[RP] Acceuil pour visiteur. Hotel Particulier de Maxime.

Un beau matin, au 7 Quartier des Prairies, Maxime sortit de chez lui, etirant les bras, le sourire aux levres. Tout était enfin prêt. Pendant des mois, depuis qu'il a acquite cette maison au 7 Quartier des Prairies, Max avait tout nettoyé et reconstruit ce qui était delabré. En effet, il avait l'ambition de créer un Hotel Particulier, celui de Bourg, où les visiteurs pourraient dormir et avoir un logement convenable.

Il placarda sur la porte:

Maxime revisita donc sa maison. Il entra, il y avait la un bureau, dans lequel s'entassait des dizaines de papier, des comptes a voir, des livres qui lui appartenaient, des notes, tout s'entassait la. Derriére il y avait un tableau où était accroché les 8 clefs des 8 chambres de l'Hotel ! Dans cette meme piéce, il y avait un petit salon, une petite table horné d'or était au milieu , un divan rouge et deux petits fauteuils étaient posté autour de cette table, pour les petites histoires d'étés des visiteurs. A gauche du bureau, il y avait une petite porte, derriére était sa chambre personelle. Les tapisseries étaient très anciennes, d'une couleur jaunatre a la base, mais Maxime avait utilisé un bon moyen pour leur redonné un aspect or qui eclairait la piéce d'une très belle façon.

Maxime monta le premier escalier et arriva au 1er étage. Dans le couloir, un long tapis traversait ce couloir et arrivait a l'autre escalier. Dans ce couloir, il y avait quelques petits tabouret avec posé dessus, des fleurs, toute fraiche qui donnait de la gaieté et de la fraicheur a ce couloir. De part et d'autre 4 chambres était a ce 1er etage, pret a acceuillir les nouveaux visiteurs.
Au fond, il monta le deuxiéme escalier et arriva au 2eme etage, un long tapis et des tabourets était positionné de la meme façon. 4 Chambre était disposé a cet etage. Une odeur de frais, de nouveau submergé l'hotel. A l'etage, il y avait deux chambre de valets, le valet personnel de Maxime et celui qui devait s'occuper du menage et de l'entretien de l'hotel.

Maxime sortit enfin sur la terasse où était diposé des bancs, en plein soleil, et un beau jardin bien tondu et un partaire de fleurs bien entretenus qui donnaient de la gaieté .. Maxime espérait un succés de son hotel et voulait vraiment redonner de la vie et de l'attractivité à Bourg ..

Il partit à la Mairie et à son bureau, laissant l'hotel et espérant qu'un visiteur se pointe très rapidement.

Maxime vit Gaetan qui se ballader, très fatigué. Il lui dit:
Oh ca va très bien et toi ? tu me semble bien fatigué !! Et ta belle va bien ? Ta taverne ?

Maxime sourit:

Oui ça se voit que tu es fatigué , tu traines les pattes ! Félicitation pour ta douce ! Et puis pour ta taverne, j'essaierai de passer dès que possible. D'ailleurs, pour les éventuels visiteurs, dit leur qu'un Hôtel particulier Quartier des Prairies est ouvert ..

Le temps d'emmener Robin , son cheval et vieux compagnon de route , aux écuries et l'encapuché alla rejoindre Sonia , sa soeurette à l'auberge qu'ils avaient repérée à leur arrivée à Bourg.

La blondinette était déjà installée à une table lorsque le conteur entra dans la pièce principale en saluant l'assemblée par un banal , mais tonitruant :

Bonjour la compagnie !

Dom s'assit en face de Sonia , qui semblait attendre l'aubergiste et lui dit , un petit sourire aux lèvres :

Je pense que Mika et les autres ne devraient pas tarder, Sonia..
Mais j'ai tellement faim que j'aurais le temps de mourir mille fois de faim avant qu'ils n' arrivent

Tu as déjà commandé ?
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Sonia sourit en voyant Dom et Mika' la rejoindre.
Elle fit une place Mika' et écouta Dom' et lui murmura :

- Ben j'ai vu personne pour l'instant, j'espère qu'on sera bien accueillit, j'ai faim...

Elle regarda autour d'elle, avec un regard qui voulait dire :
- y a quelqu'un????

Toujours le sens de l'a propos cette Miquette !

L'encapuché se leva en même temps que ses amies et répondit , tout en se dirigeant vers la porte de la taverne :

Je vous laisse vous occuper des miches de pain et des oeufs , mesdames...
M'est avis qu'on devrait trouver un morceau de lard dans le saloir du cellier cette auberge , également.

Pour ma part , j'ai repéré une biquette toute blanche, en arrivant en ville , ce matin.

Je m'en vais de ce pas traire la bestiole...

Puis, ajoutant d'un sourire crispé :

De toute façon, j'ai tellement faim que je ne peux plus rester à attendre comme ça...

Sur ces mots , le grand brun sortit de la taverne en claquant la porte avec le fol espoir que le le bruit réveille peut être l'aubergiste .
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Sonia avait mal aux ventre, tellement la faim la rongé.
Elle leva la tête et regarda l'homme et l'écouta.
Elle esquissa un sourire.

- Enchantée, messire Kehl.

Heureusement qu'il était venu pour les prévenir. Elle se leva et regarda ses amis pour quitter l'endroit, vide.

La Gertrude s'était levée tôt ce matin, à peine le temps d'avaler un bout de pain et là voilà déjà en route pour l'hôtel du tribun. Dame Melisse lui avait fait envoyer un pigeon pour qu'elle vienne s'occuper de voyageurs, le proprio était pas là en ce moment et ces gens arrivés hier il fallait bien s'en occuper et leur donner de quoi se remplir l'estomac.

La voilà qui passait la porte de l'hôtel et directement s'en allait dans la cuisine. Ils avaient trouvé de quoi combler leur faim hier soir par ici à voir les assiettes et autres ustensiles restés sur le plan de travail. Allez, un petit coup de nettoyage et une petite nappe sur une table, elle déposa les victuailles pour les affamés encore endormis.

Un grande cruche de lait, deux belles miches de pain encore tout chauds, un pot de confiture aux fruits des bois, fromage et viande séchée tout droit sortie du fumoir, tout était prêt.

Satisfaite, la Gertrude n'allait pas pouvoir rester à attendre leur réveil, c'est qu'elle avait beaucoup à faire la vieille, son mari feignant passait son temps à roupiller dans un coin ou à picoler dans chaque taverne du village. Elle frotta les mains contre son tablier et son panier vide elle repartit en espérant que les voyageurs seront contents à leur réveil.

La Bretonne avait bien dormi, elle avait rêvé que son Himm était près d'elle, rarement un rêve n'avait eu cette force, lui réchauffant les pieds comme s'il y avait vraiment eu quelqu'un à côté d'elle sous l'édredon. Elle avait vraiment eu l'impression que ses bras se refermaient sur un corps chaud et doux, cette nuit.

Elle s'étira comme un jeune chat, enfila ses vêtements et descendit, attirée par la bonne odeur de pain chaud qui grimpait les escaliers à sa rencontre.
Sonia était déjà attablée, devant des victuailles plus appétissantes les unes que les autres.

Bonjour, Sonia, bien dormi ? Vous avez aussi trouvé une chambre ici, ou vous avez fini par dormir dans votre charrette ?
Dom n'est pas encore là ? Quelle marmotte, ce Dom ! il a encore dû se coucher à point d'heure ....

Elle prit de la viande séchée, du fromage, se coupa de larges tranches de pain et entreprit de se faire des tartines. Elle gouterait la confiture ensuite.
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Carte des tavernes de campagne : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=529174

J'ai dormi près de toi et tu m'as bien réchauffé en m'enlaçant.
La Bretonne devint cramoisie, quand elle comprit pourquoi son rêve lui avait semblé si réel.
Elle mordit dans sa tartine de viande séchée pour camoufler sa gêne, mangea celle de fromage aussi, puis s'absorba dans la confection d'une tartine de confiture, avant de reprendre d'un air détaché :
Dom ? il n'est pas rentré ? il était parti chercher du lait de chèvre, espérons que la Biquette en l'ait pas fait tourner .... chèvre
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En entrant dans l'auberge , comme un diable monté sur ressorts , Domdom interpella les femmes, serrées l'une contre l'autre sur un banc :

Les filles...C'est tout simplement incroyable !
J'ai passé toute la nuit à courir après la chèvre que j'avais détachée pour la traire et qui s'était échappée...
Et je l'avais même pas rattrapée en plus !

Et vous savez quoi ?

Regard mi rieur, mi étonné de ses amies ...

Eh bien...Je viens de la voir , la bique , attachée dans la cour de l'auberge !
Etrange , non ?

Dom se dirigea alors vers la table où elles étaient attablées et se laissa s tomber de lassitude, comme un sac de farine , sur le banc , juste à côté des filles.

C'est seulement à cet instant qu'il s'aperçut de la présence de Melisse à côté de Sonia et Mikaphile et aussi qu'il n'avait même pas salué ces dames.

Il leur dédia un petit sourire bien fatigué :

Excusez moi mesdames , mais je ne vous ai pas encore salué...
Il faut dire que je n'ai pas dormi de la nuit...
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Un gamin lui avait indiqué l'adresse et elle se planta devant la porte fixant le heurtoir.

Frapper ou pas ?

Déjà elle commença par récurer ses semelles sur le décrottoir de métal.
Elle ne connaissait personne en cette ville sauf Tybalt mais était-il seulement présent...
Le matin elle avait annoncé son arrivée au bourgmestre Messire Kehl ainsi qu'au prévôt.

Elle vérifia pour la centième fois que sa bourse était toujours accrochée à sa ceinture, encore étonnée qu'à se balader seule et à pied, aucun brigand ne lui ait fauché sa fortune dont les écus tintinnabulaient à chacun de ses pas.

Elle était passée en taverne et avait bu seule une chope oubliée car elle n'avait croisé ni tavernier ni franc buveur.
La ville semblait paisible et elle était harassée rêvant d'un baquet d'eau chaude et d'un matelas sans punaises.

Finalement elle se décida et fit résonner le marteau sur le bois.
Pas de réponse...
Elle recula d'un pas et regarda les fenêtres.

Y a quelqu'un ?

Appuyée sur son bâton ferré, elle attendit.

... et puis non... pas grave...

La route poudroyait en l'horizon et elle répondit à son appel remettant bain et somme à plus tard.