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[RP] Peu avant l'aube...

Roxannemontfortlaval
Et la blonde était là, faisait son office sans desserrer les dents. C'est que la pestiotte Montfort n'est pas commode dans ses jours sombres et n'a pas pour habitude d'aller pleurer dans le giron de l'une ou sur l'épaule de l'autre. Non, son fichu caractère elle a terminé de se le forger toute seule à la mort de son père et ces dernières semaines, elle avait tendance à replonger dans ses vieux démons. Un seul être vous manque et plus rien n'est comme avant. Elle ne sait pas où il est, il n'a pas encore vu son fils. Petit Yaouen qu'elle protège d'ailleurs comme une louve sauvage. Personne n'a pu approché ni la mère ni l'enfant depuis la naissance. Seule la Duchesse de Cholet a su la trouver et son grand-oncle, son Roué a aussi su lui déposer un message dans une missive reçue quelques jours auparavant. Elle n'est pas causante la blondine, se renfermer n'est jamais bon elle le sait mais quand elle ne s'occupe pas de son poupon de fils, c'est à l'entrainement qu'elle finit de s'épuiser sans pour autant évacuer ce qu'elle peut ressentir. Mais la blonde a sa fierté et ne rechigne pas à la tâche. Juste renfermée sur elle-même, le temps fait son oeuvre et elle vit au jour le jour avec les divers sentiments qui l'étreignent. Elle a même ignoré les derniers courriers de sa tante, aucun courage à prendre la plume et lui répondre. La seule plume qu'elle a pris c'est pour écrire à son mari et toujours aucunes réponses ni aucun signe de vie. Et pourtant, il est là, elle le sait. Une blonde qui a perdu l'appétit et qui flotte maintenant dans ses atours de soldat. C'est sa hargne qui la fait tenir et cet amour pour l'enfant du bonheur qui est là. Elle sait que sa marraine est dans le coin il faut qu'elle la voit afin de lui confier Yaouen lors de ses missions. C'est que la blondinette va reprendre du service elle s'est entrainée dur ces derniers jours, la main a retrouvé sa fermeté et sa souplesse et le poignet toute sa puissance. Le longbow qu'elle ne quitte pas va refaire siffler ses flèches transperçantes.L'enfant calé au creux de son épaule, les améthystes font le tour du camp et notent tout, le moindre mouvement, la moindre arrivée, le moindre départ. Aussi Chimera ne passe t'elle pas inaperçue aux yeux de Roxanne mais celle-ci ne s'avance pas et reste sur le seuil de sa tente, caressant d'une main tendre le petit crane brun qui repose contre elle. L'espace d'un instant le visage se détend, la lueur de bonheur traverse ses prunelles avant que le faciès blond ne se referme et que les mâchoires ne se crispent. Demain elle enverra missive à sa marraine afin de régler les détails de la garde de Yaouen pendant qu'elle doit vaquer à ses obligations. Et quand son mari aura décidé de réapparaitre il sera toujours temps d'aviser. Dans l'immédiat, il est temps qu'elle sorte de cette spirale infernale dans laquelle elle s'est laissée tomber et que personne n'a pu prévoir, anticiper ou même l'épauler parce qu'elle est restée murée dans son silence et dans sa peine. Aussi seule qu'elle ne l'était après la mort de son père, dans le même état d'esprit et ma Doué, si le cousin Martymcfly était là pour sur qu'il lui aurait déjà mis de grands coups de pieds dans le derche pour la remettre sur les rails. Toujours en berçant Yaouen sur son épaule, la chevalier restait immobile prenant mesure des évènements à venir...Le plus gros risque qu'elle courrait c'était que le maréchal ou le mestre lui tombe dessus. Mais l'un était fortement occupé et l'autre était invisible.
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Coldtracker
Les salutations faites, Maël se dirigea vers sa tente et demanda à un page de préparer un repas pour l'invitée de marque...

Il réintégra alors sa tente et y mit....

De l'ordre...

Ce qui n'était pas difficile tant le confort était spartiate...
Les éléments qui prenaient le plus de place étaient son armure et son armement personnel en sus des coffres de travail..
Le reste consistait en un lit de campagne des chandelles, des lanternes, des escabelles et une grande table qui servait aussi bien de table de travail aux cartes que de table pour les repas...

Il roula consciencieusement les cartes et les rangea avec le nécessaire d'écriture dans un coffre qu'il ferma à clé et fit de même avec ses notes dans un autre coffre...

Sans se dépêcher, il se dirigea vers son nécessaire de toilette et fit une toilette rapide ....

Alors qu'il se séchait, son regard se posa sur le chevalet où trônait son armure dressée...Il fit un pas ers elle et resta immobile...

Il avait l'impression que le harnois noir était une partie de lui-même...
Une partie destructrice mais nécessaire..

A la façon de la Déesse rouge païenne qui composait une partie de son nom...
Il se demanda un bref instant si tout cela allait s'arrêter u jour mais il connaissait déjà la réponse et elle était négative, il y aurait toujours des guerres, toujours des gens assoiffés de pouvoir comme les souverains de france et leurs sbires...

Et il y aurait toujours des gens pour résister à cela...Toujours la guerre et toujours des gens comme lui pour la faire....
Lui aussi était devenu nécessaire...
Il n'y avait pas forcement de quoi en être fier....

Sa seule fierté était de se battre pour la Bretagne , le Roy car ces deux entités intimement mêlées représentaient le peuple...

Issu de la petite noblesse Maël avait toujours été proche du peuple, et même devenu Vicomte puis Duc et ayant accédé à la plus haute fonction militaire de Bretagne, il n'oubliait pas ce genre de chose...

Il n'oubliait rien...

Il fut tiré de se pensées par le page qui rentra pour mettre la table en place ...
Il sourit au gamin, le petit n'avait que sept ans et était déjà en campagne de guerre, non pas au combat mais déjà au dur apprentissage qu'exigeait le métier des armes sans oublier les nombreuses corvées qui pouvaient emplir ses journées d'enfant....

De page, le gosse allait devenir escuyer et chevalier un jour, peut-être...
ou plus encore...

Mais nombreux étaient les gens à rester excuyer tout une vie tout en étant des combattants professionnels engagés au sein de différents osts...

Le colosse était satisfait, l'ordre de trente en sus d'être un ordre de chevalerie était aussi un ost professionnel d'ordonnance parfaitement aguerri aux méthodes de combat les plus modernes....

Il s'ébroua se tirant de ses propres réflexions et enfila un doublet armant pour recevoir les gens...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
Linon
Ooh... une duchesse...!

Linon sourit largement au colosse qui essayait de se rattraper, aussi amusée qu'attendrie par son air navré.

La dame était donc duchesse. La tente d'un maître d'armes serait-elle suffisante pour elle ? Sans doute serait-il plus approprié de déloger un duc pour installer une duchesse.Le sourire se fit malicieux en regardant Maël,seul duc breton qu'elle connaissait chez les Trente. Oserait-elle lui demander le pavillon de commandement pour Chimera?

Aenaelle intervint alors pour prendre en main l'installation des deux femmes. La brune éprouva une légère déception en renonçant au déménagement du chef d'armée, tout en s'avouant que ce n'était de toute façon pas envisageable raisonnablement. Tout le monde se tournait vers la tente de commandement pour recevoir des consignes que la rousse ne saurait donner, et c'était bien plus un lieu de travail plein d'officiers à toute heure qu'une chambre privée.

Petit soupir de renoncement à son idée si distrayante, et Linon écouta sagement l'écuyère.


Eh bien Aenaelle, vous êtes toujours aussi efficace! Je vous remercie. Si ces projets conviennent à la duchesse, nous vous suivons.


Et elle se dirigea vers le quartier des femmes alors que Maël s'éloignait.

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Lanceor
Comme chaque matin, après un entraînement rigoureux à l'escrime, deux escuyers l'avaient revêtu de son harnois noir. Héritage de l'Ost de Retz, il s'en était fait une seconde peau. La bastarde avait pris place à son côté, escarcelle et miséricorde finissaient la tenue.

Avant de sortir de sa tente, il se tourna vers les escuyers.


Remballez moi tout çà, prêts à partir...

Les deux jeunes gens se regardèrent et hochèrent de la tête sans mot dire.

L'activité du camp était routinière, chacun vaquant à ses occupations. Près du pas d'armes, il aperçut sa filleule qui déambulait avec un étrange "paquet" dans les bras. Il se dirigea vers elle.


Demat ma filleule... Je te croyais partie et tu nous reviens avec un allié de choix !

Le mestre ôta son gantelet dextre et approcha un doigt du visage du petit être qui se blottit instinctivement contre sa mère.

Comme rarement, l'homme d'armes décrocha un léger sourire
.

Tu as raison petit homme, protèges toi du monde extérieur... Quant à toi Roxanne, tu fileras sous peu à Lokentaz afin d'y élever cet enfant dans de bonnes conditions ! Sa place n'est pas ici... Arranges toi pour le voir grandir, on s'aperçoit toujours trop tard que le temps passe trop vite...Crois-moi...

Les derniers mots étaient chargés d'un mélange d'amertume et de regrets. L'homme avait donné sa vie entière pour Breizh et sa famille était passée au second plan.

Se ressaisissant, le mestre enfila son gantelet.

Va chevalier, j'ai à faire chez le maréchal ! Entre au chaud, le fond de l'air est frais ce matin...

Le mestre tourna les talons et se dirigea vers la tente de commandement. Les deux vougiers le saluèrent et l'un d'eux lui ouvrit le lé d'entrée.

Réglementairement, le mestre salua son supérieur.


C'est une belle journée qui s'annonce !...

La mine était grave, le port strict.

Puis, il fixa ses yeux dans ceux du maréchal. Tout était dit, ces deux là se connaissaient tant et si bien que les regards se suffisaient à eux mêmes.

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Grenat_alexandria


Il l'avait regarder de la tête en souriant et lui avait dit la trouver à son avantage dans cette tenue, elle lui souria et ajouta:

Flatteur.

Il alla donner les ordres à Chris, il les cria de la fenêtre pour être plus exacte drôle de façon de faire. Elle haussa les épaules puis il alla s'installer dans le fauteuil en donnant une raison bidon comme quoi il craignait qu'on l'attaque, ce qui l'a fit rire.

Bah voyons tu restes pour ma sécurité mais tu sais que tu serais plus efficace derrière la porte à surveiller le couloir, car si on vient à m'attaquer bah ça se fera par le couloir.

Elle ne le mettait pas à la porte du tout celui qui pense cela à tort. Fallait qu'elle se prépare donc tout en tenant le drap d'une main elle alla prendre de quoi se vêtir dans une de ses malles.

Vu que tu n'a pas répondu à ma question j'vais prendre tout mon temps pour m'habiller et je te demanderais pas ton aide pour attacher le corset je le ferais seule donc tu peux sortir je t'en voudrais pas du tout.

Elle lui fit un clin d'oeil puis alla se changer derrière le paravent en prenant tout son temps bien entendu. Attacher seule un corset n'étant pas chose aisé elle râlait un peu, la bataille avec le corset fut gagner haut la main, pour mettre le reste elle le fit tranquillement. La voici habiller après un long moment elle se coiffa et attacha ses boucles blondes.

J'suis prête.

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Blondinette sous le charme d'un Brun...
Maman d'un petit prince...
Coldtracker
Lanceor a écrit:

C'est une belle journée qui s'annonce !...



-"N'est ce pas...."
Grogna le colosse...Il sourit à l'officier et reprit:
-"Comment vont les hommes, pour ma part je les sens bien ....Comme tu peux le voir nous avons encore des renforts qui arrivent..."
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
Chimera
[La veille, roux débarquement autrement moins fracassant que celui ayant lieu chez les normands....]

Que de prévenance soudain! C'est une bonne chose, c'est que les esprits sont encore suffisamment posés pour se laisser aller à ces légères civilités.
La choletaise sourit, et incline légèrement la tête en direction du Maréchal. Le salut est bref, un re-bonjour, presque, étant donné qu'ils se sont entretenus sur le port la veille.


Dame Linon, je suis enchantée, et votre obligée, ainsi qu'à vous, jeune escuyere.
Si le maréchal ne brille pas par son tact et sa prévoyance, au moins les dames sont-elles là pour veiller au confort des invités.
Nan, bien sûr qu'elle ne peut pas dire ça. Elle veut pas d'ailleurs. Nan, elle peut pas plutôt.... parce que quand même, la taquinerie est tentante. Une tente? L'oreille est attirée. Évidemment, une tente, tu t'attendais à quoi, le pacha? Elle plaisante avec sa raison. Parfois, cela fait du bien, de s'évader de son cocon pour le rustique de la campagne. Une tente, et des gens et même une voisine. Chouette.

Trugarez, Maréchal, d'avoir bien voulu détourner des énergies de la gestion quotidienne du camp pour veiller à notre bonne intégration.
Aux deux femmes aux petits soins:
N'ayez crainte, nous ne ferons aucune façon, et vous ne recevrez que peu de requêtes de ma part. Une chose. J'écris beaucoup.
J'écris énormément, aussi je vous serais gré de bien vouloir me fournir le nécessaire à toute cette correspondance.

Sourire presque amusé.

La poussière n'est pas un problème, il en faut bien si nous voulons la faire mordre à quelqu'adversaire.

[Attente latente sous tente]


Aenaelle, Linon, faites s'il vous plait savoir au Maréchal que notre entretien peut-être remis à demain s'il le désire. Je doute que ma présence lui soit nécessaire pour élaborer quelque stratégie, et ma curiosité peut bien attendre demain.

Après tout, même à l'armée, faut savoir se faire désirer.

Alors qu'elle est attablée, occupée à la rédaction, une présence au dehors attire son attention. Ombre immobile un instant...
Un garde en faction, sûrement...
Ifig doit pester et se sentir un peu au chômage technique, pauvre enfant.
La duchesse sourit, voilà qui lui permettra de relâcher un peu la tension qui ne le quitte plus depuis....


[Au matin]


- Nolwenn, ne te casse pas la tête.
Elle part d'un rire léger alors que celle qui jamais ne la quitte s'échine sur le roux chignon.
- Oui... mais...
- C'est un camp militaire, ici, pas la salle du trône.
- Oui... mais...
- Taratata. Suffit. Vas donc écrire à Beilhal que nous sommes bien arrivées, il sera content de l'apprendre.

Elle se lève et laisse ses yeux faire le tour de son alcôve, les mains posées dans le creux des hanches.

Et bien... je crois que nous sommes installées....
Penses-tu que Suscinio me recevra, désormais?
Est-ce que Joffrey est prête? Et nos deux bienfaitrices, où sont-elles? Voyons, ne sois pas jalouse!


Nolwenn la regarde avec des yeux ronds. L'air de dire: "Je rêve, où elle s'amuse?"
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Is winter coming?
Coldtracker
Tempus fugit....

Le Maréchal sortait de sa tente pour aller s'entrainer quand une estafette arriva visiblement essoufflé avec un message qu'il tendit en disant:
-"C'est très urgent Maréchal..."

Le colosse lui fit un signe de tête et lui dit:
-"Va te rafraîchir mon gars, bon boulot, tu vas vite repartir, sois prêt..."

Il ouvrit le pli, le lut et grimaça en disant:
-"Enfin...."

Il attrapa un officier au vol et lui dit:
-"Donne l'alerte!"

A un autre:
-"Qu'on prépare deux montures fraîches pour le messager vite, vite!
Et que les officiers viennent me voir de suite...."


Il rentra dans sa tente , prit du vélin et une plume et y écrivit quelques mots, il scella le tout à la cire et au sceau de ses armories et ressortit....

Dehors le messager était déjà prêt avec deux montures...

Il lui tendit le message et dit:
-"File comme le vent petit...."

Le jeune messager cria:
-"Si fait Maréchal!"

Le colosse avisa alors tout les officiers présents alors même que peu à peu tout le monde se rassemblait et il prit la parole:
-"Frères d'armes je viens d'apprendre que Saumur allait subir une attaque d'envergure, nous devons immédiatement nous porter au secours de nos alliés où sinon la ville tombera...
Mais la distance est longue alors voici mes ordres....

Convoi rapide, deux montures par homme en harnois et rien d'autres, tout le monde sera à cheval aucune artillerie ni gens de trait , aucune spécialité mis à part la cavalerie...
Nous allons aller à Saumur en marche forcée et on risque de crever des chevaux en route et malgré cela, nous pouvons arriver trop tard...

Le reste de l'armée suivra au rythme normal....


Action!!!!! "





hrp: on se retrouve sur le sujet de combat pour la suite

http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1787306
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
Linon
Titi n'avait pas réapparu au campement finalement. Elle avait surveillé l'entrée discrètement pendant toute une journée, mais pas de mari penaud à l'horizon. Au fil des heures, l'affreuse vérité s'était lentement insinuée en elle, Titi l'avait quittée. Abandonnée.

Elle s'en était retrouvée tellement abasourdie qu'elle avait continué à vaguement participer à la vie du camp pendant quelques jours, enfin... pour le peu qu'elle faisait, puis dès que l'occasion s'était présentée, avait filé à Angers pour visiter le Kiflote et les tavernes. Mais pas de Titi, pas de message, il avait juste disparu. En revanche les discussions ronflaient des menaces sur l'Anjou et instruction lui fut donnée de se tenir prête à se battre.

Se battre? sans son mari?? sans savoir où il était? Que nenni !! Elle voulait savoir, comprendre ce qu'il lui reprochait, découvrir les raisons de son abandon. Alors au lieu de se préparer à se battre, Linon envoya chez elle, à Lenay, un pigeon qui ne revint jamais, puis prépara discrètement mais résolument ses affaires pour rentrer à Saumur.

Un brouhaha inhabituel la fit sortir de sa tente. Les soldats allaient et venaient rapidement, les chevaux étaient harnachés, on lui expliqua en deux mots qu'on levait le camp, direction Saumur, et qu'une avant-garde partait immédiatement avec le Maréchal.

La brune récupéra le minimum vital de ses affaires, partit en courant vers les chevaux et s'arrêta brutalement devant la tente de Chimera. Sans plus de manière, elle passa la tête par l'entrée.


On lève le camp, vous êtes au courant? Grouillez-vous dame ! je pars tout de suite avec l'avant-garde, je vous verrai à Saumur. Enfin... si Dieu nous prête vie !

Et sans attendre, elle repartit en courant vers les chevaux, enfourcha Grison qui heureusement était prête et fila rejoindre Maël qui prenait la tête de la cavalerie.

A Saumur, elle retrouverait Titi. Forcément.

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Chimera
[Quand la France attaque, faut pas être cardiaque]

Déjà alertée par l'inhabituelle animation du camp, elle n'en sursaute pas moins lorsque la tête de Linon apparait à l'improviste.
Héraut familier à un égard plus qu'à l'autre, mais l'imminence du combat sacrifie les convenances
Si l'heure n'avait pas été plutôt la seconde, elle aurait souri à sa manière de s'adresser à elle.
Pas même le temps de dire merci ou de répondre qu'elle suivait.
Elle s'en rendrait vite compte, quoiqu'il en soit.

On entendait le maréchal vociférer des ordres.
Vite, et comme une trainée de poudre, les ordres se répandaient dans tout le camp.
La rousse, sans tarder, met son petit monde en ordre de bataille.


Nolwenn, on laisse tomber la robe. Il est l'heure.
Visiblement pas rassurée, elle hoche la tete et file chercher l'équipement nécessaire au mode "battle". Avant de la rejoindre, elle passe la tête à l'exterieur de la tente en parlant sans même trop regarder:

Ifig! Fais sceller la jument baie, ainsi que le hongre de bat, qui va devenir bien malgré lui hongre de bataille, ou du moins de ....

Elle n'a pas le temps de finir sa phrase, interrompue qu'elle est par le bruit d'un cheval qui renâcle. Les deux montures sont devant la tente, et Ifig se charge du harnachement.
Léger sourire, signe de tête. Elle s'en va retrouver Nolwenn.


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Is winter coming?
Coldtracker
Un camps 'était monté à Saumur avec la célérité et l’efficacité habituelle des breton et de leurs alliés et tout le reste de l'ordre des trente avait rejoint les troupes qui s'étaient portées au devant des combats dans l'urgence....

Nebisa avait lancé l'assaut sur la ville en vain , elle s 'était heurtée sur l'acier Breton...

Les offensives françoyses avaient cessé et le rythme avait un peu ralenti...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
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