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[RP] Danse et Musique au diapason.

Cassandre_louna
La Pucelle se redressa en entendant la réponse de la fraise tagada. Elle n'eut pas le temps de réfléchir à une réponse que celle-ci s'était déjà volatilisé auprès de la dame qui l'accompagnait. Cassandres fit donc un demi-tour sur elle-même et dans un élan de bon coeur "qui allait la faire passer à +600 à -6000" elle répondit à Yollande:

Avec tout le respect que je dois à votre Gracieuseté vous n'avez aucune ressemblance avec un tonneau. Je peux vous l'assurer, sans nul doute même si celui-ci roule…


Pour l'instant, elle ne s'en sortait pas trop mal la Blonde. Mais ce qui allait suivre allait surement choquer la jeune fille.

Puis-je me permettre de vous conseiller de suivre ce cours votre Gracieuseté? Car c'est bien en suivant des cours que l'on change des pieds maladroits en virtuose.

Et histoire de bien enfoncer le clou, elle ajouta:

"Puis si sa Gracieuseté a peur que certains Pupilles maladroites -dont Cassandres fait partie- lui écrasent ses nobles pieds, je pourrais vous porter ainsi nous virevolterons tout en vous sachant en sécurité.


Elle avait osée la Pucelle dire ce qu'elle pensait au fond d'elle. C'était une première et elle espérait que cela ne provoquerait pas son renvoie vers les Flandres.
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Elizabelle
Elizabelle avait suivit la Reyne, comme les autres Pupilles... Il s'agissait de rencontrer leurs premiers professeurs. La musique serait à l'honneur en ce jour, tant dans la pratique elle-même que par le chant et la danse qui s'y entremêlent plus qu'à leur tour. L'excitation était à son comble pour l'adolescente qui pratiquait la musique depuis son plus jeune âge. Par contre la danse, elle n'en avait que quelques bases... Et le chant... Elle n'avaig jamais eu la patience d'apprendre à moduler sa voix.

La Reyne, splendide comme à son habitude, entra dans la salle qui serait celle de leur leçon, entourée par son parterre de fleurs innocentes que constituaient les Pupilles royales. Chacune portait une tenue élégante, robe légère propice à l'exercice à venir. Elizabelle en portait une jaune pâle, délicate.

Une inclination de tête en direction des deux maîtres, et un coup d'oeil lancé au bonbon Rose... Allait-elle se joindre à la leçon ? Cela semblait peut probable... Mais elle avait l'habitude de surprendre...

Alice lui parla, mais avant qu'elle ait pu lui répondre, la Reyne parla. Alors elle se contenta de serrer la main de son amie. Oui, elle dansera avec elle si elle le peut.

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Jeanmerlin


Dire que le Seigneur d'Epernay était contrarié, était un euphémisme. En soit, cela ne pouvait être une surprise, la contrariété étant une seconde nature chez le Chambellan de Champagne, soigneusement dissimulée sous un vernis très policé.
Mais tout de même, ces jeunes filles, quoique très nobles et pupilles royales allaient en jacassant telles des oies dans une basse-cour.
Pis encore, sa Majesté semblait vouloir assister à un cour de danse qui ne pouvait s'annoncer sous les meilleurs auspices, en raison d'un maistre de musique qui, après avoir été exubérant demeurait aphone.
Et que dire des futures danseuses... des grandes, des maigres, des grosses, des mal-tournées, des contrefaites et même une étrange créature blanche que l'on pouvait croire issue de l'enfer lunaire tant elle était pâle.
Sauf qu'une enfant, même fantomatique et ne pouvant inspirer que quelques effrois mais protégée de sa Majesté, devenait respectable.

Or donc, le Maistre de Danse, sans se départir de son sourire, salua d'une réverence et une à une toutes ses demoiselles avant de risquer aimablement en se tournant à demi vers le Maistre de musique, tout en s'adressant également aux pupilles de France, non sans glisser un oeil en direction de sa Majesté :

Si ces demoiselles les Pupilles de France voulaient bien composer deux lignes de face, les plus grandes et les plus âgées de ces aimables personnes seraient chargées de mener les pas des plus jeunes et plus petites.

Prudence est mère de toutes les précautions, si bien que le Maistre de Danse indiquait plutôt que de donner des ordres. Il ajouta ensuite, s'incluant dans le dispositif :

Lorsque nous serons tous en place et que le Maistre de musique sera disposé à faire entendre de sa voix et de ses instruments, je suggère que ces demoiselles adressent à leurs partenaires une réverence en "R", prélude à toute danse.

Et le Maistre de danse de joindre le geste à la parole en gratifiant l'assemblée d'une très gracieuse réverence en "R" dansée.
Ayena
Maternelle, d'Alquines ? Si peu, si peu... Si peu éloigné de la vérité, oui. Elle avait beau exécrer les enfançons parce qu'elle avait perdu les siens, elle respirait, voire transpirait la bonté maternelle. Pauvre d'elle. Ainsi, Yolanda contre sa jambe, Ayena hésita un instant. Puis, doucement, elle posa une main délicate mais ferme (tout est dans le savoir faire, ce genre de geste s'apprend, mes demoiselles) sur l'épaule du bonbon rose. Que cela voulait-il dire ? Peut être quelque chose comme :

"Moi, finalement, j'aime bien les tonneaux. Et oui, je danserai. Pour vous, Molière. Pour que vous vous changiez les idées. Et moi aussi, par la même occasion. Alors, jouez bien."


Tout ça en un regard. N'est-ce pas merveilleux ?

Ayena, sur l'invitation du Maitre à danser, s'en alla donc la première prendre position au début de ce qui allait s'avérer une rangée.
Gageant que certaines pupilles ne savait point mettre un pas devant l'autre ou seraient intimidées, elle lança à la cantonade :


- En place !

Espérant ainsi que bien vite commencerait la musique même si le musicien en question semblait dans la lune. Espérant qu'on prendrait exemple sur elle. Car la Contrefaite, après un regard du genre "tu vas en avoir plein les yeux, mon mignon" au Maitre à Danser, s'était imposée.
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>DECO pour bannières et tenues !
- Héraldique -
Elvix
Dans la lune le Maître de Musique ? Mais pas du tout ! Il était plutôt en proie à une crise d'anxiété apparue aussi soudainement que la Reine et ses Pupilles avaient fait leur entrée dans la pièce, lui faisant perdre une bonne partie de ses moyens. Bien que d'un tempérament terriblement assuré, le blondinet n'en menait pas large face à Sa Majesté. Oh la la ! Il allait devoir chanter devant la Reine... Une évidence qui ne l'avait pas frappé jusqu'à présent, mais maintenant qu'il se trouvait face à elle, l'angoisse commençait à monter, le rendant incapable de relever le nez de la profonde révérence dans laquelle il s'était plongé à son arrivée.

La Reine allait-elle apprécier son talent à sa juste valeur ou serait-elle jalouse comme tant d'autres ? Pour le savoir, une seule solution : se redresser et gratter un air sur sa mandoline. D'ailleurs, sa courbette le mettait dans une position inconfortable. Pas souple pour un sou, le barde commençait déjà à avoir des courbatures dans le bas du dos. C'est surement ce début de tiraillement qui lui donna le courage de relever le menton pour observer les jeunes filles se mettre en place à l'invitation du Maitre de Danse. Elles ne semblaient pas en mener large non plus, ce qui le rassura un peu.


Bien ! Bien ! Et mainténant, yé vais donner lé tempo pour la souite et vous essayez dé souivré lé rythmé !

Callant sa mandoline sous son bras, le barde se mit à tapoter dessus.

Uno.... dos... tres... cuatro...
Yolanda_isabel
Les temps changent, les gens aussi.

Qui aurait pu croire que la Dame d’Alquines et la Damoiselle de Molière feraient, un jour, front commun ? Qui aurait pu croire qu’entre ces deux-là que tout sépare, il y aurait pu exister une complicité ? Et pourtant, la main maternelle sur son épaule, c’est un juste retour des choses, c’est un soulagement quand la jalousie la dévore, c’est l’impression que si Marraine en aime d’autres, d’autres aiment Yolanda.

Cette main, c’est celle qui lui donne le courage d’offrir à la Flamande impétueuse, un sourire, un vrai sourire, un sourire d’enfant où les dents de lait mignonnes cèdent leurs places doucement aux dents d’adultes, un sourire où il n’y a pas d’hypocrisie, ni de méchanceté. Et la dame de la chambre de suivre les conseils du Maître de danse, et de la quitter, la laissant seule avec la Pucelle des Flandres.

Un sourire, donc et quelques mots d’une voix fluette.


-« Je danserai pas, demoiselle. Faut pas s’inquiéter, je vais jouer, moi. Allez vite ! Sinon, vous louperez les premières mesures ! »

Un sourire qui veut dire Merci, avant qu’elle la laisse là pour rejoindre le couloir où elle alpague un valet – pauvre fou – et qu’elle lui confie la secrète tâche d’aller chercher sa nouvelle amie. Et ainsi, elle attend, que toutes se mettent en place, que le futur maître de danse prenne ses repères, que le futur maître de musique s’essaye à quelques accords sur sa mandoline.

Elle attend mais pas longtemps, puisque la valetaille revient avec une vièle à archet, laquelle est saisie par l’Infante avant qu’elle gagne les côtés du Presse-Lait, à qui elle offre un sourire en coin, archet en main.


-« Qu’est-ce qu’on va jouer ? »

Cela s’adresse aux deux professeurs, cela ne souffre aucune équivoque, ni aucun interdit. Elle jouera, pour Marraine, pour Alquines. Et pour elle-même, pour se donner l’impression d’avoir sa place, alors à Marraine, elle offre un sourire victorieux en quête d’approbation.

On peut être obèse et goûter aux joies de la musique, et oui, si tant est qu’on ne danse pas.

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« Damoiselle de Molière.. Pleure langue française, je le veux ! » - Héraldique Européenne.
Jeanmerlin


Fichtre de la dissidence dans le rang ! Elle ne veut pas danser, elle ne dansera pas ! La bouche du Chambellan-Maistre de Danse esquisse un accent circonflexe un brin maussade, avant de se reprendre en sourire, après toutes ne sont pas destinées à savoir danser, l'on ne peut prétendre le contraire.
C'est ensuite que la Damoiselle-autoritaire vient s'enquérir de l'air à interpréter tant aux instruments que pour les futures danseuses. Et le Maistre de Danse de suggérer aimablement au Maistre de Musique et à sa jeune élève :

Si nous pouvions commencer par un air joyeux et entrainant qui puisse se danser en Haute-Danse, sans être trop compliqué à interpréter et à danser, je pense que nous serions ainsi plus à même de débuter les cours.
Beatritz
La Reine acquiesça à la proposition du seigneur d'Epernay, non sans regarder en coin le musicien et sa filleule mélomane se chauffer la voix et les cordes.
Elle-même, en dépit de son appétissante corpulence, prit place dans les rangs. Elle avait trop rarement l'occasion de danser, alors qu'elle adorait cela ! Un regard à sa petite cousine, un regard à l'albinos, un regard à la rousse poitevine... Un regard à -6000. ( Huhu )

Tous attendaient la musique dans un silence presque religieux, retenant leur souffle...

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HRP - Béa en arrêt maladie, cf. MDRPRR - Ne se lance plus dans de nouveaux RP - Enfin de retour, je vais pouvoir rattraper mes RP en retard !
Meileen
Composer deux lignes...

La petite brune supposa qu'elle ne faisait pas partie des plus grandes et s'aligna en face de ces dernières. Puis faire une révérence en... quoi?

Sur le coup, la poitevine blemit. Elle avait beau essayer de se remémorer, ça n'était pas dans les livres qu'elle avait lu. La tête fit droite gauche pour tenter de voir si elle était la seule dans cette situation de panique. Puis le Maistre de danse la sauva en exécutant la dite révérence. Il lui fallait bien la retenir...

Et de regarder en face d'elle sa "partenaire" et d'attendre que la musique décolle...

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Yolanda_isabel
Un air joyeux et entraînant ? Faut-il en dire plus ? Alors que les Pupilles et Marraine se mettent en rang, alors qu’elles esquissent la Révérence qui fait office de prélude à toute danse de cour, l’Infante d’offrir un sourire radieux au Presse-Lait avant de murmurer presque suppliante.

-« Une saltarelle, Maître ! »

Oui, une saltarelle pour les voir sourire, pour les voir danser et sauter, pour qu’elles s’amusent plus qu’elles danseront. Un regard à l’Alquines en priant pour que la patte folle suive le rythme, assez du moins pour lui permettre d’aimer le dévouement musical de la Molières.

Les premières notes..

Quand l’archet frotte les cordes, ce sont les premières notes, comme le chant du rossignol qui réveille au matin, à l’aube. Improbable, irréel. Et le rossignol se tait pour laisser sa place à l’alouette gaie et fiévreuse de tant de soleil. Car c’est le soleil que cette saltarelle italienne qui s’échappe et vient envelopper la petite troupe dans ses mesures sautillantes.

Elle vit l’Infante, elle n’est plus la gosse obèse engoncée dans ses jupes, elle est l’Alouette du matin qui ravit les cœurs matinaux. Les yeux fermés, la vièle à l’épaule, elle ne fait plus attention qu’à l’archet qui vit sans son accord, qui fait vivre les accords. Encore et à cœur.

Sautez !

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« Damoiselle de Molière.. Pleure langue française, je le veux ! » - Héraldique Européenne.
Alice_liddell
Bon, former deux lignes, ça, ça va, c'est plutôt simple. Par contre, quoiqu'il veut dire à signaler que les plus grandes guideront les plus jeunes ? Ça veut dire qu'elles doivent se mettre à côté d'une plus âgée ? Ou alors qu'il faut s'y mettre en face ? Euh...

L'albinos regarde rapidement autour d'elle... Heu... On va suivre la seconde la moins âgée, hein ? Normalement, elle va devoir faire comme. Et voici donc la petite Alice partie à la suite de la Meileen. Elle se place à côté d'elle. Pour danser ensemble, faudra qu'Eli soit de l'autre côté de toute manière, nan ? Elle fait un petit sourire à sa voisine, qui à l'air un peu plus à l'aise qu'elle. Et puis...

Révérence en R. HEIN ?! C'était quoi ça ? Elle en avait jamais entendu parlé ! Regard paniqué autour d'elle. Croise les yeux impuissant de Meileen. Puis le maître quand même qui leur montre. La poitrine de la gamine se libère un peu. Assez maladroitement, elle l'imite. Faudra qu'elle s'entraîne, là, c'est juste ridicule...

Et soudain, la musique commence. Le bonbon rose a déjà commencé. Mais qu'est-ce qu'elle cherche celle-là ? Elles connaissent même pas les pas... Une pointe de colère... Bien vite supplanté par de la détresse, et une recherche frénétique des yeux de quelqu'un à imiter.

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Cassandre_louna
Cassandre constata qu’elle était l’une des plus grandes donc elle se mit dans la bonne file, la blonde était en face de Meileen, elle lui fit un sourire, si tout ce passait comme elle l’avait prévu, celle-ci serait surement sa partenaire de danse. Elle était très confiante mais pas pour longtemps car la Pucelle n’avait jamais entendu parler de la révérence en R. Elle croisa quelques instants le regard d’Alice qui avait l’air tout aussi paniquée qu’elle, visiblement elle n’était pas la seule à ne pas savoir ce que cela était. Regard furtif autour d’elle, elle prit exemple et fit pareil. Elle ne s’en était pas trop mal sorti jusqu’à présent, on aurait presque dit qu’elle savait ce qu’elle faisait la Pucelle. La Fraise Tagada commençait à jouer et Cassandre emboîta le pas, elle espérait être assez concentrée pour ne pas écraser les petits pieds de sa partenaire, cela n’était arrivé que très peu de fois certes mais danser devant la Reyne lui était tellement stressant qu’elle avait peur d’être maladroite…
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Jehan_djahen


Je me promenais dans les couloirs, entre deux missives portées pour passer quelques commandes, quand soudain, j'entends une mélodie. On joue ? On fait la fête au Louvre ? Toutes les personnes qui m'avaient dit que les gens de la Cour étaient tristes auraient donc eu tord ? En silence, je me faufile, longeant les murs, discret autant que possible pour me rendre d'où provient le son.

Entrouvrir une porte, y jeter un œil. Ciel des filles ! Vite partir ! Elles n'apportent que des ennuis les filles ! Mais pourtant... Les notes de musique s'égrènent et mon coeur sudiste qui adore les troubadours et ménestrels ne peut se détacher de cette salle. Je ferme alors les yeux, m'imaginant danser une gigue ou une farandole, au rythme de vielle ou du clavecin.

Las, jeune page je suis, et cette musique n'est pas pour moi. J'ouvre les yeux pour glisser de nouveau un regard dans la salle, malgré moi, contrairement à toute prudence, juste pour entendre encore quelques notes avant de retourner à mon office.

La musique est un pas de danse enlevé, et il me donne envie de me laisser aller. J'aime beaucoup, et cela me rend le sourire pour la journée. On danse au Louvre, on y joue de la musique ! Il ne manquerait plus qu'on y chante, et j'aurais l'impression que ces gens ne sont pas des marionnettes de théâtre et qu'ils vivent tout autant que moi dont le sang est lave languedocienne.

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Jeanmerlin


Une saltarelle ! Mais pourquoi Aristote tout puissant une saltarelle ? Il faut bien le concéder, rien de plus joyeux et vivant qu'une saltarelle. Mais s'il y a des novices parmi les danseuses, est-ce bien raisonnable que de débuter l'apprentissage par une danse sautée, qui se décompose en trois temps ?
Pour peu, le Maistre de Danse s'épongerait le front pour ensuite se jeter à genoux, en une prière à Aristote.
Mais non, le sourire se maintient vaille que vaille et c'est un simple bien qui commentera la décision de celle qui fait office de bourreau.

Quoiqu'il en soit, pas le temps de tergiverser, la musique débute déjà.

Et le Maistre de Danse de hausser un peu la voix :

Bien, les Damoiselles les plus grandes faisant offices de cavaliers, se déplaceront de trois pas sautés sur leur droite...

Et le Maistre de Danse de joindre le geste à la parole, en un pas légèrement sautillant,

tandis que les Damoiselles plus petites en taille faisant office de cavalières s'écarteront en sautillant de trois pas gracieux sur leur gauche...

et le Maistre de Danse de souhaiter que toutes maîtrisent leurs droites et gauches afin de limiter les collisions :

Puis les "Grandes" reviendront au point initial par trois pas vers leur gauche, les Petites par trois pas sur leur droite...

Une brêve inspiration inquiète :

Enfin, nous acheverons le premier Grand Pas lorsque les grandes, ayant attrapé la main de leur cavalière en auront fait le tour toujours en sautillant... sur trois temps de mesure de musique.

Et le Maistre musique de friser la crise d'apoplexie à la fin de l'explication en remettant le sort du cour de danse entre les mains d'Aristote, de Christos et de tous les saints de l'Eglise aristotélicienne.
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