Marsou
Bouche ouverte devant cette sur avec des seins aussi gros que les pies de ses vaches, halluciné de voir un tel spécimen, Marsou nen croit pas ces yeux
Une femme vache !
et en oublie le pourquoi de sa présence, il fallait coûte que coûte stopper Eony et pourtant il se fit avoir comme un jeune puceau !
Il reprit ses esprits, se réveilla et vit cette maudite sur lui faire un au revoir de la main comme pour le séduire davantage puis aperçut bien trop tard, que la porte se claqua avalant au passage celle pour qui il était là !
Tendre la main et alors laisser séchapper :
Nooonnn !!!! Eony...
Il savança vers la porte en râlant et la tapa jusquà ce quelle se brise ou jusquça ce quon lui ouvre cette fichue porte.
Avoir mal à ces mains rougies par le sang qui sortaient des entailles ouvertes par le choc de lextrémité de son bras contre cette entrée de couvent et tourner en rond le temps que la douleur sestompa.
Après avoir reposer sa patte droite, il retourna devant ce morceau de bois qui lui barrait la route, resta droit comme un poteau et se remit à frapper encore et encore
Le temps passa, Marsou serra les dents à présent la douleur se faisait intense, après ces longues minutes, il sarrêta et posa avec regret son front sur la porte.
Arf, Eony, Pourquoi ? Alors que arf
Ne plus quoi savoir, avoir cru quil chasserait cette idée de couvent, quil aurait été préféré aux nones, quelle aurait choisit plutôt son aide à celui de Dieu, ce fut sûrement un peu prétentieux de sa part.
Marsou sassit et sadossa contre lentrée, un brin perdu de ce quil venait de se passer tout est allé tellement vite !
Cette femme était donc partie, elle avait choisit le couvent, un long soupire à cette pensée et le douanier attendit un je ne sais quoi pour se relever et retourner à sa vie
Il reprit ses esprits, se réveilla et vit cette maudite sur lui faire un au revoir de la main comme pour le séduire davantage puis aperçut bien trop tard, que la porte se claqua avalant au passage celle pour qui il était là !
Tendre la main et alors laisser séchapper :
Nooonnn !!!! Eony...
Il savança vers la porte en râlant et la tapa jusquà ce quelle se brise ou jusquça ce quon lui ouvre cette fichue porte.
Avoir mal à ces mains rougies par le sang qui sortaient des entailles ouvertes par le choc de lextrémité de son bras contre cette entrée de couvent et tourner en rond le temps que la douleur sestompa.
Après avoir reposer sa patte droite, il retourna devant ce morceau de bois qui lui barrait la route, resta droit comme un poteau et se remit à frapper encore et encore
Le temps passa, Marsou serra les dents à présent la douleur se faisait intense, après ces longues minutes, il sarrêta et posa avec regret son front sur la porte.
Arf, Eony, Pourquoi ? Alors que arf
Ne plus quoi savoir, avoir cru quil chasserait cette idée de couvent, quil aurait été préféré aux nones, quelle aurait choisit plutôt son aide à celui de Dieu, ce fut sûrement un peu prétentieux de sa part.
Marsou sassit et sadossa contre lentrée, un brin perdu de ce quil venait de se passer tout est allé tellement vite !
Cette femme était donc partie, elle avait choisit le couvent, un long soupire à cette pensée et le douanier attendit un je ne sais quoi pour se relever et retourner à sa vie