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[RP] Eglise Saint-Gatien de Tours

Camille.
Les derniers échos du Credo se répandaient dans la Nef, résonnant jusqu'au choeur et c'est quand tout se fut tu, que Camille prit le texte choisi pour en lire un passage, après s'être un instant perdue dans un regard aquilin.

Citation:



Seconde Méditation de Barnabé


C’était un jour particulièrement ensoleillé. Barnabé marchait sur les routes depuis deux jour. Il arriva à Niort, et sentit l’atmosphère joyeuse. La place et les rues du village fourmillaient de monde, c’était la kermesse ! Une course, opposant tous les hommes forts du village, venait de se terminer, et le vainqueur était plébiscité et adulé par la foule. Les vaincus le portait sur leurs épaules sans amertume aucune. Barnabé fut littéralement happé et entraîné par la foule dans les farandoles qui se mettaient à tourner autour de la place. Quelques heures plus tard, en fin d’après-midi, quand les esprits se sont un peu calmés, Barnabé pris la parole, comme il le fit tant d’autres fois.

Mes amis, je dois dire que cette journée sera inoubliable pour moi, vous ne me connaissiez pas, pourtant, vous m’avez invité à partager votre joie, comme si j’avais toujours habité votre village, mais laissez moi, maintenant, vous conter une histoire :

Citation:
Il était une fois une course de jeunes orphelins, dans un village, dans le sud du royaume.
L'objectif était d'arriver en haut d'une haute colline.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença.
En fait, les gens ne croyaient pas possible que des orphelins, amaigris et chétifs, puissent atteindre la cime, et toutes les interventions que l'on entendait étaient de ce genre :
"Quelle peine, ils n'y arriveront jamais !"

Les enfants commencèrent à se résigner, sauf un qui continua de grimper.
Et les gens continuaient :
"Quelle peine, ils n'y arriveront jamais !"
Et les enfants s'avouèrent vaincus, sauf un, toujours le même, qui continuait à insister.

A la fin, tous se désistèrent, sauf un, qui, seul et avec un énorme effort, rejoignit le haut de la colline. La foule et les autres orphelins voulurent savoir comment il avait fait.
Un homme s'approcha pour le lui demander, et découvrit… …que l’enfant était sourd !


Barnabé s’arrêta et regarda son public rassemblé autour de lui. Certains, intrigués par ce prêche, s’étaient approchés, puis assis autour de l’orateur à la lueur des lampions. Il reprit :

Moralité, n'écoutez pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d'être négatives, car elles volent les meilleurs espoirs de votre cœur !
Rappelez-vous toujours le pouvoir qu'ont les mots que vous entendez ou que vous dites.
Soyez toujours positifs !
Soyez toujours sourd quand quelqu'un vous dit que vous ne pouvez pas réaliser vos rêves.

Il laissa la foule pensive, referma son baluchon, et emporta les quelques fruits que les villageois lui avaient donné.











Ce texte nous montre qu'il ne faut jamais perdre l'espoir et regarder en avant, car c’est l’avenir qui est important. C’est devant nous que se tient l’avenir à construire. Ce que l’on doit construire est forcément en face de nous. Ce qui est derrière est déjà passé et on ne peut plus rien faire pour le changer. Il faut apprendre à ne pas écouter les paroles de ce qui croient bien faire et qui passent leur temps à se lamenter sur le passé, sur les fautes qu’ils ont commises et surtout sur celles que les autres ont commises. Ils insistent sur les conséquences qu’elles peuvent avoir, sur la nécessité du repentir et de changer de sentiments et d’attitude.

Certes, on ne peut ignorer que le passé peut avoir de lourdes conséquences sur le comportement des individus. Le poids de la faute est parfois tel qu’on se refuse à pouvoir envisager de vivre normalement le futur. Il ne suffit pas de vouloir oublier le passé pour que cela se fasse. Nous savons tout cela, c’est pourquoi nous savons que si nous nous confessons et nous repentons, nous recevrons le pardon de tous les péchés sans exception. Le Très Haut se chargera de notre passé pour nous permettre d’avancer vers l’avenir. Il se charge de gérer notre passé et nous rend responsable du futur que nous allons construire.

De tout temps, les hommes ont construit le futur en rivalisant entre eux, si bien que les termes d’amitié et de fraternité que nous retrouvons dans le Livre des Vertus semblent parfaitement obsolètes en matière de projets d’avenir. Ces termes ne semblent pas devoir être retenus par ceux qui font des projets sérieux. La compétitivité et l'affrontement devient l’idée force pour entreprendre des projets porteurs d’avenir.

Il existe cependant une autre manière de voir les choses que nous appelons l’espérance. L’espérance nous demande de refuser de croire que l’avenir sera la répétition du passé avec ses mêmes échecs, ses mêmes contraintes, ses mêmes rivalités, et que les générations futures serons dominées de la même manière que celles du passé par les castes privilégiées de ceux qui sont plus chanceux et plus intelligents que les autres. L’espérance nous invite à croire que l’indifférence au sort des autres ne sera pas toujours la règle générale et que les méchants et les égoïstes ne seront pas toujours les plus nombreux.

L’espérance consiste à croire qu’à force de se déverser sur le monde, l’amour, tel que Iésu nous l’a enseigné, finira bien par triompher. L’espérance consiste à regarder tout ce qui se fait et tout ce qui s’entreprend avec optimisme parce qu’une partie des hommes qui les mettent en œuvre est habitée par l’esprit du Très Haut et que cette puissance du Seigneur qui est en eux finira par influencer ce sur quoi ils agissent.

La présence du Très Haut se voit dans l’acharnement que l’humanité exerce sur elle-même pour résister à toutes les forces mauvaises du Sans Nom qui ne réussissent pas à l’entraîner vers sa perte. Celui qui garde l'espoir sait que les expériences de son passé ne peuvent servir qu’à lui permettre de regarder l’avenir avec intérêt. Il sait aussi, qu’en dépit des apparences, le Très Haut agit au cœur de l’humanité, pour que chaque jour, des hommes se mettent à faire ce qu’il souhaite qu’ils fassent. Le Très Haut s’appuie sur des gens qui construisent leur avenir en mettant en pratique toutes les dimensions des Vertus.


Avant de nous séparer, ceux qui le veulent peuvent venir partager le pain de l'Amitié qui nous unit tous.



Que la paix vous accompagne hors de ces murs et que chacun de vos pas vous guide sur ce chemin de constance dans la Foi du Très Haut. Une bonne journée à vous.
Allez en paix mes enfants en ce dimanche. Et écoutons tous ensemble la chorale de Soeur Tilaige.


Camille descendit les marches de l'autel et vint saluer fidèles et amis, avant de sortir de l'église et que chacun profite de sa journée de repos dominicale.
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--Soeur_tilaige
Soeur Tilaige trottina jusqu'à l'autel avec la chorale des jeunes de la ville. Souriante et pleine d'allant, elle rassura les jeunes chanteurs et les invita à entonner le chant de gaité et d'espoir qu'elle avait choisi pour aujourd'hui.

Camille.
Camille ce matin se leva de très bonne heure. Elle avait longuement songé à son sermon du jour et à la raison de ce dernier. Elle avait passé du temps cette nuit, pour l'écrire, emmitouflée sous la couette, à l'abri de sa vie finalement bien tranquille. Elle savait qu'à sa manière elle servait le Très Haut. Son travail d'ambassadrice lui permettait d'essayer de trouver une issue diplomatique à la Guerre Sainte de Genève. Mais elle restait à l'abri. D'autres sur le terrain luttaient au quotidien, soldats et gens d'Eglise et c'est cette dévotion face au danger qu'elle espérait honorer aujourd'hui.

Les cloches retentirent pour appeler les fidèles, pendant que les portes de l'église s'ouvraient pour les accueillir.




Après avoir ouvert les portes, Camille disparut un instant dans la sacristie pour revêtir ses habits liturgiques qu'elle réservait aux enterrements. Le Pape était décédé et l'Eglise toute entière était en deuil.
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Joachim_
Joachim fut visiblement le premier à arriver. Il resta néanmoins à l'extérieur pour attendre Elyra...
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Elyra
La nuit avait été calme dans l'ensemble sur les remparts et dans les rues de la capitale. Au petit matin, la Chef Maréchal s'était rendue au Castel faire ses rapports... Parce que dans la prévôté ils ne connaissent pas encore le trois en un. Elle était rentrée chez elle pour aller dormir et en s'allongeant deux phrases lui virent en tête... La première : "Enfin fini..." la seconde... "Zut la messe !!!"

La blonde s'était relevée d'un bond à moitié en râlant parce qu'elle n'avait qu'une envie qui était de dormir. Elle se dressa face à son miroir se demandant quelle tête elle pouvait avoir et se mit à rire face à son reflet. *Et bien j'ai la tête d'une fille qui a passé la nuit dehors !* Ce qui était effectivement le cas d'ailleurs. Certaines de ses mèches tentaient de s'échapper de sa tresse. Elyra eut tout juste le temps de la défaire et de s'attacher les cheveux en queue de cheval pour changer de ses habitudes, avant de voir sur le cadrant qu'il lui restait un peu de temps pour se changer. Une robe serait toujours mieux que ce qu'elle portait lors de ses gardes.

Une fois prête elle fila à l'église. A l'approche du parvis la blonde sourit en reconnaissant qui l'attendait. Doucement elle s'avança jusqu'à lui et posa ses mains sur sa nuque, pour l'embrasser tendrement. Elle était contente comme à chaque fois qu'elle savait qu'elle l'aurait près d'elle un instant. Elle ne dit pas un mot, seule sa présence importait.

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Camille.
Camille accueillit chacun en prenant son temps, serrant les mains. Quand la plupart des gens furent entrés, elle prit le temps de remonter la nef pour aller s'installer derrière l'autel et replacer avec soin les éléments destinés à cette messe. Elle alluma un cierge et déclara calmement pour amener chacun à faire silence en ce début de messe.

Bonjour à tous, vous êtes entrés dans la Maison du Seigneur. Asseyez vous et prenez place, je vous en prie. Avant de commencer l'office, je vous invite à vous excuser de vos fautes. Demandons à notre Créateur de nous pardonner notre inconduite.



C'est en reconnaissant nos péchés, les confessant et en demandant pardon que nous professons notre foi déclamée dans le Credo.


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Joachim_
Je supplie à tous les saints et à vous, mes amis de prier Dieu pour moi.
Que le très haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Je confèsse à Dieu tout puissant; à tous les saint, et à toi, mon amie parceque j'ai péché en pensé et en action.

En action pour avoir fait ce que je pensais devoir faire avant de faire ce que je pensais.
En pensé pour la haine que recevait un homme pour ses actions alors que je devrais prier pour son salut.
Quand à mes paroles, elle n'ont jamais été prononcées sans vérité.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Camille.
Camille s'approcha du Livre des Vertus puis soudain changeant d'idée, elle passa devant l'autel et vint parler au plus près des présents.

Aujourd'hui, je voudrais vous réciter une prière particulière.

Citation:



Prière à Sainte Raphaëlle Archange

Ô Dieu !
Toi en Qui je crois,
Toi qui guides mes pas,
Donne-moi la force de professer la grandeur de Ton Nom
Ainsi que l'amour et l'adoration que j'y porte.
Envoie-moi Ton Archange, Raphaëlle, pour qu'elle chemine à mes côtés,
Que je ne sois plus seul face à l'ennemi de ma foi et de ma conviction.
Que mes actes obéissent à mon cœur et que même ma main gauche suive les commandements de ma droite.
Que mon cœur te craigne.
Et que j'annonce Ton Saint Nom.
Dieu, daigne lever ta main, que Raphaëlle descende et me vienne en aide.
Ainsi soit-il !


Le sacrifice est un don de soi sans mesure pour que le prochain profite et que l'humanité gagne en stature. C'est une voie restreinte qu'emprunte une minorité, une élite dévouée car c'est du sacrifice et le sacrifice est une endurance, austère et appréhensive. Le sacrifice, ce sont des actes concrets, c'est une pratique continue de jour comme de nuit, ici comme ailleurs, pour tous.

Le sacrifice est un acte de conscience, c'est un choix, une oeuvre pensée et volontaire. C'est une vision de l'esprit, une oeuvre construite de l'âme, un acte noble du corps. C'est la manifestation visible de la Vertu. Le sacrifice, c'est que je me dépense pour toi et que tu te dépenses pour l'autre, et cela sans attendre rien en retour.

Le sacrifice, c'est que je m'efface pour laisser luire ma communauté; c'est que je coïncide mes intérêts à ceux de la communauté. Le sacrifice est une lumière qui brille à l'horizon ; c'est un long chemin étroit, poussiéreux, épineux et sinueux. Le sacrifice est un idéal, c'est un rêve. Le sacrifice est une foi.

Certains diront que ces mots sont vain et que personne ne les suit mais cette semaine, j'ai eu l'illustration de ce don de soi de la part de notre curé de Loches. Dame Lladrane a été battue à mort par une armée helvète en allant ravitailler des hommes des Saintes Armées. Elle n'a pas participé à un assaut, juste aider des soldats affamés à ne pas mourir de faim et défendre notre Eglise.

Nous ne sommes pas tous aptes à agir ainsi et chacun de nous en cultivant ses champs et permettant aux provinces de vivre et de pouvoir fournir de quoi ravitailler les soldats participe à sa manière.

Si certains veulent soutenir plus directement les tourangeaux sur place, je ne vous demanderai pas de l'argent ou des biens, mais une chose plus simple et pourtant plus importante : des mots. Prenez un peu de votre temps et écrivez à ces tourangeaux pour leur montrer que nous sommes là, auprès d'eux par la pensée, que nous les soutenons, pensons à eux. Prenez un vélin et écrivez leur :

    anna295
    Karl de Hasselt dict karl06
    larkham
    lladrane
    Rhiana de Hasselt dict Rhiana
    sampieru_corsu
    superplus



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Camille.
Camille regarda les fidèles et chercha à voir l'effet qu'elle avait produit dans l'assistance, sans toutefois parvenir à le percevoir...

Après quelques instants, la diaconesse se déplaça le long de l'autel pour aller prendre une grosse miche de pain et le vin de messe.

Elle saisit une coupe et la remplit avec le vin, humant au passage l'odeur qu'il dégageait afin de ne pas empoisonner les fidèles s'il était bouchonné...

Camille revint alors se placer face à l'assistance et déclara :


Mes chers fidèles, rejoignez-moi maintenant pour que nous puissions communier ensemble.
Partageons le pain et le vin, symboles de l'amitié et de la fraternité aristotélicienne !




Camille attendit que chaque fidèle vienne chercher un morceau de pain et boire une gorgée de vin.
Elle découpa le pain avec ses mains et tendit un morceau au premier venu...

Après avoir accueilli les fidèles pour communier, Camille reposa le pain et la coupe de vin sur l'autel.


Que la paix vous accompagne hors de ces murs et que chacun de vos pas vous guide dans la Foi du Très Haut. Une bonne journée à vous.
Allez en paix mes enfants en ce dimanche. Et écoutons tous ensemble la chorale de Soeur Tilaige.


Camille descendit les marches de l'autel et vint saluer fidèles et amis, avant de sortir de l'église et que chacun profite de sa journée de repos dominicale.
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--Soeur_tilaige


Soeur Tilaige s'avança pour diriger la chorale du jour sur un chant de grâce envers le message de guide sur le chemin de la Foi.

Minlawa


Petite pencarte sans prétention, sauf celle d'enseigner la vertu aux Hommes.

Il se demandait si Camille allait toujours. Regardant en direction du chateau afin de voir si cela allait aussi dans ce chateau.

Chose étrange pour le Vicaire Général, il était tot. Et pourtant il n'avait pas froid. Alors il pénétra l'église, par une petite porte de coté.
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Camille.
Camille s'était levée de bonne heure ce matin là car elle avait deux projets en cours d'importance et voulait passer les voir avant de se rendre à l'église célébrer la messe. Elle s'habilla donc avec entrain, avala un en cas léger, prit quelques abricots et traversant la cour du domaine, elle se dirigea vers la Grande Métairie qui n'était plus utilisée depuis quelques années déjà. Pourtant en ce matin encore frais, l'activité était déjà débordante, on livrait des lits par dizaine. Camille s'approcha du contremaitre qui l'accueillit avec un grand sourire. Tout prenait forme et les locaux seraient bientôt opérationnels pour accueillir les petits. Ravie de la nouvelle, Camille le remercia, puis montant sur Tempête, elle descendit vers Tours, profitant de l'air frais du matin.

Arrivée sur place, la diaconesse s'arrêta un moment à l'ancien cloitre près de la cathédrale afin de savoir comment avançait son second projet. Entrant dans les lieux, elle constata que l'herboriste avait livré une partie des plantes demandées pour le dispensaire et elle nota dans son esprit de voir avec Boudicca si d'autres plantes seraient nécessaires. Là aussi le projet avançait peu à peu et se présentait sous de bons hospices.

Ravie de tout ceci, elle rejoignit l'église et demanda au petit Jean de filer sonner les cloches, l'heure de la messe approchait. Les cloches retentirent pour appeler les fidèles, pendant que les portes de l'église s'ouvraient pour les accueillir.




Après avoir ouvert les portes, Camille disparut un instant dans la sacristie pour revêtir ses habits liturgiques et préparer pain et vin pour l'office, puis rejoignit le parvis pour accueillir les fidèles.
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Kalissa
Kalissa s'était levée assez tôt pour s'occuper de tout avant de se rendre a la messe. Elle avait peu dormi a cause du petit dernier qui n'était pas bien durant la nuit et on pouvait voir la fatigue se lire sur son visage. Elle profita que les petits dormaient pour prendre un bon bain, de s'occuper un peu d'elle-meme puis de se vêtir pour la messe.Une fois les enfants réveillés, elle fit pareil avec eux et vérifia bien que Keiji n'avait pas de fièvre puis prendre un bon petit déjeuner avant que tout ce petit monde se mettent en route pour l'église.

Après avoir marché en ville, ils arrivèrent a l'église et y entrèrent. Kalissa fit le signe de croix puis alla s'assoir.

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£Au delà des cieux, tu nous guide£
Guiizmoo_x
Guiizmoo_x qui se baladait dans la ville, car elle savait pertinament que les tavernes serait vide, décida de se dégourdir les jambes..
Quand elle entendit les cloches de l'église résonner, un sourire se dessina sur les lèvre de la jolie brune..
Elle se dirigea alors vers l'Eglise, doucement, sans se presser, pour une fois d'ailleurs..
Elle profitais de l'air frais, normalement un soleil aurait sièger dans un beau ciel bleu, pour rappeller le printemps..
Mais pas aujourd'hui, un ciel assez brumeux orné de gros nuages,..
Une ambiance peu gaie !
Guiiz, peu habituée a ce genre de température, s'enroula dans sa cape.
Quand elle arriva devant les portes de l'Eglise, elle s'arrêta un instant..
Puis avant d'aller prendre place elle fit un signe se croix.
Dans un grand silence, peu commun à son habitude, elle partit s'assoeir..
Attendant bien sagement le début

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Camille.
Camille accueillit avec un sourire spécial Kalissa qui venait de finir sa pastorale et devrait bientôt pouvoir être baptisée, ainsi que Guiizmoo arrivée depuis peu à Tours et qui mettait de l'animation en ville par son allant si particulier. Remontant ensuite la nef en saluant chacun, elle se plaça derrière l'autel et s'adressa à tous.

Mes frères, mes sœurs, mes amis

J’espère que vous avez passé une très bonne semaine. Je sais que vous avez chercher à donné le meilleur de vous-même dans chacun de vos gestes, dans chacune de vos paroles.
Mais n’étant pas parfait comme le Tout Puissant, nous avons tous et toutes commis des péchés durant cette semaine c’est pourquoi je vous invite à vous excuser des ses fautes. Demandons à notre Créateur de nous pardonner notre inconduite.


Citation:



Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.

Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.



Camille se plaça derrière l’autel et poursuivit son office.

Le Tout Puissant nous a pardonné car il nous aime et nous nous devons de l’aimer en retour. Je vous rappel que sans Lui, nous n’existerions pas. Il nous a créés alors que rien ne lui obligeait et nous nous devons de l’aimer pour Le remercier de ce geste.
C’est pour cela que nous allons chanter ces louanges et remercier également Christos et Aristote.



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