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[RP] Peu avant l'aube...

Linon
Alors qu'elle s'éloignait déjà à grands pas, Titi en rajouta tant qu'elle pressa le pas pour échapper à ses vociférations. Mais l'adieu lancé plus fort, et sans doute son intonation particulière lui firent jeter un coup d'oeil par-dessus son épaule.

Son mari quittait le camp en bousculant ce qui se trouvait sur son passage, un baluchon à la main. L'idée qu'il la quittait effleura à peine l'esprit de la brune, tant elle était invraisemblable. L'amour que lui portait son mari était aussi entier qu'au premier jour et représentait l'assise inébranlable de sa vie. Tout pouvait s'effondrer, jamais Titi ne la quitterait.

Aussi répondit-elle en criant alors qu'il sortait.


Ouais c'est ça ! Va picoler en taverne, c'est tout c'que tu sais faire !!


Ce qui était absolument faux. Titi faisait des tas de choses éblouissantes. Mais quand on est en colère, la mauvaise foi offre des arguments tout à fait imparables.

Donc, son mari allait se mettre la tête à l'envers, puis s'écroulerait sous une table ou à bord du Kiflote et reviendrait tout penaud le lendemain. Et là, elle lui ferait payer ses vilaines paroles ! La fin de la dispute était déjà connue, ce n'était pas la première fois qu'ils se disputaient... et de toute façon, elle gagnait tout le temps.

Arrivée à la tente de commandement, la jeune femme lança un regard peu aimable au garde et entra sans rien demander.

Maël? Excuse-moi de débarquer. Qui est ton ... intendant? J'ai besoin qu'on me trouve une tente libre.

Elle faillit rajouter que son bon à rien de mari n'était pas fichu de monter la leur, mais la pudeur l'arrêta. C'était quand même son mari, et le dénigrer devant autrui serait détestable.
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Coldtracker
Le colosse releva le nez de son travail et dit:
-"Ce n'est pas de l’indiscrétion mais il aurait fallu être sourd pour ne point entendre vos échanges...

Que se passe t-il?"


Il montra une escabelle du doit et reprit!:
-"Mais d’abord tu vas t'asseoir et te calmer ...."

Il posait sur elle un regard empreint de tendre affection..le regard de quelqu'un qui se souciait d'elle....
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
Chimera
[Aux abords du camp]

La petite jument baie est brave. Ifig a eu l'oeil.
Parvenue à Angers sur le pont d'un destrier des mers... qui tenait plutôt du poney si l'on se réfère au gabarit du foncet par rapport aux autres flottants sillonnant les mers, il lui avait fallu se procurer ici une monture. De chair et de sang, celle-là.
Le front n'est pas lieu pour les voitures rutilantes, et l'heure n'est plus aux fastueux et protocolaires débarquements. Chouette.

En chemin, elle repère le terrain, si jamais besoin...
Ils approchent des palissades, et le petit équipage fait halte.
Ifig, rompu à l'exercice, pousse son jeune alezan de l'avant, et s'en va faire son annonce aux hommes de faction.


- Bonjour soldats. Annoncez Sa Grâce Chimera de Dénéré-Malines, Duchesse de Cholet. Le Maréchal l'attend.

Sourire léger en l'entendant. Il a au moins quinze ans de moins que les gaillards rompus au combat qui lui font face, et le voilà pérorant, portant haut les couleurs de Cholet.
Elle tend le cou vers le campement. Des tentes, à perte de vue.
Bye bye confort des ducaux appartements. Bonjour rationnement et ronflements. Le nerf de la guerre est là, qu'on se le dise. Il en faut pour supporter ça.

Une question demeure, et la paranoïa du maître de Suscinio à l'auberge lui revient. Pourquoi donc les parois toilées des tentes seraient-elles plus sourdes que les murs de son pied à terre angevin? Va savoir. Peut-être sont-elles doublées d'un charme à secret...

Est écrit en grosses lettres à l'encre sympathique sur le front d'albâtre:

Sang neuf - Ne pas faire couler S.V.P.

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Is winter coming?
Linon
Mordillement de lèvre embêté en comprenant que la moitié du campement, voire la totalité, avait entendu la dispute. Tsss.... la faute à Titi ça encore !

Toujours agacée, Linon s'assit sur l'escarbelle et essaya de se calmer. Comme ça ne marchait pas, elle se releva aussitôt.

Oui... merci. Hum, je suis désolée que tu aies entendu ça. Et je suis très calme !

Il se passe... il se passe...


Elle se mit à déambuler nerveusement entre le tabouret et l'homme.

Il se passe que cette guerre de positions nous tape sur les nerfs depuis des semaines, et particulièrement sur ceux de Titi qui du coup, tape sur les miens ! Et je ne parle pas de votre estime mutuelle, elle est tellement démonstrative que c'en est presque gênant ! Ça aussi, ça aide !


Voilà, lui aussi allait prendre, ya pas de raison ! Cette dernière sortie calma enfin la jeune femme qui du coup, se rassit et jeta un regard en coin au colosse, redoutant une réaction semblable à celle de Titi. Manquerait plus que les deux finissent en taverne...

Enfin, bref, as-tu une tente pour moi? et comptes-tu attaquer ces pignoufs de tourangeaux ou attendrons-nous que tous leurs blessés du Berry soient rétablis et les rejoignent?


Magnifique diversion ! nul doute que Maël ne retiendrait que ses dernières paroles et le chef de guerre qu'il était avant tout ne pourrait s'empêcher de rebondir. Linon se redressa un peu et lissa sa jupe.
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Coldtracker
Le colosse se redressa la regarda longuement sans dire un mot puis il finit par dire:
-"Je ne me souvenais pas à quelle point tu pouvais être belle quand tu fais la la 'geueule'...."


Il s'autorisa un sourire et rangeant ses plans , il rajouta:
-"Et toi tu ne dois pas te souvenir que pour détourner mon attention, il faut mettre le paquet...."

Il se rapprocha de Linon...

Près...

Très près ...

Et lui dit:
-"Cette guerre épuise les nerfs de mes hommes mais c'est bien ton absence qui épuisait les miens..."

Sur ce, on annonçait la venue d'un officier venant dire que la Dame Chimera était là....

Le colosse grogna à Linon:
-"Voilà une Dame qui est aussi dangereuse avec une plume que moi avec une éspée, viendras-tu avec moi l’accueillir et lui trouver logement?
Je gage que vous auriez de nombreuses choses à vous raconter , elle et toi..."


Il fit un pas de plus vers linon, et le corps du Maréchal De Bretagne ne demandait qu'à se tendre vers elle mais il avait promis et seule Linon pouvait mettre à bas cette promesse....
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
Joffrey
Jo s'en revenait de sa scéance quotidienne de natation . Au petit trot , elle se dirigeai vers l'entrée du camp , lorsque son regard fut attiré par une silhouette connue.

- Chim'' ... c'est bien toi? Que fais tu donc ici ? ...Mon fils m'avait bien avertie que tu te rendrais à Angers, mais sans m'en donner la date.

Jo était heureuse de voir sa cousine et continua.

- Je me doute que si tu es en ces lieux , ce n'est pas pour moi personnellement.

Si tu en as le temps , viens donc à ma tente , nous prendrons une collation. Nous avons tant de choses à nous raconter.


Jo espérait vraiment que Chimera aurait le temps de répondre à son invitation.
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Linon
Linon ouvrit la bouche pour répondre au compliment, mais ne trouvant rien à dire, la referma. Sa tête se renversa peu à peu alors que Maël se rapprochait. Qu'il était donc grand... Elle finit par se relever pour essayer d'être moins petite.

Oui mais les Trente sont des professionnels, aguerris sans doute à ces longues veilles et à la vie en campagne. Pas nous.

Et pour tes nerfs...euh...


Aucune pirouette ne lui vint à l'esprit et la présence toute proche du colosse l'empêchait de réfléchir efficacement. L'arrivée de l'officier la tira d'embarras, lui évitant d'admettre même du regard que Maël aussi lui avait manqué. Il s'approcha encore... elle sourit gentiment et fit un pas vers l'entrée.

Dangereuse avec une plume?? J'ai hâte de voir ça ! Bien sûr, je t'accompagne si tu veux.

Des mondanités au sein du camp lui sembla être une excellente idée, ça allait varier un peu les plaisirs fort limités de la vie de camp. En plus elle était curieuse de découvrir les dangers masqués d'une plume. La dame en question s'en servait-elle pour chatouiller le nez ou la plante des pieds des ennemis, les faisant mourir de rire ?
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Chimera
[Ca démange, c'est velu...]

Elle joue avec les crins sombres de sa monture, le regard errant de droite et de gauche, hommes, matériel, qui fait quoi, qui va où, qui dit quoi, et toutes ces choses du quotidien qui font des camps militaires l'équivalent humain des ordonnées fourmilières. Chacun sa petite mission, pour la réussite d'un grand tout.
La question était: où était la reine?
Le simple fait d'imaginer Maël dans le rôle principal de la pondeuse l'aurait presque fait rire franchement. Mais seule au beau milieu d'inconnus, elle se contenta -miracle de self-contrôle- d'un sourire amusé. Ca aurait été des coups à se faire refuser l'entrée pour cause d'insanité. Aristote sait que ces petits troubles de l'esprit peuvent faire bien des ravages dans des espaces ainsi clos où les âmes sont chaque jour un brin malmenées.

Alors qu'un jeune garçon récupère les rennes de sa jument pour aller veiller à ce qu'elle soit confortablement soignée, elle est interpelée.


Chim!

Elle se retourne, haussant les sourcils, ne s'attendant pas à être ainsi apostrophée.
Chim sans -era de Dénéré-Malines, en public, ca fait comme un corps en simple chemise et sans parures.
Qui ose donc la dénuder ainsi dans des circonstances pareilles?
Ah. Tiens donc.
La rousse sourit.
La familiarité dont fait preuve Joffrey à son égard l'amuse. Elles se connaissent au fond bien peu, mais l'angevine est spontanée, et semble ne faire que peu de cas des convenances de cour. Elle a bien raison, à vrai dire, l'endroit s'y prête assez peu. Il va falloir t'y faire, ma petite mère.

Familiarité.
Evidemment.
Puisque famille tout court.


Je ne m'attendais pas non plus à te trouver là, chère cousine. La surprise n'en est que plus heureuse.
Tu as raison non, c'est la défense des terres angevines qui m'amène ici. Mes terres sont après tout autant de chez moi que de chez vous, et à ce titre je ne peux m'investir dans cette guerre sans agir ici.
Comme quoi, toujours sur le même chemin finissent par se retrouver ceux qui ont des intérêts communs.


Elle lui propose un petit truc à grignoter. C'est tentant. Ca fleure bon le raffinement, dans la bouche de la duchesse. Mais ...


Et bien, ce serait avec la plus grande joie, mais vois-tu, je crois que l'on m'a annoncée au maréchal, et je ne souhaiterais pas qu'il ait à devoir me courir après dans tout le camp. Voilà qui ferait bien désordonné, non?
J'accepte, cela dit! Je ne fais que différer!


Sourire léger, alors que de nouveau elle scrute les allées ménagées entre les tentes au cas où le duc de Rhuys s'y trouverait. A vrai dire, il lui suffirait probablement de scruter la cime des tentes, et de chercher quelle tête les surplombe.
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Is winter coming?
Coldtracker
Maël posa une main affectueuse sur une épaule de Linon et lui dit :
-"Toi, tu ne me dis pas tout....Tu me diras ce qu'i lse passe quand tu en auras envie.....

Tu viens?"


Il sortit sur le pas de la tente....
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
Linon
Un peu ragaillardie à l'idée de voir une nouvelle tête, Linon sourit au colosse quand il posa sa grande main chaude sur son épaule, et le suivit hors de la tente.

Son regard s'échappa immédiatement vers l'entrée du camp, cherchant si un chapeau rouge au-dessus d'un Maje confus et penaud ne dodelinait pas au milieu des soldats. Mais non, Titi avait bel et bien pris la poudre d'escampette et à cette heure-ci, arrivait sans doute en taverne.

Le grand blond et la petite brune rejoignirent l'entrée du campement où se trouvaient deux dames. Linon reconnut Jeoffrey et la salua de la tête, puis détailla avec curiosité la rousse qui lui parlait, attendant que Maël les présente.

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Sharlnak
Sharl sourit en l'ecoutant raconter son voyage, il la detailla de la tête aux pieds avant de finir par dire.

Pourtant ma charmante Chatelaine je trouve que tu es resplandissante et totalement à ton avantage dans cette tenue.

Il rit doucement, tout homme aurait été d'accord avec lui sur ce point, il la laissa envoyer sa missive tranquillement. C'est que la Belle avait beaucoups de pigeon qui venait se fracasser contre ses volets de toute façon. Puis il se dirigea vers la fenetre l'entrouvant légèrement pour pouvoir dire simplement :

Chris, Grenat est d'accords, lève le camps pour le notre on vous rejoindra la bas.


Puis sharl referma les volets après avoir crié l'injonction de la Belle. Il se plaça dans le fauteuil face au lit, s'asseyant doucement un air rieur et amusé aux lèvres.

Je crois ma charmante chatelaine, qu'il va falloir pour toi que tu t'habille pour qu'on puisse faire ce changement. Il faudra de toute façon que je te présente au maréchal, le Duc de Rhuys. Mais j'ai peur que le temps que tu t'habille un homme s'en prenne à toi, je vais donc rester pour m'assurer que tu sois en sécurité!!!

Il rit doucement, le regard intense et rieur.
Coldtracker
En compagnie de Linon, il se porta jusqu'aux personnes nouvellement arrivées et dit:
-"Dame Chimera, la bienvenue dans le camp brito-angevins, Dame Joffrey..."

Se tournant vers Linon:
-"Puis-je te demander d'installer la Dame ..."

le Maréchal De Bretagne savait dévisser des cervicales à mains nues mais des qu'il s'agissait de mon mondanités, il passait allégrement son tour...
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Linon
La brune glissa un regard perplexe vers Maël. Etait-ce là les présentations d'usage dans un camp militaire? Et elle devait installer l'inconnue? Mais où, alors qu'elle-même se retrouvait sans abri?

Un léger flottement suivit les paroles d'introduction, qu'elle finit par briser avec résignation.


Bien sûr Maël, nous nous installerons au mieux, compte sur moi.

Le regard bleu de nuit détailla rapidement la tenue et l'attitude de la rouquine. Maël n'avait donné que le prénom, mais un examen rapide laissait penser que la dame était noble, sans doute bretonne, probablement d'une position sociale importante. Le Maréchal se serait-il déplacé pour accueillir une rien du tout? Probablement pas. Et il lui semblait avoir croisé la dame en taverne peu de temps avant, mais impossible de se souvenir des détails sur son identité... Linon décida donc que la dame était de la haute et devait être traitée avec égards. Ça tombait bien car elle-même méritait aussi tout plein d'égards et elle comptait bien s'occuper autant de son installation que de celle de la bretonne.

Bonjour, dame Chimera... Un peu cavalier, non? mais elle n'avait aucune autre information sur l'identité de la dame.
Je me joins au Maréchal pour vous souhaiter la bienvenue sur ce bout de terre quasi bretonne depuis le temps que l'An Arlach y réside.
Je suis Linon, dame de Lenay, conseillère aplanisseuse du Maréchal.
Un geste circulaire de la main à plat illustra cette mystérieuse fonction. Et angevine en bonne voie de bretonnisation à force de voir plus de bretons que d'angevins !

Maël me fait l'amitié de me confier votre installation, croyez bien que je ferai au mieux pour que vous n'ayez pas trop à souffrir des conditions de vie pour le moins... rustiques qui sont le quotidien des Trente. Aussi, je propose de vous faire réquisitionner le pavillon du chevalier Sharlnak,
après tout, c'était de sa faute si elle était à nouveau piégée là... ou... celui du sieur Lancéor? Je crois qu'il est d'un grade plus élevé, le niveau de confort doit suivre, j'imagine...

Mais...
petit coup d'oeil à Jeoffrey, peut-être préférerez-vous résider avec la duchesse de Beaufort qui semble être de vos amies?
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Coldtracker
Nul ...Tout simplement nul...

Il aurait du mieux écouter pendant les cours de bienséance durant lesquels , il se faisait taper sur les doigts étant enfants...

Il n'avait même pas présenter Linon..

'Crétin!'pensa-t-il...

Il s'empressa donc de dire:
-"La Dame Chimera est l'un des duchesses de Bretagne, tu connais dame Joffrey, je ne te présente plus, tu y as pourvu, navré...Le confort sera effectivement spartiate mais la duchesse sera en sécurité.."

Et la chose lui importait...Car malgré le calme de la situation, bien des choses pouvaient arriver...

Il reprit la parole:
-"Linon vous guidera jusqu’à ma tente, je vous ferai un exposé de la situation..."

il sourit à Linon d'un air navré qui voulait dire qu'il était désolé, il avait tendance à oublier l'étiquette sur un camp militaire...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
Aenaelle
Aenaelle avait tout suivi depuis le poste de garde a l'entrée du camps.
Un petit sourire, qui se serait bien changé en rire a écouter Dame Linon dire qu'elle allait prendre la tente du mestre Lanceor ou du chevalier Sharlnak pour loger ces dames. Mais pourquoi pas prendre la tente du maréchal pendant qu'elle y etait?
Elle avait franchement pas froid aux yeux. Le meme caractère que son mari. Ils allaient bien ensemble.
Aenaelle s'approcha du groupe de dames.


Demat mes Dames.
Je suis Aenaelle, escuyere de l'ordre des Trente. Je viens prêter main forte a Dame Linon pour votre installation.
Tôt le matin, nous avons oeuvré pour vous en vous installant de belles tentes digne d'un maréchal.
Nous vous avons préparé de bons lit, pas des lits de camps, avec un coin protéger par un paravent pour vos ablutions. La seule chose qui peut être désagréable, c'est la poussière, mais nous avons fait en sorte que vos tentes ne se trouve pas près d'un grand passage de troupes.
Elles se trouvent dans le quartier aux femmes. Plusieurs Chevalier ainsi que des escuyeres assureront votre protection. Des gardes patrouilles régulièrement et un appel de votre part, mes Dames, et ils accourront pour vous aider.

Si vous voulez bien me suivre, Dame Linon vous emmènera voir le Maréchal après votre installation

Aenaelle fit un sourire a tous pour les encourager
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