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[RP] Salle des fêtes du Mans

Shaomye
Tout en détaillant avec curiosité les costumes des uns et des autres, se demandant qui se cachait derriere quoi, la Lutine revenait régulierement à son compagnon, le dévorant du regard. Il était, à son avis, le charme meme, ainsi vétu. Et le fait qu'il ait accepté de venir, pour elle, la touchait énormément. Si elle ne lui avait déja offert son coeur, elle l'aurait probablement fait ce soir là.
Ils se dirigerent ensemble vers le buffet. Au passage, Shaomye observait les différents présents, s'amusant ici d'un couple qui virevoltait, plus loin d'un loup peut etre affamé.
Comme un nouveau morceau débutait, elle offrit à son compagnon une grande reverence


M'accorderez vous cette danse, seigneur et ami de mon coeur?
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Ne reveillez pas le chat qui dort!

Eymerick
Direction donc le buffet où certains affamés ou assoiffés, voir les deux en même temps s'agglutinaient déjà. Le Vicomte saluait les personnes croisées d'un léger signe de tête. Il y en a qui faisait peur à voir tout de même. Il en ferait faire des cauchemars aux enfants.

Il regarda sa compagne d'un air légèrement surprit lorsque celle-ci lui fit une grande révérence puis sourit doucement à la demande.


Bien volontiers charmante demoiselle qui hante mes pensées.


Il lui sourit tendrement, avant de lui prendre délicatement la main est de l'emmener sur la piste de danse, prêt à la faire virevolter.

Main dans la sienne, bras entourant sa taille, proches l'un de l'autre, et voilà le Vicomte qui mène le pas au rythme de la musique jouée.

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Shaomye
Un sourire reveuse flotta quelques secondes sur les levres de la Lutine.
Elle abandonna volontiers sa petite main à celle de son compagnon, se rapprocha un peu de lui quand il ouvrit la danse, et se laissa entrainer.
Virevoltant au rythme de la musique joyeuse, elle eut vite le souffle coupé. En meme temps rarement elle avait autant apprécié une danse.
Posant sa joue contre l'épaule d'Eymerick, tout près de son coeur, elle murmura, juste assez fort pour etre entendue de lui seul malgré les couples qui tournaient autour d'eux


T'aimi herà, mon amour
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Ne reveillez pas le chat qui dort!

--Syssy



Un doux moment s'écoule, où elle bois doucement son verre de vin en ne le quittant pas des yeux.
Puis se tournant vers le buffet, elle réfléchit un instant devant la profusions de plats de tout genre, hésitant quand à son choix. Elle finit par jeter son dévolu sur 'une petite tartine de rillettes, et lui propose de croquer dedans.

- Voulez-vous partager ma tartine?A moins que vous ne préfèriez une part de tarte aux pommes? A défaut d'une miche... Rajoute-t-elle tout bas avec un sourire aux coin des lèvres.

Mais bien vite, trop vite, après avoir fini son verre et lui avoir offert un sourire taquin, voilà que les musiciens l'appelaient à nouveau.

La brunette s'en va bien vite, plantant là le fou bleu et la tartine de rillettes, et se perd parmi les convives tous portant des costumes plus étranges, chatoyants et magnifiques, les uns que les autres.
Elle reconnu même quelques paires d'yeux au passage, auxquels elle offrit un beau sourire, sans se demander si eux la reconnaitraient.

Arrivée auprès des troubadours, elle suivit leur rythme dans une danse joyeuse et sautillante.
--Don_pascual
Les couples virevoltent dans un ballet entrainé par une musique gaie et rythmée.

Le tzigane emenne --Lola en vrilles vertigineuses, marquant le tempo du talon de ses bottes, son regard noir et fier planté dans le sien.

Elle est légère la Damoiselle, souriante à souhait et les joues légèrement empourprées. Elle danse semblant heureuse, dévoilant des traits de bonheur qu'il ne lui à jamais connu.

Il étais déjà loin le temps, ou au retour d'une escorte d'un Ambassadeur Breton, il l'avait croisé dans une taverne de Limoges.

De ce jour il se rappelait avoir été intrigué par la petite Occitane, qui lui avait parlé timide mais déjà avec la prestance, l'orgueil et la droiture d'une Damoiselle... Elle avait alors 16 ou 17 printemps peut être...

Puis ce voyage, ou chaque jours elle s'ouvrait un peu plus à lui, semblant placer en lui une confiance sans borne. Puis le retour...

Traversée de l'Anjou... Puis Laval ou il lui avait présenté quelques amis. Elle y étais resté.

Lui...il étais reparti.

Ce soir elle dansait belle et fière d'être, tout simplement.

Lors de la fin d'une danse il l'entraina vers le buffet. Sa main était dans la sienne, et comme celà lui plaisait de sentir ce contact tendre et chaud.

J'aie grand soif!

M'accompagnerez vous d'une coupe de vin "mi guapa caballera"?
Lui dit il lui tendant une coupe en lui souriant...
--Lola_
La fête était réussie. Enora pouvait être fière d'elle. Comme toujours elle avait mis tout son coeur pour que tout soit parfait.

Les danseurs s'en donnaient à coeur joie sur la musique entrainante. Les costumes chatoyants et originaux se croisaient et tournoyaient joyeusement et les rires fusaient un peu partout.

Quand il prit ma main pour m'entrainer dans la danse je posais mon tambourin et le suivit avec un plaisir non dissimulé. Fière d'être à son bras.

Mon beau Tzigane était infatigable et m'entrainait sur les rythmes endiablés, les danses se succédant les unes après les autres, je ne sentais plus mes pieds et me maudissais de les avoirs laissé nus. Mais pour rien au monde je n'aurais demandé grâce.

Quand à la fin d'une danse il osa garder ma main dans la sienne pour m'entrainer au buffet et qu' il me proposa une verre de vin, c'est avec un double plaisir que j'acceptais.

Je pris le verre qu'il me tendait et le levait vers lui affichant un sourire radieux, j'inclinais légèrement la tête pour le remercier.


A mi bello gitano!! que el baile no se paré!!
Wu
Wu qui se baladait ouvrit une porte d'où sortait de la musique.

Il ouvrit la porte.

Il vit du monde danser, manger, rire, boire et surtout tout le monde était déguisé....

Il referma la porte.


Opération de Secours !

Il fouilla dans son sac et trouva une fausse barbe il l'accrocha.

Ensuite, il alla acheter à un étal en face un grand voile bleu.

Il le revêtit, ce qui lui couvrait tout le corps et lui cachait le visage !

Il prit un grand bâton bien dure.

Il prit un air vieillard s'appuyant sur son bâton et entra discrètement.

Il s'assied sur une chaise et regarda tous les danseurs.
Loulilidy
Un p'tit tour par ici, un p'tit tour par là ...

La jeune femme aux cheveux de feu cherchait de quoi s'occuper et passant devant une salle des fêtes ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil , elle qui avait fait si longtemps toutes les animations dans son village voulait voir comment les gens s'amusaient par ici ...

Elle pénétra discrètement et vit que tout le monde était costumé .


Oh ! un bal costumé !!!! Heureusement j'ai ce qu'il faut .

Ni une , ni deux voilà Louli qui court à l'auberge où elle a laissé sa malle et ouvrant le couvercle cherche au milieu de ses froufrous et dentelles son costume de carnaval ...

Le voilà ! Un peu froissé par le voyage mais une fois sur moi ça ne se verra plus .

En plus je dois prévenir Darcos , lui qui adore ma jupette ..
.

Elle souriait tout en s'habillant , songeant à son doux amour ...

Fin prête elle s'élance en direction de la grande salle .

Des gens sortent , d'autres arrivent ... Elle se fond au milieu des arrivants pénétrant sans trop se faire remarquer .

Elle ne connait pas grand monde ici , même si certains l'ont croisé aujourd'hui en taverne , elle doute un peu qu'on la reconnaisse accoutrée ainsi .




_________________
--Syssy



La salle avait commencé à désemplir, certains convives étant repartis vers leurs pénates, occupations ou vers d'autres horizons, parois au grand désespoir de la brune. Néanmoins la musique elle continuait et il y avait encore des danseurs et gourmands à tournoyer sur la piste ou autour du buffet.
Elle-même avait dû se résoudre à enlever ses petites chausses les pieds commençant à la faire souffrir.

Elle sourit à une dame... enfin elle pensait que la personne était dame... entrer, joliment déguisée en... sorcière! Elle évita de lever un sourcil, après tout, c'était carnaval, tout était permis!
Et puis, cela lui faisait plaisir de voir le succès de ce bal costumé, même après bien des heures!

Elle fouilla la petite foule du regard, le cherchant, lui, son grand fou. Un instant son cœur se serra en pensant qu'il était peut être rentré chez lui...
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