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[RP] Le coin du sourire

--Etienne2

Je me disais que cette historiette là était vraiment inspirée. Sans vouloir l'égaler, je me plaisait à me faire entendre, à raconter.



Un homme inscrit son fils dans lieu d'apprentissage de la religion.

entrant le soir, le fils court vers son père

Père aujourd'hui j'ai été le seul à pouvoir répondre à la question posée par
le maître.


Le père un peu surpris mais tout de même fier de son fils

Ha bon! et quelle était donc la question?

le fils avec un grand sourire répond

la question était qui a renversé les pots d 'encre sur les papyrus?
Domdom
Comme à chaque fois qu'il passait par la capitale, l'encapuché San Claudien aimait à trainer ses chausses du coté du "Coin du Sourire ".

Cette fois ci , il décida d'alimenter ce haut lieu de l'humour sans prétention et de la bonne humeur , par un joli poème tout gentillet de prime abord , mais qui s'avérait être bien cru , pour qui avait les idées aussi mal placées que lui :




La première fois quand je l'ai vue
J'ai tout de suite remarqué son regard
J'en étais complètement hagard

Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit : Faut que je l'aborde
Pour voir si tous deux on s'accorde

J'ai déposé mon baluchon
Alors j'ai vu tes gros yeux doux
J'en suis devenu un peu comme fou

Quand je t'ai dis que tu me plaisais
Que j'aimerai bien te revoir
Tu m'as donne rendez-vous le soir

Et je t'ai dis Oh Pénélope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t'aimerai toute ma vie

Quand dans ce lit de marguerites
Tu m'as caresse doucement la tête
Ma vie entière est une fête

Et sous les regards de la foule
J'ai pose ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n'est pas malsain

A l'ombre des eucalyptus
Je t'ai dit : Je veux que tu me suives
Je te sentais d'humeur lascive

Alors comme ça dans les tulipes
Tu m'as fait une petite promesse
Gage d'affection et de tendresse

Si notre amour devait céder
Je n'aurais plus qu'a me faire prétre
Je ne pourrai jamais m'en remettre

Car si un jour notre amour rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que toi !


de Paul Adam Mignon


Maintenant , changez la fin du second vers de chaque strophe pour qu'il rime avec le premier vers , plutôt qu'avec le troisième ...
Un peu d'imagination , ce n 'est pas très difficile et ça transforme complètement le sens du poème.

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Une bannière, une tenue, un parchemin ? http://lysandart.forumactif.com/
Maecenas
Maecenas avait apprécié la prestation de Domdom. Ces prestations étaient certes rares, mais elles étaient très inspirées. Cela lui plaisait bien. Une fois de plus il avait signé son passage dans la capitale Franc-comtoise.


Félicitation messire, elle était vraiment bonne celle là!

Les acclamations des spectateurs s'en suivirent. Tout le monde se plaisait sur la place
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Sol lucet omnibus
--Etienne2

Je ne voulais pas des discours sur la place du coin du sourire. J'ai interrompu Maecenas qui voulais entamer un!

Messire Maecenas voyons épargnez nous des discours, nous sommes ici pour nous amuser et non bavarder. D'ailleurs les Tavernes servent à cela!
Domdom
Descendu de ses montagnes Comtoises, l'encapuché passait la journée à Dole, avant d'entamer un long voyage.
C'était donc la dernière fois qu'il participait au "Coin du Sourire" , avant certainement de longs mois
Sortant un parchemin, une massette et quatre vieux clous rouillés, il entreprit de clouer une affiche au mur :




. Petit cours d'économie politique :
Supposons 2 vaches...

SOCIALISME : Vous avez deux vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous vous partagez le lait.

COMMUNISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.

FASCISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.

'restons RP' : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune.

DICTATURE : Vous avez deux vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent.

FEODALISME : Vous avez deux vaches. Le seigneur s'arroge la moitié du lait.

DEMOCRATIE : Vous avez deux vaches. Un vote décide à qui appartient le lait.

DEMOCRATIE REPRESENTATIVE : Vous avez deux vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.

DEMOCRATIE DE SINGAPOUR : Vous avez deux vaches. Vous écopez d'une amende pour détention de bétail en appartement.

ANARCHIE : Vous avez deux vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.

CAPITALISME : Vous avez deux vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.

CAPITALISME DE HONG KONG : Vous avez deux vaches. Vous en vendez trois à votre société côtée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un "échange de dettes contre participation", assorti d'une offre publique, et vous récupérez quatre vaches dans l'opération tout en bénéficiant d'un abattement fiscal pour entretien de cinq vaches. Les droits sur le lait de six vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d'une société des îles Caïman, détenue clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société côtée les droits sur le lait de sept vaches. Au rapport de ladite société figurent huit ruminants, avec option d'achat sur une bête supplémentaire. Entre temps vous abattez les deux vaches parce que leur horoscope est défavorable.

CAPITALISME SAUVAGE : Vous avez deux vaches. Vous équarrissez l'une, vous forcez l'autre à produire autant que quatre, et vous licenciez finalement l'ouvrier qui s'en occupait en l'accusant d'avoir laissé la vache mourir d'épuisement.

BUREAUCRATIE : Vous avez deux vaches. Le gouvernement publie des règles d'hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l'autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la vache manquante.

ECOLOGIE : Vous avez deux vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse.

FEMINISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous changez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.

SURREALISME : Vous avez deux girafes. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d'harmonica.

CAPITALISME EUROPEEN : On vous subventionne la première année pour acheter une 3ème vache. On fixe des quotas la deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la 3ème année pour abattre la 3ème vache.

MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE : Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l'autre. La vache vivante devient folle. L'Europe vous subventionne pour l'abattre. Vous la donnez à manger à vos deux moutons.

CAPITALISME A LA FRANCAISE : Pour financer la retraite de vos deux vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt: la CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amis les bêtes) Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production du lait: le RAB (Remboursement de l'Ardoise Bovine). Les vaches se mettent en grève. Il n'y a plus de lait. Les français sont dans la rue: "DU LAIT ON VEUT DU LAIT" La France construit un *laitoduc* sous la manche pour s'approvisionner auprès des Anglais. L'Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. Le laitoduc ne servira jamais. On lève un nouvel impôt pour l'entretien du laitoduc.


Il relut une dernière fois sa prose , et s'en fut,son éternel sourire aux lèvres

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--Etienne2

Je lisais la prose qui était affichée! je me demandais s'il s'agissait d'une étude comparatiste! elle avait du prendre dû temps pour être faite. Je continuais de lire et relire.
Maecenas




Citation:
Tournoi de Soule organisé par la Franche-Compté.


Deux commentateurs se retrouvent après le tournois comtal pour faire le point sur l'ensemble des rencontres.

L'un:
C'est assez bizarre que ce soit un joueur de l'équipe qui n'a marqué aucun but qui sort buteur de la compétition.
L'autre:
Ah bon! Et comment cela est-il arrivé?
L'un :
Je crois qu'il y a eut une erreur quelque part.
Un passionné de soule:
Bien que non, il a eut tous ses but en mettant la balle dans son camp.

L'un:
il est plutôt malin le bonhomme
L'autre:
tu trouves?
L'un:
mais oui, lui au moins il va touché la récompense du meilleur buteur.
L'autre :
Et les autres membres de l'équipe?
L'un:
aucune prime!!!


L'autre:
Tiens regardes je viens de m'apercevoir que le meilleur joueur, n'a joué aucun match.
L'un :
c'est normal

L'autre:
explique moi, je n'y comprends rien du tout!
L'un:
le meilleur joueur est celui qui n'est pas sur le terrain.
L'autre:
hum?
L'un:
mais oui, il voit mieux tout ce qui se passe sur le terrain et comprend vite les stratégies adverses.
L'autre:
si ce n'est que cela, à la prochaine compétition, je suis joueur.



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Sol lucet omnibus
Serah13
Voilà Mae j avais promis de passer!

Citation:
Il était une fois un homme parfait et une femme parfaite qui se rencontrèrent.
Après s'être fait la cour,ils se marièrent ; leur union était bien sûr parfaite.
Une nuit de réveillon de Noël, ce couple parfait conduisait
sa voiture parfaite le long d'une route déserte lorsqu'ils remarquèrent quelqu'un en détresse sur le bord de la route.
Etant parfaits, ils s'arrêtèrent pour donner leur aide.
La personne en détresse était le père Noël, avec sa hotte remplie de cadeaux.
Ne voulant pas que des milliers d'enfants soient
déçus une veille de Noël, le couple parfait pris le père Noël et ses jouets à bord de la voiture parfaite et l'accompagnèrent pour la distribution des cadeaux.
Malheureusement, à cause du mauvais temps, le couple parfait et le père
Noël eurent un accident. Seulement l'un d'entre eux survécu à cet accident.

LEQUEL ?


La femme parfaite a survécu !!!!
En fait c'est la seule personne de cette histoire qui existe vraiment !
Tout le monde sait bien que le père Noël et l'homme parfait ça n'existe pas !

Les femmes s'arrêtent de lire à partir d'ici, c'est la fin de la blague.
Les hommes peuvent continuer


Donc si le père Noël n'existe pas, pas plus d'ailleurs que l'homme parfait, la femme devait forcément conduire.....
Cela explique l'accident.

Encore un peu plus bas

D'autre part si vous êtes une femme et que vous êtes en train de lire ceci, nous sommes en train d'illustrer une autre vérité :
Les femmes n'écoutent jamais ce qu'on leur dit !


Gros bisous
Maecenas
Citation:
Voilà Mae j avais promis de passer!
Cette phrase avait annoncé la présence de Serah! En effet elle avait dit qu'elle passerait. Tout comme Maecenas, Serah était du genre à honorer ses paroles. Cela était l'un des points communs qu'il avaient tous les deux. Mais cela n'était guère le seul point qui les liait. Ils avaient aussi en commun les parents car ils était né d'une même mère et avait également un même père.


Serah lui demanda de ramener la prière d'un soulard:
Citation:
Dis Mae, pour moi s'il te plait, peux-tu refaire la prière. C'est pour la route



Cétait donc sans surprise que Mae s'exécuta


Citation:
«

Notre bière qui est au frais ;

Que son contenant soit agrandi

Que son prix diminue ;

pardonne-nous nos médecins

Comme nous pardonnons aussi à ceux qui ne boivent pas d’alcool

Et ne nous soumet pas aux migraines ni aux gueules de bois

Mais délivres-nous de la soif

car c’est à cause de toi qu’il y aura marché, atelier et taverne

Pour des siècles et des siècles, Amen!! ».


Avant de s'en aller, lorsqu'elle était encore sur l'estrade et qu'elle lui céda l'espace qui pouvait être considéré comme un podium, elle lui dit
Citation:
Gros bisous.
C 'était la dernière fois qu'il la vit et qu'il avait entendu sa voix! Car le lendemain elle eut prit la route et ce n'était plus qu'à travers des courriers qu'ils eurent communiqué.
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Sol lucet omnibus
--Etienne2


Après avoir écouté Mae et sa soeur mais dans l'ordre inverse, je montais sur l'estrade.

A l'occasion de la lutte contre les matérialistes, j'ai une bonne blague pour vous!



La Dame : vous avez une maison ?

L’homme : Non

La Dame: vous avez un carrosse ?

L’homme : Non

La Dame : Combien d’écus gagnez-vous ?

L’homme : Rien mais …

La Dame : Il n’y a pas de mais qui tienne, vous n’avez rien et messire dit vouloir m'épouser, cassez vous chez votre mère !!!

L’homme : Il est vrai que je n’ai pas une maison, j’ai une villa; je n’ai pas un carrosse mais j’en ai trois. Je ne touche rien,"c'est moi le patron, c’est moi qui fiance tout l’empire.

La Dame : ah mais tout est réglé alors !

L’homme : Il n’y a rien de réglé car c’est maintenant à votre tour d’aller vous faire voir chez votre mère !!!
Maecenas
Maecenas se leva de nouveau et alla sur l'estrade. Il était à l'image de des autres qui étaient présents dans la foule. Il alla la gorge sèche, on aurait dit qu'elle fut noué mais comme il en avait déjà l'habitude, il alla. Se mit en face de la foule au lieu d'être débout, il assit. Tout le monde le regardait avec presque étonnement. Il leur adressa la parole.

cette fois, il s'agit des faits bien réels, puis sourit.




" On m'a parlé d'un petit garçon qui j'usqu'à près de quatre ans croyait que son nom était "tais-toi". Il marqua une pause puis reprend: Tellement on le lui disait dans sa maison.

Il eut une petite pause qui dura le temps que cent grains de sable tombèrent dans l'autre parie d'un sablier. Ensuite il raconta une autre petite anecdote.

"Un père, alla voir son fils de neuf ans qui se trouvait dans une sorte de colonie de vacances, lui demande s'il ne s'ennuyait pas de la maison.
L'enfant répondit non. Le père lui demanda alors si les autres petits garçons s’ennuyaient de leur maison. Au fils de répondre "seulement quelques uns, ceux qui ont des chiens chez eux".



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Sol lucet omnibus
Maecenas
Maecenas se souvint d'une blague de Lara, il ne se fit pas prier pour la dire.
Citation:



Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l’école de Gendarmerie.

- Comment vous appelez-vous, mon garçon ?

- Yves, et vous ?

Le capitaine, furieux, s’écrie :

- Mon petit bonhomme, je ne sais pas d’où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m’appelle Mon CAPITAINE. De même, dans ma compagnie, j’appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Yves Tartempion, je vous appellerai Tartempion, mais pas Yves. Me suis-je bien fait comprendre ?

- Oui, mon capitaine.

- Alors, c’est quoi votre nom de famille ?

- Montcherry…

- Très bien, Yves, au travail….

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Sol lucet omnibus
Hecate16
Un homme et une femme qui ne se connaissent pas doivent partager le même wagon-lit.

Bien qu’un peu gênés d’avoir à partager autant d’intimité, les deux sont fatigués et tombent bien vite endormis. Lui sur la couchette du haut; elle sur celle du bas.

Vers 1 heure du matin l’homme se penche au dessus de la couchette du bas et réveille la dame :

- Madame .. Madame. Excusez moi de vous déranger. mais j’ai terriblement froid.
Auriez-vous la gentillesse de me donner la couverture qui se trouve dans le casier ?


- J’ai une bien meilleure idée,répond la femme.
Faisons semblant que nous sommes tous deux mariés depuis 10 ans. juste pour cette nuit. Ça vous va ?

- Wow ! Quelle idée intéressante vous avez, s’exclame l’homme.
Je suis bien d’accord !
- Bon, dit-elle,
va la chercher toi-même et fais pas chier.
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Domdom
Une éternité que l'encapuché n'était pas passé par Dole !
Cependant , à chaque fois qu'il honorait la capitale de sa radieuse présence , il n'oubliait jamais d'aller sourire devant les petites perles humoristiques , que des mains anonymes avaient écrites sur l'affiche.

Aujourd'hui , il avait pourtant décidé de placarder un texte moins léger que d'habitude, espérant amener ceux qui le liraient à réfléchir sur le sens du mot "solidarité" :




quand ils sont venus
chercher les communistes
je n'ai rien dit
je n'étais pas communiste

quand ils sont venus
chercher les syndicalistes
je n'ai rien dit
je n'étais pas syndicaliste

quand ils sont venus
chercher les juifs
je n'ai rien dit
je n'étais pas juif

quand ils sont venus
chercher les catholiques
je n'ai rien dit
je n'étais pas catholique

puis ils sont venus me chercher
et il ne restait plus personne
pour protester


Martin Niemöller

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Domdom
"Encore une...Encore une !
Une autre !"


Face aux sollicitations de la foule Doloise en délire et surtout , de peur de déclencher une émeute s'il n'y répondait pas favorablement , le calvaphile se décida, un petit sourire lui étirant les lèvres façon banane , à placarder une nouvelle création sur le mur du "coin du sourire" :




C'est une petite fille qui demande à son camarade de classe qui est assis à côté d'elle:

"C'est quoi l'amour ?"

Le garçon lui répondit alors :

"L'amour, c'est quand tu me voles un morceau de chocolat chaque jour dans mon sac et que moi, tous les jours, j'en remets un exprès pour toi !"


[Merci à Mikaphile , mon inoubliable amie Rieuxoise (habitants de Rieux, Breizh ) , pour m'avoir transmis cette jolie petite histoire ]
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