Ayena
[RP grand ouvert]
Le printemps, les fleurs, les abeilles... Tout ça tout ça. Et comme de bien entendu, la coutume voulait que ce soit aussi la saison des bals. Le petit peuple comme la noblesse commençait à se regrouper pour réchauffer les curs et les corps qui pendant l'hiver avait du supporter le gel.
Sauf que. (Oui, il y en a mare des "Mais, parce qu'il y a un mais". Nous allons réintroduire le "Sauf que"). Il se trouvait que dans l'Office de la Maison Royale, certains avaient osé dirent qu'ils ne savaient pas danser. Oh ! Et alors, si seuls les hommes mariés savaient danser, comme les autres pourraient trouver une épouse dans la société mondaine où ils évoluaient déjà puisque travaillant au Louvre ?
C'était un désastre, un cataclysme, une horreur. Car Ayena, si elle n'était pas de la plus haute noblesse, avait pourtant été initiée à la danse étant jeune (quoiqu'avec 16 ans actuellement à son actif, elle n'était pas non plus une vieille pomme ridée) et cela était une des seules distractions où elle savait qu'elle ne se sentirait pas tout à fait ridicule. Donc : il lui faudrait user de ce don pour briller à son niveau. Or, qui disait danse disait partenaire. Ce qu'Ayena n'avait pas. Et cela commençait sérieusement à l'embêter : elle n'allait tout de même pas se rendre à un bal, comme ça, tout seule ! Pour qui la prendrait-on ? Dans son esprit, une femme était attachée à un homme. Point.
Elle n'avait plus de père, elle n'avait pas de famille. Elle avait trouvé un suzerain. Mais il habitait bien loin. Il fallait donc qu'Ayena prenne sa vie en main, quitte à faire quelques faux pas. Zou.
Ainsi, de façon quelque peu naïve mais avec, on ne le lui reprochera pas, quelques idées derrière la tête, Ayena avait donné rendez vous à un homme (Oh, la friponne !). Mais dans les jardins : c'était un endroit public, il ne pourrait pas y avoir de malentendus. "N'est-ce pas ?", tentait la Demoiselle de se rassurer. Après tout, elle lui avait envoyé un petit mot bien froid lui promettant juste de l'initier à la danse... D'ailleurs, viendrait-il seulement ?
Assise sur un banc, attendant son maladroit bonhomme, elle lissa sa jupe rose. Ah... C'était pas si simple d'être une femme libérée... Surtout lorsque l'on était persuadée que le mariage, c'était nul. Fiou, courage.
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>DECO pour bannières et tenues ! - Héraldique -
Le printemps, les fleurs, les abeilles... Tout ça tout ça. Et comme de bien entendu, la coutume voulait que ce soit aussi la saison des bals. Le petit peuple comme la noblesse commençait à se regrouper pour réchauffer les curs et les corps qui pendant l'hiver avait du supporter le gel.
Sauf que. (Oui, il y en a mare des "Mais, parce qu'il y a un mais". Nous allons réintroduire le "Sauf que"). Il se trouvait que dans l'Office de la Maison Royale, certains avaient osé dirent qu'ils ne savaient pas danser. Oh ! Et alors, si seuls les hommes mariés savaient danser, comme les autres pourraient trouver une épouse dans la société mondaine où ils évoluaient déjà puisque travaillant au Louvre ?
C'était un désastre, un cataclysme, une horreur. Car Ayena, si elle n'était pas de la plus haute noblesse, avait pourtant été initiée à la danse étant jeune (quoiqu'avec 16 ans actuellement à son actif, elle n'était pas non plus une vieille pomme ridée) et cela était une des seules distractions où elle savait qu'elle ne se sentirait pas tout à fait ridicule. Donc : il lui faudrait user de ce don pour briller à son niveau. Or, qui disait danse disait partenaire. Ce qu'Ayena n'avait pas. Et cela commençait sérieusement à l'embêter : elle n'allait tout de même pas se rendre à un bal, comme ça, tout seule ! Pour qui la prendrait-on ? Dans son esprit, une femme était attachée à un homme. Point.
Elle n'avait plus de père, elle n'avait pas de famille. Elle avait trouvé un suzerain. Mais il habitait bien loin. Il fallait donc qu'Ayena prenne sa vie en main, quitte à faire quelques faux pas. Zou.
Ainsi, de façon quelque peu naïve mais avec, on ne le lui reprochera pas, quelques idées derrière la tête, Ayena avait donné rendez vous à un homme (Oh, la friponne !). Mais dans les jardins : c'était un endroit public, il ne pourrait pas y avoir de malentendus. "N'est-ce pas ?", tentait la Demoiselle de se rassurer. Après tout, elle lui avait envoyé un petit mot bien froid lui promettant juste de l'initier à la danse... D'ailleurs, viendrait-il seulement ?
Assise sur un banc, attendant son maladroit bonhomme, elle lissa sa jupe rose. Ah... C'était pas si simple d'être une femme libérée... Surtout lorsque l'on était persuadée que le mariage, c'était nul. Fiou, courage.
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