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[RP] Peu avant l'aube...

Aenaelle
Aenaelle avait entendu le chevalier Sharlnak réprimander la femme du Maréchal et vu avec quel acharnement il avait tué l'ennemi rien qu'avec ces mains. Ce chevalier n'avait pas froid aux yeux. Il valait mieux l'avoir comme ami que comme ennemi. Mais risquer la colère du maréchal en parlant comme ca a sa femme, il avait vraiment du cran
Linon
Maël était sorti mais sans les rejoindre. Linon le regarda retourner sous sa tente, vaguement inquiète.

Elle fit un pas en arrière quand le chevalier se déchaîna sur elle ne savait qui, jetant un coup d'oeil de reproche aux gardes. N'importe qui pouvait-il ainsi s'approcher? Et de quoi parlait donc Sharl avec son trois contre un et ses reproches? La brune lui lança un regard d'incompréhension blessée et fronça les sourcils en l'entendant parler avec tant de hargne à la petite duchesse. Quand il fit demi-tour, elle haussa une épaule et esquissa un sourire à destination de Maryana.

Je ne sais quelle mouche l'a piqué... mais peu importe, allons vous installer.

Le couple rejoignit la charrette et prit la tête du petit convoi qui s'était formé autour de la femme du colosse. Puis ils prirent la route de Saumur.

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Aenaelle
Aenaelle se rendit ce matin a la tente du Maréchal pour un rapport des évènements de la nuit

Maréchal, cette nuit lors de la garde nous avons intercepté 2 groupes armés ennemis. quelques blesse de notre coté. Pour eux, quelquesmort, ils se sont enfuis avant qu'on ne les acheve. dit Aenaelle fièrement

28-08-2011 04:07 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "OR ô desespoir" dirigée par Ethan et l'armée ""La Béatritz"" dirigée par Dragones.
Letiti
Mais quel enfer !
De nombreux jours d’ennui le plus total, où la vie normale reprendrait son cours si ce n’était les permanences quotidiennes au camp. Et puis du jour au lendemain, sans transition ni explication, comme à chaque fois, c’est le branle bas de combat.
Le petit bonhomme retourna dans son unité d’éclaireur et marcha avec le petit groupe par des voies détournées vers Chinon. Le petit maje avait eut beau lui pourrir la vie, il n’avait eut aucune explication de sa supérieure, si ce n’est un regard noir et un ordre de « la fermer ». A sa décharge, elle non plus ne devait probablement pas savoir que le capitaine de Touraine avait trahi sa patrie en faveur des forces ponantaises, favorisant ainsi l’attaque.
Encore une fois, l’angoisse enflait dans les entrailles du petit bonhomme. Il n’arrivait décidément pas à se faire à la guerre. Comment s’en sortir, voila la question qui revenait sans cesse dans son esprit. Cette fois cependant il n’eut pas longtemps à attendre. L’attaque brutale se déclencha rapidement, engageant toutes les forces dans la bataille. Ils furent eux aussi engagés dans les combats, un peu plus à l’écart, cherchant à connaitre les positions ennemis, s’assurant qu’il n’y ait pas de coup fourré.
Malheureusement ils avaient été repérés et étaient relativement isolé. Un groupe d’infanterie adversaire les chargea avec férocité.


Ventredieu… on est foutu…

Le Maje mit à profit sa vaste expérience d’esquive pour tenir face à l’assaut adversaire. Les éclaireurs tentaient une retraite stratégique. Ils ne faisaient guère le poids. Lors de l’assaut, il finit par réaliser qu’esquiver était une bonne méthode, mais s’il pouvait donner quelques coups, ca ne serait pas du superflus. Avisant juste à côté un fantassin avec un sacré plumet sur la tête, il décida que c’était la meilleure cible et lui porta un coup.
Dommage que personne n’avait pris le temps de le former à l’épée. Au final le coup ne fut pas mortel, mais néanmoins porta. Il se trouva que c’était le chef de l’armée royale qu’il avait blessé. Heureusement que le petit homme ne le savait pas sans quoi il se serait décomposé sur place.
Toujours est-il que cela dut porter un bon coup au moral des ennemis, puisque les éclaireurs purent se retirer avec plus de peur que de mal.


[la bataille terminée]

Appuyé à un arbre, le maje vomit encore une fois tripes et boyaux lorsque l’adrénaline retomba. Un autre éclaireur du groupe lui lanca une grande claque dans le dos en riant tandis qu’il se relevait tout pâle :

Sacré Majillon !
T’as blessé Namaycush !
On boira à ta réussite ce soir !


Titi ne réussi qu’à retourner un pauvre sourire avant de vomir encore une fois son angoisse.

hrp: 28-08-2011 04:07 : Vous avez frappé Namaycush. Vous l'avez légèrement blessé.
Au risque que ce soit annulé...


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Coldtracker
A peine sorti pour être tranquille, il était rattrapé par un lieutenant qui lui annonçait :
-"Une missive pour vous Maréchal "

Le colosse ouvrit le pli et cria:
-"Ma doué!"

Il venait de recevoir l'ordre de partir au combat....

Il partit en courant comme un furieux vers le camp tout proche sans attendre son offcier ...

Il n'y avait pas de temps à perdre...





hrp: Je suis navré, je ne vais pas en faire plus et je vais attendre de savoir ce que les admins vont faire pour le soucis rencontré....C'est pénible pour le rp qui est un peu 'gelé'...

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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
--Marko
Citation:
Cher Maël,

Je t'écris à la hâte ce courrier pour te dire que nous quittons le camp. Ma famille est malade, le bonheur de te retrouver m'a fait oublier tous mes devoirs.

Miel, ma fille, a été retrouvée mourante dans une taverne de Saumur, poignardée semble-t-il... poignardée! une enfant de 7 ans!! C'est de ma faute, j'étais tellement occupée à ... te retrouver, que je n'ai pas veillé sur elle.

Aussi nous la ramenons à Lenay ce jour-même, et je ne quitterai plus son chevet avant son complet rétablissement.

Puisse le Très-Haut me pardonner les raisons qui m'ont fait oublier que j'étais mère, et ne pas prendre cette vie innocente pour me punir.

Pardonne-moi, Maël...

Linon


Le tout jeune homme porteur de la missive la remit solennellement à un des gardes à l'entrée du camp, puis fit descendre de sa charette plusieurs sacs de pain de guerre. Après quelques regards curieux vers l'intérieur du camp, il fit faire demi-tour à l'âne et reprit le chemin de Saumur.


Coldtracker
Au petit matin les trente rentrèrent...Epuisés....

Mais le devoir avait été accompli, l'ordre était tombé comme la foudre et l'ost s'était préparé à toute vitesse et était parti au combat....

Il semblait que des renseignements en faveur du Ponant étaient tombés et que le moment était propice à l'attaque...

Le Maréchal de Bretagne avait donc mené ses troupes aux combats, troupes qui avaient œuvré avec brio comme d'habitude...

Quand l'ordre du Roy était venu de cesser les combats, les Trente s'étaient repliés en bon ordre avec sérénité...

Maël compta ses blessés et ses morts et sut qu'il s'en tirait bien ...Mais il n'avait pas l'impression qu'une différence s'était faite dans les combats...

Au petit matin, l'armée rejoignit le camp...
Les hommes aux harnois couverts de crasse et de sang étaient épuisés, harassés mais en professionnels , ils accomplirent leurs tâches habituelles avant d'aller prendre quelques repos n'étant plus d'office....

Le colosse qui la veille ne s’était plus préoccupé de rien à part sa mission rentra dans sa tente et y trouva la missive...

Il la lut et se sentit encore plus fatigué d'un coup....

-"Linon..." dit-il tout haut pour lui-même....

Il enleva ses gantelets et déboucla son armet ....
Posa le tout sur une table qui avait été remplacée semblait-il..

Il ne se fit pas aider pour enlever son harnois...

Il se releva péniblement en grimaçant, il avait le fondement moulu par les chevauchés rapides...

Il sortit sur le pas de sa tente et vit que tout était en bon ordre...

Il héla un officier et lui dit:
-"Un baquet d'eau chaude et que je ne sois pas dérangé avant deux heures....sauf urgence bien sûr..."

On lui amena le baquet d'eau chaude et il se déshabilla, nu il entra dans la baquet en grognant et prit le savon d'Alep pour se laver...

Il sortit propre s'essuya consciencieusement et passa de la pierre d'alun sur les petites plaies éparses sur son visage et son corps du es aux frottements de l'armure....

Et il s’habilla à nouveau de propre et pour être prêt à repartir....

La chose faite, il rejoignit son lit de campagne et s'y allongea habillé , la baudrier d'éspée près de lui et ferma les yeux...

Il savait qu'il allait être réveillé sous peu...
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Aenaelle
Aenaelle était rentré avec toute la troupe. Elle était littéralement épuisé.

Une petite sieste lui aurait fait du bien, mais en se regardant, elle se dit qu'un bon bain ne serais pas de trop.

Elle pris son savon , sa serviette, son linge de rechange bien propre et remonta la petite rivière afin de parvenir au petit trou d'eau. Personne encore. Mais pouvais t'elle se déshabiller complètement.

Cela la tentait vraiment bien; donc elle fit le tour du trou et vit quelques roseaux s’avançant dans l'eau. elle se dit que cela fera un bon paravent pour pouvoir se rhabiller si un homme venait a avoir la même idée qu'elle.

Elle se déshabilla complètement a l'abris des roseaux et rentra dans l'eau doucement. Elle était froide, des petites bosses se faisaient sur sa peau habituellement douce, elle avait la chair de poule. Elle attrapa vite fait son savon puis se frictionna tout le corps énergiquement pour ne pas mourir de froid. Elle aurais pu prendre un bain chaud, mais vu le nombre de troupes et le nombre de bassins, cela ne lui disait rien de faire la queue.

Ah puis se dit elle, je ne suis pas une mauviette qui a peur d'un peu d'eau froide.
Elle fit quelques brasses puis se fauffilla dans les roseaux pour se sécher et s'habiller.
Que cela faisait du bien, elle était presque requinquer pour repartir à la bataille. Cette eau froide avait fait merveille sur son épuisement.


Elle regagna le camps, la tente ou etait sa couchette et s'affala dessus en poussant un gros soupirs de satisfation.

Elle s'était bien battu. Dans son esprit elle remercia le Mestre d'arme qui l'avait formé a la bataille.

Elle s'endormie comme une masse.



Coldtracker
Quelque temps plus tard , on le réveillait et il s'occupa des tâches habituelles , la nuit passa dans le calme et au petit matin des nouvelles arrivaient....

Bourges était tombée mais les François avait pris une sacrée branlée pour la conquête de la ville...

Il héla un officier et dit:
-"Qu'on fasse venir Lancéor...."
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Lanceor
Quelques jours maintenant que le mestre avait repris ses fonctions. Désormais, il lui fallait reprendre l'entraînement intensif pour se refaire une santé.
Un pas d'armes avait été dressé dans une clairière et moults hommes d'armes s'y entraînaient. Ici, on payait en sueur le droit de croiser le fer. Un observatoire professionnel donnait son avis sur telle ou telle pièce d'escrime. Constructif était le mot d'ordre.
Sans cesse, le mestre passait dans les rangs pour corriger, donner un conseil ou montrer un enchaînement.
Bastarde en main, il terminait une pièce que l'on nomme "coup furieux", l'un des enchainements les plus dévastateur et expéditif que l'on puisse porter en combat. A la fin de l'envoi, un officier l'interpella.


Mestre, au rapport chez le maréchal !

Signe de tête approbateur à l'homme d'armes.

Continuez sans moi !

Au petit trot, le mestre se dirigea vers la tente du Maréchal. Avant d'entrer, il rajusta son doublet armant et confia sa bastarde à l'une des sentinelles, puis souleva le dais et entra.

Au rapport Maréchal !
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Coldtracker
Le colosse sourit et dit:
-"Respire, il n'y a que nous deux....

Assieds toi et prends un verre on va parler un peu...."

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Sharlnak
Voila les conflits était de partout, les attaques plus ou moins avortés lors de la trahison du capitaine tourrangeau, la defaite de bourges. Sauf que le temps que Lanceor et Mael se repose des combats, auquel Sharl n'avait pas participé, il assurait la vie du camps pas chose aisé.

IL avait fait ammenager le camps 800 personnes devait arriver. Toute l'organisation du camps avait été revus, sauf le centre de commandemant et la tente chirurgicale. IL avait fait aussi rebouchés et recreusés de nouvelles latrines.

Tout était pret et il voyait déjà au loin ses Renforts, Doué que la vie allais être beaucoups plus intéréssante maintenant qu'il serait la. IL lui tardait de voir arrivée son ami. Le camps était en ordre, mais c'était érintant de le maintenir en etat.
Puis il glissa à un soldat :


Va voir le Maréchal pour le prévenir de l'arrivée de 800 personnes de plus a nos côtés. Et dit lui aussi que je viendrais le voir ensuite dans sa tente plus tard.

Puis il fit sceller son cheval et partit a la rencontre de la colone d'homme et femmes qu'il voyait au loin.
Lanceor
Le mestre se dirigea vers la table où étaient disposés un flacon de lambig et quelques timbales. Il servit deux belles rasades et tendit l'une des timbales au maréchal.

Sans fioritures, il prit place sur l'un des sièges près de la table des cartes et leva son godet en direction de son suzerain
.

Irmat !

Pour sûr que c'était une boisson d'homme ! Le précieux nectar vous enflammait la glotte comme un feu grégeois.

Je suis prêt mon Dug...
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Coldtracker
Il but d'un coup sec son verre et lui annonça:
-"Bourges est tombée....Et est donc aux mains des François...

Si les gars posent des questions , tu pourras les informer, la bonne nouvelle c'est que les François ont payé le prix fort, ils en ont pris plein la gueule et on récupère des effectifs berrichons par dessus le marché...

Il sont un "chouya " énervés les berrichons et ils ne cesseront pas le combat.....

Voila pour les nouvelles du front, pour la politique, nostre Roy devant l’attitude de la ribaude qui porte la couronne de france a été obligé de lui déclarer la guerre...

On va pouvoir se lâcher...

En attendant, on a quelques batailles à nostre actif mais pas de quoi nous donner le comptant donc aucun relâchement parmi les troupes... "

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Lanceor
Le mestre acquiesca aux dires du Maréchal.

Nos effectifs se renforcent encore et des troupes fraïches arrivent... La question du ravitaillement est réglée. Nos troupes ont hâte d'en découdre, ils fulminent de pouvoir tanser du françoys !

Croyez moi, ils sont pires que des fauves en cage ! Les roulements de patrouilles et d'escortes vont bon train. Les entraînements sont leur éxutoire et chacun s'en donne à coeur joie.

Le mestre entrecoupa son discours d'une nouvelle gorgée.

Quant à ce qui se passe chez nous, que la félonne se méfie.... Elle n'est jamais qu'une élue "éphémère"... Et les félons on sait s'en occuper...

Un rictus se dessina sur le visage du mestre.
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