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Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

*silence*
Emboitant le pas à Dragones, Silence demeure perplexe, fronçant les sourcils et levant les yeux au ciel, comme chaque fois qu'elle cherche une réponse aux questions qu'elle se pose. Dragones dit avoir préparé le repas à la villa...

Dis moi Dragones, tu habites la villa maintenant ? Ou bien ce serait que ma tite soeur a enfin trouvé une esclave pour faire ses repas, son ménage et tout et tout ? Comprends pas là...
Dragones
Dragones regarde Silence..

Non! Pas d'exclave c'est moi qui me suis occuppé de votre villa depuis que Kirika est partie et comme tu m'as dis que vous alliez arriver, je vous ai preparé a manger et fait le plein de vos placard...
Votre maison est prete a vous acceuillir et je te rend la clé d'ailleur.


Dragones joignit le geste a la parole...
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*silence*
Silence attrapa Dragones par le bras, abasourdie de ce qu'elle venait d'entendre, ouvrant de grands yeux.

Euh Dragones... vraiment gentil de toi tout ça... et sais pas comment remercier... d'avoir pris soin de ma tite soeur !

Elle n'osa prendre la clé de la villa et éclata de rire.

Dragones ! La Villa Eleusiana c'est là où vit ma tite soeur ! Julia et moi on est à sa chaumière depuis longtemps déjà... C'est Médée qui doit être contente de tout ton travail !
Dragones
Dragones regarde Silence surprise.

La Villa Eleusiana!! Mais moi je te parle de la maison de Julia...
Hooo j'ai tout melangé moi!!
Excuse moi!


Dragones la regarde et se demande ou elle mis sa tete...
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*silence*
Silence ne savait plus où donner de la tête dans les incohérences de Dragones, elle se tourna vers Julia avec un air désemparée, puis reprit.

Bon... ben c'est bien tout ça... enfin, si tu veux bien, on va te laisser nous conduire pour voir et avec Julia on suit et comme ça on arrivera bien quelque part... et si on de la chance, ce sera chez quelqu'un qu'on connait... et au pire des cas, on s'invitera de ta part...

Là dessus, Silence éclata de rire. C'était souvent comme ça quand elle ne comprenait pas ou que ça l'angoissait, une bonne dose de rire pour évacuer les inquiétudes !
Dragones
Me grimace devant sa maladresse...

Ben tu vas reconnaitre vue que ce sera chez vous!!
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Kahhlan
Trois cavaliers arrivèrent au petit matin ...
Devant les portes de Castillon ..Kah descendit de cheval et lui flatta l'encolure en la félicitant ..
Leur voyage avait duré une quinzaine de jour et Castillon lui manquait vraiment ...
Elle regardait Oba et Olryx en riant ..


Allez !!!!! mais pressez vous un peu j'ai faim moi !!!
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Dragones
Dragones arrive pres des portes de Castillon tranquillement en souriant, elle avait fait en sorte tout le nuit de passer regulierement pres des portes au cas ou elle le verrais arriver, elle etait impatiente de le voir...

En s'approchant qu'elle ne fut pas sa surprise en voyant descendre de son cheval Kahhlan et vit non loin d'elle Oba et Olryx...

Dragones se mit a courir pour les rejoindre...

Kahhlan, Oba, Olryyyyyyx!!!

Dragones arrive en trombe et prend Kahhlan dans ses bras toute heureuse de la voir, la serrant contre elle, la bisouillant...

Dragones se retourne en entendant son amour...

Mon angeeeeeeeeeeeeee!!

Dragones lui saute dans les bras, heureuse qu'il soit de retour, l'embrassant tendrement...

Dragones se retourne encore et va serrer dans ses bras son grand frere, le bisouillant...

Je suis si heureuse de vous revoir...
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Kahhlan
Kah embrassa tendrement Dragones ..la laissant aller saluer son prince de coeur comme il se devait ...

Je suis si contente de te revoir aussi !!!
Et fouler le sol de Castillon est si bon !!!

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Hakann
Oba imita Kahhlan et Ol ; il descendit de cheval et étreignit sa p'tite soeur, tout heureux qu'il était de la retrouver. Ne voulant pas la distraire plus que nécessaire, car il la savait de garde, il proposa de se retrouver plus tard en taverne. En attendant ils avaient faim, et Oba était fatigué.
pnj
[ Mardi, neuvième jour du mois de septembre mille quatre-cents cinquante-six ]

Douce et agréable nuit qui arrivait à son terme, chauve-souris, hibou et autres animaux nocturnes commençaient déjà à rejoindre leur habitats respectifs.

Le soleil se levait, il devait être pas plus tôt que la cinquième heure du matin. Toutefois, s'il l'on voyait la pénombre qui s'éclipsait peu à peu, aucun rayon venait montrer le bout de son nez. L'obscurité était encore très présente dans le paysage et la brume matinale recouvrait le sol et les cimes d'arbres.

Les travailleurs de Castillon la belle commençaient à se lever, partir labourer, semer ou récolter tardivement leurs champs voire s'occuper de leurs élevages en tout genre. La vie s'animait peu à peu en ce matin-là.

Cela faisait depuis la veille au soir que Takeo montait sa jument à la robe noire. Venant de Marmande, plus au sud, en Guyenne, derrière la frontière du Périgord Pourpre, le castillonais pur souche revenait de bien loin, mais cela était une histoire à conjuguer au passé.

La jument marchant au pas, sabots résonnant légèrement sur la route gravilloneuse disparaissant de temps à autre dans la brume du matin. Sur son dos, un homme d'une vingtaine d'année, grand, les épaules puissante et proéminente, la chevelure noire de jais mi courte, légèrement en pétard, le visage aux traits magnifique mais gaché par une blessure récente, cadeau d'une bataille en Gascogne, l'oeil mort, caché par un bandeau noir et une énorme cicatrice sur la côté droit, face ravagée.
Il portait son sempirternel long mantel de cuir bordeaux, ellimé, rapiécée par endroit, mais encore regardable. Ses braies rouges ainsi que ses longues bottes en cuir bordeaux étaient toujours de la partie, tout comme sa longue et blanche cape. Le casque blanc accroché à la selle; sa puissante hache de guerre, son symbole, n'était que du passé, sa magnifique épée de sa propre création avait sûrement suivi un faussoyeur trop zélé après la bataille.

Même si le jeune homme n'avait que 20 ans, on lui en donnait aisément une trentaine, tendance accentuée par son rasage non effectué.

Bref, le soleil pointant timidement son nez, Le forgeron castillonais franchît le dernier coude de la route, sortant de la lisière de la forêt, pour atterir, à cinq cents pieds de la grand-porte de Castillon.

Son oeil unique, d'un bleu acier profond, scruta le haut de la porte géante et close, là où deux gardes pointant leurs carraux d'arbalètes sur le Lieutenant.

Ces deux-là arguèrent :

-" Halte-là ! Declinez vot' identité il a dit, l'prévôt ! "
D'une voix rocailleuse et pénétrante; Takeo répondît d'une voix neutre et sur un ton uniforme, après un bref laps de temps;

-" Bah dîtes-lui à vot' prévôt, que le lieutenant Desfontaines, alias " Takeo " ou le "Lion du Périgord " selon goûts et convenances; aimerait rentrer chez lui, au 83, quartier de l'amitié ... s'il vous pl' ... euh ... nan même pas s'il vous plait; Tout de suite, mes tendres agneaux !"
France7804
France arriva en compagnie de Paul aux portes de Castillon.

"Ca fait plaisir de revenir à la maison n'est-ce pas mon coeur?"

Elle était épuisée par tous ces allers retours, mais vraiment heureuse d'avoir pu découvrir le comté en bonne compagnie. De plus, aucunes mésaventures graves n'étaient arrivées, elle en était reconnaissante profondément.

Elle avait bien hâte de revoir tous ses amis et surtout sa soeur qui l'attendait quelque part dans le village.


"Viens Paul, allons voir si Peluchette est en taverne!"

Elle prit la main et Paul et entra dans son village adoré.
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“Just because you can doesn’t mean you should.

C'est pas parce que tu peux le faire que tu dois le faire.”
Paul1er
mon amour je ne peux aller en taverne de suite mais part voir tas soeur je file a la garnison lheure et grave

jespere que je pourrais vous rejoindre pas trop tard il me tarde de la voir


paul stoppa la serra dans ces bras et lembrassa follement

puis il parti tres vite en oubliant meme de la saluer encore tant il etait dans ces pensées
pnj




le chat s'était régalé chez Dragones, mais elle n'avait pas pu l'accompagner en promenade... Alors, dans sa grande bonté, il décida de l'attendre ici, près des portes de la ville, au cas où elle se déciderait...
Lassé d'attendre et poussé par la faim, il se remit en chasse et retourna arpenter le village à la nuit tombante.
Gaudali
GauDali attendait pour passer par la petite porte, qu’un gros nuage noir masque la lune pâle. Il s’était enveloppé d’une grande cape noire. Il quittait Castillon, honteux, la tête basse.
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"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."
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