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Cathédrale / nettoyage

Keridil
En ce jour de froid hivernal, Kéridil sortit de chez lui pour se rendre aux célébrations de Noël, c'était le premier grand évènement religieux auquel il allait participé depuis son baptême.
En entrant il se signa, puis alla s'installer près de sa soeur Aegidia qui était déjà là.

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Sebbe
Sebbe arriva, salua les personnes déjà présentes... Son mateau d'hermine lui suffisait amplement pour s'accomoder de la température exterieure.
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Dariush
L'évêque finit de saluer ses paroissiens puis rentra dans la cathédrale et commença la cérémonie.

Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.

Je suis heureux de vous accueillir en ce jour de fête en la maison du Seigneur.

Une nouvelle année s'achève. Elle a eu son lot de bonheur, de joie, de rire mais aussi de peines et de tristesse. Ce soir il est important de se réunir dans la joie et de communier autour du Très Haut.

Reconnaissons nos péchés et demandons pardon au Très Haut !


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Jmorelle
Ju s'installa dans un coin qui résonnait bien... Si jamais il lui faisait signe, elle jouerait... Elle posa sa citole, se réchauffa un peu les mains en soufflant dessus et les frottant. Puis la cérémonie commença. Elle ferma les yeux et récita les mots que prononçait Dariush, se les appropriant l'espace de quelques secondes.

Elle ne pouvait qu'approuver. Les temps avaient été durs, elle aussi avait des choses à se faire pardonner. Elle pensa à lui, parti pour la croisade... Il continuait de mener sa vie, à se montrer digne de son nom. Et à lui, enfermé dans sa farine... qui essayait d'avancer sans vraiment y arriver... Qui des trois avait le plus souffert? Elle ne le savait guère, mais au fond d'elle-même, elle avait été coupable elle aussi, elle le savait... Coupable de n'avoir pas dit non bien avant. Elle serra les mains un peu plus fort. C'était le passé, maintenant, il fallait avancer.

Se retrouver dans son ermitage, rester elle-même, pour le bien de ses amis qui étaient devenus sa famille. Rester elle, pour son duché, coûte que coûte. Toujours la Ju que tout le monde connaissait, un peu fanfaronne par moment pour égayer d'un sourire le visage des gens attristés, mais toujours là pour les autres...

Quelques mots, qui résonnaient et raisonnaient dans son âme en ce jour de partage...

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Keridil
Kéridil entendit monseigneur Dariush et pria, récitant silencieusement les paroles qu'il venait d'entendre.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Fabent
Fabent entra dans l'église par ce temps de Noel.
Il s'avança et s'installa le plus prêt possible de l'autel.
Il réçita avec les autres .
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés
Dariush
L'évêque s'approcha du Livre des Vertus mais avant de le lire il invita l'assemblée à réciter le crédo.


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Aegidia
La petite Orléane assise sur les genoux de sa maman était très sage et regardait Monseigneur qui faisait la cérémonie.

Aegidia était plongée dans ses pensées car elle était triste , tellement d'évènements s'étaient déroulés pendant l'année : le baptême , puis le mariage et la naissance de sa petite Orléane mais le plus dur le décès de son éppoux Boumideschoux le jour de la naissance de sa fille.
Ensuite lors du grand incendie ,la boulangerie de Boumi "les Macarons"où elle avait été si heureuse avait brûlée .

Mais maintenant ,elle avait un frère Kéridil qui lui soutenait le moral.
En entendant Monseigneur demander de réciter le crédo elle se redressât et récitât tout doucement la prière pour ne pas effrayer la petite Orléane.
Fabent
Fabent réçita avec les autre le credo.
Keridil
Kéridil, avec les autres fidèles récita le crédo :


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Dariush
L'évêque prit le livre des Vertus puis fit la lecture.



Citation:
Hagiographie de saint Noël

Ses origines


Arrière-petit-fils d'un brave homme ayant suivit Christos de son vivant, Nicolas Noël est né dans un chariot tiré à ce qu’on dit par des cerfs dressés par son père.
A cette époque les registres n’existaient pas et on ne connaît pas le lieu exact, ni la date exacte de sa naissance mais on sait que c’était pendant un hiver particulièrement rude.

Noël faillit ne pas dépasser l’âge de la puberté tellement il avait souffert à sa naissance, et il a même été en état de mort plusieurs fois. Par contre à chaque retour à la vie, contrairement au commun des mortels, il revenait plus en forme que jamais.
Pourtant chaque année au solstice d’hivers il semblait mourir pendant cinq jours et cinq nuits, mais bien que son corps soit veillé certains prétendaient l’avoir vu à différent endroit, offrant du pain aux plus pauvres, du feu à ceux qui n’en avaient pas, et même un simple jouet aux enfants triste.

Sa vie

Vers l’âge de 15 ans alors qu’il n’avait jamais étudié, il racontait l’histoire de Christos que son arrière-grand-père avait transmit à son grand-père et qui lui-même l’avait transmis à ses enfants et petits enfants.
Le curé de sa paroisse l’invitait régulièrement à participer à la messe et en fit son diacre. Très vite tout le monde fut surpris de son érudition, sa simplicité, son amour pour les autres et ses connaissances intuitives du dogme aristotélicien.

Un jour où on le questionna sur les raisons de ses problèmes de santé liés à l’hiver il répondit :

Je parlerais d’un cadeau de Dieu plus que d’un problème, car à chaque fois que je frôle la mort j’en apprends de Christos et Aristote, car notre Créateur nous donne toutes les réponses à toutes les questions pour que nous puissions voir notre vie sous des jours nouveaux, et que nous puissions nous juger nous même avant d’être jugé.
En principe en revenant à la vie, nous laissons ces connaissances et un peu de notre force, mais Dieu en a fait autrement pour moi je pense, bien que je ne garde qu’une réponse, sans choisir la quelle, je ne perds pas tout de ma visite chez les Saints.

Bien entendu personne ne le prenait réellement au sérieux, et il ne l’était d’ailleurs peut être pas, mais tout ce que les gens retenaient de cet événement c’est que c’était un érudit et un homme aussi sage que bon.

Tout au long de l’année, il donnait la moitié de son temps pour aider les malheureux, pas forcément les pauvres, mais bien ceux qu’il nommait les malheureux.

Quand on lui demandait pourquoi il aidait des riches comme les pauvres, il aimait répondre des phrases qu’il disait tenir d’Aristote lui-même :
« Les talents du riche ne remplace pas le talent d’être heureux ».
« Etre remplis de talents ne permet pas d’acheter le bonheur »
« on vit avec talent, mais on n’emporte pas ses talents dans la tombe »

Tous ne comprenaient pas, car il y avait longtemps que le talent n’était plus monnaye courante...

Vers l’âgé de 35 ans, il fut nommé Evêque et il continua sa vie de la même façon, aidant ceux qui devaient être aidé, quel que soit leur rang social, il était reconnu pour toujours avoir la parole ou le cadeau qu’il fallait pour rendre la boulasse aux plus malheureux.
Et chaque solstice d’hivers il semblait mourir, mais chaque fois 3 ou 4 jours plus tard il revenait plus en forme que jamais et organisait une messe vers minuit où il racontait une nouvelle histoire.
Une année il annonça que vu son grand âge, il avait près de 90 ans ce qui est un miracle en soi, il renonçait à sa charge et entreprendrait, seul, un dernier pèlerinage. Bien sur tout le monde voulu l’en dissuader, mais il promit qu’il reviendrait pour le 25 décembre, et que de toutes façons il faudrait bénir ce jour particulièrement car il avait appris de Christos et d’Aristote eux même, que c’était le jour de leur naissance à tous trois, Aristote étant né à midi et Christos à minuit et lui juste entre les deux, à dix huit heures.

La légende


Le Père Noël, comme avait continué de l’appeler ses fidèles, pris la route et revint parmi les siens le 6 décembre suivant.
Il ne répondit que peu aux questions sur ce pèlerinage, mais il avait ramené deux chariots. L’un remplis de bûches, et l’autre rempli autre de pains
Il fit distribuer le pain et le bois aux plus pauvres, et une fois la distribution terminée, il envoya les chariots faire le tour des plus riches à qui on demandait de déposer un présent.
Le 24 décembre, Monseigneur Noël organisa deux messes, l’une à midi en l’honneur d’Aristote et une à minuit en l’honneur de Christos, puis il se dirigeât vers la sacristie et plus personne ne le revit.

La totalité des villageois, du plus croyant au plus mécréant passèrent la nuit à le chercher, et c’est seulement au petit matin qu’épuisés, ils rentrèrent chez eux.
C’est là que la légende fut inscrite parmi les miracles, car chaque maison sans exception avait son foyer allumé et des cadeaux au pied de la cheminée.

Depuis cette époque, chaque année on dit un peu partout qu’en décembre il passe dans les maisons pour donner un peu de bonheur. On prétend même, que parfois, Christos et Aristote l’accompagnent directement...


Une fois terminé, l'évêque invita ses paroissiens venus avec des instruments de musique a s'approcher pour jouer ...et égayer cette cérémonie.
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Anna_katharina
Ella avait entendu la messe avec dévotion et respect.

Elle se tenait tout près des confessionnaux, car elle avait prit le temps de confesser ses péchés avant la cérémonie.

Les gens étaient peu nombreux dans la Cathédrale. Elle baissa la tête et se perdit à nouveau dans ses pensées...
Dariush
Communions ensemble !
Christos, alors qu'il savait qu'il allait mourrir, dit :


Citation:
Mon corps va subir mille supplices, mais c’est pour que votre âme n’ait pas à les subir. Lorsque vous prierez le Très Haut, consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang, afin de ne jamais oublier mon sacrifice pour vous.





Prions pour nos familles et nos amis, prions pour nos chers disparus, prions aussi pour le Saint Père et notre bon Roy, prions pour tous les orléanais et que l'Amitié Aristotélicienne illumine leus vie !

Allez en paix !

Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos ! Amen.

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Lolotlse
Citation:


A tous les fidèles de la province ecclésiastique de Sens,
A tous, croyants ou incroyants des diocèses de Sens,Nevers et Orléans,
Aux pèlerins et voyageurs et toutes les contrées,

Voici que naît aujourd'hui l'année du Seigneur 1458. C'est un nouveau cycle qui démarre,
peut-être l'occasion de prendre un nouveau départ, de choisir une nouvelle vie.
L'année 1457 a été marquée par des révoltes, des guerres, des croisades, et nous
devons garder à l'esprit l'expérience que nous en avons faite pour grandir dans l'Amour
de Dieu et ne pas renouveler les mêmes erreurs.

Je souhaite de tout coeur que la nouvelle année qui débute aujourd'hui se place sous le
signe de l'Amour et du Partage, de la Foi et de la Solidarité. Tournons-nous dès
aujourd'hui vers notre prochain et regardons-le, et voyons en lui notre frère, notre égal.
Qu'importe le rang social, nous sommes tous Enfants du Très Haut, et tel le Père aimant
qu'Il est, Dieu nous aime tous également. C'est dans ce regard aimant que nous poserons
sur notre voisin, à l'image de notre Créateur, que nous accomplirons l'oeuvre de notre
humanité.
Je souhaite aussi que 1458 nous rapproche tous et nous unisse pour regarder dans la
même direction et oeuvrer ensemble dans un même but.

Que nos frères les plus modestes ne perdent pas l'espérance d'une vie meilleure. L'Eglise
de Rome les accueille et les soutient dans leurs épreuves. Qu'ils n'hésitent nullement à
demander l'aumône à leur évêque, à leur curé, à leur vicaire ou à leur diacre, ils mettront
tout en oeuvre pour satisfaire leurs souhaits.
Ayons aussi une pensée pour nos soldats qui sont éloignés de leurs familles, de leurs
amis, par les guerres et les croisades qui se tiennent encore aujourd'hui. Que Dieu dans
Son Infinie Bonté veille sur eux !

Enfin, unissons-nous dans la prière pour louer le Très Haut pour Ses Bienfaits et Son
Amour qu'Il répand sur nous et sur nos vies à chaque jour, à chaque instant. Rendons-Lui
grâces de nous permettre de réaliser son dessein dans l'Amitié Aristotélicienne.
Rendons également grâces aux Prophètes, Aristote et Christos, qui illuminent nos vies par
leur sagesse et leur paix.

A tous, nous souhaitons une très belle heureuse année 1458. Qu'elle soit le terrain
de réalisation de vos voeux les plus chers et de l'épanouissement de votre bonheur dans
la Foi et l'Amour de Dieu !

Amen !

Donné à Sens, le 1er janvier de l'an du Seigneur 1458.



Archevêque métropolitain de Sens.
Poupounet
Guertrude l'avait aidé à se préparer pour l'office. Une fois prête elle se dirigea vers le parvis de la Cathédrale. Pour le moment il n'y avait qu'elle. Elle espérait qu'il avait bien reçu son message. Elle prit sur elle de faire sonner les cloches, au pire elle ferait l'office seule.
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