Marzina
«
yavait un prisonnier, yavait-un prisonnieeeer
»
La voix mélodieuse chantonne, on lentend presque sourire Ca fait sourire la gouvernante.
« Vous avez lair de bonne humeur mademoiselle Zina, vous avez vraiment bien récupéré de votre maladie, ca fait plaisir à voir ! »
La princesse démêle sa cascade de cheveux blonds avec soin avec son peigne divoire, le sourire aux lèvres, franc.
« Kenavo Paris ! On ne my reprendra plus à jouer les marieuses, cest un métier trop dangereux ! Jai laissé à Paris ce qui sest passé à Paris Nounig, et je nai aucun regret, cest bien mieux ainsi !
-Me raconterez-vous donc ce que vous avez fait là-bas, ou me laisserez-vous ainsi cruellement dans lignorance ?
-Je choisis dêtre cruelle Nounig, vous ne saurez rien. Rien ne filtrera de ma virée à Paris. Jai corrompu les principaux témoins, la chose sera oubliée. De toute façon, si quiconque venait à le raconter, personne ne le croirait ! Voyons, je suis une princesse, je ne fais pas ce genre de choses
-Bien sûr, même si je ne sais pas de quoi vous parlez, vous êtes une princesse exemplaire, et des plus sages
-Pourquoi je sens une pointe aigue dironie dans vos propos, vile créature ?
-Ah ? Vous devez lavoir imaginé probablement, je noserais »
Une journée paisible à Nantes, en somme, une journée comme les autres Après une petite virée épuisante à Paris, la princesse se remettait de ses émotions, se reposait un peu, elle pensait avoir réussi à fuir ses ennuis en changeant de ville...et s'en trouvait totalement détendue.
« Vous savez Nounig, je navais jamais autant aimé vivre dans un pays barbare loin de tout...et surtout loin de la capitale française ! »
La blonde fait une petite moue dans le miroir, se lance un regard aguicheur, entortille une boucle dorée autour de son index avec un air angélique, et puis ordonne :
« Nounig, préparez une soirée bretonne pour cette nuit !
-Vous voulez dire par là : chouchen, crêpes, beaux éphèbes, et la dépravée qui vous sert damie ?
-Vous avez tout compris ! »
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La voix mélodieuse chantonne, on lentend presque sourire Ca fait sourire la gouvernante.
« Vous avez lair de bonne humeur mademoiselle Zina, vous avez vraiment bien récupéré de votre maladie, ca fait plaisir à voir ! »
La princesse démêle sa cascade de cheveux blonds avec soin avec son peigne divoire, le sourire aux lèvres, franc.
« Kenavo Paris ! On ne my reprendra plus à jouer les marieuses, cest un métier trop dangereux ! Jai laissé à Paris ce qui sest passé à Paris Nounig, et je nai aucun regret, cest bien mieux ainsi !
-Me raconterez-vous donc ce que vous avez fait là-bas, ou me laisserez-vous ainsi cruellement dans lignorance ?
-Je choisis dêtre cruelle Nounig, vous ne saurez rien. Rien ne filtrera de ma virée à Paris. Jai corrompu les principaux témoins, la chose sera oubliée. De toute façon, si quiconque venait à le raconter, personne ne le croirait ! Voyons, je suis une princesse, je ne fais pas ce genre de choses
-Bien sûr, même si je ne sais pas de quoi vous parlez, vous êtes une princesse exemplaire, et des plus sages
-Pourquoi je sens une pointe aigue dironie dans vos propos, vile créature ?
-Ah ? Vous devez lavoir imaginé probablement, je noserais »
Une journée paisible à Nantes, en somme, une journée comme les autres Après une petite virée épuisante à Paris, la princesse se remettait de ses émotions, se reposait un peu, elle pensait avoir réussi à fuir ses ennuis en changeant de ville...et s'en trouvait totalement détendue.
« Vous savez Nounig, je navais jamais autant aimé vivre dans un pays barbare loin de tout...et surtout loin de la capitale française ! »
La blonde fait une petite moue dans le miroir, se lance un regard aguicheur, entortille une boucle dorée autour de son index avec un air angélique, et puis ordonne :
« Nounig, préparez une soirée bretonne pour cette nuit !
-Vous voulez dire par là : chouchen, crêpes, beaux éphèbes, et la dépravée qui vous sert damie ?
-Vous avez tout compris ! »
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