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Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

--Menschnichtmehr


Etonné de la question de son interlocuteur, le voyageur, après avoir fini son verre, lui fit cependant une réponse.

Sir, ich kann diese frage nicht beantworten.
Die nachrichten müssen auf ihre adressaten und allein geliefert werden.
Also ich weiß nicht, was es ist ...
{Sire, je ne peux répondre à cette question.
Ces nouvelles doivent être remises à leurs destinataires et à eux seuls.
J'ignore donc de quoi il s'agit...}


Ayant reposé son verre, il fit signe au tavernier de le remplir à nouveau, but une gorgée et reprit.

Nun, bitten wir sie mir sagen, wie es ist, dass sie so gut kennen meine spraches ? Sind Sie ein mensch exil ? Hast du gereist ? Sie sind eine erstaunliche person zu mir ...
{Maintenant, auriez vous l'obligeance de me dire comment il se fait que vous sachiez si bien ma langue ? Seriez-vous un compatriote exilé ? Avez-vous voyagé ? Vous êtes une personne étonnante pour moi...}
Maxime63
Ich nimmt Läufe mein Kleiner! Aber das ist für mich, die Fragen zu stellen! Hat dort t er von Empfängern in castillon und so nicht warum, Sie hierher zu verbringen?
--Menschnichtmehr


Plus la conversation avançait, plus le voyageur se sentait mal à l'aise en présence de cet individu qui ne lui faisait pas de réponse et ne se souciait que de l'interroger, comme s'il avait décidé de le soumettre à la question. Et s'il s'agissait d'un inquisiteur ? Il n'aurait plus manqué que cela !

Pour toute réponse à son étonnement devant la connaissance de sa langue, l'interlocuteur avait répondu "Je prends mes petites jambes"... ce qui n'expliquait rien ! Et il avait ajouté "Mais c'est à moi de poser des questions"... Tiens donc ! Et en vertu de quoi ? Non ! Tout cela était inquiétant, il allait falloir agir et parler avec méfiance...

Pour toute réponse à la dernière question, le voyageur salua son interlocuteur en se levant, reprenant le bâton et la musette.


Sir, ich entschuldige mich, aber die reise machte mich müde.
Ich bin zur ruhe gehen.
Ich wünsche ihnen eine gute nacht.
{Sire, je vous prie de m'excuser mais le voyage m'a fatigué.
Je vais aller me reposer.
Je vous souhaite bonne nuit.}


Puis il alla trouver le tavernier et, à grand renforts de gestes signifiant qu'il souhaitait dormir, finit par obtenir une chambre, qu'il paya d'avance, et alla se coucher. Sous leurs apparences chaleureuses et accueillantes, ces villageois n'étaient peut-être pas si bienveillants qu'ils le laissaient paraître... Celui-là qui changeait la conversation en interrogatoire, par exemple, était des plus suspects... Et quant à la femme qui l'avait mené ici et s'en était allée, allez savoir si elle reviendrait et ce qu'elle était partie faire ? Le messager s'étendit sur le lit mais ne se défit pas, prêt à partir à la moindre menace, songeant qu'il était parfois bien coûteux de rendre service et tenir une promesse.
Drine65
Drine revint a la taverne,

apres avoir chercher vainement Meline et Dragones,

Le lendemain elle decida d aller voir le messire
son role de Tribun l obligeait a prendre soin des visiteurs quels qu ils soient.

Elle demanda au tavernier de le faire mander.

Elle vit l homme descendre le salua et n ayant pas de temps a perdre lui annonça :

Messire,

les dames Meline et Dragones sont absentes de la ville pour une durée indéterminée.

Si je peux vous aider a rencontrer une autre personne,
ou si je puis transmettre votre message a leur retour,
N hésitez pas je suis Garde mais aussi Tribun de Castillon pour vous servir

_________________
Maxime63
Cette personne me semble étrange, un messager de la mort ? Qu'est ce que cela veux dire.
--Menschnichtmehr


Le tavernier était venu faire lever le voyageur tôt matin et, voyant son empressement, il s'était préparé à la hâte, prenant sa musette et son bâton. Il descendit bien vite et, reconnaissant la femme qui l'avait mené ici, la salua en s'inclinant.

Guten morgen, Lady, ich bin glücklich dich zu sehen.
{Bonne matinée, Dame, je suis heureux de vous revoir.}


Puis, comme il n'entendait rien à ses paroles, n'ayant guère progressé dans la langue des Français depuis la veille, il se tourna vers l'homme qui "prend ses petites jambes", qui fort heureusement ne les avait pas prises depuis son départ, préférant sans doute s'enivrer et cuver tranquillement, sous prétexte de le surveiller, plutôt que de faire le poireau aux portes de la ville, et s'adressa à l'étonnant polyglotte.

Guten morgen, Herr, ich bin auch froh dich wiederzusehen.
Wären sie so freundlich sein zu berichten, was diese Dame in unserer sprache?
Ich gebe weniger begabter als du und es gibt nichts zu hören.
{Bonne matinée, Sire, je suis également heureux de vous revoir.
Auriez-vous la bonté de me rapporter les propos de cette Dame en notre langue ?
Je reconnais être moins doué que vous et n'y entendre rien.}
Dragones
[Quelques jours plus tard sur la route...]

Malgré l’annonce de la loi Martial, elle ne voulu pas rester à Bergerac et prit donc la route pour Castillon…
Le trajet se passa bien jusqu’au moment ou un grand bruit se fit entendre et la carriole se retrouva penché…
Heureusement pour elle qu’elle n’était pas au pas de course…
Dragones stoppe Ness et a l’aide d’un candélabre va voir ce qui c’était passé…
Par tout les dragons !...

La roue de la carriole était cassée et le châssis était au sol la roue brisé…
Elle soupire…
Impossible de changer la roue et encore moins de soulever la carriole même vide…
Dragones se voit contrainte de laisser la carriole sur place et détache son Ness…
Celui-ci était de mauvaise humeur et après avoir montré son agacement il échappe à la vigilance de Dragones qui se voit obliger de lui courir après…
Elle perdit encore du temps et tient bien fermement la longe tenant son âne…
Dragones regarde la route, un coté puis l’autre…Bergerac…Castillon…
Avançant avec son Ness, elle reprend la route en marmonnant sur son manque de chance…

[Aux portes de Castillon...]

Elle devait arriver à l’aube et la voilà arrivant poussiéreuse et fatigué devant les portes de Castillon…
Dragones profite de l’entré d’un groupe de mineur pour franchir les portes de la ville…
Un garde la vit, elle ne le reconnait pas…

Bonsoir, je suis Dragones de Tinùviel de retour de voyage en tant que MA.
Le garde s’approche et Ness comme a son habitude essaye de le pincer…
Mouvement de tête fait et Dragones poursuit son chemin…
_________________
--Menschnichtmehr


Découragé de ne parvenir à comprendre la langue des gens d'ici et faire entendre la sienne, l'étranger semblait s'être résigné à reprendre la route. Le bâton en main et la besace à l'épaule, il allait par les ruelles de la ville, cherchant à nouveau les portes, quand le souvenir de la promesse qu'il avait faite l'arrêta... On ne refuse pas à un mort sa dernière volonté ! Alors il se mit à nouveau en quête des demeures des destinataires, présentant son laisser-passer à chaque passant qu'il croisait et, malgré la méfiance qu'on semblait avoir de lui, il s'en trouva un, un homme qui allait la hache sur l'épaule, pour le mettre en chemin vers la demeure de Dame Dragones de Tinùviel.

Lorsqu'ils furent en vue d'une jolie maison, le bûcheron désigna la demeure en pointant du doigt le parchemin. Il disait que c'est ici, maison, Dame Dragones de Tinùviel, maison, écrit là, au bout de son doigt, maison, demander Dame Dragones de Tinùviel... Le voyageur remercia en sa langue son guide, qui reprit son chemin vers le bois, puis regarda la maison en semblant hésiter... Après tout, si le Destin avait voulu que ces courriers parviennent, pourquoi aurait-il fait mourir le précédent porteur ? Et pourquoi les aurait-il confiés à un étranger que tout semblait empêcher d'accomplir cette mission ? S'il n'avait fait la promesse, il y a bien longtemps que le voyageur aurait quitté la ville, mais la parole donnée, malgré les obstacles, le poussait maintenant en direction de la demeure de Dame Dragones de Tinùviel, où, il l'espérait, on le délivrerait de l'une de ses lettres et lui permettrait de faire un pas vers sa liberté...
--Menschnichtmehr


Après avoir remis la lettre destinée à Dame Dragones, l'étranger, musette à l'épaule et bâton en main, se représenta aux portes de la ville, afin de prendre le chemin de Périgueux, où il comptait bien trouver Dame Méline Deschain. Trouvant les portes fermées et n'apercevant aucun guetteur, il appela.

Holà ! Personne ! Sortir ! Périgueux ! Sortir ! Holà !
Dragones
Dragones revenait de Bergerac où elle avait fait un aller retour, laissant un moment Lamorgat finir de s’occuper de sa carriole…
Elle avait récupéré ses ordres en tant que MA, plus les marchandises…
On lui avait proposé de se présenter à une animation de la ville se qui la fit bien rougir et l’arrivé de Martinguerre fit oublier aux autres leur demandent pour elle de participer ce qui l’arrangea bien…

Elle avait rejoint Lam et arrivèrent devant les portes, le parchemin fut montré et les portes s’ouvrirent…
Dragones reconnait l’inconnu et lui sourit…
Bonjour, soyez prudent et bonne route…
Elle descend de la carriole et va lui faire la bise pour encore le remercier…
Dragones s’incline et remonte…

Sur la place, elle laisse Lamorgat s’occuper de la carriole. Elle monte sur Iroise et galope jusqu'à chez elle…
Elle avait encore beaucoup à faire avant de se mettre en route pour la Gascogne ce soir…
_________________
--Menschnichtmehr


Agréablement surpris de retrouver ici son hôtesse, l'étranger ouvrit les bras et l'embrassa en lui tapotant le dos amicalement.

Ach ! Lady Dragones ! Très bon vent ! Les oiseaux passer !

Puis, comme les portes étaient ouvertes, il ne demanda pas son reste pour se hâter de sortir, allongeant le pas, se tournant cependant vers celle qui l'avait si généreusement accueilli, en agitant son laisser-passer.

Ich Périgueux... Trouver Lady Meuline Deschiens... Trouver...
--Cavallo

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La nuit été à son apogée. Pas un bruit, pas un chat, pas un pet de mouche ne se faisait entendre.
Les gardes commençaient à pestiférés et à tournés de l'œil, devant attendre encore encore une heure ou deux qu'on vienne les relayer.
L'air et la douceur du soir ne prévoyait que rafraichissement, la chaleur de la journée se faisant moins sentir, et ce n'était pas plus mal.
La soirée était bien agréable.

Un hennissement se fit entendre au loin, captant l'attention des gardes. Cela aurait été tout de même moins surprenant, mais moins sécurisant à vrai dire, si ce son provenait de l'extérieur, et non de l' intérieur de la ville.
Un des gardes, surement une nouvelle recrue, s'écarta de son poste quelques instants pour tenté de mieu percevoir les sons, malgré les paroles désapprobateur des gardes rôdant sur les remparts.

Malgré le silence, pesant à cette instant, il été fort probable que de leurs perchoirs, les miliciens de gardes avait aperçu la chose.
Il faudrait faire un rapport au plus vite, un cheval criant à se point là, cela n'était pas normal, même si cela n'avait duré qu'une seconde.

L'animation de la nuit aurait très bien put n'être que ce léger désagrément, mais les tapotements étouffé de sabots présagés le contraire.
Un deuxième hennissement se fit entendre, plus fort et plus proche que le précédent. Les tapotements laissèrent place à un galop, qui laissa vite place à une chevauché effrénée.

Les gardes des remparts commencèrent à criés des ordres à l'andouille de la porte, qui resta planté comme un piqué à son poste. droit devant lui, l'obscurité de la nuit laissa place à une grande silhouette imposante et élancé. Le garde ne tarda pas à se rendre compte qu'un cheval lui fonçait tout droit dessus et s'écarta d'instinct des portes.
Une fois le canasson éloigné de la ville, on pouvait entendre dans tout le village et aux alentours :

" FALLAIT FERMER LES PORTES ANDOUIIIIIIILLE!!!! Chance qu'il n'avait pas de cavalier, on se serait fait tuer pour ça!!"

Le garde ainsi martyrisé fût quelque temps l'objet d'attention de la part des autres, laissant ainsi le champs libre à une silhouette de taille moyenne, qui rasa les murs en direction des chemins.
Gluth_vongluth
Il y'a des jours comme ça, on croi faire un long chemin, mais ce que l'on recherche nous tombe dessus sans prévenir.

Par un beau samedi de Juillet, Gluth arriva aux portes de Castillon, les bras chargés.
La nuit était courte certes, mais le voyage pour arriver jusqu'à la ville était assez... éprouvant. Son dos lui faisait mal, et ses bras allaient bientôt lâchés.
Le garde s'approcha du voyageur, l'air un peu étonné.


-Bin, z'êtiez pas à l'intérieur vous?!

Gluth grimaça et rétorqua :

-Bin si, j'y été oui, et je souhaite y retourné.

Gluth s'avança, ne voulant pas trop perde de temps a discuté. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait du garde, celui-ci rapprocha sa main de son fourreau et continua de poser des questions... après tout c'était son boulot.

-Et votre belle là, il lui est arrivé quoi?!! Elle est morte?!! C'est vous qui....

Gluth commença à s'enervé, ayant tout fait pour évité le sujet, mais c'était trop tard, le mal étant fait.

-Tututut..!! Déjà ce n'est pas ma belle non... et puis non elle n'est pas morte, elle dort, c'est tout! Bon tu me laisse entrer ou tu veux qu'on dorment dehors?


Le garde hésita et se rapprocha au plus près du couple.


-Elle à l'air tellement heureuse dans vos bras, z'êtes sur que c'est pas votre belle?!! Vous vous foutez pas de moi par hasard?

Gluth se retenu de la déposé et de pouvoir ainsi en coller une au garde, préférant garder son calme.


-Je t'en pose moi des questions?!! Si tu veux on peu rester là a discuté, mais gare à toi à son réveille!!

Le garde abdiqua, poussant quelques jurons entre ses dents.

-Bon très bien, z'avez un laisser passer?

Tendant ses bras vers le Garde, Gluth lui fit un grand sourire avant d'ajouté :

-Bin le voilà mon laisser passer!!

Il fallu un temps de réaction de deux minutes avant que le garde ne comprenne pourquoi le voyageur lui tendis la belle à bout de bras. Il la regarda en détail et compris enfin. les yeux écarquillé et complétement ahuri, il brailla :

-NAAAAAN!!!! Ne me dite pas que.... naaaaan!!!

Gluth souria encore plus.

-Bin non je te le dit pas, tu as deviné, enfin, j'espère. Bon tu nous ouvres ou pas?

Le garde parti ouvrir la porte, laissant passer l'homme et la femme endormi, faisant un salut militaire à leur passage.
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Complètement blasé
Pattricia
Dormir... Si je pouvais dormir...
J'en étais là de mes pensées quand les remparts de Castillon, apparurent enfin. Cela faisait une éternité que je n'étais pas venue dans le village aux coteaux couverts de vignes et surtout que je n'avais pas vu Drine.
Dire que c'est ici que s'est enfin terminé la guerre de 100 ans... que de morts, de tragédies, de supplices...

Notre groupe passe la poterne sans souci et nous traversons le village au bruit des sabots de nos montures. Le garde avait bien un peu tiqué quand il avait vu Truffe à mes côtés, j'étais donc descendue de mon hongre pour lui démontrer que mon loup n'était pas un danger.
Du coup j'avais continué à pied, vérifiant que les enfants dormaient encore et tenant mon cheval par la bride.

On installe le campement au bord de la rivière, tout le monde se couche, mais je n'arrive pas à dormir. Je me relève, prenant soin de ne pas réveiller Michel et vais m'installer au bord de l'eau. Mes pensées s'envolent vers ce que l'on pourrait appeler le bon vieux temps.
Je revois Drine passer son museau par la porte de la taverne de G, je me remémore les heures d'explications, de patience, de grognements. Un sourire s'installe sur mon visage à l'image de mon impatience parfois à la regarder faire ses blagues et ne plus m'écouter.

Ce qu'elle a dû me trouver rasoir la pauvre !

Les soucis et les joies traversées ensemble, nos pouffages ridicules à des blagues que nous étions les seules à comprendre, l'air exaspéré de G face à nos billes grandes ouvertes quand on comprenait pas ses cours saturés d'expressions fleuries, très hautes en couleurs...
C'était peut-être pas le bonheur suprême mais on était bien...
Mais il avait fallu grandir, devenir responsable, entrer dans des batailles ignobles dont on ne reparlerait jamais, faire face à l'ignominie, au mensonge, à la jalousie et enfin retrouver l'apaisement...
Est-ce qu'un jour nous pourrons nous réunir et d'un commun accord convenir que tout va bien pour nous ? Pas sûr...

Il manquerait Bryn... Une larme coule inexorablement le long de ma joue... enfin...
J'avais masqué mes sentiments profond face à cette situation, savoir qu'elle allait s'isoler, loin de nous, de moi... C'était dur, très dur, mais pour rien au monde je ne lui aurait montré.

J'ai trop de respect pour toi ma grande pour vouloir t'empêcher de faire ce qui est bon pour ton cœur meurtri. Mais ça sera si dur sans toi, sans Mari, sans Drine, sans Michel... Quand ils seront tous partis, je bisounourserai à mort dans les bras de Mélie, je me ferai chouchouter, et je tyranniserai les enfants aussi, y'a pas de raison qu'ils s'en sortent mes petits monstres !

Je ris... un rire silencieux de connivence avec la nuit qui s'échappe et l'aube qui s'approche...
Un héron se pose sur un petit ilet et une émotion très forte m'étreint.
Et si c'était le nôtre... celui de l'ile... notre ponton...
J'enfouis mon visage dans le cou de Truffe et nous restons là, attendant le levé de ce fichu soleil qui m'ordonnerait une nouvelle journée de travail...
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Dragones
Quand elle monte dans la carriole, les enfants dorment près de Polisson qui les surveille…
L’ourson nain blanc la rejoint, elle le câline et met la carriole en route pour Castillon…

Castillon la Bataille ou la Belle selon chacun…La bataille pour la force des ses hommes et femmes qui en l’an 1453 ou 54 ont tenu tête contre une armée et a pu mettre fin à bien des années de guerre…
Castillon ne fut plus guyanaise et fit son entrée en Périgord Angoumois…
Belle pour la beauté de son âme et la fierté de ses habitants et leur soutient, tous unis quoi qu’il arrive…


Dragones regarde les portes de Castillon construites dans la pierre et bien hautes…
Un murmure sort de ses lèvres…
Nous voilà de retour à la maison…
Polisson la regarde et fait un léger rugissement, elle le regarde et lui sourit…
La carriole franchit les portes de Castillon et se dirige vers le quartier St Louis…
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