[RP] Mauvaise nouvelle... A son chevet....

Tinkerbell18150

[ Dans son bureau ]

Tranquillement installer à son bureau, toujours dans la peine de l'absence de son père, elle se posait milles questions... ou était il ? Que fessait il ?....
Les larmes perlèrent ses joue inondant ses dossiers... Elle se ressaisit, au cas ou son père passait la porte avec un sourire radieux, après un bon repos venant la prendre dans ses bras s'excusant de son absence prolonger.
Elle soupira et alla ouvrir la fenêtre... l'air frais lui faisait grand bien en ce moment, tout se bousculait... dans sa vie
Elle entendit frapper à la porte et sans attendre qu'elle ne dise d'entrer un homme muni d'un parchemin, il était essoufflé presque a bout de souffle, le visage rouge... Il lui tendit le parchemin qu'elle pris machinalement.
Ne comprenant pas elle le déplia soigneusement sans quitter l'homme du regard.

Qui êtes vous ?

Ne le voyant pas répondre, elle fronça le nez, observant un regard apeurée dans se visage rouge se qui l'inquiéta, elle commença à lire et écarquilla les yeux.
Les larmes coulèrent à flot . Elle se laissa tombée lourdement sur le sol en hurlant

NOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN

Elle déchira le parchemin la colère grandissante hurlant toujours de peine et de rage

Ils mentent se n'ai pas possible, pas mon père, menteurs ...menteurs

Elle frappait du poing le sol ne voulant croire se qu'elle avait lu

je veux mon père... je veux le voir.... vous mentez il est bon cavalier....

Elle vit l'homme se rapproché d'elle pour l'entendre dire que tout était vrai
Déjà en pleure elle éclata en sanglot et se releva d'un coup et partit de son bureau en courant, ne pouvant s'y résigner elle couru a l'endroit ou se trouvait son père.

[ Devant le monastère ]

Après de longues et interminables minutes elle arriva devant la porte poussant le garde de colère.[/i]

Laissez moi passer je veux être auprès de lui .

Elle le dévisagea et tambourina à la porte la voyant fermé

ouvrez moi je veux voir mon père ...
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--.gouvernante.

Un porte s'ouvrit sous les coups de la jeune fille, la vieille femme regarda stupéfaite .cette jeune fille en larmes , elle la regarda et s'adressa à elle délicatement

demat demoiselle, ne criez pas ... mais dite moi qui êtes vous...

la vielle femme pensait reconnaitre les traits physique de la damoiselle, et lui pris la main lorsqu'elle entendu entre deux crises de larmes " père"
Sans attendre elle l'entraina vers la chambre de Nilas, ouvrit doucement la porte et laissa la jeune fille entrer en lui parlant a voix basse

Damoiselle votre père à été retrouver dans la forêt sans sa monture, il a l'épaule abimer et sa jambe cassée, il a du passer deux ou trois nuits dehors sans pouvoir bouger.Il est faible et a une forte fièvre, il dort à son réveil ne le harceler pas de questions ... laisser lui le temps de se remettre, il devra garder le lit un moment encore.

Elle sourit en espérant que la fille de Nilas reste calme devant l'état de son père, elle la regarda s'approcher de son père et de s'agenouiller aàson chevet, elle quitta la pièce en lui disant avant de partir.

Damoiselle, votre père recevra de la visite je pense , je me doute que vous resterez ici à ses cotés, vous trouverez tout se qu'il vous faut au bout du couloir.

Elle la salua de la tête refermant la porte derrière elle.

Tinkerbell18150

Elle reprit un peu de calme en écoutant la femme...

mon père ..dame... je veux voir mon père...

Elle se laissa entraine devant un porte, son coeur se mit a battre plus que de raison, il devait être derrière allonger...
La porte s'ouvrit , le souffle court elle regarda son père allonger... les larmes coulèrent les mots de la femme résonnait dans sa tête comme des coup de massue.
Elle s'approcha de son père fébrilement, se mit a genoux le regardant ...
Elle écouta la femme qui prenait congé.La porte fermée elle posa sa main sur celle de son père et lui murmura

je suis la papa, ne me laisse pas je t'en supplie, j'ai encore à apprendre avec toi, à te connaitre davantage, j'ai besoin de tes sourires , de tes remarques, de nos petites disputes...

Elle se mit a pleurée

Papa remet toi vite, je suis perdu sans toi.

Elle se ressaisit et attrapa un linge sur la table de chevet pour lui éponger le front, elle sentait le souffle de son père qui dormait, elle le veillerait...elle voulait être la à son réveil..
Elle tourna la tête vers la porte, du bruit venait du couloir...
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Azilliz

[ A l'Eglise ]

Azi priait pour le salut de sa famille, depuis de nombreuses minutes, lorsqu'Anne vint s'agenouiller à ses côtés.

-Azilliz, le Duc a été retrouvé....

-Vraiment ? Que lui est il arrivé ?

-Une chute de cheval...

-Seigneur....c'est grave ?

Anne hoche la tête.

-Sa fille est à son chevet.

Azilliz se leva, prit la main de sa gouvernante et l'entraina vers la sortie.

-Allons la voir, elle doit avoir besoin de réconfort.

Elles sortirent et cheminèrent vers le monastère ou se trouvait Tinkerbell. Azilliz se présenta et se fit introduire dans le long couloir de pierre pendant qu'Anne restait à l'entrée.
La jeune femme suivit le moine jusqu'à la chambre et s'y fit introduire.
Elle aperçut Nilas allongé, et sa fille, la tête tournée vers elle. Elle se dirigea vers elle et la prit dans ses bras.

-Bell, mon amie, comment te sens tu ?

Elle la dévisagea, les yeux rougis par les larmes, les joues creusées par le sillon de ces dernières. Azilliz posa un regard inquiet sur Nilas qui gisait inerte sur son lit.
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Tinkerbell18150

Les bruits dans le couloir se rapprochaient, la porte s'ouvrit, Azi était le devant elle.Les yeux rougit par les larmes deversée, elle était heureuse de la voir
Elle lâcha péniblement la main de son père et se leva et se retrouva dans les bras d'Azi.

-Bell, mon amie, comment te sens tu ?

retenant ses larmes se voulant forte, faire bonne figure devant ses amis, les amis et collègues de sont père qui viendraient surement, enfin elle l'espérait.

Je veille mon père Azi, il dort en se moment même , son soufle est la, j'ai vu ses doigts bouger, il va bien ne t'en fais pas.

elle se tourna pour regarder son père, et remarqua qu'Azi la dévisageait.

Qui a 'il Azi ? un soucis?
Mais tu ne doit pas rester avec ton père?

Elle la regardait mais son regard se portait toujours vers son père de temps à autre.
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Azilliz

- Oh mon père...Je crois qu'il a besoin d'être seul.

Elle baisse la tête, avant de continuer.

- Mon père est tombé amoureux d'une femme...Je l'ai sentit tout troublé, alors je suis partie prier pour qu'il retrouve la paix. Puis je suis venue dès que j'ai sû

Azi fait un pâle sourire, puis s'approche du lit de Nilas et regarde le visage du Duc de Bretagne.

-Comment va t il ? Est il conscient ?

Elle regardait le blessé au visage si différent que celui qu'elle a connu. Elle repensa à son rire sonore, son sourire charmeur qu'elle jugeait arrogant, et leurs taquineries réciproques au Conseil Ducal. Un court sourire passa sur ses lèvres. Lui qui avait tant travailler pour devenir le Duc de Bretagne, cet accident ne pouvait plus mal tomber.

Elle s'assit aux côtés de Bell décidée a lui tenir compagnie, la soutenir dans cette épreuve.
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--Mignoniaj

[Dans un village non loin]

Assise sur le rebord de la fenêtre, elle réfléchissait sur nombres soucis, nombres souvenirs et toutes ses petites choses que la vie pouvait apporter sur les chemins. Un bruit sec et saccadé se fit entendre derrière la porte de ses appartements. D’un soubresaut, ses épaules se soulevèrent à ce vacarme dont elle ne connaissait pas la teneur.

Elle se leva soucieuse de cette visite inattendue. Remettant une mèche égaré en place derrière son oreille, elle ouvrit sans mots dire. Un messager tenait en sa main, une missive cachetée. Elle ne reconnue pas l'écriture fine présente sur le vélin, mais curieuse tout comme tout autres jeunes femmes, elle glissa quelques écus dans la main de l'étranger en le remerciant hâtivement.

Refermant la porte de ses appartements, elle se dirigea près du petit meuble où elle y déposait tout ses écrits. S'installant sur le siège confortablement, décacheta la dite missive.

Elle parcourue les lignes sans réagir la première fois. L'écriture fine semblait celle d'une damoiselle qu'elle n'avait jamais encore lue. Elle ressentit un vent glacial lui frôler l'échine lorsqu'elle se rendit compte de la teneur de ce message.

La vie d'un ami était en danger, un ami qu'elle n'avait pas revue depuis un moment déjà. Mais encore plus étrange, sa fille demandait sa présence sans gêne et promptement.

Sans réfléchir, elle rangeât le vélin soigneusement plié dans la poche de sa cape qu'elle déposa rapidement sur ses épaules, tout en prenant la sortie. Elle n'aurait sue à ce moment là, combien de marches contenait l'escalier de l'auberge où elle vivait depuis peu.

D'une voix étrangement calme, elle s'approcha de l'aubergiste près de l'entrée et lui demanda de trouver un cocher apte a la conduire en un lieu rapidement, au vue de l'heure tardive.

[Quelques heures à peine]

Le silence de la nuit fut brisé par les sabots des deux bêtes qui tiraient la carriole. Un vent frisquet soufflait sur les feuillages de la grande allée menant vers le monastère. Lieu auquel son ami combattait la tempête de toute une vie. Qui en aurait la gloire, la vie ou la mort. Personne ne le savait. Une pensée funeste lui caressa l’esprit tel une épine. Au même moment elle se rappela de certaines paroles.

Elle se mordilla la lèvre inférieure et retint son souffle afin de reprendre sur elle. Bell avait besoin d'une amie pour la soutenir, et non pas d'une dame déraisonnablement fragile a ses côtés.

Le monastère apparut dans toute sa sobriété, que quelques ifs semblaient tenir compagnie à ce paysage sombre comme la vie l'était en ce moment. La carriole s'immobilisa sur le parvis, et nerveusement elle leva les yeux vers les grandes portes closes éclairées d'une pâle lumière lunaire.

Remontant sa cape, elle cacha son visage avec l'aide de sa capuche et tendit la main au cocher qui l'aida à descendre. Posant un pied frêle sur la marche, elle sortie de la dite carriole et se dirigea vers l'entrée. L'estomac noué.

Un sage homme vint à son encontre, homme au service d’Aristote comme bons nombres de ses serviteurs. Elle ne se présenta pas. Pour seules paroles, lui murmura près de son épaules.

‘Damoiselle Tinkerbell requiert ma présence icelieu, puissiez-vous me conduire auprès d’elle je vous prie.’

L’homme suite a cet échange, se retint de poser nombres questionnements et lui fit signe d’entrer. Lui demandant d’attendre tout en essayant de percevoir son visage en entier. Elle baissa la tête, préférant fuir son regard. Il compris dès lors qu’elle venait en toute discrétion.

Il s’inclina et se retira vers un couloir. Partant à la recherche de la damoiselle d’Artignac.

Tinkerbell18150

Elle écouta Azi et se mit a rougir, sans poser de questions elle alla près de son père avec elle.

-Comment va t il ? Est il conscient ?

Il est blessé, mais il est robuste, bientôt je le verrais frapper a ma porte pour me taquiner, il dort mais ses yeux , ses doigts bougent... il c'est endormit avant mon arrivée.

Elle repensait a la première fois qu'elle avait revu son père... exactement allongé ainsi à Orléans... de légères larmes perlaient mais elle se retenait, elle savait que bientôt il serait la, elle avait tant de choses a lui dire... combien elle l'aimait, jamais elle ne lui disait ou très peu, elle commençait a le regretter.
Elle sourit a Azi qui était la avec elle...

Azi si tu doit rentrés ne reste pas , ne t'en fait pas je serais courageuse.

Elle espérait bien ne pas rester seul... elle se sentait craquer.
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Azilliz

Azi sentit la voix de son amie qui tremblait. Elle n'était pas dupe de son malaise, quoiqu'elle veuille lui montrer, et elle le savait, qu'elle était forte.

-Ne dit pas de bêtise, je reste là, tu ne penses tout de même pas que je vais te laisser seule à tréssaillir au moindre clignement de ses yeux.

Elle sortit une pomme de sa besace.

-Tiens, prends la, je suppose que tu n'as rien avalé depuis que tu es ici.

Elle lui mit dans la main comme pour ne pas lui laisser le choix, et se leva pour éponger le front de Nilas. Azi se sentit bien cavalière de le faire, sans être une proche du Duc allité, mais elle voulait soulager Bell, qui portait le lourd fardeau de l'angoisse. Tentant de la détendre, elle lui sourit.

-Tu sais que le conseil, le parlement et l'Etat Major de Bretagne risquent de venir défiler dès qu'il sera réveillé ? Vous aurez des fleurs à en remplir la Primatiale...

Machinalement, elle chercha des doigts sa petite bourse de cuire qui pendait à sa ceinture, pour trouver quelques écus à offrir au monastère pour que les frères prient pour le rétablissement de Nilas. Elle dévisagea Bell, qui semblait si inquiète. Qu'est ce que cela fait de croire que l'on peut perdre son père ? Un frisson douloureux la glaça, elle osait à peine imaginer ce quelle pouvait ressentir.
La main de Nilas glissa le long du drap, Azi la remit délicatement sur le lit. Il ne broncha pas.

Des pas se firent entendre dans le couloir, elle se redressa.

-Je crois qu'on vient...
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--Mignoniaj

Le sage homme revint et lui fit signe de le suivre dans le couloir. Leurs pas résonnèrent sur les dalles froides. Elle avisa la grande porte a demi ouverte et d'un signe de tête, remercia le moine.

Elle entendit des voix féminines à l'intérieur de la pièce. Le visage toujours a demi caché, elle entra et rechercha d'où provenait ces murmures.

Elle vit Bell et Azi, puis le vit lui. Son teint pâle couleur de craie lui procura une douleur indescriptible en son estomac. Elle avala difficilement et chercha a dévier son regard vers les damoiselles.

Elle salua Azilliz discrètement, ne sachant pourquoi elle se cachait ainsi. Puis regarda en direction de la damoiselle d'Artignac.

'Bell.. Je ne sais que dire... je suis sincèrement désolé pour votre père. Puis-je apporter aide quelconque damoiselle?'

Elle s'approcha de Bell et prit sa main en la sienne, la serrant délicatement pour lui apporter un quelconque apaisement. Elle hésitait à se rapprocher du duc, de peur qu'il ne ressente son désarroi même si il était inconscient. Puis de son autre main lui caressa la joue amicalement en lui disant...

'Votre père est un homme fort et fier, soyez assurée qu'il combattra jusqu'a son dernier souffle. Il va vous revenir, j'ose y croire encore. Il ne laissera pas tomber. Il se bat en ce moment même et se battra encore demain, comme il l'a toujours fait.'

Tinkerbell18150

Bell remarquait qu'Azi voyait en elle la tristesse ....

-Ne dit pas de bêtise, je reste là, tu ne penses tout de même pas que je vais te laisser seule à tressaillir au moindre clignement de ses yeux.

Je sais Azi mais c'est plus fort que moi, je donnerais tout ce que j'ai pour le voir me sourire de suite, mais il a besoin de repos...trugarez de rester cela me fais chaud au coeur.

Elle se retrouva avec un pomme dans la main , elle ne pouvait mangée tant son estomac était nouée...

Arf Azi....

Elle grimaça devant la pomme en l'écoutant

Tu sais toute la Bretagne pourrait débarquée cela ne changera pas je bougerais pas d'ici, j'espère voir arrivée ses amis, collègues....

Elle sourit en voyant son amie, éponger le front de son père, ... lui reposer sa main...
Elles entendirent du bruit et la porte s'ouvrit.la femme se tenait sous une capuche, visage caché...et fini par croiser son regard.

'Bell.. Je ne sais que dire... je suis sincèrement désolé pour votre père. Puis-je apporter aide quelconque damoiselle?'

Elle la regarda s'approcher , ne la reconnaissant pas...Elle lui prit la main, lui caressa la joue... elle l'a reconnu a sa douceur et se pris une profonde respiration pour éviter le déluges de larmes.Elle s'osa a la prendre dans ses bras...

'Votre père est un homme fort et fier, soyez assurée qu'il combattra jusqu'a son dernier souffle. Il va vous revenir, j'ose y croire encore. Il ne laissera pas tomber. Il se bat en ce moment même et se battra encore demain, comme il l'a toujours fait.'

Oui... c'est mon père... il est fort , robuste, et courageux, je l'attend et je le ferais ronchonner jusqu'a le voir soupirer de mécontentement.

Elle sourit en partant le regard sur son père.

Dame je suis heureuse que vous soyez venue, je vous en serais éternellement reconnaissante.
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Nessty

A nouveau l'un de ces volatiles de toute sorte et de tout bord
Qui virevoltaient dans le ciel avant d'arriver à bon port
En ce jour de mars 1457, à l'aurore.
Parmi les mouettes fientant à bâbord,
Parmi les corbeaux cyniques croassant encore,
Parmi les colombes roulant leurs R sonores,
Parmi les hirondelles fuyant les renforts,
Parmi les moineaux picorant des grains d'or.

Un de ces piafs diablotins,
Qui ressemblait à un messager de vélin
Portant à son cou le ruban couleur lie de vin
Qu'Aristote avait donné aux Vilains
Vint lâcher son chargement avec entrain
Non de fiente mais de parchemin
Au pied d'une jeune demoiselle dans le chagrin
Avant de s'étaler sur un tas de foin
Qui lui servirait de nid jusqu'au lendemain.

Citation:

Chère Tink,

Un bruit de taverne affolant m'a atteint à Rohan. La Bretagne est privée de son bienveillant Duc mais avant tout j'y ai perçu la souffrance d'un homme formidable et l'a grande inquiétude inhérent à son entourage.

Je ne te demanderai point comment tu te portes, connaissant que trop ton attachement pour ton père. Donne moi simplement des nouvelles de sa santé. D'elles, j'en déduirai ton état sur le baromètre des teignes invétérées qui planquent leur sensibilité.

Dès cette nuit, je rebrousse chemin depuis Rohan pour venir te soutenir à l'aide de quelques chopines bienveillantes même si je sais pertinemment que tu auras déjà sifflé l'intégralité du stock en ta taverne avant mon retour. Par pitié, ne fais point cela pour aller te perdre dans je ne sais quelle ivresse qui ne sera soulagement que pour toi même. Et encore ! De façon si éphémère, que tu risquerais de le regretter dès le lendemain. Garde cette force en toi pour aider ton paternel à surmonter sa douleur et vaincre le malheur que le frappe. T'es bien plus capable de cela que de t'attaquer un monceau de barriques qui au final résonneront tout aussi creux que certains crétins ventripotents en train de se taper le séant au sol afin de fêter victoire !

Ma missive et mes mots sont vains dans une telle situation, je le sais. M'incliner devant Aristote pour le prier de vous apporter toute son aide me parait être la seule chose en mon pouvoir à ce jour. Cela fera bien longtemps que je n'ai point fait chose pareille, mais je le ferai, pour toi, pour lui.

Ma belle, montre toi courageuse comme tu sais le faire face à une cohorte d'ennemis, en digne fille de Nilas.

Amicalement,

Fait à Rohan en cette nuit de mars 1457

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--Mignoniaj

Elle faillit craquer devant la mine déconfite de Bell... Elle se connaissait depuis peu et pourtant elle avait cet impression de la connaître depuis toujours. La serrant très fort dans ses bras, se retira quelques peu et lui essuya une larme qui perlait sur sa joue. Retenant les siennes... Puis d'un geste, faillit laisser tomber sa capuche mais quelque chose le retint. Une peur, une crainte qui sait...

'Vous permettez que je.. que je ..m'approche de votre père?'

Il semblait à mille lieux de cet endroit, ses traits tirés l’inquiétait. Reviendrait-il, se battrait-il pour revenir auprès de ceux qu’il aime. Auprès de sa fille, de sa bien-aimée, de ses amis. Elle avait encore tant à lui dire. Tout comme plusieurs de ses proches.

Azilliz

Azi vit une silhouette entrer dans la chambre, encapuchonnée et la saluer sans se découvrir. Pourtant, cette silhouette lui semblait familière. Elle la salua de la tête en retour, son regard inquisiteur observant les mains de l'inconnue qui prenaient celles de Bell.

Elle s'écarta du lit de Nilas, pensant qu'elles souhaitait peut être s'en approcher, et avança lentement vers la fenêtre qui donnait sur le potager des frères. Elle regarda, observant les plantes naissantes que les frères entretenaient avec bonne humeur.

Un volatile se déposa sur le rebord, elle ouvrir la fenêtre et prit son petit message.

Elle s'approcha de Bell et lui glissa dans la main.
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Mumia

Il s'approchait de la chambre dans laquelle Nilas avait été transporté. Sa fille, ses amis étaient présents. Cette vision lui réchauffait le cœur. Ses nouvelles obligations ne pouvaient malheureusement pas faire qu'il soit aussi souvent et aussi longtemps auprès de son ami, mais il le savait entouré.

Après avoir salué les quelques personnes présentes qu'il connaissait, il entra dans la chambre.

Voir son ami, cet homme d'une force et d'une énergie incroyables allongé là, lui brisa instantanément le cœur.

Les yeux humides, il prit la main de son Duc, se pencha vers lui et lui murmura quelques mots à l'oreille. Il savait qu'il l'entendrait, dans les nimbes du sommeil.
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Mauvaise nouvelle... A son chevet....

Tinkerbell18150

--.gouvernante.

Tinkerbell18150

Azilliz

Tinkerbell18150

Azilliz

--Mignoniaj

Tinkerbell18150

Azilliz

--Mignoniaj

Tinkerbell18150

Nessty

Citation:

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--Mignoniaj

Azilliz

Mumia

Tinkerbell18150

Toujours ses mains dans celle de la dame elle l'écouta tristement.Elle lui essuya les quelques larmes couler...

'Vous permettez que je.. que je ..m'approche de votre père?'

Elle se raidit en l'entendant

Mais bien sur, je suis sur qu'il sera heureux d'entendre votre voix, tout ses amis sont les bienvenue..

Elle l'entraina, auprès de son père, lui lâcha les mains , et se baissa vers son père, elle lui caressa la joue et lui murmurant

Mon cher papa, Azi est ici, avec moi, tu sais .. Zizi de felger... elle pense fort a ton rétablissement, une amie a toi vient aussi d'arriver... tu vois revient nous vite.. tu commence a nous manquer cruellement...

Elle embrassa son père et invita la dame a venir.

Allez y dame , ne vous inquiétez pas je suis la...

Son regarde se porta sur Azi qui s'approcha pour lui donner un message,

Mais...

Le message dans la main , une peur soudaine la pris... encore un message... pas de mauvaise nouvelles se répétait elle dans son fort intérieur...Elle fit un pas en arrière et commença a lire.
Elle reconnu sa vilaine.. Nessty était au courant, léger sourires a ses mots, elle la connaissait bien.... puis des flots de larmes jaillissante, son père... sa chair et son sang...
Elle se senti prise de vertige et s'effondra en larmes

papa...

Elle cherchais son vélin et sa plume activement, elle ne voulais pas faire attendre la vilaine, elle trouva le tout au fond de sa besace et se mit a écrire tant bien que mal toujours assise sur le sol.

Citation:

Ma chère vilaine,

Tu as raison , me demander comment je vais , n'ai point nécessaire en vu que tu connait mon attachement a mon père.
Mon père est alité, le teint pale, le souffle lent mais présent, il a de la fièvre, mais il est robuste, bientôt je le verrais gambader épée à la main pour continuer à m'apprendre le combat. Il viendra me taquiner, et me sourire, comme il le faisait... ils ira voir ses amis pour discuter... j'ai espoir de tout cela.

Tu me connais bien Ness, j'ai déjà été vider quelques tonneau, mais je m'abstiens pour rester auprès de lui.Ma force lui est dévouer mais ça tu le sais déjà.

Ta missive et tes mots me réconforte,et dès son réveil si tu as quitter la Bretagne je lui dirais tout le soutient que tu nous a apporté durant ce moment difficile.
Je prierais pour lui aussi... Merci à toi de le faire pour nous...

Ma vilaine, je me montre forte , mais je préfère me battre contre un amas d'ennemies et voir mon père me sourire en me disant que je me suis casser un ongle...

Amicalement

Bell ton amie la teigne

Elle se releva fébrilement balayant du regard la pièce en avançant telle un zombie ...
Elle ouvrit la fenêtre et attacha le vélin au pigeon

Vole pigeon retrouve la vilaine au plus vite...

Elle se tourna vers Azi et la dame séchant ses larmes

mon père va être heureux de voir tout se soutient...

Elle vit Mumia entrer, timidement les yeux humide, elle le salua de la tête difficilement, et le laissa allez près de son père, elle savait qu'il serait ravie d'entendre sa voix, voir le nouveau Duc ici lui réchauffait le coeur.
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--Mignoniaj

Serrant délicatement le bras de la damoiselle, elle hocha la tête suite à son acquiescement. Une boule en son estomac se formait déjà. Elle aurait bien aimée en dire plus pour apaiser la jeune fille. Mais elle ne voulait pas trop éveiller des soupçons que ses paroles pourraient lui procurer si elle ne s'exprimait pas comme il le fallait.

Elle s'approcha de Nilas qui toujours inconscient, semblait respirer d'un souffle faible mais régulier. Elle s'installa avec gêne sur un siège tout prêt de lui et d'une main nerveuse et timide prit la sienne. Elle ouvrit les lèvres pour émettre quelques paroles en espérant qu’il reconnaîtrait cette voix amicale.

'Mon bel ami, il y a des regrets que l'on ne sait chasser. Depuis des semaines je vous fuyais, préférant vous laissez à vos occupations. Sachant fort bien que nos vies n'avaient aucunes similitudes. Et pourtant, mes pensées étaient souvent vers vous.. me demandant si tout allait bien et si vous étiez apte à tenir le coup devant de tels obligations. Il faut de bien larges épaules pour mener notre Breizh. Et je sais que vous y seriez arrivé en tout bien , tout honneur. '

Du revers de sa main libre, elle se permit de lui caresser la joue avec délicatesse. Puis reprenant sur elle pour ne pas démontrer son désarroi, sa peur de perdre un ami qui lui était chère. Elle continua à voix basse en rapprochant son visage près de son oreille. D'un murmure ... inaudible des autres. Lui dicta cette phrase qu'elle aimait bien lui dire quand il réussissait à la faire sourire.

'Vous savez que je vous adore?'

*Sourire pâle... elle se redresse pour ne pas permettre aux regards présents d'y voir là plus qu'il ne fallait.

'Je regrette de n'avoir été apte à vous le dire, mais j'ai grande estime pour vous. Revenez-nous Nilas, tous nous vous attendons, nous vous attendrons patiemment. Fière guerrier que vous êtes, vous qui me disiez de ne jamais perdre espoir. Vous qui me disiez…’

Des paroles lui revint en tête.. paroles qui jadis l’avait laissé pantois et quelques peu effrayée.

‘ Je suis comme le roseau, je plie mais ne romps pas’

‘Je vous le demande aussi, en ce jour. Revenez... avec nous.'

Elle entendit un bruit dans le couloir et s’en suivit l’entrée d’un homme. Homme qu’elle connaissait fort bien. Elle resta près de Nilas, n’osant relever la tête de peur qu’il la reconnaisse. Pourquoi avait-elle peur. Qu’avait-elle à cacher.

Azilliz

Azi eut un sourire, à l'évocation du surnom que Nilas lui donnait..." Zizi"... auquel elle répondait par un écho " Nini"... Leur dernière prise de bec au parlement lui revint dans un souvenir amer. Si elle avait sû que la prochaine fois qu'elle le verrait, serait inanimé dans un lit, à consoler sa fille en pleurs.
Elle balaya cette pensée désagréable, il l'avait mérité cette engueulade, mais quel dommage qu'elle soit survenue à leur dernière rencontre.

Elle revint vers la fenêtre et passa prêt de l'inconnue encapuchonnée, elle entendit sa voix et tressaillit...non...se pouvait il... il lui semblait l'avoir reconnue... Elle ne laissa rien transparaitre, salua Mumia qui entra et vint s'appuyer contre le rebord de la fenêtre, laissant les rayons du soleil lui caresser le visage et réchauffer sa joue.
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Tinkerbell18150

Elle s'adossa au mur, se mit à pensée... La douce de son père ne venait pas... comment réagirait son père à son réveil si elle n'était pas la...Allait il se réveillé...Tout se troublait dans sa tête, les souvenirs de sa mère se mirent a danser un à un... La douceur de sa mère lui manquait... ses petites colère lorsqu'elle ne pouvait pas tenir sa fille... toutes ses petites choses lui arrachait le coeur, elle alla vers se père et lui déposa un baiser sur le front. elle alla lui murmurer entre deux larmes

papa la première fois que je t 'ai retrouvée, tu étais clouer au lit après un combat, mais tu souriais, alors ouvre les yeux , un cheval ce n'ai rien tu est fort tu vas vite te rétablir.

Elle se releva et alla auprès d'Azi à la fenêtre, le regard vide ...
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--Mignoniaj

Elle s'était relevée, retirant sa main de la sienne. Une boule a l'estomac lui procurant une douleur indescriptible, tant qu'elle n'aurait sue pourquoi elle ne parvenait à la chasser. Il y avait cette crainte, crainte de n'avoir sue être elle même aux yeux de son ami. Crainte de ne jamais connaître le jour où il y serait parvenu à la voir tel qu'elle était réellement. Il y avait cette peur, peur qu'il se réveil et ne la reconnaisse pas. Peur qu'il ne se réveille plus simplement.

Elle devait laisser place aux nombres amis qui ne tarderaient pas à venir. Pour lui apporter courage et surtout pour lui dire combien tous tenaient fort à lui.

Elle avait envie de dévoiler son visage, mais à quoi cela servirait-il. Si ce n'est qu'elle ne se cacherait plus. Chose qu'elle faisait depuis si longtemps, se cacher, ne jamais rien démontrer de compromettant, se protéger.

Elle regarda une dernière fois son ami alité. Sa respiration semblait de ce qu'il y a de plus normal. Son teint pâle laissait transparaître un combat. Combat dont elle souhaitait cette fois ci, une victoire.

S'approchant de Bell, posa sa main sur son bras.

'Je vais quémander que l'on nous apporte des tisanes ma belle enfant, avez-vous besoin de quelque chose à vous mettre sous la dent? '

Tinkerbell18150

Pensant, retenant au mieux les larmes qui sortait elle sursauta en sentant une main sur son bras, jadis son père le fessait, elle espérait que c'était lui,
Elle se retourna et remarqua que ce n'était pas lui.
Elle sourit a la dame.

Je vais quémander que l'on nous apporte des tisanes ma belle enfant, avez-vous besoin de quelque chose à vous mettre sous la dent? '

oui je veux bien merci, je vais essayer de faire venir un médecin aussi, j'aimerais que mon père soit bien entouré.

Elle regarda autour d'elle en pensant, très peu était venu , on voyais ses amis... elle avait de la peine a pensée que son père ne comptait que peu pour certain, elle tourna la tête en entendant du bruit.
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Naoned

Tinkerbell avait présenté son fils un peu plus tôt dans la journée à Naoned. La journée s'écoula et cette dernière était parti au chevet de son père, elle ainsi qu'Azilliz la fille de Naoned.

Le petit garçon semblait tourner en rond se demandant s'il attendait où allait voir son grand-père et ainsi rejoindre sa mère.

Naoned comprenant ce qu'il pouvait se passer dans la tête du garçon, il le proposa de l'accompagner et l'emmener rejoindre sa mère.

Naoned prépara son cheval et demanda à ce qu'on prépare une monture pour le jeune homme.

Il approcha le garçon et lui fit la proposition de l'accompagner. Ce dernier accepta avec un large sourire et les deux hommes partirent en direction du monastère.

Naoned pris en charge les chevaux pendant qu'il fit signe à Kergeun qu'il pouvait commencer à pénétrer dans le monastère sans lui.

Kergeun

Kergeun avait les jambes qui tremblaient un peu, il ne voulait pas défaillir devant sa mère et avait besoin de quelqu’un pour faire diversion au cas où des larmes lui mouilleraient les yeux.
Messire Naonede lui paraissait quelqu’un de biens. Tandis qu’il s’éloignait avec les chevaux, il l’appela.

Messire, voulez-vous bien m’accompagner ? Comme ça si vous voyez que je suis trop ému, vous pourrez peut-être me sauver de l’embarras et changer de sujet ?

Kergeun frappa à la porte du couvent et une nonne vint ouvrir.
Il déclina son identité et en désignant Nanoned dit.

C’est une personne de confiance qui m’accompagne, je vous prie de le laisser m’accompagner.

Puis Kergeun en compagnie de Messire Naoned, s’enfonçèrent dans les couloirs obscurs du monastère à la suite de la nonne et se présentèrent devant la porte de la chambre de Nilas.
Il frappa timidement et poussa la porte.
Il vit sa mère en compagnie de la fille de Naoned qu’il avait croisé en taverne, il yavait une autre femme dont le visage était caché.
Le gamin s’approcha du lit et n’en croyait pas ses yeux, jamais il n’aurait pu imaginer voir son grand père dans cet état. Il y a à peine une semaine il lui donnait encore des conseils pour bien guerroyer.

Grand-père, que vous est-il arrivé ?

Le minot avait du mal à retenir ses larmes, il avait déjà perdu des proches, mais pas par accident.
Le destin était tragique parfois.

Il faut résister et nous revenir, Belle et moi avons tellement besoin de vous.

Se tournant vers sa mère, la voix un peu tremblante.

Mère, est-ce grave ?
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Tinkerbell18150

Bell vit son fils adoptive entré dans la pièce, Elle se ressaisit et se força a lui sourire, elle le regarda allez directement vers son grand père adoptive le coeur serrer.
Elle les regardait tout les deux et écouta kergeun parlé a son père se retenant de s'écrouler en larmes.
Elle salua naoned .

Bienvenue Messire naoned, vous avez du emmener kergeun ici, si tel est le cas je vous en remercie .

Mère, est-ce grave ?

Son sang se glaça d'un coup... elle manqua de tombée à la renverse se tenant debout tant bien que mal.Elle lui tendit la main l'attira près d'elle.

Kergeun , il a fait une mauvaise chute de cheval, mais il est fort ...très fort ne l'oublie jamais, tu sais il en faut de la force pour me supporter.

Elle lui ébouriffa les cheveux essayant de se convaincre elle même.Elle se releva et pris une profonde respiration.

je vais essayer de trouver un médecin...

Elle regarda Azi et la dame

trugarez d'être la , il sera heureux lorsque je lui dirait.

Elle leurs sourit essayant de se montrer digne mais surtout courageuse.

Messire Naoned vous pouvez bien entendu rester avec nous.De la tisane va arrivée grâce a la dame ici présente une amie de mon père.
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Naoned

Naoned se contenta de s'incliner puis de sourire à la jeune femme.

je vais essayer de trouver un médecin...

Naoned a ses paroles, passa en revu les grands de Bretagne et un nom lui venait à la tête, alors qu'il était recteur, un homme hautement qualifié et ancien duc devait s'y connaitre. Il était mitigé entre le fait de lui en parler au risque qu'elle essuie un refus...

Sa fille était là, il n'avais pas eu encore le temps de lui parler ni même de la saluer et il y avais quelqu'un de camouflé en plus.
Du temps se passa et Tinkerbell demandait à Nao s'il souhaitait rester.Il ressentait la pénibilité de la situation sur le visage de Bell, Nao se contenta d'un regard qui en disait long.

Je... J'accompagnais votre fils auprès de vous. Je n'avais pas prévu de m'y arrêter mais c'est proposer si gentillement. lui sourit.
Naoned déposa son mantel dans un coin de la pièce, puis s'approcha à nouveau de Tinkerbell.
Vous avez parlé de chercher un médecin tout à l'heure, si je peux me permettre le dug Meriadoc excelle dans cette discipline.Je vous remercie de l'accueille sachant que je n'ai croisé qu'une fois votre père et que je ne lui ai pas parlé.sourit de nouveau à Bell.

Il ne s'approchera pas du corps de Nilas mais se signera en le voyant au loin. Malgré qu'il n'ait de jugement sur cet homme qu'il ne connaissait pas, il ne pouvait que lui souhaiter la vie, ne serait-ce pour voir un bonheur complet dans les yeux de sa fille.

Il prit congé de la belle jeune femme pour rejoindre sa fille Azilliz qui était présente. Il l'a prend dans les bras et passant près de la personne inconnue, il reconnu une odeur qui lui fut familière, il pensait savoir qui était cette personne. Mais il avait traversé la pièce pour sa fille et non pour découvrir l'identité de l'inconnu.

Kergeun

Kergeun n'était pas dupe, il sentait que la situation de son grand-père était plus grave que ce que voulait bien lui dire sa mère.
Comme à son habitude, la question qu'il allait poser à sa mère, allait être encore une bourde.
En désignant la Dame à la capuche, il demanda à sa mère.

Mère, c'est qui la Dame qui se cache?
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Azilliz

La pièce commençait enfin à se remplir petit à petit. Elle se demanda si Nilas entendait les personnes présentes, s'il ne pouvait simplement pas répondre ou s'il était plus loin que ça encore. Elle aperçut Kergeun et le salua de la tête, un peu mal à l'aise.

Elle se revit il y a quelques mois, arrivant dans la chambre d'une mourrante pendant que chacun lui adressait un sourire plein de compassion. Et sur le lit, d'un teint encore plus pâle que Nilas, sa soeur. Son coeur se serra, elle était à son tour une de ces personnes maladroites dans cette chambre, regardant un petit garçon s'avancer vers son grand-père alité.

Azi sourit à Bell, qui faisait preuve de beaucoup de courage, mais dissimulait mal son angoisse face a Kergeun. Elle aurait voulu lui dire de faire confiance envers le Très Haut qui n'avait pas encore rappelé Nilas à lui, que c'était sans doute bon signe...
Mais elle n'eut pas le temps de lui parler, son père à sa grande surprise, venait de passer la porte. Il se dirigea vers elle, puis parût comme troublé en frôlant la Dame encapuchonnée...ainsi lui aussi l'avait reconnue. Elle sourit et se glissa dans les bras de son père. Par dessus son épaule, elle apperçut Kergeun s'adressant d'une vois tremblante à Nilas.

Le désespoir de son amour lui vint comme une flèche dans la poitrine et des larmes se mirent à couler sur ses joues. Elle se blottit plus fort contre son père, bouleversée.
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Naoned

Naoned le savait cela faisait plusieurs jours que sa fille n'allait pas bien et était déstabilisé.

Lorsqu'elle se mit à pleurer, il en comprit parfaitement la raison. Depuis qu'ils étaient passés à Rohan, elle avait changé et perdu son sourire. Elle n'avait pas terminer le deuil de sa sœur. Probablement le fait de voir Kergeun ainsi, lui rappela sa position où elle ne pouvait qu'être au chevet de sa sœur impuissante.

Naoned serra sa fille dans ses bras longuement pour la consoler de son chagrin, il avait envie de la faire tourner en l'air pour la faire sourire mais le lieu n'était pas propice aux effusions de joie. Il lui dit alors à voix basse:

Ma puce ce n'est pas parce que quelqu'un va mal et que ses proches sont près de lui que c'est la fin... Ton grand oncle Elfyn crachait du sang peu après la guerre. Nous étions là pour lui et il va mieux aujourd'hui.

Nao lui souriait et regarda où en était le "petit homme", il le regardait l'air triste et regardait sa mère avec beaucoup de compassion. Il lui échangeait beaucoup de regard et de sourire pour l'apaiser comme il pouvait une mère pleine de désespoir.

Tinkerbell18150

Elle s'inclina et sourit à Naoned.Elle regardait son fils l'air perdu dans ses pensées.

Je... J'accompagnais votre fils auprès de vous. Je n'avais pas prévu de m'y arrêter mais c'est proposer si gentillement.

messire c'est très gentil de votre part, il y a Azi ici, elle me soutient....

Elle le regardait en le remerciant du regard

Vous avez parlé de chercher un médecin tout à l'heure, si je peux me permettre le dug Meriadoc excelle dans cette discipline.Je vous remercie de l'accueille sachant que je n'ai croisé qu'une fois votre père et que je ne lui ai pas parlé.

Je vais faire appelle a un médecin, merci pour le nom de Meriadoc, j'espère qu'il pourra faire le déplacement.
Beaucoup se méprenne sur mon père...mais bon je ne peu rien y faire.

Elle le regarda prendre sa fille dans ses bras, et eu le coeur écarteler en les voyant, elle repensait a ses effusion d'affection entre elle et son père, ses moments partagés entre lui et elle, son regard se fit lourd sur le sol, elle releva la tête en entendant Kergeun.

Mère, c'est qui la Dame qui se cache?

Petit sourire vers son fils, cette dame était cher a son coeur, la voir ici lui faisait du bien

C'est une amie de ton grand père, n'ai crainte.

Voyant Naoned et Azi elle ne pu s'empêcher d'aller auprès de son père en laissant couler les larmes. Elle lui épongea le front pensive, elle le regardait et priait pour que ses yeux s'ouvrent, ou était Salomé, il aurait aussi besoin d'elle....
Elle embrassa son père et lui murmura

Courage papa , allez ouvre les yeux je suis la, et d'autres sont la...

Elle regarda Azi l'air triste, être en ce lieu devait lui faire de la peine, elle se senti mal, elle ne s'alimentait plus, elle ne pouvait plus rien avaler, elle donnerait tout pour son père , pour son sourire... elle posa la tête sur le lit pour lui montrer sa présence, les larmes se mirent a couler... Elle repensait à sa mère qui l'avait quitter pour rejoindre le très haut de la même façon, un regarde , un sourire dans sa douleur, et le néant.
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Tinkerbell18150

Elle se ressaisit toute tremblante et chercha un parchemin et sa plume, elle en sortit de sa besace et se mit à écrire en s'éloignant un peu pour s'isoler.

Citation:

Messire Meridoc,

Je me permet de vous contacter car au monastère nous avons besoin d'un médecin , je suis Tinkerbell d'Artignac la fille de Nilas le Duc qui a démissionné suite a une chute de cheval.
il est en ce moment même alité et mal en point, je le sais fort et robuste mais j'aimerais un avis d'un médecin.
Messire Naoned m'a parlez de vous.D'après lui vous excellez dans votre domaine.
Je donnerais tout ce que j'ai pour que mon père ouvre les yeux et se remettent sur pied.
pourriez vous venir auprès de lui voir de quoi il en retourne.
Par avance je vous remercie d'avoir prie de votre temps pour lire cette modeste requête, en espérant vous voir auprès de mon père si vous acceptez.

Respectueusement

Tinkerbell D'Artignac

Elle cacheta le modeste parchemin et s'effondra au sol dos poser contre le mur, et si Meriadoc refusait, si son père n'avait pas de soins... elle ne voulait point y pensée mais elle n'en pouvait plus... pale et regard vide elle s'adressa a Naoned

Messire pourriez vous accrochez se parchemin a mon pigeon ? Je demande la venue de Messire Meriadoc pour mon père.
Essuyant ses larmes, elle préféra rester assise au sol n'ayant plus la force de bouger.
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Naoned

Naoned l'a voyant se laisser tomber eut sa jambe qui semblait vouloir se précipiter vers la jeune femme, tout déchiré qu'il était de la situation, il resta près de sa fille et de la femme dont il fût désormais sûr de son identité de par sa silhouette et son odeur.

Messire pourriez vous accrochez se parchemin a mon pigeon ? Je demande la venue de Messire Meriadoc pour mon père.

Il déposa un baiser sur le front de sa fille et l'abandonna le temps d'exécuter la demande de Tinkerbell. Nao s'approcha d'elle et se saisit de la lettre de Bell, il lui tendit un mouchoir qu'elle prendra pour ses larmes.

Sage décision pour Meriadoc... En revanche, ne restez pas seule ici, cela ne changera rien. L'espoir perdure et c'est la seule chose qui compte. Du monde est ici faites leur profiter de votre aura...

Naoned lui tendit la main pour l'aider à la relever et lui murmura des mots que seul Bell entendit. Il lui fait alors un franc sourire, la tira de sa tristesse et l'amena près des personnes présentes, l'a fit s'asseoir et quitta la pièce pour faire ce que la jeune dame lui avait demandé.

Il trouva le fameux pigeon et délicatement il lui attacha le message à la patte. Il le prit contre lui et l'emmena dehors.

Allez va mon beau, fait vite.

Naoned revient dans la pièce où Nilas était alité et se fit discret dans un coin.

Tinkerbell18150

Bell le remercia et s installa près de son père, elle se sentait seul, ou était les amis de son père, ou était sa fiancée... elle se sentait vide, son père lui manquait cruellement, elle aimerait prendre sa place.
Elle pris la main de son père dans la sienne.
Elle repensait a tout ses bon moment depuis Orléans, l'éducation qu'il lui donnait.
Elle sourit puis son regard se fit vide, elle voulais qu'il ouvre les yeux.
Elle se mit a prier . Elle espérait un miracle une venue, la présence de certaines personnes, le médecin...
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Meriadoc

Le Duc du Rohannais était assis derrière son bureau comme chaque jour, occupé à consulter les ouvrages de sa riche et grande bibliothèque.

On frappa à la porte.

Entrez donc.

Un page se présenta au Duc et lui remit une lettre cachetée à son attention.

D'un rapide coup d'oeil il reconnut le sceau d'Artignac, le sceau de la famille du Duc Nilas.

Rapidement il décacheta la lettre et la parcourut. On le mandait au chevet du Duc Nilas.

Sa décision fut rapide et claire. Il se leva et fit préparer son nécessaire médical et quelques provisions.

Pendant de temps, il rédigea une brève lettre.

Citation:

Dame Tinkerbell,

J'ai reçu votre requête et j'y réponds favorablement? Je me mets en route immédiatement et je mettrai toutes mes connaissances au service de votre père.

J'arrive aussi vite que possible, gardez espoir.

Respectueusement

Meriadoc de Walsh de Serrant
Dug Roc'han
Héraut et Chevalier de Bretagne

E Roc'han, d'ar Meurzh 31 a viz Meurzh 1457

Il s'occupa lui-même de son destrier Stybba, fidèle compagnon de route depuis tant d'années.

Lorsque tout fut prêt, il prit la direction du chevet du Duc à toute allure, le temps pressait.

Vas Stybba, vas, montre-moi ce que célérité veut dire...
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Tinkerbell18150

On frappa à la porte, elle se leva et alla ouvrir, on lui tendit une lettre cachetée, encore une se dit elle.
Elle l'ouvrit et se mit à lire.
Un sourire illumina son visage, le médecin était en chemin.
Elle alla près de son père et se mit à genoux.

Papa, un médecin arrive, il vient pour toi, accroche toi par pitié.
Salomé n'ai toujours pas la je vais lui écrire, pour la prévenir de l'endroit ou nous sommes.Il y a du monde en se moment même pour me soutenir, ne t'inquiète pas je tient le coup pour te voir sourire.

Elle se releva et prit un autre parchemin, et se mit a écrire.

Citation:

Chère Salomé,

Je pense que tu sais que papa a eu un accident de cheval, je suis auprès de lui au monastère.Il a besoin de nous.
Pour le moment j'ai du soutient , mais ta présence manque ici.
Messire Meriadoc a accepté de venir voir l'état de papa, essais de te sauver un peu du monastère ou tu te trouve, papa a besoin de toi.

Je t'embrasse

Bell.

Elle s'approcha de la Dame au visage caché

Dame vous proposiez des tisanes, cela vous générait d'aller les demander, et je pense que l'air frais vous ferra du bien.
Et j'ai un service a vous demander pourriez vous donnez cette lettre a quelqu'un qu'il l'emmène au plus vite auprès de Salomé_Andrieux la fiancée de mon père ? je vous en serais infiniment reconnaissante.

Elle lui sourit gardant contre elle la lettre de Meriadoc, pleine d'espoir
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--Mignoniaj

Quelques visites inattendues et voilà maintenant qu'on attendait le médecin. Elle avait salué discrètement Naoned et d'un geste de tendresse effleuré le bras d'Azilliz. Tinkerbell tant qu'à elle était retournée auprès de son père le regard plein d'espoir.

Elle lui avait remis une missive à l'intention de Salomé. Missive dont elle se devait de faire parvenir rapidement auprès de la future épouse. Sa présence étant plus que requise.

Dans les couloirs elle était sortie à la recherche d'un sage homme ou quelconques personnes aptes à lui remettre quelques tisanes ou autres boissons, pour les bonnes gens présentent au chevet du sieur Nilas. En chemin elle regarda les murs de pierres grisâtres, qui dans l'obscurité du moment donnait une allure encore plus austère icelieu. Une pensée vers son père lui effleura l'esprit. Et si... reviendrait-il auprès d'elle.

Ses tempes tambourinaient à l'unisson du bruit de ses pas sur les dalles glacées. Une faible lumière provenant du dessous d'une porte, lui fit reprendre ses esprits. Au même moment, un homme arriva au tournant du couloir.

S'inclinant d'un simple geste de la tête, elle lui fit sa requête. D'un sourire franc il lui prit la main et la tapota en un signe d'encouragement. Lui dictant de ne pas rester là. Et que toutes victuailles leurs parviendraient sans faute d'ici quelques bonnes minutes. Puis le vieil homme se pencha en cherchant son regard sous sa capuche.

'Damoiselle, avez-vous honte à ce point de votre visage pour ainsi le cacher aux yeux de tous?'

Elle alla répondre, mais une pensée lui effleura l'esprit. Pourquoi se cachait-elle, et surtout de qui. Cachait-elle réellement son identité ou simplement son état d'âme... simplement son âme.

Relevant les yeux vers le sage homme lui répondit d'un air soucieux...

'Peut-être que je me cache simplement de moi-même... qui le sait. Un jour sûrement je trouverai réponse et je viendrai en ce lieu pour vous y souffler la réponse.'

Des paroles, encore des paroles... une ombre passe, celle du passé.

[[['...ne vous perdez pas... '
'....démontrez-vous tel que vous êtes... '
'...surtout pour ne pas voir que vous êtes quelqu'un de bien..']]]

Elle recula d'un pas incertain et remercia l'homme. Puis au moment de quitter, pensa à la missive. Il lui fit promesse qu'un messager partirait aussitôt.

Elle hésita entre sortir prendre l'air, ou simplement revenir auprès d'eux, auprès de son ami...

Tinkerbell18150

Elle avait passer son temps a regarder le mur , se demandant si il allait s'éveiller de nouveau.Elle vit son pigeon arrivé et sans attendre l'attrapa pour retirer la missive, elle se mit a lire.
Elle se mit au coté de son père en lui caressant la joue.

Papa j'ai des nouvelles de Salomé, elle est en route, elle me dit que son univers c'est effondré quand elle a su pour ta chute, accroche toi, bat toi papa, elle et moi avons besoin de toi.J'ai aussi une personne à te présenter. Meriadoc un excellent médecin arrive a ma demande .Alors ouvre les yeux

Elle lui embrassa le front et pris sa main dans la sienne.

Le médecin se fait long je crois....
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Meriadoc

Le Duc, accompagné Blanche, arriva au chevet du Duc Nilas. Sa fille avait demandé à venir avec lui et il avait accepté, cela ne pouvait que lui être bénéfique, elle pourrait apprendre en le regardant.

Rapidement il confia les montures au personnel présent et demanda à être conduit au chevet du Duc.

Il salua sa fille et se mit aussitôt à l’ouvrage.

Vu les contusions et les hématomes, la chute avait été très lourde.

Deux côtes cassées mais cela n’était pas bien grave. Le poignet avait également souffert, certainement celui qui avait encaissé le poids du corps.

Extérieurement, c’étaient les seules choses qu’ils pouvait déceler.

Le Duc Nilas avait également de la fièvre, fièvre qui serait longue à faire retomber mais quelques préparations en viendraient normalement à bout.

Il confectionna un bandage pour les côtes du Duc Nilas et immobilisa le poignet meurti.

Puis il se tourna vers Dame Tinkerbell.

Je pense que votre père devrait s’en sortir. Il va lui falloir du repos, cela peut être long et démoralisant mais ne perdez pas espoir !

C’est un homme robuste et le temps fera son œuvre.

Il lui tendit une préparation.

Tenez, ceci soulagera sa fièvre. Une dose par jour dès le matin.

J’ai fait ce que je pouvais, je ne puis malheureusement rien d’autre pour lui.
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Tinkerbell18150

Bell vit entrer un homme et une femme qu'elle ne connaissait pas, elle se mit debout devant son père, comme pour le protéger.Naoned lui fit comprendre que c'était Meriadoc le médecin.Elle s'inclina et le laissa œuvrer auprès de son père, en tremblant...la crainte d'une mauvaise nouvelle...
Elle le regardait s'occuper de son père, le regard inquiet.Il lui immobilisa la main sous ses yeux.Sont père pourrait il de nouveau tenir épée ou bouclier ?
Il se releva et s'adressa à elle.

Je pense que votre père devrait s’en sortir. Il va lui falloir du repos, cela peut être long et démoralisant mais ne perdez pas espoir !
C’est un homme robuste et le temps fera son œuvre.

Lueur d'espoir dans son regard, son père se battait, bientôt il serait de nouveau en train de lui sourire si il continuait son combat.
Elle prit la préparation qu'il lui tendit

Tenez, ceci soulagera sa fièvre. Une dose par jour dès le matin.

Très bien je le ferais tout les matins Messire, cela ne fais aucun doute, sa fiancée arrive aussi on se relaiera.

J’ai fait ce que je pouvais, je ne puis malheureusement rien d’autre pour lui.

Elle se laissa tombée sur la chaise, la tête lui tournant encore, les larmes se mirent à couler.Elle mangeait peu, et restait inquiète pour son père.le peu de temps qu'elle passait hors de la chambre lui était insupportable.Elle voulait être la lorsqu'il ouvrirait les yeux.

Messire je vous remercie infiniment en son nom, au nom de Salomé et vous aurez ma reconnaissance à jamais.
Mon père aura des séquelles ? pourra t'il se servir de sa main que vous avez immobiliser ?

Elle se releva doucement ne montrant pas son mal.
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Kergeun

Le gamin était inquiet, il avait prié le très haut dans son coin en attendant le médecin.

Une fois ce dernier arrivé, il le regarda procéder à l’examen de son grand père et attendit le verdict.

Il fallait attendre, c’était une des premières vertus qu’il fallait avoir dans ce bas monde, mais comment les grands faisaient-ils pour avoir autant de patience?

Tout l’univers du garçon s’effondrait, son grand-père si puissant était alité, sa mère si combative était effondrée, ils allaient quitter Rieux, pour un autre village en Bretagne.

Y serait-il mieux accueilli ? Y aura-t-il toujours autant de conflit d’intérêt et de méchanceté ?

Il était né à Rieux et y avait grandi mais il ne se sentait pas chez lui.

Breton, il l’était mais que cela voulait-il dire maintenant ? Il sentait que c’était ancré en lui mais l’histoire le dérangeait.

La morosité le gagnait.

Mère, j’ai laissé traîner mes oreilles en gargote et ce que j’y ai entendu m’a affligé, la politique est une activité bizarre. Où sont les amis de grand-père ?
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Tinkerbell18150

Elle se tourna vers son fils.

Mère, j’ai laissé traîner mes oreilles en gargote et ce que j’y ai entendu m’a affligé, la politique est une activité bizarre. Où sont les amis de grand-père ?

Mon petit la politique peu parfois être cruelle, mais tu es jeune n'en tiens pas rigueur.

Les amis de papa...

Elle respira profondément, ils n'étaient pas venu, et ils se disaient amis....

Je pense qu'ils sont occupés avec la politique et leurs fonctions.
Peut être viendront ils, peut être pas!
Allez va donc t'amusé un peu si il y a du nouveau j'enverrais quelqu'un te chercher
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Blanche_

Enfin ! Elle allait enfin pouvoir s'échapper du château et s'amuser à suivre son papounet adoré, à admirer son travail. Sur ce coup là, elle avait été très forte, la mini-duchesse. Un papillotement des cils, un début de tremblement des lèvres, et le tour était joué : elle accompagnerait son père pour s'occuper du duc nilas.
Elle s'était forgé une idée particulière de l'état dans lequel se trouvait le pauvre homme. Elle le voyait fatigué, assis sur une multitude de coussins, à pleurer son popotin endolori. Mais visiblement on n'avait pas la même douleur lorsque que, petite fille, on s'écrasait magistralement du haut d'un poney, qu'adulte en tombant de cheval.

Elle observa, médusée, son père s'occuper du malade. Elle ressentit la même excitation que lorsque sa mère s'occupait des malades du château, une certaine fierté et un enthousiasme lié à son jeune âge.
Mais en observant la détresse de la fille, elle ne put s'empecher de s'imaginer à sa place, et bientot les traits du duc revêtir ceux de son père, ce qui lui fit monter les larmes aux yeux. C'était bien triste tout ça. Et la dame se montrait très courageuse...
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Tinkerbell18150

Bell avait regarder la jeune demoiselle, regarder son père le médecin Meriadoc travailler, cela lui fit l'effet d'un coup de poignard dans le coeur, elle même le faisait pour apprendre de son père, assise sur son bureau elle le regardait et le harcelait de questions a chaque fois...

Le temps passait mais toujours aucun changement pour lui, l'inquiétude était de plus en plus forte.
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Tinkerbell18150

Elle s'installa près de son père et lui passa de l'eau sur son visage, elle lui parla a voix basse comme si il avait les yeux ouvert.

Tu vois papa, le médecin est la avec sa petite fille, j'ai pleins de chose a te dire tu sais, je suis fiancé et j'aimerais te le présenter, Salomé doit bientôt arriver.

Elle lui embrassa le front

Mumia nous a aussi dit que la situation économique de la Bretagne ne va pas bien, mais nous nous serrons les coudes , il y a beaucoup de choses en action pour relever tout cela, il y a une animation bien marrante ou on ai vendu au enchère et on sera l"esclave pour une semaine" pour l'acheteur, je me demande sur qui je vais tomber ... mais je sais déjà qui acheter hihi.

Elle lui passa la main dans ses cheveux en soupirant.
Elle ôta sa chaine autour de son cou et lui posa sa bague accrocher a la chaine dans sa main.

Allez papa courage, garde la bague de maman tu me la rendra a ton réveil.
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--Mignoniaj

Elle avait quitté le temps d'écrire quelques missives, le temps de quelques heures qui déjà l'a fit regretter de ne pas êtres aux côtés de ceux dont elle appréciait. Elle entra à nouveau, croisant le sage homme rencontré plus tôt. Son visage encore demi voilé, elle s'inclina devant lui et prit le chemin vers le chevet du baron. Le moine rapidement prit le pas à ses côtés et l'avisa qu'un médecin était passé.

Son estomac se noua, et c'est d'un pas hésitant qu'elle s'avança. Posant sa main sur le bras du vieil homme afin de le remercier. C'est alors qu'il lui dicte..

'Dame, à même votre visage cachée, je sais qui vous êtes. Mais vous, le savez-vous réellement? N'ayez peur de vous montrer tel que vous êtes, rien ne cesse de fuire, vous risqueriez de vous y perdre.'

Ses mots lui résonnèrent en tête au même moment que des images défilèrent sous ses yeux. Des images et encore des paroles, toujours les mêmes. Pendant un bref instant elle s'imaginait près de lui. Levant son regarde vers le moine d'un air perdu, réalisât qu'il n'était pas lui. Elle ne souriait plus mais un bref moment dans son coeur elle avait ressentie ce sentiment qu'il était là. Éveillé, lui souriant.

Elle disparue de l'autre côté de la porte et dans le silence de la pièce, posa son regard sur la jeune damoiselle auprès de son père alité. Une perle lui roula sur la joue, qu'une seule. Puis prenant sur elle s'approcha de la dite damoiselle en posant une main sur son épaule. Simple geste de réconfort, que pouvaient-elles faire de plus que simplement attendre, prier, espérer.

Tinkerbell18150

Elle caressais la joue de son père.

papa j'ai eu une confirmation de baptême, Armeria est ma marraine et Arzhel mon parrain. j'avais une maman de coeur mais elle se perd et n'accepte pas les conseil pour qu 'elle puisse avancer de nouveau sans être triste, mais elle m'abandonne aussi...
Ha oui je suis au conseil Ducal mais je t'avoue que je ne reconnais pas certains que je côtoyais avant, et que tu côtoyais aussi, bizarrement il ont tous changer a croire que la politique pourris.

Bon ouvre les yeux , j'ai encore besoin de toi moi, tu doit te battre aussi.

Elle lui embrassa le front et sentit une main se poser sur son épaule
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[RP] Mauvaise nouvelle... A son chevet....