le Sud pour mieux la ramener, accompagnée.

Elle s'était assise, rêvait, attendait …
attendait ce rayon de soleil qui ferait de ce jour une journée sans pareil.

Ricco

Il n' y avait pas si longtemps que ca... Ricco etait passe par ce registre et y avait inscrit son nom...

Voici qu' il recommencait la chose....

En ce jour de mai, Priezzzzzzzzzzzzzzzzzz habitant de Castillon, Ricco est en vos murs... et il compte bien vider vos tavernes !!!

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.mahaut.

Mahaut était arrivée avec Ricco et Althea. Le groupe avait voyagé de nuit, et pour la peine, elle avait crée un groupe armé, histoire de paraître super dangereux devant d'éventuels brigands.

Finalement, armés de simples bouteilles et beuglant des chansons débiles, ils n'avaient eu à intimider personne. Et c'était heureux, parce que chanter "hélèèèène, je m'appelle Hélèèèène, je suis une fiiiiiille comme les auuuuutres euh", niveau intimidation, on avait connu mieux.

Trax sautait partout autour de sa maîtresse, heureux de retrouver Castillon et ses nombreuses poules (n'y voyez pas offense, pour une fois on parle vraiment de la volaille).

Laissant Ricco signer le registre, elle prit le relais en inscrivant en tirant la langue :

OHAI Castiyon ! Cé nou !!! Lé bergeraquois son ancore là ! Sorté lé bouteilles !

Et elle signa avec application : Mao.

Kahhlan

Elle mit Faënora au pas en arrivant non loin des portes de son village ..
Admirant ce paysage et humant l’air de la matinée naissante elle avançait tranquillement songeant à sa marraine qu’elle avait laissé derrière elle sans même pouvoir la visiter ..
Cette femme était décidément un sacré bout de femme .. ses choix irrémédiables et d’une volonté que même l’amour de sa fillotte n’arrivait pas à fléchir ..
Elle lui avait caché sciemment le lieu de son agonie afin qu’elle ne puisse y assister …
Kah prit une inspiration plus forte qu’à l’ordinaire … sourit en levant les yeux au ciel …
Elle continuerait toujours de la guider .. ses mots lui manqueraient mais son cœur avait définitivement intégré le sien .. leurs rires d’enfants ne la quitteraient pas ..son amie de toujours, sa confidente et merveilleuse marraine s’en allait vers une autre destinée ..puisse t-elle y être heureuse à jamais ..

La vie continuait et Kah la croquerait comme si chaque journée devait être la dernière ..

Elle entra dans son village, saluant en s’inclinant les gardes postés ..
Dieu que Castillon était belle !!!

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Bikko

Il y avais biieen longtemps que Bikko n avait pas voyager seul
sans compagne, sans l armée, il a prit son lot de raisin qui ne
peut pas vendre et part deux jours a la recherche de client
interesser a lui en acheter.
Il regarde une derniere fois derriere lui se retourne et marche
a pas cadanser toute en sifflotant en suivant le rithme de ses pas

France7804

France s'était assoupie sous son arbre après avoir abattu ses stères de la journée, elle entendit au loin et il résonnait un pas cadencé.

Tiens donc, ça doit être Bikko qui vient par là! murmurra-t-elle, elle se sentait d'humeur taquine ce matin....

Elle se leva, replaça ses vêtements du mieux qu'elle put, ce qui fut difficile après une nuit à la belle étoile! Elle s'approcha doucement du chemin, vers le sifflement et attendit dans les buissons.

Quand il fut à sa hauteur, elle sortit en criant AHHGHRHAHHAHRHAHH et lui lança une pleine poignée de feuilles au visage.
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Bikko

Ses réflexe toujour aussi éguiser en même temps qu il reçoit les feuilles
en plein visage le coup de bouclier étais déja partit, il frappe France
la poussant a terre.
Bikko lui aveugler en tombe sur le derriere en fesant attention de
ne pas écraser son gros panier de raisin.
s essuit les yeux cherchant qui sa pourrais bien etre se ptit merdeux
de...
France?? mais ....mais mais qu est ce qui t as pris de
faire ça^^

France7804

France se prend un coup de bouclier de plein front et fait un double boucle et plonge s'étendant de tout son long sur le chemin, le souffle coupé.

France?? mais ....mais mais qu est ce qui t as pris de
faire ça^^

Elle a perdu son chapeau, les cheveux devant les yeux, les vêtements fripés et maintenant plein de poussière... et encore plus ankylosée qu'en se réveillant...bizarre....

Ailleuuuu

Elle tente de se relever mais retombe, abasourdie sur les fesses, ne voyant toujours rien.

Flûte, tu les as les réflexes toi....
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Bikko

Mais oui mais...c pas une chose a faire,tu m as presque aveuglé

et que fais tu ici depuis le temps qu on te vois pas.

l aide a se relever et l examine si elle va bien

Ça va aller? ...c pas comme ça que j aime te voir mais chuis content
de te voir France^^lui fait la bise mais d ou tu sors comme ça
...et Paul te cherche partout et il veut te voir absolument .....
la t sur que ça va car je dois quitter le village je vais a bordeaux ben
vers bordeaux en tout ça je te dis salut et je te conseil de ne pas le faire
a mon retour car je serais sur mes garde cette fois^^
byebye france.

France7804

Bikko l'aida à se relevé et l'examine, elle devait faire peur à voir, malgré le bain d'hier....

Elle lui rend la bise en grimaçant, elle avait mal partout!

Elle l'entendait lui parler, mais ses mots arrivaient comme dans un brouillard à ses oreilles. Jusqu'à....

...et Paul te cherche partout et il veut te voir absolument .....

À ces mots, elle se figea, souhaita un bon voyage à son ami et lui dit d'être prudent et repartit en boitant vers chez elle, toujours dans ses pensées et dans le brouillard.
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Bikko

Au loin, une silouhaite. Une silouhaite sifflotante en marchant en
pas de cadanse, et avec un petit chiot sur les épaules qui accompagnait
le sifflemant de Bikko comme un tout petit loup criant a lune.

Frederique85

Fred suivait de près son escorte "Bikko" elle tenait la main de son tendre amour Jhamie. Enfin ils atteignaient Castillon aprés quelques péripéties et contre-temps. Elle etait ravie et soulagée de passer sous la lourde porte de la ville.
Elle allait revoir ses amis et son cher cousin, passer quelques jours avec eux!
Puis s'enretournerait vers sa ville natale Mende qui l'appeler à corps et à cris.
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Divination

Epuisée, Divine accompagnée de Vespuci son compagnon et de Pompon, le chiot St Hubert, arrivèrent aux portes de Castillon.

Il me tarde de me reposer, amour, je ne sens plus mes jambes, la route fut longue !

La première taverne qu'elle vit, fut la bonne, "la castillonaise"

Allons y, amour, il me faut me reposer, je tiens plus

Pompon aussi est fatigué

Princekris

Princekris fut heureux de revoir les portes de Castillon.
Cette virée bordelaise ne restera pas un bon souvenir quoique ...
Mais enfin bon, le racket d un écu de la capitale, une nuit en prison avec rats , un jour sans manger bonjour l acceuil! Plus une nuit supplémentaire pour on ne sait quelle raison retenu par les Bordelais.
Seamus, Ludo et Louanne l avaient précédé dans la cité.
Kris suivait quelques pas plus loin , son état faible l ayant ralenti.
Un bon bain au lavoir une bonne soupe une pi..tite bière et au lit!

Nabeille

Nabeille tout en tenant la main de GauDali dans la sienne demeura un long moment, debout sur la colline à contempler le village au loin... 4 mois qu'ils l'avaient quitté, 4 mois de rencontres, de découvertes, de haut et aussi de bas parfois...

L'émotion du retour, étreignait son cœur, elle savait que ce dernier serait déterminant pour leur avenir commun... Ils se regardèrent longuement, avant d'entamer la descente vers la ville...
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[Pour le RP en cours, cliquez sur la bannière]

Sorianne

Castillon! Cela lui faisait tout drôle de revenir dans le village où il s'était passé tant de chose... Dire que c'était là qu'elle avait atterri après avoir quitté le Sud, que c'était dans ce village qu'elle avait passé quelques temps avant de partir en vadrouille aux travers des Royaumes... Elle en était toute émoustillée! Le temps était clair, le soleil déjà haut, la chaleur arrivait mais le vent de printemps rafraichissait l'atmosphère, les enfants en selle devant elle, So en croupe (c'est siper inconfortable), Col à côté, tout pour être bien! Et oui, elle se sentait bien, comme libérée d'un poids immense, elle avait hâte de revoir le saule pleureur sous lequel elle allait se reposer au bord du lac, la petite masure qu'elle habitait avec l'arbre couché sur le petit terrain qui trônait derrière, et sur lequel elle montait pour apprendre à contrôler son vertige... Et aller cueillir les cerises par la même occasion. Quand on est gourmande, on s'refait pas... Hâte de revoir cette petite porte qui lui avait valu tant d'ennuis! Elle n'avait toujours pas de nouvelles de Benjamin d'ailleurs. Peut-être lui en voulait-t-il de ne pas lui avoir répondu plutôt? Elle se promit de lui réécrire sous peu!

Si vous saviez comme je suis contente de revenir! Col, il faudra que je te montre quelque chose! Et vous verrez mon ancienne maison, peut-être qu'elle est toujours là! Oh! Et le lac! Et la prairie! Et le lavoir! Et... Olala il faut que je vous montre tout le village en fait! Il s'est passé tant de choses ici!

Première fois depuis un moment qu'elle souriait vraiment, première fois depuis longtemps qu'elle était vraiment bien. Le sourire ne la lâchait pas.

Oh et j'espère que tout ceux que je connaissais sont encore là! Je vous présenterai comme ça! Enfin... S'ils se souviennent de moi hein^^ C'est ici que j'ai rencontré Mélior! Et Méline! Et pfffiouuuu, plein de monde!

Elle en zappait volontairement un, pas la peine de se gâcher la journée. Mais elle finit par grimacer en portant la main au bas de son dos, tenant les rênes de l'autre.

Il est tant d'arriver, je sens plus mon postérieur...

So jeta un regard un peu timide à Col, mais avec un sourire espiègle.

Cooool? Tu es né où? Et tu as grandis où? Et tu crois que tu me montreras un jour?
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Une belle bannière?

pnj

Booouaaaah mais c'est trop loooong...

Le garçon s'étirait constamment, désespérant arriver un jour à destination. Il avait envie de se dégourdir les jambes, mais on le retenait sur le grand Razel. Où qu'il était son cheval à lui hein? C'était p't'être qu'un poney mais au moins c'était l'sien! Et il se sentait grand quand il était avec. Là il se retrouvait à la même hauteur que sa soeur... C'nul...

Lysi de son côté regardait de tous les côtés, mais louchait de plus en plus souvent sur Col. Elle savait po s'qu'il faisait là, mais il lui attirait l'regard. La moman racontait plein d'trucs que Lysi n'écoutait pas, elle avait envie de descendre.

Moman! On peut continuer à pieds?!

Le refus ne tarda po gniagniagnia... Du coup elle se rabattit sur Colhomban.

Dis Messire Col, pourquoi qu't'as un bras comme ça? elle lui désigna le bras en écharpe. Et pourquoi t'es tout le temps avec nous?

Aux questions de sa soeur TiVeg tourna la tête. Il avait même po l'droit de diriger le cheval. Pis c'est moche un cheval blanc en plus. Un grand cheval tout noir comme celui d'Popa, ça c'était bien! Il regarda M'ssire Colhomban, se posant les mêmes questions que Lysi. Après tout, ils en parlaient le soir en s'endormant! Po parce que c'étaient des enfants hein! Pis c'était plus un enfant lui d'abord. L'était grand, plus grand que Lysi, c'était un homme maintenant!

TiVeg éclata de rire quand la voix de Lysi ne fit plus entendre que des gargouillis indéfinissables, leur mère venait de museler sa fille d'une main sur la bouche trop grande. Heureusement que c'était pas lui qui posait les questions!!

Colhomban

La douce lumière printanière illuminait la route qui s'étendait devant eux. Ils n'avaient pas eu à forcer l'allure, le voyage allant de lui même et pour une fois Colhomban avait cessé de s'égarer pour bien suivre le petit groupe. Les jumeaux bavassaient gaiement lançant de temps en temps un regard hostile au jeune homme. Il ne pouvait que les comprendre, mais une part de lui-même désirait réellement apprendre à les connaître pour mieux les aimer. Après tout ils étaient de Sorianne, une partie d'elle, la meilleure partie de sa vie... Il sourit à cette approche et coula vers la brune un regard tendre, se reprenant bien vite quand il sentir ses joues s'enflammer.

Les portes de Castillon apparurent dans le lointain, et son coeur soupira d'aise. Ils allaient enfin poser bagages dans un coin tranquille et animé ! Sorianne n'avait eu de cesse de lui dépeindre les charmants lieux et il attendait beaucoup de leur arrivée dans ce village.

Si vous saviez comme je suis contente de revenir! Col, il faudra que je te montre quelque chose!

La voir si joyeuse le remplissait de bonheur, il avait l'impression que sa brune insufflait alors à tout ce qu'elle voyait un vent de contentement, elle n'en devenait que plus belle d'ailleurs... Il lui sourit et acquiesça. Elle se plaignit d'un mal particulier qui ne fit qu'accentuer le sourire et il se promit d'y remédier dans l'intimité...

Cooool? Tu es né où? Et tu as grandis où? Et tu crois que tu me montreras un jour?

La question le colla au carreau. De lui même il ressera sa prise sur son acte de propriété qui traînait dans sa besace. Elle ne devait pas savoir... Elle ne devait pas... La sueur perla sur son front anormalement et son ventre se mit à faire des torsions qu'il n'aurait pas penser possibles.

Je... En fait je... La Bretagne tu sais est un endroit... Je suis né en Bretagne d'ailleurs, dans un petit village. Petit... Tu ne dois pas le connaître d'ailleurs...

Dis Messire Col, pourquoi qu't'as un bras comme ça?

LA question qui venait à point nommé. Bon pas une de celles qu'il aurait aimé entendre, mais c'était quand même une belle échappatoire !

J'ai été blessé à la guerre. Mon bras... est blessé... Il ne pouvait pas faire mieux maintenant !

Et pourquoi t'es tout le temps avec nous?

Celle-ci lui arracha un sourire et avec nonchalance il répondit du tac au tac.

Parce que j'aime votre mère...!

Son sang ne fit qu'un tour quand il entendit le son franchir ses lèvres et il se redressa d'un bond, tournant vers l'assistance un visage cramoisi. Pourquoi diable avait-il dit cela ? Certes il le pensait de tout son coeur, mais ce n'était pas la meilleure réponse à fournir à Lysi ! Ses yeux se portèrent sur Sorianne, et il attendit les réactions de la dame et de sa progéniture...

Sorianne

La Bretagne. Elle n'y était jamais allée. La frontière était close quand ils avaient voulu y faire un tour il y avait maintenant un long, trés long moment. Elle allait répondre quand... Rhaaaa mais qu'elle était bavarde!! De qui elle tenait donc ce défaut! So avait entendu les questions de sa fille, et restée coite n'avait pas réagit de suite. Mais une fois qu'elle avait compris, elle s'était empressée de la bâillonner! La fillette parlait trop! Pourquoi Aristote donnait la parole aux enfants?! La jeune femme coula un regard gêné à Col. Mais contre toute attente il y répondit aussitôt et avec un air de soulagement. Hmm? A la seconde réponse, les sourcils de So s'arquèrent de surprise et un sourire illumina son visage.

Bah nous aussi d'abord, et c'est nous qu'on l'aime le plus d'abord.

So accueillit la phrase de Lysi avec bonne humeur, mais en regardant TiVeg qui se contentait de regarder Colhomban d'un drôle d'air, elle se dit qu'il valait mieux changer de stratégie. Pas qu'elle n'ait pas envie que les monstres soient au courant hein... Enfin... Pas tout à fait ça... Juste qu'elle sentait que ce serait compliqué, surtout pour son fils... Fallait trouver une diversion! Les portes approchant, So eut une idée et descendit de cheval, faisant descendre ensuite les jumeaux qui se laissèrent faire. La jeune femme lança un coup d'œil mystérieux à son ami, et lui fit signe de venir.

Je vais vous montrer quelque chose.

Attrapant la longe de Razel, So commença à avancer et se mit aux côtés de Col, laissa passer un blanc, tout en marchant tranquillement, les monstres courant devant. Les murs de la ville s'élevaient à leur gauche, les pierres s'élevant à plusieurs mètres au dessus d'eux. Les broussailles étaient épaisses, et la jeune femme levait un pan de ses jupes pour ne pas être gênée dans sa marche.

Tu crois qu'il faut les ménager? Ou leur dire vraiment? Ils s'en doutent, de ça tu peux être certain. Mais je n'ai aucune idée de ce qu'ils diront... Je crois que tu as tapé dans l'oeil de Lysi, l'autre soir elle me disait qu'elle se marierait avec toi quand elle serait grande, mais pour Veg c'est autre chose... Tu veux pas lui taper dans l'oeil aussi?

Elle dit la dernière partie de sa tirade avec un sourire espiègle.

Bah quoi! Au moins on aurait pas de problèmes comme ça! Il est du genre à te demander en duel, attention hein, pis s'il le fait, je ne sais pas qui remporterait le combat! Tu imagines le drame! Surtout qu'elle est costaude son épée de bois!

Elle se tut, les yeux en l'air, imaginant la scène avec un léger rire.

En fait j'aimerai bi...

Trébuchage!! Bah oui, occupée à imaginer, la voilà qui s'était pris les pattes dans les grandes herbes. Coupée en plein élan dans son texte, elle tenta un rattrapage en se rattrapant à Colhomban, mais le pied de la demoiselle vint écraser l'ourlet des jupons, puis en voulant se rerattraper, rebelotte et elle se retrouva vite à genoux, écroulée de rire, ayant emportée avec elle son ami. Entre deux hoquets de rire, elle essaya de s'excuser de l'avoir mis au sol.

Je t'assure que ce n'est pas ma faute! On m'a tendu un piège!

Le regard de So fut vite attiré par le lac un peu plus loin et elle se calma aussitôt, le doigt pointé vers l'étendu d'eau

Oh! On y est! Regarde le gros saule pleureur là bas, c'est là que j'allais tout le temps!

La jeune femme se redressa, du moins avec du mal, toute empêtrée dans ses jupes qu'elle était, et au lieu de se diriger vers le lac comme on aurait pu le penser elle fonça en direction du mur, tâtonnant à travers le lierre qui descendait le long de la pierre.

Elle devrait être là... Quelque part... Là!

So venait de retrouver la petite porte qui lui avait valu tant d'ennuis par le passé, et cachée derrière le lierre à l'intérieur comme à l'extérieur des remparts.

On peut entrer par là! Qui se dévoue pour ouvrir la porte?
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Une belle bannière?

--Cabotine

La louve avait senti de nouvelles présences sur son territoire à un endroit ou personne ne venait jamais

Elle fila entre les hautes herbes et se faufila dans l'ouverture à la suite des intrus

Elle les suivi et les observa de loin, curieuse de tout

Il y avait un petit avec eux, elle adorait les petits, comme chez elle

A un moment d'inattention des adultes, elle couru de toute sa vitesse vers le petit et se jeta dessus... avec douceur

Elle le fit tomber du bout du museau et se roula par terre à ses côtés

Les adultes se retournèrent et la regardèrent

Elle se redressa et fila entre les herbes sans demander son reste

pnj

Elle l'avait rejoint aux portes de Castillon.

Duncan l'attendait. Il lui tendit la main.
Gaely la prit, mêla leurs doigts, lui sourit.

Ils jetèrent un dernier coup d'oeil en arrière, se regardèrent, prirent la route en souriant.

Kahhlan

Elle courut se poster sur les hauteurs des portes de la ville ..
Le temps était doux pour un voyage comme le leur ..

Elle resterait là le temps qu'il faudrait pour que leur silhouette disparaisse dans la nuit ..

Adieu mes amis ! et toi le sieur Mac prend grand soin de ta princesse .. !
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France7804

France arriva au point de rencontre que Bikko lui avait donné pour leur départ. Elle avait sa besace, son armement et du ravitaillement pour la route qui s'annonçait longue.

Il n'y avait encore personne, elle s'installa sous le chêne à l'ombre et se mit à somnoler en écoutant les oiseaux chanter.
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Paul1er

paul apres etre passer chez lui pour fermer les pôrtes de la maison, arriva au rendez vous donner par guillouch

il etait fin pret jamais il était parti aussi loin de sa vie mais la securité de ses amis etait une priorité
il s'addossa au gros chene qui etait la et attendit patienemmentles autres
mais il entendit quequen respirer fort a coté dans les herbes il s'approcha doucement et.....
mon dieu cest france ce dit il

il s'approcha delle et s'accroupi , elle dormait,du revers de la main lui caressa la joue et murmura france france...

France7804

Elle se réveilla suite à une douce caresse sur sa joue et à son nom murmurer tout bas.

France, France....

Elle ouvrit un œil et vit Paul juste là devant elle, elle sursauta et se redressa.

P P Paul? dit-elle incrédule.

Elle regarda ou elle était, elle ne se souvenait pas s'être endormie et se demandait ou elle était et la mémoire lui revint, le départ avec Bikko, les portes de la ville, l'attendre du groupe pour partir.

Q..Q..que fais-tu ici? elle le regarda en se remettant de l'ordre dans sa tenue.
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Paul1er

je vais accompagné des amis dans les royaumes et toi tu fais ici tu pars?

paul commenca a sinquitier fortement

je tai chercher partout tu sais france javais des choses a te dire mais peut etre tu veux plus les entendres peut etre que tu veux plus me voir??
il la regarda fixement cherchant une reponse dans ses yeux

France7804

Je vais accompagné des amis dans les royaumes et toi tu fais ici tu pars?
...
je t'ai chercher partout tu sais france javais des choses a te dire mais peut etre tu veux plus les entendres peut etre que tu veux plus me voir??

À ces mots, son cœur fit un bond, ne plus le voir, mais il était fou! Bien sûr qu'elle voulait le revoir, mais elle ne savait trop comment y arriver après son départ précipité....

Je pars aussi avec des amis, nous allons nous promener un peu. Paul je....je suis désolée de ce que je t'ai fait....

Ses yeux se remplirent de larmes.

Et j'aimerais bien entendre ce que tu as à me dire, si tu veux....Je savais que tu me cherchais, mais je n'ai jamais eu le courage d'aller à ta rencontre...
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Paul1er

france je sais un peu ce qui c'est passer , j'ai accepter que tu prenne du recul parce que tu en avais besoin javais plus ma place a tes cotés pendant ce moment la
mais jai trouvé le temps trop long sans toi je me suis rendu compte a quel point la vie sans toi etait bien fade

j'ai su par bikko que tu etait encore amoureuse de moi , j'ai sauté de joie quand je lai su

france je veux te dire quelque chose , veut tu revenir a la maison?
je t'aime tant ca na jamais cesser en moi

il lui prit les mains

France7804

À ces mots, France lui sauta au cou.

Paul, tu m'as tellement manqué, bien sur que je veux revenir à la maison! Sacré Bikko, je paris que c'est lui qui a tout organisé!

Elle éclata de rire et se colla dans les bras de son homme.

Euh...au fait, tu vas ou toi? lui demanda-t-elle en le regardant.
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Paul1er

il l'enlaca et la regarda dans les yeux

ou je vais ben jaccompagne bikko et guillouch pour un voyage, pourquoi cette question mon amour?

France7804

Bikko et Guillouch???

Oh mais quelle belle surprise! Nous ferons le voyage ensemble!!!

Elle ria, pour une fois elle se sentait bien et heureuse depuis tout ce temps!
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”

Paul1er

oh merveilleux!! attendons les ici
paul fit assoir son amour a ses coté et lembrassa tendrement

pnj

Maxyne avait marché toute la nuit, portant sa besace tandis que Lost portait leurs bébés. Il devait en avoir mal aux bras, mais il avait refusé qu'elle les porte.
Elle trouverait surement très vite un âne sur lequel elle pourrait fixer des paniers pour porter les petits bouts de chou.
Amaryes et Delost s'étaient réveillés deux fois pour téter et tout le monde avait du s'arrêter et l'attendre pour qu'elle s'en occupe.
Même si présence avait du mal à être accepter, elle était heureuse, sachant que leur père pourrait participer à leur vie de manière plus régulière que si elle avait garder une maison quelque part.
Peut-être un jour en aurait - elle envie, mais pour l'instant rien n'était plus important à ses yeux que de pouvoir élever les enfants avec la participation de Lost.
Ils arrivèrent enfin à Castillon, ville bien plus animée apparemment que Bordeaux.
Laissant Lost et Elre, elle se dirigea ver la forêt. Elle trouva un coin éloigné des bucherons, mi à l'ombre et au soleil et installa une couverture sur l'herbe. L'endroit peuplé d'oiseaux, raisonné de leurs gazouillis tandis que les coups de haches se faisaient entendre dans le lointain.
Elle installa le panier des bébés prés d'elle et sortit une autre couverture de sa besace dont elle se couvrit, se servant de sa besace comme d'un coussin, elle somnola, profitant du calme de l'endroit.

Dragones

Dragones sortant de taverne prend la direction des portes de la ville…
En s’approchant elle voit France et Paul enlaçaient, elle hésite…

Elle décide de rester un peu à l’écart et de guetter leur départ…
Les départs étaient toujours aussi prenant…

Comment leur dire de faire un bon voyage, dans profiter et de revenir entier sans leurs montrer qu’ils vont vous manquer et que vous allez avoir peur pour eux durant tout le voyage…
Comment leur dire, que l’amie qu’elle était se trouvait partager entre la joie de leur voyage et la peur pour eux de ce voyage…

Dragones soupire…
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Colhomban

[ De l'autre côté des remparts à l'extérieur de la ville avec Sorianne, Tiveg et Lysi ]

On peut entrer par là! Qui se dévoue pour ouvrir la porte?

La belle venait de rouler par terre après une de ses chutes fréquentes, emportant avec elle tout ce qui était dans un giron de quelques mètres. Elle s'était excusée avec force sourire, et Col n'avait pu réprimer une envie d'éclater de rire devant la tête déconfite de l'aimée. Sacrée Sorianne ! Alors qu'ils se relevaient, lui toujours hilare, elle l'avait fait taire d'un regard boudeur et s'était enfoncée un peu plus dans les broussailles, profitant de l'instant pour que les enfants changent le cours de leurs pensées. Certes le jeune homme était prêt à taper dans l'oeil de Tiveg, mais pas à se faire taper dans le tibia... Un bras tordu suffisait amplement à rendre la tâche peu aisée !

Col haussa les épaules, et continua de suivre sa dame dans sa recherche de saule pleureur et de porte. Alors qu'il se retournait vers les enfants pour voir si ces derniers trouvaient ce dont parlait leur mère, une ombre fugace courut dans les hautes herbes pas loin derrière eux. Le brun se frotta l'oeil, conscient que le manque de sommeil pouvait causer quelques hallucinations. Mais l'ombre se changea bien vite en un tas de fourrures mouvantes. Alors qu'il ouvrait la bouche pour crier au loup, ce dernier fondait déjà sur Tiveg. Le gamin emporté avec une certaine douceur roula dans l'herbe molle et se retrouva les quatre fers par dessus bord. L'animal lui, la mine taquine, rebroussa chemin en jetant des regards fréquents vers les adultes.

Ne bougez pas ! Surtout ne bouger pas ! Tiveg ça va ?
Par Aristote, qu'est ce qu'un diable de loup fait aussi prés de l'enceinte de la ville !

Il fit passer sa rapière dans sa main valide.

Derrière moi vite ! Sorianne si tu as souvenir d'où se trouve la porte, c'est le moment... Sinon je serai d'avis de remonter en selle et de galoper jusqu'à la prochaine entrée vers Castillon !

--Cabotine

La Louve les regarda se regrouper

En voyant le mâle, blessé, prendre sa longue griffe, elle sentit que ces êtres étaient déjà des humains accomplis, comme ceux qui lui avaient fait si mal autrefois

Elle regarda encore le petit qui les accompagnait...
Les enfants humains semblaient si accueillants et joueurs, tout comme sa propre portée

Mais en grandissant, ils devenaient aussi féroces que des loups et frappaient sans raison

Elle tourna un moment autour, curieuse de voir leur réaction et ce qu'ils espéraient faire... Ils pensaient traverser le mur ?

Elle se tenait prête à s'enfuir au moindre mouvement dans sa direction

Sorianne

Elle ne vit rien venir... Si, une grande ombre sombre plonger sur ses enfants. Horrifiée, elle reconnue un loup, un loup qui avait renversé ses monstres, mais ils étaient prés des murs! La bête prit la fuite après les avoir vu. Sans même penser à quoi que ce soit, elle fila directement vers eux, courant à travers les hautes herbes en direction de ses enfants.
Lysi regardait la scène d'un peu plus loin, et TiVeg se redressait.

Ca va??

Le jeune garçon se remit debout seul, fier comme un paon. La jeune femme en fut un peu vexée, mais elle attira les jumeaux avec elle, revenant vers les murs. TiVeg frotta ses vêtements sans rien dire et sans répondre aux questions posées par le sieur Col et sa mère. Avant de les regarder avec un grand sourire.

C'pas un loup qu'va m'faire peur!

C'tait po Miko ça...

Non ça ce n'était pas Miko, ça non.

Elle les traina sans ménagement et les fit rester derrière Col, jetant à ce dernier un coup d'oeil un peu inquiet. Non ce n'était pas Miko, et la bête était capable de revenir quand elle le voulait.
TiVeg regardait Col avec un drôle d'air...

Vous me donnez votre épée? J'ai pas peur des loups! si il revient je veux m'en charger!

Lysi à côté était un ange. Allez savoir pourquoi. So, elle cherchait à travers le lierre! Elle allait la trouver cette porte... Trouvée! Mais... Elle avait beau tirer rien de venait...

Col! Elle est là! Mais... elle jeta un coup d'oeil penaud vers le jeune homme... J'arrive pas à l'ouvrir....
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Une belle bannière?

--Hellwhite

Hellwhite qui chassait pour la meute entend du bruit, l’odeur d’humain et de sa louve…

Inquiet, son pas s’allonge, le jeune loup blanc s’arrête prêt de la forêt… sa femelle tournait autour de cette odeur qu’il n’aimait pas…
Son poil s’hérisse, il s’avance lentement avec des grognements, guettant la réaction des deux pattes…

Hellwhite reconnaissait cette odeur de crainte… prêt à bondir, il se fit entendre en grognant plus fort…

Colhomban

J'arrive pas à l'ouvrir....

Non de non... Ce n'était pas le moment d'avoir à faire avec une porte bloquée ! Son épée dansait dans sa main valide, les petits derrière lui avançaient le nez de temps en temps comme pour constater de la présence de l'animal en face d'eux. Mais cette fois-ci il ne s'agissait pas de Miko, le loup qui les accompagnait depuis l'enfance, celui que Sorianne avait récupéré aristote-ne-sait-où quand il n'était qu'un louveteau. Non, il s'agissait bien d'une authentique louve, éructante, grognante, et tournant en rond depuis cinq bonnes minutes.

Colhomban se retourna vers sa dame, la rapière toujours en avant, regrettant sa lance de capitaine.

Sorianne, tu as essayé de faire levier ? Elle hocha la tête, penchée vers l'avant elle pesait de tout son poids contre le lourd battant de bois. Ce dernier avait dû gonfler avec l'humidité de la fin de journée, et maintenant les charnières collaient à l'encradrement de pierre...

Sa tête repivota dans l'axe, toujours à surveiller la bête quand une autre ombre vint se mouvoir dans leur sinistre tableau.

Hé fichtre... Sa voix se fit chuchoti. So... Un second loup nous fait face. Nous allons échanger doucement nos places et je m'occuperai de la porte. Alors qu'il parlait il défit son bras invalide de l'écharpe qui le maintenait collée à son corps. Il était temps de faire valoir le membre, de montrer que même déformé il pouvait toujours servir...

Sorianne

Alleeeez! Mais ouvres toi maudite porteuuuu!

A moitié planquée sous le lierre, elle poussait de toutes ses forces sur le panneau de bois qui ne voulait plus rien savoir! On n'avait pas idée de garder cette entrée pour soit! La jeune femme avait beau tapé, frapper mordre... Euh non, elle pouvait pas mordre une porte... Bah rien n'y faisait. Et pendant ce temps, elle voyait une paire d'oreille se dresser au dessus des herbes... Puis une autre... Et là... Cela ne lui donna que plus d'entrain pour ouvrir la porte. Hors de question de monter à cheval et de partir en vitesse! Pas envie de se faire sauter dessus par des bêtes pareilles!

La porte, oui bonne idée...

So le croisa, l'aidant à libérer son bras, par des mouvements quelques peu ralentis, pas envie d'se faire manger, et surtout pas envie que les monstres y passent maintenant parce qu'elle avait voulu montrer une foutue porte! Prenant l'épée offerte et la tenant à deux mains devant elle, placée devant les jumeaux, So guettait les oreilles....

Euh... Co... Col? S'ils s'approchent...

Manquait plus que la meute au complet arrive... C'est qu'elle était plus à l'aise avec un arc et des flêches, pour avoir été braconner quand elle était petite, mais avec une épée.... Pourtant Veg avait bien tenter de le lui apprendre! Mais faisait mieux de faire sa bravache!! Du coup elle se redressa et guetta les oreilles pointues, ne lâchant pas les bêtes des yeux. C'est là que TiVeg trouva malin de filer en direction des loups avec son épée en bois, profitant qu'elle ne surveillait pas... Quand elle le vit... Son sang ne fit qu'un tour.

NON! Revient là!

Prête à lâcher l'épée pour aller le chercher par la peau des fesses!
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Une belle bannière?

--Hellwhite

Hellwhite après avoir observé la scène vit que sa louve était restée attentive…
Pensait-elle à ses deux êtres qui venaient dans leur tanière ?
Il avait jamais été jusqu’à leur demeure pas comme elle…
Hellwhite à présent plus calme regarde la scène en se mettant sur son postérieur et restant bien droit…
La peur semblait augmenter chez les deux pattes qui s’acharnaient sur un morceau de mur…
Le petit deux pattes se mit à courir vers eux tenant un bout de bois…
Hellwhite ne bouge pas et le regarde s’approcher, le museau se tourne vers les louveteaux…

Le loup blanc regarde le petit deux pattes et ses petits…

Pattricia

La nuit avait été clémente, et l'aube n'était plus loin, Wolfie marchait près de moi, plutôt titubante...

Truffe trotte sur le bas côté, à son habitude, nous devançant, repassant derrière, humant à l'affut de toute présence étrangère... Je souris... Toujours si vigilant... Malgré la fatigue, je suis impatiente d'arriver, cela fait un bout de temps que je veux faire un coucou à Lou et visiter son beau village...

La nature est encore endormie et le loup et moi avons l'air d'être les seuls à avoir encore un peu d'énergie, de curiosité... d'excitation... La soirée à Bergerac avait été bien agréable, j'étais heureuse d'avoir fait la connaissance de Paul natif de Castillon, et d'avoir retrouvé mes amis Bergeracquois, et la cascade...

Dès aujourd'hui ce sera la découverte totale, déjà ils ont une forêt, pour Truffe je préfère, mais se baignaient-ils quelque part, avaient-ils une rivière, une cascade, un ruisseau ? Moi si je ne peux pas nager je suis malheureuse... Bon au pire ils auront un lavoir, ce sera toujours ça de pris... J'espère que nous allons bien nous amuser en taverne, depuis le temps que je voulais venir ici... Toi tu continues ta route demain Wolfie et moi je retourne sur mes pas avec Truffe... le lac me manque...

Regardant de côté mon amie toujours titubante entre nous soit dit..., je laisse divaguer mes pensée, inutile d'attendre une réponse, à cette heure il n'y a plus personne, elle se contente de marcher mécaniquement, je souris, on fera une bonne équipe lorsque nous partirons en voyage, jamais à l'affut en même temps, une vraie relève... Heureusement qu'il y a Truffe !

Je pense au grand voyage de cet été, aux nouvelles découvertes, aux prochaines rencontres, aux accidents de parcours, je grimace... laissons là les pensées inopportunes ! Parcourir le royaume, une vraie aventure qui m'attend, je souris... tellement d'amis à voir...

Truffe se fixe, immobile, attentif. Il hume l'air oui je sais encore, mais bon c'est un loup ^^ il tourne la tête vers moi et attend ma réaction, je m'accroupis près de lui et prend sa tête dans mes bras et le câline... nous sommes arrivés, c'est ça ? Merci pour ta compagnie mon beau, file en forêt, je te retrouve demain soir. Je plonge mon visage dans sa fourrure et le serre très fort contre moi. Il tente comme à son habitude de me débarbouille le visage et je lui échappe en riant. Tu ne m'auras pas ce matin ! Une dernière caresse et je le pousse vers le bas côté, pressée de le voir à l'abri.

Wolfie ? Héééé réveil ! Nous sommes arrivées, regarde ! Dans une vallée verdoyante, nous apparaît le village de Castillon, encore endormi derrière ses remparts et lové dans une légère brume rosée par l'aube qui se lève... Je me tourne vers ma compagne de voyage, toujours aphone, je crois que je vais bien aimer mon passage ici, tu viens ? C'est la dernière ligne droite. On trouve le lavoir et ensuite une meule de foin dans une grange, ça fera bien l'affaire !

Sans plus attendre, je pars, le pas rapide, pressée d'aller à la rencontre de cette nouvelle aventure...

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--Cabotine

Voyant l'enfant se rapprocher d'eux, la louve fit un bond en arrière et prit une pose attentive

Elle regarda ses petits non loin de là et hésita juste une seconde

Elle tourna alors la tête vers les adultes et se leva sur les pattes arrières à l'arrivée de l'enfant

Elle les posa sur ses épaules lorsqu'il arriva devant elle et il tomba en arrière sur les fesse

Elle tourna alors sur elle même, la langue pendante, heureuse d'avoir trouvé un compagnon de jeu, mais gardant toujours un œil sur les adultes qui représentaient, eux un danger

Elle ne craignait toutefois pas trop pas leurs épées, ils étaient par trop lents

Si ils avaient eu des arcs, elle aurait fuit sans demander son reste, se souvenant simplement de la douleur que ces armes lui avaient causée par le passé

Elle se tenait là, à quelques mètres des hommes, son mâle à ses côtés et sa portée à proximité, entrain de jouer avec un petit d'homme

Le moment était irréel, mais, comme tout animal qui se respecte, elle ne s'en rendait pas compte le moins du monde et savourait simplement un sentiment de confort que son instinct faisait remonter à son plus jeune âge, lorsqu'elle avait été recueillie

Colhomban

Un... Deux... Trois... euh...
Un...

On compte chez les D'Eusébius de père en fils, mais il se sent un peu blonde aujourd'hui. L'air vicié chargé d'orage est humide, Colhomban, les cheveux collés au front, n'arrive toujours pas à ouvrir cette satanée porte de diable de bon sang de bois à la petite semaine !

Alors qu'il reprend de l'élan pour s'écraser à qui mieux-mieux sur le battant dur comme la pierre (bah non c'est du bois!), il entend Sorianne pousser une exclamation et du coin de l'oeil il la voit s'avancer dans les herbes hautes.

Mortes couilles de fils de chèvre...

Le brun se décalle, jetant un regard circulaire sur la scène : Tiveg est par terre, la louve juste à côté de lui, tandis que sa mère, que le jeune homme n'avait jamais vu aussi rouge de colère d'ailleurs, se dirige à grands pas vers lui. Il se demande si c'est contre la louve qu'elle est remontée, ou bien contre le garçon inconsidéré...

L'action est rapide, incisive, précise ! Alors que Col est là comme un benêt la bouche ouverte, la porte sur laquelle il appuie du pied depuis plusieurs minutes craque doucement et emporte fourbement l'homme de l'autre côté des remparts. Etalé pa terre, poussière et reste d'herbe dans la bouche, il crache et s'extirpe de sous quelques branchages. C'était donc ça qui gênait l'entrée : un vulgaire buisson d'épineux, qui s'est tout droit figé dans son postèrieur ! Il se promet de ne plus suivre les idées fantasques de sa brune tandis qu'il tire sur les plus grosses épines qui dépassent. Mais pas le temps de tergiverser autour de ses belles fesses : femme, enfants et loups n'attendent pas !

Le brun s'élance, poings en avant, attrape Lysi sous le bras pour la fourrer dans l'entrée béante. La petite n'a pas le temps de crier qu'elle se voit contrainte d'obéir à la poigne de fer, un doigt sur la bouche il lui fait signe de se taire.

Hop, il repart à l'aventure, accourant derrière Sorianne avec toute la grâce d'un daim en pleine course. Tiveg, dissimulé dans les jupons de sa mère, penaud, la mine fort déconfite, est saisi par la culotte et chargé sur l'épaule de Col.

Allez la marmaille on file !

Il voudrait bien faire de même avec Sorianne, mais cette dernière lui a déjà rongé la moitiè d'un tibia quand il s'était essayé à la chose lors d'une soirée particulière... Le mode "sac de pattate" n'est pas le meilleur des transports pour elle, de plus Tiveg laisse échapper sa colère coincé comme il l'est. Il faut se hâter...

Ma mie chérie que j'adore... Il baisse le ton pour ne pas se faire surprendre par le gamin qu'il porte sur l'épaule. Je viens de dégager ton entrée... J'aimerai bien que tu fasses demi tour avec ton tendre pour déguerpir d'ici... Ses yeux vaquent d'un loup à l'autre. Quelques gémissements de chiots se font entendre et l'homme remplit les cases vides : des louveteaux ! Ils ne sont pas loin de la tannière des louveteaux !

So... Ma petite brune au caramel... ?

Sorianne

Fichu gamin, qu'est-ce qui lui en avait collé un pareil! Et de qui il tenait donc cet entêtement à faire frémir?? Euh joker, on va éluder la question... Retroussant jupons pour ne pas à trébucher dans les herbes où elle se trouvait la jeune femme vit soudain avec horreur un des loups faire tomber son fils. Bon sang quel idiot!! Elle frémit et accéléra le pas en faisant des gestes du bras,

Allez vous en!! Oust sales bêtes!! Laissez le!

Ouh que ces bêtes viennent! Mais qu'elles ne touchent pas son fils!!! Elle attrapa ce dernier, et se recula en guettant les loups non loin, tenant TiVeg par le col et derrière elle, ne sachant pas ce qui la retenait de lui coller une déculottée du tonnerre!

Pendant ce temps du côté de Lysi.

La fillette n'avait pas suivi grand choses en fait. Elle était en train de se chamailler une nouvelle fois avec son frêre à propos du Sieur Colhomban. Il était beaaaaaaaau, et elle était sûre qu'elle se marierait avec plus tard, même si Moman voulait pas. Mais bien sûr TiVeg n'était pas de cet avis, et voyait même d'un mauvais oeil sa présence avec eux. Maaaais pourquoaaa?? Du coup... Châmaillerie.

Sans s'y attendre, Lysi s'était sentie comme... esseulée, et s'aperçut vite qu'un énorme animal avait sauté sur son frêre.

Miko!

Mais non, à bien regarder ce n'était pas lui, et d'ailleurs le loup s'éloigna vite. Aprés tout ceci, ils se retrouvèrent prisonniers derrière Col, Oooooh un prince charmant!!

Aiïïïïïïeuuuuuh!

Elle venait de se faire pincer et donna un coup en réponse. Leur mère remplaça vite le sieur Col et TiVeg sortit son épée et fonça dans le tas... La fillette le regarda partir avec envie, mais elle avait son épée dans un des sacs de bats, pas sur elle.... Puis elle décolla du sol. Bouche bée, elle le regarda défiler sous elle et se retrouva bien vite sur une planche de bois... C'quoa ça? S'était passé quoi!? Elle voulut le demander et piquer une colère mais on lui fit signe de se taire. Mais quand ils revinrent...

ET POURQUOA MOA JE DOIS TOUJOURS RESTER A L'ECART??! C'EST PASSQUE J'SUIS UNE FILLE?! C'PO JUSTE!! J'VEUX VOAR LES LOUPS!!!

Têtue comme une mule... On se demande là encore d'où elle tenait ça... Hum... Elle se planta raide comme un piquet à l'entrée des remparts.

Du côté de Vegoku deuxième du nom.

Il filait comme une flèche en direction du loup! Il n'allait en faire qu'une bouchée! Mais il fut prit en traitre et se retrouva au sol, n'ayant pu supporter le poids de l'animal, avant même d'avoir pu faire quoi que ce soit. Désarmé, l'épée ayant volé un peu plus loin, il se sentait pris au piège. Et voilà qu'il entendait la Moman v'nir... Oups... Jetant un coup d'oeil dans sa direction, il préfera reporter son regard sur le loup non loin... Têtre c'est eux qu'il préferait à ce moment là... Mais il se releva et fit son bravache. Il n'allait pas se laisser faire namého! C'était un Vegoku d'Olénius! Pas n'importe qui!

Maaaaaaaaaaaaaais!!! Lâchez moi sale type qu'on connait même pas!! Assassin!!!! Tricheeeeeur!!! Lâchez moiiiiii!!!! Bas les pattes maraud!!! Tu vas tâter d'mon épée!!! S'il la retrouvait, et c'était si bien cette phrase... Il révait de la sortir, c'était l'occasion... Tu sais pas à qui t'as à faire!!! Lâââches mooiiiiii!!!!

Il se débattait, voulant descendre de cette épaule! Ce n'était pas une position digne d'un chevalier!

Du côté de la Moman remontée...

So avait entendu un *crac* sonore et en se retournant ne trouvait plus Col dans son champs de vision. Ayé sorcellerie!! Manquait plus que ça! Mais il fut vite auprés 'eux et attrapa TiVeg comme elle rêvait de le faire. Quand elle vit le geste dans sa direction, elle se déporta, fallait pas qu'il retente! Enfin... Là elle n'était pas en chemise de nuit... Cela aurait été moins indécent que la première fois!

Je viens de dégager ton entrée... J'aimerai bien que tu fasses demi tour avec ton tendre pour déguerpir d'ici...

La jeune femme eut un déclic.

Aaaaaaah c'était ça le craquement?!

Chttttttt, elle fit silence quand elle se souvint qu'elle était au milieu de loups. o jeta un coup d'oeil dans leur direction, et commença à marcher doucement à reculons, déglutissant difficilement, pas vraiment envie qu'ils aient l'envie de leur sauter de nouveau dessus.

Euh oui tu as raison...

TiVeg aurait droit à une leçon plus tard, en attendant sauver leurs peaux.

Dire que je voulais juste vous montrer cette porte... Puis... Il lui avait donné faim en parlant de caramel, aussi affichait-elle un léger sourire, tout en ne quittant pas les bêtes des yeux. Caramel? Je savais que j'étais sucrée! Mais j'ai bien envie de cerises...

Comment ça c'est pas le moment de parler de ça? Imaginez ce beau fruit rouge, presque noir, cette chair tendre et sucrée, hmmmm elle en avait l'eau à la bouche. Pardon, elle s'égare.

ET POURQUOA MOA JE DOIS TOUJOURS RESTER A L'ECART??! C'EST PASSQUE J'SUIS UNE FILLE?! C'PO JUSTE!! J'VEUX VOAR LES LOUPS!!!

Rhaaa ces monstres! Mais cela voulait dire qu'ils arrivaient à la porte. Bon point pour eux ça. Surtout quand ils voyaient les bêtes se rapprocher. Ayant été plus vite que Col, elle vit quelque chose dépasser... Haussant un sourcil avant de rejeter sa mèche folle, elle porta la main au séant de Col, (vi elle est pas trés génée des fois) et en retira une immeeeense aiguille. Avec une grimace de douleur, elle l'observa, oubliant un instant les loups.

Mais c'est quoi ça?!
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Une belle bannière?

Colhomban

Le brun avait un gamin sur l'épaule et avançait à grandes enjambées vers la port défoncée. Sorianne suivait derrière, l'épée aux aguets, prête à en découdre. Ha quelle femme ! En extase devant sa mie il oublia bien vite ces désirs amoureux quand Lysi piqua une grosse colère. Il la fit décoller à son tour sur son autre épaule et avança vers l'intèrieur du village avec aucune intention de les poser. Il aurait deux mots à dire à Sorianne sur l'éducation de ses enfants...

Perdu dans ses pensées une douleur fulgurante lui traversa les fesses. Sa brunette avait une épine coincée entre son pouce et son index, et un regard interrogateur dansait dans ses prunelles.

Ne t'inquiète pas il y'en aura d'autres... Le ton était boudeur.

Les monstres je vous pose seulement si vous marchez calmement à côté de nous et si aucun de vous deux ne tentent de s'échapper ou de se venger... Compris ? Sinon la punition sera terrible...

Il avait pris sa voix de capitaine, celle qu'il avait aimé arborer quand ses troupes devaient suivre la cadence.

Un panneau de taverne grinçait sur ses gonds dans une ruelle non loin d'eux. Il était temps de se restaurer, de se reposer, et surtout de récupérer charette et amies !

Lotx

'ttendez moua, 'ttendez moua! L'es lourd mon saqueuh!!
-Tu veux pas que ze te... soulaze choubinet?
-Nan!

Lotx trainait péniblement le sac contenant toutes ses affaires pour le voyage. Ses habits, quelques provisions... Mais aussi tout son matériel à prières... et tous les saucissons invendus qu'il comptait bien refourguer à quelques unes de ces langues de vipères...
C'est dans un effort inhumain qu'il hissa le tout sur une vache qui tréssaillit sous le poids.

Vala, on peut y aller maintenant!
-Allez les enfants, en rut... enfin ze veux dire... en route! Et tassons d'éviter les brigands qui pourraient nous détrousser, nous déshabiller nous... violer...

Air songeur du clerc, regard noir du garçonnet. Sifflard n'était pas initialement prévu dans l'escapade mais il avait réussi à nouveau à s'enfiler Lotx... enfin à s'enfiler dans son groupe et prenait à présent la route de Bergerac.

Au revouareuh Castillon... Je vais reviendre... Te laisse pas séduire par les épines de la calomnie pendant mon absence...
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Pasque y a pas que les poneys dans la vie d'abord: l'hymne de Lotx

Aurelien_le_ninja

raa! raaaa! raaaaa! Attendez moi quoi !
Hey Lae ! Ness ! Dea ! Rob !
Oh Ca va ! On est pas aux pièces là !
On est arrivé non ?
Auré s’arrêta sur la borne au porche d’entrée du village et enleva ses bottes
Pas vrai çà toujours pressés ! Je viens plus avec vous si ca continue !!!!
Hé vous m’attendez oui !!!
Hé !!!!!
Auré courut ses bottes à la main pour rejoindre ses amis qui avaient déjà disparus dans une rue du village
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Robinus70

Robinne arriva toute essoufflée aux portes de la ville, torchons en main.
C'est qu'elle faisait son petit ménage, et elle n’avait pas vu le temps passer...

Le départ, je ne veux pas rater ça, avec la caravane qui vous lance tout plein de cadeaux, pis le gros Mordock avec ces bouées sur le toit de la diligence et son sourire en forme de croissant heureux.

Alors elle agita ses chiffons, dans un nuage de poussière et se mit à chanter la chanson de Kahhlan.

Moi je file un rancard
a ceux qui l’voudront bien
Sans idéologie discours ou baratin
je vous promettrai pas
Les toujours du grand soir
mais juste pour un temps
du rire et de l’espoir

Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid
Dépassé le chacun pour soi
Quand je pense à toi je pense à moi

Je vous promets pas le grand soir
Mais juste à manger et à boire
un peu d’humour, un peu d’espoir
et un grand bal en fin de l’histoire
Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid

Autrefois on gardait toujours une place à table
Une chaise, une soupe, un coin dans l' étable
Aujourd'hui nos paupières et nos portes sont closes
Les autres sont toujours, toujours en overdose

J' ai pas mauvaise conscience, ça m' empêche pas d' dormir
Mais pour tout dire ça gâche un peu l' goût d' mes plaisirs
C' est pas vraiment ma faute si y' en a qui n’ont rien
Mais ça le deviendrait si on n' y change rien

Refrain

On a pas de solution pour leur changer la vie
Mais si on peux aider quelques heures allons-y
Y' a bien d' autres misères trop pour un inventaire
Mais ça se passe ici, ici et aujourd’hui

Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid
Dépassé le chacun pour soi
Quand je pense à toi je pense à moi

Je vous promets pas le grand soir
Mais juste à manger et à boire
un peu d’humour, un peu d’espoir
et un grand bal en fin de l’histoire
Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid

Robinus70

Alors qu’elle agitait encore sa petite main sur des points au loin, une autre silhouette apparut à l’entrée de Castillon, alors Robinne se mit à courir, courir, et se jeta dans deux bas maigres.
Un visage pâle maladif la regarda et lui offrit un pâle sourire.

Elle tendit une main.

Viens…

Sa petite main le guida vers les bleuets, au chaud, avec pour seule richesse, toute la chaleur humaine que la maison de Gawin et d’elle pouvait offrir…

Dragones

Les portes sont franchit…

Dragones regarde le village et sourit…Willow toujours entrain de tété…
Rentrer à la maison se poser un moment, puis faire le tour du village…

Va falloir tout organiser car Griselda étant resté en Périgueux, Dragones se retrouvait seule avec les enfants.
Seamus étant parti travailler à la mine il n’était pas revenu avec eux…
Willow avait enfin lâché son sein, Dragones remet son vêtement en place et pose Willow avec son frère et sa sœur…

Elle descend de la calèche aider par le cochet…Ils avaient lié connaissance durant le voyage et il avait été patient avec les petits…

La jeune mère tout en préparent le transport des enfants vers la maison remercia le vieux cochet et lui fit de grosse bises sur ses joues barbue…
Les enfants dans leur panier sur son dos, le troisième contre elle entourait du drap, la voilà traversant le village en direction de sa demeure…

Plus tard Dragones revint près des portes de Castillon…Un regard en arrière, un sourire et la voilà reprenant la route…
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Alea...

Les filles avaient dû quitter Eleusis. Bien vite. Trop vite. A peine arrivée ici, qu'Ulayha regrettait déjà Eleusis. Elles revenaient en terre barbares, comme disait si bien Silence.
Ula regrettait bien Eraste. Qui allait les protèger maintenant ? Lui était resté sur l'argo, confiant aux jeunes femmes son envie de partir explorer les terres du nord...

Silence, Ulayha, le chien, le chaton et l'âne entrèrent à Castillon... Enfin ? Non, déjà... C'est dépitée que la jeune femme entra dans ce village qu'elle haïssait tant.
Mais il fallait rentrer. Michi avait des problèmes et elles se devaient d'être là pour elle.

Elle regarda Silence, son regard n'exprimait que de la peur. Qu'allait-il arriver, maintenant ? Ici... Elle avait peur pour leur avenir. Elle avait pourtant confiance en Silence, mais en les autres, non. Jamais ! C'était plus fort qu'elle. Elle avait essayé de contrôler ce sentiment qui la rongeait sans jamais y arriver. Et maintenant, de retour ici, elle était effrayée. Effrayée à l'idée qu'un jour, elle pourrait partir.
La jeune femme ferma les yeux et inspira profondément. Ne plus penser à cela... Ca n'arriverait pas. Elles s'aimaient et rien ne pourrait les séparer. Elle essayait de se convaincre... Et parfois, elle y arrivait, d'autres non. C'était ainsi...

Bon, on y est. On va d'abord poser nos affaires ou on va directement chez Michi ?

Elle la regarda, attendant sa réponse...
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*silence*

Silence tirait tout ce qu'elle pouvait, comme une folle qu'on lui avait toujours reproché d'être ! Mais une folle dévoué aux amitiés et aux amours fidèles, malgré toute la souillure qu'on pouvait verser sur elle.
la corde du licol de l'âne dans une main, la main d'Ulayha dans son autre main, elle entrainait tout dans son sillage, sans rien penser, rien regarder autour, tendue comme une flèche vers sa cible : Oiseau !

Notre amie, Amour ! Notre amie ! Plus vite ! Il faut aller plus vite ! C'est déjà assez de tout ce temps perdu par la folie de ma soeur ! Oh ! Comment avons-nous put faire attendre si longtemps une amie si chère ? Elle a veillé sur mon arrivée ici ! Sur la tienne ! Et jamais ne s'est plainte ni ne nous a fait défaut ! Voilà ce qu'est notre Oiseau ! Et tu demandes si nous pouvons encore faire attendre ? Oh non mon amour ! Non... Elle est le bien le plus précieux pour nous deux que cette vie nous ait accordé... Allons plus vite encore, pitié, plus vite !

Albine.

Le voyage avait été long mais agréable tout de même. Papa était resté dans un monastère sur la route, les 3 "femmes" étaient donc libres de faire toutes les échoppes de tisserands !

Pour l'heure, on pouvait se dégourdir les jambes. Albine à terre, revient enfin là où le vent avait emmené la graine ! tsssssss

Elle sourit, elle ne reconnait pas l'endroit de sa naissance, mais s'y sent bien instinctivement. Remontant sa robe sous les bras pour éviter les chutes, et tenant son mouton d'un côté et son biberon de l'autre, elle avance le nez en l'air ravie.
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Noeline

Castillon enfin ! La route fut quelque peu perturbée par l'enfermement inattendu de son époux au monastère à Bergerac, décidément il n'était pas facile de rester en sa compagnie, dommage pour lui surtout.

Noeline et sa petite famille franchit les portes de la ville au matin, tenant Albine par la main. L'enfant semblait redécouvrir l'endroit heureuse d'être là.

Ils venaient régler quelques affaires de famille, et séjourneraient quelques jours en cette ville avant de repartir vers leur ville Aurillac. Noeline se mit en quête d'une auberge pour poser ses malles et prendre un peu de repos.
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Cymoril

Arrivée et départ,

Elle n'aurait dit mieux.
Pas envie de s'arrêter où que ce soit de toute façon, et encore moins si près de la maison...
Plus que deux jours et elle y sera enfin la jeune labritoise.

Presque deux mois qu'elle est sur les routes, à droite, à gauche, le retour en solitaire depuis Genève via la Lorraine, ou comment j'ai le sens de la désorientation ancré aux sabots d'mon canasson...

Parait que ça remue pas mal dans la région.
Elle n'en sait pas grand chose à vrai dire, les nouvelles éparses qui lui parviennent parfois l'indiffèrent la plupart du temps.

Le seul castillonnais qu'elle connaissait étant mort depuis des mois, il n'y avait eu que le marché pour exercer un certain attrait pour la brunette.
Une fois épluché le codex local, les interdictions d'acheter, de vendre, de respirer, laisser son cheval lacher son crottin devant les tavernes, non elle déconne, son camarguais fait ce qu'il veut de toute façon...

Un saut à la municipale pour y rencontrer le maire, et tenter de négocier des denrées pour sa mairie, et la voilà déjà repartie sur la route.
C'est qu'elle a un genre d'idée fixe, comme rentrer chez elle, coûte que coûte... Allez donc savoir pourquoi, quand il parait que jamais halle ne fut plus morte que depuis quelques temps.

Ne cherchez pas le myrmidon Cartel, elle n'est déjà plus là...
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Bikko

Fatigué de tout ses pas, Bikko arrive a sa ville enfin.

Sans siffloté ni pas cadancer, mais heureux d y etre pour de bon,
enfin...il le pense,

il s approche de la grande porte et regarde le gardien et dit en souriant
casssstillonn ouuuvre toi^^le gardien secouant la tête en disant qu il
ne changera jamais se Bikko

Le gardien lui dit:

aller Bikko entre et fait vite le vieux (dit en souriant)

Aaattention le jeunot il est vrais qu un villageois ne peu toucher un de
la garde mais je peux faire un retoooour et le vieux pourrais lui faire
manger une bonne sousoupe au dent au petit jeunot qu en dis tu?^^

Nonon ça va ça va (dit en souriant)
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Dragones

Le regard et brillent en vue de des porte de la ville…
Le sourire se fait, la joie d’être rentré…La main sert celle de son époux…

La calèche s’arrête aux portes…La jeune femme se tourne vers sa famille…

Griselda j’ai beaucoup à faire avant de reprendre la route, je sais que t’aimerais rejoindre ta famille au plus vite mais j’ai beaucoup à faire…se tourne vers son ange…Mon cœur je vous revois plus tard, je dois filer…Dragones embrasse ses enfants, Griselda et embrasse tendrement Seamus…

Le jeune femme saute et sourit…
Ce tournant vers Bikko…

Roooooooo, tu ne vas pas lui faire de mal a ce pauvre garde, devant toi il ne gagnera pas il aurait trop peur de te faire mal…Dragones éclate de rire en voyant l’expression de Bikko…

Iroise fut détacher et Dragones monte en selle avec souplesse…

On se verra surement en taverne ou à la maison…

Elle entre en ville au trot tout en criant…

Bonne journée et vive Castillon !
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Cracotte134

Le voyage etait fini Cracotte a la vue des portes de la ville fut heureuse elle etait enfin de retour ...mais son coeur se fit lourd d un coup ...

cet environement ,.... l odeur ...., les bruit .....d un coup tout revenait ....
elle prit une grande respiration et essaya de se montrer forte elle devait arriver a remonter ici et pas ailleurs ......il le fallait .....

elle marcha dans les rues et se dirigea de suite vers sa maison autant faire le plus difficile en premier .....

Farmers

FARMERS arriva aux porte de la ville,cette ville dont il avait ouïr tant d'éloges, il allait se faire un réel plaisir d'en faire le tour et afin d'en savourer le moindre endroit.
Elle sentait bon le parfum des fleurs!!
Bon ce n'est pas tout ça mais il me faut trouver la
demeure de cracotte afin d'y déposer mon baluchon
et me reposer les pieds de cette longue route

--Griselda

Griselda les suit en silence…
Les enfants étaient installer sur Ness…
Bizarrement l’animal avait été des plus docile, très surprenant venant de cette âne qui aimait sa maitresse et pincer ou taper du sabot qui s’approcher…
Peut être que la présence des enfants le calmé…
Dragones sur Iroise et Seamus sur un cheval également…
Griselda les regarde partir de cœur gros…
La vielle dame soupire et les regardes disparaitre sous son regarde en s’enfonçant dans la nuit…
Griselda prit la direction de sa maison en soupirant…

Dragones

Dragones s’arrête en haut de la colline et regarde Castillon, le cœur s’accélère, les mains deviennent un peu moite…Son regard se pose sur Seamus qu’elle a retrouvé en chemin…
Ils avancent et franchissent les portes, le plaisir d’être revenue à la maison leur fait avoir le sourire malgré la fatigue…

Seamus pris les rennes de Ness et récupéras Deirdre qui dormait tout contre sa mère…

Merci mon ange, on se revoit plus tard et je pense que Griselda doit être à la maison à nous attendre.

Dragones ayant descendu d’Iroise embrasse sur le front chacun des enfants, enlace Seamus et un doux baiser s’échange entre les deux époux…
La main se lève et caresse la joue de son ange…

A plus tard mon ange.

Dragones tend monte sur Iroise et se dirige vers la forêt au trot…
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Seamus

Castillon... enfin te revoilà !

Il sourit dans l'aube naissante

Merci mon ange, on se revoit plus tard et je pense que Griselda doit être à la maison à nous attendre.

Je vous en prie ma douce
Les enfants seront sûrement un peu ronchons de toute façon dans les jours à venir vu comment nous avons chamboulé leurs habitudes

Entre son baiser et sa caresse, il est à mille lieux de là

A plus tard mon âme

Il la regarde s'éloigner alors, réinstalle les enfants et prend le chemin de la maison

Kahhlan

Philibert l’accompagnait pour son retour au village ..
Elle n’était pas plus à l’aise que cela et sa présence la réconfortait, de plus qu’il lui avait promis de lui faire goûter les joies de l’eau en lui apprenant à nager correctement .

Petit sourire à l’approche du village et Faënora s’impatientait ..elle dut la contenir pour la garder au pas et rester côte à côte de la charrette tirée par Câlinou que Philibert guidait.

Elle donna les consignes à ce dernier , il ramènerait la charrette à la maison et la rejoindrait plus tard en taverne …

Elle … il lui fallait trouver Mordock ..

Ils se séparèrent à la croisée des chemins en se faisant un signe et Philibert l’encouragea d’un mot aimable. Elle soupirait …
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Albine.

Sortie du monastère tranquillement. Albine regarde à droite, à gauche sans trop savoir où aller... oups

Bon et bien en attendant môman et Marie, elle s'installe par terre, caline son mouton et tétouille son biberon.
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Seamus

Seamus se dirigeait d'un pas lourd vers les portes

Le besoin l'appelait loin des siens un moment et ils allaient lui manquer

Il souffla un baiser en direction de la maison puis se tourna vers son cheval et la route derrière

Il caressa son encolure et l'enfourcha avec une pensée pour sa famille qu'il n'avait même pas eu le temps de saluer : sa tendre épouse, ses deux fils et sa fille

Il sauta en selle et s'enfonça dans la nuit

Dragones

Cette nuit là, la lune bien haute, les étoiles scintillantes Dragones galope et traverse le village sur Iroise…
Cavalière et jument ne faisaient pratiquement qu’un…L’une et l’autre anticipant les désirs de l’autre…
Iroise comprenait l’urgence et ses galops se faisaient allonger et fluide…

Seamuuuuuus !

Elle le voit se retourner, il arrête son cheval et sourit…Se rejoigne et se retrouve dans les bras l’un de l’autre, unissant leur lèvres dans un baisser passionné…

Prenez soin de vous, on vous guettera les enfants et moi…Le regarde se fait intense, la voix et vibrante d’émotion…

Il ferme ses yeux, elle se retrouve blottie dans ses bras, la câline…
Ils remontent sur leur monture, dernier baisé soufflé et il repart…

Dragones lui murmure…Je vous aime mon ange à jamais…Souffle un baiser et plus lentement retourne à la maison après qu’il eut disparu de sa vue…
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Verya2

C'est à l'aube qu'elle aperçu les portes de la ville …

Cela faisait deux mois que Verya avait quitté Conflans …
deux mois qu'elle était sur les routes ne s'arrêtant que peu … deux mois à la recherche d'un endroit où se reposer.

Elle avait espéré que ce serait Blois … grave erreur … elle n'y était pas la bienvenue … avait repris la route seule …

Elle avait rejoint ce groupe à Limoges … la solitude commençait à lui peser …
Dame Pyrotess lui avait proposé de se joindre à eux … Messire Seamus l'avait acceptée … lui avait offert l'hospitalité … elle avait suivi …

Le soleil se levait sur Castillon … la forêt … le lac … le ruisseau dans la plaine menait à un drôle de moulin …

En haut de la colline, Verya s'arrêta, s'assit, replia ses genoux sous sa chemise trop grande …
Elle souriait … contemplait, une fois de plus, le soleil levant …

Il faisait frais ce matin là … ce serait une chaude journée d'été …
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Seamus

Seamus arriva avec les derniers membres du groupe en son village de Castillon

Enfin de retour

Il salua ses trois derniers compagnons et prit le chemin de sa maison et de sa famille... enfin !

Il chevauchait depuis plusieurs jours et son dos ainsi que ses jambes le faisaient souffrir

Rarement s'était il senti aussi seul : pas de cabotine, ni son épouse, ni même leurs enfants ; heureusement que sa marraine et son compagnons avaient été là, cela lui avait fait du bien

Il éperonna son cheval pour parcourir rapidement les derniers mètres et sauta de selle à peine arrivé

La suite ici

--Enguerrand_de_honfleur

Jour 1, au lever du jour

Derrière le groupe de Seamus arrivèrent deux cavaliers.

Le premier chevauchait un hongre brun à la crinière habillement taillée, harnaché de cuir neuf. Assis confortablement sur une ample selle de voyage, la silhouette élancée de l’homme ressemblait à une statue de procession tandis que ses yeux fixaient l’entrée de la ville et le chemin de ronde. Sous la fine poussière ocre qui le recouvrait, on devinait la distinction de l’habit. Des bottes neuves délicatement ouvragées, une longue cape d’un précieux grenat et un bliaud brodé, une chemise écru aux longues manchettes fermées de boutons métalliques. Il portait sur la tête un cale de voyage rigide de la même couleur que la cape, donnant à son visage sec et sévère l’allure d’un épervier encapuchonné. Un menton tenu bien haut, des petits yeux gris perché au dessus d’un long nez sec et aquilin, ajoutés à un fin sourire confinant à la moue, donnaient à son visage un air hautin et supérieur. Sans être noble, l’homme pouvait être un riche marchand, un usurier ou un ecclésiastique, si ce n’était la fine rapière pendue à sa ceinture.

A ses côtés, le deuxième cavalier tranchait par une allure plus martiale. Perché sur un solide roussin gris, il se tenait raide comme la justice, maintenant sa monture d’une poigne ferme et experte. Ganté et botté de cuir épais, l’homme portait jusqu'à hauteur de genoux un long broigne de peau recouvert de plaques métalliques rivetées, renforcé d’une épaulière de plate sur la droite. Une longue épée bâtarde défendait son flanc droit, tandis qu’un écu sans âge couvert de cicatrices argentées était suspendu dans son dos comme une arrière garde personnelle. Son visage, impassible et stoïque, avait les traits sévères et burinés, comme sculptés dans un tronc de chêne. Sous un nez visiblement cassé, ses lèvres serrées n’inspirait guère la sympathie, sans parler de cet œil blanc que barrait une vilaine balafre violacée.

Il attendirent que la place soit dégagée pour s’avancer nonchalamment vers les gardes. Sans même le saluer, l’homme en grenat s’adressa au premier d’entre eux. Sa voix monocorde sifflait derrière ses lèvres à peine entrouvertes.

Indique moi une bonne auberge que j’y repose nos montures. Un endroit propre et bien fréquenté. Tu en répondras.

Le garde, quelque peu décontenancé par cette approche aride et vierge de toute politesse, hésita un instant à envoyer paître au loin cet arrogant personnage avec son acolyte et ses deux canassons. Tout planton qu’il était, il représentait quand même l’autorité et on lui devait le respect. Mais la place devant les portes s’était dangereusement vidées, il ne restait que lui et son collègue – qui derrière n’en menait d’ailleurs pas très large – face aux deux cavaliers qui le fixaient à présent d’un regard pénétrant, main sur le pommeau de leur épée. En ces temps de trouble, ce n’était pas le moment de jouer les héros, ni de se lancer dans une séance de savoir-vivre. En guise de merci, il pouvait tout aussi bien recevoir une dague dans l’œil.

Le garde se redressa, s’agrippant à sa hallebarde en relevant la tête dans un dérisoire défi, mais sa voie chevrotante cachait difficilement son angoisse.

Ben…allez donc voir chez Dam’ Kahhlan, à la Belle Endormie. C’est bien t’nu et on y maque bien, pouvez m’en croire. S’rez pas deçu !

Le garde esquissa un sourire mais le ravala aussitôt devant les visages impassibles de ses interlocuteurs.

Et le bureau du cadastre, dis moi où il est. enchaîna l’homme en grenat.

"Qu’allait donc faire deux voyageurs au bureau du cadastre" se demanda le garde en se grattant la barbe dans une maladroite diversion. Pas de malle, pas de bagage, et il voulait bien se faire cureton si ces deux là venaient faire pousser des radis ou élever des chèvres ici-bas.

Beh, à la mairie j’crois ben, au centre du village. Et pourquoi donc qu'vous allez là-bas?

Sur son hongre toujours calme, l’homme opina du chef en plissant les yeux, le sourire narquois toujours accroché à ses lèvres, puis tourna lentement la tête vers ce qui semblait être son homme de main ou son garde du corps. Sur un signe imperceptible de son maître, celui-ci porta la main à sa besace et en sortit une petite bourse de cuir. L’autre reprit la parole en fixant à nouveau le garde. Sa voix était toujours aussi suffisante mais s’était faite plus sucrée.

Le monde est divisé en deux catégories, pauvre cerbère. Ceux qui posent des questions et ceux qu’on paye pour y répondre. Ceux qui essayent d’appartenir aux deux à la fois ne font pas de vieux os.

En guise de ponctuation finale, la bourse vola en direction du garde et s’écrasa sur son plastron en tintant. Les deux cavaliers se détournèrent et passèrent les portes de la ville dans un raclement de sabots, laissant les deux gardes déconcertés, penauds et pas rassurés pour deux sous.

La suite ici...

--Narrateur

Jour 1, fin d’après-midi

C’est à l’heure où du monastère retentissait les cloches annonçant vêpres que le convoi arriva aux portes de la ville, dans un vacarme de roues cerclées, de grincements de bois et de claquement de sabots. Un épais nuage de poussière ocre l’accompagnait et c’est à la lumière du soleil, tel un théâtre d’ombres chinoises, qu’on pouvait deviner le contenu de l’attelage. Deux longs chariots lourdement chargés et tirés par des bœufs, et un cavalier dont n’émergeait que la tête. Celle d’un homme d’arme, ruisselant de sueur sale, enchâssé dans un camail de cuir et un chapel de fer.

L’attelage s’arrêta à une dizaine de mètres des gardes. Comme vomie d'une étable, une forte odeur animale se dégageait du nuage de poussière qui, lentement, retombait sur le sol tel un drapé de soie, envahissant tout le parvis d’une farine âcre et sableuse. Le premier garde, littéralement noyé, ferma les yeux en se protégeant la bouche, et grogna à qui voulait l’entendre

Crévind'jou !…ptttt…qu’est c’donc qu c’te caravan’ là!

En réponse, l’autre garde, couvert de fines retombées, grommela en recrachant du sable.

mate e’l’bastringue…pttt…j’crois ben qu’c’est des marchands d’bière, ou p’t’être e’d’vin…pttt…pttt…

Ca y ressemblait en tout cas. A l’avant du convoi, le premier chariot, tiré par deux bœufs sous le joug, transportait une montagne de fûts sanglés les uns aux autres. Des traces brunâtres et violacés auréolaient les trous de remplissage fermés de bouchons en liège et de toiles de lin. Perchés à l’avant sur un banc qui devait aussi servir de caisse à outils, se tenaient deux hommes. L’un, plutôt rondouillard, trônait comme un évêque, engoncé dans un pourpoint vert olive bardé de lacets et rehaussé de maheutres bouffantes. Il s’époussetait vigoureusement à l’aide de sa coiffe assortie au costume, faisant joliment gigoter les plis lipideux de son triple menton. L’autre paraissait insignifiant à côté, un ouvrier peut-être. Le visage fermé et banal, il tenait négligemment les rênes en ignorant la poussière que soulevait son voisin et qui lui retombait dessus en pluie fine.

Sur le deuxième chariot, tout en longueur et tracté par un imposant comtois beige, s’alignaient deux énormes réservoir de bois, comme des baignoires à géant, sises sur de grosses tables rondes et épaisses où l’on devinait une profonde rigole sur toute la circonférence ainsi qu’un volumineux déversoir. De chaque côté, calés dans les rehausses à barreaux, s’entassaient de large pelles, des pilons et des râteaux de bois. L’attelage était tenu par un couple assez jeune, habillé de robustes vêtements de lin pour le voyage , un chapeau noir sur la tête de l’homme, un doubiot coloré ceignant les cheveux clairs de la femme. Celle-ci se tourna vers son compagnon, tout sourire, attrapa ses joues à deux mains et déposa un long bec au beau milieu. Puis elle sauta du chariot et couru vers le garde.

Bien le bonjour soldat, pardonnez nous cette arrivée chahutée clama t’elle en riant tandis que le garde, tout poudreux, avalait ses derniers grains de sable.

Je suis Claudine Tastevin….. Nous arrivons de Dôle pour acheter ce raisin de Castillon vanté dans tout le royaume. Et au-delà!

Sa longue robe écrue resserrée à la taille découpait une silhouette solide et harmonieuse, surlignée par un long tablier bleuté attaché dans son dos et derrière son coup. Au creux de la poitrine brillait une fine médaille de baptême.

Voici mon époux, Beren continua t’elle en tendant la main.

Depuis le chariot, l’homme – un beau visage coiffé de cheveux bruns, aux solides mâchoires, et planté sur de larges épaules - souleva poliment son chapeau, gratifia le garde d’un large sourire et sa compagne d’un baiser de la main.

Nul n’était besoin de présenter le soldat, qui, selon toute vraisemblance, ne faisait que leur servir d’escorte moyennant finance, comme c’était désormais l’habitude – voire la règle de survie - sur les routes dangereuses du Royaume. Cuit à point dans un broigne de cuir rapé, il semblait prostré comme une motte de beurre et n'avoir pour seule pensée que celle d'une pinte mousseuse pleine à ras bord.

Là-bas derrière, c’est Hugolin, notre ouvrier. Et à côté…

Maître Gaspard Passanmoye, père de cette écervelée tonna le voisin sur un ton outré, la face plissée de colère
et la bienséance aurait voulu qu’il soit présenté avant ce traîne-guenille!

La jeune femme leva les yeux au ciel en se retournant vers le garde et soupira.

Mon père adoré. Je crois bien qu’il n’a pas arrêté de râler depuis Dôle, peut-être même depuis que j’ai épousé Beren!

Elle éclata d’un rire frais et cristallin, suivi du garde qui était tombé sous le charme de ce minois aux yeux bleus éclatant de vitalité.

Nous allons rester quelques jours afin d’acheter le raisin, le fouler et le mettre en fût. Pouvez vous nous indiquez un endroit où nous pourrions installer notre campement et faire paître nos bêtes?

Ben sur ma belle dame mais j’peux point vous laisser crécher par d’dans la muraille, c’t’interdit aux convois comme e’l’vôt. Allez donc plutôt voir par là-bas en longeant l’mur d’enceinte. Après l’pont sur la rivière y’a l’vieux stade de soule avec un grand parvis d’vant et des champs d’bleuets tout autour du ventre.

J’crois même ben qu’y’a d’la vigne ajouta l’autre garde, tout aussi séduit.

Parfait, merci infiniment messieurs, à bientôt sans doute! chanta Claudine en attrapant sa robe avant de filer. Une fois installée à sa place, elle tandis un bras vers le sud-est. Beren fît claquer le fouet et le cortège se mit lentement en branle. Dans un concert de sabots et de chocs métalliques, la caravane disparut bientôt derrière l’arête d’une tour de guet, laissant derrière elle une longue traîne de poussière indolente.

Appuyés nonchalamment sur leur hallebardes, les deux gardes les suivirent des yeux.

Un ben joli couple, pas vrai Lamerluche?

Ouaip, et l’mari a ben d’là chance, ‘l’a l’air amoureux d’sa souris comme un jeune puceau

Mouai, et si t’veux m’en croire, y’a pas qu’lui. T’aurais vu l’aut’ type à côté du ventru. Il la bouffait des yeux…

La suite ici...

Spawnounours

Spawn était de retour dans cette chère ville de Castillon, qu’il adorait.
Il ne s’était absenté un peu moins de deux jours mais il était très attaché à son village, et pour lui, cela était déjà beaucoup trop.
Il pensait déjà à revoir ses amis et surtout de revoir Val, son amour, il avait besoin de parler, de s’amuser et de rire avec chacun.

Il tenait debout par habitude, et son visage était tiré par la fatigue. Le sursaut de son cheval à chaque pas, le tenait éveillé.
Il n’avait pas encore dormit depuis la veille au matin.
Il était partit chez ses grands parents, dans la maison familiale.
Il avait besoin de parler, et de faire le ménage sur son passé.

Il avait beaucoup discuté durant ce cours séjour, des derniers drames de la famille, et surtout de la mort de ses parents.
Il avait détruit et nettoyé, l’ancienne forge. Ce bâtiment était resté depuis un peu plus d’un an, en ruine à moitié calciné. Après que sa mère y soit morte…brulée.
On n’y voyait maintenant à la place, une cour recouverte de pierres, plus ou moins grosses.

Mais le plus important, pour lui, c’est qu’il revenait chez lui, en souriant, enfin.

--Ambrosia

Ambrosia s'était décidée à partir.... par manque de client. Elle avait attelé tulipe à sa roulotte ce matin et s'était mise en route dans la foulée.

Elle passa la porte de la ville, un pincement au coeur comme à chaque fois qu'elle quittait un endroit ou elle avait passé un long moment.

Ecumedesmers

Sous les ordres de son Major, Ecumedesmers, garde en civil de Castillon prit son poste.

Elle s'installa et attendit patiemment les arrivées et les départs.

Bien décidé, cette fois ci à prendre son travail à coeur et prouver à tous qu'elle pouvait être autre chose qu'une femme de fort caractère.

En fin de journée, toujours personne, elle commençait sérieusement à trouver le temps long.

Mais qu'est ce qu'elle faisait là !

Elle tournait en rond comme un fauve en cage, pas bon du tout.

Ecumedesmers

Deuxième jour, toujours personne, la galère totale.

Ecume des mers se demande s'il elle va pas déserter son poste.

Qu'a t on d'elle dans un endroit où il n'y a rien à faire.

Dragones

La jeune femme avait ordonné à une tête brulée de rester en faction devant les portes et aux deuxièmes jours voilà qu’elle reçoit une missive…Elle se doute bien que l’ordre donné ne doit pas la satisfaire mais un garde ne fait pas que ce qui peut lui plaire. Il doit être patient et montrer qu’il en veut et qu’il sait obéir. Dragones se demande si elle allait tenir…
Elle se dirige vers les portes du village et regarde au loin le garde Ecumedesmers…

Alors Garde Ecumedesmers comment cela ce passe t’il ?
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Ecumedesmers

Elle salua comme il se doit son Major

Une horreur Major !

Je me sens tout simplement inutile et punie au coin comme une gamine.

Je veux tellement me rendre utile et enfin travailler pour la garde !

J'ai tellement à prouver !

Je sais que mon caractère est loin d'être facile et satisfaisant mais sur le terrain il fait toute la différence !

Je ne demande qu'à vous le prouver !

Dragones

Dragones salut Ecume…L’écoute attentivement et grimace…

Garde, selon vous je vous ai ordonné d’être à ce poste. Pourquoi ?

Tout en posant sa question, elle monte à la tour…Les escaliers tournent et de ci de là il faut faire attention car la pierre est abimée et la chute peut être fatale…
Elle y est si souvent montée qu’elle arrivait au bout sans être essoufflée comme les premières fois…Le soleil l’accueille et l’éblouie…
Sans se retourner pour voir si le garde l’avait suivi, elle se dirige vers le rempart et regarde au loin…

Voyez devant vous et regardez, que voyez-vous ?

Dragones se retourne enfin et la regarde dans les yeux…
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Ecumedesmers

Ecume suivit son Major, fière et droite comme un "i".

Puis plus elle grimpait plus ça devenait dur, les marches étaient dangereuses, ça glissait terriblement.

Elle arriva en haut en sueur et essouflée, elle n'avait pas l'habitude de ce genre d'exercice.

piouffffffff ! quel montée !

Elle entendit son Major, s'approcha et lui répondit

L'horizon à perte de vue, impossible de s'approcher sans que ne puisse donner l'alerte !

Entrée, sortie ou même attaque, on voit tout d'ici !

Dragones

Dragones l’observe…Le souffle du garde est hachée, la sueur coule de son front…Sa forme n’est pas l’idéal...
Ecume lui répond en masquant le manque de souffle et la fait sourire mais ne pas lui montrait...Dragones se tourne légèrement cachant son visage à la vue d’Ecume…

Exactement, cela est un point important du village. La où nous pouvons défendre et prévenir…Dragones lui montre une corne de brume…

Voyez un danger et souffler dans cette corne, à ne pas utiliser à tout va car sinon on ne croira plus qu’il y est une alerte…

Elle se plante devant la tête brulée…

Garde Ecumedesmers, vous n’êtes pas en forme physique, vous ne tiendrez pas un combat à l’épée et encore moins de bâton…
Utilisé cette mobilisation aux portes pour vous mettre en forme…Que la montaient de ses marches…main, qui montre l’ouverture de la tour et quelques marches…vous deviennent facile sans être essoufflée…

Montrez moi que vous êtes en forme et je reverrais mon opinion sur vous en attendant vous resterez en ce lieu.
Vous voulez une mission, voilà la votre. Vous pensez que cela est rien, que l’ennuie va vous envahir. Organisez vous, travailler votre forme…

Dragones s’approche des marches la regarde et lance avant de dévaler les marches…

Réussissez à descendre et remonter ses marches sans être essoufflée et surtout sans tomber…

Elle dévale les marches, se rappelant laquelle évité, ou poser le pied pour ne pas chuter…La grâce acquise lors de danse se fait voir dans cette descente…Sans l’habitude la tête aurait pu tourner dans ses escalier tournant…
Dragones arrive en bas de l’escalier et sort en souriant, même pas essoufflée, le regard brillent attendant de voir venir la tête brulée…
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Ecumedesmers

Ecumedesmers voyant son Major descendre avec une telle facilité et une telle aisance, se dit qu'elle avait du boulot.

Elle descendit prudemment mais ne vit pas la marche dangereuse et se retrouva sur les fesses, heureusement plus de peur que de mal.

Cela dit son postérieur, même rembourré, avait quand même ramassé, mais elle se garda bien de montrer quoi que ce soit à sa Major.

Elle était bien trop fière pour ça.

Elle continua sa descente en douceur et arriva à la hauteur de sa Major.

Dragones

Dragones avait entendu la chute mais ne dit rien et la regarde arrivé et ne laisser rien paraitre. La tête bruler qui se tenait en face d’elle avait des capacités cela elle en était sur il faut juste qu’Ecume comprenne qu’il fallait de la discipline et d’une situation qui déplait la mettre a son avantage et l’utilisé de manière a développer son potentiel…

Garde Ecumedesmers, je repasserais vous voir et je veux vous voir en pleine forme !
Je vous accorde une sorti le matin et l’après midi pour vous désaltéré en taverne mais attention pas d’ivresse.

Dragones lui fait le salut militaire et lui dit avant de s’éloigner…
Et réfléchissez sur qui aurait pu vous voler votre uniforme.
Elle se tourne et va vers le centre du village…
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Ecumedesmers

Ecume écouta ses paroles, lui fit un salue militaire et y repensa.

Comment lui avouer que sa soeur Cenguine pouvait être à l'origine de cette lettre.

Comment lui avouer que sa soeur est une brigande de renom et qu'elle avait bien reconnu son écriture.

C'était impossible !

Elle devait cacher absolument ses soupçons.

Un autre problème se posait son entraînement.

Monter et descendre ces satanés marches sans s'écrouler.

Elle devait savoir d'abord ou marcher ou pas.

Elle fit plusieurs aller retour.

En fin de journée elle était vannée.

De plus, elle n'oubliait pas son travail de surveillance.

Seamus

Seamus était sorti depuis deux jours de retraite

Les moines qui l'hébergeaient avec ses fils avaient reçu une demande depuis Bergerac pour aider une jeune aveugle qui souhaitait venir jusqu'à Castillon

Les garçons se portaient nettement mieux et le pire était passé, Seamus respirait mieux

En entendant les bons pères parler, il avait décidé de les aider et s'était proposé si ils pouvaient garder encore quelques jours les enfants

L'accord passé, il monta son cheval et parti comme une flèche

L'air vif de la foret lui faisait du bien

Il avait développé ses compétences de médicastre auprès des moines et leurs longues discussions nocturnes lui avaient fait du bien, mais la nature lui manquait... ainsi que sa femme et sa petite Deirdre

Le voyage allé s'était bien passé et c'est un étrange équipage qui revint : un homme menant son cheval par la bride et une jeune femme qui semblait être guidée par un cerf !

Arrivé devant les portes, Seamus sourit et respira à plein poumon l'air de sa ville

Il se tourna alors vers sa compagne de voyage

Dame, nous voici arrivés en Castillon

Venez, je vais vous offrir un raffraichissement en taverne, la route fut longue pour nos semelles

Il passa les portes en rangeant ses armes et cru apercevoir l'ombre d'un garde

Niniel

Le voyage fut difficile… plus long que prévu. Rackettée sur la route elle avait dut rester à Bergerac pour regagner son pain. Là bas, on l’informa d’un homme qui venait la chercher pour Castillon, elle fit le voyage avec celui-ci monté sur un cheval, elle montée sur son cerf. Ainsi ils arrivèrent enfin à destination sans encombre. Quel soulagement !
L’homme l’informa de leur arrivé, l’invitant à boire u n rafraichissement en taverne.

-Merci sire, ce sera avec plaisir que je vous accompagnerais en taverne. Je ne vous remercierai jamais assez pour ‘laide que vous m’avez apporté pour venir.

Niniel s’adressait à l’homme sans avoir son visage tourné vers lui. Elle était vêtue de pas grand-chose, pieds nus, malheureusement elle n’était pas riche, venait à peine de devenir une vagabonde. Bientôt elle s’habillerait plus convenablement, en faisant sa vie ici. Elle hésita mais devait demander, elle prit la parole sans grande joie dans la voix.

-Sire, pourrais-je vous demander autre chose ? Le lieu où se situerait la demeure d’une dame qui s’appelait Michiyo… si vous savez ... sinon je chercherai.

Elle sourit à la fin de sa phrase. Son cerf continuait à suivre l'homme et son cheval transportant la jeune aveugle jusqu'à la taverne, trajet qu'il retiendra pour l'y ramener. Elle reprit.

-Aussi... Appelez moi Niniel, ou Nini plutôt que dame s'il vous plait.

Ecumedesmers

Ecume qui venait de faire un énième aller retour dans les escaliers vit arriver au loin un homme et une femme.

Elle dévala les marches avec plus de destérité qu'avant.

Elle avait encore du boulot mais c'était quand même mieux.

Toujours essoufflée et rouge comme une tomate elle arriva à l'entrée.

Elle eu le temps de se rafraîchir de s'essuyer et se posta, fière et droite, pour les accueillir.

Bonjour, garde territoriale Ecume des mers

A qui j'ai l'honneur et quelles sont les raisons de votre venue dans nos murs !

Malgré quelle soit en civil, elle n'en était pas moins garde et faisait son travail le plus sérieusement possible

--Morgane_genes

La charette tirée par un cheval, arriva enfin aux portes de Castillon.
Morgane souriante, s'arrêta aux portes de la ville. Et comtempla la muraille qui se dressait devant elle, cela l'avait toujours impressionné.

Le cannasson émit un hénissement de plaisir devant ce repos bien mérité. La charge qu'il tirée n'était pas évidente, depuis trois heures qu'il marchait. Sa maitresse l'hydrata ainsi qu'elle même.

Ecumedesmers

Ecume des mers s'approcha de la dame et lui demanda

Bonjour je suis la garde territoriale Ecume des mers !

A qui ai je l'honneur !

Que venez vous faire à Castillon et que transportez vous ?!

--Morgane_genes

Morgane remontait sur sa charette lorsque elle vut une femme s'approcher.
La descente de la charette fut aussi rapide que la montée, doucement et délicatement. Ces muscles et ses articulations lui permettaient pas d'aller plus vite.

La femme se présenta à elle et lui posa des questions.

Enchantée de vous connaitre, garde territoriale Ecume...

Elle réfléchit un instant

...des mers.

Elle sourit de son manque de mémoire.

Je suis Morgane.
Je suis venu vois mon petit fils, Nounours.
Et je viens lui apporter des vêtements divers pour lui ainsi qu'à une jeunne fille...
ses derniers outils de forgeron qui restaient chez nous et des légumes et fruits de mon jardin. Et aussi des présents de ma cuisine...

Elle découvrit un des paniers, où apparut des biscuits.

Vous voulez gouter ?

Mais que je suis sotte...c'est pas Nounours...il aime se faire appelez Spawn, mon petit fils.
Connaissez-vous ?

Ecumedesmers

Absolument c'est un très bon ami à moi !!

Mais au risque de vous paraître extrêment désagréable, je vais devoir jeter un oeil à votre charrette !

Vous permettez Dame !!

Elle regarda gentiment la dame, mais elle devait faire son devoir jusqu'au bout.

--Morgane_genes

Mais je vous en prie, ma gentille dame.

Mais vous savez que mon fils était dans l'armée, un très bon soldat.
Alors je comprends bien votre travail.

Mais je vous laisse monter seule dans la charrette car je n'ai plus la force.

Elle monta à l'avant de la charrette en attendant qu' Ecume des mers fasse son travail.

Ecumedesmers

Ecume monta dans la charrette et vérifia soigneusement le contenu.

Des fruits, des légumes, des outils de fourgeron et des vêtements.

Rien de particulier à signaler.

Elle descendit et vint près de la vieille dame.

Merci de votre coopération Dame, je vous souhaite un bon séjour dans nos murs.

Embrassez Spawn pour moi, voulez vous !!

Au plaisir !

Dameclothilde

Clothilde passa les portes de bon matin enfin elle était arrivée à Castillon !
Point de mauvaise rencontre en chemin pour elle qui avait voyagé seule.
Le soleil était chaud à cette heure ci ce qui promettait une belle journée et la ville était déjà réveillée, elle se dirigea ou enfin essaya, sans trop se perdre, de trouver le marché afin d'y acheter sa dose quotidienne de fruits et là il y a vait du choix

!

Elle continua sa visite pour aller se présenter au bureau des douanes qu'elle trouva pour une fois rapidement, comme quoi tout arrive...

- Bonjour ! je me présente je suis Dame Clothilde de La Trémouille je viens chercher ma soeur Olianna qui réside depuis maintenant plus d'un mois dans votre belle ville, je compte rester quelques jours ! Ah ! oui et je suis une amie de Princekris que je viens de quitter à Périgueux.

Sur ce elle sortit à la recherche de l'auberge que lui avait indiqué sa soeur

--Morgane_genes

Morgane, pendant que la garde fouiller sa charrette, pensait à son petit fils.
Depuis plus d'un an, il avait vu que deux fois, et un jour à chaque fois.
La joie de le voir plusieurs jours, remplissait son cœur.

Merci de votre coopération Dame, je vous souhaite un bon séjour dans nos murs.
Mais cela est tout naturelle ma gentille dame
Embrassez Spawn pour moi, voulez vous !!
Je n'y manquerais pas
Au plaisir !

Le cheval partit au trot sur l'ordre de sa maitresse.
Il se dirigeait enfin vers la maison de Spawn.

Ecumedesmers

Ecume alla vers la nouvelle arrivante

Ecume des mers garde territoriale de Castillon, vous n'avez rien à déclarer !

Dameclothilde

Clothilde vit se diriger à son encontre une jeune femme à la démarche sûre d'elle, elle attendit que cette dernière se présente, elle se nommait Ecume des Mers, elle lui répondit :

- Bonjour Dame, ben comme vous pouvez le constater à part mon bâton et mon bouclier.... non rien à déclarer, je voyage seule, elle ébaucha un p'tit sourire en coin... en pensant qu'elle ne repartirait point seule par contre... et je resterai que quelques jours parmi vous !
Sur ce je vous souhaite une bonne journée.

Ecumedesmers

Elle regarda la dame

Bon séjour parmis nous !

Comme plus personne n'était là, elle alla s'exercer comme tous les matins à monter et à descendre les marches de la tour.

Ses gestes étaient plus sûr et sa respiration moins saccadée.

Dameclothilde

C'est tard dans la nuit que Clothilde accompagnée d'Olianna quittèrent Castillon, elles avaient râté le départ avec Messire Dod et sa femme Mirën ils se retrouveraient à Bergerac pour la suite du voyage.
Castillon resterait une belle ville avec quelques souvenirs en taverne partagés avec Pupuce, Gusto et d'autres

Allez à bientôt Castillon pour un prochain séjour en espérant y retrouver Princekris cette fois ci.

Bikko

Si longtemps partit, si loin ils étaient parti,sur un coup de tête, il est aller la rejoindre pour voir la mer et on continuer la route ensemble et avaient rencontré des gens formidable a Saintes que tout les deux ont décidé d aller la voir a Saumur puis a Agers pour lui faire une petite surpise a cette petite espiegle mais adorable Ludi.
Et voila maintenant qu ils ont fait le chemin du retour en carosse avec elle et sa mère, puis, arrivé aux portes de castillon le cocher c est arreté et Bikko sort pour embrasser le sol castillonais, se leve avec le bec poussiereux et crit:

hééééooooo est ce qu un Castillonais peux rentrer chez lui avec des amiiis Lança avec un sourire heureux de son retour
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Ecumedesmers

Ecume qui vit arrivé de loin des personnes voulant franchir les portes de Castillon descendit les marches avec assurance et légèreté.

Elle s'était beaucoup améliorée et les exercices lui avait fait du bien

Elle alla accueillir les nouveaux arrivant.

Elle eut un sourire en coin lorsque le messir se releva, le nez poussiéreux.

Bonjour garde Ecume des mers, avez vous quelques chose à déclarer !

Stelliem

Stelliem, assise dans le carosse avec Cerise et Ludi, se penche par la porte resté ouverte et regarde avec un sourire tranquille et tendre Bikko embrasser la terre puis demander joyeusement au garde de pouvoir enfin entrer dans Castillon.
Elle salut de la tête en souriant la garde :

Bonjour !! A part moi-même, non rien a déclarer !!

Elle rit doucement, puis se rassoit dans le carosse auprès de ludi, attendant que les autres repondent, pressait d'arriver enfin chez son bien aimé.

Bikko

Bonjour !! A part moi-même, non rien a déclarer !!

héhéhé, bonjour Écume non rien a déclarer et je suis accompagné de cette jolie dame stelliem et d une autre avec son adorable petite fille
Brusquement, regarde Ludi et se reprend

Euuhh grande fille... de cinq ans...et moi je suis Bikko tu ne te souvien plus déja?^^Alors puis je rentrer chez moi au moulin?^^
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Eadulf

Ead arrivait par la route de Bergerac. Il vit au sétour d'un chemin la ville qui l'avait vu naître, il y bien longtemps; le lac, la forêt, tout lui était familier.

Il vit au loin un vieux carrosse dont les occupants semblaient en discutions avec le guet à la porte de la ville.

En arrivant plus près, il vit que c'était cette vieille fripouille de Bikky.

Ben alors mon pote, on crée des bouchons et on empêche un vieux castillonais de rentrer dans la ville qui l'a vu naitre??

Ecumedesmers

Ecume laissant discuter les deux hommes jeta un oeil dans l'intérieur du carosse ainsi que l'extérieur.

Faisant son travail correctement, elle revint vers les deux hommes.

Bien sûr que si Bikko, mais en service, pas de sentiment, le travail avant tout.

Elle lui sourit et se retourna vers le nouveau venu

Ecume des mers garde territoriale de Castillon en faction aux portes, à qui ai je l'honneur et avez vous quelques chose à déclarer !

Laelys

De retour.... Il fait grand jour.
Marcher lui a fait du bien. N'importe quelle menace a l'air irréelle au soleil. Elle affiche donc une mine tranquille, un regard sans ombre. Et pour une fois depuis l'agression, elle a oublié de regarder derrière elle.

Et devant elles, les portes. Une agitation inaccoutumée, voire une foule, à piétiner derrière cette porte.

Laelys peste. C'est bien leur chance.

Elle hésite, entre prendre patience et se faufiler en douce. Elle regarde sa sœur, puis Victor, le cheval trop chargé. Elle hausse les épaules.

Aucune chance de passer sans être vue.

Elles attendront donc, et pour patienter sans râler, elle ne connait qu'une méthode : faire autre chose. Alors, elle sort de sa besace deux pommes, quelques bouts de viande séchées, et s'assoit sur les quelques pauvres touffes d'herbe qui garnissent le bord du chemin, un peu à l'écart. Elles aurons ainsi un poste d'observation parfait pour jauger l'état de la douane et profiter du spectacle en cours. Elle tend une pomme à Morganthe :

Tu as faim? Je propose qu'on mange un bout, on tentera notre chance quand le beau monde sera passé.

Un regard circulaire, une mine désabusée.

Et ensuite, nous irons directement à la maison..il faut que je te montre. J'en ai trouvé une. Je me demande ce qu'on va en faire, à part y dormir...... Tu aurais une idée?

Ricco

Ricco et Dore passait la porte silencieusement, sans faire de remous, sans trop attirer l'attention.

Il voulait faire quelques surprises et donc ne pas annoncer leur arrivée.
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Ecumedesmers

Ecume fit signe au carosse de s'avancer et à Bikko de se presser un peu, voyant la foule s'accumuler, lorsque soudain....

HEPPPPPPPP ! VOUS LA BAS !

Elle courut et s'approcha des deux personnes qui se faufilaient en douce.

Ecume des mers, garde territoriale de Castillon !

Je vous trouve un peu trop pressé, à qui ai je l'honneur !

Avez vous quelques chose à déclarer !

Ricco

Ricco et Dore entraient dans la ville quand un garde vint les intercepter

HEPPPPPPPP ! VOUS LA BAS !

Ecume des mers, garde territoriale de Castillon !

Je vous trouve un peu trop pressé, à qui ai je l'honneur !

Avez vous quelques chose à déclarer !

EUh... Madame le garde...

Je me nomme Ricco, je suis habitant de Bergerac et je viens d'arriver avec ma compagne Dorennor.

Je ne suis pas trop pressé, nous avons tout le temps de discuter...

Ricco fouilla sa besace et sortit une bouteille, elle contenait de l'hydromel que l'on pouvait identifier rien qu'a l'odeur qui sortait de celle-ci.
Il remplit un dé a coudre et le tendit au garde.

Ah non ! vous pouvez pas ... c'est vrai, vous êtes de garde !

Ricco but donc le dé à la place du garde et s'en reservi un autre qu'il but aussi vite.

Je n'ai rien de particulier à déclarer.

Je venais faire un coucou surprise à mes amis et amies de Castillon.

Le voyage fut agréable aussi. pas un seul brigand visible.

Il fait beau aussi, il faut saluer la boulasse pour le soleil qu'elle nous apporte! boudions ensemble...

sur le mot boulasse, il se servit à nouveau un dé d'hydromel et but cul-sec

D'autres questions, madame le garde ?
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Ecumedesmers

Elle dévisagea ce drôle de bonhomme et n'aimait pas du tout sans façon de faire et encore moins sa façon de parler.

Elle rétorqua aussi sec

Vous pouvez disposer !

Elle les regardait à tour de rôle et surtout tout ce qu'ils avaient sur eux.

Elle se retourna vers les autres personnes qui attendaient de passer.

Cerrydwenn

Le carosse quelques peu poussiereux portant les armoiries de la croix de bramafan de Levignac s'était arreté et c'est un Bikko sautillant qui en descendit le premier ...
Sous l'air ahuri de Stell , Ludi et Cerise ils se mit à embrasser le sol ..
Petits rires cristallin bon enfant ne purent etre retenus ...
Puis la chevelure de Stell passa en dehors du carosse

Bonjour !! A part moi-même, non rien a déclarer !!

Cerise se mordillait la levre et apres trois jours de campagne poussiereuse s'ennuyait ferme donc elle déposa Eirenya dans les bras Stell et ouvrit la porte du carosse ...L'echine cambrée et les reflets cuivrés de ses boucles sauvages , elle descendit gracieusement puis le visage impassible avec mais une pointe d'amusement elle regarda la garde ..
Cerise prit alors sa douce voix de velours y melant un regard de biche :

" Je suis Cerise de La Croix de Bramafan , Damoiselle de Levignac ...
Humm quelque chose à déclarer ... voyons voyons ...Ah si je dois avoir trois ou quatre cadavres entrain de faisander dans la malle attachée à l'arriere du carosse .."
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Ecumedesmers

Ecume la dévisagea, d'un air dur et lui répondit sèchement

Gardez vous plaisanterie pour vous !

Je ne suis pas ici pour m'amuser !

Veuillez vous avancer vous gênez les arrivées !

Elle pressa Bikko et les autres pour évacuer les lieux, sans ménagement.

Bikko

Hmhmhm d accord d accord on ne peut plus rigoler avec ses nouveau garde coincé, attendez que je m y réengage.. et a part ça il est ou celui que je voulais lui faire manger la soupe aux dents, aller messire le cocher direction a mon moulin 12 Saint- Louis je vous guiderais. Salut ... garrrde Écume
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Cerrydwenn

Cerise ne se démonta par pour autant de plus en plus amusée par la situation..un sourire angélique taillada son petit minois et sa voix cristalline dit :

" Changer de ton chere garde ne m'obligée poinct à vous rappellez le protocle dont vous devez usez à mon égard "

Les boucles sauvages et flamboyantes de la Damoiselle de Levignac balancèrent de gauche à droite puis elle remonta dans le carosse à la suite de Bikko confirmant au coche l'ordre qu'il venait de recevoir ..

Cerise se mordilla la levre et se pencha à l'oreille de Bikke une fois confiné dans le carosse à l'abri des oreilles qui trainent ..:

" Je pense que c'est le manque d'ébats privés qui la rend ainsi mais ce qui m'échappe ou enfin j'aimerais que tu me rassures ...Je suis pas aussi irritable vu que je suis en manque aussi ?"

Portant ses mains à sa bouche elle pouffa de rire puis croisa le regard de Stell qui avait entendue la boutade...
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Ecumedesmers

Ecume la mine grave et les yeux froncés

Je ne suis point coincée, et protocole ou pas je suis là pour faire mon travail ne vous en déplaise !

Et si vous avez quelques chose à dire ayez la franchise de me le dire en face et non de murmurer !

Cela étant, je n'ai pas le temps de tailler la causette.

Ironiquement elle ajouta

Si la dame veut bien se donner la peine de faire avancer son carosse.

Elle s'en alla plus loin voir la personne qui attendait derrière

Cerrydwenn

Je ne suis point coincée, et protocole ou pas je suis là pour faire mon travail ne vous en déplaise !

Et si vous avez quelques chose à dire ayez la franchise de me le dire en face et non de murmurer !

Cela étant, je n'ai pas le temps de tailler la causette.

Passant sa frimousse par le carosse Cerise la toisa du regard gravant chaques détails de son interlocutrice .

"Je n'ai nullement dis que vous étiez coincée et si vous etes là pour faire votre travail comme vous le dites alors posez le respect qui se doit à la noblesse quand elle se présente à vous !
Pour de ce que j'ai à vous dire ou non ravalez cette phrase car vous n'avez nul droit de me parler de la sorte et ce que je discute à mes amis ne vous regarde en rien...En tant que douaniere d'Angers si je recevais les gens comme vous le faites ..."

Cerise s'interrompis et réalisa qu'elle était entrain de s'abaisser à se justifier devant une gueuse qui n'avait aucune éducation et faisait son travail pire qu'une corvée .
Elle secoua la tete navrée pour elle puis afficha un sourire en se disant qu'heureusement que les autres douaniers ou garde n'avait pas cette attitudes si froide et irrespectueuse.
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Ecumedesmers

Ecume revint sur ses pas.

Il n'est noté nulle part sur votre visage le titre que vous portez et que ça vous plaise ou pas.

Gueuse ou pas, je me suis jamais rabaissée devant personne, c'est pas maintenant que ça va changer.

Je suis respectueuse des personnes qui le sont à mon égard, un point c'est tout.

J'ai toujours agit ainsi et ce n'est pas maintenant que je vais changer ma façon de faire ou de penser, fusse t il être jugée pour cela.

J'espère que je suis assez claire, de plus il est plus facile d'utiliser son rang pour rabaisser les bonnes gens plutôt que d'exprimer le respect.

Si vous voulez qu'on vous respecte Dame, respectez les autres.

Vous seriez bien contente, qu'une gueuse sauve vos fesses par temps de guerre.

Je ne crois pas qu'avec vos franfreluches, vous irez au devant de l'ennemi.

Ludi59

Ludi qui était dans le carosse et écoutait la conversation qu'avait sa mère avec la garde ne disait rien jusque maintenant, mais la s'en était trop la garde allait trop loin envers sa mère, du haut de ses 5 ans elle detestait qu'on parle ainsi à sa mère, la petite se leva, poussa un peu sa mère et monta sur le bord du banc et passa sa tête à la fenetre :

"Madame arretez de parler comme ça à ma moman, si elle ne bouge pas ses fesses en temps de guerre cela ne vous regarde pas, moman fait ce qu'elle veut et vous avez juste à vous taire, moman elle est zentille, et respectueuse mais quand on voit comment vous êtes ze comprend et ze suis tout à fait d'accord avec elle dans sa façon de vous parlez, vous êtes nul madame et arretez de parler comme ça à ma mère ou..."

Puis soudain, Ludi se taisa se rappelant ce que sa mère lui avait dit, ne pas s'enerver et ignorer les gens comme elle, puis elle regarda sa mère avec un grand sourire et lui dit :

"Allez moman on y va, on s'en fou d'elle, façon c'est une grosse nulle"

Elle lui souria puis se remetta normalement dans le carosse.

Cerrydwenn

Là ca en était trop la rouquine ressortit du carosse et toisa encore plus durement la gueuse.

"Vous etes vraiment ignard ma pauvre fille !! Mes armoiries sont sur le carosse ! dejà d'une ..et de deux je vous demande pas de vous abaissez seulement vous etes désagréable depuis le début alors qu'on tentait une plaissanterie ... pour finir en temps de guerre ma pauvre fille je trancherais certainement plus de gorges que tu ne l'a jamais fais , ne te fis pas à mes franfreluches j'ai la dague et la dextérité de l'épée bien ancrée dans mes veines...
De plus mes titres je les ai obtenu pour mon travail fourni avant je n'étais qu'une gueuse et pour preuve que tu n'ecoute rien je suis pas "dame" mais "damoiselle" et si je me permet de te tutoyer c'est que j'en ai le droit .
Ce que tu pense de moi je m'en balance royalement mais cesse de mentir en disant que tu fais ton travail car on te croirait plutot entrain de faire une corvée "

Puis regardant sa fille elle lui fit comprendre qu'elle préfererait qu'elle ne s'en mele pas ,de nouveau se tourna vers la gueuse:

" Etre une gueuse n'a rien d'insignifiant pour moi bien au contraire et j'ai aussi pour habitude de faire ce que bon me semble met je sais mettre de l'eau dans mon vin donc t'es bien gentille faut savoir respecter quelques regles de savoir vivre .
J'ai pas honte de dire que je vais bosser à la mine et m'en casser les ongles alors ravale tes balivernes et apprend à mieux remplir la fonction qu'il t'a été donné de faire car niveau acceuil tu peux repasser "
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Ludi59

Ludi regarda sa mère qui était bien énervé et lui fit comprendre qu'elle ne devait pas s'en meler, elle la regarda puis sortie du carosse et partie en courant dans la ville sans un mot ne preferant pas entendre ce qui allait se dire...

Stelliem

Stelliem, assise dans le carosse avec la petite Eirenya dans les bras, suit la discussion distraitement, et si dès le début elle souriait à la plaisanterie de Cerise, maintenant trouvait que cela dégénérait plutot vite.

J'ai du manquer un épisode là ... murmure t elle pour elle-même.

Elle regarde Ludi partir en courant vers la ville : Ludiii ! Trop tard, la gamine était déjà loin..

Elle soupire puis fait un calin a Eirenya qui commence a s'agiter dans ses bras ressentant certainement la tension qui montait autour d'elles.

Laa laa ma puce ce n'est rien ... tout va bien ... Elle lui sourit puis l'embrasse tendrement sur le front pour la rassurer et la serre contre son coeur pour la bercer doucement.

Cerise ? Bikko ? je pense que nous devrions continuer a avancer... Elle sourit a ses compagnons de voyage. S'énerver plus serait inutile et nous serions bien mieux chez Bikko a nous rafraichir et nous mettre a l'aise... Surtout pour cette petite puce qui commence a donner des signes de faim dit elle en montrant du regard le bébé dans ses bras qu'elle berce doucement.

Ecumedesmers

Ecume des mers ne se démonta nullement, fière droite comme un "i", elle écouta, la ptite demoiselle déblatérer.

Elle ne répondit pas à la gamine, jugeant ses dires inintéressants.

De plus, elle était très mal élevée, voyant la mère, ça ne pouvait pas en être autrement.

Damoiselle, si vous préférez, sachez que je fais mon travail et non ma corvée, avec intérêt.

Je ne suis pas là pour plaisanter, l'incident est clos.

Pensez aux enfants et veuillez avancer.

J'ai autre chose à faire que de passer ma journée à vous écouter.

Cerrydwenn

Cerise s'arreta nette en voyant sa petite Ludi partir puis les pleurs d'Eirenya qui vinrent lui résonner aux oreilles .. La jeune femme reprit contenance et sang froid puis se tournant vers Stell :

"Je .. je suis désolée ...Filez au moulin , je vais vais chercher Ludi ...Pour Eirenya donne lui ton doigt en attendant ce ne sera plus tres long et avec les bercements du carosse elle risque de se rendormir .."

Elle lui souria chaleureusement puis se mit à courir apres Ludi toutes franfreluches relevées .. Cerise bondissait avec grace et agilité étant entrainé pour ce genre de situation ..
C'est alors qu'elle retrouva sa Ludi agenouillée et recroquevillée pres d'un arbre sur la place publique , Cerise s'avanca prudement puis arrivée à sa hauteur posa une main sur sa joue en la regardant de ses émeraudes qui demandaient déjà pardon ..

"Je te demande pardon ma chérie j'ai dérogé à ce que j'essaie de t'apprendre , j'aurais mieux fait d'ignoer cette femme surtout quand je vois que celà t'a fait fuir , je t'aime mon trésor , pardonne moi .."

Cerise tendit les bras vers sa fille ..
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Ludi59

Ludi qui était en boule au pied d'un arbre, sursauta en sentant la main de sa mère sur sa joue, elle la regarda puis lui dit :

"Moman z'aime pas quand t'es comme ça, tu sais tu m'as fait peur même si d'habitude z'ai pas peur"

Elle alla dans ses bras et lui dit à l'oreille :

"ze te pardonne moman..."

Elle lui fit un bisous sur la joue.

Eadulf

Ecumedesmers a écrit:

Euh, je viens en ballade, juste pour fêter mon anniversaire avec quelques amis. Je n'ai rien à déclaré, excepté quelques menus écus que je vais dépenser dans vos belles tavernes!!!!!

Ecumedesmers

Ecume regarda le messir et l'écoutait brièvement en observant la scène de la Damoiselle et de l'enfant.

Elle avait un caractère dur, il est vrai mais pas dénuée de sentiment.

Elle répondit au messir

Allez y Messir, je vous souhaite un bon séjour !

Ecume s'absenta un moment et revint avec un broc d'eau et un verre et alla vers l'enfant.

Veux tu un verre d'eau ?

Tout en s'accroupissant elle continua

Je ne voulais pas énerver ta maman, ni te causer du tort.

Je me suis laissée emporter, parce que ça fait plusieurs jours que je suis en faction ici sans relève.

Je ne cherche pas à me justifier juste vous dire petite demoiselle, que la fatigue aidant je n'ai pas saissi la plaisanterie.

Faites moi plaisir, prenez un peu d'eau et allez vous reposer, en ville.

C'était la première fois de sa vie qu'elle revint ainsi sur ses propos, mais faire de la peine à une enfant, même impolie, lui était insupportable.

Elle se releva....

Ludi59

Ludi regarda la garde et pris le verre d'eau :

"Merci madame, et pis z'espère que ça ira mieux pour vous"

Elle lui souria puis retourna près de sa mère.

Ecumedesmers

Elle lui sourit sincèrement et lui répondit

Merci petite Damoiselle !

Elle récupéra le verre et ajouta

Surtout portez vous bien !

Elle s'en alla continuer son travail, qui devenait de plus en plus épuisant.

Elle ne dormait que deux ou trois heures par nuit, quand elle pouvait dormir.

Ce n'était pas le moment de faire rentrer des brigands dans la ville la nuit, donc elle redoublait de vigilance.

Paul1er

paul qui avait été alerter par des nouveaux arrivants se dit qu'il etait urgent d'aller voir ce qu'il se passait au portes de la ville

arrivant à la muraille il vit le tableau une garde completement debordé et pris de ^panique devant la tache a accomplir

il s'approcha derrechef et hurla
stoppppppppp!!
les belligerants se figerent comme paralysé par son cri

garde ecume je veux un rapport sur ce qui se passe de suite
mesdame je vous somme de vous rassoir dans votre carosse et dattendre une minute
je viens de croisé un certain rico qui se gaussait de vous en disant que comme grande geule vous etiez parfaites mais comme garde legere en effet il ma montrer son chargement trois caisses de vin quil allait passer en douce
l'avais vous fouillé?
il regarda les arrivant mais ne reconnaissait personne et attendit la réponse à ecume en tapotant son épée d'impatience

Paul1er

il reconnu bikko mais ne dit mot

Ecumedesmers

En voyant arriver son instructeur, Ecume se mit au garde à vous.

Elle l'écouta vociférer et répondit avec sang froid, applomb et toujours au garde à vous.

Je fais mon travail correctement, je vous l'assure.

Ce Messir est un piètre menteur je fouille et regarde partout lorsque chaque personne arrive ou s'en va.

Je suis là depuis plusieurs jours sans relâche et sans relève !

Si mon travail ne vous plait pas, changez moi de poste ou mieux laissez moi aller dormir !

Je veux bien qu'on me dise que je suis une grande gueule, mais je le suis à bon escient !

Je ne suis pas là, ni pour faire de l'humour, ni pour faire la causette !

J'ai une responsabilité énorme ici, et sans sommeil, je trouve que je me débrouille pas si mal !

Avez vous vu passer quelques chose de louche non, alors !!!!!!!!!!

En aucun cas elle voulait lui manquer de respect mais trop c'était trop.

Elle n'avait pas l'habitude de se laisser marcher sur les pieds et l'épuisement aidant, elle répondit comme elle le pensait.

Paul1er

je viens de vous dire que cet homme dissimuler 7 bouteille dalcool frelaté les avez vous vu???
alors je vous permet pas de me repondre madame!!

il laissa la garde de coté et sapprocha du carosse
mesdame je suis paul instructeur de la garde de castillon qui etes vous , quelle est la raison de votre venue? puisje vous demander d'avoir l'obligeance d'ouvrir votre carosse afin que la garde fasse son travail
n'y voyer pas offense nous vivons juste des periodes troubles ou les brigands et mauvaises gens profite des beaux jours pour parcourir les routes et venir mettre le trouble dans nos villes

Ecumedesmers

Ecume le regarda droit dans les yeux, mais ne trouva rien à redire.

Qu'aurait elle bien pu lui dire de toute façon !

Il avait hélas raison, elle n'avait pas fouillé les bagages, ni personne d'ailleurs.

Finalement, est elle à la hauteur de son travail de garde, elle en était plus aussi sûre !

Qu'avait elle fait de bien depuis à la garde, à part cotoyer les rats et faire le ménage.........

Il était temps qu'elle se pose, les véritables questions,

Etait elle faite pour ça ?

Avait elle vraiment fait son travail au moins une fois depuis son arrivée ?

Allait elle rester ?

Elle le regarda faire et surtout l'écouta, ça la rendit malade, non vraiment elle n'avait pas fait ce qu'il fallait........

Son instructeur fouilla le carosse, regarda partout et les laissa s'en aller.

Elle avait tout analysé et saurais certainement reproduire la même façon de faire.

Il se retourna vers elle et lui dit de continuer son travail qu'il avait autre chose à faire.

Elle le regarda s'en aller et soupira.

Une fois le terrain dégagé, elle s'exerça à nouveau à monter et à descendre de la tour, pour obtenir une respiration quasi normale, la souplesse et la dextérité, dont elle avait besoin.

--Narrateur

Jour 2, au même moment

De l’autre côté de la muraille, tapi dans un renfoncement du mur, l’homme regardait lui aussi l’instructeur partir, laissant la pauvre garde à son poste et à son désarroi. Une véritable aubaine cette esclandre autour de la carriole des voyageuses. Elle avaient créé un attroupement de curieux et une diversion digne d’un feu de grange. Lui qui entrait le plus souvent en ville en rampant par les égouts ou caché au fond des chariots de foin poussiéreux empruntait aujourd’hui la grande porte ! Une sacré aubaine oui, pour quelqu’un qui veut rester discret.

"Vous ne serez pas inquiétée, car si Aristote le veut, vous ne me verrez pas non plus à la sortie…" pensa t’il en la regardant repartir à l’exercice.

Il sourit sous son large chapeau de feutre miteux, ajusta sa béquille sous l’aisselle et s’en alla en clopinant.

Ecumedesmers

Ecume arriva en haut de la tour, elle avait une vue imprenable sur la ville et vit aisément le carrosse s'en aller.

Elle observa les personnes qu'elle avait vu lors de ses discussions houleuses.

Elle crut apercevoir une personne qui clodiquait, mais qui visiblement se faisait tout petit.

Elle fut frappée par sa façon de se mouvoir, c'est sûr qu'elle se serait souvenue.

Mais elle en était certaine, elle ne l'avait pas vu avant, sans attitude était pour le moins suspecte.

Trois possibilités :

- la première rien faire, pour une garde impossible.

- la deuxième souffler dans la corne pour avertir qu'un intru essaye de s'infiltrer.

- la troisième rien dire et attendre son départ pour l'attraper.

Elle réfléchit, il était évidemment inconcevable de descendre en courant et de courir à nouveau pour l'attraper.

Elle prit la décision de l'attraper à son départ de Castillon.

Une chose était sûre, elle ne le râterait pas, il y allait de son honneur.

Dragones

Dragones marchait à grands pas son épée à la taille, tenant une autre dans la main suivit de près par la marie de la belle endormie…
La jeune fille était arrivée dans le bureau de la mairie toute retournée en lui demandant de venir au plus vite avec des gardes à la taverne…
Sachant où trouver un garde le plus rapidement possible Dragones alla aux portes de la ville…
Du bas de la tour sa voix se porte jusqu’en haut et du garde Ecume…

Garde Ecumedesmers aux armes !

Elle arrive et sans plus attendre Dragones repartit...

Suivez moi et au pas de charge, on a besoin de remettre de l’ordre dans la taverne de la belle endormie ne prenez pas d’initiative qui vous mettrait en danger, rester près de la porte personne n’entre, personne ne sort, tenez prenez cette épée et enfiler cette côte de maille.

Dragones tout en lui disant cela marchait à grands pas en direction de la taverne…
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Ecumedesmers

Ecume entendit son major hurler, elle descendit très vite de la tour.

Elle enfila sa côte de maille, prit l'épée et sans demander son reste suivit son major à la taverne.

Saberblue

La charrette venait d'arriver a Castillon, saber fit ralentir les chevaux et ils passèrent la porte au pas, enfin il était de retour a Castillon, il respira un bon coup et regarda le ciel si bleu, puis il passa les rennes a Kris

Tient Kris a ton tour, j'ai besoin de marcher un peu j'ai les jambes engourdies par ce voyage

il descendit et continua en marchant a coté de la charrette

Princekris

Kris prend les rênes.
Serena dort à l arrière de la charette.
Amorie trotte sur son canasson.
Kris revoit les ruelles qu il connait tant, passe devant les maisons de ses amis, les volets encore clos.
Kris arrête la charette devant la maison de Iseult et Saber.

Et bien nous voilà de retour

Saber prend Serena dans ses bras , kris récupère son barda.

Dis Amorie vu que t as perdu hier à la course tu m offres une choppine?
Saber si tu n as plus besoin de moi, je peux disposer?

Seamus

Seamus prépara son cheval pour la longue route qui allait le mener au travers du royaume

Il ferait de son mieux pour aller au plus vite, son épouse et leurs enfants lui manqaient déjà

Une louve rodait dans les bois, non loin

Cette fois ci, Cabtine ne le laisserai plus partir seul...

Il se retourna une dernière fois et prit la route, un poid sur la poitrine

Dragones

Elle avait galopé sur Iroise en traversant la ville déserte pour arriver aux portes avant son départ. Elle l’avait manqué de peu au bureau de la mairie, à la maison…Son cœur était en émoi, il partait pour un long voyage et la crainte qui lui arrive quelque chose l’enserrer.
Il la rendait heureuse, de sa présence, de ses mots et geste qu’il avait pour elle et les enfants…

Elle le voit se retourné, crie…

Seaaaaaaaaaaaaaaaamuuuuuuuuuuuuuus !

Elle arrive, tend sa main vers son ange, lui sourit…
Ils descendent de leur chevaux et s’enlace…Dragones se blotti dans ses bras en enfouissant son visage dans son cou…
Revenez moi entier, je…Elle le regarde, les yeux brillent, l’embrasse avec passion…
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Stelliem

A l'aube, Stell et Bikko arrivent enfin aux portes de la ville.
Elle est fatiguée ... Sa journée a Bergerac a courir de partout pour finaliser son départ et la triste nouvelle de la disparition de son ami puis le trajet jusqu'ici l'a épuisé physiquement et moralement. Pratiquement deux mois sur les routes... Tout ce qu'elle désire c'est se poser et dormir enfin... Elle soupire et laisse Bikko aller se presenter au garde. Elle rêve d'un bon lit... et baille longuement en attendant, il l'a rejoint la prend dans ses bras pour la porter.
Elle lui sourit enlaçant son cou et lui murmure : je t'aime mon amour... Ils s'embrassent tendrement.. Bienvenu chez toi mon amour ! Puis enfin ils rentrent ... chez eux...
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Princekris

Kris , s occupant de la douane en ce moment, est à l entrée de Castillon.
Bien caché dans un renfoncement qui dépasse il observe les allées et venues à la grande porte des murailles de Castillon.
Il voit arriver une tête qui ne lui est pas inconnue.

Tiens Bikko le retour! quelle belle et agréable surprise

Kris ne bouge pas de son trou sachant qu il le retrouvera en taverne.
La journée s écoula tranquillou , entre deux gorgées de mirabelle , aucune autre arrivée ne fut remarquée par Kris.

Sibille

La jument Epona menait bon pas, tirant toujours fidèlement la roulotte. Près d’elle l’homme lui tenait la bride pour la diriger mais la confiance depuis le temps s’était instaurée et il ne tirait quasiment jamais pour la forcer, d’ailleurs sa douceur il la faisait partager à la femme qu’il tenait par la main le plus souvent quand elle ne devait pas courir après leur chenapan de fils qui avait le chic pour venir jouer avec le chien Barack juste sur le chemin devant le convoi.

Dangereux ce garçonnet tout de même mais y’avait pas que lui qui était énervé ; l’ânesse derrière, elle n’arrêtait pas de gigoter, essayant de détacher à nouveau sa longe mais cette fois, elle était bien accrochée et elle devait ronger son frein, passant souvent sur le côté au risque de mettre le convoi à mal mais tout s’était bien passé tout de même.

Les voilà donc arrivés à l’entrée du village et pour être plus maniable, la roulotte fut à nouveau chargée de ses occupants. Les rênes entre les mains, la jeune meunière savait bien où elle voulait se rendre chez leurs amis Dragones et Seamus et leur nombreuse famille maintenant.

--Cabotine

La louve senti de nouveaux intrus sur son territoire

Mais, il s'agissait là d'une odeur bien connue

Elle fila à longues enjambées et suivi du regard la petite troupe, ses louveteaux sur les talons et son mâle non loin

Elle se souvenait parfaitement de lodeur de ce chien qui accompagnait les bipèdes... et de l'attaque des paysans qu'elle avait subit en tentant de les suivre la dernière fois

Elle ne se montra pas, mais une embardée de l'enfant lui fit faire un bond et elle se retrouva face à Barack

Un instant, elle se figea et elle sentit sa portée se tendre dans l'anticipation d'un combat

Mes oreilles droites elle n'agressa pas le chien, se contentant de le sentir

--Barack

Sa mémoire ne lui jouait pas de tours. Il avait reconnu l'odeur de la louve.
Une odeur si surprenante et caractéristique qu'il ne pourrait jamais l'oublier.

Oui, je retrouve la mémoire de cet endroit. Oui, je retrouve la mémoire de cette odeur. Oui, je retrouve le souvenir de ma rencontre avec "elle".

Barack ne pouvait pas mettre un nom à "elle". Il l'approcha, lui fit signe qu'il l'avait reconnue.
Sur ses gardes, il savait qu'elle devait protéger ses louveteaux.
Sur ses gardes, il savait qu'il ne devait pas provoquer le mâle qui les observait de loin.

Barack se coucha losque Cabotine l'approcha. Pas en signe de soumission, mais juste pour montrer qu'il n'avait pas de crainte et d'agrssivité. Puis il se releva et tourna autour de la louve. Il remettait à jour la mémoire de son odeur. Il la fixa dans les yeux et l'invita à jouer.

--Hellwhite

Il la suivait restant vigilent, il n’arrivait toujours pas a comprendre cette facilité qu’elle avait d’aller si près des deux pattes…
Hellwhite observe et grogne légèrement en voyant le mal près de sa femelle…
Quand il vit Cabotine faire un bon et se retrouver en face du chien, il se mit à grogner plus fort, le poil s’hérisse…
Il avance lentement est s’arrête voyant qu’il ne chercher aucune attaque, le grognement se turent alors que le poil reste hérissée long de son échine…

Meline_deschain

Une voiture avait passé les portes ... un Octave sourire aux lèvres... Castillon enfin, retour aux sources.

Dame Méline, nous arrivons. Hurla-t-il afin que la vicomtesse l'entende de l'intérieur de la voiture malgré les babillages incessant des deux petites filles qui l'accompagnaient.

Méline sourit, et prévint Constance et les deux enfants que leur séjour dans la ville où tout avait commencé pour elle débutait.
Susannah regardait par la fenêtre de la voiture, son père et son frère qui chevauchaient à leur côté, elle cria à son frère.

Moi c'est ici que je suis née... Puis se tournant vers sa mère. On pourra aller voir la dame chez qui je suis née maman ?

Bien entendu ma chérie... Mais pour l'heure, nous allons rentrer dans notre petite maison pour nous y restaurer et faire un brin de toilette.

Anaïs gigotant dans les bras de Constance s'écria...

Manger... oui ...

Bikko

Bikko et Stell arrivèrent enfin chez eux, Castillon et leurs amis leurs manquaient. Sourir au lèvre, bras dessu, bras dessou les deux amoureux continuèrent leurs pas jusqu au moulin.
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Stelliem

Enfin Stell et Bikko arrivent aux portes de la ville. Stell, sourit de voir le visage heureux de son bien aimé. Elle est fatiguée et a un peu froid. Elle se serre contre lui.

Bienvenu chez toi mon amour ! lui dit elle en l'embrassant tendrement.

Puis ils continuent leur chemin vers le moulin.
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Dragones

Dragones court dans les rues de la ville, les enfants l’avaient retardé, Griselda était arrivé en retard…elle était parti sans même pensé à prendre Iroise pour arriver aux portes plus vite…

Elle croisa Bikko et Stelliem…Tout en courant elle les salua et c’est toute essoufflé qu’elle était là devant les portes à espérer le voir…
Légèrement penchée en avant les mains sur ses genoux elle reprend son souffle tout en regardant la route…
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--Cabotine

La louve se laisse sentir, les présentations doivent se refaire

Elle sent Hellwhite se tendre non loin et une légère crète se dresse sur son échine

Elle jappe alors pour tenter de le calmer, le visiteur n'est pas un danger, mais un voyageur ; il ne remet oas en question leur domination du territoire mais s'y présente

Elle jette un regard vers ses compagnons humain et sent l'incompréhennsion de sa meute

Elle respire son vis à vis avant de se retourner vers les fourrés et de s'éloigner suivie de sa portée

IL est sur son territoire, elle reviendra le voir

Seamus

Le petit groupe arriva enfin en vue de sa destination

La route s'était très bien passée, mais l'humeur était un peu mororse, même si Seamus essayait de la détendre de temps à autre en sortant sa courte flute

La pluie de la veille semblait avoir douché la bonne humeur qu'il avait trouvé à la capitale et cela le peinait tant qu'il ne remarqua pas de suite sa tendre moitié qui arrivait à leur rencontre

Il ne pouvait accepter que ce soit finit dans quelques jours, pas comme cela !

Il ferma les yeux un instant, sa monture connaissant parfaitement le chemin

Il avait cotoyé trop souvent la mort à une période reculée de sa vie et avait ainsi appris la valeur de la vie... aux dépends de ses maitres en fin de compte.
La "main de Dieu" avait alors coupé la tête de l'ordre ancien qui régnait sur son île et sa vie et par la même mis fin aux sacrifices et assassinats. Mais il avait perdu sa mère et beaucoup plus dans le combat

Il se revoyait encore concocter les poisons foudroyants ou insidieux ou préparer les accidents qui exprimeraient la colère des dieux et des esprits

Il soupira

La valeur de la vie, oui

Sans parler de ces lointaines années, il avait depuis son arrivée sur le continent vu des amis mortellement blessés, d'autres emportés trop tôt, d'autres encore perdus à tout jamais dans un monastère sentant le renfermé... sans parler de sa propre épouse qui avait failli perdre la vie à plusieurs reprises sans qu'il puisse rien y faire
Il eut une pensée pour Kiri et Olric... et rouvrit les yeux

Sa douce se tenait non loin, pliée en deux lui sembla t'il

Ses noires pensées s'envolèrent et une seule idée s'accrocha à son esprit suite aux nombreuses discussion qu'ils avaeint eu tous deux au sujet de la vie : se seraient ils aimé si fort si leurs vies avaient été différentes ou était-ce cela qui les avait fait se retrouver, qui avait permi leur Reconnaissance ?

A chacun sa réponse, eux connaissaient la leur

C'est dans l'adversité qu'on se construit le plus car on lutte chaque jour

Il sauta de cheval et la prit dans ses bras tout sourir

Il l'embrassa longuement et passionément et se retrouna en regardant son les membres de son groupe

Mes amis, vous voici chez moi, en Castillon et voici mon épouse Dragones

Soyez les bienvenus

Tralys, notre porte t'es ouverte, comme je te l'ai déjà dit et j'aurai grand plaisir à te présenter plusieurs personnes
Il murmura alors à sa douce J'espère que Sibille, Opus, Windbill et Caprice sont encore là !

Il vit les deux jambons attachés à sa selle et sourit un peu plus

Il sourit un peu plus encore, malgré le chagrin, mais ne souhaitant pas l'afficher devant sa douce à peine leurs retrouvailles effectuées et dit en la regardant suffisement fort pour que tous ententent, sans pour autant donner l'impression de le faire volontairement ou de crier

Mon Amour, nous avons de la chance d'avoir de tels amis

Tralys..

La nuit m'avait semblé très courte....Je l'avais passée à penser , repenser et essayer de panser mon coeur.

Mais la découverte au petit matin que mon compagnon, le pére de mon futur enfant, m'avait éffacer de sa memoire fut si violente que toutes les pensées de la nuit étaient partie en fumée....

J'avais à peine entendue la flute de Seamus, moi qui adore la musique pourtant....
Nous voilà enfin arrivés à Castillon et je vois cette magnifique dame qui attend son mari...Cette image me fait sourire mais me renvoie à mes pensées...
Je m'avance vers cette dame precedé de Seamus qui commence les presentations

Bonjour dame Dragonne je suis tralys enchantée de pouvoir enfin mettre un visage sur ce nom que je connais par coeur maintenant....

Puis je regarde Seamus

Merci Seamus c'est trés gentil à toi et ta femme mais tu connais mes projets et je compte bien repartir ce soir, je vais juste me prendre une chambre pour la journée histoire d'éssayer de me reposer.

Puis je m'éloigne un peu pour les laisser se retrouver seuls, je sais à quel point un homme et une femme qui s'aiment ont besoin d'être seul

Dragones

Elle le voit sur son cheval, se redresse, hésite…Il semble lointain, voir triste…
Dragones se mord la lèvre…Les larmes montent à ses yeux, elle ferme les yeux...C’est ce moment qu’elle le voit la regarder…Il saute de son cheval, elle court le rejoindre pour se blottir dans ses bras…Elle y retrouve sa maison, sa vie…Leurs lèvres se retrouve, elle gémit, le corps frémit…

Dragones est heureuse d’être la prêt de lui…Les présentations se font…Une femme le visage triste avance et s’incline…

Bonjour Dame Tralys, bienvenue en Castillon…Hooo mais reposez vous à la maison, ne dépensez pas…Venez…Dragones tend la main et prend celle de Tralys en souriant…Elle regarde son ange…

Allons à la maison et je ne vous lâche pas Dame Tralys…Sa main est ferme et douce à la fois…
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Tralys..

Tralys s'arreta net.....

Non vraiment je ne veux pas vous froisser mais je veux être seule vraiment c'est trés gentil à vous mais je ne peux pas.

Je retirai ma main délicatement de la sienne

Et puis je ne compte même pas defaire mes affaires parce que je repart ce soir mais vraiment merci de votre gentillesse ca me touche.

Je fis un signe à mon cheval pour qu'il me suive chose qu'il faisa sans aucun probleme.....

Je vous dis à plus tard les amis

J'avancai le regard dans le vague et l'esprit loin......

Tralys..

Une missive recue fini de m'aneantir.......Je cris, je pleure et je decide de partir plus tôt que prevu......

Mes affaires etant deja prètes sur mon cheval, je passe juste à l'auberge pour payer ma chambre...

Puis j'arrive aux portes de la ville.....
Je me retourne pour la regarder et puis je pense......je pense un moment.

Le reverrai-je avant d'entamer mon ultime voyage?....

Une chose est sure, malgrés tout, il restera toujours dans mon coeur, qu'il batte ou non.

Et puis c'est le depart......

Hagos

Hagos était heureux ; il avait réussi à trouver un cheval, sa bourse était pleine , et il allait faire un tour ...que demander de plus ?

En arrivant à la porte d'un trot rapide il aperçut une dame seul qui lui semblait en plein mélodrame psychobisounourique , et voyant que les portes était ouvertes il se mit au galop

Attention j'arrivvve !

Il bouscula un homme qui sortait d'une boutique et qui dut se jeter en arriére pour l'éviter puis il fonça vers la porte frolant la dame qui chuta aprés son passage.
Puis arrivé sous la grande porte il ralentit pour entendre hurler tout se beau monde en colére
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Tralys..

Je commencais à partir quant tout à coup j'entend

Attention j'arrivvve !

Sans rien comprendre je tombe de mon cheval....Une chute qui devient vite douloureuse.

Tout d'abord je passe mes nerfs sur lui..

Sale con tu peux pas faire attention!!!!!!Mais bordel qu'es-ce que j'ai fait!!!

Je me releve painiblement, pleine de boue et au moment de vouloir remonter sur mon cheval, une douleur attroce surgit dans le bas du ventre..

Aie........

Je me plie en deux pour essayer de faire passe cette douleur.
Puis il faut bien que je reprenne la route alors j'occulte la douleur et je repart

Hagos

Hagos sourit , et nota intérieurement , une bisounours pleurnicharde de moins ...
Puis prit de remords il fit ralentir son cheval pour étre rattrapé par la demoiselle ...
La laisser s'énerver sur lui la soulagerait surement
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Seamus

Seamus accompagna sa douce depuis les portes, heureux de sa présence, rayon de soleil sur cette journée bien terne

Il passèrent un partie de la soirée en taverne avant le départ un peu précipité de Tralys

Il en profita pour lui offrir, enfin, le cadeau magnifiquement ouvragé par Florence quelques jours auparavant

Le col blanc seyait à merveille à Dragones et mettait en valeur son regard, sans compter qu'il la protègerai des fraicheurs matinales

Il se dit alors qu'il devrait encore remercier sa fillotte et la féliciter pour le travail artisanal de magnifique facture qu'elle réalisait

--Seth7

L'homme, tout de noir vétu, marche d'un pas décidé vers les portes de la ville. Arrivé à son hauteur il rabat sa capuche et enleve ses cheveux roux de son visage cramé par le soleil.
Il franchit les murailles de la ville et s'engouffre dans les ruelles de la ville.

Hagos

Hagos revint de Bergerac avec de nombreux sacs plein à craquer
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Dragones

Dragones arrive aux portes de la ville et monte à la tour de guet…
Le vent faisait volaient les mèches de son chignon, son regard se portait au lointain vers l’horizon…

Un soupire sorti de ses lèvres, le corps recule et prend appuie sur la pierre…On pourrait penser que son regard était porté vers l’extérieur de Castillon mais il en était rien, son regard se portait sur le village…

Depuis qu’elle était maire, elle recevait bon nombre de missive et elle se faisait le devoir de répondre à chacune d’elle sans exception…
Pour certaine, elle souriait en y répondant se rendant compte que les villageois avait besoin d’être rassurés ou guidés…D’autre persistait dans leur individualisme et cela, elle avait du mal à le comprendre…

On lui avait fait des reproches sur une décision qu’elle avait prise et aujourd’hui alors qu’elle achetait souvent hors de prix et revendait au prix demandé, Dragones avait l’impression de faire cela en pure perte…Elle avait les noms de ses personnes, leurs avaient écrit à chacun pour les informés et les prévenants que la prochaine fois, elle porterait plainte…elle n’hésitera pas à les mettre en procès…et regardera la justice mettre une peine bien dérisoire…

Les yeux se ferme, elle soupire et retourne au cœur du village, s’interrogeant de plus en plus…
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Deaconfrost

Deacon arrive aux portes de Castillon en tenant sa Nessat par la main et tirant Ness de l'autre... il était chargé comme un mulet le tout gras

il n’avait même pas eu droit à juste gouter un petit bout de Ness... même pas une miette d'âne quoi.... même quand son amour dormait et lui rampait pour aller à l'âne elle avait œillets sur lui

sourit à son amour l'air de rien

ca y est mon amour on y est finalement !!!!! dis on ramènera que Ness plus tard à Drag et Sea and sun... car on va réveiller les petits bouts sinon

pense en même temps vu comme son amour est morte là il va peut être y avoir moyen..frotte ses mains discrètement en regardant du coin de l'oeil Ness...l'âne

embrasse les lèvres de sa toute douce en sautillant le coeur tout léger et se dirige à l'auberge avec ses deux ....Ness

Nessat

Ness voyait enfin les lumières de la ville au loin. Elle était accrochée à la main de son amour et la serrait très fort. Elle tombait presque de sommeil mais savait encore garder un oeil sur son amour. A chaque fois que celui-ci déviait de trop vers l'autre Ness, elle l'attirait discretement vers elle afin de laisser une distance suffisante entre Dea et l'âne. Bin oui, il avait réussi à cohabiter trois jours sans le manger, il aurait été dommage que Ness finisse en casse-croute devant la ville.

ca y est mon amour on y est finalement !!!!! dis on ramènera que Ness plus tard à Drag et Sea and sun... car on va réveiller les petits bouts sinon

Euhh on va peut-être le remettre dans son enclos mon coeur. Je pense qu'il a assez sué à transporter tout le marché de la Teste.

Elle jeta un oeil vers Ness tout chargé et avait de la peine pour lui le pauvre.

Ness se dirigea ensuite avec Dea vers l'auberge, le coeur tout amoureux. Elle ne pouvait détacher son regard de son amour. Elle marchait à ses côtés, heureuse d'être avec lui, peu importe le lieu...

Gourry

Gourry arrivait a l´entrée de Castillon.
Son départ imminent,il se retourna pour voir si il ne voyait pas Ellanesse pour cet au revoir.
Il regarda son épée une dernière fois,elle pouvait servir pour la première fois.
Cette idée ne l´enchantait guère,mais bon.

Il prit son sac et s´en alla vers le village qu´il devait rejoindre.

Elleonnore

Le soleil était levé depuis quelques heures. Juchée sur le dos de Calypso, son fidèle destrier,Léonora observait l'enceinte qui se dressait devant elle et le flot croissant des badauds et ininterrompu des commerçants.
Des cheveux chatains parsemés de reflets dorés tombaient nonchalamment dans son dos sur sa robe couleur lilas.

Un collier en or, héritage principal de sa famille, trônait fièrement à son cou. Elle fit claquer sa langue contre son palais et Calypso s'arrêta.

Elle descendit avec agilité, ses bottes frappant le sol d'un bruit mat. Léonora tenait son destrier par la bride et l'emmena dans une auberge avec écurie.

Seamus

Le cavalier arriva sur une monture écumante, une ombre argentée filant ventre à terre un peu avant lui

Il rentrait chez lui après une courte excursion

Epuisé, il avait fait tout son possible pour dissuader sa soeur de se rendre en Berry, mais, naturellement, cela avait été un échec

Un long soupire passa ses lèvres

Il salua les gardes de faction avant de se diriger plus lentement vers le lac pour tenter de se calmer... au moins, il était revenu sain et sauf

--Cabotine

Le jour se levait à peine et les loups étaient en chasse

La porte était peu fréquentée ces temps-ci et c'est donc naturellement qu'ils s'e approchèrent un peu plus qu'à l'ordinaire

Le passage lointain d'un garde mal réveillé les fit se tasser un peu plus avant de retourner à leur chasse première

L'hiver n'était pas encore là et la nourriture était encore abondante

Stelliem

Il fait nuit noire quand Stell arrive aux portes de la ville. Elle vient de quitter la taverne où elle a passé un très bon moment et maintenant la voici qui attend... Elle salut le garde et se met pas très loin de la lumière des torches et du passage pour ne pas le manquer.... Il devrait arriver ... bientot....

Emmitoufflée dans sa cape, elle ressemble plus a une ombre qu'à un être humain excepté qu'elle fait les cent pas en attendant qu'il arrive.... Elle n'a pas chaud mais reste a l'attendre et continue ses vas et vients pour ne pas le manquer....

Régulièrement pour se réchauffer, elle souffle sur ses doigts et tape des pieds sur le sol de terre battue, s'arrêtant un instant à la vision d'une silhouette qui n'est pas lui, puis recommence son manège... inlassablement... Les minutes passent ... les heures passent .... la nuit doucement fait place à l'aube...Stell est frigorifiée, fatiguée et inquiète mais le sachant sur le chemin du retour elle reste là et attend .. patiemment...et impatiente en même temps.
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Bikko

Au loin, un sifflotement. une petite air joyeuse et avec ses pas rithmé
il arrive enfin chez lui. il regarde vers les grande porte et voit une
petite silouhaite tourner en rond. Il la reconnait meme de loin sa belle
enfin arrivé sans arreter de siffloter il s approche d elle la prend par la
taille et la main puis se mit à sautiller en suivant le rithme de cette air
joyeuse et danse avec Stelliem sautillant sur une patte et sur l autre et
arrete d un coup, la penche vers l arriere et l embrasse tendrement

Bon matin mon belle amour... mais tu est toute froide...tu, tu m attend
depuis un bon bout e temps alors haaaaah lalaa^^ aller vien on va se
faire un bon feu a la maison et se régaler un peu j ai faim moi

La prend par es jambe et la taille puis la souleve et marche vers
leur petit coin de paradie,au moulin.
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Stelliem

Elle l'entend avant de le voir... Elle sourit soulagée.... Elle le regarde arrivée et rit doucement...Heureuse...

Bikko.... A peine un souffle. Puis il lui prend les mains et fait une petite danse avec elle ... Elle eclate de rire et le suit dans ces quelques pas de danse malgré sa fatigue...

Bon matin et bienvenu mon amour... oui rentrons nous réchauffer, manger et nous reposer un peu....

Elle se retrouve dans ses bras et se calinant contre lui, fermant les yeux de plaisir, elle se laisse porter vers leur paradis... vers leur moulin...
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Dragones

Vers la fin de la ronde...

Les deux femmes s’étaient rejoint sur leur derniers point de rencontres et allèrent ensemble jusqu’aux portes de Castillon. L’une est l’autre étaient bien trempé de cette pluie qui ne cessait pas. Elles montèrent les marches de la tour, Dragones pose son bouclier, enlève son écharpe et l’essore avant de se dirigé vers les remparts…
Son regard se porte loin, attentive elle guette, Vanupied lui ramène une tisane, elle la remercie et se réchauffe un peu en tenant la tasse…
Des bruits se firent entendre un peu avant l’aube, Dragones dévale les marches et se poste devant les portes la main sur son arme, le regard percent prêtes à tout…
Des silhouettes se devinent et lentement les lumières des remparts lui permirent d’identifié les voyageurs…Sur les trois hommes, elle en reconnu deux, la tension se relâche, le sourire se dessine sur ses lèvres et elle salut, Ricco, Pierobero et l'inconnu tout en leur souhaitant un bon séjour…
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Ricco

Ricco tout guilleret passa les portes de la ville...

il venait pour faire quelques transactions et ne comptait pas rester longtemps mais suffisamment pour avoir le temps de saluer ses amis.
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Princekris

Après vous mon cher Gourry!

Kris emboite le pas et passe entre les deux grandes tours de la porte principale de Castillon.
Il avance tranquillement, reconnait de ci de là des chaumières familières.
Tout est calme , trop calme.

Doivent être à la messe

Il se dirige au moulin déposer son barda , se reposer et ensuite direction les tavernes prendre quelques nouvelles euh non apprendre quelques nouvelles.

Dameclytie

Clytie venait pour la première fois à Castillon. Elle passa l'immense porte qui protégeait la ville et entra, au pas de Cyriaque, regardant de droite et de gauche, cherchant des yeux les tavernes de la ville.

Son ami Dea n'en serait sûrement pas loin. Elle rit à cette idée. Cela faisait longtemps qu'ils ne s'étaient vus et elle avait hâte de le revoir. Une solide amitié était née entre eux et malgré les aléas de la vie de chacun d'entre eux, rien n'avait altéré ce qui les liait.

Il était venu s'installer à Castillon avec sa compagne, il y avait plusieurs mois de cela et Clytie lui avait promis de venir lui rendre visite.

Elle voulait lui faire une surprise et espérait qu'il n'était pas parti sur les routes, il ne savait pas rester en place. Elle avait pris le risque de venir sans le prévenir, riant d'avance de la tête qu'il ferait en la voyant à Castillon.

De loin, elle vit l'enseigne du "Joyeux Renard"

"Hum... voilà un nom qui siérait bien à Dea, ça !!" se dit elle en riant et elle dirigea les pas de Cyriaque vers la taverne.

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"Là où tu accroches ton cœur et où tu es confiant.. c’est là qu’est ton Dieu." (Jean Calvin)

Sandryn

Sandryn avait passé les portes de Castillon à l'aube, la ville semblait tout à fait endormie. Il faisait un froid de loup, elle remonta son col et marcha dans les rues à la recherche d'une auberge, il lui fallait se reposer avant de reprendre la route pour chez elle.
Chez elle ?! Il y avait si longtemps qu'elle n'y avait mis un pied !
Les seules nouvelles qu'elle en avait désormais se limitaient aux impots, mais prochainement elle serait débarrassée de cette charge.

Après des mois de errance et de reflexions, à ne voir que peu de monde, elle savait enfin ce qu'elle allait faire de sa peau ! Pas trop tot !!

Une faible lueur derrière une fenetre la sortit de sa torpeur, une auberge où elle se précipita sans reflechir. Elle y trouverait surement de quoi se nourrir et se rechauffer, peut-etre même rencontrerait-elle quelques personnes avec qui converser avant de repartir le soir même.

Dragones

Arrivé devant les portes de Castillon, le couple se tourne et regarde la ville endormie… Une missive avait égalementété laissé pour Leodagan, le connaissant il allait s’inquiéter mais elle espérait qu’il la comprendrait…
Elle ferma les yeux et retrouva les mots qu’elle avait écrits sur le parchemin…

Mon fillot,

Je te souhaite de bonne fêtes et une belle fin d’année. Je t’ai menti et j’espère que tu ne m’en tiendras pas rigueur. Je t’aime fort et j’espère te revoir en pleine forme lors de mon retour à Castillon.
Ne t’inquiète pas trop pour ta vielle marraine, je t’aime…

Ta marraine…

Le garde les saluts, Seamus et Dragones le lui rendirent et franchirent les portes laissant Castillon derrière eux…
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Kahhlan

Elle était emmitouflée de sa cape et de son capuchon ..
Le vent s'était levé à leur passage et elle restait dans l'ombre de cet arbre ..
Elle s'étaient dit au revoir plus tôt dans la soirée et la veille également ..

la route allait leur être longue .. et l'avenir de cette famille certainement chamboulée ...
Une fois le petit convoi passé , elle ne le quittait plus des yeux jusqu'à ce qu'il lui devienne minuscule ..

Elle souffla dans un murmure ..
Bon vents à vous tous et qu'Aristote veille sur vous .. Qu'Aristote veille chaque jour sur toi Dragou dans ce chemin que tu auras à faire seule ..

Elle enveloppa sa cape plus près de son corps pour reprendre le chemin du village et de sa demeure?
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*silence*

Une effraie glissa en silence dans l'obscurité, venue de loin, au-delà de la Grande Mer, porteuse d'un message. Cette fois, c'est un simple carton d'invitation qu'elle déposa, avant de reprendre son vol erratique vers la Cité.

[HRP : Cliquez sur le carton pour en savoir un peu plus...
L'adresse du mariage vous sera communiquée pour toute réponse positive.]

Princekris

Kris pose son pot de colle et met sur la grande porte de Castillon afin d'avertir les arrivants son affiche.

Citation:

DANGEREUX INDIVIDU DU NOM DE TONIO.
MULTI RECIDIVISTE POUR AGRESSION SEXUELLE
NE PAS RESTER AVEC EN TAVERNE
NE PAS LUI PARLER.
MERCI AUX PROPRIETAIRES DE TAVERNE ET TAVERNIER DE LE VIRER D' OFFICE.
PRINCEKRIS , SERGENT DE POLICE DE CASTILLON

(HRP-CENSEUR ET MODERATEUR INFORMES)

Holy

IG : le rp commence sur le topic de la colline

A un énième croisement, la fillette sauta de joie : elle venait d'apercevoir la silhouette d'une ville ou d'un village. Apparement il y avait des murailles, elle passa la porte curieuse, son baluchon sur l'épaule.

Je suis arrivée. Mais je suis où moi ?

Elle regarda autour d'elle, elle ne s'attendait pas à une ville aussi grande.

A ben ça alors ! Y a beaucoup de monde ici !

Princekris

Kris était à la grande porte de Castillon filtrant les entrées lorsqu'il voit passer un baluchon.
Il regarde en dessous et voit une jeune fillette.
Il lui met la main sur l'épaule.

Hep fillette où vas tu?

Holy

Holy sentit une main sur son épaule, elle sursauta. Elle se retourna et leva la tête un regard innocent pour voir d'un regard de peur enfantine, un homme au visage qui lui parut sévère et pire que tous, qui portait un uniforme... Aiiiiiie !! La dernière fois qu'elle en a vue, c'est quand Grand mère est morte parmi des gens qui hurlaient méchament et qu'on l'a amené à Sainte Catherine. Oh non, pas encore le couvant !
Tout cela se passa en une fraction de seconde, à peine visible, elle repéra vite les sorties puis se reprit. Son regard changea devenant beaucoup plus adulte. Elle sourit.

Bien le bonjour monsieur ! Je viens d'arriver dans le pays et j'ai vu à travers la forêt la ville. J'ai l'intention d'entrer pour voir si je peux y rester quelque temps. Est ce que je peux ? Elle se mordit la lèvre. Ou est qu'on est ? Et puis, chui pas fillette ! Moi c'est Holy ! Et toi ? T'es qui ?

Princekris

Kris regarde la gamine .

Bonjour Holy !
Ici tu es à Castillon dans le Périgord . Bienvenue !

Il regarde plus attentivement.

Dis moi...tu es seule?

Holy

Holy regarde le monsieur en uniforme.
C'est le nom de la ville Castillon ? Je savais pas que ça existait. Castillon, ça vient d'où ? C'est drôle comme nom. Oh Holy se reprend. Je suis seule oui monsieur. Pourquoi ? dit elle interrogative ça pose un problème ? Dites, je peux entrer hein ?! Je serais sage promis !

Princekris

Bon j' espère que tu ne vis pas de rapines hein?
Attention je t'aurai à l'oeil.

Kris lui donne 1 écu.

Tiens va boire un coup à ma santé.

Kris repart vers les portes de la ville , se retourne.

Si tu y penses demande messire Clayd.
Il receuille les jeunes comme toi pour les faire bosser à la mine .

Holy

Rapine ? C'est quoi rapine ?
Holy regarde la pièce et la refuse. Merci Monsieur le policier, mais vous savez, je peux travailler ! C'est quoi une mine ?

Princekris

Rapine c 'est chapardage , vol.

Kris secoue la tête.

Non non garde la pièce .Si tu la dépenses pas , ca sera ton porte bonheur.
T'en auras bien besoin par ces durs temps hivernaux

Kris s éloigne , retourne à son poste de surveillance.

Et pour la mine demande messire Clayd je te dis.
C'est le chef des mineurs . Il t' expliquera

Holy

Ben non je vole pas moi !!!!!!!!!! Quelque peut coupable pour les pommes. BOn, elle les avait payé quand même. Merci pour la pière alors Sieur. Et p'y, y se trouve messire Clayd ?

Princekris

Demande le bureau des mineurs.
Clayd y est tous les jours.
Bon file maintenant ...
J'ai du boulot .

Holy

Holy ne se fit pas prier et détala. Ouh là ! C'est qu'il avait pas l'air commode le mons.. messire en uniforme !

HRP : merci pour le petit rp ^^

Bikko

Fatigué de se voyage les 5 compagnons... 4 ½ plutot arrivèrent aux portes de Castillon la belle enfin. Bikko pousse un cri au garde pour qu il leur ouvre la porte HEEYYY GARDIEEN TU LA OUUUUVRE CETTE POORTEE ON GELE ICIII ET EN PLUS Y A UNE FEMME QUI PORTE UN ENFAANT ET UNE FILLETTE GROUUUUUILLE T EST SENCÉ NOUS AVOIR VU TES GARDIEN NON! ALLER OUUUVRE FÉNÉAN Insulté le gardien reconnu la voix et lui répond: AAAARRETE DE RÂLER VIELLE BIKK SINON TU VA RESTER LA L' autre côté le garde connaissant le mauvais caractère de Bikko quand on le cherchait, fesait signe a son compagnon d ouvrir la porte quand Bikko
s avança vers lui, lui répond en le regardant avec de gros yeux lui montrant son baton: OUVRE IMMÉDIATEMENT CETTE PORTE OU J'TE L'ENFONCE D'UN BOUT ET JE LE SORTIRAIS DE L' AUTRE ET TE BRAISERAIS COMME UN COCHON ET JE T ENVERAIS VERS CE VIEUX FOU D ODOACRE Le gardien s empressait d ouvrire la porte restant bien cacher derriere la porte Merci et soyer vigilant les 5 amis passèrent la porte se font la bise les homme se serre la main bise a Eloa et les deux couples partent vers leur chez eux
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Stelliem

Enfin les portes de Castillon ! Stell épuisée laisse Bikko les présenter. Elle sourit quand il commence a hurler sur les gardes.

Rhooo Bikko !!! Elle rit doucement un peu génée puis salut et remercie les gardes et passe la porte.

Après avoir embrasser Kahh, Théo et Eloa, elle se serre contre Bikko et se dirige vers le moulin... vers leur maison.
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Gaudali

GauDali regardait en le quittant son village, comme une maîtresse dont on se sépare.
Pourtant, il le pressentait déjà en rentrant de son précédent voyage, il n'y avait que trop longtemps de cela. Plein de loups serviles et affamés, de pucelles en attente qui allaient de leurs recherches remplir tous les espaces !

Alors il repartait parcourir le royaume, en tenant bien serré la main de sa compagne, pensant à ses amis présents et disparus, à ceux qu'il ne reverrait peut être jamais plus...

Il partait le cœur gros, inondé de tisanes et de sourires niais bardés de convenances et d'actes de présence qui n'avaient comme objectifs que d'affirmer leurs existences et l'illusion fugace d'un semblant de prégnance.

Avant de s'élancer vers d'autres horizons il ne put s'empêcher de prononcer dans un souffle inaudible :

Adieu amis, Adieu Casti...
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"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."

Princekris

Kris se tenait là , à son poste, à la grande porte , dans le renfoncement qui dépasse.
Gaudali et Nabeille arrivèrent avec leur barda.
Un très gros barda.
Comme si ils déménageaient.
Kris n'a pas le courage de leur redire au revoir.
Encore des anciens qui partent, pour laisser place à des nouveaux.
Castillon la bataille portait bien son nom.

Ceraphin

Dans un courant d'air glacial et hivernal, porté par un vent sec et cinglant, il s'en revint donc ce jour-ci.
Franchissant les portes de Castillon, l'enfant qui jour après jour l'était un peu moins, salua d'un hochement de tête la sentinelle postée en retrait, à l'abri des pierres.

Le visage rougit par le frimât, les doigts gelés sur les rennes de Petit Gris... Ceraphin était partagé entre morosité et joie.
Morosité des sombres nouvelles portées par les vents mauvais, joie de retrouvailles à venir.
Mais si... ?

Le vieux cheval avançait à douce allure, l'allure des voyages méditatifs.
Bientôt le Quartier St Louis serait en vue, au bout du village...
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Eymerick

Bergerac-Castillon. La distance entre les deux villes était assez courte et pourtant, même à cheval, il avait mis du temps à rejoindre sa destination. Accompagné de Ricopat, ils avaient quitté Bergerac fort tard dans la nuit et plusieurs longues pauses avaient agrémenté leur voyage.

C'est donc assez tard dans la matinée qu'une monture, portant cavalier et cavalière arrivait aux portes de Castillon. L'on pouvait alors distinguait les armes de la Vicomté de Lassay le Horps.

Castillon, cela faisait très longtemps que le nom de la ville lui martelait le crâne. Cela faisait plus d'un an qu'il se disait qu'il fallait qu'il s'y rende pour y revoir une connaissance. Mais malgré ses nombreux voyages aux portes du Périgord, il n'avait jamais franchit le pas, remettant toujours à plus tard. Et cette fois, il y était enfin.

Il ne lui avait pas annonçé sa venue, afin de lui faire la surprise de sa présence, mais depuis le temps qu'ils ne s'étaient pas vu, se souviendrait-elle encore de lui ? Le seul souvenir qu'il lui avait laissé était une chemise de couleur mauve, mais sans doute ne la possédait-elle plus au jour d'aujourd'hui. Il ne savait même pas si elle serait bien présente quand il arriverait, se rappellant son goût des voyages, mais il avait pris le risque.

L'équidé avança donc au pas et franchit les portes de la ville. Le Vicomte salua le garde posté juste à côté puis s'arrêta.

Bien le bonjour l'ami ! Pourriez-vous nous indiquer une auberge digne de ce nom !?

Ils attendirent la réponse avant de reprendre leur route, à travers les rues parcourant la ville.
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Princekris

Après avoir vu passé l'ami de Mordock , Kris s'approche du cavalier , l'observe et le salue.

Bonjour sieur voyageur !
Bienvenue en Castillon.
Une auberge? hum...ben y a "La Castillonaise" gérée par la mairie , "la bottine souriante" de mon ami Bikko , "la belle endormie" de mon amie Kahhlan et pour le ramponneau il y a "le chat qui se trémousse" et pour finir "Aux sens dessus dessous" de mon ami Gawin_derohan. Et puis les autres mais j'y vais pas trop.
Pourriez vous m'indiquer votre nom, votre ville de résidence et le motif de votre visite pour mes registres. Je vous en remercie.

Eymerick

Eymerick remercia l'homme puis lui répondit à son tour.

Je suis Eymerick de Châteaucerf, Vicomte de Lassay le Horps. Je suis accompagné de Dame Ricopat et nous venons tous deux du Mans, Capitale du Maine. Nous venons rendre visite à une amie.
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Princekris

Merci Vicomte.
Bon séjour parmi nous.
Si vous avez besoin de renseignement n hésitez pas à consulter le panneau municipal sinon les habitants se feront une joie de vous renseigner.

Leodagan

Léo arrivait aux remparts avec une grosse couverture de laine...

Il aperçut Pupuce, tenant déjà sa garde, qui se réchauffait en faisant les cent pas...
Il la rejoignit en souriant...
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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certaines personnes paraissent brillantes avant d'avoir l'air connes...

Princekris

Kris rejoint Vanu qui l' attend sur son cheval.

Prête ma dame ?

Kris lui sourit , prend la bride du cheval en main et se dirige vers le grand porche de Castillon .
Ses yeux parcourent toutes ses rues qu'il a arpenté pendant des mois et des mois, jours et nuits.
Une pensée pour ses collègues en passant devant le poste de la maréchaussée, un léger pincement.
Arrivés devant la grande porte, il se retourne, pense principalement aux disparus.

Au revoir Castillon, à bientôt

Un léger hochement de tête, un sourire, en direction de Pupuce qui est de garde.

En route ...

Lyloo

Lyloo arriva aux portes de Castillon. Elle jeta un coup d'œil au poste de garde et fit un léger sourire. Celui-ci semblait occupé à regarder le paysage...

- Heyy hoooo!!! J'ai rien à signaler! Je peux entrer ou j'attends la saint glin glin?

elle descendit de sa jument et la tint par la bride tout en attendant qu'on lui réponde. Il faut dire qu'elle était pressé de rejoindre son compagnon et de trouver une taverne afin de se reposer mais surtout de boire un bon coup.

Stelliem

A l'aube, épuisée et trempée, Stell arrive devant les portes de la ville. Elle sourit heureuse d'être enfin chez elle. Le garde les reconnaissant, et aprés les questions d'usage les laisse passé. Elle fait la bise a Ludo et avec Bikko se dirige rapidement vers le moulin... leur chez soi !!
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Lady_faustynn

Au pied de la muraille ceignant la ville. Ou du premier mur de la première maison, s'il n'y a pas de chemin de ronde en pierre. Bref, de cette chose physique érigée de terre par l'homme, pour marquer son territoire.
Au pied, donc, une paire de botte, un baluchon, une crinière brune qui joue les bottes de foin - si, il y a des feuilles mortes dedans.

La possesseure de tout ce fourbibardabrac a un caillou blanc dans la main. Un caillou-craie, même. Consciencieusement, sur le mur, elle gribouille.

3 mars de l'an 1458.
Castillon, je suis là.
Fouleuse.

Et le caillou va rejoindre ses compères, par terre. Elle recule, passe une main dans sa nuque, plisse un tout petit peu les yeux, balaye l'alentour des fois que, réobserve son graffito. On n'y voit que dalle. Dalle, c'est le support de ses écrits.
C'est la faute à l'avarice en lumière de ce temps gris, au mur manquant de sombre, et au caillou-crayon trop clair. Mais ce n'est pas grave, dans dix, cent - et plus si affinités, années - lorsqu'elle aura écrit les chroniques et récits de ses péripéties à travers le Royaume, que les gens se les arracheront, il y aura mention aussi, de ce petit détail sur un mur insignifiant de Castillon. Et les gens chercheront, trouveront et par centaines et millions, viendront voir.

Elle entre en ville, pleine d'illusoire et puérile auto-satisfaction. Un gribouillis pour la postérité, donc.
Ou jusqu'à la prochaine pluie.

Plic... Plic. Plic-Ploc.

Hagos

Hagos arriva à l'aube , fourbu de froid et de fatigue , les gardes ke reconnurent et le laissérent rejoindre sa maison , abandonnée depuis des mois .
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Gypsie

Court trajet de Bergerac à Castillon, à peine chargées, il faudra les décharger les mules. Trio arvenne arrivant aux portes de Castillon, première visite de la ville pour l'une, les autres sont sans doute déjà venus pour l'une ou l'autre occasion diverse et variée.

Deux mules menées par l'intendant Passepoil assit sur le dernier cheval, précédé de la jument de Gypsie qui suit celle de Jazon, l'attaché diplomatique du Bourbonnais Auvergne au Périgord. Accompagné par son épouse, rectrice du Ba en pleine crise d'oisiveté depuis qu'elle a confié le rectorat à son adjoint.

Déplacement on ne peut plus heureux, juste un épisode déplaisant entre le Limousin et le Périgord, de quoi raconter aux petits enfants réunis autour du feu le soir à la veillée, dans quelques années, tout se déroule à merveille comme le paysage périgourdin défile au rythme de leur randonnée touristique, diplomatique et universitaire.

Cataclop... Cataclop... Cataclooooooppppp..... les chevaux s'arrêtent à l'ordre du meneur de la troupe, la sentinelle Jazon qui dans son célèbre et tonitruant " Olaaaaaaaa ! ", coupe court à tout mouvement de quiconque, équestre ou humain. Voilà le chef qui met pied à terre, tend moults parchemins justifiant de leur laisser promener tranquilles dans tout le duché, remercie son interlocuteur, remonte en selle, et entraine ce qu'on pourrait considérer comme sa troupe, à l'intérieur de la ville.

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Jazon

Jolie ville que Castillon ! Déjà rien que le nom était fort sympathique.
Le petit groupe circulait dans les rues.
Jazon n'en revenait pas de voir tant d'animation dans ce coin du royaume.
Il y avait fort longtemps qu'il n'avait pas vu autant de vie dans un village.

Passant devant une grande batisse, ils entendirent de la musique.
Approchant son cheval d'une fenêtre, il put voir à l'intérieur des gens danser.
*Tiens ! Belle occasion d'emmener Gypsie danser* se dit le voyageur dès qu'ils auraient trouvé une auberge et se seraient installés.

Ils découvraient peu à peu la ville passant devant maintes tavernes et échoppes en tout genre.
C'est le panneau de "A la belle endormie" qui attira le regard de Jazon.

Gypsie, Passepoil, on s'arrête ici ! Lança t-il à ses compagnons.
Entrons !

Le groupe pénétra dans la cour de l'auberge.
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En Deuil ! Pleure son fils... / A la mémoire d'Elra et d'Elégie

Gluth_vongluth

Depuis quelques temps maintenant, le soleil ne faisait que de rares apparitions dans ce ciel noir et bruyant. Les nuages extrêmement rapides suivaient des trajectoires aléatoires. Mais ce qui inquiéter les villageois n’était pas trop le temps…. Mais plutôt ce qui le faisait. Au premier abord on pouvait passer à côté, ce dire que ce ne sont là quelques volatiles qui annonce l’arriver d’une grosse tempête, mais ce qui en tombe depuis maintenant dix jours ne peu pas tromper l’œil : ces pigeons sont là depuis un bon moment. Le sol est collant, les toits sont blanc, le fer est rongé par la fiente… une vrai plait avait touché Castillon.
Le plus flagrant restait tout de même l’hôtel de la ville. Ces oiseaux de malheur y avaient comme monté leur quartier général.
Mais tout cela a disparu du jour au lendemain.

Par un merveilleux jour de Mars, dans l’ombre des piafs volant à en perdre la tête, un homme arriva.
La Cathédrale du Comté l’avait soigné de sa folie. Il était maintenant libre. Il se senti neuf. Il se senti tout simplement… lui-même. Il en avait traversé des épreuves pendant ces deux dernières semaines, mais cette maudite sucette au sel de Guérande n’était plus qu’un lointain souvenir maintenant.
Il n’avait rien de spécial à vu d’œil mais les gens s’arrêter de nettoyer les pavés et les murs à son passage.
Passant les portes de la ville en marchant de cette couche gluante, il ne cesser de regarder le ciel… tout cela n’était pas bon signe, les moines lui avaient appris au moins cette chose là.

-Bin…. C’est quoi tout ça là ?!

Une dame arriva vers lui, furieuse et prête à lui tordre le cou. Mais ce n’était pas la seule à s’approchée du gringalet… les pigeons aussi.
La damoiselle courue à toute jambe, laissant ainsi Gluth recroquevillé au sol. Il se débâta tant bien que mal mais rien n’y fit.
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Complètement blasé

Holy

Holy rentrait chez elle après avoir essayer tant bien que mal de vendre le mais de la semaine. Elle passait devant les portes quand elle vit un curieux spectacle : un homme quel crut reconnaitre pour l'avoir croisé en taverne entrait dans la ville. Cela n'avait rien d'tonnant, la ville recevait plein de visiteur. Non, ce qui était le plus étonnant c'est que soudain une dame fonça sur lui visiblement furieuse de même qu'une bonne volée de pigeon. L'homme se retrouva à terre. Holy se rapprocha prudemment.

Gluth_vongluth

Gluth était étendu à terre, arcelé par les volatiles. Il se débata tant bien que mal mais tout ce qu'il récolta fut deux fois plus d'archenement de la part des pigeons.
Il cria le plus fort possible :

-A l'AIDEUUUUUUUUU!!!!

Mais fini par se rouler sur lui même, écrasnat quatre-cinq oiseau sous son corp, créant la panique chez les congénéres.
Il se releva, enleva quelques plumes renter dans ses braies, fut dégouté de toute la fiente accumulé sur ses abits et fini enfin par soufflé un coup.
Il vit Holy qui rester planté là, assistant à la scéne. Il fit mine de rien et alla la saluer.

-Hoo tien bonjour Holy!! Comment vas-tu? fait beau aujourd'hui tu trouves pas?
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Complètement blasé

Holy

Holy savait bien que ce n'était pas très poli de sa part mais elle ne put s'empêcher de rire en voyant le spectacle.

Bien le bonjour Messire Gluth. Oui il fait beau ... même s'il fait encore froid. Pauvres oiseaux qu'est que vous leurs avez fait ?

Gluth_vongluth

Gluth regarda ses habits taché de sang... et de fientes de pigeons. Exténué par ses vêtements quasi neuf être dans cette état, il soupirant un longt moment.

-Haa bin ils l'ont chercher.

Il se retourna pour voir... sur le lieu du drame... trois pauvres pigeons mort.
Le vent souffla soudain, faisant ainsi voler des vingtaines de lettres. L'une d'elle se déposa sur son pied. Il la pris et..... vit son nom. Une autre pasa entre lui et Hly, il l'atrapa en vol. Elle portai ausi son nom.
detourannt son regard d'Holy, Gluth courru atrapa toutes les lettres qu'il put.

-Vient m'aider.... s'il te plait!!! J'arriverait jamais à les avoirs toutes!!
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Complètement blasé

Holy

A dire vrai, Holy s'amusait beaucoup. Faut dire qu'elle était encore très jeune et que le spectacle de cet étranger couvert de sang et de fiente de pigeon étaient ... déconcertant. Le voilà qui se mettait à courrir après tout une volée de parchemin. Pauvre homme, ce n'était pas vraiment son jour !

Citation:

Vient m'aider.... s'il te plait!!! J'arriverait jamais à les avoirs toutes!!

Holy n'était pas méchante et le jeu l'amusait, elle se mit à récolter les lettres. Toutes étaient apparement destiné à Gluth. Elle les lui donna.

Tenez Messire ... Vous avez beaucoup d'amis on dirait ! Vous logez où ?

Gluth_vongluth

Gluth était fatigué de ramassé se courier. Une fois les bras pleins, il remercia Holy de l'avoir aidé.

-Merci Holy, c'est très gentil à toi... mais ne t'inquiéte pas, je ne loge pas loin. Je suis à l'auberge... du moins j'y fait ma vie depuis que je suis ici.

Il sua un peu plus et rajouta, tout bas :

-Gratuitement.

Il était un peu géné par son acoutrement et les bras chargé de courier, cela le géné.

-Sur ce... je vait te laisser, il y'a quelqu'un je doit absolument aller voir, je lui est promi de venir fêter son anniversaire.
Passes un bonne journée!

Il déposa comme il put un petit bisou sur les cheveux de l'adolescente et parti en courant vers l'auberge.
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Complètement blasé

Beramum_nianzi

Bera était enfin de retour chez elle, dans cette ville qu'elle aimait tant, cette ville qui lui avait tant manqué. Y'avait pas à dire, castillon c'est une ville magnifique!
Elle avait vécu des événements difficiles, et était devenue un peu mélancolique, elle n'allait presque plus en taverne, elle rigolait moins, ... elle avait changé.
Mais quand elle aperçu les portes de sa ville de coeur, elle ne put s'empêcher de sourire, d'un sourire radieux illuminant son visage d'un lumière à en faire palir le soleil de jalousie. Elle su qu'elle allait redevenir comme avant ici.
Angel, son compagnon de route, la regardait bizarrement. A croire qu'il ne l'avait jamais vu comme ça. Ils franchirent les portes, et la jeune femme quitta son ami un moment, elle avait des lieux a revisité, des gens à retrouver, des hanitudes à reprendre et de nouvelles connaissances a faire.

Castillon, me revoiciiiiii! pour le meilleur et pour le pire des rires!

Holy

Euh ben ... Au revoir Messire Gluth. A la prochaine ...

Les yeux un peu écarquillé, HOly regarda l'homme se sauvé. Elle se tourna et déjà d'autres gens entrait dans la ville dont une très joyeuse

Citation:

Castillon, me revoiciiiiii! pour le meilleur et pour le pire des rires!

Bonjour Dame !

Lotx

Juché sur son poney, bouteille de liqueur de gland à la main, Lotx fixait les murailles du village d'un air songeur. Ah Castillon... Toute une histoire! Il s'en était passé des choses au milieu de ces pierres et briques qui l'avaient vu naître. Comme la fois où il s'était rendu à l'église et il avait trouv...

Bon, soubinet, on bouze ou on s'enc... s'endort... aheum...

Le gamin se retourna, il avait presque oublié Sifflard. Or, la vie lui avait appris qu'il ne fallait jamais oublier Sifflard comme on n'était jamais à l'abri d'un mauvais coup par derrière avec lui.

Ouais, ouais on y va, on y va! J'réfléchissais stou...
-Eh bien réflessis en route ze te prie, z'aspire à monter autre chose que mon seval moi!
-Ah ben pour ça tu vas être content hein! Pasque ah qu'elles sont jolies les filles de mon pays, laï, laï, laï laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï... Oui qu'elles sont jolies les filles de mon pays laï, laï, laï laï, laï, laï, laï, laï, laï, laï...
-Ah mais non, mais non, tu fais fausse rut! Ze n'aspire qu'à monter les marses pour me plonzer dans un lit bien douillet!
-Ben tiens...
-...après évidemment, si tu veux me rezoindre dans le lit pour avoir plus saud ze ne ferai pas de manières...

Le garçon grimaça. La soirée allait être compliquée. Il lui faudrait trouver une couche et réussir à refourguer Sifflard. Les gentilles dames derrière l'église étaient-elles toujours là?
Soupir.
D'un geste machinal, il passa la main dans sa besace et caressa la cassette qui y était contenue comme pour s'assurer de sa présence. Elle était bien à sa place, devait-il se réjouir ou s'en attrister?

Bon alors! Qu'es-ce que tu attends! Z'ai hâte de visiter moi!
-Ça va, ça va! J'réfléchissais à comment que j'allais faire pour... pour tu sais quoua... Pis on est pas là pour faire du tourisme d'abord!
-Ta, ta, ta, ta, ta! Ce n'est pas parce que Castillon n'est qu'une étape qu'il faut en oublier la spécialité locale... et z'ai le souvenir d'une de ces tartes tap... tatin!
-A Bordeaux aussi y en a... même que l'archevêque...
-Oui mais à Bordeaux on sera trop occupé par tes petites affaires pour pouvoir zouir de la ville! Alors dépéssons nous ze te prie!
-Pfff

D'un coup de talon, Lotx mit le contact sur son poney qui se mit en marche dans un sursaut bien au delà de la vitesse maximale autorisée hors agglomération par la maréchaussée.
Et c'est un gamin angoissé et un père excité qui entrèrent à Castillon.
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Pasque y a pas que les poneys dans la vie d'abord: l'hymne de Lotx

Gluth_vongluth

La vie peu être étonament courte quand on ne voi pas le temps passer.
Après avoir laisser les clef sur la porte de SA chambre a l'auberge de "La Belle Endormie", le beau et fier Gluth ainsi que la belle et charmante Estrella, quitterent celle-ci pour se dirigé vers les portes de la ville.
Tout aurait été si parfais... si merveilleux... s'il n'y avait pas Antorin qui les atendait pour partir avec eux.

Estrella, l'air un peu perplexe, bein que souriante, chuchota à Gluth en voyant l'homme pressé de partir.

-Il est là lui?! Il a l'air préssé... surement parsque qu'il a hâte de faire un bout de chemin avec toi.

Un peu ébahi, Gluth resta là, à regardait sa compagne se raprocher de se f... d'Antorin, se demandant ce qu'elle voulait dire par là.
La belle se retourna vers Gluth tout en marchant vers les portes, pétillantes de bonheur.

-Je plaisante mon coeur, allez vient, sinon on ne va jamais partir.

Esquissant un sourire, il marcha au pas de course et ratrpa Estrella. Il la porta sur son épaule, comme de la mardise a mettre à quai.. sous les fous rires.... et quittérent enfin Castillon.
Il la déposa un peu loin, lui fit un gros bisou sur la joue et se tourna vers la ville, en y laissant quelques larmes.... du moins... moins une.

-Au revoir Castillon, tu va me manquer.

Estrella le reconforta tout en ricannant :

-Arrete je sait pourquoi tu pleures, je ne suis pas dupe. On ne va pas partir longtemps t'inquietes pas....et dit plutôt : qu'elles vont te manqués ELLES.

Elle repartie dans un fou rire, gambadant avec une telle joie dans ses yeux le long du chemin, Gluth à sa suite...
et... heuresement... Antorin loin devant.
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Complètement blasé

Misscerise

Après une longue nuit de route Misscerise arrive enfin à Castillon et en profite pour se présente en ce lieu !

Bonjour je m'appelle Misscerise et je viens de Saint bertrand Des Commiges, je voyage vers Blois, j'ai profité de mon voyage pour faire un petit arrêt ici pour voir mon amie *Silence*

Je repars dèja ce soir ...

Stelliem

Stell, silencieuse depuis un bon moment, suit la barque et Leo qu'il a bien voulu aider a porter. Faut dire qu’elle est épuisée et quand elle lève les yeux et voit les portes de la ville enfin !! elle sourit lentement et inconsciemment accélère le pas faisant râler Leo.

On est arrivé !! regarde !!

Arrêt devant le guet. Présentation et déclaration au garde. Ouverture des portes. Puis bisouillages d’au revoir et chacun se dirige vers sa propre demeure.
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Dragones

Iroise avance au pas, sa cavalière est attentive, observe et regarde…
Le sourire sur les lèvres en voyant les défenseurs de Castillon, hochement de tête pour les saluer…
La troupe entre dans la ville encore endormie…
Cela faisait si longtemps qu’elle était partie…
Dragones se souvient du départ comme si c’était la veille…
Elle avait fait croire qu’elle partirait avec des amis, mais elle était parti avec ses enfants sans leur dire au revoir ou à demi-mots…
La place de la ville fut atteint, la fontaine était toujours la, de nouveau nom de taverne, d’autre disparu…
La troupe poursuit le chemin direction la maison…
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Crakity

Avançant tranquillement jusqu'aux portes de la ville, Crakity sentit une vague de joie l'envahir. Finalement, il s'était attaché à cette ville et à ses habitants. Il était dnc heureux de revenir ici.

Il entra en saluant les gardes de la porte et alla immédiatement se méler aux gens se trouvant sur le marché. Là il déroba une bourse à un marchand étranger histoire d'avoir de quoi voir venir pour ce soir et demain.

Tout guilleret, il s'élança d'un pas léger vers la quartier des tavernes.
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Seamus

Le passage des portes lui remémora de nombreux souvenirs, dont le dernier était le départ de nuit avec son jumeau, sa Nessat et Aurélien dans le but d'aller arracher son épouse aux mains des vilains italiens

Oui, bon, il n'aimait pas les italiens, il n'y pouvait rien et le pire était qu'il n'y avait aucune raison valable pour cela... avant d'y être allé
Enfin, il y avait a n'en pas douter des gens biens là bas aussi, peut être était-ce juste du à la barrière de la langue ou à la guerre qui faisait rage

Il sourit pensivement et passa les portes et les gardes sans même s'en rendre compte

Il se dirigèrent alors chez eux, Ness avançant à son rythme et de son propre chef

Asa_orfan

Et bien voilà! C'est Castillon! Se dit-elle avant de passer l'enceinte du dit village. Un soupire retentissant pouvait s'entendre à des milles de là, soulagement, car à présent ses pauvres pieds n'en pouvait plus de ses poulaines neuves qui ne l'étaient plus vraiment après ses jours de routes et de détours inutiles. Cette fois, elle s'arrêterait, faire une pause, bien mériter... quelques jours, pour commencer. Bref, sa maigre besace avait besoin d'être regarni et son escarcelle également. Et bien voilà! Elle verra sans doute plus clair demain, une nuit de sommeil s'impose... Direction auberge! En espérant qu'on la laisse entrer malgré que la nuit est avancée...

Hadelize

Quand elle aperçut les portes de Castillon, Hadelize donna un petit coup d’étrier à son étalon le mettant au galop.
Elle était heureuse d’être arrivée, pressée de retrouver son compagnon qui l’avait devancée d’un jour.

Attachant le cheval dans un enclos, elle se présenta au garde puis prit la direction du centre de la ville.

Elle essayait de se retrouver dans les ruelles mais elle se perdit et ne trouva ni la taverne, ni la boulangerie qu’elle cherchait.

Elle fut attirée par un beau panneau qui annonçait des thermes.
Aussitôt les souvenirs de La rochelle lui revinrent et amenèrent un sourire sur son visage.

Elle se décida et poussa la porte, un peu de détente lui ferait du bien.
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Dragones

La carriole avance tranquillement dans les rue de Castillon…
Devant les portes, Dragones allume un candélabre pour voir la route, un salut aux gardes…

La carriole s’éloigne de Castillon en direction de Bergerac…
Antho l’attendait, un aller-retour, simple et normalement sans risque…
Dragones s’était installé pour que sa jambe ne la fasse pas souffrir…
La carriole avançait dans un balancement léger…
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Dragones

[ De retour de Bergerac...]

Elle était partie faire un échange commercial et en route, elle rencontra Lamorgat…
Cela faisait bien longtemps qu’elle ne l’avait vue et après un moment en taverne, ils prirent la route ensemble pour Castillon…
Le jeune homme insista pour prendre les rennes et mener la carriole pour qu’elle se repose…
Devant les portes de la ville, les deux amis saluèrent les gardes et prirent directement la direction de la mairie…
Le débat reprit entre les deux amis sur le repos de la jeune femme et son entêtement...
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Silou

[ tour de garde a la porte de la ville]

Silou arrivât au porte de la ville bien emmitouflée. Même si le printemps s'avançait, les nuit étaient encore bien froide.
Tout était silencieux autour d'elle, elle se posta sous le porche de la porte et commença sa garde.
Elle écoutait les bruits au loin, un chien par ci, un hululement de chouette venant de la forée et le souffle du vent dans les feuillage au alentour.
En ce début de garde tout était calme.

Paul1er

paul vint voir si ses ordres etait respecter et s'approcha a vive allure vers son eleve

alors tu nest ps morte de froid jeune garde???

Silou

alors tu nest ps morte de froid jeune garde???'

Silou surprise par son arrivée inattendu se met immédiatement au garde a vous, qui bien qu'un peut raide et asse règlementaire.

Non major adjoint, pour le moment tout est calme, rien a signaler. A par quelques animaux au loin il y a pas un chats.

Paul1er

bon c'est parfait mais reste vigilante je tenverrais de vivres et a boire par des valets

je veux que personne passe sans s'etre presenter

paul fait demi tour et s'enfonce dans la ville

Paul1er

paul se retourne etant deja bien loin et geule a la garde

drine doit passer ce soir , envoie moi la derechef dans mon bureau !!!

Silou

A vos ordres major adjoint.

Silou le regarda éloignée puis repris son poste d'observation.
D'aussi loin que ses yeux pouvait voir, ils n'apercevaient que des champs et des arbres.
Sur le chemin pas une âme qui vive. Le calme plat.

Humm ils doivent tous passer par une des autres portes se dit-elle en continuant à faire les cent pas pour s'occuper un peut.

--Grunther

au petit matin grunther avait decider que castillon serait la prochaine étape de son périple

besace sur lépaule , regard fixant le chemin , il appercu enfin les murs de la ville

le nom de castillon lui etait venu aux oreilles ya bien lomptemps , ville imprenable hyper surveillée , ceci lavait plutot motivé qu'effrayé.

il arriva enfin au portes vit une silhouette sur le coté , pressa le pas ne regardant que devant lui et se faufila sous le porche discretement....

Silou

Silou se frottait les mains pour les réchauffer un peut, il ne faisait pas très chaud en cette heure matinal. Quand elle aperçu un homme passer discrètement sous le porche, trop discrètement peut être, elle l'interpela.

Et vous là! arrêtez vous donc un moment.

Elle s'avance vers lui et l'observe.

Garde de Castillon.
Qui êtes vous? d'où venez vous et que venez vous faire en notre ville?

Bien campée sur ses jambes, elle continu de l'observer en attendant la réponse.

--Grunther

hum désolé jeune fille je ne vous avez point vu , je n'ai guère le temps de bavarder avec vous , je suis attendu ches louis de vonafred , capitaine des forces armées , baron de segonsac et seigneur de prigonieux et de dublith , pour des affaires de la plus haute importance , allors laissez moi passer je vous prie

il n'attendit pas sa reponse la bouscula légerement et continua son chemin

Silou

Il y as pas de jeune fille là, je suis garde et vous demande votre nom.
Et si vous avez comme vous dit affaire avec mon capitaine, vous devez savoir qu'il veille à la sécurité de la ville. Je doute qu'il apreçi que l'on ne se pli pas a de simple petites questions de routine.

Silou le rattrapa, se posta devant lui et d'une voix ferme lui reposât la question.

Quel est votre nom? et d'ou venez vous?

--Grunther

cela suffit !! hurla lhomme vous voulez me conaitre soit
il leva la tete et la fixa rouge de colere

je suis le chancelier du poitou grunther et ma grandeur le comte ventreachoux m'envoie donne ceci au capitaine des forces armées

il montre la parchemin scellé dun sceau en cire marron

alors maintenant otez vous de mon chemin ou je stipulerais dans mon rapport votre acte heroique et stupide , digne d'une gosse de douze ans.
et vous serez fouettez en place publique pour votre arrogance

allez deguerpissez prestement!!

Silou

Convaincu par le sceau la garde n'en demanda pas plus.

Je ne faisait que mon travail messire. Bienvenu en Castillon et la bonne journée à vous

Répond Silou calmement en faisant un pas sur le coté pour le laisser partir.

Et ben c'est bien ma vaine, ne pas faire son travail et se faire houspiller, ou le faire et se faire avoiner quand même. Non décidément c'est pas ma chance. se dit elle tous en aillant sa conscience pour elle.
Je pouvais pas deviné, c'était pas écrit sur son dos, puis on m'avais pas prévenu.

J'ai juste fait mon travail Murmura t-elle en le regardant partir après avoir repris son poste.

--Grunther

grunther tre s ennervé repris le chemin du village passa derriere la premiere maison

et tourna a gauche une fois planqué il reegarda la pauvre garde au loin

pauvre malheuresue si elle savait
il jeta le faux parchemin en riant et se dirigea vers la mairie

pauvre sotte^^

il etait loin a present...

Silou

Le soleil était a présent bien levé, et Silou épuisée. Aussi elle fut bien contente quand le moment de rentrée arriva enfin. Après un dernier coup d'œil au alentour elle pris le chemin de son lit.

Bikko

Au loin Bikko et Stell arrive en sol Castillonaise. Bikko, en voyant la pierre gravé du nom de Castillon , il se met à genoux et embrasse le sol il reprend la charrette la ou Stell dormait toujours et encor

et direction moulin
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Dragones

[Le grand jour est arrivé...]

Quelques villageois étaient déjà présents près des portes guettant l’arrivée du Comte et de sa suite…
Dragones plantée au milieu du chemin attendait elle aussi leur arrivée tenant dans sa main un bouquet de fleurs des champs pour le Comte…
Ne sachant pas très bien quels conseillers l’accompagnaient, elle leur avait préparé une couronne de fleurs des champs…
La journée allait être belle et ensoleillée…

Mamaaaaaaaaaaaannnnnnnnn !
Ils sont arrivés ?...
Dragones se tourne vers la voix de sa fille et lui sourit…Elle courrait avec ses frères pour la rejoindre…
Non, ils ne sont pas encore là.
Reprenant son souffle Deirdre remet sa houppelande en place, tant bien que mal elle avait essayé de refaire la coupe de sa mère ce qui la rendait adorable…
Maman…Je pourrais leur donné les fleurs ?
Oui tu pourras…Dragones lui caresse la joue en souriant…
Mère et enfants se mirent en position regardant le chemin et guettant l’arrivée du Comte…
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Silou

[ de retour de ronde]

La nuit avait été calme, pas d'échaud fourré pas de de chargement renversés sur la route, ou de charrette embourbée. Les route au alentour de la ville étaient libres et tranquille.
Leur ronde sur le point de prendre fin les gardes se préparaient à retourner faire leur rapport.
Un de ses rapport comme on les aimes, court est concis, genre R.A.S chef, juste quelques vilains du pays venu vendre au marché et voyageur bien en règle.
Quand ils virent une armé s'avancer vers la ville.

Observation minutieuse de l'oriflamme, regard de la jeune garde qui demande confirmation à son ainée, ainée qui acquiesce d'un mouvement de tête.

Il..il...il arrive! Le comte arrive.

La jeune garde part au pas de charge jusqu'au portes de la ville et époumone.

Dame Dragonessss le Comte ariiiivee

(vilains=paysan hein pas méchant)

--Deirdre.

Deirdre qui se demandait ou pouvez bien être passé ce Comte qui se faisait désirer devenait de plus en plus impatiente…
Régulièrement, elle demandait à sa mère si elle le voyait arriver comme si d’être plus grand permettez de voir plus loin…
Puis elle entend enfin un garde dire…

Dame Dragonessss le Comte ariiiivee

Deirdre se plante devant les portes près de sa mère, se met sur la pointe des pieds et voit le drapeau, annonce que le cortège approche…
Maman c’est bien vrai ? Il arrive ?!
La petite frimousse regarde sa mère…

Dragones

Dragones essaye de calmer sa fille et finalement la laisse faire les cents pas à rouspéter sur le retard du Comte…
Un moment des mouvements vers les tours lui font comprendre qu’il se passe quelques choses…
Cela lui fit vite confirmé par l’indication de l’arrivé du cortège…
Dragones reporte son observation sur le chemin et aperçoit le drapeau confirmant une approche…

Sa fille se calme et se plante devant elle essayant de voir le Comte…
Oui, cela semble être le cortège du Comte…Tu vas bientôt le voir.
Les gens commencèrent aussi à se rapprocher et essayer de voir son arrivé…
Le murmure de la foule commençait à s'emplifier de plus en plus...
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Matpel

Le cortège comtal approchait, hissant haut l'oriflamme de la Primièra et le blason du Périgord Angoumois. Les remparts de Castillon étaient en vue. Le Comte était en retard sur le calendrier de la tournée. La constitution de son armée lui avait fait perdre du temps.

D'ordinaire, la tournée se voulait joviale et arrosée. Le cortège entier semblait d'ailleurs avoir pris un peu d'embonpoint. Pourtant la priorité du Comte était se rendre prestement à l'église de Castillon, où l'on pleurerait la disparition d'un noble de grande renommée. Le Vicomte Roland. Bien sûr, la terre ne s'arreterait pas de tourner, même si certains pourraient trouver cela injuste. Matpel était le comte, avant tout autre chose et allait l'assumer. Les Castillonais méritaient aussi que l'on passe du temps à leurs cotés. Chaque chose en son temps.

Le destrier du Comte fit halte au pied des remparts. Les portes s'ouvrirent sur les villageois qui s'étaient préssés pour voir le cortège. Le moral remonta d'un cran. L'armée se remit en marche pour quelques mètres, lentement, et pénétra en ville.

Une fois à l'interieur, Matpel descendit de son destrier, scrutant la foule et se demandant qui viendrait accueillir le cortège.

Dragones

Dragones n’eut pas de mal à le reconnaitre quand il fit son entrée et qu’il descendit de cheval.
Même si cela faisait longtemps qu’elle ne passait plus son temps en caserne Dragones en s’approchant ne pu s’empêcher d’esquisser le geste du salut militaire mais se reprit à temps…
Une révérence faite avec grâce en même temps que sa fille…

Bonjour Votre grandeur.
Soyez le bienvenu en Castillon, je vous présente ma fille Deirdre qui tenait à vous remettre ceux-ci…

En même temps Deirdre s’approche de Maptel et lui offre les fleurs des champs…
Mon Comte, nous avons plusieurs animations au lac, nous espérons que vous viendrez et nous aurions besoin de votre aide pour le concours de bûcherons si vous le voulez bien.
Elle marque un temps d’arrêt laissant sa fille parler avec le Comte…

Je vous accompagne jusqu'à l’auberge de "la belle endormie" où les chambres furent préparées pour vous et votre cour.
Dragones s’approche et murmure…Ne vous inquiétez pas la cérémonie pour feu Roland Deschain n’a pas commencé.

Elle s’éloigne légèrement et sourit en voyant sa fille accaparer le Comte…
Dragones se dit que pour un moment Deirdre oublierait sa peine en parlant avec lui…
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--Deirdre.

Deirdre sourit en le voyant, suit de près sa mère attendant avec impatience le moment de lui donner le bouquet de fleur…
Une révérence comme on le lui avait appris, pliage de jambe, tête et buste légèrement baissé et on se redresse…
La petite avance et tend ses fleurs au Comte…

Bienvenu en Castillon…

Et comme souvent Deirdre glisse sa main dans celle du Comte et lui décrit les différents endroits de Castillon.
Indiquant par moment les endroits où l’on peut bien se cacher et que même personne ne peut trouver...
Mais comme c’est le Comte elle peut bien le lui dire à lui mais chute c’est un secret…
Deirdre poursuivait ses indications en souriant au Comte laissant par moment à sa mère dire ses indications…

Matpel

Les souvenirs du temps où Dragones occupait le poste de Major général Adjoint rejaillirent.

Mes hommages, Dame Dragones. Cela faisait longtemps que nous ne nous étions vus.

Matpel écouta religieusement l'émissaire castillonaise lui exposer l'organisation de la visite comtale.

Une enfant s'avança. Matpel s'accroupit.

Enchanté, damoiselle Deirdre. L'on me donne bien des noms et surnoms. Tu n'as qu'à m'appeler Matpel, ou simplement Mat, si tu préfères.
Merci beaucoup pour ces jolies fleurs. Soyez certaine qu'elles apportent un peu de gaité inespérée encette journée qui s'annonce lourde d'émotion.

Le Comte se laissa guider par la fillette à travers la visite de la ville.

Pour la suite, je change de post si ça vous va. Matpel est aussi attendu en d'autre lieux. Libre à vous de faire suivre vos persos

Silou

Silou après être arrivée en trombe, s'était mise sur le coté, se tenant bien droite bâton à terre.
Elle avait regardée passé l'escorte et observé le comte bavarder avec l'enfant. Le tableau était plutôt touchant et rassurant.
Une fois que toute l'escorte fut passé, la jeune garde partit à son tour faire son rapport.

Il y avait pas à dire, pour une première nuit de garde...... La jeune femme sourit. Ca ne peut être que de bonne augure ça. Murmura t-elle

Silou

Une torche à la main Silou avançait à grand pas, en se rendent à la porte elle avait interpelée trois fillettes, mais pas une n'était Deirdre.
Arrivée au pied des remparts elle regarda dans la guérite, avec de monter au créneaux. Peut être la fillette y serait.

Deirdre.......... Deirdre......si tu es là montre toi, tu sais ta maman est inquiète, elle te cherche partout.......... Deirdre.......... Deirdre.

La jeune femme ralentit son avance, la nuit finissait de tomber et malgré la torche elle y voyait pas bien loin. Régulièrement elle s'arrêtait pour écouter, les bruits, puis elle recommençait à avancer et appeler aussi.

Deirdre............... Deirdre

Gluth_vongluth

Après plusieurs heures de routes, dans le noir et sous la pluie.... et sous les bisous aussi... la belle Luz et son doux Gluth arrivèrent enfin à Castillon.
Passer les portes de la ville n'était pas chose aisé, surtout avec un canasson qui fait n'importe quoi. C'est qu'il en a fait des bêtises depuis que Gluth le connaissait.

Après plusieurs minutes à tenté de faire entrer le cheval dans la ville, les deux amoureux étaient enfin arriver à destination.
Il falait se rendre à l'évidence... les animaux... c'était vraiment pas son truc... par faute d'avoir essayer pourtant.
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Complètement blasé

Bikko

Ciaram

Drine65

Ciaram

Maxime63

Maxime arriva aux portes du village il était à la caserne.

Je suis désolé pour le retard Major Ciaram !

Louanne1000

Ciaram

Maxime63

A vos ordres chef !!!

Maxime alla à son poste de suite.

--Menschnichtmehr

Drine65

--Menschnichtmehr

un traducteur a écrit:

Drine65

Maxime63

--Menschnichtmehr

LJD menschnichtmehr

Maxime63

Und welche also diese berühmten Neuheiten sind ?

Maxime n'en croyait point ces yeux.

--Menschnichtmehr

Etonné de la question de son interlocuteur, le voyageur, après avoir fini son verre, lui fit cependant une réponse.

Sir, ich kann diese frage nicht beantworten.
Die nachrichten müssen auf ihre adressaten und allein geliefert werden.
Also ich weiß nicht, was es ist ...
{Sire, je ne peux répondre à cette question.
Ces nouvelles doivent être remises à leurs destinataires et à eux seuls.
J'ignore donc de quoi il s'agit...}

Ayant reposé son verre, il fit signe au tavernier de le remplir à nouveau, but une gorgée et reprit.

Nun, bitten wir sie mir sagen, wie es ist, dass sie so gut kennen meine spraches ? Sind Sie ein mensch exil ? Hast du gereist ? Sie sind eine erstaunliche person zu mir ...
{Maintenant, auriez vous l'obligeance de me dire comment il se fait que vous sachiez si bien ma langue ? Seriez-vous un compatriote exilé ? Avez-vous voyagé ? Vous êtes une personne étonnante pour moi...}

Maxime63

Ich nimmt Läufe mein Kleiner! Aber das ist für mich, die Fragen zu stellen! Hat dort t er von Empfängern in castillon und so nicht warum, Sie hierher zu verbringen?

--Menschnichtmehr

Plus la conversation avançait, plus le voyageur se sentait mal à l'aise en présence de cet individu qui ne lui faisait pas de réponse et ne se souciait que de l'interroger, comme s'il avait décidé de le soumettre à la question. Et s'il s'agissait d'un inquisiteur ? Il n'aurait plus manqué que cela !

Pour toute réponse à son étonnement devant la connaissance de sa langue, l'interlocuteur avait répondu "Je prends mes petites jambes"... ce qui n'expliquait rien ! Et il avait ajouté "Mais c'est à moi de poser des questions"... Tiens donc ! Et en vertu de quoi ? Non ! Tout cela était inquiétant, il allait falloir agir et parler avec méfiance...

Pour toute réponse à la dernière question, le voyageur salua son interlocuteur en se levant, reprenant le bâton et la musette.

Sir, ich entschuldige mich, aber die reise machte mich müde.
Ich bin zur ruhe gehen.
Ich wünsche ihnen eine gute nacht.
{Sire, je vous prie de m'excuser mais le voyage m'a fatigué.
Je vais aller me reposer.
Je vous souhaite bonne nuit.}

Puis il alla trouver le tavernier et, à grand renforts de gestes signifiant qu'il souhaitait dormir, finit par obtenir une chambre, qu'il paya d'avance, et alla se coucher. Sous leurs apparences chaleureuses et accueillantes, ces villageois n'étaient peut-être pas si bienveillants qu'ils le laissaient paraître... Celui-là qui changeait la conversation en interrogatoire, par exemple, était des plus suspects... Et quant à la femme qui l'avait mené ici et s'en était allée, allez savoir si elle reviendrait et ce qu'elle était partie faire ? Le messager s'étendit sur le lit mais ne se défit pas, prêt à partir à la moindre menace, songeant qu'il était parfois bien coûteux de rendre service et tenir une promesse.

Drine65

Drine revint a la taverne,

apres avoir chercher vainement Meline et Dragones,

Le lendemain elle decida d aller voir le messire
son role de Tribun l obligeait a prendre soin des visiteurs quels qu ils soient.

Elle demanda au tavernier de le faire mander.

Elle vit l homme descendre le salua et n ayant pas de temps a perdre lui annonça :

Messire,

les dames Meline et Dragones sont absentes de la ville pour une durée indéterminée.

Si je peux vous aider a rencontrer une autre personne,
ou si je puis transmettre votre message a leur retour,
N hésitez pas je suis Garde mais aussi Tribun de Castillon pour vous servir
_________________

Maxime63

Cette personne me semble étrange, un messager de la mort ? Qu'est ce que cela veux dire.

--Menschnichtmehr

Le tavernier était venu faire lever le voyageur tôt matin et, voyant son empressement, il s'était préparé à la hâte, prenant sa musette et son bâton. Il descendit bien vite et, reconnaissant la femme qui l'avait mené ici, la salua en s'inclinant.

Guten morgen, Lady, ich bin glücklich dich zu sehen.
{Bonne matinée, Dame, je suis heureux de vous revoir.}

Puis, comme il n'entendait rien à ses paroles, n'ayant guère progressé dans la langue des Français depuis la veille, il se tourna vers l'homme qui "prend ses petites jambes", qui fort heureusement ne les avait pas prises depuis son départ, préférant sans doute s'enivrer et cuver tranquillement, sous prétexte de le surveiller, plutôt que de faire le poireau aux portes de la ville, et s'adressa à l'étonnant polyglotte.

Guten morgen, Herr, ich bin auch froh dich wiederzusehen.
Wären sie so freundlich sein zu berichten, was diese Dame in unserer sprache?
Ich gebe weniger begabter als du und es gibt nichts zu hören.
{Bonne matinée, Sire, je suis également heureux de vous revoir.
Auriez-vous la bonté de me rapporter les propos de cette Dame en notre langue ?
Je reconnais être moins doué que vous et n'y entendre rien.}

Dragones

[Quelques jours plus tard sur la route...]

Malgré l’annonce de la loi Martial, elle ne voulu pas rester à Bergerac et prit donc la route pour Castillon…
Le trajet se passa bien jusqu’au moment ou un grand bruit se fit entendre et la carriole se retrouva penché…
Heureusement pour elle qu’elle n’était pas au pas de course…
Dragones stoppe Ness et a l’aide d’un candélabre va voir ce qui c’était passé…
Par tout les dragons !...

La roue de la carriole était cassée et le châssis était au sol la roue brisé…
Elle soupire…
Impossible de changer la roue et encore moins de soulever la carriole même vide…
Dragones se voit contrainte de laisser la carriole sur place et détache son Ness…
Celui-ci était de mauvaise humeur et après avoir montré son agacement il échappe à la vigilance de Dragones qui se voit obliger de lui courir après…
Elle perdit encore du temps et tient bien fermement la longe tenant son âne…
Dragones regarde la route, un coté puis l’autre…Bergerac…Castillon…
Avançant avec son Ness, elle reprend la route en marmonnant sur son manque de chance…

[Aux portes de Castillon...]

Elle devait arriver à l’aube et la voilà arrivant poussiéreuse et fatigué devant les portes de Castillon…
Dragones profite de l’entré d’un groupe de mineur pour franchir les portes de la ville…
Un garde la vit, elle ne le reconnait pas…

Bonsoir, je suis Dragones de Tinùviel de retour de voyage en tant que MA.
Le garde s’approche et Ness comme a son habitude essaye de le pincer…
Mouvement de tête fait et Dragones poursuit son chemin…
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--Menschnichtmehr

Découragé de ne parvenir à comprendre la langue des gens d'ici et faire entendre la sienne, l'étranger semblait s'être résigné à reprendre la route. Le bâton en main et la besace à l'épaule, il allait par les ruelles de la ville, cherchant à nouveau les portes, quand le souvenir de la promesse qu'il avait faite l'arrêta... On ne refuse pas à un mort sa dernière volonté ! Alors il se mit à nouveau en quête des demeures des destinataires, présentant son laisser-passer à chaque passant qu'il croisait et, malgré la méfiance qu'on semblait avoir de lui, il s'en trouva un, un homme qui allait la hache sur l'épaule, pour le mettre en chemin vers la demeure de Dame Dragones de Tinùviel.

Lorsqu'ils furent en vue d'une jolie maison, le bûcheron désigna la demeure en pointant du doigt le parchemin. Il disait que c'est ici, maison, Dame Dragones de Tinùviel, maison, écrit là, au bout de son doigt, maison, demander Dame Dragones de Tinùviel... Le voyageur remercia en sa langue son guide, qui reprit son chemin vers le bois, puis regarda la maison en semblant hésiter... Après tout, si le Destin avait voulu que ces courriers parviennent, pourquoi aurait-il fait mourir le précédent porteur ? Et pourquoi les aurait-il confiés à un étranger que tout semblait empêcher d'accomplir cette mission ? S'il n'avait fait la promesse, il y a bien longtemps que le voyageur aurait quitté la ville, mais la parole donnée, malgré les obstacles, le poussait maintenant en direction de la demeure de Dame Dragones de Tinùviel, où, il l'espérait, on le délivrerait de l'une de ses lettres et lui permettrait de faire un pas vers sa liberté...

--Menschnichtmehr

Après avoir remis la lettre destinée à Dame Dragones, l'étranger, musette à l'épaule et bâton en main, se représenta aux portes de la ville, afin de prendre le chemin de Périgueux, où il comptait bien trouver Dame Méline Deschain. Trouvant les portes fermées et n'apercevant aucun guetteur, il appela.

Holà ! Personne ! Sortir ! Périgueux ! Sortir ! Holà !

Dragones

Dragones revenait de Bergerac où elle avait fait un aller retour, laissant un moment Lamorgat finir de s’occuper de sa carriole…
Elle avait récupéré ses ordres en tant que MA, plus les marchandises…
On lui avait proposé de se présenter à une animation de la ville se qui la fit bien rougir et l’arrivé de Martinguerre fit oublier aux autres leur demandent pour elle de participer ce qui l’arrangea bien…

Elle avait rejoint Lam et arrivèrent devant les portes, le parchemin fut montré et les portes s’ouvrirent…
Dragones reconnait l’inconnu et lui sourit…
Bonjour, soyez prudent et bonne route…
Elle descend de la carriole et va lui faire la bise pour encore le remercier…
Dragones s’incline et remonte…

Sur la place, elle laisse Lamorgat s’occuper de la carriole. Elle monte sur Iroise et galope jusqu'à chez elle…
Elle avait encore beaucoup à faire avant de se mettre en route pour la Gascogne ce soir…
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--Menschnichtmehr

Agréablement surpris de retrouver ici son hôtesse, l'étranger ouvrit les bras et l'embrassa en lui tapotant le dos amicalement.

Ach ! Lady Dragones ! Très bon vent ! Les oiseaux passer !

Puis, comme les portes étaient ouvertes, il ne demanda pas son reste pour se hâter de sortir, allongeant le pas, se tournant cependant vers celle qui l'avait si généreusement accueilli, en agitant son laisser-passer.

Ich Périgueux... Trouver Lady Meuline Deschiens... Trouver...

--Cavallo

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La nuit été à son apogée. Pas un bruit, pas un chat, pas un pet de mouche ne se faisait entendre.
Les gardes commençaient à pestiférés et à tournés de l'œil, devant attendre encore encore une heure ou deux qu'on vienne les relayer.
L'air et la douceur du soir ne prévoyait que rafraichissement, la chaleur de la journée se faisant moins sentir, et ce n'était pas plus mal.
La soirée était bien agréable.

Un hennissement se fit entendre au loin, captant l'attention des gardes. Cela aurait été tout de même moins surprenant, mais moins sécurisant à vrai dire, si ce son provenait de l'extérieur, et non de l' intérieur de la ville.
Un des gardes, surement une nouvelle recrue, s'écarta de son poste quelques instants pour tenté de mieu percevoir les sons, malgré les paroles désapprobateur des gardes rôdant sur les remparts.

Malgré le silence, pesant à cette instant, il été fort probable que de leurs perchoirs, les miliciens de gardes avait aperçu la chose.
Il faudrait faire un rapport au plus vite, un cheval criant à se point là, cela n'était pas normal, même si cela n'avait duré qu'une seconde.

L'animation de la nuit aurait très bien put n'être que ce léger désagrément, mais les tapotements étouffé de sabots présagés le contraire.
Un deuxième hennissement se fit entendre, plus fort et plus proche que le précédent. Les tapotements laissèrent place à un galop, qui laissa vite place à une chevauché effrénée.

Les gardes des remparts commencèrent à criés des ordres à l'andouille de la porte, qui resta planté comme un piqué à son poste. droit devant lui, l'obscurité de la nuit laissa place à une grande silhouette imposante et élancé. Le garde ne tarda pas à se rendre compte qu'un cheval lui fonçait tout droit dessus et s'écarta d'instinct des portes.
Une fois le canasson éloigné de la ville, on pouvait entendre dans tout le village et aux alentours :

" FALLAIT FERMER LES PORTES ANDOUIIIIIIILLE!!!! Chance qu'il n'avait pas de cavalier, on se serait fait tuer pour ça!!"

Le garde ainsi martyrisé fût quelque temps l'objet d'attention de la part des autres, laissant ainsi le champs libre à une silhouette de taille moyenne, qui rasa les murs en direction des chemins.

Gluth_vongluth

Il y'a des jours comme ça, on croi faire un long chemin, mais ce que l'on recherche nous tombe dessus sans prévenir.

Par un beau samedi de Juillet, Gluth arriva aux portes de Castillon, les bras chargés.
La nuit était courte certes, mais le voyage pour arriver jusqu'à la ville était assez... éprouvant. Son dos lui faisait mal, et ses bras allaient bientôt lâchés.
Le garde s'approcha du voyageur, l'air un peu étonné.

-Bin, z'êtiez pas à l'intérieur vous?!

Gluth grimaça et rétorqua :

-Bin si, j'y été oui, et je souhaite y retourné.

Gluth s'avança, ne voulant pas trop perde de temps a discuté. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait du garde, celui-ci rapprocha sa main de son fourreau et continua de poser des questions... après tout c'était son boulot.

-Et votre belle là, il lui est arrivé quoi?!! Elle est morte?!! C'est vous qui....

Gluth commença à s'enervé, ayant tout fait pour évité le sujet, mais c'était trop tard, le mal étant fait.

-Tututut..!! Déjà ce n'est pas ma belle non... et puis non elle n'est pas morte, elle dort, c'est tout! Bon tu me laisse entrer ou tu veux qu'on dorment dehors?

Le garde hésita et se rapprocha au plus près du couple.

-Elle à l'air tellement heureuse dans vos bras, z'êtes sur que c'est pas votre belle?!! Vous vous foutez pas de moi par hasard?

Gluth se retenu de la déposé et de pouvoir ainsi en coller une au garde, préférant garder son calme.

-Je t'en pose moi des questions?!! Si tu veux on peu rester là a discuté, mais gare à toi à son réveille!!

Le garde abdiqua, poussant quelques jurons entre ses dents.

-Bon très bien, z'avez un laisser passer?

Tendant ses bras vers le Garde, Gluth lui fit un grand sourire avant d'ajouté :

-Bin le voilà mon laisser passer!!

Il fallu un temps de réaction de deux minutes avant que le garde ne comprenne pourquoi le voyageur lui tendis la belle à bout de bras. Il la regarda en détail et compris enfin. les yeux écarquillé et complétement ahuri, il brailla :

-NAAAAAN!!!! Ne me dite pas que.... naaaaan!!!

Gluth souria encore plus.

-Bin non je te le dit pas, tu as deviné, enfin, j'espère. Bon tu nous ouvres ou pas?

Le garde parti ouvrir la porte, laissant passer l'homme et la femme endormi, faisant un salut militaire à leur passage.
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Complètement blasé

Pattricia

Dormir... Si je pouvais dormir...
J'en étais là de mes pensées quand les remparts de Castillon, apparurent enfin. Cela faisait une éternité que je n'étais pas venue dans le village aux coteaux couverts de vignes et surtout que je n'avais pas vu Drine.
Dire que c'est ici que s'est enfin terminé la guerre de 100 ans... que de morts, de tragédies, de supplices...

Notre groupe passe la poterne sans souci et nous traversons le village au bruit des sabots de nos montures. Le garde avait bien un peu tiqué quand il avait vu Truffe à mes côtés, j'étais donc descendue de mon hongre pour lui démontrer que mon loup n'était pas un danger.
Du coup j'avais continué à pied, vérifiant que les enfants dormaient encore et tenant mon cheval par la bride.

On installe le campement au bord de la rivière, tout le monde se couche, mais je n'arrive pas à dormir. Je me relève, prenant soin de ne pas réveiller Michel et vais m'installer au bord de l'eau. Mes pensées s'envolent vers ce que l'on pourrait appeler le bon vieux temps.
Je revois Drine passer son museau par la porte de la taverne de G, je me remémore les heures d'explications, de patience, de grognements. Un sourire s'installe sur mon visage à l'image de mon impatience parfois à la regarder faire ses blagues et ne plus m'écouter.
Ce qu'elle a dû me trouver rasoir la pauvre !

Les soucis et les joies traversées ensemble, nos pouffages ridicules à des blagues que nous étions les seules à comprendre, l'air exaspéré de G face à nos billes grandes ouvertes quand on comprenait pas ses cours saturés d'expressions fleuries, très hautes en couleurs...
C'était peut-être pas le bonheur suprême mais on était bien...
Mais il avait fallu grandir, devenir responsable, entrer dans des batailles ignobles dont on ne reparlerait jamais, faire face à l'ignominie, au mensonge, à la jalousie et enfin retrouver l'apaisement...
Est-ce qu'un jour nous pourrons nous réunir et d'un commun accord convenir que tout va bien pour nous ? Pas sûr...

Il manquerait Bryn... Une larme coule inexorablement le long de ma joue... enfin...
J'avais masqué mes sentiments profond face à cette situation, savoir qu'elle allait s'isoler, loin de nous, de moi... C'était dur, très dur, mais pour rien au monde je ne lui aurait montré.
J'ai trop de respect pour toi ma grande pour vouloir t'empêcher de faire ce qui est bon pour ton cœur meurtri. Mais ça sera si dur sans toi, sans Mari, sans Drine, sans Michel... Quand ils seront tous partis, je bisounourserai à mort dans les bras de Mélie, je me ferai chouchouter, et je tyranniserai les enfants aussi, y'a pas de raison qu'ils s'en sortent mes petits monstres !

Je ris... un rire silencieux de connivence avec la nuit qui s'échappe et l'aube qui s'approche...
Un héron se pose sur un petit ilet et une émotion très forte m'étreint. Et si c'était le nôtre... celui de l'ile... notre ponton...
J'enfouis mon visage dans le cou de Truffe et nous restons là, attendant le levé de ce fichu soleil qui m'ordonnerait une nouvelle journée de travail...
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Dragones

Quand elle monte dans la carriole, les enfants dorment près de Polisson qui les surveille…
L’ourson nain blanc la rejoint, elle le câline et met la carriole en route pour Castillon…

Castillon la Bataille ou la Belle selon chacun…La bataille pour la force des ses hommes et femmes qui en l’an 1453 ou 54 ont tenu tête contre une armée et a pu mettre fin à bien des années de guerre…
Castillon ne fut plus guyanaise et fit son entrée en Périgord Angoumois…
Belle pour la beauté de son âme et la fierté de ses habitants et leur soutient, tous unis quoi qu’il arrive…

Dragones regarde les portes de Castillon construites dans la pierre et bien hautes…
Un murmure sort de ses lèvres…
Nous voilà de retour à la maison…
Polisson la regarde et fait un léger rugissement, elle le regarde et lui sourit…
La carriole franchit les portes de Castillon et se dirige vers le quartier St Louis…
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Gadzelle

[Hors de la ville, loin devant les remparts]

Mais j'en ai marreuuuuuh!

Pour la cent quarante et unième fois de la journée, la brune râlait.
Pour la cent quarante et unième fois de la journée, elle se demandait pourquoi elle avait accepté de se rendre à Bordeaux et de ramener du poisson pour la bourgmestre de Périgueux.
Pour la cent quarante et unième fois de la journée elle soupirait et se résignait en trouvant la même réponse à chaque fois. C'était pour Périgueux... Il n'y avait que sa ville qui pouvait lui faire supporter le voyage de 3 jours aller, son cheval transformé en une vulgaire bête de somme tirant une charrette nauséabonde. Le voyage ne l'aurait pas gêné outre mesure si ce n'était l'odeur! Aaaah cette odeur! Elle en était imprégnée, elle puait, tout puait.

Le regard excédé, la jeune femme leva le visage pour distinguer autre chose que l'arrière train de son hongre. C'est là qu'elle vit enfin Castillon.
Castillon la Belle... Seule ville du Périgord - et de l'Angoumois, il faut bien l'admettre un jour - qu'elle n'avait pas encore visitée. Pour ne pas trainer à l'aller elle l'avait évité, lui préférant les bois.
Lui rappelant Périgueux, la ville lui plut. Entourée de bois, un écrin vert pour une ville dont on entendait déjà la rumeur des habitants avant même d'y pénétrer.

Un sourire discret aux lèvres, Gadzelle claqua la langue.

En avant Ombre, nous devons rendre visite à quelques amis et qui sait, peut être que je pourrais aller taquiner des arbres...

Son index se baladait distraitement le long du fil de sa hache posée bien en vue sur le banc à ses côtés.
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--Tarah_tatah

[sur les chemins menant à Castillon]

"Bordeau… nous l’avons dépassée, nous sommes donc à Castillon. Ah ! Que cela va nous faire du bien de nous poser enfin à l’abri, pour un temps car il va falloir travailler."

Tarah soupira d’aise et ralentit le pas de son cheval noir afin de pouvoir observer le village qui se dessinait au loin. Elle inspecta les alentours pour prendre ses repères. Elle nota la présence d’un bois ainsi que d’une petite rivière. La couleur de l’eau au loin lui rappela que cela faisait plusieurs jours qu’elle était en cavale et que nous étions encore en pleine saison chaude. Elle se retourna vers son petit compagnon de route, comme elle l’appelait dans ses pensées mais jamais à voix haute (sinon, il aurait pu penser qu’elle avait un quelconque attachement pour ce môme !)

"Eh Gamin !, l’appela-t-elle d’une voix sèche. Nous allons faire un détour par cette rivière afin d’être dans une tenue correcte avant d’entrer dans ce village. Regarde-toi, tu es plus dégoutant qu’un rat parisien ! N’oublie pas que je peux te laisser sur le bord d’un chemin quand bon me semble ! Alors tu as intérêt à m’être utile et as ne pas puer de la sorte !"

"Oui Dame Tarah… Je vais me laver Dame", lui répondit-il.
Le gamin montait un petit cheval gris qui tirait lui-même une petite calèche légère dans laquelle se trouvaient les effets de la Dame et qui leur servait parfois d’abri sur la route. Le cheval gris n’était pas reluisant comme le grand étalon noir monté par Tarah mais il était courageux et assez fort pour accomplir le travail qu’on attendait de lui.

Lorsqu’ils s’approchèrent de la rivière, le gamin descendit de sa monture et détacha la charrette afin de le laisser se reposer et boire à la fontaine. « Quelle brave bête », pensa-t-il en lui tapotant l’encolure. Puis il se dirigea vers la rivière où la Dame s’était déjà dévêtue pour s’y baigner. N’importe quel jeune garçon de son âge aurait été troublé de voir une si belle femme se baigner nue, mais pas lui. Il éprouvait une si grande gratitude pour cette femme qui l’avait recueilli et arraché à la misère qu’il éprouvait pour elle un amour sans désir et sans volonté. De plus ce n’était pas la première fois qu’il la voyait nue. La pudeur n’était pas la caractéristique principale de la Dame. Elle était belle, elle le savait, en jouait et la vendait parfois.

"Gamin, frotte-moi le dos. Ah non ! Lave-toi d’abord ! Ne me touche pas avec tes mains qui sentent le cheval !"

Une fois que le Gamin se fut lavé, il aida Tarah à s’habiller et à se coiffer. Rien n’était laissé au hasard. La robe légère découvrait à la perfection une épaule et une nuque blanche, tout en laissant deviner le reste du corps. Le principe était simple, s’habiller pour donner envie de se faire déshabiller. Tarah glissa un peigne en argent dans ses cheveux noirs et accrocha sa jarretière dans laquelle se trouvait un petit poignard qu’elle ne quittait jamais. Avant de passer à autre chose, Tarah se pencha vers le Gamin afin de vérifier que tout était en ordre.

"C’est bien, nous allons nous installer par ici. Regarde la grotte là-bas, tu iras mettre la charrette à l’abri et nous pourrons entrer au village. "

Elle lui ébouriffa les cheveux (pour qu’il n’aie pas l’air d’un garçon trop soigné ou trop aisé disait-elle, mais c’était surtout sa manière à elle de lui manifester son affection).

Le soir même, Tarah entre dans le village de Castillon à la recherche du bruit des écus qui tintent dans leur bourse…

suite

--Romica

[De Marmande à Castillon, un battement de cil suffit...]

La troupe de bohémien avance dans un rythme lent et dansant. Ils avaient quitté Marmande ou les affaires furent florissantes et c’est les bourses un peu plus pleine qu’ils arrivèrent devant les portes de Castillon.
Romica qui était un peu à la traine dû courir pour les rattraper, sa jupe se relevant découvrant le galbe de ses jambes. Elle tenait son épée d’une main pour éviter que celle-ci tape sur sa hanche.
Elle vit le regard du garde sur elle et lui sourit légèrement provocante, pose son pied nue sur le parapet et remonte sa jupe l’air de rien.

Romica! Traine pas on doit installer le campement avant la tombé de la nuit !

Passe sa main sur son mollet avec lenteur et fait un saut de cabri en riant rejoignant sa famille qui l’appelait…

Me v’la !

Romica saute pour s’arrêter devant son frère, tourne sur elle-même et lui fait une révérence avant d’agripper son bras en riant…

Dragones

Dragones était revenu du Monastère ou les enfants y étaient en sécurité…
Elle alla en taverne pour se changer les idées et avoir plus d’information sur cette alerte…Mais bien des événements se soir fit tout basculer…
Elle sort de la taverne la main posée sur le pommeau de son épée, le bouclier tenu par son autre main. Le pas est sur et d’un bon rythme pour l’emmener sur les remparts…
Dragones arrive aux portes et monte les escaliers étroits assez rapidement les connaissant par cœur…sachant quelle marche était plus cassée que l’autre…
Elle commence son observation tout en songeant à la conversation avec Vanu et Silou…
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Dragones

[Une autre nuit...peuplée de souvenirs lointains...]

Nouvelle ronde qui est bien étrange pour Dragones, quand elle le vit franchir les portes, elle l’observe restant en haut de la tour dans l’ombre pour qu’il ne puisse la voir avec la lumière des candélabres…
C’est étrange comme le passé peut vous revenir et amener avec lui ses questions qui risquent d’être sans réponse…

Le reste de la nuit se passe sans encombre jusqu’au moment ou au loin Dragones vit bon nombre de personnes par petit groupe espacé…
Les hommes restent sur les remparts et Vanupied et Dragones descend aux portes…
Elles prennent note des arrivant…
Les deux femmes allèrent saluer leurs amis avec chaleur…
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Dragones

Nouveau tour de garde et nouvelle nuit à passer loin de ses enfants…
Ils étaient en sécurité c’était le plus important même si elle les avait rassuré sur la triste scène qu’ils avaient découvert sur la porte.
Tout les jours, elle allait les voir rester un moment avec eux, les rassurants…
Ils se sont rendu compte d’un changement chez leur mère mais n’arrivaient pas à mettre un nom dessus…

Dragones perdu dans ses pensées avance jusqu’aux portes de Castillon. Avant de monter sur les remparts, elle fit un tour la main posé sur le manche de sa hache…
Puis monta rapidement ses marches qu’elle connaissait par cœur…
Elle rejoignit Vanu qui lui fit un sourire…Les deux amies parlerent un peu puis Dragones prit le premier quart…
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Dragones

Une nouvelle garde…
Le corps de Bavmorda fut emmené pour qu’on puisse se recueillir sur son corps…
La tour de garde retrouva sa fonction comme si rien ne s’était passé…
Les eux amies en arrivant en haut des marches marquèrent un arrêt et silencieusement prirent leur fonction…
Vanu parti faire son premier quart et Dragones s’installe dans l’ombre de la tour et regarde le chemin…Elle reconnait sa silhouette quand il s’éloigna…
Il était revenu…Il repartait…Un serrement se fait dans son cœur…
Mélange de sensation qui l’avait laissé perplexe et par moment distante…
Soit heureux et prend soin de toi…
Dragones s’appui sur la tour relevant son visage vers les étoiles s’entent le froid de la roche dans son dos…
Seamus…Tu aurais été bien surpris…
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Dragones

[Après plusieurs jours...]

Dragones était parti prendre son tour de garde…
Elle n’avait rien remarqué en prenant ses fonctions…
Un léger mouvement de tête pour saluer les autres volontaire et alla prendre place sur les remparts…
Dragones s’isole et observe les alentours…Elle n’avait pratiquement pas dormi, ni arrivant pas…
Quelques tisane la réchauffa par moment…
A l’aube des mouvements se firent voir et le corps se redresse et le regard se fait plus perçant…
Quelques voyageurs entrèrent en ville bien vite rattrapé par les missives de la douane…
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Stelliem

A peine arrivée et deja sur le qui vive ! Stell, accompagnée de Sergent, rejoint les autres pour son tour de garde et apres les avoir salué gentiment, elle va s'installer dans un coin sombre et commence a surveiller la route.....
La nuit, le silence, a peine quelques murmures entre eux, le temps s'étire lentement et l'ennui et la fatigue arrive vite. Elle les combat en buvant de la tisane et en faisant des mouvements a son corps pour qu'il s'engourdisse pas et joue avec Sergent.
Tension du corps et sens en alerte, a l'aube, grognement de Sergent, des ombres se présentent .... des voyageurs.... Soulagement de la miss qui sa garde se terminant, va faire son rapport avant d'aller rejoindre Bikko au moulin toujours suivi par Sergent.
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Dragones

Dragones était restée tard en taverne avec Lamorgat à discuter avec lui sur la GT après le départ de Silou et sur la défense du village.
Il était mal et semblait vouloir partir en voyage. Dragones avait apprit la mort d’Agnia et il s’était confié parlant d’elle un peu avec dépit et plus aucune illusion sur elle.
Dragones fut bien surprise de certains aveux et en fut désolée pour lui…

Ils quittèrent la taverne ensemble et prirent la direction des remparts…
Comme à son habitude, Lam la taquina encore et la fit rougir.
La nuit fut calme, quelques entrées et sorties, rien d’alarmant…
A la fin de la ronde, Dragones prit la direction du monastère pour récupérer les enfants…
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Princekris

Kris arrive à la grande porte de Castillon.
Il ne sait pas pourquoi mais il est dans un état faible.
Il s'est trainé de chez les moines , dont il a un vague souvenir , jusqu'ici.
Il salue les gardes et file au moulin se refaire une santé.

Dragones

Dragones descendait de la tour finissant son tour de garde quand elle aperçoit la silhouette de Kris qui semblait avoir du mal à marcher…
Kris ?! Kriiiiiiiiis !

Elle court pour le rattraper et le regarde avec inquiétude.
Dragones passe le bras de Kris sur ses épaules et le tient pas la taille.
Laisse-moi t’aider…
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Princekris

Kris sourit doucement.

Tiens...bonjour toi !
merci.
Direction le moulin , que je sois à peu près présentable devant Vanu à son retour.

Dragones

Dragones soutient son ami essayant de pas lui montrer son inquiétude…
Mais que t’est-il arrivé ?
Dragones le soutien tant bien que mal et finit par prendre une décision des plus simple et le trajet ne serais que mieux…
Sans laisser le temps à Kris de dire oui ou non, elle se met devant lui, agrippe ses bras et en faisant attention se redresse soutenant le poids de Kris sur son dos…
Tiens-toi à moi pour pas que tu tombes, on avancera mieux.
Elle passe ses bras sur ses jambes et les lui tiens, elle reste penchée en avant attendant qu’il se tienne à l’aide de ses bras pour avancer…
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Princekris

Kris marche tranquillement lorsque sans rien comprendre, mais ca ca change pas, il se retrouve sur le dos de Dragones.

Euh...Dragones...tu fais quoi là?

Kris regarde alentour ne voulant pas être vu.

Dragones

Dragones sourit et avance en le portant…
Ca se voit je te porte pour te ramener chez toi.
Je sais pas ce qui t’arrive mais c’est pas la grande forme et ça m’inquiète.
Donc moins tu feras d’effort et mieux se sera et tu pourras m’expliquer en chemin ce qu’il en est.
Et arrête de gigoter ou on va tomber.
Dragones avance lentement pour être sur de pas lui faire mal et de pas tomber…
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Princekris

C'est donc sur le dos de Dragones que Kris se ballade dans les rues de Castillon.

Pas la forme non. Je me suis écroulé devant chez les moines et j'en suis ressorti faible. J'ai même cru voir Kahhlan à côté de moi là bas. Pour te dire que ca va pas fort. Kahhlan chez les moines ts!

Tout en se laissant bringueballer Kris essaie de comprendre.

Ah ben nous voici arrivés , je crois que tu peux te défaire de ta charge.

Kahhlan

Au loin ... très au loin de la porte franchie ... une larme perla sur une joue fraichie par une nuit déjà bien entamée ....
Elle la laissa couler ainsi que les autres qui suivirent ... enfin pouvoir les évacuer à l'abri ... elle fermait la marche pour ensuite repasser devant ...

Puis le souvenir du chant de la soirée en taverne ... et elle fredonna pour se donner courage ...

Trois pas en avant
Trois pas en arrière
Trois pas su'l'coté
Trois pas d'l'aute coté
Il était une bergère qui allait au marché
Elle portait sur sa tête
Trois pommes dans un panier ...

Les pommes faisaient roulis roulis
Les pommes faisaient roulis roulis
Stop !
Trois pas en ava....................

Un murmure plus loin ..

Prenez soin de vous tous !

Un regard sur Mord et sur Dock avançant d'un pas tranquille , un sourire encore et de se dire que l'ogre verrait bientôt le petit d'homme ...
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Dragones

Dragones au bras de Bucheron avançait dans les rues de Castillon en direction des remparts.
Ils avaient passé la soirée ensemble à discuter avec les amis et quand ils se retrouvaient seuls, parlaient d’eux et des changements qu’il allait avoir autant dans la vie de l’un et de l’autre…

L’un derrière l’autre ils montèrent à la tour et saluèrent ceux déjà en place.
Geunievre avait ramené une soupe qui avait un fumé à titiller les papilles et un remontant pour se réchauffer…
Certains étaient entrain de se reposer et d’autre à surveiller.
Dragones dans un coin pose sa besace et va faire la relève suivi par Bucheron.
Quelques taquineries échangées entre Buch et Yug qui firent rougir Dragones et la ronde commença…
Ils s’attendaient tous à avoir une nuit mouvementée mais celle-ci fut calme…
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Dragones

[Un autre soir de tour de garde…]

Dragones avance dans les rues tenant un candélabre devant elle jusqu’au porte de Castillon.
Elle fait le tour vérifiant que tout se passe bien parlant avec quelques gardes puis monte les marches.
Arrivé au bout des marches, elle le voit et ne peux s’empêcher de sourire.
Elle salut tout le monde écoute les conversations puis va prendre la relève.
La nuit était un peu fraiche, quelques nuages empêché de bien voir le ciel étoilé…
Elle frissonne rajustant le châle sur ses épaules…
L’aurais-tu apprécié ? Les enfants l’aime bien, il est gentil avec eux.
Par moment il me fait pensée à vous…
Dragones entend le bruit d’un pas et se tait continuant de parler à Seamus en pensées…
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Dragones

La nuit sur les remparts s’était passée normalement sans conflit…
Elle fit son tour de village avant de rentrer réveiller les enfants quand elle se rendit compte qu’elle avait enfin la somme pour passer artisan…
En souriant et habiller comme il se doit elle se présenta devant le conseiller et signa pour avoir l’autorisation d’ouvrir son échoppe de charpentier.
Elle en avait mit du temps à se décider mais voilà c’était fait…
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Josephine.

Noé ! S'il te plait, arrête de donner des coups de pied dans les cailloux, et ton sac de linge n'a pas pour utilité de te faire les poings, combien de fois vais-je devoir te le répéter ?

Josephine perdait un peu patience, il faut dire que Noé était insupportable depuis qu'il s'était fait jeté par Kris.

Milie attrapa la main de sa maman.

Maman, on va où ? Maman pourquoi tu laisses les champs ? Mamaaan ?!

Josephine s’arrête et regarde la petite. On ne va pas très loin ma grande, j'ai juste envie de laisser là notre maison et d'aller nous installés un peu plus loin. On va habiter dans un refuge, qui est une annexe du couvent. Là bas, nous serons bien tous les trois. C'est un compromis entre les vacances où l'on se repose et ne pas totalement quitter le village. Tu comprends ?

Mais mais, et ben, parfois je pourrais aller jouer aux jeux de Puce ?

Et bien, parfois oui mais pas tout le temps, nous ferons des passages à Castillon, ce n'est pas si loin, c'est à une heure de marche...

La petite la regarde avec ses grands yeux bleus sombres, qui se mirent à briller humidement.

Ecoute moi mon ange, nous ne sommes pas loin, et tu verras, nous passerons de bons moments dans cette petite maison.

Milie fit oui de la tête mais ne semblait pas convaincue. Josephine se remit en route, en jetant un regard à Noé qui était à la traîne.

*toc toc toc* et psss, Jos, grande gourde ! Bonjour, c'est la petite voix dans ta tête. Oui oui, Jos t'as une petite voix dans ta tête ! Et c'est moi ! Super nan ?
Josephine fronce les sourcils.
Alors tu t'es pas beaucoup remuée pour arranger les choses hein ! Tu pars alors que vous êtes fâchés, c'est pôooos bien. T'aimes pas ça hein ! Hein t'aimes pas ça! ça te rend chagrine ! T'aimes pas non plus qu'y est une petite voix dans ta tête. Bah, qui sait, faut p'têtre t'y habitier ! *pof*

Josephine fit un geste comme pour chasser une mouche et n'y porta pas attention.

Dragones

Dragones avait finalement pu acheter les stères de Mimioche et respecter l’engagement fait pour l’échange à faire…
La charrette de Dragones fut vite remplie et celle de Bucheron du être utilisée en renfort.
Elle avait prévu que sa charrette soit tirée par un bœuf tout comme celle de Bucheron.

Les enfants ne partaient pas avec eux et cela était bien plus sûr pour leur sécurité.
Ils avaient bien sûr un LP et la confirmation du chef des armées que rien ne leur arriverait mais avec la Guyenne on est sûr de rien…

Avant de franchir les portes aux cotés de Bucheron, elle pense à son fillot et leur dispute…Elle aurait aimé le voir avant de partir…
Dragones soupire, Bucheron lui sert la main sachant son tourment…
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Phyladelphia

Phyla arriva avec son frère à Castillon...

Mais David... tu m'avait parler de Thouars...
Tu sais, c'est un peu plus au Nord hein ???

David la regarda en ce moquant...

Ah ? c'est vrais ... mince je regardait ma carte a l'envers

Oui mais non... Daviiiid on va ou ? lui répondit-elle

On va... bin tu verra bien...

Alors qu'elle s'arreta pour fulminé David partit dans un eclat de rire...

Bin moi j'irait voir Yug... na...

Puis elle tappa dans une pierre qui malheureusement resta en place...

Aieuuuu... pfffff...

Elle entra dans la ville en boitillant legerement...

--Boubou_larracheurdedent

Trainant la carriole, il avance lourdement en mettant un pied devant l’autre.

Fatigué ? Nan ! Pas besoin de bête pour transporter le matos, le Boucher s’en sort fort bien sans. Il a de gros bras lui. Il a pas peur de faire la route la nuit. Il a calmé plus d’un moustique.

Faut dire que le Boucher n’est pas un petit bonhomme. Il fait bien cent vingt kilos, deux mètres de hauteur et un de largeur. Une armoire à glace quoi ! Ben quoi sa profession demande de la force ! et de la finesse aussi… en option…

Le Boucher, c’est pas son métier, c’est son nom, comme ça qu’on l’nomme. Il a pas choisit. En général il dit aux gens de l’appeler Boubou. Il trouve que ça fait mieux.
Boubou est arracheur de dent. Il les arrache pas toutes hein, seulement les malades. Parfois il en casse un bout, celui qui est plus bon. Mais il arrache pas que les dents malades non plus, il arrache aussi les plus belles. Il rachète les belles dents et débarrasse les gens de leurs mauvaises. Bref, un vrai petit euh… grand homme d’affaire ! Il mène son commerce de ville en ville et demain, il s’installera à Castillon pour quelques jours.

M’enfin pour le moment, il est tard, l’heure de se trouver un endroit chaud où MANGER !

Dragones

Sur le chemin de retour, Iroise tirait les charrettes plus légères et quelques fûts de bon vin pour enrichir le sellier de Dragones.
Elle avait eu en premier temps la surprise de croiser en taverne Ricco et Dorennor, cela faisait tellement longtemps qu’elle ne les avait vus.
Et par la suite une autre belle surprise, Paul !...
Il était de retour, toujours égale à lui-même.
Dragones en fut ravi et la soirée se passa à boire plus que de raison et a décider de rentrer tous ensemble.

Le trajet fut des plus bruyants, entre levé de coude pour imbiber un Paul et taquinerie du jeune couple.
Alors qu’ils avaient réussi à enivrer Paul et que Bucheron pu être plus entreprenant envers Dragones, deux voyageurs dont les silhouettes n’étaient pas inconnu à Dragones se profila devant eux.
Rire et baisé échanger avec Bucheron avant que Dragones se mettent à crier…

Houhouuuuuuuu !
Arth, Estainoise !
On est derrière vous !
Ils se retrouvèrent et la joie de se retrouver fit émerger Paul de son sommeil.
Arrivée devant les portes le groupe était loin d’être le plus discret…
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Arthanagor

L'écossais chevauchait comme à son habitude avec Esta. Tout deux étaient cote à cote ,près de la chariote que menait le gueux. La route avait été calme. Aucun ennuis à signaler. Devant, se déssinaient les remparts de la ville. Le voyage touchait a son but, et Arth reflechissait deja à ou il pourrait se trouver un toit, tout en repondant aux questions du gueux:

Alors c'est donc ça ,....v'la l'bourg de Castillon - le - pêchou?! demanda l'aviné.

La bataille....dit Arth en levant les yeux au ciel.

Qué Bataille?!....'sont en guerre?

Mais non triple Buse....lacha arth dans un soupire....On dit Castillon la bataille. Puis il se tourna vers Esta en disant : écoutes,... expliques lui toi parceque mio ....'commence a me courir sur le haricot et ça va mal finir.

Puis il continua sa route, le convoi maretelant régulierement la route au rythme des pas des bêtes, quant il entendit:

Houhouuuuuuuu !
Arth, Estainoise !
On est derrière vous !

L'écossais stoppa sa monture , se demandant qui pouvait bien les appeler, il vit des silhouettes, plus loin dont une lui disait vaguement quelque chose. Il demanda a Esta:

On dirait bien Dragones là bas non?....celle -ci acquiesa de la tête. Un instant apres, les deux groupes s'étaient rejoint et arrivaient aux portes de la ville...
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Membre de l'ex- fine équipe du val tordu
Bretteur, philosophe, rimeur, tetu, raleur ,de mauvaise foi et mysanthrope...
Quel aspect hétéroclite que le sien..

" delanda Britania est "

Estainoise

Enfin, ils approchaient du but. Au loin, ils apercevaient les remparts de Castillon la bataille.

Le voyage arrivait à son terme et sur le visage de tous, on pouvait lire un immense soulagement…
Enfin, ils allaient cesser d’arpenter les chemins,
Enfin, ils allaient se poser, là, dans cette bourgade
Enfin, ils avaient su se résoudre à quitter leur Bourgogne,
Enfin, ils avaient fait table rase du passé

Arth et Esta chevauchaient au coté de la chariote, remplie de tout ce qu’ils pouvaient posséder et qu‘ils avaient ramené de Cosne. Elle était tirée par les deux bœufs, menés par Le Gontrand d’une main de maitre. Au coté du Gontrant, le barde qu‘on appelait Le Peyre, pour une fois se taisait, contemplant en silence les murs de la cité qui grossissaient peu à peu. Et il y avait la petite Maud, qui s’était glissée au devant, entre le gueux et le troubadour. Elle aussi regardait cette bourgade qui était censée devenir leur chez eux.

Ce n’était pas la première fois qu’ils se rendaient à Castillon, mais là…leur arrivée prenait un tout autre sens, qu’une simple halte pour voyageurs fatigués.
Ils restaient ainsi figés, à scruter le moindre recoin, comme pour bien s’imprégner de ces lieux qui allaient devenir les leurs.

Enfin Le Gontrand rompit le silence en demandant à Arth….Alors c'est donc ça ,....v'la l'bourg de Castillon - le - pêchou?!
Arth répondit un rien agacé….
La bataille….Castillon la Bataille….Expliques lui Esta….parce que moi……

Esta allait répondre quand tous entendirent une voix de femme crier….
Houhouuuuuuuu !
Arth, Estainoise !
On est derrière vous

Tous se retournèrent alors….

On dirait bien Dragones là bas non?....

Esta acquieça en souriant….
Oui, c’était bien Dragones qui les appelait ainsi.
Oui, c’était bien elle…Tous la reconnaissaient sur sa fière monture.

Elle était accompagnée de deux personnes qu’ils ne connaissaient pas…mais elle oui, il n’y avait pas de doute….
Esta fit de grands gestes et les autres l’imitèrent. Très vite, les deux groupes s’étaient retrouvés.

Dragones…quelle chance que nous arrivions en même temps que vous…dit Esta.

Esta jette un œil sur tout son équipage et dit encore….

On comptait un peu sur vous pour nous héberger le temps de nous trouver un endroit bien à nous….

Stelliem

Les portes de Castillon se profilent a l'horizon.

Un mois d'absence, des jours d'attente et d'incertitude, une nuit d'horreur et ensuite des jours de convalescence et de douleur et de patience pour pouvoir revenir a la maison...

Le groupe avance, et Stell assise sur sa charriote tiré par Mord le boeuf de Kahhlan, regarde la ville se découper dans le paysage encore sombre et un lent sourire de joie et de soulagement fend son visage tiré par l'épuisement et la crainte de ses deux jours de routes. Et ce sentiment de bonheur tout simple chasse toutes les autres emotions et la fatigue.

Laisser Kahh et Bikko s'occuper de renseigner les gardes, sauter de la charriote, prendre son bâton pour s'aider a marcher et entrer dans la ville avec les autres. Se saluer tous et embrasser bien fort Kahh, avant de prendre enfin le chemin du moulin, Sergent loin devant, lui aussi bien heureux de rentrer et Bikko qui l'entoure de son bras pour la soutenir jusqu'a la maison.
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Mordock45

[J'ai un peu mal..... là .... non plus bas !!!]

Mordock attendait en haut des remparts l'arrivée de sa marraine, Kahhlan.... Il s'attendait à voir arriver une baronne couronnée tirée par deux boeufs magnifiques.... mais il ne vit qu'une infirmière....

"Ah ben.... je crois que mes douleurs lombaires me reprennent ....", pensa t-il en souriant....

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Kahhlan

Ses traits se détendirent au fur et à mesure que l'aube arrivait ....
Ils étaient passés !
Une fois la frontière du Périgord franchie ... elle put enfin respirer plus sereinement ...
Ils étaient partis à sept et revenaient à six ... sa gorge se nouait tout autant que son coeur se serrait à l'idée du jeune homme qu'elle ne ramenait pas ... laissant son corps mourant en terre étrangère …
Songeant également au jeune d'Azayes qui devait poursuivre sa convalescence auprès d'autres de ses camarades d'armes … Mordock devra attendre encore avant de pouvoir le serrer dans ses bras mais elle saurait lui dire combien le petit d'homme avait été courageux.
Stell éprouvée jusqu'au tréfonds même de sa conscience reprenait des couleurs et son regard en disait long sur le soulagement qu'elle avait de se rapprocher de Castillon.

Rentrer à la maison et se jeter sur sa couche , pouvoir fermer les yeux et se dire qu'elle reprendrait pour un peu sa vie de jeune femme Castillonaise avec son lot coutumier de broutilles d'avec son fillot, ils s'étaient manqués l'un à l'autre durant ce mois de séparation , elle avait eu le temps d'épurer leur relation et rien ni personne ne leur enlèverait ce lien qui les unissait … de cela elle avait pris conscience également.

Se rapprocher encore jusqu'à la tour de garde , elle présenta sa lance au complet et remercia les gardes de bien leur ouvrir la porte..
Dock son boeuf suivait la charrette de Mord qu'elle avait confié à Stell, le convoi passait en totalité.

A quelques pas , un visage qu'elle n'aurait jamais cru imaginer en cet endroit et en cette matinée …
Sourires amusés et ne pas montrer l'émotion qui emplissait son coeur.
Il n'avait pas oublié le jour … bah elle s'attendait à toutes sortes de remarques moqueuses mais il n'avait pas oublié le jour … Ça était l'important !
Sauter à bas de sa jument tout en lui flattant l'encolure et se diriger vers son fillot …

Plonger son regard dans le sien … et se permettre une accolade franche et chaleureuse , au diable la poussière sur son visage qui devait offrir un teint couleur de terre … au diable le désordre de sa tenue … et lui murmurer ….

Merci !

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Arthanagor

[...Une nuit de garde, sur les remparts...]

Le vent froid lui fouettait le visage, et il se félicitait d'avoir pris son vieux tartant écossais en prévision. Il le portait, jeter sur les épaules comme un châle de vieilles bonnes femmes.
Il était accoudé a un des creneaux des remparts, scrutant l'obscurité à la recherche du moindre signe suspect,...du moindre son. La neige tombait a gros flocons pour la première fois de l'année, une aubaine pour les éventuels pillards qui avaient là un excellent moyen de cammouflage...lui y voyait un risque supplémentaire.

Le cliqueti des la patrouille de la milice sur le chemin de ronde le tira de son observation un moment. Les quatre pauvres bougres armés de fourches ou de haches veillaient sur la tranquilité des citoyens....il marcheraient ainsi toute la nuit dans les ruelles.
Un homme en livré du comté arriva, tenant un bol fumant de vin chaud aux épices qu'il tendit a l'écossais. Celui-ci le remercia d'un signe de tête et le prit dans ses mains, afain de se les chauffées, il en but quelques petites gorgées bienfaitrices et alors que l'homme allait repartir il le héla:

S'il vous plait?!....veuillez faire en sorte que chaques homes de faonctions cette nuit puisse en avoir une bolée ou deux, dit-il, ...par ce froid ce s'ra pas un luxe...

Ce sera fait Messire répondit l'homme en saluant.

L'écossais grimaça au "messire", décidément, il n'aimait pas cette appelation, mais ne reprit pas l'homme pour autant. Il but une gorgée encore et se remit en position, sur son créneau, le bol fumant posé a coté de lui. Tout à l'heure, il irait en ronde avec les miliciens.....
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Bretteur, philosophe, rimeur, tetu, raleur ,de mauvaise foi et mysanthrope...
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Arthanagor

PLUS TARD...

Il avait fini sa garde...

Une nuit de plus dans le froid sans apercevoir le moindre danger dans les environs proches de la ville...et tant mieux.
L'aube se levait doucement, et déja une foule de marchands et de paysans attendaient que les gardes ouvrent les portes de la bourgade périgourdine.
L'écossais déscendit l'escalier de pierre laissant la place a l'équipe montante.Pour l'heure il ne revait que s'une soupe au lard bien chaude et d'un bon feu.

Il salua quelques vagues connaissances d'une signe de tête, papotant un peu....mais alors vraiment un peu, avec certaines.
Il alla détaché son cheval qui avait passé la nuit dans un box a proximité de la porte d'entrée sous la surveillance des gardes.
Sans dire un mot, il lui flata l'encolure et monta en selle prestement. Héra, la jument, piaffa et poussa en petit hénissement.

Il irait la dégourdir un peu en foret avant de rentrer.
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" delanda Britania est "

Dragones

La petite troupe traverse le village, les enfants dans la charrette, les affaires dans la deuxième le tout tiré par un Ness bienveillant.
Dragones était sur Iroise et attendait le reste de la troupe.
Elle regarde Castillon, la nuit qui enveloppe la ville, les étoiles brillent la lune est haute et clair. Belle nuit pour voyager…
Dragones regarde la colline ou le reste de son corps reposait et soupire.
Sourit aux enfants qui papotaient gaiment…
Puis la troupe se mirent en route.
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Grosse_poule

Jessyqua arrive aux portes de Castillon

Me voilà pour quelques jours !!

Verya2

Elle les avaient si souvent franchies ces portes … le plus souvent heureuse de retrouver ses amis … sa sœur … mais le cœur si lourd de peine et de tristesse …

Aujourd'hui elle les refranchissait … l'âme en paix … le sourire aux lèvres … entendait encore les paroles de Kah … fais ton chemin de croix,… grimpe les marches, tu verras ...

Elle les avait monté ces marches … dégringolé, puis remonté … avait bien failli abandonner …
elle les avait gravit … en pleurant, souffrant … n'attendant plus rien … mais avait repris la périlleuse escalade …

Elle était là … elle avait réussi …
Le soleil se levait sur Castillon … la forêt … le lac … le ruisseau dans la plaine qui menait à un drôle de moulin …

Verya avait abandonné le groupe … Chouchou ... ses amies la suivrait peut-être ... elle ne pouvait se passer du spectacle …
en haut de la colline, elle s'assit … replia ses genoux sous sa chemise trop grande ... sourit … contempla, une fois de plus, le soleil levant …

L'hiver s'installait dans les campagnes … l'été avait envahi son coeur ...
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Silou

Une aube pale c'était levée sur un paysage enneiger et silencieux. La rouquine était restée en mouvement tout le temps de sa garde. Une façon de rester en éveil et de faire circuler le sang dans ses extrémités.
la nuit avait été froide et calme, seul quelques voyageur pressés d'aller se réchauffer avais troubler le silence un bref instant.
Comme la relève arrivait, elle jeta un dernier regard vers l'horizon aven de redescendre et d'aller prendre du repos bien au chaud.

Arthanagor

L'écossais laissa échapper un bâillement sonore et s'étira...
Une nuit de plus sur les remparts, a parcourir le chemin de ronde surveillant les alentours de la ville.
Une fois les portes de la citée fermées, la herse baissée, théoriquement il n'y avait plus rien a craindre mais bon...le pignouf est sournois, c'est la son moindre défaut..Un frisson de fatigue lui parcouru l’échine, il repositionna son tartan sur ses épaules.

Messire !!....messire !!! un milicien arriva en courant, légèrement paniqué....messire !!! la bas, regardez !!!....des sarrasins!!! il désignait un convoi qui arrivait sur la route menant a la ville....dois-je faire sonner le tocsin?....mettre l'huile a bouillir?...faire armer les balistes? demanda-t-il.

L'écossais le regarda l'air blasé, un peu déçu d'avoir a supporter un type dont le quotient intellectuel apparemment était plus près de celui d'une huître que d'un alchimiste. Même pas foutu de faire la différence entre des marchands et une armée sarrasine...navrant! Il le regarda, cherchant ses mots en essayant d'etre le moins vexant possible:

Alors toi, le jour du bal des crétins tu seras pas a l'orchestre...dit-il en soupirant

Ah...ben de toutes façon j'sais pas jouer d'un instrument, ça tombe bien,.. hein maréchal? L'écossais soupira en levant les yeux au ciel.

Vas faire ouvrir les portes...il est grand temps dit Arth.
Une aube grisâtre se leva sur la ville. Le sol hier maculé de blanc prenait lui aussi une teinte grisâtre, la neige se changeant un boue lors de la fonte, une nouvelle journée commençait...
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" delanda Britania est "

Arthanagor

[...Et une de plus...]

L'écossais avait passé la nuit sur les remparts. En tirant son emplacement a la courte paille avec les préposés à la milice, il se retrouva de faction sur le rempart Nord pour une bonne partie de la nuit. L'emplacement était bon car il était près d'une guérite ou trônait un brasero et un chaudron de vin chaud...Arth pourrait ainsi a loisir satisfaire son besoin de chaleur interne.

La nuit s'annonçait et elle le fut...glaciale même pourrait-on dire. Une bise souffla toute la nuit et au petit matin, c'est un écossais transis de froid, la goutte au nez , reniflant a tire larigot qui regagna la taverne la plus proche pour s'y réchauffer en râlant tout ce qu'il savait.....y' a des journées qui commence mal...
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Estainoise

Sur les remparts, Esta faisait sa ronde incessante dans le silence de la nuit.
Tout était calme, bien calme et d’autant plus que la neige étouffait tous les bruits.
Esta scrutait l’horizon en essayant d’y voire quelque chose, elle tendait l’oreille, aux aguets, puis elle reprenait sa ronde sur le chemin de ronde, ses bottes s’enfonçant dans l’épaisseur de la naige.
Souvent, elle s’arrêtait près du brasero, approchait ses mains bleuies par le froid en se les frottant pour les réchauffer, elle se servait un godet de ce vin chaud qui savait la maintenir éveiller et lui apporter un peu de chaleur.
Par moment la neige tombait, lourde, dense, d’autre fois, les flocons s’espaçaient et virevoltaient avant de ne se poser sur le sol.
Au matin, alors que la garde venait la relever, elle croisa psycho qu’elle salua...Tiens, que faisait-il à cette heure là, près des remparts ? Revenait-il d’un voyage ? Etait-il lui aussi de garde dans la milice ?

Arthanagor

[ Moonlight sérénade..]

L'écossais avait gagné les remparts après une brève revu des troupes des miliciens de factions ce jour là. Il avait étudié les emplacements stratégiques a défendre, les endroits où le champ de vision depuis les créneaux des remparts laissait a désirer.

La nuit était claire mais glaciale.

Tous apprécieraient les braseros et les bolées de vins chauds qui seraient distribuées. Déjà dans des casemates, les chaudrons commençaient a chauffer les flammes léchant leurs fond en cuivre.
Il prit un bol qu'il plongea dans le liquide vermeille, et en but une longue gorgée. Le vin était a peine tiède, mais on pouvait déjà avoir une idée du gout qu'il aurait. Il acquiésa au regard questionneur du préposé a la cuisson afin de lui signifier qu'il était sur la bonne voix, et laissa les hommes de faction faire de même pour se donner du coeur a l'ouvrage car la nuit allait être longue et froide.
Quand tous eurent but une bolée, il les regarda l'air confiant et dit simplement:

Bien messires.....A vos postes!!! puis il tourna les talons et monta sur le chemin de ronde, se positionna à un endroit et scruta longuement les ténèbres...
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Dragones

Dragones en reprenant la route avait entendu des rumeurs indiquant que Castillon était en alerte…Elle avait pressé le pas et ne c’était pas rendu compte de l’absence de Steren. Elle ne remarqua rien en chemin et les porte de sa ville se profila, bon nombres de personnes étaient sur les remparts.
Elle reconnaissait la plus part des silhouette…
Les lourdes portes s’ouvrirent sans qu’elle ait besoin de dire quoi que ce soit et fut accueilli bien vite par une missive de Stelliem.
Dragones sourit et laissa les enfants filer dans les rues Castillonnaise.
Elle savait que tout le village aura bien vite l’information qu’ils étaient de retour. C’est a se moment qu’elle s’aperçut de l’absence de Steren.
Une missive lui fut vite envoyé...
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Princekris

Après une sieste récupératrice, Kris retourne sur les remparts.
Il scrute l'horizon et n'aperçoit rien.
Plus de chevalier, plus d'oriflamme, pas de tentes, pas de feux, rien...

Dites c'est moi ou mes yeux?
Mais le Louvelle l'est plus là?

Arthanagor

[ ..garde sur les remparts de la ville...]

Rassemblement !!!!La garde du jour se rua hors de la salle qui lui était dévolue et s'aligna a peu près correctement. En temps que maréchal de garde,il voulait leur tenir un petit topo de préparation:

Bien messires !!! .....dit-il...la ville compte sur nous pour dormir tranquille, aussi j'vous demande d'ouvrir l'oeil et le bon!!!!...il désigne les remparts...je n'veux voir personne assoupis ce soir sur les chemins de rondes, a la moindre alerte je vous veux réactifs...il fait les 100 pas devant en les regardant dans les yeux un à un...il est hors de question qu'on se retrouve avec une armée sous les remparts ou une invasion de pignoufs sous MA garde... Il distribua les postes de chacun, précisant leur rôle et le secteur a surveiller et avec un petit sourire en coin ajouta:

A nous de jouer messire....A vos postes !!
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Arthanagor

[...Et on remet ça !!!...]

Le coq avait a peine fini de chanter que l'écossais était déjà debout. Savoir sa moitié enceinte jusqu'au dents et sur les remparts toutes la nuit alors qu'elle devait se reposer l'avait quelques peu perturbé dans son sommeil aussi, après être passé au château voir les dernières information sur les éventuels danger, il arriva alors que les portes de la villes venaient a peine d'être ouverte.
Un des miliciens qui avait fait la nuit, le visage mangé par une barbe de quelques jours, lui dit:

Vot' collègue vient de se rentrer...elle était plutôt lasse !!! on eu peur qu'elle le fasse sur les remparts son p'tit.

Arth lui jeta un oeil noir. Son petit c’était le sien aussi. Il acquiésa de la tête sans plus polémiquer, trop tôt pour ça. Il convoqua la garde descendante alors que la relève arrivait petit a petit et les libéra au fur et a mesure. A son tour de veiller sur la ville...
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Arthanagor

[...Patron?!.....la même chose !!!...]

L'écossais leva les yeux vers le ciel et regarda les lourd nuages qui se vidaient sur eux en ce jour gris.
Une plus fine , insistante, pénétrante. Il pleuvait comme comme vache qui pisse. Lorsqu'il arriva dans la salle de garde, trempé il vit que les miliciens n'étaient pas dans un meilleurs état que lui.
Les livrées laissaient des flaques a leurs pieds,quand au casques qu'ils avaient empruntés il ne savait où, ils n'arrangeaient rien a la touche finale de la vaillante garde civile...arth ne put retenir un sourire en voyant l'un d'eux et lui lancer incrédule:

Vous avez un confiturier sur la tête?.....il soupira..bon....alors les consignes sont simples: on ouvre l'oeil.....rien ne doit nous échapper!!!....dit-il, j'ai le sentiment qu'un coup tordu ce prépare dans le comté, mais je ne sais pas où, alors autant eviter que ce soit ici....Mefiez vous des pignoufs et retenez que l'habit ne fait pas le moine: Meme vêtu de dentelles, un pignouf reste un pignouf....Il tape dans les mains.....A vos postes !!!
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Arthanagor

[...fin d’après-midi sous les remparts...]

Un grand soleil hivernal baignait les remparts de Castillon en cette fin d’après midi. L’écossais traversa les ruelles de la ville le visage fermé...C'est a peine si il répondait aux saluts qui lui lançait certains visages connus.
Il butta contre un poivrot qui, allongé la tête dans le caniveau; barrait la route de son corps inerte.
Par réflexe , il lui flanqua un coup de pied au cul le maudissant jusqu'a la 35ème génération...

Quel le cul te pèle l'ivrogne !!! lui lança-t-il rageusement. Enfin il arriva a la cahute servant d’abri pour les hommes ou femmes volontaires pour la garde de nuit. Il se fit porter les parchemins faisant le compte des activités du jour et de la nuit dernière...lu la liste des miliciens et vit avec satisfaction que tous étaient présent et a leur postes. L'un deux s'avança et lui demanda 'sil pouvait s'absenter quelques temps , sa femme étant malade...

Vas !!!!! lui dit-il sans même le regarde
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Dragones

Dragones arrive devant les porte de Castillon l’émotion qui ne la quitter plus depuis le matin était que plus présente.
Les enfants étaient tous aussi ému et ne disait mot dans la chariote bien installé.
Oredon avait pris place aussi, Zenon était non loin.
Un regard vers Bucheron qui lui serre la main et le groupe se mit en route.
Dragones lève son regard vers les remparts et lui sourit, la main et levé dans un salut.
Prend soin de toi et de ta famille, à bientôt Arth.
Les autres avaient déjà avancé, coup de talon léger et Iroise les rattrapa rapidement.
Les larmes coulèrent en silence et elle se refusa de se retourner pour voir la ville…
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Arthanagor

[...blow in the wind..]

C'est l'écossais qui était de garde ce soir sur les remparts.
Pour une fois il n'avait pas fait de laïus aux quatres miliciens qui étaient de gardes....pas le coeur a ça, trop de mauvaises nouvelles ces derniers jours.
Le hasard du calendrier si on croyait au hasard avait voulu que Dragones , son amie, quitte Castillon ce soir la aussi. Celle qu'il avait connu en Gascogne, qui lui avait amener tant de bonnes choses en si peu de temps...

Quand il vit le convoi passer sous la porte massive de la ville, alors qu'il était assis sur un des créneaux pensif, il se redressa, puis il la vit, dressées sur ses étriers lui faisant de grand signe en disant:

Prend soin de toi et de ta famille, à bientôt Arth.

Il répondit de la même façon, un grand signe de la main en murmurant pour cacher aussi son émotion: Bonnes chances et bonne vie a toi .... puis il prit un torche qu'il agita alors qu'elle s'enfonçait dans la nuit..
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Kahhlan

Accompagnée jusqu'aux remparts ...
Gratitude au fond d'un regard ...

Un merci ...

Un signe de main un peu plus loin ...

Inspirer et Aller ....
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Arthanagor

Un signe de la main, il répondit n'entendant pas ce que lui disait le milicien a ses coté. il acquiésa machinalement.
Accoudé a un créneaux il répondit par un grand signe de la main, avant de suivre du regard aussi loin qu'il le pouvait cette armée qui s'enfonçait dans la nuit dans le cliquetis des chevaux et des armes:

Fais bien attention a toi...murmura-t-il en espérant que le vent porte ses paroles.

Oh messire, j'vais juste aux latrines vous savez... répondit le milicien. Arth lui lança un regard noir, et lâcha un soupire avant de s'éloigner de lui et de changer d'endroit. Sur la route, un nuage de poussière montait doucement mais un éclat blond cuivré restait visible....
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--Roi_dag

Clopin clopant roi_dag se rendait vers les portes de la ville tout en râlant.

Va porter ses outres de vin chaud sur les remparts, donne les à l'écossai.

pffffffffffffff l'en a d'bonne la marchal chef.

Et l'homme marmonnait dans sa barbe

Va porter ses outres de vin chaud et va pas trainer en route, aller ouste, pas de rouspétance, plus vite tu reviendra plus vite tu aura ton dut

Pffffffffffffffffff pauve roi_dag, pauve de toi, t'envoyer dehors par c'froid, pffffffffff l'a pas d'coeur la donzelle. Pauve roi_dag te g'ler les escoquilles pour une assistée chaude

Arrivé sur les lieux de la livraison il se met a bramer.

L'ecossai v'la du vin pour v'ote nuit, L'ecossai.

Il avait beau être prêt à bien des choses pour un brouet chaud et consistant, il allait pas y passer la nuit non plus.

Vanupied

la charrette emplie de malles, pas moins de 27 rien que pour les petites affaires de Vanu, et une pour celles de kris.. Mordock avait sa propre charrette il était parti devant.
Le moment de quitter Castillon pour de longs mois était arrivé.
Où ils allaient.. elle ne le savait pas, le seul indice était une lettre laissée à Kris il y a un an… allaient-ils le retrouver ? Gawin était vivant elle en était sure.

Dernier regard, geste de la main et sourire vers Silou… une chose est certaine, c’est en s’éloignant que l’on se rend compte à quel point certaines personnes peuvent compter …

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Princekris

Tirant par la bride le cheval de Vanu , la charette avance doucement vers la forêt.
Un sourire vers Vanu, un regard vers les remparts.
De nouvelles aventures les attendaient.
Dans un premier temps rattrapé Mordock.

Stelliem

L'aube est là ! Enfin la forme des remparts de Castillon se dessine dans le lointain. Stell, fatiguée se redresse et même Sergent qui marchait tranquillement près d’elle ressent l’élan de soulagement et de joie d’être enfin rentrée. Il aboie et part en courant au devant du couple. Elle regarde Bikko, lui sourit puis ils arrivent devant les portes. Salutations et présentation des papiers, sourire fatiguée de la damoiselle qui franchit la porte, le couple se rentre chez eux…
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Silou

Les braseros allumé et les poste repartis, la garde avait commencée. Tous d'abord les mouvement de départ, plus ou moins ordonnés, plus ou moins joyeux. Du haut des remparts la rouquine surveillait tous ça. De la ou elle se situait elle ne voyait que des silhouettes dans la faible lueurs des torches. Mais elle devinait certain noms à la voix, ou à quelques détails que l'on sait des gents quand on les connait assé.
Un petit groupe se profile à la sortie de la rue qui donne sur les porte, ils sont trois, et l'une des charrette semble lourdement chargé à entendre le grincement de l'essieu.

Ca c'est Vanu et ses malles, pour sur.

Un léger sourire de prenez soin de vous, qu'ils ne peuvent voir et un salut du bras au-dessus de la tête qui dit bonne chance, elle les regardent s'éloigner vers leur quette.
Le reste de la garde se passe calme et morne, froide. Puis arrive le vent glacial qui annonce l'aube claire et un aboiement. Silou tend l'oreille et scrute le chemin, le ballet des arrivées débute, sa garde touche à sa fin. Elle s'étire, souffle sur ses doigt gourds, en contre bas elle reconnait les voix de Stell et Bikko, les voix sont las, le voyage a dut sembler long par ce froid. La jeune femme les regarde pénétrer dans la ville soulagée de leur retour.

Estainoise

Sur son fier Cabochard, Esta rentrait….
Elle allait retrouver sa petite famille et au fur et à mesure que les remparts de Castillon approchaient, elle pressait ses talons contre les flans de Cabochard afin qu’il allonge le pas.
Le jour se levait à peine, il faisait froid….

Esta scrutait les remparts, se demandant si Arth était de garde ce jour….
Elle voyait les braseros rougeoyants et des silhouettes qui se détachaient.

Son cœur se mit à battre un peu plus fort lorsqu’elle s’arrêta au devant des portes de la ville et qu’elle le vit approcher en courant….

Elle sauta de cheval et couru vers lui….et se jeta dans ses bras….
Elle lui chuchota…
Arth, tu m’as tellement manquée….

Arthanagor

Un soleil pâle montait a l'Est, rosissant l'horizon.
L'écossais aimait ce moment, celui où un jour nouveau arrive, amenant avec lui son lot de surprise.
Il bailla, respira profondément cet air frais afin de chasser les effets de la fatigue: la journée allait commencer.
Il fit bouger ses épaules engourdie par la nuit et le froid en pensant au bol de soupe qu'il irait boire en rendant son rapport.

Un milicien en livrée s'approcha.
L'écossais ne le vit pas plus qu'il ne l'entendit mais il pouvait sentir sa présence derrière lui. Peut être que le celui-ci voulait laisser a sa rêverie encore un peu avant de le rappeler a la réalité de ce monde, et si c’était le cas, Arth l'en remerciait intérieurement:

Oui?!...demanda-t-il

Messire,...il va être temps d'ouvrir les portes, les premiers arrivants sont en vue, il redresse un peu la tète avant de continuer, ....votre dame est parmi eux.

Arth acquiésa en souriant: Fais ouvrir les portes ... L'homme s'exécuta et l'écossais de son coté descendit l'escalier de pierres et se rendit a la porte Ouest. Quand celle-ci fut ouverte, il passa sous la herse et laissa une consigne au milicien de faction, et pressa le pas...
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Silou

Pour être froide, la nuit était froide et c'est pas le vent humide qui arrangeait la chose, au contraire. Se mettre fasse a lui c'était recevoir une multitude d'aiguillon glaciale sur la peau. La rouquine avais beau supporter relativement bien le froid là c'était dure. Ce soir c'est le visage et les mains luisant de graisse qu'elle ferait sa garde

Vindiou la garde va être longue cette fois.

Dans la guérite elle donna les instructions habituel et en sus allumer touts les brasero disponibles et servit une bonne rasade de gnole aux miliciens.

Approcher vos godets ca nous donnera un peut de cœur à l'ouvrage pour le service, se sera pas de trop je crois.

Verres, manteau ajuster au mieux, chacun pris son poste.

Silou

Après avoir remplis avec soin sa charrette à bras, et vérifié contenu et harnachement, la rouquine avait pris le chemin des portes de la ville. Un tas de chose se bousculait dans sa tête.

Son dernier voyage qui lui avait fait faire le tour du conté. Son retour et la période difficile qui s'en était suivi.Ses rondes qu'elle appréciait de faire malgré le froid, et tout un tas de chose qu'elle s' apprêtait à quitter pour quelques temps. Comment se passerait se voyage çi, et son retour? Cette question la taraudait bien qu'elle sache qu'elle n'aurait le réponse qu'une fois fini.

Les yeux rivées sur les rempares elle s'approche de la porte, puis la franchissant, la jeune femme salut les miliciens en faction.
Encore quelques pas et la porte se referme derrière elle. Comme une litanie, elle se murmure.

Surtout ne pas se retourner, continuer, aller au bout de se que j'ai entrepris, je serait bientôt de retour.

Arthanagor

L’écossais accouder a ses créneaux, est entrain de réprimander un milicien, rapport a sa vigilance quand il entendit une chariote passée sous la grande porte. Les roues grinçaient sous le poids des bagages et cela attira son attention. Il se pencha un peu et vit, Silou,
La rouquine quittait Castillon avec armes et bagages, enfin surtout armes...
Certes d'autres fonctions l'attendaient a présent...mais cela lui fit quelques choses de la voir quitter les murs de la ville.
Il décrocha un flambeau et fit de grands signes dans la nuit afin de la saluer....
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Celenia

Célénia arriva par un froid matin en Castillon. En passant la porte de la ville elle se demanda combien de fois ses parents étaient venus... elle admira la beauté du lieu qui s'éveillait à peine... Le temps était froid, un froid humide qui vous glace jusqu'à l'os.

Elle se demandait encore si son Destin était de rester en Périgord-Angoumois ou pas.

Stelliem

Parce que Bikko s'ennuyait et en avait marre, parce que Nabeille avait besoin de marchands ambulants, parce que Guen avait été invité par un ami, parce que Lou et Ludo avaient envi de bouger, pour toutes ses raisons, Stell et les autres firent un groupe et se preparèrent pour le voyage. Juste quelques jours...Se changer les idées... Les charettes etaient pretes et pleines a ras bord, les besaces remplies de pains et de quoi boire. Le moulin etait nettoyé et les fenetres et portes toutes fermées.

Stell regarde Bikko finir d'attacher les marchandises et de les couvrir d'une bache. Il avait trouvé des boeufs pour tirer les charettes et Stell etaient soulagées. Elle pourra tranquillement papoter avec Guen et Lou pendant que les hommes s'occuperont des bestiaux^^ Elle regarde alentour attendant leurs amis puis sourit en voyant Sergent aller et venir sans pour autant s'eloigner d'elle comme toujours quand ils partent en voyage.
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Arthanagor

[...avant une nuit de garde...]

Deux des miliciens jouaient aux dés, avachis sur une la table de chêne. Un autre, le casque accroché a la ceinture se chauffaient les mains au dessus du brasero quand l'écossais entra:

'soir...il regarda la salle compta rapidement, ne portant guère attention aux deux joueurs qui se levèrent brusquement a son arrivée et lança...où est le quatrième?

Celui qui se chauffait les mains dit:
J'crois l'avoir vu trainer vers une taverne messire Arth...'devrait pas tarder a revenir a mon avis.

Arthanagor acquiésa et dit: en lisant la liste des pignoufs a surveiller:
Il a intérêt parce que si j'vais le chercher, j'risque de pas employer la méthode douce...il les regarde et dit, ce soir, nous devons ouvrir l'oeil . Je ne veux aucune bourdes. La liste est là il la montre du doigt...lisez là...en attendant moi, l'fait chercher l'autre ivrogne...
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Ysandre

Si l'équipage était arrivé sans bruit aucun en la cité de Castillon, probablement entre deux tours de garde, ce qui expliquait alors qu'ils ne virent point âme qui vive à la guérite, il n'en fut pas de même à leur départ.

Le couvre-feu n'étant pas encore sonné et la nuit pas tout à fait noire, les coches et les deux laquais aux livrées de Chantôme s'autorisèrent à faire entendre au travers des ruelles étroites, leurs voix tonitruantes en chantant quelque ritournelle berrichonne à tue-tête.
Après tout, la duchesse semblait d'humeur fort primesautière et battait en rythme ses petites mains les unes contre les autres.
Les guillaumes en profitèrent pour hausser plus encore le ton s'encourageant mutuellement.

Les chevaux dociles ralentirent le pas alors qu'un hommes, au sortir de la ville leur barrait le passage.

Percevant bien qu'il s'agissait d'étrangers à la cité, il s'approcha lentement et détailla les armoiries apposées sur le carrosse avant de jeter un œil à l'intérieur de ce dernier.

Allons mon brave!
Ne laisserez-vous pont passer une noble dame hors de vos murs tandis que vous l'y avez laissé entrer sans qu'un geste fut esquissé? S'enquit Ysandre.

Concilliant, l'homme s'écarta d'une once et lui sourit avant de lui mander par politesse sans doute, pourquoi une si joyeuse compagnie quittait la belle Castillon avant même que la soirée ne s'achève.

Ah! Sire guetteur, maugré les charmantes personnes que j'ai pu rencontrer icelieu, maugré les bons moments qu'Aristote m'ait donné à vivre parmi vous il me faut prestement départir!
Les miens attendent et trépignent non loin, dans un autre de vos villages et je ne puis délayer plus avant mon départ.

Elle n'ajouta point que la séparation d'avec son Tutu lui devenait trop difficile mais le pensa bien fort.

Nous reviendrons, cher Périgourdin, nous reviendrons!

Sur ces mots, le cocher fit claquer son fouet, lança les chevaux à toute allure sur les chemins et les hommes reprirent en choeur, la chanson interrompue.
Une main fine et blanche apparut au carreau et agita quelques secondes un fin mouchoir de dentelle, le temps pour le garde de répondre à ce salut amical et de suivre du regard, ce drôle d'équipage s'ébranler dans la nuit naissante.
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Stelliem

C'est a l'aube que le petit groupe arrive devant les portes de Castillon. Se presenter au garde et reveiller Guen bien endormi dans la charette de Bikko. Passer apres les vérifications d'usage les portes avec un soupire et un sourire de soulagement. Bailler et s'étirer longuement, rouler des épaules pour les detendre. Encore un petit effort, obliger les boeufs a continuer vers le quartier St Louis....Enfin rentrer a la maison....
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Arthanagor

[...A l'aube...]

L'écossais baillât...
La nuit avait été humide et longue. Humide a cause de cette pluie fine mais pénétrante et longue pour d'autre raisons. Un énergumène sonnant et trébuchant s'approcha en courant..

Messire !!!...messire!!!...un groupe de voyageur en vue, dit-il.

L’écossais opinât du chef. Il regarda le ciel qui commençait a rosir et suivit le garde jusqu'a la porte principale: parmi la foule anonyme de marchand et paysan qui entrait il reconnu Esta. Il la salua et prit quelques nouvelles rapides sur son voyage pour ne pas gêner le flot entrant...puis il reconnu le trait légèrement plus rondouillard, mais vu son état c’était normal, d'Amelze.

Le sans nom me patafiole......dit il surpris....c'est bien toi?
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Estainoise

Ce chemin du retour depuis St Lisier se passait sans encombre….
Mais bon sang, quel temps de chien….
Entre la pluie battante, la pluie fine et pénétrante, la neige fondue…il y avait peu de place pour le soleil….
Esta, au dos de son fidèle Cabochard, approchait de Castillon….
Fearghus, derrière elle, s’accrochait à elle, voire roupillait dans son dos…..ce qui ne facilitait pas sa position….
Tout comme Cabochard, elle penchait en avant en suivant l’encolure de son cheval qui marchait d’un pas lent….

Cahin caha…. Ils se retrouvèrent devant les portes de la ville, avec tout un tas de gens, paysans se rendant au marché dès la première heure afin d’y trouver les meilleures places, MA revenant de voyage pour la mairie, et d’autres….des visiteurs…. attendant comme eux qu’on leur ouvre….

Enfin les portes s’ouvrirent…et tous s’engouffrèrent….le flot l’emportait dans le ventre du village et elle eut tout juste le temps de rendre son salut à Arth, de garde ce jour là.

Arthanagor

[...Prise de Garde...]

Une pluie tombait depuis le matin transformant en bourbier les ruelles de la ville. La boue collait au sabots de la jument alors que l’écossais se rendait au poste de garde a l'entrée principale de la ville.
L'homme et l'animal ruisselaient. Il mit pied a terre et poussa la porte de la salle de garde afin de se mettre a l’abri.

'soir !! dit-il aux miliciens présents....sale temps hein?

Il accrocha son tartan a une paterne et s'approcha du brasero, afin de prendre un peu de chaleur..

Ce soir on se divise....dit-il..vous deux sur les rempartil désigne les deux plus près....vous avec moi, en patrouille...je veux une veille constante sur les remparts...on vous renforcera entre les patrouilles
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Membre de l'ex- fine équipe du val tordu
Bretteur, philosophe, rimeur, tetu, raleur ,de mauvaise foi et mysanthrope...
Quel aspect hétéroclite que le sien..

" delanda Britania est "

Lafavorite

Enfin, ils étaient au pied des rempars et attendaient que la grande porte s'ouvre devant eux.
Ils avaient marché depuis un long moment maintenant, cote à cote, en s'appuyant chacun sur son baton.
Fav prit se besace et sortit le LP que le garde leur demanderait surement.
Et tout en tenant ce cézame, Fav regarda Mattheus....

Tu vois, pour l'instant, tout se passe bien. Nous n'avons pas fait de mauvaises rencontres....

Et enfin, alors que le jour se levait, la grosse porte s'ouvrit lentement....

Lafavorite

....mais les entrées étaient bien surveillées.....
Quel accueil dans ce village!
Un à un, les entrants étaient rudoyés par les gardes, ceux ci exigeant sans ménagement le papier salvateur, ce fameux LP....

Papier! T'as pas tes papiers? Alors tu vires de là!

Fav avançait doucement en tenant toujours dans sa main ce parchemin...et de l'autre, elle tenait bien en main aussi son bâton sculpté....

...Puis ce messire Arthanagor s'approcha alors des autres gardes.
Il semblait le chef, les autres se tassaient un peu à son arrivée.

Elle le reconnu de suite, l'ayant déjà rencontré lors de son précédent passage.
Fav était soulagée, se disant qu'elle n'aurait pas à faire à ces rustres, qui certe ne faisaient que leur métier, mais certainement avec un peu trop de zèle....

Mais lui aussi....n'était pas avenant, ne la reconnaissant pas.....et d'un ton pas plus agréable que les autres, en bombant le torse, il leur réclama leur Laissé Passer...
Matthéus, à ses cotés ne soufflait mot, se demandant bien ce qui allait bien leur tomber dessus....
Fav demanda alors à Matthéus....et Matt, ta copine Anselme, elle est où?
Tu l'as vois?
Fav tendit alors ce bout de parchemin.....déçue...oui, bien déçue de voire qu'une ou deux soirée passée en taverne en sa compagnie n'avait pas marqué ses souvenirs....
Tenez messire....dit elle alors.....Lisez, si vous savez lire....

Bonjour Dame,

Après étude de votre demande, moi Kalina21, Prévôt des Maréchaux du Périgord-Angoumois représentant de la Comtesse du PA en sa Grandeur Cerise de Bonnemaison vous autorise :
Dame Lafavorite
Messire Mattheus
à passer par castillon pour vous rendre a La Rochelle. Puis a repasser par Castillon et Bergerac pour rejoindre Sarlat dans le Périgord-Angoumois au retour, du 02/03/1459 au 31/03/1459. L'accès a la capitale restant néanmoins interdit pour raison de séurité.
Après cette date, je ne répondrais plus de votre sécurité.
Une prolongation pourra etre délivrée sur demande.

Restant à votre disposition

Cordialement
Kalina21, Prévôt des Maréchaux
Du Périgord-Angoumois

Fait à Périgueux, le 02/03/1459

Arthanagor

L’écossais arrivait pour prendre sa gare pour la journée et il en profitait , en général pour aider a filtrer les entrées en ville, surtout en cette période plus que tendue. Il s'approcha d'un groupe de maréchaux leur donnant quelques consigne puis, avisant, un couple de voyageurs , il s'avança vers eux et , bougonnant leur demanda:

z'avez vos Laisser-passer?....héééé !!! vos papier !?

Tenez messire.Lisez, si vous savez lire.... lui répondit la dame. Cette voix...si Arth n’était pas physionomiste, il avait la mémoire des voix. De toutes façons engoncer dans son mantel de voyage, le col relevé, allez donc reconnaître quelqu'un.Il se hasarda néanmoins:

Fav'?....c'est vous?....demanda-t-il un peu incrédule....désolé, j'vous avais pas reconnnu.....puis se tournant vers les cérbères zêlés a l'entrée...C'est bon ..laissez les entrer !!!....il lui redonna son Lp.....désolé.....a plus tard dans la journée.
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" delanda Britania est "

Sherynne

N'arrivant pas à dormir, et ce depuis déjà quelques jours, la silhouette s'avança vers les remparts ..

Il fallait qu'elle sache ... qu'elle voit par elle-même ...

Ajustant la capuche noire sur sa lourde chevelure, Sherynne grimpa jusqu'en haut.
Un homme faisait les cent pas mais elle ne vit pas son visage .. Peut-être Art ..
Elle haussa les épaules et se dirigea vers un endroit où les lumières étaient plus douces et ne reflétaient pas son ombre sur les parois rugueuses des tours.

Si jamais il entrait aujourd'hui dans Casti ... Si jamais il la voyait ...

La jeune fille secoua ses boucles noires, essayant de maintenir un semblant de courage en elle puis se trouva une ouverture dans le mur, bien à l'abri du chemin que les voyageurs empruntaient pour entrer dans la ville. Ainsi personne n'entrant ni ne sortant ne pouvait distinguer la fine silhouette de Sherynne.

Puis l'attente commença ...

Elle était sur le point de s'endormir quand un bruit dans le lointain la fit sursauter ...
Elle s'approcha du bord, se pencha et le vit ... c'était bien lui .. Il s'aidait d'un bâton pour marcher, mais c'était bien Buhr.

De peur qu'il ne la voit, elle se recula vivement et s'engoufra sous un porche .
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Hagos

Hagos arriva de Bergerac à cheval, il avançait machinalement en pensant à son bateau qui attendait à coté des coques de noix ... apercevant la porte ouverte il mit son cheval au trot.

Lorsqu'il la passa, il salua les défenseurs.
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Grosse_poule

Bienvenue à Marmande !!

Hagos

Une blonde, arrivé d'on ne sait ou, arriva et déclara "bienvenue à Marmande", il leva un sourcil de surprise et continua d'avancer. Si il commençait à s'arrêter pour tout les insensés...
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Princekris

Le groupe passe la grande porte de Castillon.
Un salut de la tête au garde du jour.
Kris avait hâte de revoir certaines personnes.
En cheminant à travers les ruelles , direction le moulin, il se dit que Castillon sera toujours Castillon la Belle

Leodagan

Le premier groupe les devançait de peu... Puce et Leo suivait derriere...

En voyant de loin les portes de la ville, son coeur se mit a battre plus fort...
3 mois d'absence, 3 mois loin de sa terre natale... Leo ne s'était jamais vraiment rendu compte à quel point il était attaché à son sol...

Un salut machinal au garde en faction...
Mince, c'est qui celui-là? Jamais vu encore...
Les voilà qui entre dans le village...

Un petit tour au cadastre pour remettre tout de suite les choses à jour et il sera bien temps ensuite de se rincer le gosier a la Bottine....
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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certaines personnes paraissent brillantes avant d'avoir l'air connes...

Gawin_derohan

Ils marchaient d'un bon pas depuis déjà quelques heures quand les tours de Castillon la Belle apparurent à l'horizon. Au sommet de la barbacane principale, l'étendard du Périgord-Angoumois flottait au vent, comme un défi aux agresseurs, un poing d'orgueil dressé bien haut. Le retrouver ainsi, inviolé et immuable, c'était à la fois un soulagement et un vertigineux saut dans le passé. Le temps se contractait brusquement, ouvrant grand les portes de la mémoire, et laissant les souvenirs l'inonder dans un vertigineux défilé. Il se revit un an auparavant, au même endroit, disant adieu à la ville qui l'avait recueilli et aux amis qu'il laissait là. Qu'il abandonnait en silence, sans laisser plus de trace qu'une incertaine rumeur. Comment se passerait ce retour, quel seraient ses premiers mots en entrant dans la ville, quel traits trouverait il sur les visages de ceux qui l'avaient connu, et peut-être pleuré? Pour beaucoup il n'était sûrement plus qu'un souvenir, et pour la plupart un illustre inconnu. Dans un mode perclus de superstition, il serait un fantôme avant d'être un humain, un spectre à craindre ou à pourchasser avant d'être un ami à embrasser. Mais il pensait aussi à tous ces lieux chargé de souvenirs qu'il avait fuis, les yeux pleins de larmes. Les Bleuets et ses champs de fleurs, la façade des Sens dessus dessous, les troupeaux paisibles, l'alambic. Et la chaumière de Robinne, lové dans un écrin de verdure. Son tertre, son pétrin, ses éclats de rire. Et sa tombe.

Submergé par l'émotion, Gawin ralenti l'allure, laissant quelques mètres s'épanouir entre ses compagnons et lui. Un regard de tendresse se posa sur le dos fatigué des voyageurs. Ils l'avaient suivi à la trace, refusant de le croire mort, bravant le danger à la poursuite d'une ombre, jusqu'au fin fond de la Bretagne. Simplement pour le ramener ici. Pour le voir vivre à nouveau. Mais pouvait il vivre puisqu'elle n'était plus là, et que l'autre, son assassin, courait toujours, en toute impunité? Un mélange de gratitude et de honte s'empara de lui, un vertige de sentiments confus qui tour à tour lui donnait envie de fuir, de rire, et de pleurer. Une lassitude immense devant la tâche à accomplir. Une exaltation tout aussi grande d'être de retour avec ses proches. Une détresse béante face au vide du temps passé et de toutes ses choses qui ne seraient jamais plus. Gawin chancella comme un pantin décroché et son sac de voyage tomba lourdement à ses pieds. Ses mains tremblaient, de bonheur et de chagrin.
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"Si tout travail mérite salaire, il faut une prime à l'accouchement" (anonyme)

"La vieillesse, c'est encore le meilleur moyen de ne pas mourir jeune" (extrait de la Fée Carabine, D.Pennac)

Jaques

C'est avec plaisir que le jeune laboureur revit les murailles de Casti il apercevait sa chaumière et son champ au loin

il marchait a coté de la charrette de Carolus et Lilya qui était bien chargée
portant son maigre baluchon

Il se demandait si c'était encore Arth de garde! et si sa grange n'était pas trop pleine de maïs!!

il revoyait la Dordogne moins grande que l'océan mais au moins pas salée !
il avait loupé la saison des truffes....

Lovenio

*Sourire*
Le jeune Lieutenant était enfin de retour de mission. Il pouvait maintenant retrouvé ceux qu'il aime.

Love passa les portes de la ville à l'aube. Il titubait de fatigue.
Il rentra donc directement chez lui, pour dormir...
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Conseiller municipal de Castillon
Lieutenant de la garnison de Castillon
Soldat de la mobile (COPA)

Phyladelphia

David et Phyladelphia entrèrent dans la ville tot ce matin
Alors que David partait en foret, Phyla partit à la mairie déposé une offre pour un champ ainsi qu'une demande d'habitation...

Bonjour, je suis Phyladelphia je viens enménager ici si vous le permettez
J'aimerait prendre un champ de mais
Je voyage beaucoup donc serais souvant loin de mon domicile
Mais j'ai toujours beaucoup de plaisir a y revenir...
David36 mon frère et toujours avec moi
Il habite à Angoulème mais viendra peut-être me rejoindre ici
Voilà...

Elle sourit au responsable

Je vais en taverne feter mon arrivée...
Ah ! j'oubliais... j'ai fait un marché avec Yug78...
Si je venais habiter ici... il devait s'habillé...
J'attend de voir s'il est de parole...

Phyla s'eloigna en ricannant...
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Dragones

Son fillot poursuit le chemin sans remarquer l’arrêt de sa marraine du haut de la colline.
Dragones regarde les remparts de Castillon, une vive émotion la saisie et un flot de souvenir monte en elle…
Une respiration, deux puis trois, léger coup de talon et Iroise avance, Dragones observe et remarque qu’il y a du monde sur les remparts.
La défense de Castillon est en place, cela la fit sourire se souvenant du temps ou elle-même était sur les remparts à défendre comme une tigresse la ville.

Elle rattrape son fillot et passe devant Ness, s’arrête devant les remparts attendant qu’on lui ouvre les portes. Ne sachant pas qui serait derrière les lourdes portes…
Castillonnais ouvraient la porte, je vous ramène un ancien habitant en Bouldebois ainsi que des enfants qui ont bien couru dans la ville et que vous avez connu. Deirdre, Howel et Willow !
Elle se tourne et sourit à son fillot et ses enfants, Willow ne réagissait pas, et la fit grimacer…
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--Miliciens

Les portes n’étaient pas encore ouvertes que déjà une foule de personnes de toutes conditions mélangées patientait devant celles-ci. Les gardes plus ou moins avinés selon qu'ils avaient passé la nuit a l'abri du froid ou pas, regardaient d'une oeil méfiant cette masse humaien prete a entrer dans les rues de la ville.

Castillonnais ouvrez la porte, je vous ramène un ancien habitant en Castillon, Bouldebois ainsi que des enfants qui ont bien couru dans la ville et que vous avez connu. Deirdre, Howel et Willow !

L'un d'eux se pencha sur les creneaux qu dessus de la herse principale et repondit:

SILENCE LA VILAINE !!!!! cria-t-il, tu passeras a ton tour quand les portes seront ouvertes et pas avant !!!!...r'gardez ça marechale !!!...des que ça a un peu de dentelles ou de velours ça ce croit tou...

Arthanagor

SILENCE LA VILAINE !!!!! cria le milicien a coté de lui, tu passeras a ton tour quand les portes seront ouvertes et pas avant !!!!...r'gardez ça marechal !!!...des que ça a un peu de dentelles ou de velours ça ce croit tou...Une violente baffe derrière le crane fit sauter le casque du miliciens hurleur, avant qu'il n'ait pu finir sa phrase.

Sombre crétin!!! dit l'écossais reconnaissant la silhouette et le nom des enfants...il croyait rêver mais non, c'était bien elle ...il se tourna vers le garde qui avec un aide, actionnait la roue permettant d'ouvrir la herse et lui dit...ouvres grand les portes !!!! puis se tournant vers le hurleur....quand a toi....prends tes chausses a ton cou et vas ventre a terre prévenir la bourgmestre que Dragones arrive en ville..l'autre acquiesça et il descendit les escalier de pierres afin de la rejoindre devant la porte qui venait de s'ouvrir:

Dragones !!!!.....bienvenue a toi ....
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Dragones

Dragones relève son visage vers le garde qui lui parla ainsi et en fut interloqué.
Maraud descend de ta tour et nous verrons si je suis une vilaine.
Tu vas tâter de mon épée !

Cette voix…elle sourit reconnaissant celle d’Arth.
Elle préfère relâcher sa main de la prise de son épée.
Dragones glisse de sa jument et franchit les lourdes portes.
Elle laisse les convenances et serre dans ses bras son ami et claque deux grosses bises sur ses joues.
Bonjour Arthanagor, contente de te revoir.
Dit moi, tes hommes ont la langue bien pendue.

Dragones recule et lui sourit, Iroise restant près d’elle.
Deirdre et Howel saute au cou d’Arth.
Les deux enfants en cœur lui dire bonjour, légèrement en retrait se tenais son fillot Bouldebois.
Arth, je te présente Bouldebois futur habitant de Castillon.
Il a été un habitant de notre belle ville et soldat.

Son regard se porte sur Willow qui ne réagissait pas vraiment et une angoisse la saisie.
Comme souvent ses derniers jours, Dragones se concentre sur la respiration et reporte son attention sur Arth et ses enfants.
Tu as fini ta garde ou nous nous retrouvons plus tard ?
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Dragones

Iroise avance tranquillement, la longe de Ness était attaché a la selle et celui-ci suivait docilement tirant la charrette.
Dragones arrive ainsi aux portes de Castillon attendant Vanupied et Arthanagor pour leur voyage qui ne va pas être bien simple.
Elle avait tenu a prévenir un ami important de son voyage, il avait essayé de la dissuadé mais les arguments mit en avant avait vite fait de faire mourir dans l’œuf tout argument.
Que pouvait-il dire lui qui aller a la guerre régulièrement ou qui se faisait attaqué…
Il n’aimait la savoir en danger, elle l’avait rassuré ou du moins indiqué qu’elle ne souhaitait pas perdre la vie…
C’est ainsi qu’elle rejoint ses compagnons de route.
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Arthanagor

En passant et tenant par la bride sa jument devant le maréchal de garde et les miliciens Arth les gratifia d'un salut de la tète chacun leur tour.
Il avait confié dans l’après midi Sofiène à dame Olympe qui s'en occuperait bien, et cela permettrait a l'enfant de prendre ses marques en ces terres.
Héra piaffa nerveusement sous l'immense porche de granit et une fois sur le pont levis, l'écossais reconnu les silhouettes de Dragones et Vanu prêtes pour le départ. Il monta en selle et les rejoignit.

Il fit demi tour, regardant une dernière fois les remparts de la ville, cette ville qu'il avait appris a aimer...puis faisant face à la route qui s'ouvrait devant eux, il prit une grande inspiration alors que déjà, Vanu avançait suivie de Dragones .
Donnant un coup de talon dans les flancs de sa monture:

En route ....
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Vanupied

L’étalon avait passé l’après midi au près, il était maintenant rassasié et pouvait ternir un bon moment avant la première escale.
Vanu n’avait emporté qu’une malle (mais la plus grande hein faut pas pousser non plus^^) déposée dans la barque, attachée à la charrette que le Ness de Drag tirerait gentiment.
Elle était heureuse d’aller retrouver Kah, son amie n’allait pas bien moralement et espérait que leurs retrouvailles lui apporte un peu de réconfort.
Cependant, la blonde n’était pas très bien ce soir, les au revoir avaient été plus difficiles qu’elle ne l’avait imaginé. Le voyage serait long et pas sans risque, elle le savait.
C’est à cet instant qu’elle pris conscience qu’elle quittait pour plusieurs semaines son mari, sa famille, ses amis, contrariée elle l’était, de ne pas avoir pu dire au revoir à son ami le plus cher, qui lui faisait la tête n’approuvant pas son départ..

La voici aux portes de la ville, Dragones était là, prête, un sourire entre les deux femmes, ne pas parler inutile entre elles…

Une caresse à son cheval, Castillon s’éloignait peu à peu
Arth ne tardait pas à les rejoindre

Vanu ferme les yeux, c’était la première fois qu’elle partait sans lui… il lui a demandé d’être forte .. elle le sera… en fermant ses paupières, elle était en communion avec lui.. R.J.P Kris… R…J…P
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Mordock45

Mordock s'était perché sur les remparts au dessus de la barbacane... Dans l'ombre d'un créneau, il regardait la blonde qui s'éloignait.
Le coeur gros comme une courge de Gawin, il regardait la charrette s'éloigner.

"Et bien, tu n'as plus qu'à aller te terrer je ne sais ou en attendant que ça veuille bien passer !!!"

La gorge serrée, il prit le chemin pour rentrer chez lui... En route, il s'arrêta devant le Chat qui se trémousse et y aposa un écriteau.

Citation:

"L'établissement est fermé par décision de la Comtesse"

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Lyam

Surement un peu follette la mignonette d'avoir voyagé seule sur les routes, mais bon apparemment bénie par son audace ou encore quelques Fadets complices, car pas un brigand n'avait surgi d'un fourré depuis le Berry son pays.

Castillon quel joli nom! en plus je meure de faim et de soif!

Lyam était bien décidée à pousser au moins la porte de la bottine souriante et pourquoi pas y trouver un refuge...

Sherynne

musique

Elle s'était habillée chaudement, les nuits étant fraiches et la charrette non couverte. Remontant la capuche sur ses cheveux d'ébéne, la brunette se dirige vers les portes de la ville, laissant derrière elle sa maison au bord du lac qu'elle adore, ses amis chéris, son beau brun qui lui manque déjà beaucoup et qu'elle aime ... et sa chère Casti.

Sherynne fait halte pour attendre ses compagnons de voyage, Nabeille, Bikko et Leodagan. Elle fait descendre le louveteau afin qu'il profite un peu avant le long voyage d'une traite jusqu'à La Rochelle.
L'animal tout blanc sans nom encore, court à présent autour de la jeune fille en remuant la queue. Sherynne regarde Castillon dans la nuit, se demandant si tout le monde dort déjà ...

Soupirant, elle ramasse un bâton qu'elle lance au louveteau, qui s'empresse de le récupérer en trainant son derrière, trop lourd encore pour un petit.
Un bruit la fait se tourner. Ils arrivent, le départ est donné. Un dernier regard sur le village ... mémoriser le moindre détail même si la nuit est tombée depuis longtemps. Un regard sur les remparts pour dire au revoir à son amour ..

Au revoir ma douce Casti ....
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Stelliem

[Arrivée de la Comtesse & Co]

Stell avait ete prevenue de l'arrivée au porte de la comtesse et des conseillers qui l'accompagnait et elle s'etait depechée de se rendre au porte de la ville pour les accueillir.

C'est echevelée par la course, les joues rougies et légèrement éssoufflée qu'elle arrive suivit de Sergent qui ne comprenait pas et voulait a tout pris l'empecher d'avancer en attrapant sa besace. Prendre trente seconde pour reprendre son souffle, ordonner a Sergent de s'assoir et ne plus bouger et enfin s'approcher des arrivants avec le sourire de bienvenue. Elle s'abime dans une presque parfaite reverence devant la comtesse et de dire :

Bonjour Votre grandeur ! Bienvenue a Castillon. J'espère que votre voyage s'est bien passé.

Elle regarde Ricco, lui fait un immense sourire et le bise puis de nouveau elle s'adresse a la comtesse.

Vous devez etre fatiguée de ce voyage... je vous invite a me suivre s'il vous plait.. nous vous avons preparé un logis. Vous pourrez vous y reposer et manger.

Et de les guider vers le gite de Dragou.
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Brygh_ailean

Le chemin était poussiéreux de Bergerac à Castillon. Elle profitait encore de pouvoir chevaucher tant que son état lui permettait, modérant néanmoins le train, pratiquant de nombreuses pauses "pipi".

Ricco était d'une patience d'ange. La grande remerciait chaque jour le Très Haut d'avoir des amis et confrères doués de si grandes qualités.

Déjà Castillon se profilait. De toutes les villes du Périgord c'est celle qu'elle connaissait le moins malgré tous les proches qu'elle y comptait. Son regard se rembrunit un instant. La nouvelle était tombée... Jo n'était plus et il allait falloir l'annoncer à ses amis.

A peine arrivée, que Stelliem lui "sautait" directement dessus. Diantre ! Mais elle n'était pas étonnée : depuis un an qu'elle se connaissait, la grande avait pu remarquer en toutes occasions, l'attention que son tout nouveau pépécé savait apporter à chacun.

Lou bon jorn, Stelliem. Ravie d'être parmi vous. En effet, je suis éreintée... et un peu de repos ne me fera pas de mal... mais... je dois voir votre bourgmestre... je sais qu'il...

Posant délicatement la main sur l'avant-bras de son amie, la Comtesse lui annonça tout de go :

Josselyn nous a quitté...
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Stelliem

Josselyn nous a quitté...

La regarder les yeux ecarquillés sous le choc de la nouvelle. Ressentir la douleur dans sa poitrine comme un coup de poing qui coupe le souffle et les larmes montent inexorablement lui donnant envi de secouer son bras pour qu'elle la lache et courir loin. C'est pas vrai ! c'est pas possible... Joss le petit garçon facetieux et si craquant, Joss l'adolescent rebelle et pourtant si sensible. Les souvenirs affluent et Stell baisse les yeux puis respire lentement. Pas maintenant... plus tard elle le pleurerai, plus tard...Reprenant contenance, elle pose sa main sur la main de la Comtesse pour lui montrer qu'elle apprecie le geste et de la regarder dans les yeux, unie dans le chagrin et de dire la premiere chose qui lui vienne a l'esprit :

Il va manquer ce chenapan...

Puis de soupirer et une pensée incongrue a ce moment lui traverse l'esprit, Avait il pensé a signer un de ses fichus contrats déces qu'il essayait de nous faire signer ? tout en guidant la comtesse et Ricco.
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