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Attia. VS Bourgogne [Heimdal - Shynai]

Heimdal
Heimdal soupira, puis il eut soudainement encore une question.

Bien Messire Olivier, j'ai encore une question. Quand avez vous envoyé ce LP ?
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Olivier1er
Reflechit deux minutes.

- le 31 decembre ou le 1 er janvier. Je me rappel la proximité du changement d'année, mais point si il precedait ou suivait mon courrier.
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Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Attia.
Attia avait peu dormi la veille et se surprit a bailler a plusieurs reprises.
C'est qu'un proces c'est ennuyant quand c'est pour entendre dire les mêmes choses.
Cependant elle appréciait la tournure des choses. Le procureur semblait bien décidé a tirer l'affaire au clair et c'est tout ce que demandait la brune.
Elle avait souffert a cette époque la d'un concours de circonstances malheureux et si elle n'avait pas eu le plus exemplaire des comportements elle n'avait pas été encouragée par la volonté de ses accusateurs de la punir a tout prix et sans considération pour toute forme de justice.
Enfin, elle se calqua sur la jeune Eli.
Silence, sourire, le dénouement arriverait bien assez tôt.

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[ Nota Bene - Ma nenette porte le surnom de "gitane", cela ne fait pas d'elle une romanichel pouilleuse]
Heimdal
Parfait, je n'ai pas d'autres questions
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Olivier1er
Incline la tete en direction du Procureur.

Se tourne vers le Juge pour la suite : autres questions ou retour dans la foule.

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Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Olivier1er

L'assemblée semblait concentré sur une reflexion intense... Il se rememorait ce qui avait ete ditpour declencher un telle catalepsie... Il ne voyait rien. Si formule magique avait ete prononcée, il devait s'en souvenir, lors d'une campagne cet effet sur les opposants serait des plus utile.

En attendant, il fit signe a l'un de ses pages de lui porter un verre de vin.

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Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Keltica
Et hop, encore un changement dans la levée de la main ; blonde certes, mais avec de la suite dans les idées...


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Shynai
L'atmosphère se faisait pesante, la séance avait été suspendue depuis bien des heures, lorsque la juge s'était retirée sans en justifier la raison auprès de l'audiencier et des parties en présence. Les greffiers s'interrogeaient, par de courts échanges de regards et d'épaules haussées. Les gardes arpentaient les allées, les yeux rivés sur les dalles, s'abandonnant à une telle introspection inféconde qu'ils n'auraient été réactifs à l'arrestation d'un témoins soudain révolté.
C'est alors que les portes s'ouvrirent. D'un grincement commun à leur antiquité, il se déposa dans la salle le signe d'une expression comme satisfaisante.
L'homme qui entra portait les habillements propres à la magistrature près la Cour d'Appel. Sa démarche était lente, et il laissait entrevoir de ses bras croisés, un maillet doré, attitré apparemment. Rejoignant le Siège, il prit un temps pour lorgner l'assemblée, remarquant une main levée. Le maillet déposé, il frotta ses mains entre elles comme pour les réchauffer, émettant un bruit sec, puis annonça.


"Assemblée, Nous, Shynai du Ried, Juge près la Cour d'Appel, avons insisté pour récupérer la présidence de cette audience et la mener à son terme. Ayant reçu l'aval de notre Présidente, celle-ci ne pouvant être là pour s'être également réattribué la direction d'audiences négligées, nous nous chargerons nous même de la transition.

Nous nous accordons quelques minutes pour prendre acte des témoignages passés."


S'emparant des notes du greffier, il s'adossa à son fauteuil avant de les parcourir. (Je poursuis demain)
Shynai
Devant admettre que sa lecture n'avait pas été aussi rapide qu'il ne l'aurait prétendu, n'envisageant de prime abord pas qu'il y aurait eu tant de déclaration suivant la plaidoirie et le plaidoyer des femmes qui représentaient la partie appelante, il s'autorisa à interroger celle qui risquait très prochainement d'être guidée vers l'Hôpital le plus proche du fait des crampes musculaires occasionnées par sa levée de main interminable.
Tendant son calepin au greffier, récupérant les feuilles qu'il n'avaient encore pas parcouru, le Juge éclaircit sa voix pour lever la placidité qu'il avait lui-même réintroduit en cette salle pleine d'enthousiasme à son arrivée.


"Madame? Keltica je présume? Vous vouliez prendre la parole?"
Keltica
Alléluiah ! Le nouveau juge, après avoir plongé son nez dans ses notes, relevait enfin la tête et l'avait aperçue, toujours avec le bras tendu bien haut. Abaissant alors son bras ankylosé, la jeune dame blonde prit la parole.

En effet, je suis bien Keltica de Chancelley, Dame de Salives et Juge de Bourgogne au moment des faits.

Votre Honneur, je voulais simplement à nouveau relever un point que ne semble pas avoir assimilé Messire le Procureur. Il y a quelques instants, il a dit à notre prévôt que nous étions là pour juger des faits d'autorisation de séjour. Ceci est faux, faux et archi-faux. Au risque de me répéter une nouvelle fois, nous sommes ici pour un défaut de réalisation de peine, suite au procès engagé contre Attia par le Duché de Bourgogne, conséquence de la non-exécution de peine d'un procès précédent qui lui, portait en effet sur un manque de laissez-passer.

Les minutes du procès qui sont visées ici sont celles du second procès, celui dans lequel Attia était jugée pour n'avoir pas réalisé la peine prononcée lors du premier, qui lui, n'a pas souffert de contestation.

De fait, j'aimerai bien que la Cour d'Appel ne mélange pas les deux sujets, comme il semble plaisant de le faire jusqu'à maintenant.

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Heimdal
Dame Keltica
je crois que c'est vous qui n'avez pas compris...
effectivement, Dame Attia. ne conteste pas la première.

Par contre, elle conteste la deuxième car elle avait une autorisation
de séjourner valable. Pouvez-vous me le contredire...pouvez-vous me contredire
que cette autorisation n'est pas valable?

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Olivier1er
Le Baron a la barre des temoins, ecoutait son amie Juge qui fidele a son habitude etait precise et concise en plus d'etre directe mais neanmoins courtoise. Puis le Procureur repondit et là, c'est lui qui tique. Aussi le tac au tac, tique du gendarme... Euh non du procureur, fit reagir le Prevot.

- En fait, Messire Procureur, comme je vous y ai deja invité, il faut se mefier de l'enchainement des faits. La plaignante ayant ete condamné dans un premier proces, apres sa condamnation, voir le lendemain, elle fait une demande de residence au Prevot que j'etais. Ma reponse - au demeurant qui n'etait pas une autorisation de rester en Bourgogne mais un delais pour l'avoir quitter, ce qui n'est pas la meme chose - est de tout façon rendue caduque par le jugement rendu precedement. Comme je vous le precisais, le prevot que je suis n'a point autorité, morale, politique, religieuse ou autre, pour exercer un quelconque droit de grace. Car il s'agit bien de cela si l'ecrit dun Prevot fait en son bureau est plus fort qu'un jugement rendu par un Juge assermenté et revetut du pouvoir judiciaire legalement et au sein d'un tribunal officiel apres un proces en bon et du forme.

Messire procureur ne pas reconnaitre que le document n'avait pas de valeur et que meme si il en avait, n'avait pas valeur a sursoire a toute execution d'un jugement en bon et due forme, c'est vouloir deguiser la veriter et violenter la justice.

Ce pouvoir demeusuré que vous semblez preter a la Fonction de Prevot me touche, mais je me doit par simple volonté de justice et soucis de verité dire ici, solenellement, que ce n'est point le cas et que vous vous faites une fausse idée des prerogatives du premier gendarme de Bourgogne.

Cette femme, Attia, a jouer et a perdue. Elle s'est crue au dessus des lois, au dessus meme d'une Reyne car aucune reignante n'aurait agit ainsi en exigeant comme elle le fit et en s'adressant a des representants de l'etat comme elle le fit.

Elle a tenté une manoeuvre de diversion une fois la partie perdue, mais le Juge Keltica ne s'y etait pas laissé prendre.le second proces est legitime puisque le premier n'etait pas executé. L'intermede facetieux qu'elle fit en mandant tardivement - apres le jugement du premier proces - une autorisation de sejour qu'elle n'obtint pas d'ailleurs, juste une invitation a quitter le territoire dans les plus brefs delais, est encore une fois sans valeur de fait. Et du sien d'ailleurs, pas celui des representants du Duché de Bourgogne.

Donc Messire Procureur, Moi Athos de la Bronze, dict Olivier1er, Baron de Chatillon en Bazoys, Seigneur de Dennevy, Chancelier de l'Ordre de la Toison d'Or, Prevot de Bourogne au moment des faits, je vous contredit,

oui, j'OSE Vous contredire,

car les faits malheureusement le prouve et seul votre aveuglement vous entraine sur la mauvaise route.

Il s'etait levé et avait theatralement posé le poing fermé sur sa poitrine...sur son collier de l'Ordre de la Toison D'Or.

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Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Heimdal

Messire Olivier,
pouvez vous me confirmer les fait qui sont :

le 30 décembre 1458 Verdict du premier procès
le 31 décembre 1458 ou le 1er janvier 1459, obtention du autorisation de séjour
le 3 janvier 1459 Mise en procès.

un oui ou un non me suffit.


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Olivier1er
Messire Procureur, le faites vous expres ?

Oui : pour le planning

Non : pour le terme autorisation de séjour. si j'ai bonne mémoire la formulation était "vous devrez avoir quitter le territoire Bourguignon le..etc..."

Vous êtes bien le seul a voir une quelconque autorisation de séjour.

Je souhaiterais que vous fassiez preuve de plus d’honnêteté dans ce lieu sacré de la Justice et que vous cessiez d'arranger les faits en les qualifiant à votre convenance en présence de vos Pairs.


Puis après un courte pause

La Justice y gagnera, la Grandeur de la Cour d'appel également... et je suis certain que vous n'aurez pas a titre personnel à en pâtir.
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Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Heimdal
Vous avez raison jusqu' au 5 janvier 1459

mais comme elle a été mis en procès le 3 janvier, elle fut obligé de rester jusqu'en
fin de procès.


Bien merci, pas d'autres questions

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