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[Rp] Quand recruter vous met dans le brin

--Therese.


Etant chargée des entretiens d’embauches au sein de l’hospice, Thérèse avait quitté Kermaaron pour se rendre sur la grande place afin de rencontrer les Champenois intéressés par la médecine ainsi que les métiers qui s’y rapprochent. Comme le temps est radieux, la petite femme rousse avait installée une tente pour être à l’ombre.



En dessous, elle avait installé une planche large et épaisse sur des tréteaux afin d’en faire une table. Sur son petit bureau de fortune, la religieuse dispose son nécessaire d’écriture mais aussi les parchemins de recrutement de l’hospice.

Citation:


Après les nombreuses guerres qui se sont abattu sur le royaume, nombreuses personnes ont perdu des parents, des enfants, des amis…
Beaucoup de blessés n’ont put être soigné correctement, faute de moyens, où de médecins compétents.

L’ hospice reste ouvert à tous, nous voulons y soigner tous ceux qui en feront la demande. Les soins y sont gratuits pour les plus démunis.
Pour assurer le meilleur service qui soit, nous avons besoin de personnes qualifiées pour différents postes.

Nous sommes à la recherche de :

* des médecins
* des infirmières nones ou non pour nos différents services
* des brancardiers.
* 1 lavandière en chef
* des lavandières et repasseuses.
* une personne qui sera chargée de l’accueil des malades
* un jardinier
* Un cuisinier ou une cuisinière
* Un meneur de charrette pour les transports

Toutes personnes motivées et étant prêtent à s’investir dans un hospice pour soigner toutes personnes en ayant le besoin peuvent poser leur candidature en se rendant sur place à l’hospice. Après étude de votre candidature, nous vous confierons les clefs de l’hospice, travaillant main dans la main avec une équipe dynamique et sympathique toujours de bonne humeur !

Rejoignez vite l’équipe de l’hospice de Kermaaron.
http://hospkermaaron.forumchti.com/index.htm

L’Hospice de Kermaaron ouvert depuis 1456, vient d’être reconnue comme Université par le duché de champagne. Nous serons donc heureux de former toutes personnes désirant suivre des cours dans le domaine médical.

Une prochaine session doit débuter fin juin, si vous êtes intéressé p)ar la médecine, l'herboristerie ou formation de brancardier, présentez vous à l’hospice Universitaire de Kermaaron, vous pourrez en tant qu’étudiant loger au village. Venez nous rejoindre pour passer de très bons moments (très bons rp).

C’est en étant installée et tout en buvant une bonne tisane, que Thérèse attend que les intéressés se manifestent.
--Marie_big_louche



Elle l'avait cherché cette fainiante, elle était la à l'ombre d'un arbre bien entendu a siroter deviner quoi? Une tisanne pour changer. Big louche allait en avoir à dire sur la vieille chouette. Elle n'avait pas oublié que celle ci l'avait poussé dans les escaliers de l'hospice pour la faire taire sur ce qu'elle avait pu trouver. Le temps des règlements de comptes était venu et la Thérèse qui rit quand on la B**** enfin celle qui rit jamais plutot allait entendre parler du pays.

Marie avançait doucement se cachant derrière chaque arbre afin d'arriver au plus prêt de la mocheté rousse. Planté derrière le gros chêne, elle la regardait avec haine. Il faudrait attirer son attention enfin de l'éloigner de sa tasse. Rapidement elle pourrait alors glisser quelques goutes de cette mixture composée avec soin et qui ferait que la théthé serait cloué sur les latrines pour la journée.

La Big louche regarda autour d'elle puis trouva un morceua de bois bien sec qu'elle jeta sur le dessus de la tente mais sur l'arrière. Eureka la vache rousse avait levé la tête intriguée par le bruit.


--Therese.


Thérèse était toujours en train d’attendre à ce qu’il y ait des gens qui se présentent à elle. Ne lui dites pas qu’il y a personne qui est ou serait intéressé par les métiers de la médecine ? Comment va-t-elle faire pour attirer l’attention des gens ? Elle ne se voit pas hurler comme la poissonnière du marché, si ? Enfin, ça serait amusant mais la petite religieuse ne va pas s’égosiller et surtout se payer la honte.

Cependant, elle va encore attendre un peu. D’ici là, il y aura certainement quelques curieux qui viendront la voir et lui poser des questions. Si cela ne saura pas le cas, elle sera obligée de remballer ses affaires pour retourner à l’hospice. En attendant, elle avait sorti son Livre des Vertus. Bien qu’elle connaisse par chœur ce bouquin, elle aime toujours le lire. C’est donc en buvant une autre tisane, qu’elle commence à bouquiner.

Elle avait déjà lu plusieurs pages quand soudain quelque chose tombe sur le toit en toile pour retomber ensuite derrière la tente. Elle avait levé les yeux mais n’avait rien vu. Elle aurait bien pensé qu’il s’agissait d’un fruit qui s’est décroché mais la tente n’est pas plantée sous un arbre. Elle pose donc son livre à l’envers sur la table afin de ne pas perdre la page puis s’éloigne.

Thérèse se retrouve donc derrière cette tente à la recherche de ce quelque chose. Elle voit juste qu’il y a un morceau de bois bien sec mais rien d’autre. Par contre, elle ne se souvient plus si ce bout était là avant qu’elle s’installe. Elle s’éloigne encore afin de voir si il ne s’agit pas de gamins des rues qui souhaitent ennuyer son monde.

Bon, personne à l’horizon, juste quelques badauds par-ci et par-là. La petite femme rousse retourne donc à sa place. Mais qui elle voit devant elle ? La grosse Biglouche. Bien entendu, Thérèse n’a pas vu le méfait commis par la religieuse difforme puisqu’elle s’était éloignée.


« Ah ben tiens quelle bonne surprise ! Je ne m'attendais même pas à vous voir ici ! Comme vous êtes là, vous allez pouvoir bouger votre gros fondement de pachyderme et m’aider à distribuer ces affiches ! En plus, ça fera fondre tous ces litres de graisse que vous avez sur vous. Vous me remercierez plus tard de vous sentir bien mieux ! », dit-elle en désignant du menton les affiches de l’hospice.

« Allez ! Au travail maintenant ! »

Il est évident que Thérèse n’en n’a pas fichu une. Elle repose donc ses petites fesses sur la chaise et avale une bonne gorgée de tisane. C’est qu’il fait assez chaud en ce mois de juin.
Hersent
Elle aperçut une drôle de tente plantée pas loin de la caravane ducale du grand recrutement 1459. Hersent, qui est tout sauf curieuse, dévia de sa trajectoire pour voir qui avait planté ce morceau de toile.
Voilà-t-il pas qu'elle aperçoit Soeur Thérèse, la nonne qui l'avait accueillie à Kermaaron, en compagnie d'une drôle de femme, à l'allure peu ordinaire, voire inimaginable
:

Houhou, Soeur Thérèse!!!! Que faites-vous donc là? Vous recrutez vous aussi?

Mais elle pâlit vite lorsqu'elle entendit les paroles peu amènes de Soeur Thérèse:

Citation:
« Ah ben tiens quelle bonne surprise ! Je ne m'attendais même pas à vous voir ici ! Comme vous êtes là, vous allez pouvoir bouger votre gros fondement de pachyderme et m’aider à distribuer ces affiches ! En plus, ça fera fondre tous ces litres de graisse que vous avez sur vous. Vous me remercierez plus tard de vous sentir bien mieux ! »


A qui parlait-elle? A elle? Ou à l'étrange femme? Toujours est-il que la pauvre Hersent fut un peu choquée par l'accueil de la nonne...diantre, elle n'était vraiment pas commode, même si en réalité, les mots pas très doux de Soeur Thérèse ne s'adressaient pas à elle!
_________________
--Marie_big_louche



La grosse rousse avait bougé son fondement. Elle avait eu du mal a le sortir du siège ou elle l’avait enfoncé mais le plan de la big louche avait fonctionné. Délogé Thérèse la sachant super commère.


La Marie courra presque pour vite verser dans la tisane de la vieille taupe la fameuse prune du duc de Jouarre. Enfin la prune qu’il avait fait faire pour certain membre du conseil ducal qui se la pétait trop souvent.




Elle rit sous cape en lisant l’étiquette. Elle avait elle-même testé l’efficacité de la solution sur sa cousine la mère sup qui était constamment sur son dos depuis son retour.

Elle cacha rapidement la bouteille sous sa soutane. Elle avait mise une telle dose dans la tasse que la rouquemoute allait se faire dessus pendant au moins trois bonnes heures.

Comme elle s’y attendait , la Thérèse était des plus aimable. Mais Marie resta grande dame ce coup ci.
Elle fit une jolie révérence à la dame qui venait de se présenter. Puis lui fit son plus joli sourire.


Je suis Marie Big Louche je travaille à l’hospice. Nous sommes de vieilles amies avec Thérèse.

Elle n’expliqua pas que la fameuse Thérèse l’avait poussé y a quelques mois dans les escaliers.

Elle se tourna de biais vers la rousse et répondit avec une grande tendresse à sa comparse:


Bonjour Espèce d'analphabète diplômé en âneries, ectoplasme de tonnerre de champagne. Vous vous croyez belle? Mais regardez vous dans un miroir vous êtes plates comme une planche, vous n'avez rien pour vous. Et le pire....le pire...vous sentez le relent d'un vieux fut de bière. Vos cheveux ne sont que de la filasse, et vos fesses sont occupées d'une colonies de morpions. Vous pensez que j'ai un gros fondement. mais mon fondement je me le bouge. Je ne reste pas le derrière collé sur un ban a boire de la tisane ou a coller mon fion sur les latrines. D'ailleurs faut avoir envie de passer derrière vous, personnellement je préfères aller dehors. Quand vous passez aux latrines on sait ce que vous avez mangé à midi. Certain ont un parfum, vous c'est brocolis de "lidl échoppe" à 1.50 écus et ça sort de votre fondement. Je vais de ce pas poser les affiches pour le bien de l’hospice car si on compte sur vous on est pas prêt de recruter.


Elle se tourna de nouveau vers la gentille dame puis lui glissa: La bonne journée à vous.


Elle prit le tas de parchemin, puis partit en distribué quelques uns. Elle se retenait de rire. Elle allait attendre encore un peu. Elle s’éloigna donc pour happer le badeau.


La Bonbonne enfin plutôt la Marie, avait finit de distribuer les affiches. Elle vit grâce à sa vue panoramique la rousse et fourbe Thérèse qui avait finit sa tisane. Il est vrai que la coquetterie de la belle none avait pour avantage de lui faire voir des choses que d'autres n'auraient pas vu. La petite femme aussi haute que large se demanda ce que pouvait faire la sévère none la assise sous sa tente. Elle pourrait venir l‘aider tout de même. Elle s‘approcha donc de nouveau de la tente. Elle fronça son regarde de lynx qui louche tout en la toisant de bas en haut. C'est qu'elle est petite la Marie.
Ne restait plus bien longtemps à attendre, le spectacle allait bientôt commencer.


--Therese.


Thérèse n’avait pas vu qu’Hersent venait juste d’arriver lorsqu’elle s’était adressée de façon « courtoise » à Marie Biglouche. Il est vrai que ce sont des paroles qui ne doivent pas être prononcées par une religieuse mais la jeune Asiatique ne sait pas que ces deux grenouilles de latrines sont en guerre depuis de nombreux mois.

La mocheté s’était donc présentée à la nouvelle arrivante et pour ne pas la choquer, elle avait rajouté qu’elle était une vieille amie avec Thérèse ce qui est faux bien entendu. La preuve avec les paroles de Biglouche. Tiens, en parlant de ces fameuses paroles, il semble que Thérèse les avait déjà entendu. Tellement que la pas belle toute fripée comme un vieux fessier n’a point d’imagination, qu’elle s’est répétée. Va falloir changer de registre Marie.

La petite femme rousse, qui est encore assez bien conservée pour son âge, allait rétorquer mais quand on y pense, cela ne sert à rien de gâcher de la salive pour une personne qui n’en vaut pas la peine. Elle aussi aurait pu reprendre les paroles méchantes qu’elle avait prononcé à l’hospice, du moins une partie.

La grosse vache poilue étant partie, Thérèse reste donc assis sur sa chaise, profitant de l’ombre de sa tante alors que l’autre est en train de suer comme une vache en plein soleil. Ah pour sûr, qu’elle va finir par fondre comme un glaçon celle-là. Si Biglouche veut connaître la beauté, pour cela, elle devra souffrir. Hersent étant à ses côtés, la petite femme rousse lui répond.


« Veuillez me pardonner pour mes paroles peu amènes. Je ne m’étais point adressée à vous mais à cette cho…femme. Sinon, pour vous répondre, Kermaaron est aussi en période de recrutement. Nous recherchons plusieurs personnes intéressées pour occuper les postes qui sont vacants »


Ayant fini ses explications, Thérèse jette un œil à sa collègue. Tiens, elle ne la voit plus. Peut-être qu’elle est en train de distribuer des affiches plus loin. La mégère termine donc cette tisane, ne se doutant pas qu’un puissant laxatif eut été ajouté. De plus, elle a toujours le même goût, donc comment elle aurait fait pour le sentir. Elle pose sa chope vide sur la table.

C’est au bout de quelque minutes qu’elle ressent ses intestins en train de se tordre dans son ventre, sans compter que ce dernier se met à grouiller bruyamment. Sentant comme une très grosse envie de caguer, Thérèse serre les fesses le plus fort possible. D’ailleurs, elle aurait eut envie de se lever pour aller aux latrines mais si elle se lève, elle risquerait de se kier dessus. Il vaut mieux pour elle qu'elle ne pète pas, pour sûr que là c’est la grosse cata…catastrophe. De plus, elle se retrouve en plein centre de la place.

La religieuse, tout en serrant les fesses, se penche vers l’avant tout en portant les mains sur son ventre. Jusque quand cela va durer ? Comment cela se fait qu’elle ait attrapé une diarrhée violente ? Pourtant sa tisane ne semblait pas infecte mais elle se demande bien si Biglouche n’y est pas pour quelque chose.
Hersent
Citation:
« Veuillez me pardonner pour mes paroles peu amènes. Je ne m’étais point adressée à vous mais à cette cho…femme. Sinon, pour vous répondre, Kermaaron est aussi en période de recrutement. Nous recherchons plusieurs personnes intéressées pour occuper les postes qui sont vacants »


Hersent sourit à Soeur Thérèse:

Il n'y a pas de mal Soeur Thérèse. Mais il est vrai que la situation pouvait prêter à confusion. Dites-moi ma Soeur, qui est cette...étrange...dame, celle qui vient de partir avec un paquet d'affiches sous le bras? Je ne l'ai jamais croisée à Kermaaron, depuis que j'y suis. On peut dire qu'elle est une curiosité de la nature, vraiment.

Elle remarqua que Soeur Thérèse se dandinait sur son siège et portait ses mains à son ventre. Elle l'observa quelques instants, puis, voyant que soeur Thérèse ne semblait pas se plaindre, elle continua son bavardage.

Avez-vous eu quelques visiteurs depuis que vous avez installé votre tente? Ohhh, vous étiez en pleine lecture!! Qu'est-ce que vous lisez? J'adore lire aussi, ça passe le temps entre deux tours de garde ou pendant les nuits d'insomnie, vous savez quand la pleine lune vous maintient dans une forme éblouissante alors que vous ne souhaitez qu'une chose...DORMIR! En ce moment, je suis plongée dans un roman de chevalerie...je succombe au charme indicible de ce cher Lancelot du lac. Elle soupire en souriant béatement. Voilà un vrai chevalier comme on aimerait en croiser de nos jours. Je pourrais vous prêter mon livre si vous le souhaitez, comme ça vous me direz ce que vous pensez du sublime Lancelot.

Pendant qu'elle parlait, Hersent tentait de lire le titre du livre que lisait soeur Thérèse, mais, comme cette dernière gigotait à n'en plus finir sur sa chaise, elle ne parvenait pas à le déchiffer....ça la faisait râler intérieurement.

Soeur Thérèse, vous êtes sûre que ça va? Vous vous tortillez comme un ver de terre sur votre chaise!
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--Therese.


Il est évident que Thérèse n’allait pas dire à Hersent qu’elle vient de choper une driche assez sévère, qui l’a cloue carrément sur la chaise. Pourtant Aristote sait que la religieuse serre les fesses autant que possible. D’ailleurs, elle n’allait pas se plaindre devant tout le monde qu’elle a la coulante, donc c’était pour ça qu’elle ne disait rien. Hé oui, c’est très gênant.

Elle se demande si elle ne s’est pas fait dessus et préfère ne pas bouger de cette chaise, ne voulant pas que ses fesses ressemblent à une fontaine. Alors que la jeune Asiatique était en train de dire qu’elle lisait un roman de chevalerie, racontant l’histoire du Chevalier Lancelot, le visage de la petite femme rousse se crispe sous la douleur violente dans son ventre. Thérèse n’écoutait plus ce que disait la jeune femme. Mais qu'est-ce qu'elle en a à faire de l'histoire de Lancelot ? Elle, elle est en train de souffrir le martyr sur cette place, prête à se kier dessus.

D’ailleurs, l'Herboriste semblait ne pas lui en vouloir sur le fait que la religieuse avait sorti des insultes. Et puis, ces mots « doux » étaient destinés pour sa chère copine Biglouche. Thérèse relève la tête et voit que Hersent est toujours là, plantée comme une demi-livre de beurre sans rien faire. Est-elle de mèche avec cette « beauté fatale » ? Ca, elle ne peut pas le savoir. De plus, elle n’avait pas écouté les propos d’Hersent qui disait ne jamais avoir vu cette « femme » à l'hospice.

La mégère foudroie du regard son interlocutrice lorsque cette dernière lui avait demandé comment elle allait. Hersent n’est pas en train de se foutre d’elle là ? Enfin, Thérèse ne sait pas qu’elle est inquiète à son sujet. Malgré la douleur violente dans son bide, la rouquine parvient à sortir.


« Espèce d’idiote sans cerveeeelle d'abruti de naissaaaaaaaaaance !!!!!!! Au lieu de rester comme une demi-livre de beurre à gober les mouches, allez donc chercher un seau ou quelque chose pour que j’aille me soulager !!!!!!!!!! »

« J’ai la chiaaaaaaasssssssssssse !!!!!!!! Viiiite !!!!!!!! »


Il est évident que Thérèse ne s’est pas rendue compte qu’elle vient d’insulter la pauvre Hersent. Enfin, il faut se mettre à sa place. Quelques badauds étaient attirés par les cris de cette hystérique, ce qui fait qu'ils se sont approchés pour éveiller leur curiosité.
--Marie_big_louche


Ce qui devait arriver arriva, la Thérèse avait une courante du tonerre de dieu pour la plus grande joie de Big louche. En plus la vieille qui ne savait pas mater son trou de balle insultait maintenant allègrement la pauvre Hersent. Marie qui avait vu de loin la jeune femme à l'hospice et qui cherchait des amies en profita et pris la défense de la jeune asiatique.

Elle s'approcha donc des deux femmes et s'en prie à la rousse.


"Mais elle va se calmer le sac à merdasse!!! On vous entend brailler comme une vache de l'autre cotês de la place. Ne vous en prenez pas à cette adorable jeune fille, elle ne vous a rien fait. Vous êtes indisposée des intestincs, mais c'est de nature chez vous vous avez une tête à avoir la courante toute l'année. Vous voulez un seau mais vous comptez faire quoi avec? Y répendre vos excréments. Faudrait déjà que votre fondement ne dépasse pas et ça ne sera pas le cas. Allez plutot au lavoir ça sera proportionel à votre derrière. Venez dame Il est dangereux de rester à cotés de cette bombe humaine, on ne sait jamais des eclaboussures pourraient vous atteindre."

Elle prit très doucement la jeune femlme par le bras et l'attira à quelques pas de la Thérèse. La elle pris un seau qu'elle retourna puis alla le coller sur la tête de la none.

"Tenez vous avez oublié votre cornette. Le seau est juste à la taille de votre médiocre cerveau de moule."

Elle recula laissant son ennemie se dépatouiller avec sa belle cagoule de fortune.

--Therese.


Aussitôt qu’elle ait ordonné à la jeune Asiatique d’aller chercher un seau, les douleurs intestinales reviennent lui broyer le ventre, ce qui fait que Thérèse ne cherche pas à voir si Hersent est partie ou pas chercher ce récipient de bois. Elle continuait à serrer les fesses aussi fort que les muscles de l’annus le lui permettent mais elle sait qu’elle ne pourra pas tenir ainsi pendant des heures.

Alors qu’elle ne s’y attendait pas, la face de gastro sursaute tout en levant la tête lorsqu’elle entend la grosse vache lui adresser la parole, ce qui fait que notre chère religieuse s’est légèrement fait dessus mais elle s’est aussitôt retenue pour ne pas que son derrière ressemble à une fontaine qui coule. Elle a pu sentir quelque chose d’humide sous ses fesses. Elle n’en revient pas qu’elle vient à l’instant de caguer involontairement. En cas de diarrhée violente, on n’a vraiment pas le choix.

La douleur continuant à lui broyer le ventre ainsi que les intestins font qu’elle n’est pas en mesure de répondre à Figure de Peau de Fesses Fripées. Mais alors là, c’est la cerise sur gâteau, le bouquet final quand elle sent qu’on lui enfonce comme une sorte de seau sur la tête. Il fait tout noir d’un seul coup. Que s’est-il passé ? Biglouche a-t-elle assommé sa collègue ? Non puisqu’elle est encore consciente.


« Tu vas me le payer face de vieux fessier poilu !!!!! »

Elle allait continuait de lancer des invectives à l’encontre de Marie mais la douleur lui revient. Elle a comme une sorte d’envie de péter. Voilà, c’est ça qui la fait souffrir atrocement. Thérèse se penche légèrement sur sa chaise afin d’expulser ce pet hors de son arrière train mais en fait, il ne s’agissait pas d’un prout mais bien d’excréments liquides. Oh la honte ! Dire qu’elle vient de se kier dessus.

La Rouquine finit par retirer ce seau de sa tête pour le balancer plus loin. Mais quelle idiote, elle vient de jeter la chose qui va lui servir de latrines. Elle se lève donc. De toute façon, elle a déjà souillé ses dessous ainsi que la soutane. Les badauds peuvent voir que le vêtement religieux est tâché au niveau du postérieur. Certains se mettent à rire, d’autres été partis.

Une fois le seau en mains, elle se place sous la tente et s’assoit sur le récipient après avoir remonté soutane et défait le dessous. D’ailleurs, le bois du seau lui fait mal aux fesses mais qu’importe, elle va enfin caguer en paix, sur la grande place du village. Elle a enfin terminé de se soulager. Il ne lui reste plus qu’à prendre du parchemin pour se torcher mais voilà, il n’y a plus de vélins sur la table. Dire qu’elle voulait utilisé les affiches de l’hospice en guise de papier toilette.

Biglouche aurait-elle fait exprès d’avoir emporté toutes ces affiches ? Enfin, cela ne sert à rien de s’essuyer puisque la coulante est encore présente. C’est en faisant claquer des pets bruyants et malodorants que Thérèse continue de soulager ses intestins. Bonjour la honte pour l’hospice université de Kermaaron.
Hersent
Elle ne saisit pas vraiment la raison du silence obstiné de soeur Thérèse: celle-ci se tortille, gigote, grimace tant et plus et ne répond toujours pas. Hersent aimerait l'aider mais sans savoir le pourquoi du comment cela devient difficile.
Elle se décidait enfin à approcher de soeur Thérèse pour l'aider à se lever lorsque cette dernière se met à éructer
:

Citation:
« Espèce d’idiote sans cerveeeelle d'abruti de naissaaaaaaaaaance !!!!!!! Au lieu de rester comme une demi-livre de beurre à gober les mouches, allez donc chercher un seau ou quelque chose pour que j’aille me soulager !!!!!!!!!! »

« J’ai la chiaaaaaaasssssssssssse !!!!!!!! Viiiite !!!!!!!! »


Hersent a le réflexe de se reculer, pauvre protection contre les invectives d'une nonne outragée...par quoi d'ailleurs? Elle n'a bu qu'une tisane!

Elle n'a pas le temps de réagir que l'étrange grosse femme rapplique et lui prend le bras, avec douceur, pour l'éloigner de soeur Thérèse, rouge d'énervement.

Elle n'était pas au bout de ses surprises: l'énorme femme, d'une laideur sans nom, prend un seau qu'elle vient renverser sur la tête de soeur Thérèse, accompagnant son geste d'une série de remarques plus désobligeantes les unes que les autres, voire blessantes.

Hersent a la bizarre impression de nager en plein délire, ses yeux écarquillés vont de Thérèse à la femme hommasse...elle ne sait pas trop pourquoi, mais quelque chose lui dit que le spectacle ne fait que commencer. D'ailleurs, un attroupement de badauds hilares s'est formé devant la tente.

C'est alors que tout dérape: soeur Thérèse, oubliant qu'elle se trouve sur la Grand-Place du marché, se lève pour récupérer le seau qu'elle avait envoyé valser peu de temps avant, et présente aux spectateurs, qui n'en demandaient pas tant, une robe auréolée d'une tache très suspecte au niveau de son postérieur.

Thérèse, ivre de douleur et incapable du moindre discernement, pose son fessier sur ledit seau et se vide bruyamment au vu et au su de tout le monde. Comble d'ironie, non seulement il n'y a pas de paravent à disposer pour cacher ce triste spectacle, mais encore on peut noter l'absence du moindre parchemin pour que Thérèse puisse s'essuyer!

Hersent, abasourdie, observe, impuissante, ce vaste champ de bataille devenue une véritable farce: les passants n'en peuvent plus de rire ni de lancer de joyeux quolibets.
Elle cherche des yeux quelque chose qui pourrait remplacer le parchemin et tombe sur plusieurs touffes de beau plantain, puis plus loin, son regard se pose sur un massif de rhubarbe: sauvée!!! Discrètement, elle s'éloigne pour en cueillir une belle brassée puis elle revient vers une soeur Thérèse décomposée par la douleur intestinale:


Soeur Thérèse, tenez, j'ai trouvé des feuilles pour que vous puissiez vous essuyer.Se tournant vers l'énorme femme, elle lui suggère, tout bas:Nous pourrions peut-être tendre un drap afin d'offrir à soeur Thérèse la plus élémentaire des intimités? C'est l'image de l'Hospice qui doit être sauvée...si on veut recruter du monde.
_________________
--Therese.


Le fait de se soulager dans ce seau, apaise peu à peu son ventre mais Thérèse sait que son calvaire intestinal n’est pas encore terminé. Hersent, qui semblait nager en plein délire a eu la bonne idée d’aller chercher des feuilles….de rhubarbe. Certes, ce n’est pas aussi épais qu’un parchemin mais ces grandes feuilles peuvent servir de papier toilette.

Alors que la douleur est moins violente dans sa bedaine, la petite femme rousse adresse un sourire à la jeune Asiatique, afin de lui montrer de la reconnaissance pour cette initiative. Pendant qu’Hersent est en train de chuchoter quelque chose à la grosse Biglouche, la mégère prend l’une de ces feuilles de rhubarbe pour se torcher mais voilà, elle n’a pas plié le végétal, que celui-ci se déchire, ce qui fait que Thérèse se souille les doigts. Beurk !

Cependant, elle reprend une autre feuille pour nettoyer cette main. Elle la replie ensuite plusieurs fois pour se torcher mais voilà, les douleurs intestinales reviennent, ce qui fait qu’elle grimace. Décidément, cette diarrhée n’en finira jamais lorsqu’un jet puissant sort de son séant. Le derrière de Thérèse ressemble assez à un karcher haute pression. A force de se vider, le trou de balle de la Rouquine commence à s’irriter et si ça continue, le seau va vite se remplir.

Les quelques curieux continuent de regarder ce spectacle merdique mais marrant. D’ailleurs, ils n’ont jamais vu ça de leur vie, de voir une femme en train de kier dans un seau sur la grande place. Il faut dire que ce n’est pas courant. S’apercevant qu’il y a des voyeurs, que la nonne leur lance.


« Et vous là !!!! Vous n’avez rien d’autre à faire que de me regarder ? Ca vous fait rire, hein ? Hé ben pas moi !!!!!! Allez voir ailleurs si j’y suis !!!!!! » , puis regarde ensuite Biglouche et ne peut s’empêcher de lui lancer alors que certains spectateurs éclataient de rire.

« Toi !!!!! Espèce de détritus !!!! T’es contente ? T’as eu ce que tu voulais ? Sache, espèce d’obsédée de la merdasse, que notre guerre n’est pas prête d’être terminée !!!!!! »

Oui, enfin les deux religieuses peuvent être quittes à présent mais Thérèse est du genre à être rancunière. Tellement qu’il y règne une puanteur atroce que les mouches ont fini par être attirées par la mégère.
--Marie_big_louche


Elle était écroulée de rire. La boisson avait eu un effet encore plus spectaculaire que ce qu'elle avait imaginé en rêve. Elle s'était enfin vengée de cette col et monté de pacotille qui l'avait fait chutter dans les escaliers.


Alors ma bonne Thérèse, on a des soucis gastrique? Faut dire aussi que votre cuisine ressemble tellement à votre tronche que je puisse comprendre qu'elle soit indugeste. Quel beau modele vous faites pour l'hospice. On va devoir faire venir le medecin chef. Il va adorer voir comment vous faite de la publicité. Besoin de plus de feuille peut être. Servez vous de votre soutanne au point ou vous en êtes on ne verra pas la différence avec l'odeur qui émane de vous habituellement. Allez Thérèse, Allez Thérèse encore un effort le seau est presque plein. Vous allez y arriver. Elle l'a singeait sur son pot de fortune.

Elle en était la a se fendre la poire qu'elle n'en vit point arriver le Duc de Jouarre.

Amory
Il revenait de Paris et devait se rendre sur Reims son fidele escuyer sur ses pas. Il traversait la grande place de la capitale quand il vit un attroupement des grands jours de festivitées. Il allait passer son chemin quand il reconnu le rire cristalin de soeur Marie Big-louche. Il dirigea donc sa monture vers la foule qu'il surplomba du haut de son cheval. Il faillit s'en étrangler. Le spectacle devant lui était affreusement honteux.

Thérèse était le prose sur un seau et se vidait à grand bruit, Marie quand à elle se gaussait des malheures de sa comparse.

Il sauta de son cheval et se dirigea en boitant vers la none qui invectivait la vidangeuse sans pudeur.


"Nan mais je rêve, je rêve. Dites moi que je rêve. Mais vous fabriquez quoi la? Vous vous montrez en spectacle, c'est une parodie? Rassurez moi. Je commence par trucider laquelle?"

Il alla fermer la tente et hurla après la none qui se vidait honteusement sans qu'elle paraisse plus gênée que cela.

"Vous avez de la dignitéeeeeeeeeeeeeeeeeee? Est ce que vous avez de la dignitée et de la pudeeuuuuuuuuuuuuurrrrrrrr? Vous connaissez ces deux mots. Remontez moi tout ça, nan enfin relevez vous et rebaissez moi tout ça avant que je vous renverse votre seau sur la tête."

Il se tourna vers Big louche qui allait elle aussi passer un mauvais moment. "Quand à vous....oui vous. Vous me faite honte. Vous vous dite religieuse mais une religieuse doit aimé son prochain pas se moquer de lui quand il connait pareil infortune que dis je pareille humiliation. Rangez moi tout ce matériel et je vous attend des demain dans mon bureau à l'hospice, huit heure tapante et si vous êtes en retard je vous fais manger votre collerette. Zou et que ça saute."

Il salua la pauvre Hersent et s'excusa auprès d'elle. "Je suis navré de ce spectacle infligent dont vous avez été la témoin. Aidez cette pauvre Thérèse et raccompagnez la à l'hospice si cela ne vous dérange point, je vous envoie une charette au plus vite."

Il était dépité de l'agissement des deux nones. Il regarda Légolas qui se bidonait. En d'autre temps il aurait surement rit aussi mais la la colère avait pris le dssus.

"Thérèse vous êtes attendue passez par derrière une chariotte va vous prendre et vous ramener. Demain je vous attend aussi dans mon bureau et sans seau." Il n'avait pu se retenir de lancer une petite boutade à la none.
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Legolas.
Comme tout Escuyer fidèle, Légolas avait quitté Paris pour accompagner le Duc de Jouarre jusque Reims mais quelle ne fut pas sa surprise de voir mais surtout reconnaître les deux nones ennemies de l’hospice de Kermaaron. En voyant Thérèse installée sur un seau en train de se vider, le blondinet éclate de rire, perché sur son cheval, comme le fait Marie Biglouche mais cette dernière s’était aussitôt arrêtée de rigoler lorsque Amory l’avait remise en place.

D’ailleurs, le blondinet est très content que cela arrive à cette mégère de Thérèse, lui qui ne peut pas la saquer. Mais par contre, il ne comprend pas ce qui a pu arriver à cette vieille vache de bonne sœur. A-t-elle mangé quelque chose d’avariée ? Ca il l’ignore mais en voyant l’horreur lui rire au nez, il pense qu’il doit s’agir d’une vengeance mais il ne peut pas le certifier. Seules les deux intéressées le diront. Ce n’est pas la peine que le jeune Elfe en rajoute puisque le Ronchon a dit l’essentiel. Il reprend son sérieux et dit d’une voix très ferme.


« Mesdames, en agissant de la sorte, vous donnez une TRES mauvaise image de l’hospice. N’y avez-vous pas pensé ? Que vont penser les Champenois à présent ? Si le Duc de Champagne voit ça, il n’appréciera pas du tout !!!! Il n’a pas reconnu notre établissement pour que vous vous donniez en spectacle sur la Grande Place de Reims !!!!! Et en plus, sur la Grande Place de Reims !!!! Vous vous imaginez la honte que vous êtes en train de nous faire ? Mais comportez-vous comme des ADULTES, mèrde alors !!!!!! »

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