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[IG/RP]Oserez/Mirandole: La Loire est assassine

Falco.
Comme d'hab: ouvert à tous, dans le respect de l'Ig des persos et de la cohérence en général.
Info: Le lieu de duel comporte une taverne
Les visiteurs peuvent donc venir camper, boire et manger...Entre deux coups de bottesou de sabots
Si vous savez pas comment aller sur une Taverne de noeud, envoyez un mp
LJD Falco


A la Buse Clouée- Entre Chinon et Saumur


Point de charge, ne sommes pas en tournois ou Lice.
Disons que tout les coups sont permis dans la limite d'une petite lieue de ce fortin.
Je porterai robe blanche et banneret d'Oserez..Si cela peut vous aider à ne point piétiner trop d'innocents...



Ils ont fait route ensemble depuis Loches.
Elle veut venger à tout prix la mort de gens qu'il ne se souvient plus avoir occis....Il a accepté, ayant fort désir de défoulement suite au trépas de son aimée sous les coups maladroits de l'Armée..
Et puis consolider la frontière Ouest de Chinon fait partie de ses attributions.
Cela faisait un moment qu'il faisait restaurer un vetuste fortin, sans doute ancien poste de péage ou moulin vaguement fortifié pieds dans la Loire.
Mais la Loire aime à changer de lit, la batisse devint inutile et en ruine.
Murs solides, portes et ferrures neuves, retaillage des meurtriéres démodées pour le tir à l'arbalète...
Des communs vastes pour heberger chevaux en nombres, et aux étages des masses de valets ou soldatesque au besoin.

Mais le principal réside en l'enseigne et la salle principale qu'il a fait emménagé en hostellerie.
Déco rustique qui sera enrichie de quelques trophés au fil des visites.
Une saine émulation entre gens de Touraine et d'Anjou est excellente chose.

L'enseigne....Un panneau de bois ou une Buse est clouée vive.
Plus tard, dés que Dieu le permettra, il échangera ce macabre accueil par un écu armorié de Penthièvre, Dénéré ou autre...


Dragones semble plus habituée à jouer les médicastres de guerre que d'être cavalière offensive.
Il lui explique et adouçi les régles de Duel.

Lui explique que gens de Touraine meurtris par erreur seront pris en charge à Chinon selon les usages de Cartel.
Mais que pour les autres...Ils ne sont que marchandises utiles à l'entretien de son harnois et de ses terres.


Il porte brigandine, gorgerin, salade et gorgerin sous la robe blanche.
Bottes hautes, spalières et autres canons pour les bras ou cuisses.
Un seul gantelet.
Il est manchot.
Le moignon tient rênes et écu.
L'épée est donc pour sa senestre.

Seigneur d'Oserez, au Blason explicite.
Il salue Dragones avant de tourner bride pour lui laisser du champs.

La bas, deux marauds campent..Il va tenter en douce de les intercepter tout en echappant à la Dame ivre de désir à le rosser à mort..


A Dieu Vat!
Dame de Mirandole!
A l'aube, trêve jusqu'à la midi.
Puis nous relançons la chevauchée...Jusqu'au levé de soleil.
Si vois avez amitiés avec la Duchesse d'Anjou.je vous invite à la prévenir.
Elle risque d'être curieuse .
Chose que je préférerai plutot qu'énervée et envoie une armée me clouer à coté de ce volatile..Ah!Ah!

A Dieu Vat!

_________________
Dragones
Arrivé, départ de Chinon

Elle avait passé la journée à se reposer et à entretenir sa lame, le soir elle avait décidé de manger à la taverne.
Le repas fut modeste et sans grand faste, ne voulant pas s’alourdit pour le lendemain.
Elle avait par la suite pris son écritoire pour répondre à des amis quand il fit son entrée.

Le regard s’assombrit, la Brune ne se reconnait plus en sa présence elle n’est que rage.
Elle l’écoute lui répond avec animosité le traitant avec peu de respect.
Son jugement est faussé par la douleur qu’il lui avait causée sans le savoir…
Comment avait-il gardé son calme avec ce qu’elle lui avait répondu ?
Et malgré ce qu’elle lui avait dit, proposition faite pour plus de sécurité de le suivre sur le lieu de leur duel.
Même là elle fut insultant, il lui en fit la remarque…
En était-elle allé trop loin ?...

Le rouge sera ma tenu et je ne suis pas de ceux qui charge à l’aveuglette.
Avec heureusement encore un peu de raison, elle l’avait suivi gardant une distance entre eux, sa main posée sur la garde de sa rapière…
Elle avait refusé de prendre un autre cheval que sa jument…

Vieille bâtisse qui ne paye pas de mine vue de l’extérieur et bien d’aspect accueillante une fois le seuil franchit…
Il avait du gout le bougre mais cela ne diminuait en rien sa rage contre lui.

A Dieu Vat!
Dame de Mirandole!
A l'aube, trêve jusqu'à la midi.
Puis nous relançons la chevauchée...Jusqu'au levé de soleil.
Si vois avez amitiés avec la Duchesse d'Anjou.je vous invite à la prévenir.
Elle risque d'être curieuse .
Chose que je préférerai plutot qu'énervée et envoie une armée me clouer à coté de ce volatile..Ah!Ah!

A Dieu Vat!


Je serais prête quand vous le souhaiterez et le Très-Haut décidera pour nous du résultat !
Pour la duchesse voyez vous-même, ne la connaissant point aucune missive ne lui sera envoyée.


Hochement de tête de la brune quand il s‘éloigne, elle s’installe dans la taverne attendant l’heure qui la fera ou non plier devant lui…
_________________
Falco.
Première passe d'arme.Poisse et passe!

Hum..Elle m'a bouffé ma corneille la Duchesse chui sur...Pour la peine j'vais te garder un doigt, messager..


Il a du courrier depuis le Fortin de la Buse Clouée, apporté par de la valetaille essoufflée.
Cette dernière blémie, se demandant si c'est du lard ou du cochon.
Pas d'bol, c'est du lard.
Quleques instants plus tards, dans un sillage de jolies gouttes de sang, le messager repart vers Angers en se tenant la main gauche.

Un pouce est cloué sur la poutre qui domine le comptoir.
Il savait bien que la déco allait vite venir.

Ensuite vient le temps d'aller en chasse contre Dragones...


Premier problème: la route est passante et les passants prudents.
Ils marchent en faisant du bruit sur la route ou empruntent les sentiers latéraux, selon la tactique choisie.

Lui chemine sur son palefroi au gré des bancs de graviers du bord de Loire, entre bouquets de jeunes saules et peupliers.
C'est trés bruyant des sabots ferrés sur des cailloux.
Mais il espère ainsi rabattre sa proie vers la route ou dénicher les campeurs repérés tantôts..
Las!

L'aube approche et il n'a entrevu que quidams sans interêt.
Sauf ce ptit groupe qui marche bien serré.
Alors il fonce.
Le détail est cocasse , le résultat comique...Mais quand un palefroi de quesi une tonne remonte un talus de sable et galets, toute charge se trouve brisée.
Pire, suffit d'une saleté de tronc mort enfoui planqué la pour que le cavalier fasse un soleil et atterrisse au milieu du groupe.

Il a l'temps de dire:
Rendez vous, vous êtes cernés...

Peur et surprise font le reste.
Il s'en ramasse sur l'armure ici et la, à coup de pied, bottes, batons, il pense même que l'un d'eux saute à pied joints sur son mauvais genoux!

Citation:

6-06-2011 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Chimere de Wandrille et de Gg42 (coefficient de combat 3), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.(Ils m'ont dit leur nom, chui sur! Genre: et ça c'est la part de Chimère, enfoiré d'brigand!)


Crabouillé par trois gueux!
Et son palefroi qui ne bronche pas.

Le soleil pointe pile au dessus des lointains créneaux de Saumur. Il se hisse en selle.
La poisse au premier tour de 421 avec le Divin...Il regagne la Taverne pour la trêve jusqu'à midi.
Se demandant si Dragones, qu'il n'a pas aperçue, à eu quelques aventures croustillantes...
Elle, si pure et baignée de gentillesse...Aura t'elle rossé un pov gars?
Ou aura t'elle des bosses à comparé aux siennes?

Il attend, bière en main.
Tartine au poisson frit pour le ptit déj.
Avec un oignon.

_________________
Dragones
Premiere tentative...

L’heure était venu d’honoré le rendez-vous, elle se sentait prête et sereine.
Monté sur Iroise, elle avance cherchant tenu blanche pour leur rencontre…
Elle se tenait à l’affut, la main sur sa rapière quand elle croisa une donzelle.
La Brune s’apprêter à la saluer quand celle-ci lui lança sa bourse et parti en courant sans qu’elle puisse agir.

Citation:
16-06-2011 04:04 : Vous avez racketté Morganes qui possédait 11,75 écus.


Dans un premier temps surprise de la Brune, glisse au sol prenant la bourse et appelant la dame pour la lui remettre.
Deuxième temps réalisation de la Brune qu’elle fut prise pour un brigand, grimace et passe le reste du temps à rechercher la jeune femme en vain.
Rendez vous manqué avec Falco…

Dragones retourne vers son auberge unique lieu de confort même si c’était tenu par l’homme qu’elle haïssait le plus dans tout le royaume…
Avait-il détroussé des pauvres gens ?
Etait-il blessé ou pire ?

_________________
Falco.
Première Trêve. Fortin de la Buse Clouée


B'soir Dragonnes..


Le moulin fortifié est calme, il semble que les deux duellistes soient seuls ici ce matin.

Il décabosse une spalière à coup de chope d'étain.
Songe qu'une forge sera utile vu l'endroit.
Elle tourne à la tisane, il boit en grimaçant.
Ses bleus et bosses sont énervants.
Ils discutent de Foi et de noblesse.
Mais le gouffre est immense.
Il est à ses yeux l'antithèse du monde qu'elle connaissait jadis.

Dieu a des desseins et des leçons qui donnent le sel à cette vie.
Leçon d'humilité pour moi.
Leçon de courage pour ces gueux..
Et vous?
Ne niez pas la réalité.
Pour assouvir votre vengeance vous ferez couler le sang innocent.
Un Mal pour un Bien?Ou juste le Mal?



Il répare son harnois au mieux tout en devisant.
Tout les oppose.
Ils se découvrent un point commun pourtant.
Elle fut classée Hérétique.
Il en rit aux éclats.

Ils se séparent par ces quelques mots, entre autres:

Vengée ou vaincue...Vous partirez changée d'ici.
A dieu Vat et priez le pour me férir moi plutot qu'une pucelle évaporée..

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Dragones
La buse Clouée qui porte bien son nom…

Bonsoir…

Elle prend sur elle pour ne pas le soigner ou lui donner un de ses baumes.
Ils parlent d’un foyer de forge, elle trouve le lieu bien choisi.
La conversation part sur des sujets qu’elle évite en générale.
Elle refuse de boire en sa présence autre que sa tisane.
La Brune refuse de le voir changer, d’être plus le même homme qu’elle avait recherché depuis si longtemps…
Sinon cela n’était plus la peine…

Les desseins peuvent être cruels ou bon et je suis loin d’être une sainte.
C’est votre sang que je cherche à faire couler pas celui d’innocent.


Laissera-t-elle encore sa vengeance la faire être un monstre ?
Elle refuse de penser au risque de blesser des innocents, de frapper à l’aveugle.
La Brune sait qu’il a raison mais elle ne lui avouera jamais.
Dragones ne le supporte pas et pourtant n’est elle pas entrain de faire comme lui pour pouvoir se venger ?...
Il rit à son aveu qu’elle avait failli d’être mise en procès pour hérétique…
La Brune le regarde alors qu’il prend congé…

Le changement sera surement dans les deux sens…
Croisez mon chemin que ma lame vous transperce quant à la pucelle je prie le Très-Haut qu’elle ne passe pas en ce lieu…

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Dragones
A nous deux !...

Le Très-Haut l’avait entendu, point de pucelle ne fut touchée pas la Brune…
A nouveau montée sur Iroise, elle avance la main toujours posée sur la garde de sa rapière, l’esprit tourné sur l’échange avec Falco.
S’il n’avait pas été se qu’il est, aurait-ils pu être ami ?...
Elle ne le saura pas…
La Brune cherche à nouveau la tenue blanche…

Iroise est nerveuse, la cavalière se tient sur ses gardes…
Mots rassurant murmurer à sa jument, Dragones se redresse, au même moment son regard se porte sur une tenu blanche…
Falco se tenait devant elle…
Le moment était venu, la promesse faite il y a si longtemps sera enfin tenu.

Nous y voilà !

La Brune ne veut pas attaquer avec sa jument, elle glisse au sol, donne un coup sur la croupe de sa jument qui s’éloigne du lieu du combat…
Elle se tient devant lui sans armure et sans bouclier, pour simple protection ses vêtements, braies, chemise, bottes comme souvent en rouge.
Comme lors de son entrainement avec l’écossais, sa longue chevelure et tresser.
Contraste saisissant avec la tenue choisi de Falco.
Dragones s’élance, la rapière à la main pour le frapper…
_________________
Falco.
Seconde journée

Que reste t'il de nos âmes
La cité est en flammes
Douves emplie de compagnons
Murailles brisée, tas de moellons

Ne pas être morts rend libre
Alors que la ville est prise
Que reste t'il de nos âmes?





Il chantonne sur son palefroi noir comme le coté obscur de la Lune.
La trêve est close, son harnois réparé et ses horions oubliés grace à une courte sieste.
Lui qui vit de son épée, pour la guerre et la violence et la dispense sans même se demander si une autre vie aurait été possible imrovise des rimes sur airs guillerets tout en cherchant Dragones.

Loire est tumultueuse quoiqu'un peu basse. Printemps de sécheresse que quelques orages ont perturbé dans la nuit en amont sans doute.
Les flots sont marrons, charriant troncs brisés et feuillages frais arrachés aux ilôts.
Quelques cadavres de moutons à l'occasion.
Foutues bestioles qui vont brouter la où l'herbe est verte mais innondable..Foutus bergers.Peut être que la chose entre deux eaux qu'il aperçoit est l'un d'eux?

L'aprés midi est assomant de chaleur, juste meublé par la rencontre avec un duo qui a l'air de Bretagne.
Il les jauge.
Souriant..Les invitant à la taverne.
Le nom leur mettra la puce à l'oreille s'ils ne sont pas sots.
En cas contraire...Malheur à eux.

Au crepuscule tout devient bleu, heure entre chiens et loups.
Saules argentés prennent teintes sombres de velours, les trembles aux feuilles chantante jettent milles reflets dans chaque boire du fleuve (Boire: Trou d'eau laissé par les crues
)
C'est audétour d'un taillis qu'il la voit.
Elle lui tourne le dos.
Dans la pénombre la stature est la même alors il pique des deux .
Cette fois seules des feuilles séches bruissent sous les énormes sabots.

Elle se retourne trop tard.
Cheval et cavalier n'ont plus le temps de ralentir non plus.
Ce n'est pas Dragones et la Dame est en bleu pâle et non rouge.
Foutu soir aux couleurs trompeuses.
Pis la fente d'une salade n'est pas le top pour conserver un regard de faucon, nyctalope(ta mère) en sus!

Elle fait geste de défense.
En vain.
Le poitrail du palefroi la heurte à une épaule, la jetant à terre comme si elle était brindille devant une faux.

Il fait demi tour.
Ne dégainant même pas l'épée.
Il est en harnois et elle est déjà à terre.
Une ruade lui brisera les os si elle a l'idiotie de s'enteter..


Hola, mignonne.
Je cherchais Dame en Rouge, vous êtes bleue.
Dieu fut obscur dans son idée à ainsi me tromper.
Donnez vos biens, ne tentez pas de défense inutile..
Et si vous allez sur Chinon, on vous soignera.
Je suis Falco de Cartel, Seigneur d'Oserez.

A présent filez!
Citation:

17-06-2011 04:04 : Vous vous êtes battu avec Reinerachel (coefficient de combat 2), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.


Entendra t'elle raison?

Cela l'arrangerait, car sur la route empierrée vient de jaillir un éclair carmin, rapière en main.

Hum...Foutue guerriére que voilà..On dirait Jargor chargeant en chemise et dague chevalerie lourde de Touraine...Entrailles de cerf..Elle a la bravoure mais pas la sagesse..


Sa victime encore à terre, peut être salement sonnée, il saute de selle avec aisance malgrés la brigandine et le reste.
Les armures de cavalerie n'ont plus rien à voir avec la ferraille des chevaleries d'Ost.
Faisant cela, son moignon, d'un prompt tour de poignet, se libère des rênes et du même coup de son bouclier aux armoiries d'Oserez.

Les deux faux sur fond noir tombent sur le sol.
Elle a rapière.
Il relève sa visière.
Ce genre de lame est rapide , ila besoin d'y voir clair.
Son épée de cavalerie semble trop longue et lourde en comparaison.
Il la dégaine , faisant cliqueter la longue chainette qui relie la garde au baudrier.

SOn harnois est de fer mat, rayé par un entretien soigneux.
Son arme est pareille.
Falco n'etincelle pas, loin s'en faut.
Sa robe blanche, presque immaculée, lui confère une allure de gentil paladin.
Amusant.

Un regard vers la donzelle à terre...Il la tiendra à l'oeil.

Dragones le charge, rapiére sifflante.
Par habitude autant qu'instinct il présente son profil droit.désarmé mais armuré.
Il est gaucher.
Epée en main Senestre, basse, pointe frolant les herbes.
Les pieds se placent d'eux même.

Il se demande encore s'il va la tuer , ce qui serait aisé...Ou la garder en vie. Ce qui demande plus d'efforts.
Une voix intérieure résonne alors en son crâne couturé.


Orgueil! Cartel! Orgueil! Prend garde que je ne prenne ton âme maintenant.Tu es à moi, n'oublie pas!
Fout le camp, salaud!
J'me doute bien que d'estoc elle peut me trouer oeil et cervelle..Crétin Sans Nom!



Craquement de cervicales.
Il attend la charge.

_________________
Dragones
Je te hais ?!...

La Brune charge oubliant toutes les règles de prudence, remarquant à peine la femme au sol…
Elle croise son regard, elle resserre sa main sur sa rapière raffermissant sa prise.
Il l’énerve, l’exaspère, elle fonce tête baisée ayant du mal à se contrôler.
La rapière finit sa course le frappant sans ménagement, les lames s’entrechoquent.
Elle enchaine les passes, attaquant sans relâche et sans ménagement avec un regard de haine.
La vengeance est mauvaise conseillère, heureusement que son corps se souvient des gestes à faire.
Les genoux légèrement fléchissent, les pieds bien à plat, elle frappe encore.
Il part chaque coup, attaquant à son tour aussi…
Elle part avec justesse, ses gestes manquent de justesse…

Petit à petit pourtant elle retrouve les mouvements de danse et devient plus agile et rapide dans ses mouvements.
Mais l’erreur a été faite au départ, même si le corps et l’esprit ont retrouvé le contrôle.
Le souffle qui n’a pas été modéré se fait ressentir et contrairement à Arthanagor, Falco ne retient pas ses coups.
Il lui faut ses deux mains pour tenir son arme…

Que cherche-t-elle vraiment dans ce combat ?
Elle aurait pu le faire en lice, moins risqué, moins d’inquiétude de ses amis, moins de tout…
Non, elle était là sur se chemin à la nuit tombée dans une région inconnue loin des siens.
Prêtes ?...
L’est-elle vraiment ?

_________________
Falco.
A la fin de l'envoi...

Jolie position!


Il a un sourire en coin aux premiers assauts.
Coté balafre, ce qui fait luire incisives et os de machoire de gencive toujours à nus.
Un charme à tomber raide...
Elle manie la rapière en droitière, il est gaucher.
Sa main droite est tombée en Guyenne jadis.
Son épée de cavalerie est plus longue, son allonge aussi.
La nature fait les Cartel dans le format maigre et longs comme mantes religieuses.
Mais son arme est plus lourde, faite autant pour la taille du haut d'un cheval contre la pietaille que d'estoc une fois au sol.
Usage qui sort tout seul de sa bouche alors qu'il repousse le fer sans se servir de sa lame mais d'un revers d'épaule armuré.

En Garde ! Prêts ? Allez !

Il recule d'un pas, en position septime, garde basse.
Puis tout s'enchaîne et il en bave au début.
Vitesse contre expérience;
Puis jeunesse contre endurance.
Il a un mal fou à ne pas croiser la mince lame de Dragones et lui briser en la coinçant dans sa garde courbe.

Il est en harnois et en use sans même y songer.
Voilà la différence entre noblesse armuré et le reste du monde.
Il SAIT que telle ou telle partie de son corps ne risque rien selon les assauts adverses.
Alors que Dragones doit songer à son intégrité des pieds à la tête.

Plusieur fois il se laisse toucher.
Visage découvert, visière levée, sans la quitter du regard.
Ses yeux ont le bleu de celui des poissons morts disait une dame jadis...
La pointe percutant sa brigandine au coeur, ricochant sur le gorgerin, fouettant une jambière.
A chaque fois il répond par un mince sourire et contre attaque par bond avant, voire en ballestra.

Elle s'épuise.
Il se remémore, tandis que les passes d'armes se suivent selon des schémas prédits, le chaos des batailles.
Les duels sont presque vacances.


Vous avez bon maître..Jeune dame..Mais escrime est plus qu'un jeu.
C'est l'art de tuer sans être tué avec le minimum d'effort et de risques.

Alors il change la régle et cela se voit de suite.
Ses attaques sont plus véloces.
La ou il s'obligeait à ne viser que le bras de Dragones, il se met à alterner coups de tailles ou d'estoc vers ses chevilles ou même son bas ventre.
Il est homme de guerre, qu'elle se rentre cela dans le crane.

Une dernière fois la rapière vient glisser sur le rebord incurvé de sa salade.
Il en profite pour contrer l'arme avec la sienne plus lourde et solide.
Cela glisse tout seul jusqu'à la garde de la jeune femme.
La torsion qui suit lui entaille durement la main sur plusieurs phalanges.

La désarmer est ensuite enfantin.
Par quelques coups en brutes jusqu'à ce que douleur et force conjuguée rompent sa rage de le vaincre.

L'usage le veut.
Premier sang.
Elle est à merci.
Halte!
Ainsi les termes d'écoles sortent tout seuls.
Elle a la main en sang, il ignore la gravité.
Il pose sa lame à plat, durement, sur son épaule en lachant un bref:
Genoux à terre.

Noblesse chevillée jusqu'au fond de ses os et de chaque cicatrice.
Pour lui Dieu a jugé selon la régle de l'Ordalie.
Le grief est clos.
Elle aurait pu choisir la Lice.
Elle a osée confronter son âme au monde de celui qu'elle haissait tant.

Si elle n'admet pas le jugement de l'épée et du Divin, alors il la tuera .
C'est moche, mais il a assez d'ennemis comme ça pour éviter d'en conserver en plus dans le dos...

Citation:
17-06-2011 04:04 : un malfaiteur nommé Dragones (coefficient de combat 5) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.


Elle saigne beaucoup.
Elle est médicastre, peut être sauvera t'elle tout ses doigts...
Mais pour un moment elle devra acquérir un autre point commun avec Falco: être gauchère.

A Genoux, te dis je.
Accepte l'ordalie.

Il a hate d'en finir.
Même si ces jours furent étrangements agréables par leur simplicité.
Car des messages arrivés A la Buse Clouée le mandent en Touraine au plus vite.
Hors il a Condotta envers le Duc.
Et son suzerain est concerné aussi.
Ainsi que Touraine.
Pas qu'il soit vital.
Juste que son boulot est de faire ce pas que personne n'ose.

Il la regarde son haine ni compassion.
Il la regarde et l'on devine qu'il la sonde, explore chaque mots échangés, chaque geste, son odeur, chaque infime détails qui s'imbriquent dans ce crâne laid.
Car de ce qui va suivre un avenir possible filtre au travers des alternatives qu'il perçoit.
L'infime possibilité que dans un proche avenir ils soient dans le même camps et en guerre...

_________________
Dragones
Leçon…


Il joue de ses attaques lui montrant qu’elle a encore à apprendre.
En garde à son tour face à lui regard gris clair dans ce regard bleu poisson réussissant à éviter ses attaques.
La rapière touche et ripe sans vraiment le blesser.

Vous avez bon maître..Jeune dame..Mais escrime est plus qu'un jeu.
C'est l'art de tuer sans être tué avec le minimum d'effort et de risques.


Puis il change et se met en garde, la Brune déglutie et se prépare.
Ca remarque lui fait perdre un moment le rythme de l’échange, la Brune déglutie.
Pourquoi ? Se jouait-il d’elle ?
Que chercher t-il à faire?


Dragones sait qu’elle ne tiendra pas devant lui mais le choix a été fait.
Elle l’assume et poursuit jusqu’au moment ou sa rapière glisse à nouveau et se trouve en difficulté ne pouvant esquivez ce qui va suivre…
Il l’oblige à tordre son poigner, la main relâche la rapière, encore un léger geste et sa lame tombera.
Elle le regarde se disant que le moment était donc venu…
Dragones lache un cri de douleur, son regard se porte sur sa main en sang…
Une belle coupure qui la brule et l’électrise empêchant sa main de réagir.
Comment la rapière tient t’elle encore dans sa main, la Brune ne pourrait le dire.
Il enchaine, les coups sont brutales et l’oblige à lâcher sa lame.
La douleur à sa main et telle que le souffle est court et la fait vaciller…

Halte!

L’épée et posé sur son épaule, elle le regarde, le corps tremble de la douleur de sa main.

Genoux à terre.

Le combat intérieur commence en entendant son ordre, il lui laisse encore le choix...
Mourir là maintenant ou accepter la défaite et le choix du Très-Haut ?...
Sa fierté la fait hésiter, elle ne réagit pas…

A Genoux, te dis je.
Accepte l'ordalie.


Plus le temps de réfléchir si elle ne plie pas : elle se perd.
Que dira-t-on à ses enfants ?
Qui s’occupera d’eux ?
Et que faire des promesses faites à Seamus ?
Ses amis ?...

Lentement serrant la mâchoire, la Brune plie les genoux sans le quitter du regard.
_________________
Drunk
[Loin du Chaos…]

Drunk était arrivé en Anjou pour accomplir sa première mission.
Perdu dans la campagne Angevine, il était passé à l’auberge de la buse clouée afin d’y reprendre des forces et d’y déposer ses affaires.
Puis il s’était mis en route en quête d’un endroit en surplomb.
Une fois l’emplacement choisi il avait pris position et se remémora l’acte d’accusation
Le juge lui avait demandé de méditer pendant ces jours de pénitence.

Des mots qui avaient sonné en lui comme une résurrection ou un accouchement.
Il avait pris conscience qu’il était à une époque charnière de la société, l’ancien alcoolique avait soif de connaissance.
Tout son être tendait vers … ça, … le savoir.

Il n’était pas venu au Jargor pour rien, des compagnons lui avaient parlé de choses étranges, et sans s’en rendre compte l’avaient aidé à se transcender.
Une bande de routiers aux idées controversées avaient sauvé cette vielle carne.
Que se soit en matière de Religion, de Médecine, de Pouvoir ou de biens d’autres choses, ils l’avaient éduqué.
Lui qui se saoulait du matin au soir, avait commencé à … penser.
Lui qui tapait avant de parler, maintenant essayait de … réfléchir.
Lui qui ne faisait qu' hurler, ne voulait juste que … comprendre.

La nuit était tombée sur le pénitent, il se trouvait fort loin de toute agitation.
Tandis qu’il guettait, il leva les yeux aux ciels.
Et s’adressant au très haut lui demanda tout simplement et humblement.

Qu’attends-tu de moi ?
_________________
Drunk
[Quand la réponse devient clarté]

A peine eut-il posé sa question que le divin lui répondit.
Deux hères apparurent au coin du chemin.
Un éclair dans le regard du vieux fou, il prit son élan et sauta du tertre juste devant les deux mécréants.


Le très Haut, par le biais de mon Maistre, le Seigneur de ces terres, Ser Falco de Cartel, vous envoie à moi pour votre salue.

Le breton devait avoir l’air d’un archange maudit car les deux voyageurs ne répondirent même pas et ne tentèrent pas non plus de se défendre.
Ils lui remirent leurs effets sans le moindre combat.


Citation:
09-07-2011 04:05 : Vous avez racketté un groupe composé de Ineffable et de Hektor_ qui possédait 242,26 écus et des objets.


Noble pèlerin, voyagez en paix quant à présent, et remerciez mon Seigneur de vous avoir mis sur mon chemin.

Ensuite le Breton retourna à l’auberge de la Buse Clouée pour terminer la nuit et tenter d’y trouver le sommeil.

Cela faisait plusieurs jours qu’il dormait mal. Non pas qu’il fut inquiet de l’issue du procès, mais c’est que sa cervelle ne cessait de le travailler.

Depuis sa rencontre avec une médicastre, l’ignorant était tourmenté par les questions sur l’âme.
Par exemple, il se demandait par quel processus, l’âme sortait du corps du défunt.
Car il ne croyait plus vraiment à l’Ankou qui était vraisemblablement une légende bretonne.
Alors l’inculte devait apprendre.

S’endormant, il songea à son âme qui quittait son corps par la bouche.

Il se réveilla tard dans la matinée. S’installa en taverne attendant venue de quelconques voyageurs.
Pendant ce temps il examina sa carte, calculant les temps de trajet.
Il devrait certainement prendre la route s’il voulait réussir sa mission.
Enfin il envoya un pigeon pour rendre compte à son Maistre.


Citation:
Sir Falco
Le très haut a intercédé en vostre faveur.
Il vous a envoyé deux âmes perdues afin que je les remette dans le droit chemin.
Ainsi en a décidé le Divin.
Vostre serviteur

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Cymoril
Pause.. pipi.


D’aussi loin qu’elle s’en souvenait, l’endroit avait toujours été déserté. Trop délabré même pour y trouver refuge à la nuit tombée… Pourtant elle le connaissait bien, pour s’y être arrêté tant de fois… Et elle laisse un sourire venir flotter doucement sur ses lèvres en lisant l’annonce faite en devanture… Cartel un jour…

Le flot de souvenirs remonte doucement. C’est à cet endroit même qu’ils avaient prélevé la taxe péage angevine lorsqu’ils redescendaient en escortant la jument garoute… avec Moufette, la Nys… et le bûcheron berrichon. C’est là aussi qu’ils avaient volé l’armée ducale à Aurélien et l’avait lancée sur Saumur pour tenter de tuer Kilia… Et de donner un peu de frissons à tous les voyageurs de passage…

Oui.
Ce petit coin de nature a quelque chose de particulier…
Il est sacré.
Il est Cartel.
Sans conteste.

Et le fortin aménagé à l’image du seigneur qu’elle a toujours connu. Dommage qu’il n’y soit pas. Elle aurait pris plaisir à l’embrasser… Non. Faut pas déconner non plus. Ca c’était l’enjeu des paris qu’elles se lançaient à l’époque avant chaque charge… Et personne n’avait envie de les perdre. De mémoire, elles préféraient même la blessure plutôt que de se risquer à ce genre de rapprochement furtif avec le Sac d’Os…

Le matin passé elle a goûté la bière servie. Tiédasse et brassée façon Cartel. Il est des choses immuables. Comme d’autres indicibles. Et ce soir, elle ne fait que passer devant, préférant s’amuser de voir au travers des carreaux sales les clients s’enquiller peut-être ce breuvage un quart houblon trois quart pisse, trouvant ça encore plus savoureux..
C’est qu’il a toujours été si.. facétieux.
Il apprécierait sans doute la douce ironie que de voir son domaine envahi par ceux là même qu’il devrait s’employer à repousser. Et tenterait de leur bourrer la gueule sans aucun doute. C’est un tendre qui aime endormir sa proie pour mieux la dévorer toute crue.

Lorsque la nuit aura vu disparaitre la clientèle, elle ira glisser un mot à l’intérieur de la buse desséchée par la chaleur et le soleil qui tape sur l’huis la moitié de la journée, par une entaille presque invisible sur le duvet éteint…


Citation:
Adishatz, Mon Sac d’Os adoré,

Décidément, d’un bout à l’autre de ce fichu royaume, nous ne cessons de nous rater.
Pourtant Deos sait combien j’aurais apprécié à nouveau un de ces corps à corps avec vous. En tout bien tout honneur… Surtout vos biens et mon honneur. Vous savez mon côté fourmi et ma tendance à ne rien lâcher.

J’attends ce jour avec impatience. Et pouvoir siroter de cette bière si spéciale que vous servez, ou du moins faire semblant en toute amitié, prendre des nouvelles des vivants et trinquer aux morts…

Adiù…

C.

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--Gugustave
Un p’tit peu plus d’un mois que le Gustave traine dans le bauge de rase campagne du Seigneur Falco, taverne délabrée entre Chinon et Saumur, sur territoire Angevin.

Le Gustave, il pensait qu’il allait se reposer tranquillos peinard, un brigand ou deux qui passeraient chaque jour, un passant ou deux qui viendraient pleurer pour avoir un quignon de pain parce que les brigands avaient tout piqué. Mais non, pas le temps de se reposer, en quelques jours il en a vu passer du monde. Et du beau monde s’il vous plait !

Y’a une petite dizaine c’est des hommes du Ponant qu’il a vu, des soldats vaillant défenseurs des affaires berrichonnes, en tout cas c'est qu'ils lui ont dit. En quelques jours de présence ils en avaient lâchés des écus ! L’Gustave souriait à chaque nouvelle pinte déposée devant un soldat. Ah il serait sans doute content le Seigneur Falco, tout du moins c’est ce que le Gustave pensait. Malheureusement les soldats partirent au bout de quelques jours et la triste vie du Gustave reprenait, un brigand par ci, un autre par là, l’un plus radin que l’autre.

Et arrive enfin ce petit matin béni par Aristote ou enfin des soldats à nouveau arrivent. Ceux là c’est pas les mêmes que l’autre fois, ça y s’y trompe pas le Gustave, si la dernière fois y’avait fort l’accent du Poitou, ce coup ci ça ressemble plus à du Tourangeau. Et en matière de Tourangeau il y connait un rayon puisqu’il l’est lui-même.

Une pinte, deux pintes, trois, dix, il arrive plus à suivre tellement y’en a, puis comme il sait que compter jusqu'à dix, personne ne saura jamais combien de pintes seront distribué à cet attroupement de soldats Tourangeaux qui traine sur les terres d’Anjou. Un petit moment d’accalmie et notre brave Gustave se met à compter les soldats, 1,2,3,4, etc 10 ! Et un groupe de 10. Et on reprend 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10 et ça ça fait un deuxième groupe de 10. Ah il est fier, il a déjà compté 5 groupes de 10 soldats, oui mais non, son regard croise celui d’un type qu’il a déjà croisé.

Hep toi là bas t’étais dans le groupe 3 qu’est ce que tu viens foutre dans le groupe 6 maintenant ! Tu fausses mes comptes bougre d’âne. Tiens pour la peine ta chope t’vas la payer 2 écus ! Puis Mon Seigneur Falco va être…

Pas le temps de terminer sa phrase, il est là, c’est tout du moins ce que le Gust’ croit, c’est qu’il l’a aperçu qu’une seule et unique fois.

Chef ! Patron ! Votre Seigneurie de Cartel c’est bien vous ?
Vous êtes venu chercher vos écus ?
Vous aviez raison d’ouvrir votre trou perdu Vot’ Seigneurie, ça marche du feu d’Aristote votre bauge, le bon plan.


Oui, non, c’est lui, c’est pas lui, il en est plus sûr, ça grouille de monde, les soldats le bousculent, ils sont tout content de venir attaquer la rase campagne Angevine. Mais le Gustave il comprend plus rien, lui qui croyait les Tourangeaux braves et guerriers il est déçu. Finalement se sont des pleutres, les Ponantais ils étaient quand même plus drôle et courageux, même si chaque petits matins ils revenaient, la nuit ils avaient au moins tenté de passer les remparts de Chinon.

Moralité : Vaut encore mieux être ponantais et se prendre une rouste sévère, qu’être Tourterelle Bourgeonnante Péripatéticienne Royaliste ?

Mais il espère quand même vivement se tromper, il en est sûr, l'Italien son Duc il en a dans les braies !!! Et il pense à voix haute.


Vive le Duc Llyr, enfin un homme qui envoie les soldats à la boucherie. Quel grand homme !

Rien que d'y penser, le sourire revient sur le visage du Gustave qui reprend du service, il compte les groupes de 10 et les chopines par dix aussi. C'est certain à la fin de la journée il saura combien ils sont. Ou pas.
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