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[RP] Peu avant l'aube...

Aenaelle
Aenaelle vit les brancardier se faire rabrouer par le chevalier Sharlnak. Ah ces chevaliers tous les meme, comme si c'était honteux d'etre sur un brancard. Enfin.

Aenaelle se tourna vers son frère Cassius et avec un grand sourire lui dit :

Merci
Elle se tourna vers le chevalier Sharlnak et lui dit : Je vous remercie d'etre fiere de mes prouesses, mais il faut rendre a cesar les honneurs qui lui reviennent donc vous les donnerez au chevalier Lanceor notre Mestre d'Armes. Dit Aenaelle avec un petit sourire.
Je vous accompagne jusque la tente chirurgicale, mais c'est Dame Linon qui veillera sur vous. Vous verrez, elle est très jolie, vous perdrez rien au change. Je dois retrouver mon chevalier réferent , le chevalier Alwen, il est dans le bateau pour aider sa femme le chevalier Roxanne a avoir leur bebe.
Vous verrez avec lui pour moi, mais sachez que je ne peux pas me couper en deux
lui dit Aenaelle avec un petit sourire malicieux.

Aenaelle quitta la tente chirurgicale et se rendit sur le bateau du Chevalier Chica ou les chevalier Alwen et Roxanne l'attendait.

Aenaelle arriva pres de Roxanne lui pris la main et lui dit :
Alors ce bébé, il vient????
--Erig_malmort
Il fallait fuir, courir, s'échapper... et ce le plus rapidement possible si il voulait rester en vie. Le camp militaire était rempli d'homme d'armes et le pauvre hère bien que combattif n'aurait aucune chance si il se faisait attraper. On l'amènerait directement à leur chef. Le Morrigan. Erig connaissait les risque en préparant son méfait, la réputation du mestre de guerre breton avait depuis bien longtemps dépassée les frontières de l’Armorique. Se retrouvé en face de lui équivaudrait à mourir de la manière la moins douce qu'il soit. Le francoys le savait, c'est bien pour ça qu'il courrait le plus vite.

Erig s'enfonça dans les allées des tentes, s'éloignant des lumières au maximum pour rester invisible. La courbe de sa lame ne résistait cependant pas au plaisir de sectionner les quelques cordes des tentes qui passait à sa portée, promettant ainsi une bonne nuit aux bretons chargés de remonter le campement. Tout en continuant de courir, le hère laissa s'échapper un rire sadique à la vue de son méfait, la silhouette de la tente qu'il venait de dépasser s'écroula doucement, se vidant de son trop plein d'airs pour finir en un tas informe à même le sol. Petit bonus en plus de sa superbe attaque.

Poursuivant toujours sa course folle vers l'extérieur, Erig regarda en arrière si quelques celtes l'avait pris en chasse. Ce n'était pas le cas, il s'en sortirait. Alors que son esprit pervers se réjouissait de cette soirée. Un coup violent le frappa à l'estomac, stoppant nette sa course et sa respiration. Son corps devenu subitement lourd s'écrasa au sol dans un bruit mat. Quelle erreur avait il commise ? Pourquoi cette douleur ? Il ne comprenait pas, ses idées s'embrouillaient, sa vision se floutait... Le hère se contenta de prier pour que l'obstacle qui l'avait percuter ne soit pas un homme. Il ne put réprimer un cri de douleur...


Ferme-là sale chien!

défection... L'obstacle parle. Il s'était réjouit trop vite. Alors qu'il cherchait a remplir de nouveau ses poumons d'air, on lui ôta la dague à sa ceinture, sa fauchon brillait au sol à plusieurs mètres. L'homme qui avait hurler le traina par les cheveux jusqu'au centre du camps ou une grande partie des bretons étaient réunis. Son tortionnaire lâcha ses cheveux pour le laissez tomber au pieds d'un homme dont il ne distinguait pas les traits. Une main se glissa dans son cou, se referma sur ses vêtures pour le soulever de nouveau.

Salut ordure!

La voix est rauque, tonitruante, mais il n'a pas peur... Et comme pour narguer son adversaire, Erig, dans un réflexe de condamné, se mit à rire face au colosse. Ses pieds ne faisait que frôler le sol, il était à la merci de son bourreau. Et la sentence ne se fit pas attendre. L'homme vint écraser son crâne contre son nez. Le cartilage explosa dans un craquement sonore et le gredin sentit le liquide chaud se répandre dans ses sinus, sa gorge, sur son visage. Son sang fuyait recouvrant sa mouche et son menton. Lui donnant un aspect un peu fou... Ses yeux sombres était grand ouverte et regardait l'homme qui l'attachait déjà à un poteau. C'était donc lui le Maréchal de Bretagne... Il hurla un truc que le supplicié n'écouta pas, trop sonné encore pour prendre en compte se qui ne concernait pas expressément sa personne. La brute tourna de nouveau son visage vers lui. Des traces de sang étaient visibles. Son propre sang...

On va commencer par une question facile, qui es-tu?

Un sourire sardonique les lèvres du Malmort, alors que le colosse le défait de son regard froid.

J'espère que vous crèverez tous comme des rats que vous êtes !

Pour seul réponse, Erig lui cracha au visage !

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Coldtracker
Maël s'essuya le visage....
Pendant que le nécessaire était installé...
C'est que voyez-vous, le colosse n'aimait pas cela du tout mais c'était un professionnel avant tout....

Il prit un cautère et le mit dans le brasero et s'assit dans la chaise amenée à distance respectable du prisonnier...

On ne devait pas sous estimer quelqu'un qui était torturé, il avait lui-même tué son bourreau dans les geôles du Bourbonnais Auvergne il y a de cela quelques années...

Aussi,d'un geste machinal il ouvrit le rabat en cuir du nécessaire chirurgical en disant:
-"C'est fou ce qu'on peut faire mal avec des instruments censés soigner les gens...
Vous excuserez mon amateurisme, je n'ai jamais pris le temps de me procurer le nécessaire idoine..."


Il prit une gorgée d'eau et reprit:
-"Nous avons rarement des prisonniers...."

Il se releva et dit:
-"Mais je manque à tout mes devoirs en tant que vostre hôte j'aurais du me présenter...
Je suis Maël De Morrigan-Montfort, Maréchal De Bretagne et pour bien faire les choses, Duc De Rhuys...

Et vous êtes...?"


C'était la deuxième fois qu'il posait la question...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
--Erig_malmort
Ficelé à son mat, le gredin regardait le ciel étoilé…
C’était une belle nuit pour mourir. Le pauvre hère ne se faisait pas d’illusions sur son sort.
Il allait mourir, lentement, longuement même et dans une douleur extrême. Il le savait et ça ne le dérangeait pas.
Mais à partir de cet état de fait,Erig était bien décider a ne pas leur donner le plaisir de sa souffrance.
Il se devait de rester silencieux, de les narguer par son mutisme.
Le Malmort retiendra ses cris, juste pour les faire chier !


Je sais qui vous êtes, abruti…

Sa voix était rauque, et comme étouffée. Sans doute par le sang qui n’en finissait pas de couler dans sa gorge et sur lui.
Erig contait les étoiles alors que le Breton se préparait tranquillement. La torture c’est quelque chose de sérieux.
L’on n’improvise pas… Il faut y aller progressivement pour ne pas tuer le supplicié trop tôt.
Vous vous ôter vous aime tout plaisir de voir la souffrance d’autrui.


Je ne suis personne. Mon nom ne vous apportera rien.

Doucement ses pupilles sombres quittèrent les étoiles pour se planter dans celle du Maréchal.
Vas-y tapes ! Qu’est-ce que tu attends, phylécastrope !



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Coldtracker
Le colosse prit l'air faussement peiné et dit:
-"C'est moche, réellement moche, ce refus d'un dialogue convivial entre deux personnes...

J'en suis ...Chagriné...

Vous m'obligez à parler seul...Pas que j'ai une dent contre le fait de soliloquer mais c'est un brin grandiloquent non?

Bon, puisqu'il faut parler pour deux je vais le faire....

Il faut vous dire , voyez-vous que j'ai été à une époque à vostre place...Enfin, du moins, moi je m'en suis sorti ce qui au demeurant ne va pas être vostre cas sauf débarquement immédiat de vos petits copains qui ne font pas le poids...

Les falco et autres chantres ou devrais-je dire chancres se rengorgent des courriers qu'il font mais ne viennent curieusement pas nous affronter..."


Il but un peu d'eau et reprit:
-"Mais pardon, je digresse, je digresse, où en étions nous?

Ha oui, vostre position actuelle, fort inconfortable au demeurant...
Je disais donc que j'ai été à vostre place à une époque...

La première fois, j’avoue dans ma grande jeunesse et donc l'excuse de mon début de vingtaine que j'ai beaucoup crié, vitupéré et que j'ai peu prêté attention à ce que l'on me faisait sauf à la douleur....

Pour ma grande consolation, le bourreau est mort de mes mains...

Mais j'ai eu, si l'on peut dire, une deuxième fois cette chance...

Voyez-vous nous avons en Bretagne une famille de traîtres de la plus belle espèce...

Les Guérande...
Et ceux-ci voulaient ma mort mais pas sans me voir souffrir quelque peu..."


Pour être sûr de retenir son attention le colosse colla une torgnole au prisonnier, histoire de bien garder son attention...Question d'éducation..

Et il reprit:
-"Cette fois-ci j'ai bien noté tout ce à quoi on s'amusait avec moi..
Il faut dire qu'ils avaient engagé un mestre flamand en la matière....

Bon...
J'ai aussi tué ce bourreau...D'une façon générale, on ne peut pas dire que les bourreaux aient une longue espérance de vie avec moi, du reste, c'est aussi le cas de mes ennemis mais je sens que je vais recommencer à digresser....

Revenons à nos moutons ou disons-le à vostre carcasse..."


Sourire courtois, on avait pas été élevé chez les françoys quand même...

Il reprit tout en ne montrant nullement que la tâche le rebutait, non seulement cela mais que c'était tout juste le contraire...

Il devait l'interroger et obéir des réponses, si cela pouvait épargner des morts, la mort d'un seul était acceptable...

Il mit un gant et remua le cautère dans le feu et dit:
-"Je veux savoir quel était vostre objectif , qui vous a envoyé, de quelle armée vous venez et le nombre de personnes composant cette armée et bien sûr la localisation exacte de cette armée..."

Sans attendre de réponse aucune il enleva un cautère du feu et reprit:
-"Par quelle partie commence t-on?"
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
--Erig_malmort
Le flot de son sang s’amoindrit peu à peu. Il se vide moins, il coagule en une masse sombre à l’emplacement de son nez et sur sa mâchoire.
Mais le goût est toujours là, dans sa gorge, répugnant. La douleur dans son estomac quant à elle est toujours aussi vive et sa respiration saccadé.
Le Malmort n’écoute plus le Breton. Il ne l’entend pas déblatérer sur ses faits passés, son histoire de tueur de bourreau.
Le maréchal tiendrait il le même discours si tous ces petits chien n’étaient pas la a le regarder préparer son supplice.


J’en ai rien à foutre de ton passé…

Il lui crache de nouveau à la gueule.
Les cordes qui entravent ses mouvements ne lui laissent que cela comme possibilité d’offensive.
Et l’humeur visqueuse dans sa bouche fait un projectile idéal qui marque et avilis.
Un nouveau rire s’échappe de la gorge du torturé. On ne peut impressionner un condamné à mort.


Je veux savoir quel était vostre objectif, qui vous a envoyé,
de quelle armée vous venez et le nombre de personnes composant cette armée
et bien sûr la localisation exacte de cette armée...


Que lui répondre…

Par quelle partie commence-t-on?

Erig entend les braises remuer non loin de lui.
Il sait à quoi s’attendre, ses mâchoires se crispe l’une contre l’autre en prévision alors qu’il s’intime de ne surtout pas crier.
La chair qui brûle, l’odeur qui s’en dégage, la douleur aussi… Il connait déjà tout ça, seule l’endroit choisit sera une surprise…


J’ai baisé ta femme, sale chien !!

Les mots sont choisis, avec précaution, la seule chose qui peut vraiment toucher un militaire c’est la femme qu’il aime.
Le Malmort le sait… Le corps de son aimée lui apparait l'espace d'un instant se balaçant au bout d'une corde.


Elle a crié comme une truie qu’on égorge !


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Coldtracker
Re-essuyage, décidément l'armée françoyse était une spécialiste en projectiles douteux....

--Erig_Malmort a écrit:

J’en ai rien à foutre de ton passé…
[/img]


Le colosse le gifla pour la mesure, les temps morts n'étaient pas propices à une discussion engagée et répondit:
-"Hum je me figurais que vous alliez répondre une chose du genre..."

--Erig_Malmort a écrit:

J’ai baisé ta femme, sale chien !!



Le colosse leva un bras, puis un index en l'air faisant un signe négatif puis:
-"Tttssss, pourquoi être grossier?

--Erig_Malmort a écrit:

Elle a crié comme une truie qu’on égorge !



Le Maréchal se rapprocha mine de rien et lui dit:
-"Vous l'auriez comme vous dites 'baisé' et elle aurait crié comme une truie comme on égorge dites-vous...?

Hum, ma femme se trouve ici....Hum...Enfin pardon, loin je veux dire ..."


Merdasse....


-"Mais vos affirmations confirment bien des choses sur les françoys...

Une femme voyez-vous, cela se séduit, se caresse, on lui fait l'amour pour atteindre une apothéose de concert...

Et vous vous dites 'crié comme une truie qu'on égorge'....

Oui, cela confirme que vous faites aussi mal l'amour que la guerre....

On s'étonnera après que vous faites la gueule en permanence, ce n'est guère étonnant, vos épouses ne doivent pas courir après la bagatelle....C'est tout un art....

Je vais devoir vous punir, non pas pour les insultes et le crachas mais sur vostre manière de traiter les femmes, une bouche débitant de telles inepties doit être nettoyée au savon"


Sur la table, il y avait du savon d'Alep qu'il trempa d'ans l'eau et avec une rapidité et brutalité qui contrastèrent avec son ton de parole, le colosse posa une main sur le nez cassé et de l'autre lui enfourna du savon dans la gueule, à plusieurs reprises...

Cela ne mutilait pas la bouche, langue et dents restaient intactes et permettaient au prisonnier de continuer à parler...Mais cela étouffait....Et était douloureux...

En virtuose, il ponctua la chose d'un direct au foie.....

Puis il fixa la tête au poteau avec une autre corde et se rassit de côté...

En disant:
-"Excusez la précaution , mais le sang de vostre crachas n'est pas tout à fait de la même couleur que mon harnois...Cela jure affreusement et un Brocéliande y verrait une faute de goût des plus terribles..."

Il soupira et reprit:
-"Envie de répondre à la question?"
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Joffrey
Enfin , la plaie s'était refermée et Jo put reprendre place dans une armée.

Donc ce matin , elle revêtit son habit de soldat. Point d'armure, juste pantalon noir, chemisier blanc et veste noir. Alors qu'elle enfilait sa chemise, devant sa psyché, la Duchesse sentit la rage monté.
Une balafre courrait de son épaule à la naissance de la poitrine. Doucement , elle passa un doigt dessus, celle-ci était encore rougeâtre et sensible puis d'un geste sec , elle se boutonna.

Avant de partir au campement , elle relut la missive:

on l'attendait dans l'armée ""An Alarc'h" commandée par Coldtracker.

- Et bien, allons, y dit elle en enfilant ses bottes et attrapant au passage son épée et bouclier.
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--Erig_malmort
Le savon s'enfonce à maintes reprise dans sa bouche. Erig se sent suffoquer.
Il sent que l'air peine a rentrer dans ses poumons. Le gout du savon ne le dérange pas lui, il le sent a peine...
Son corps endoloris ayant sans doute décidé d'amoindrir les agressions extérieurs...
Alors le Malmort attend que ça finisse. Et ça finit.


Je suis la pour vous tuer, petit fils de pute...
Vous ne méritez que la mort...


Son crane est alors attaché au poteau, la fin est proche. Il le sait...
le torturé rajoute pour accéléré sa mort imminente


Elle a crié comme une truie qu’on égorge !

Vas y Mael, tue moi... J'attends...


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Joffrey
Son cheval reprit facilement la route vers le campement et Jo y arriva en fin d'après-midi.

elle chercha le maréchal et finit par l'apercevoir non loin.

Petit coup d'étrier et voila la duchesse à quelques pas de lui.

Son regard passa vite sur l'homme attaché pour se détourner aussi vite mais c'est d'une voix impassible qu'elle dit:


Maréchal.... me voici guérie , pourriez vous me dire qui sera mon chef de section , et quels sont les ordres ?. tout en disant cela , elle ne put s'empêcher de poser une main sur l'emplacement de sa cicatrice.


Jo attendit la réponse les yeux posés sur Coldtracker.
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Coldtracker
Le colosse s'étonna, leva un sourcil et dit:
-"Me tuer moi?"

Un sourire carnassier apparut sur son visage et il reprit:
-"J'ai l'impression que c'est un échec..."

Celui-là était costaud, il avait avoué l'objectif, le colosse savait qu'il n'allait guère en savoir plus sans devenir sanglant....

II avait déjà subi la torture deux fois....

Il prit alors une décision que tout bon bourreau aurait pu critiquer avec la dernière vigueur...

Il prit alors un fourreau garni d'une dague en main et dite en passant brusquement au tutoiement:
-"Il y a une différence majeure entre et moi mis à part le fait que je sois en position de force et toi au fond du gouffre...."

Il dégaina la dague d'un geste vif.... Et s'approcha rapidement du prisonnier...

-"C'est que je suis Breton et je ne m'abaisserai pas à être pire que vous!"

D'un pas il passa derrière le prisonnier et trancha d'un coup sec les liens de la main gauche puis repassant devant lui il attrapa le bras du prisonnier d'une seule main avec une poigne d'acier....

Là il le regarda droit dans le yeux....
et dit:
-"Tu vas avoir ta chance...

La chance de mourir comme un homme de ta propre main...."


Et avec une force peu commune, il lui plaqua la dague dan la main et se recula d'un bon pas et reprit:
-"A toi de voir, tu auras une sépulture décente si jamais la chose t’intéresse...."

Le colosse attendit...
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Joffrey
Ses paroles s'envolèrent sans que le maréchal les entende.

Voyant la suite que donna Cold , Jo comprit pourquoi.

Une impulsion à sa monture et la voici hors du terrain de "duel", mais curieuse , elle resta à regarder.
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--Erig_malmort
Peut-être avait-il vaincu finalement... Peut-être que le torturé avait gagné le respect du bourreau...
C'est en tout cas ce que se dit Erig lorsque le colosse libera son bras des cordes qui l'entravaient.
Le Malmort avait gagné. Non pas la vie... mais une mort digne.
Le Tourrangeau n'avait pas crié.


"Tu vas avoir ta chance...
La chance de mourir comme un homme de ta propre main...."


Les mots du breton le rassure sur sa sépulture.
A vrai dire peu lui importait ou son corps sans vie serait balancé.
Le très Haut n'apprécie pas les volontaire de toute façon...
Passer par la case suicide et aller brûler directement en Enfer. Tel était la règle...
Alors que dans sa main l'instrument de sa mort est glissé brutalement,
le supplicié regarde de nouveau les étoiles. Que doit-on dire avant de mourir?
Avant de se faire mourir... Rien. Ça ne sert à rien. Ça ne le sauvera pas.
Le Breton se recule lentement, rejoins ses hommes qui regardent et apprennent.
«Aujourd'hui mes amis, leçon de torture...!» C'est aussi ça l'enseignement militaire.
Erig n'est rien pour eux, un corps seulement, et encore... Il le sait.
La seule chose qui vient à l'esprit du condamné c'est qu'il lui faut mourir avec classe.
Leur montrer que les francoys ne sont pas lâche... pas comme eux...
Alors que ses sales vautours le regardent, Erig doucement appose la lame froide sur son poignet.

    La mort est lente et douloureuse.

Il se vide de son sang sans un mot. Au bout de quelques minutes son corps se met a trembler.
Soubresaut incontrôlable et l'homme s'évanouit. C'est la fin, l'inconscience salvatrice sous ce ciel étoilé.
Devant la scène macabre qui se joue, étrangement, la petite troupe de bretons ne bavasse plus.

Il a gagné leur silence...



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Coldtracker
C'était fini..

Il donna des ordres:
-"Enterrez-le dignement...."

Il n'avait qu'une parole, il se retourna alors et se dirigea vers Jo' et lu dit:
-"Mes excuses, une petite affaire à régler...

Soyez la bienvenue parmi nous, Nous avons des tentes de libre,vous pouvez vous installer....

Nous sommes attachés à la protection de la ville et ses environs...."

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Aenaelle
Aenaelle arriva en courant près du Maréchal

Marechal, j'étais de ronde autour du camp vers le sud, quand ce matin vers les 04:04 : j'ai été attaqué par Stefanjump.

Quand j'ai sorti ma dague, il as vite pris la poudre d'escampette.
J'attends vos ordres Maréchal.
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