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[RP]Envie de biens besoin de rien

Chigiru_ashikaga
[Ce jour-là...]


      Ce jour-là, Chi aurait pu porter un furisode*.


    - Le noir, à 5 kamons.

    Kazami cherchait les vêtements du musha-daishô. Mais lorsqu'elle les lui apporta, celui-ci réclama quelques instants de solitude, lui demandant d'en profiter pour aller se préparer elle-même. Une fois la servante sortie, Chi enfila le kimono apporté plus tôt, le plus formel de sa garde robe. Elle s'attacha les cheveux de la coiffe guerrière dont elle avait pris l'habitude, puis se leva afin de serrer autour de sa taille un obi de la même couleur. Enfin, elle glissa ses jambes dans un hakama, toujours aussi sombre, et passa autour de ses épaules un haori** d'un blanc éclatant, tranchant étonnement avec la noirceur du reste de la tenue.


      Ce jour-là, Chi aurait pu assister avec bonheur au mariage de sa jeune cousine.


    - Qu'est-ce que j'vais faire là-bas... ?

    Elle avait perdu sa kohai, qu'elle considérait comme morte, dans son coeur, car elle lui avait tant dissimulé. Mais pourtant, pourtant alors qu'elle aurait aimé ne plus la voir, c'était à son mariage que son devoir l'avait poussée à se rendre. Elle n'y allait pas avec le sourire aux lèvres, elle n'y allait d'ailleurs qu'en tant que son sensei ; et ce bien malgré la trace cuisante que lui laissait l'échec de sa formation. Alors, elle endossa son armure, afin d'affirmer son statut de guerrier Ashikaga... Et aucun autre.


      Ce jour-là, Chi aurait pu être sobre.


    - Kuso... Jvais y rester si j'y vais dans cet état.

    Alors, le gros plein de saké du clan attrapa une jarre de saké dissimulée sous un tatami, dans un renfoncement du plancher. Le bouchon éliminé, une première rasade enflamma l’œsophage de Chi, qui s'empressa pourtant de recommencer l'opération. Elle gémit un peu. Son estomac se tordait, refusant l'alcool salvateur. Alors le musha-daishô reboucha la jarre et s'appuya contre l'armature d'un panneau en regardant tristement le plafond, bien incapable de se décider sur la marche à suivre. Et dans ces foutues frusques, il crevait déjà de chaud. Fallait donc bouger et aller se mettre au frais à la merci du courant d'air qui lui apporterait le salut. Alors l'Ashikaga transvasa une petite portion de la jarre dans une fiole qu'elle glissa - au cas où - dans une poche de son haori, puis elle sortit se joindre aux autres.


      Ce jour-là, Chi aurait pu se tenir à carreau... Une fois de plus.


    - Kono hontta jautai kara maola nukedashitenai*** !

    Elle se rendit sans attendre dans la cour où attendaient déjà, dans l'ordre d'apparition : le foutu bushi qui contribuait à ce désastre, la maudite guji qui allait procéder à l'union, la sale gamine qui avait fait tous ses plans dans le dos de son sensei et enfin l'inégable imbécile fini qui de toutes façons conserverait pour Chi toute la responsabilité de ce mariage improbable - et ce quand bien même il n'avait fait que l'accepter et le regrettait - soit le marié. Le nez froncé, comme à son habitude lorsqu'elle était contrariée, elle s'inclina d'un quart de cinquième d'angle droit, le corps entièrement raidi, et un simple "Konnichiwa" réussit à s'échapper des dents serrés. Il n'y aurait rien de plus de sa part.


*Furisode : Kimono féminin aux manches très longues "qui pendent" qui confère une certaine noblesse esthétique.
**Haori : Veste
***Kono hontta jautai kara maola nukedashitenai : On n’est pas sortis de ce merdier...

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« Chiguru san? Un ami...quoiqu'il en dise. C'est un brave homme et même
si il a des soucis avec le saké, [...] j'ai toute confiance en lui. »
- Atsuhito
Hide
Aujourd'hui était le jour du grand retour. Le grand retour en sa famille dont il avait fait le choix de s'écarter des années durant. Pour parfaire son art avait-il dit. Certes, il s'était servi de ce prétexte pour réellement le faire mais son souhait premier était de s'éloigner de son ancienne vie, de faire la paix avec son esprit. Et il y a quelques semaines, il s'était senti prêt à revenir auprès des siens.

Aujourd'hui, il reverrait tous les membres de sa famille. Et quoi de plus beau que ça se déroule dans le cadre d'un mariage ? Le mariage de son fils par la même occasion !

Vêtu de son plus beau kimono, Togukawa Hide, la quarantaine, arrivait à la demeure des Ashikaga. Il avait fait le voyage seul. Habitué depuis ces derniers années par ces instants, cela ne le dérangeait aucunement. Devant l'entrée des possessions des Ashikaga, il arrêta son cheval qui cabra légèrement. L'animal ressentait le stress qu'éprouvait Hide. Cela faisait des lunes qu'il était parti et il était à quelques instants de revoir de nombreux visages dont celui de son fils.

Accompagné par un garde jusqu'au quartier central (hein !), il regarda les noboris qui flottaient. Son regard s'attarda sur ceux qui portaient l'effigie de la famille Togukawa. Il y a bien longtemps qu'il n'avait pu voir ces symboles. Pendant qu'il lâcha un long soupir provoqué par la douleur des souvenirs, l'homme qui l'accompagnait lui indiqua d'un signe respectueux les deux futurs mariés. Il reconnut aussitôt son fils. Il avait grandi mais les traits de son visage n'avait que peu changé et avait gardé les courbes de son enfance. Le père ressentit une grande fierté à cet instant en apercevant la jeune femme. Son fils avait bon goût, à n'en pas douter. Par contre, ce sentiment s'envola aussitôt en observant le comportement de son fils. Les yeux écarquillés, clignant des paupières rapidement, il resta sur place se demandant si ce qu'il voyait n'était pas le fruit de son imagination.
Kazami.
Un mariage... Voilà que Ashikaga-sama devait se rendre à un mariage, celui d'une de ses kohai en fait. Et cela ne semblait pas trop l'enchanter. Il lui demanda de lui apporter un kimono noir à 5 kamons. Elle pensait qu'il prendrait une tenue un peu plus colorée en ce jour de fête, mais il ne semblait pas y tenir. Elle alla donc fouiller dans ladite malle et lui apporta le vêtement demandé.
Il lui demanda aussi d'aller se changer. Kaza alla donc choisir un kimono assez simple, de couleur rose pâle et glissa dans ses cheveux le peigne de sa mère, seule touche de fantaisie qu'elle s'autorisait de temps en temps.
Elle retourna vers le tatami du jeune homme afin de savoir s'il avait besoin d'aide pour finir de se vêtir, mais la pièce était déjà vide.


- Ashikaga-sama? Où êtes-vous? Vous êtes prêt?

Elle balaya les autres pièces, le cherchant, puis se décida enfin à sortir dans la cour et l'apercevant, alla se placer un peu en retrait derrière lui, le balayant du regard afin de voir, si tout aller bien et s'il ne manquait de rien.
Ashikaga_yoshimasa
Dans le cortège familial, Yoshimasa se trouvait. Elle salua respectueusement chaque personnes, sauf une.

Il y avait plusieurs qu'elle ne connaissait pas, comme le marié et d'autres qui se présentaient sous le nom de Tokugawa. Kadokawa avait peut être oublié d'en déclarer quelques un...

Près du Bushi, elle demeura et continua a honorer chaque arrivées jusqu’à ce que la cérémonie commence.

Un sourire pour saluer sa sœur discrètement. Et resta auprès de sa famille.

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Le mot est l'âme du livre comme le sabre est l'âme du guerrier
Katsumoto
Katsumoto avait été convié... Non... Harcelé pour se présenter au mariage d'Ailisha-chan. Cette dernière lui avait certainement embrassé les zoris pour qu'il assiste a la cérémonie... Il ne s'en souvenait plus si elle l'avait fait. Avec tous ce qui se passait ces temps ci en Uchi, il avait du mal à se rappeler de tout ce qui se présentait devant ses yeux. Il savait que l'honorable Seii participerait a la cérémonie. Cela allait de soit puisqu'il s'agissait de sa... Cousine? Il ne s'en souvenait plus. Il avait toujours été en bon termes avec Ailisha-chan et ça lui suffisait. Une amitié rien de plus sérieux. Combien de fois lui avait-elle demandé un homme a marier... Cela l'avait toujours fait marrer. Depuis qu'Aldario-san était mort, il était difficile d'entretenir de bonnes relations avec le reste des Ashikaga, mais toutefois, Ailisha était demeurée bonne amie. Même si chacune de ses visites servait surtout pour l'aider a trouver un mari qui soit a la fois équipé et beau parleur... L'homme parfait quoi. Difficile a trouver. Katsumoto était très mauvais diplomate, c'était son problème. Donc en soit, mauvais parleur. Bon pour dire des âneries la majorité du temps. Mais alors des âneries, qu'est-ce qu'elle en disait Ailisha quand elle réclamait un homme... Inouï! Il n'avait jamais vu ça! Mais bon, c'est dans un esprit de pure amitié qu'il se présenta a l'Union entre là euh... Comment elle disait déjà? Le singe et la banane? Nan... Le colocolo?

- Argh! Peu importe! Se dit-il a lui même.

Il avait pris un moment pour voyager, un autre pour penser... Maintenant l'heure d'observer et ensuite de féliciter. Il eut besoins de se battre avec la garde, et pas dans le sens physique, mais une petite engueulade pour prouvé qu'il était bien invité. On le laissa finalement passer. Satisfait, il entra et prit place, là ou une place semblait libre... Sans dire mot, accompagné de 2 gardes désarmés.
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Yoshimi_ashikaga
A l'annonce du mariage de sa cousine, Yoshimi ne put se retenir d'entonner un rire moqueur. L'ainé du clan n'aurait jamais pensé que ça serait "la folle" qui se marierait la prochaine ou le prochain.

Alors l'homme imaginait plusieurs scénarios possible. Mais aucun de ceux qu'il pensait ne se termineraient pas sans altercations, lancé de udon ou encore assourdissements.


C'est donc avec une certaine angoisse qu'il arriva à la cérémonie. Déjà plusieurs personnes y était présentes comme ces 2 soeurs, se demanda par la même occasion où était passée la cadette. Toujours en train de trainer je sais où se disait-il encore.

Après s'être incliné afin de saluer les quelques personnes, l'homme prit place au près des siens tout en restant quelque peu discret.
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Kimikiko


Une invitation à un mariage... Kimikiko surprise, pensive était accoudée à son établis, les mains jointes, le menton posé dessus.

Que mettait on à un mariage? Elle se posa la question à de nombreuse reprises, soupirant sous le néant de réponses qu'elle arrivait à apporter à sa question.

De toute façon, ma fille, tu n'as pas deux cent cinquante tenues! Je vais aller regarder ce que je peux y mettre.

Elle souleva le couvercle de sa malle, et sortit quatres tenues. Les teintes étaient sobres oscillant entre le gris clair et le marron.

Elle regarde la qualité des étoffes, pour voir si l'une d'entre elles est moins usée.

Celle la m'a l'air parfaite.

Pantalon marron, tunique couleur paille, ceinture marron.

Ca ira très bien. je ne suis pas riche, je ne pourrais pas m'en acheter une autre. C'est dommage quand meme j'aurais aimé acheter un ensemble bleu nuit en soie. On verra quand j'aurais accumulé assez de kobans.

Bon maintenant que j'ai la tenue, le cadeau?

Et là, grand vide intersidérale dans la petite tête de l'herboriste. Elle en vint à se demander où elle était, tellement le blanc neuronale l'avait ébloui. Elle secoua sa tête pour en chasser la réminiscence lumineuse du vide. Puis se rendit dans son herboristerie. Elle avait encore quelques tâches à réaliser avant de pouvoir fermer sa boutique. Si tant est que personne ne viennent la perturber.

Deux bonnes heures et une cliente plus tard, elle ferma son échoppe en mettant en évidence un écriteau expliquant qu'elle rouvrirait le lendemain. Elle flâna dans les rues de Takayama, cherchant une idée. Qu'est ce qu'elle pourrait offrir ?

Elle passa devant une échoppe vendant des carpes. Elle réflechit un instant, et puis continua son chemin. Elle eut une idée, espérant que cela ferait plaisir aux deux jeunes futurs époux. Elle acheta ses présents puis rentra chez elle. Le mariage aurait lieu quelques jours plus tard. Elle avait le temps de finir les préparatifs. En attendant, bien que l'après midi ne soit pas terminé, elle se l'accorda pour se prélasser, et s'offrir un bon bain.

[Le jour J avec un grand J comme euh comme Joyeux, Jarre, Jeu, etc]

Elle passa sa tenue, révassant à la journée à venir, se demandant si elle croiserait des gens intéressants.
Elle prit son panier avec les présents, et se mit en route. Elle avait demandé à un charetier de sa connaissance de l'y emmener, elle l'attendit. grimpa sur la charette, et fit le chemin en rigolant beaucoup. Tout était bon pour que son compagnon de route trouve une nouvelle raison de rire. C'est avec les abdos douloureux que Kimikiko arriva sur le lieu des noces. Elle s'adressa au bushi, avec son sourire légendaire.

Konnichi wa, je suis Kimikiko, je suis invité au mariage de Ailisha-chan.

Elle lui présenta la missive qu'elle avait reçu en guise d'invitation.

Pourriez vous m'y conduire, s'il vous plait?

Elle attendit bien sagement sa réponse.

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Atsuhito
"Le Bushi" était un peu partout à la foi aujourd'hui, cela lui rappelait son poste de responsable à portes et cela n'était pas pour lui déplaire et c'était un bon exercice afin de rester humble et de continuer à faire les gestes les plus simples...Et puis qu'est se qu'il ne ferait pas pour sa future belle soeur adorée?...euh...

Une nouvelle fois, il quitta le cortège et rejoignis les portes à l'arrivée d'une invitée. Il eu juste le temps de parvenir à l'entrée du domaine quand une femme au grand sourire et une légère douleur abdominal à en juger par sa façon de s'incliner se présenta. Il s'inclina au moment de prendre la missive.


-Konnichi wa Kimikiko san, Je suis Ashikaga no Atsuhito, bushi du clan Ashikaga, bienvenue au domaine Ashikaga et merci d'avoir répondu favorablement à l'invitation.


Atsuhito se redressa.

-Je vais vous conduire au lieu ou se déroulera la cérémonie, veuillez me suivre.

Il inclina la tête et fit un léger geste afin d'inviter Kimikiko à passer les portes avec lui. Le jeune homme engagea une conversation sur le chemin menant à la cour intérieur afin de mettre à l'aise la nouvelle venue.


-Les mariés ont déjà fait leur apparition (Oui c'était le mot, apparition...) et de nombreuse personnes sont venus honorer la cérémonie de leur présence.

Et rapidement, ils rejoignirent les autres personnes, s'inclinant à leur vue.
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Ailisha
    C'est dur d'être fiancée à un lombric vous savez, surtout quand celui-ci a une envie pressante d'aller sur le trône.

    « Nan j'te rendrais pas ta fleur! Na! Puis va vite aux toilettes au lieu de danser. »

    Regard compatissant. Ca pourrait être pire. Le patriarche Hosokawa est arrivée, ainsi que quelques têtes plus inconnus au bataillon, mais après tout elle les avait tous invités, il fallait le savoir, Ai-chan allait devenir Tokugawa, elle allait se marier et enfanter... enfin, ne l'annonçons pas trop vite.

    Elle s'incline au passage des invités, l'herboiste, sa cousine, son cousin, Yuny-san, son beau-père, qu'elle ne connait pas d'ailleurs, même son sensei, et... sa servante?
    Tous escorté par celui qui sera un jour son beau-frère, on dit que sa soeur est souffrante ou en méditation, elle ne sait plus, elle aurait aimé qu'elle puisse être ici aujourd'hui. Et son frère? Matsakodo? Où est-il? Le Colocolo cherche le frangin des yeux, elle ne le connait que très peu, mais aurait aimé qu'il soit là. Soit, elle savait que ce genre de cérémonie étaient ennuyante, il avait sûrement mieux à faire, après tout n'était-il pas guerrier?
    Pourtant son sensei c'était déplacer. Elle glisse son regard sur cette femme qui se fait passer pour un Bushi sans barbe, elle avait l'air triste. Ai rebaisse la tête, elle l'admire, ce sensei, et se rend bien compte que les récents événements les ont éloignés.
    Et de prendre la parole.


    « Merci beaucoup d'être tous venu aujourd'hui. La cérémonie commencera dès que Kizaru aura... fini de se préparer. Nous nous excusons de l'attente. »

    Tu pourrais aussi t'excuser que ce mariage se transforme en vrai comédie. Après tout la donzelle n'y connaissait rien en mariage.

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TOKUGAWA NO AILISHA
« Ai, pour exister, elle avait besoin de deux vies. Pas de chance ! c'est la mienne qu'elle a choisie. » - Chigiru
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Francesca


« Merci beaucoup d'être tous venu aujourd'hui. La cérémonie commencera dès que Kizaru aura... fini de se préparer. Nous nous excusons de l'attente. »



La Guji, elle, savait très bien par où commencer pour unir le couple. Il y a bien entendu une procédure à respecter. En premier lieu, il y a le rituel de la purification à accomplir qui trouve son origine dans le Nihon shoki. Lorsque Izanagi revint du Yomotsukuni, il procéda alors à des ablutions afin de se laver du kegare* qui le souilla depuis le monde souterrain. Sur instructions de Mariko, les ouvriers travaillant dans le palais Ashikaga avaient effectué quelques aménagements mineurs: Kizazu et ailisha devraient se trouver en dessous du Kiosque lorsque commencera la purification.
Ensuite, Mariko devra s'incliner devant les futurs mariés et l'assemblée en signe de respect. Sur quoi, l'élévation du saké et de la nourriture en l'honneur du Kami choisi par les mariés sera faite.
La partie que Francesca prendrait à bras le corps sera le Norito, qui est une litanie en l'honneur du Kami sous lequel la cérémonie sera placée. Elle ira chercher dans son répertoire des prêches quelques formules chic et choc qui plairaient, à coup sûr, aux mariés et à leurs familles.
Mariko alors essouflée, devra reprendre ses esprits dans le Miko, qui est le service du saké sacré aux deux mariés, qui le boiront selon le rituel du San-san-kudo. Trois coupes de saké que devront boire les mariés selon un ordre précis.

Ailisha et Kizaru échangeront leurs voeux, sur quoi suivront encore quelques formalités d'usage qui lassaient Mariko car elles n'étaient pas essentielles. Mais bon, on la payait pas pour lancer un débat sur le rite du mariage.

Tout ça allait promettre une cérémonie riche en émotions, surtout que Mariko avait prévu quelques "surprises", qui n'étaient que des adaptations aux conditions matérielles dans lesquelles le mariage allait se dérouler.

S'approchant d'Ailisha, elle nota que sa tenue lui allait à merveille. Puis lui chuchotant.




C'est bon pour le Kami, vous avez choisi lequel? Savez, yen a des biens et des moins bien. Certains sont plus cons que d'autres. Faut faire gi.





*pollution

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Ailisha
    « Izanami-no-mikoto. »

    Déesse de la création & de la mort, aussi, celle qui avait décédé en mettant en monde Kagu-Tsuchi, tué plus tard par son père Izanagi, ce qui ne fût pas si mal vu que douze autre divinité apparurent à sa suite.

    Izanami était un bon choix.
    Petit sourire pour ponctuer le choix.
    C't'une grande blagueuse la donzelle!

    C'était glauque l'histoire de cette déesse, qui, une fois morte, fût retrouvée dans le royaume des morts (c'est d'une logique!) pas son aimé, celui-même qui l'a fuit après avoir vu à quel point elle était devenue laide.
    Ce choix n'avait aucune symbolique, faut pas croire.

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TOKUGAWA NO AILISHA
« Ai, pour exister, elle avait besoin de deux vies. Pas de chance ! c'est la mienne qu'elle a choisie. » - Chigiru
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Kizar.u
C'est grand un Shogunat. Rien qu'à partir dans des couloirs, ça l'embrouille, il est tout brouillé, troublé, gêné, rah, elles sont où ces chiottes ? Il court, il se précipite à chaque ouverture, regarde, et puis zut, c'pô ça. A l'armée au moins, si on trouvait pas les toilettes, y'avait une cour, tu creusais un trou, ni vu ni connu, hop ! Là, si tu le faisais dehors, tout le monde te voyait, et c'était pas très respectueux, surtout le jour de son mariage ... Au bout d'un bon moment, le futur marié sentit quelque chose couler le long de sa jambe. Une grimace horrifiée déforma son visage, et là, l'explosion totale.

La chute.
L'abomination.
Ça coulait de partout, et ça sentait pas très bon.

Une fois ses besoins finis, Kiki' s'approcha d'une plante non loin de là, et il s'essuya, ça frotte, ça arrache la peau, mais au moins, ça enlève. Malheureusement, sa jambe vira au vert, la feuille était devenue molle, et elle déteignait sur le pauvre Singe jaune. Il commença les choses sérieuses. Une servante passa, et en voyant la scène, tomba par terre. Heureuse coïncidence, il prit un bout du kimono féminin, et nettoya le mieux possible. L'odeur restait, et il ne fallait pas s'aventurer au niveau des cuisses, la surprise serait mauvaise.

Ni vu ni connu.
On revient sourire aux lèvres.
Un p'tit bisou sur la joue d'Ai'.


J'ai fini !
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Shaee
La nouvelle Ashikaga reçut une invitation concernant le mariage de Ailisha : quelle ne fut pas sa surprise ! Le pli pourtant soigneusement cacheté ne laissait aucun doute sur le destinataire, ni sur l'émetteur. Mais tout de même, s'était étrange ! La jeune fille préféra demander confirmation à Atsuhito, qui lui répondu qu'il n'y avait aucune erreur. Etrange, vraiment étrange. Elle ne comprenait pas comment, ni pourquoi, cette personne qu'elle n'avait que peu aperçue l'invitait à son mariage. On la força donc à venir et on l'emmena au milieu du cortège familial - en fin de file bien sûr, étant donnée qu'elle n'était qu'un soldat au sein du Shogunat.

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Dévouée à Oda & aux Ashikaga, jusqu'à la mort.
Francesca
« Izanami-no-mikoto. »


Francesca souriait. Ce kami n'était pas connu pour être tendre.

La cérémonie allait commencer et la Bru invité chacun à venir devant le kiosque d'où les deux amoureux allaient s'unir.


Ailisha-sama et Kizazu-san, je vous invite à venir devant moi, sur les marches du kiosque.


Il y avait un tissu sur les marches où le couple devait se tenir; Pour la purification, Francesca avait imaginé quelque chose de spécial.

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Ailisha
    Elle donne un coup de coude, super discret qu'on se le dise, au futur époux.
    Petit 1°, celui-ci lui a fait un bisou, ce qui n'était pas dans la contrat, et puis c'est vulgaire! un bisou en public. Qu'est ce qu'on aime chipoter surtout.
    Petit 2°, pour lui annoncer qu'il fallait se bouger le cul, simplement et surement. La purification.

    Normalement, enceinte la nippone n'aurait pas eut le droit à autant d'honneur venant de la religion shintoïste ou un autre de ces cultes découlant de celui-ci, ou pas. Mais puisque la souillure n'était pas officiellement faîtes, autant s'en tenir à du concret.

    C'est ainsi que, l'air sage, la tête baisée et les mains jointes elle s'avance lentement devant la prêtresse dans un solennel silence ou l'accompagne le singe jaune.

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TOKUGAWA NO AILISHA
« Ai, pour exister, elle avait besoin de deux vies. Pas de chance ! c'est la mienne qu'elle a choisie. » - Chigiru
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