[RP] le long de la Sarthe...

Belle riviére insouciante ,
Au creux de son lit
Calme trompeur, de l'eau dormante
J'écoute son clapotis
Je l'observe obsédé
Elle m'appelle m'invite
Je m'y rends possédé
Et m'y plonge hypocrite
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Il se plaisait a se promener ainsi accompagné d'elle ,
il aimer respirer l'air frais ,et a regarder l'eau s’écouler.

- Oh regarde : les premières primevères!

Il regarda les plantes qui s’épanouissaient doucement, un sourire parcourut ses lèvres et il embrassa tendrement son amour,

J'ai hâte que le printemps se montre...
que tout soit fleurit

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Avez-vous déjà marché de nuit? Avez-vous déjà tenté de dormir dans une étable, faute de sommeil, un bout de paille vous gratouillant le bas du dos ou encore vous chatouillant le bout de votre nez en trompette? Avez-vous déjà... Ne nous égarons guère en rouspétances inutiles. Résumons plutôt! L'ex mairesse de Montmirail était fatiguée. Point tant physiquement. La paysanne avait marché toute la nuit certes mais elle était surtout las. Le creux sous ses mirettes émeraudes se creusait de plus en plus. Sa tignasse claire perdait comme de la dorure. Ses joues pâles perdaient de la couleur de jour en jour. Kaelig se nourrissait mais elle n'avait goût à rien. Ses papilles sentimentales étaient endormies, mises sur pause... à jamais?

La légumière était arrivée aux aurores aux abords de la capitale mainoise. Un léger signe de tête à son collègue de parti douanier et la voilà pour la première fois à poser ses paluches sur ce sol prestigieux. Un clin d'oeil orangé, une main posée sur sa claymore, une mirette toise la ville. Il est encore tôt pour espérer l'agitation du marché, les odeurs des différents encens des échanges ainsi que le tintement des écus. Un léger sourire étire les ridules de son visage. Le champ de blé traverse le calme avant la tempête. De minuscules pierres craquent de temps à autre sous la semelle de ses bottes au cuir de qualité. De la poussière s'y pose. Les mirettes de la blonde regarde le chemin se dérober sous ses paluches, comme hypnotisée de l'avancement de sa marche. Elle ne voit que le moment présent. Un pas à la fois. La jeune femme aime cet état d'esprit puisque c'est le sien depuis quelques jours.

Un bruit d'eau parvient à ses esgourdes. Un vent de fraîcheur fouette l'air ambiant alors que des oiseaux s’ébouriffent le plumage de quelques gouttelettes éclatantes. Sieur le Soleil tente de se mettre debout sur ses gambettes lumineuses alors que les bestiaux sifflotent de plus belle et que l'écoulement liquide apaisant se fortifie. La charpentière pose son popotin sur l'herbe rosée du matin. Elle est légèrement mouillée. La blondinette s'en fiche éperdument, c'est sa cape vert épine qui empoche tout. Dans son sac, les fioles de calva et d'hypocras glissent sur le sol. Incitation divine? Incitation tout court! Une main fine et agile empoigne une des deux bouteilles. A la carotte la chance. C'est celle de calva. Une gorgée, une grimace. Une deuxième gorgée, un sourire vague. Une troisième gorgée, une tête qui tourne de fatigue. Une quatrième, une pensée pour un homme. Une cinquième, une chevelure d'or fade glisse dans un sommeil sans pensées, les bras écartés sur le sol, la capuche en guise d'oreiller moelleux.

Deux heures se sont écoulées? Trois? Deux minutes? Aucune notion du temps lorsque deux mirettes vertes s'écartent doucement. Toutefois, Sieur le Lumineux est un magnifique point de repère. Il semble être à son apogée. Il est temps de quitter ce champ herbeux sur le point de fleurir. Les bourgeons sont prometteurs. Kaelig se lève, regroupe ses affaires dans sa besace et secoue la caboche afin de mettre en ordre ses pensées encore endormies.

Les remparts glissent sous son regard, les souvenirs passés aussi. Il semble vide, éteint. Ces quatre derniers mois défilent comme ses pas. La paysanne prend son pied pour envoyer valser la lambada à un caillou lui barrant le chemin. Si petit en soi et pourtant tant d'efforts. Un brouhaha humain parvient jusqu'à elle. Une bâtisse religieuse au loin, la place du marché est face à elle. La blonde ne connaît pas du tout les lieux. Un vendeur de légumes crient les écus, cherchant à faire des affaires face à son voisin boucher qui semble plus compétent que lui. Son regard lui balance des poireaux alors qu'un couple achète une pesée de pommes rouges écarlates. Des pommes?! Une main dans la besace et voilà que la montmiraillaise troque quelques piécettes brillantes pour trois fruits défendus. Elle ferme les émeraudes en croquant dans la seconde fraîcheur de la journée. Lorsqu'elle les ouvre, elle croit apercevoir son diacre au loin. Subrepticement, la paysanne écarte la pomme de ses lèvres rosées. Est-elle empoisonnée? Elle regarde le fruit avec un regard de chouette, puis au loin une nouvelle fois. Personne de reconnaissable. Étrange. Si elle croque une nouvelle fois, peut-être B. lui reviendra-t-elle?


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Sur le chemin entre la ville et la caserne, la brune se mit à flâner. Elle marchait doucement sur le chemin de terre, regardant la campagne qui fleurissait. Les couleurs étaient magnifiques : les mimosas flamboyaient de leur jaune d'or, les cerisiers n'étaient que boules roses, les aubépines donnaient une touche de blanc rappelant les quelques moutons dansant mollement dans le ciel bleu. Les oiseaux de printemps dansaient eux aussi, annonçant les beaux jours.

Observant la naissance de quelques fleurs dans les prés, elle ne s'aperçut pas qu'elle avait déjà dépasser la caserne. Ce n'est qu'en se retrouvant devant le pont de la route de Montmirail qu'elle en prit conscience.
Elle ne put s'empêcher de relever la tête pour apercevoir le manoir. Son regard s'assombrit, son cœur aussi. Il allait bien falloir qu'elle aille voir. Elle ne pouvait se résoudre à le laisser enfermer là-bas, à l'orée du bois. Il n'avait même pas chercher à avoir des nouvelles de son fils... cela la désolait plus que tout. Il ne pouvait pas l'abandonner, lui! Qu'il lui en veuille à elle, elle comprenait parfaitement, mais à Danton...

Elle soupira, tentant de chasser quelques larmes qui lui venaient aux bord des yeux, puis bifurqua vers la droite, coupant à travers champ. Rien de mieux qu'un passage à leur endroit pour se sentir mieux. Ça et ses bras, mais comme il n'était pas là...
Elle rejoint bien vite un petit sentier longeant la Sarthe et se reprit à rêver.
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Que sont les rêveries d'une brune?
Eh bien aussi mainoise qu'elle puisse être : la plage bretonne. L'eau s'écoulant sur les galets du lit de la rivière lui rappelait le bruit des vagues. Le vent dans les branches des arbres lui rappelait le bruit du vent dans les oyats. Mais la chaleur du sable sous ses pieds, voilà ce qu'il lui manquait et c'est bien de cela dont elle rêvassait.
Et puis sa rêverie la transporta sur le pont d'un bateau encore à quai...

hey Eno !

Baissant les yeux elle voyait son homme avec un enfant dans les bras, un autre qu'il tenait par la main et qui lui faisaient coucou...

Hein???

Elle secoua la tête et se réveilla. Et c'est bien son roux qui se tenait devant elle, haletant.

- Oh! Zuto!

Un grand sourire éclaire son visage.

- Mais que fais-tu là?
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Bah toi que fais tu là !

Elle n'eut pas le temps de répondre qu'il la prit par le cou pour l'embrasser. Comme elle aimait ses baisers... Elle souhaitait à chaque fois qu'ils durent une éternité.
Elle revint sur terre quand il la lâcha et lui sortit une marguerite.

tiens mon coeur c'est pour toi

- Ohhhh!!! Merci...

Elle lui offrit l'un de ses plus beaux sourires et prit délicatement la fleur qu'il lui tendait pour la glisser à sa boutonnière.

- Ah tu allais me chercher? ben moi je me promène... En fait je me dirigeais vers la caserne, mais le beau temps me fait rêvasser, du coup j'ai dépasser la caserne sans m'en rendre compte et puisque j'étais là, ben... je me suis dit que j'allais aller m'allonger auprès de notre rocher.
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Elle se laissa entrainer vers leur petit coin à eux.
Après un petit moment allongés dans l'herbe à ses côtés, encore un truc à eux ça, elle le vit à nouveau fouiller dans sa besace. La brunette se demanda ce qu'il en sortirait cette fois, ce qui lui fit penser à autre chose. Elle avait remarqué son regard l'autre soir, sur le portrait qu'elle avait sorti de sa besace, alors qu'elle y cherchait désespérément l'ingrédient mystère de sa soupe. Elle lui en reparlerait plus tard.

Je l'ai trouvé tout à l'heure elle était dans le coin.

Il lui montra un anneau semblant fait d'argent. Le bijou brillait, cela ne devait pas faire longtemps qu'il avait été perdu.

- Oh! Étrange de perdre un tel bijou. C'est peut être une alliance tu sais! Y a-t-il une inscription quelconque?
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ya quelque chose mais je n'y vois rien moi , regarde toi.

Elle le regarde lui tendre l'anneau en plissant des yeux. Était-ce du lard ou du cochon? Réel soucis de vue ou... juste envie de l'embêter?

- Comment ça tu n'y vois rien?

Elle soutient un regard qui passe du scepticisme à l'inquiétude avant de prendre le bijou de mauvaise grâce. Pfff, elle avait un peu la flemme ce matin. L'envie lui manquait de faire des efforts. Elle fit tourner l'anneau d'argent un moment entre ces doigts et l'intrigue repris le dessus.
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Il la regardât jouer avec l'anneau , avant de laregarder ,
Il avait hâte de savoir à qui il appartenait , peut être connaissait t'il la personne .
de gros nuages se faisait sentir cachant le soleil pour de courte seconde
le soleil quand à lui se faisait de plus en plus bas .
La brune poussât sa curiosité à bout.
Il avait eu même le temps de s'imaginer des scénarios
Le jeunâtre qui c’était disputé avec ça bien aimé et sur la colère l'avait jeté,
Un amour perdu d'un femme décédé passant à autre chose l'homme deposat l'anneau , ou,
tout simplement l'homme faisait une foulée perdit l'anneau et le soir se pris une rouste par sa femme
la dernière hypothèse le fit rire

Puis il écouta Eno qui se décidât :

-"Ho karan a greiz kalon - Méline"

L'avait pas tout compris le roux enfin bon il passat vite à la question qui suivait

- Où as-tu trouvé cet anneau?

Je l'ai trouvé là bas dans l'herbe

Il montra la direction d'ou il avait trouvé l'anneau du bout du doigt
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Il la suivait de derrière regardant ou elle regardait , fouillant mais pourquoi fouillé ?
Il balayait de ses mains l'herbe humide , rien par ici rien par là,
faisait le tour des arbres regardant un peu partout il se demandait ,
ce qu'ils cherchaient .
la Nuit tomberais dans quelque heure , bientôt les recherches tomberaient à l'eau , en parlant d'eau , il vit Eno l'appelant , il alla dans sa direction , ses pieds frotté le sol tels un râteau à la recherche d'indice.

Quand il relava la tête , Il vit sa compagne lui montrant un vélin dans un ruban et il la vit dans l'eau oui !
mais non c’était pas encore le cas il se précipita pour lui attraper le bras avant qui ne soit trop tard .
il l'attrapa de justesse , Il ronchonna .

fait attention !! prend le ce vélin maintenant
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Elle lui retomba lourdement dessus , Bah oui il c’était fait le plus mou possible pour amortir ça chute. il voulait pas qui lui arrive quelque chose elle tombait déjà assez comme ça .reprenant son souffle soulagé de la voir plutôt sur lui que dans l'eau , lui aussi d’ailleurs il avait manqué de glisser sur une roche lisse .


Il la regardât s’asseoir et examiner le vélin, puis elle lui tendit.

- Dis moi, avec la mairie tu dois avoir l'habitude des lettres cachetées toi, avec la mairie, tu reconnais celui-ci?
J'arrive même pas à voir ce qu'il représente...

il prit le vélin le plaçant au dessus de sa tête toujours allongé on pouvait voir une barre d'ombre lui faisant office de lunette .
Roooh difficile à dire cela ,d'ou qui venait se sceaux, il les connaissait pas tous sur le bout des doigt , l'avait juste eu l'occasion d'en voir quelques un , après un moment de réflexion , quelques indices le mirent sur la voie .

Je dirais qui viens de Bretagne après aucune idée d' ou de qui hein , ouvre le .

il envoya doucement le vélin sur les genoux de la brune, et se retourna dans sa direction , l'herbe lui chatouillant le nez
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Wu savait qu'il y avait une rivière.

Même pas rasé depuis un moment, sentant le poisson, il vint la voir de bon matin..

Il la regarda longuement quand on lui toucha l'épaule.

Il se retourna et vit Chabon, le visage et la barbe crasseuse, les habits déchirés, les mains pleines de pansements, puant la transpiration. un panier à la main avec des œufs dedans.
Wu sourit.

Chabon ? vous n'avez pas rejoint Clematine ?

Non, je resterai avec vous, si vous voulez encore de moi, d'ailleurs, je vous ai apporté des œufs.

Ah Chabon, bien sûr que je vous accepte ! Des œufs ? Comme c'est gentil ! J'ai envie de vous serrez dans mes bras...

Il le serra dans ses bras, puis prit le panier.

Vous êtes dans un état, je croyais que vous étiez plus distingué.

Balivernes !

Wu rit puis tout deux partirent vers la ville.

En rentrant chez eux, après les quelques formalités du jour, Enora avait trouvé un petit mot de Zuto sur la table, lui enjoignant de la retrouver à leur endroit à eux, au bord de la Sarthe.
Elle sourit, se demandant ce qu'il lui réservait. Il avait toujours de bonnes idées, et la perspective de passer un peut de temps avec lui n'était pas désagréable, bien au contraire. Elle en avait besoin, ils ne s'étaient vu qu'en pointillé ces derniers jours, et les soucis de famille lui prenaient aussi pas mal de temps. Si elle pouvait oublier tout ça pendant quelques temps...

Elle prit la tare aux pommes que sa chère Mariotte avait cuite dans l'après-midi, et partit rejoindre son homme à l'endroit convenu, panier au bras.
Coupant à travers champs, elle suivit la rivière jusqu'à l'apercevoir, assis sur un rocher. Elle sourit et lui fit un signe de la main.

Elle posa le panier à terre et alla directement l'embrasser.

- Oh, mon Zuto, quelle bonne idée tu as eu de me faire venir ici...
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Il lui rendit son baiser, puis lui tendit un brin de muguet accompagné d'un coquelicot, sans doute le premier de la saison. Elle sourit, il avait toujours de charmantes attentions...

- Oh... mon Zuto! Merci, elles sont magnifiques, ces fleurs. Et...

Elle huma le parfum envoutant du muguet.

- Hmmm! quelle odeur!!! J'adore autant que le lilas ou le chèvrefeuille!!!

Elle s'assoit sur l'herbe et sort la tarte du panier.

- As-tu un coutelas pour trancher cette tarte?
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- Parfait!

Elle prit le petit couteau et servit deux belle parts. Elle lui en tendit une, puis préleva un brin des petites clochettes et le passa à sa boutonnière avant de croquer dans sa part.

Puis, elle s'étendit dans l'herbe pour couter le chuintement de l'eau, la tête sur les genoux de Zuto, une main sur son ventre, le regard plongé dans ses yeux.
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Cela faisait un moment qu'il n’était pas revenue à l'endroit tant aimé , il faisait beau aujourd'hui et il avait besoin de s'occuper les mains , le roux pensa pourquoi ne pas aller à la pêche rien de mieux pour se détendre au calme , une chose il n'avait pas de canne ...
il n'allait pas se laisser abattre un beau bâton et un bout de ficelle complété par un bout de métal légèrement incurvé en pointe , il fabriqua une belle canne prête à l'usage pas sur qu'elle marche mais la canne ne fait pas le pêcheur !

Longeant des lors la rivière la canne sur l'épaule il s’arrêta à un endroit qui lui semblait tout à fait propice à cette activité .
il installa son petit seaux fait de ce matin il mettrai le poisson dedans pour peu qu'il en attrape , dernière vérification de la canne est .. pas de d’appât.
il savait bien qu'il avait oublié quelque chose .
il s'assit réfléchit quand un vrombissement lui caressa l'oreille,
un mouche l’appât qu'il lui fallait !
Se levant d'un bon la tête bougeant dans tout les sens pour suite la trajectoire de l'insecte volant , il retire prestement son mantel sans servant comme d'un fouet afin de venir percuté la mouche .
c'est après plusieurs essai qu'il parvint à la toucher , il accourt et l'écrase légèrement e sa botte pour éviter qu'elle reparte ; Voilà l’appât en place il retourne au bord de l'eau et lance la canne et....

Encore un détail la ligne flotte l’appât aussi , il avait également oublier le poids .. mais qu'elle pêcheur du dimanche , il sort la canne un regard d'horizon , il s'avance vers le bord et attrape un cailloux celui ci fera l'affaire , il l'accroche solidement à l'aide du fil tout est pret plus qu'a se détendre il lance dans un nouvelle essai la canne tout se passe bien cette fois si , Il s'assoit ça risque surement d'être long ..
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