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[RP] Aile de la Cathédrale - Négociation sur le Concordat

Vu_de_la_grille, incarné par Ijarkor
La réponse du "Parfait" ne se fit pas attendre. Il s'adressa d'abord à Wilfred Ivanhoe.

Bouchenbiais a écrit:
Des marchandises à vendre dites vous messire?

Je suis habitant de ce comté, "Parfait de la Maison Cathare Albigeoise" et également représentant des nombreux déçus de votre Église ... Qui vient vendre quoi ici?

Si vous vous plaignez que nous sommes trop nombreux, je pense que rien ne vous empêche de quitter cette noble assemblée ... Pour quelles raisons, diantre êtes vous là? Trouvez vous qu'il manque de prélats pour défendre Rome?

J'ai toujours eu réputation de courtoisie et de faire bon accueil en notre douce Albi, mais je ne saurai priver de liberté celui qui se plaint ... Nul autre que votre volonté ne vous oblige à rester ice-lieu ... Faites donc à votre guise messire et si votre intention première était de faire quelques affaires mercantiles, je vous invite cordialement à visiter notre marché toujours fort bien garni.

Puis, répondant à Ijarkor.

Bouchenbiais a écrit:
J'ai été invité par Le Comte De Toulouse, mon seigneur, messire Valdy Visconti, vous estimez vous au delà de son autorité? Je suis ici en tant que contre pouvoir aux ambitions dévorantes de Rome, vous m'en voyez navré. Mais si les seuls seigneurs à qui j'accepte de me soumettre me le demandent, je consens à quitter la place sur l'instant, s'ils jugent ma présence inutile.


Le calme revenait tout doucement et Valdy considéra que le moment était venu de prendre la parole... Mais toujours avec le sourire... toujours...

Valdy a écrit:
C'est bon !
Les messieurs ont finis !


Bon nous sommes là pour trouver une entente.
Nous avons bien suivi les conversations et nous voyons qu'il y a un souci pour l'article II.2

J'aimerais faire une proposition.

Le Comte présenta sa proposition de l'article II.2

Valdy a écrit:
Citation:
Le Comte de Toulouse et ses conseillers, quelque soit leur religion en privé, représentent en public le comté de Toulouse, s'ils ne sont pas de Foi Aristotélicienne, ils ne devront pas en faire état dans l'exercice de leur fonction.

C'est le plus simple possible. Le Concordat lui même dit bien que la religion officiel de Tolosa est celle d'Aristote. Et avec l'article II.2 comme nous venons de le proposer, oblige le Comte à respecter le Concordat puis s'il n'est pas de la Foy d'Aristote, il ne devra pas en faire etat dans l'exercice de ses fonctions.

Nous pourrons voir donc un spinozite, cathares ou avero... etc.. qu'ils puissent avoir accés au poste de Comte. Tout en respectant tous les articles du Concordat signé.




L'évêque de Rodez ne tarda pas à répondre:

Ijarkor a écrit:
"Permettre à un spinoziste, cathares ou avero... etc.. de devenir Comte de Toulouse": j'ai bien compris que c'était le but de cette négociation. Je vais être clair à mon tour: je n'accepterais jamais un texte qui permet cela. Et je doute que l'Église Aristotélicienne l'accepte de toute façon.

Mais je ne puis parler pour ma hiérarchie: il est donc préférable, pour la suite des négociations, que je vous laisse voir cela directement avec elle.

Aussi, Votre Grandeur, pour reprendre vos paroles, en effet: j'ai fini !
Paquita
Paquita suivait les débats depuis un coin de la cathédrale. Le dos appuyé à un pilier, elle écoutait attentivement, n'en perdant pas une miette.

Dans son champ de vision, une haute et fière silhouette obscurcit par son passage la lumière qui filtrait par les vitraux.
Cillant pour s'assurer qu'elle ne rêvait point, elle écarquilla les yeux en reconnaissant son promis, le Comte excommunié. Se décollant du pilier, elle se faufila entre les personnes massées là pour se glisser à ses côtés.
Effleurant sa main de la sienne, elle attendit qu'il porte son regard sur elle pour lui sourire. D'un mouvement du menton et d'un haussement de sourcils, elle désigna la noble assemblée qui se trouvait à discutailler là.
Chuchotant, se sachant ouïe de lui seul, elle prononça dans un souffle.


Tu entends cela ?
Citation:
Par la présente, l'Église reconnaît le Comté de Toulouse comme Aristotélicien.

Cela veut-il dire que si le peuple te porte à nouveau sur le trône, tu te retrouveras désexcommunié de fait et que nous pourrons nous épousailler enfin ?

Heureuse à cette idée, elle pressa les doigts de son aimé.

Cette église qui avait fait son malheur... se pourrait-il qu'elle lui offre moyen de retrouver le sourire ?
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Fabrizio05
Fabrizio marche dans la rue, simple badaud, une pomme devant sa bouche qu'il croque goulument.

Il marche sereinement, nullement à la recherche de sa femme Séléna, non il marche l'esprit tranquille, l’œil pétillant de joie.

Il marche en homme libre, ses cheveux au vent inexistant mais sous cette douce chaleur.

La ville , cette comté il l'a connait bien, trop même il dirait, au bien sur il y eu cette attaque contre lui et sa femme qui les à laissés sur le carreau.
Mais il yen eu d'autres au temps où il servait Rome dans sa garde et d'autres occasions peu reluisantes.

Mais voilà ne passant pas par là par hasard, sa femme lui avait demander de venir assister au début qui engage un comté, une église , des pensées, un dogme et des religions n'en déplaisent à certains ou certaines.

Fabrizio habillé comme à son habitude de son long tabard noir qui s'en va finir jusqu'au dessus de ses genoux, recouvrant ainsi une chemise blanche et des braies noirs aussi.

Il va paisiblement ses talons de ses bottes cognant contre les pavés de la place principale.Son épée dans son fourreau bat paisiblement au même rythme que que sa marche contre sa cuisse à senestre.

Fabrizio va au lieu du rassemblement, bien que étranger à la région, mais non point à une religion qui à trouver refuge en cette région.
C'est en tant que Cathare et homme libre qu'il traverse la populace, ses yeux bleus mi rieurs, mi sérieux regardent attentivement ce qui l'entoure.


Portant des "Pardon...S'vous plait...Excusez je passe...Merci bien !!

Il traverse le flot des gens , des spectateurs devant cette auditoire si sublime, qui sait si bien s'exprimer tout son contraire.

En chemin il rencontre sa femme, un peu éberluer ou bien est ce des lueurs de peurs qui se lisent dans ses yeux ?.
Point de questionnement, il tend sa main, lui prenant le bras et l'attire à lui.
Donnant un instant à cette peur de la quitter, de retrouver cette force qu'ils partagent tout deux dans des moments comme celui-ci.

Un sourire sur ses lèvres afin de l'apaiser, un baiser sur sa joue afin d'enrayer cette peur qui la submerge.

Des gestes simples mais vrais...

Il lui insuffle juste ce qu'il faut et lui murmure à l'oreille...
N'ai point peur...Je suis là.

Il l'entraine à faire demi-tour, à faire face à sa peur, aux mauvais souvenirs.
Car réalisant qui se trouve devant lui, devant eux, les souvenirs reviennent tel un cheval au grand galop.
Et ce qui est bien chez lui que même si il a peur , il ne le montre pas.
Et que si on veux lui faire peur en quoi que se soit.
Il s'en moque....

Alors poussant un peu la populace qui fait bloque devant eux afin d'assister et d'écouter au plus près ce qui se fait et dit.

Fabrizio va près de Bouche.
Il se baisse vers lui, lui donnant le baiser lié à leur religion et à la fonction et au respect due à l'homme.
Inclinant pour finir sa teste vers lui.

Et sans attendre sans prononcer un mot et ce moquant de ce qui pourrait se dire à sa venue ou de ce qu'il vient de faire.

Fabrizio porte sa main sur l'épaule à senestre de Bouche et la laisse ainsi.
Marquant ainsi sa solidarité,son amitié, son aide venant d'un Faydit.
Envers un homme de grande foy et de grand respect.

Dans un geste qui se veut...
Qu'importe ce qui se dira ou se fera...Je suis là...Nous Sommes là.
Et que lui il n'a point peur ni d'eux, ni des conséquences.
Et si on te cherches, si on t'insultes ou te veux du mal de par ta position, ta foy.


Dans un geste qui se veut...
Sa senestre tapote gentiment la garde de son épée.
Tandis que son visage reste serein et calme.

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Bouchenbiais
Bouche se rassure encore d'avantage lorsqu'il voit son ami Fabrizio rejoindre sa femme et assister lui aussi aux débats.

Tout va bien pour lui jusqu'à ce que son ami s'approche de lui et lui manifeste une nouvelle fois tant de respects et de déférence. Là, la panique et la gêne commencent à s'emparer de lui, jamais il n'a eu l'habitude d'avoir tant de preuves de dévotions et ne l'a d'ailleurs jamais demandé ou souhaité. Il est un homme simple, un homme du peuple, qui rote, qui pète et que rien n'arrête.

Il l'embrasse à son tour chaleureusement pour le remercier d'être venu et pose sa main sur celle qui reste sur son épaule. Il veut leur montrer ainsi qu'il est avec eux, qu'il est solidaire, qu'il est fiable et homme de parole. Il veut leur donner une nouvelle preuve qu'il lutte pour leur foi, pour tous et pour le Bien.

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N'infligez jamais de petites blessures à un ennemi! "Macchiavel"
Vu_de_la_grille, incarné par Ijarkor
S'adressant alors au comte, Navis prit à nouveau la parole:

Navis a écrit:
Votre Grâce, je suis d'accord avec cette article, il permet en effet à quiconque de se présenter au poste de comte et j'en suis ravie.

Monseigneur Typhanie de Divonne tenta de répondre à toutes les personnes qui parlaient, d'abord Natale...

Ticta a écrit:
Natale, vous avez totalement raisons. Petit sourire. Nous ne pouvons forcer le Comte à être baptisé, nous ne pouvons forcé une âme à reconnaitre Dieu ou le Dogme ou le Droit Canon ou la Sainte-Eglise, je vous l'accorde. Le regardant doucement, l'homme, elle haussa les épaules. Maintenant nous sommes face à un problème ou plusieurs soucis même. Permettez moi de vous les exposer en toutes franchisse, car sans cela nous tournerons en rond pendant des mois.

Respirant doucement, elle porta un verre d'eau à ses lèvres et prit son temps pour rassembler toutes les pièces du problèmes.

Ticta a écrit:
L'Église ne veux pas forcer une âme à être baptisé, du moins depuis les années que je vis à Rome je ne connais aucun Prélats qui souhaitent ouvertement ceci. Maintenant vous êtes intelligent et pouvez comprendre que la crainte de Rome, des Prélats et de moi-même ses les fidèles Aristotéliciens... Prenez un exemple tout simple : Le comte est d'une religion lambda, celui-ci à durant son mandat tout les pouvoirs nous sommes d'accord ?! Imaginez que ce Comte un peu fou décide de s'en prendre aux Aristotéliciens, ou de déclarer Toulouse ''Comté Lion de Juda'' simple exemple. Pensez-vous bien que Rome ne va pas apprécier... Alors si cela ne tiens qu'as moi, je vous dirais : ''D'accord pourquoi pas'', mais cela ne tiens que de moi. Hausse les épaules. Alors une solution nous la voulons toutes et une BONNE solutions, vous en proposez une qui est intéressantes certes, mais peut-être qu'il y en a d'autres et si vous voulez avoir une chance infime de voir un article plus libre moins agressif être accepté par le Cardinal, vous vous devez d'être ouvert à moins fort, et pas enfermé dans votre solution. Vous comprenez ? C'est une question de Confiance et de compromis également... Sinon vous allez vous braquer, Monseigneur de Rodez aussi et nous avancerons pas. Le gros problème étant que tant que nous avançons pas le Comté de Toulouse ''souffre'' de son Concordat qui ne lui conviens pas et le pire dans tout cela ? Si nous arrivons à rien, il le gardera ou ce mettra en tort. Et ni vous, ni moi ne voulons cela.

Regardant la Dame qui semblait être aveugle.

Ticta a écrit:
Vicomtesse, tout est négociable, mais comme je l'expliquais à Natale, il faut être ouvert et avoir une limite minimal et maximal... C'est normal.

Regardant l'eveque, elle sourit.

Ticta a écrit:
Monseigneur excusez-moi, mais une bénédiction d'un Comte pas Aristotélicien ? Vous savez que cela ne passera surement pas à Rome, il faudrait... autres choses symbolique qui ne force personnes à être ce qu'il n'est pas.... si l'idée vous conviens.

Regard à l'homme, l'autre homme celui qui parle de Cochon et de fierté à tout va.

Ticta a écrit:
Je savais déjà que cela était désagréable, c'est surement pour cela que je ne juge jamais les âmes Aristotélicienne ou pas. Si vos rancœur visent tout les hommes et femmes d'église vous devez être plein de colère, pourtant il faut parfois savoir à qui ont parle avant de ce dire que c'est tous des benêts. Hausse les épaules. Je ne sais pas ce qu'il vous attend en pareil cas, mais je sais que vous avez l'occasion d'en parler avec moi aujourd'hui et que vos désirs remonte auprès des Cardinaux concernés... et c'est une occasion que vous devriez attraper au vol sans laisser votre rancœur parler pour vous.

L'écoute encore et appouve.

Ticta a écrit:
J'entends ce que vous pensez de nous, reste à me dire ce que vous attendez sans demander la Lune et le Soleil en même temps.

Regarde Wilfred.

Ticta a écrit:
Allons, allons... nous allons y arriver, suffit d'écouter.

Pouffe et pose une main sur son bras.

Ticta a écrit:
A votre Grandeur ! J'adore l'idée... mais euh auriez-vous le ''Nouveau Concordat'' provisoire ? Car j'avoue que j'aimerais lire ce que cela donne à présent.

Pendant ce temps, ayant remarqué que Wilfred Ivanhoe l'avait foudroyé du regard pendant qu'il parlait, Bouchenbiais s'adressa à lui.

Bouchenbiais a écrit:
Oulà! Tout doux messire! Cramponnez donc plutôt la soutane de l'évêque de Rodez, c'est peut être bien tout ce qu'il restera entre vos mains prochainement!

Nous autres cathares avons la violence en horreur et de plus par de tels gestes inconsidérés, vous pourriez bien, une fois encore, confirmer ce que je n'ai cesse de clamer, vous ne savez contrer que par le glaive.
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