Coyotte
(Rp ouvert évidemment. JD Yliade, ne te retiens pas )
[Dans la maison de sa belle]
Des piaulements insupportables réveillèrent le brun. Ses yeux s'ouvrirent avec difficulté et il resta allongé dans le lit de longues minutes.
La nuit avait été si courte. Ou du moins c'était l'impression qu'il en avait. Il toussait de plus en plus fréquemment, c'était douloureux et cela l'avait empêché de dormir. Doucement, il massa son torse. C'était de là que la douleur irradiait. Pourquoi avait-il fallu qu'il tombe à nouveau malade ? Pourquoi fallait-il que les moines ne puissent pas le soigner ? Coyotte avait pourtant eu d'innombrables toux, et il s'en était toujours sorti. Mais lui même savait que celle ci n'était pas la même. C'est pourquoi il était rentré chez lui, auprès de sa belle et de ses fils. Car il savait que la fin approchait. Il le sentait au plus profond de lui. La maladie le rongeait de l'intérieur.
En grimaçant, il s'extirpa des draps. Par chance, Yliade n'était pas là pour voir son visage fatigué, elle était surement sortie. Il aurait tout de même aimé qu'elle soit là, auprès de lui. Il ne voulait pas mourir là, tout seul, comme un con... D'un autre côté, il ne souhaitait pas qu'elle voit ça, ni les gamins. Cela pourrait être traumatisant pour eux. Et douloureux.
Après quelques secondes de réflexion intensive, le beau brun s'habilla du mieux qu'il put, puis s'assit avec lourdeur par terre. Il sortit un bout de parchemin de la poche de son mantel, une plume, et rédigea une lettre à la petite Aiyla. Il avait espéré la retrouver à Bourbon, tout comme Isaure, Lakdan et bien d'autres encore. Cela faisait si longtemps qu'il ne les avait pas tous vus... Et peut être ne les reverrait-il jamais.
Une nouvelle quinte de toux le prit. Il serra les dents avec force, et ne put s'empêcher de jurer comme un poissonnier.
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La femme est l'instrument qu'emploie le diable pour posséder nos âmes...
[Dans la maison de sa belle]
Des piaulements insupportables réveillèrent le brun. Ses yeux s'ouvrirent avec difficulté et il resta allongé dans le lit de longues minutes.
La nuit avait été si courte. Ou du moins c'était l'impression qu'il en avait. Il toussait de plus en plus fréquemment, c'était douloureux et cela l'avait empêché de dormir. Doucement, il massa son torse. C'était de là que la douleur irradiait. Pourquoi avait-il fallu qu'il tombe à nouveau malade ? Pourquoi fallait-il que les moines ne puissent pas le soigner ? Coyotte avait pourtant eu d'innombrables toux, et il s'en était toujours sorti. Mais lui même savait que celle ci n'était pas la même. C'est pourquoi il était rentré chez lui, auprès de sa belle et de ses fils. Car il savait que la fin approchait. Il le sentait au plus profond de lui. La maladie le rongeait de l'intérieur.
En grimaçant, il s'extirpa des draps. Par chance, Yliade n'était pas là pour voir son visage fatigué, elle était surement sortie. Il aurait tout de même aimé qu'elle soit là, auprès de lui. Il ne voulait pas mourir là, tout seul, comme un con... D'un autre côté, il ne souhaitait pas qu'elle voit ça, ni les gamins. Cela pourrait être traumatisant pour eux. Et douloureux.
Après quelques secondes de réflexion intensive, le beau brun s'habilla du mieux qu'il put, puis s'assit avec lourdeur par terre. Il sortit un bout de parchemin de la poche de son mantel, une plume, et rédigea une lettre à la petite Aiyla. Il avait espéré la retrouver à Bourbon, tout comme Isaure, Lakdan et bien d'autres encore. Cela faisait si longtemps qu'il ne les avait pas tous vus... Et peut être ne les reverrait-il jamais.
Une nouvelle quinte de toux le prit. Il serra les dents avec force, et ne put s'empêcher de jurer comme un poissonnier.
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La femme est l'instrument qu'emploie le diable pour posséder nos âmes...