[RP] Entre Landrevarzeg et Ploveilh

[Manoir de Penaryun, Landrevarzeg]




Les terres de Landrevarzeg, fief du Chevalier Cassius de Montfort se situait en terre de Nantes, non loin du chateau Grand Ducal où ce dernier officiait au service de sa Majesté chez les "Trente"

Ces derniers temps, il logeait icelieu en compagnie de son épouse et avait pris soin de tout mettre en place au niveau de sa suite afin qu'elle veille au bon déroulement de la grossesse de son épouse

Il prenait malgrés sa charge soin de rentrer régulièrement au domaine afin d'être au possible en compagnie de se femme qui cette dernière ne se laissait point amadouer par la montagne de servants que l'époux avait mis à disposition afin de veiller selon sa demande au bon repos de la jolie maîtresse des lieux

Le Montfort dans ses bureaux en compagnie de son intendant Herbert, discutaient tout deux d'un sujet houleux concernant les finances du Montfort...

Envoyez un groupe d'hommes en terre françoise Messire, ils vous rapporteront le butin souhaité! Peu importe la manière du moment que vous obtenez ce que vous voulez, j'en connais qui feraient cela pour vous Messire sans demander d'en savoir plus!

Le Montfort tournant en rond dans ses bureaux, se postant devant la fenestre, plongeant son regard l'air songeur au loin à travers la foret bordant le domaine

Sans même se retourner...

C'est une idée! Mais je veux faire les choses proprement, puis c'est d'une fortune que j'ai besoin, même si ces marauds arrivaient à mettre la main sur tel butin, jamais ils ne reviendrait en mes terres me le rapporter!

L'intendant s'affala sur le siège réservé au maître des lieux, ce dernier était en quelques sortes le conseiller du Montfort pourvu malgrés sa basse naissance d'un intellect au dessus de la moyenne, fourbe pour sûr, sans pitié même, mais fidèle et loyal envers Cassius comme nul homme

En vostre Grand-Paternel, le Roy! Il pourrait vous aider messire! On le dit pourvu d'une grande fortune!

Se dirigeant vers l'intendant, saisissant son col et le soulevant de sa place, la prenant à son tour

Je ne demanderais rien au Roy Herbert, oublies cette idée!

Feuilletant sa paperasse, tout en reflexion... Il tomba sur un courrier venant de la Banque Grand Ducale

Ou sinon, on peut aus...

L'intendant fut coupé dans son élan

Convoque Marie de Kermorial, Herbert!

L'air songeur du conseiller se dessina sur son visage

Un prêt?! Vous n'y pensez pas Messire! Vous allez y laisser vos plumes!

Silence Herbert, fais ce que je t'ai demandé, va convier Marie de Kermorial en mes terres, tu la trouveras au chateau Grand Ducal, fais lui savoir que c'est urgent

Hate-toi!

Bien Messire, je pars sur le champs à Nantes!
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[L'évasion]

Une lumière divine envahie la scène, Marie est allongé dans un champ de blé.
Sa tête, auréolé de cheveux blonds repose sur le torse musclé de son C'ptaine. Vossler.
Il est beau, ils sont heureux. Les deux jeunes gens se murmures des choses qui ne regardent qu'eux et Marie éclate de rire.
Dans cette scène idyllique une ombre apparait, une ombre de loup au crocs acéré qui grogne puis hurle.
Vossler disparait dans une vapeur étrange la laissant seule fasse monstre qui hurle son nom.

***

Le blonde s’éveille en sursaut dans l'herbe du jardins grand ducal.
A contre jour, une silhouette d'homme la surplombe.

Mademoiselle de Kermorial ?

La main de la jeune femme essuie les relent de sommeil sur son visage
et se place en visière pour que l'ensommeillé distingue mieux se qui lui semble être un valet.
Le blason sur sa vêture lui dis quelques chose mais ses neurones ne voit pas bien quoi encore.

Je gère deux banques, deux ambassades, un ost.
Je suis enceinte de 7 mois, et porte parole de la couronne
et vous osez me réveillez en pleine sieste. Vous êtes suicidaire?
Vous voulez mourir n'est ce pas?

Marie n'est pas de bonne humeur au réveil. Elle ne l'as jamais été.
Et contrairement au bon vin ça ne s'améliore pas avec le temps, ni l’augmentation de son taux d'hormones.
La blonde lui tend la main pour qu'il l'aide a se relever et lui demande en grognant les raisons de sa venue et de son impolitesse crasse.
Cassius a besoin d'elle? Un soucis? Marie est un peu surprise en général c'est plutôt lui qui vole à son secours.
Rapidement une voiture est attelé et la blondine se met en route.
Une longue route, ou malgré les nid de poules et les soubresaut du coche, Marie s'endort.
Un sommeil lourd, profond. Proche du coma en faite.
D'ailleurs le dit valet aura du mal a la ramener à la vie à leur arrivée au Manoir de Penaryun.
L'ordre remit dans sa chevelure et sa tenue, la Kem sort avec grâce du coche sans un mot. Enfin presque.

Messire, Madame Montfort est elle présente icelieu aujourd'hui?
C'est une simple question. Je dis ça, je dis rien, moi! ^^
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Oui.

Trois lettres qui font frémir. Elle est là, quelques part, prête à lui sauter à la gorge.
C'était un piège, elle le savait. Elle aurait dut se méfier.
La main de la blondine se porte machinalement à l'endroit ou la garde de son épée en bois devait se trouver. Rien.
Elle était dans sa tenue de banquière quand le fameux Herbert était venue la délogée d'un sommeil réparateur. Grmph.

Si vous voulez bien me suivre, je vous conduis aux appartements de Messire Cassius.

Si elle veut ? Elle a beau être blonde, si elle voulait pas,
elle aurait été capable de l'en informer au château de Nantes, non?

Bah maintenant que je suis là...

Le valet ne sembla pas remarquer l'ironie dans son propos et se met en marche sourire aux lèvres.
Le manoir et les jardins sont magnifiques, Marie darde un regard alentours avant de passer la porte d'entrée.
Elle aurait pu distingué une silhouette sous un arbre au loin, mais non. Elle est trop à l'ouest pour cela.
Suivant sans broncher le garde, Marie se traine un peu, les mains posés dans le bas de son dos afin de pas flanché.
Elle a perdue de sa superbe... Mais elle s'en fout. Elle ne s'aime plus, elle ne veut plus qu'on l'aime.

Vive les moches!
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Epluchant ses livres de compte, Le Montfort n'avait quitté ses appartements, taxant par-ci, taxant par-là...

Il saisit un papelard

Les taxes du marché local de Landrevarzeg, c'est fait

Puis un autre...

Les taxes sur les éleveurs.... Aussi!

Securisé les chemins... réglé!

les taxes sur...

A ce moment, les fenetres grandes ouvertes, on pouvait entendre une voiture arriver au domaine, le chevalier se leva et se posta devant la fenestre, il vit en effet son hôte qui avait bien voulu faire le déplacement... Et au loin, une ombre sous le grand arbre jonchant le jardin des lieux... Il reconnut son épouse

Cela le fit sourire, elle avait réussi... Cela méritait bien de lui laisser son temps de repos...

Quelques instants plus tard, on vint taper à la porte du bureau...

Herbert entra

Messire, Marie de Kermorial est là!

Tendant le bras en la direction de la jeune femme

Cassius s'approcha, baisa la main de la jeune femme

C'est un plaisir Marie de vous recevoir en mes terres, prenez place je vous en prie

D'un signe de la main à Herbert

Tu peux nous laisser!

Le Montfort prit place face à la Kermorial

Comment vous portez-vous Marie? Votre état ne vous fait-il point souffrir? Puis-je vous offrir quelquechose?
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Le Montfort se lève et va chercher de quoi se divertir, rien de trop fort, en l' état de la jeune femme cela n'était peut être point recommandé

Il saisit une bouteille fraichement livrée d'un paysan de Landrevarzeg...

Nous allons goûter cela ensemble, l'homme qui me l'a apporté m'a fait savoir qu'il n'y avait rien de mieux en terre de Nantes

Dans un sourire

Voyons si la prétention des villageois de mes terres est avéré!

Il sert en personne deux verre et en tend un à Marie

En effet le domaine est agréable, peu fortifié, pas bien grand mais il y a des choses intéressantes à réaliser

Le "Trente" apporte délicatement le breuvage à ses lèvres...

Fruité, léger... Il se défend, ne trouvez-vous pas?

La kermorial dans ses dires se portait pour le mieux, mais à la voir, Cassius sentait que ça n'allait pas pour le mieux, il n'insista point si elle avait voulu lui en parler, elle l'aurait fait...

Passons aux choses sèrieuses maintenant... Cassius pose son verre et reprend place

Parlons maintenant si vous le voulez bien de la raison de votre venue ici au dela du plaisir de vous revoir

Et oui, le Montfort reste charmeur malgrés tout, surtout vis à vis d'une aussi agréable jeune femme aussi engrossée soit-elle

J'ai besoin de votre aide et de votre savoir dans le domaine des finances Marie, vous le savez, mon domaine se limite aux arts de la guerre, disons que cela peut conjointement s'entendre mais que votre aide puisse éclairer mon esprit

Une gorgée furtive de plus..

Mon conseiller que vous avez rencontré Herbert est comment dire... trés tranchant dans ses idées, j'ai besoin d'idées nouvelles

Voilà je vous explique mon problème, je veux lever une armée en mon nom, mais vous savez que les finances nécessaires pour cela sont trés lourdes et ces terres que j'administre aussi belles soient elles sont trop petites et ne me rapportent pas assez pour veiller à cette entreprise

Aidez-moi à trouver une solution, je ne veux quérir aucune aide de sa Majesté, tout héritier que je sois, je pourrais vous mettre à disposition des fonds d'investissements nécessaires

Le Montfort saisit sa plume et un morceau de vélin

Voici la somme dont j'ai besoin!

Aurait-elle une solution à lui apporter autre que piller un chateau françois...
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Pendant ce temps, la blonde épouse du maitre des lieux profite de son petit coin pas de paradis celui-ci ne se trouvant qu'aux côté de son époux. Repos vitre troublait par le dit Herbert qui l'avait bien repérer en accueillant l'hôte. Pfff elle se tient tranquille et on vient encore l'embetter. Elle devait rentrer que l'on puisse prendre soin de son état et cela l'enchanter pas du tout.

Restez donc a mes côtés Herbert ainsi vous m'aurait a l'œil.

Le regard azure de la jeune femme se pose sur le conseiller de son époux et lui sourit charmeuse sans s'en rendre compte. Elle l'aime bien malgré le fait qu'elle doit le rendre chèvre. Elle n'aimait pas le mois de mai car cela annoncer la venu de son anniversaire dans les jours a venir. Seul avantage c'est que personne ne connaissait cette date et elle ne s'en plaignait pas bien au contraire. Sa place était cependant enviable auprès d'un homme aussi droit et fidèle que son époux. Elle en avait bien conscience et lui apporter autant que lui lui donner.

J'espère ne pas trop vous être insupportable !
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Le liquide carminé tourbillonne dans la coupe sous l'effet que lui intime le poignet de la jeune femme.
La lumière du soleil qui s'y noie projette d'hypnotiques reflets rouges sur les doigts de Marie.
Douce rêverie alors qu'elle écoute les vagues explications de Cassius.
Elle y était habituée... Nombre de leurs conversations finissait ainsi. "Secret défense".
Secret dont elle finissait toujours informée deux jours plus tard.

Elle le laisse finir, s'arrache à la contemplation des paillettes lumineuses qui font briller son verre.

Pour une telle somme un prêt ne vous serait d'aucune utilité je dois dire.
Héhé... Pouvoir omniscient ? Sorcellerie? Voie divine? Non ! Marie connait Cassius c'est tout. ^^
Et j'raconte que ce que je veux d'abord !!

Par contre il serait envisageable de mettre en place une sorte de mécenat militaire, par exemple.
Il suffirait de présenter votre projet au dit mécène et celui ci vous financerait en contre partie il pourrait se vanter en haute société d’être la personne qui a rendu cela possible.

L'idée pouvait par être étrange, voir saugrenue.
Un système inédit de financement de l'armée était peut être en train de voir le jour.
Et la blondine avait déjà son idée sur l'identité du mécène en question.
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Elle le regarde déambuler, réfléchissant à sa proposition. Il semble curieux et les question ne tardèrent pas à fusées,
notamment sur l'intégrité et la liberté qu'il pouvait y laisser en acceptant un pareil procédé.
La coupe de vin retourna pour la troisième fois à la bouche de la jeune femme qui mit un terme finale a l’existence de ce vin.

Vraiment excellent.

Doucement, Marie lui sourit, puis répondit à ses interrogations légitimes.

Ne vous sous estimez pas Cassius. Vous n'avez pas besoin de votre royal pépé pour brillé sachez le.
Royale pépé. La formule est plaisante et laisse poindre un sourire sur le visage de la Kem.
Chose rare depuis quelques temps.

J'avoue que ma proposition n'est pas vide de reflexion et j'ai déjà une idée de mécène pour vous.
Le connaissant il ne vous demandera aucun retour sur vos activités. Il sera juste fière d'avoir pu vous aidez.
Le prunelles azurés fixèrent avec douceur le visage du jeune homme pour y lire une quelconque réaction.
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Une entrée fracassante et l'Herbert essoufflé et affolé pénètre dans le bureau.
Maira a disparu. La remettre en chambre. Que se passe t il? serait elle souffrante?
La jeune femme bien qu'usée par les réflexions incessante de Maira à son égard,
Maï ne souriait pas pour autant de la savoir souffrante. Loin de là.
L'intendant disparu à la recherche de sa maîtresse et l'explication ne se fit pas attendre.
Le couple de Trente attendait un soixantième.

Félicitation Cassius. Je suis sûr que votre grand père a du apprécier la nouvelle.

Un sourire ironique apparu sur les lèvre de la demoiselle
qui connaissait la phobie du souverain pour le temps qui passe
et les générations qui se multiplient. Pauvre Fynou.

Vous savez être enceinte n'est pas une maladie...
Bien que cela vous angoisse, laissez donc Maira profitez de la vie.
Elle ne vous en aimera que davantage croyez moi.

Marie se leva doucement, appuyant doucement sur son dos pour en chasser la douloureux.

Le nom du bienfaiteur vous dites...
... Une bonne banquière garde toujours ces secrets, mon cher Cassius.

Elle ne voulait surtout pas qu'il se sente redevable de quoi que ce soit envers elle, sous prétexte qu'elle allait financé son armée.
La blondine déposa une chaste bise sur la joue du Trente et le gratifia d'une courte révérence.

Je vais vous laissez, allez donc retrouvé votre épouse.
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Que faisait la blonde ? Elle regardait le vol des oiseaux. Hey oui c'est le printemps et ça batifole a tout va. Il serait plaisant de pouvoir voler tiens, libre comme l'air a toute heure voila qui ne serait pas plus mal mais là rester immobile ça ne lui va pas. Ca va bien 5 minutes mais la lasse vite elle qui a toujours passer son temps a travailler pour ne pas s'égarer dans ses souvenirs. Elle se lève donc au moment ou Marie est accompagnée a l'extérieur, si elle ne l'a pas vue a l'arrivée elle pourra pas l'éviter au retour si tenter que c'est ce qu'elle souhaite. La blonde arrive a hauteur de la seconde blonde et la salut d'un signe de tête accompagnée d'un sourire. Curieux non ? En faite non ce n'est pas parce que certaine personne sont irrespectueuse qu'elle en fera de même.

Je vous souhaite une bonne journée Marie !

Puis elle prend congé regagnant l'intérieur. Vu le regard d'Herbert il a du prendre une soufflante de son époux. Peut importe elle a pu prendre l'air au moins 30 minutes et c'est tout ce qui compte. Puis attrapant un servant qui raccompagne Marie.

Veillez a fournir a la demoiselle de Kermorial un coussin pour soulager son dos ! A son stade c'est pas supportable !

Comment elle le sait ? Elle est déjà passer par là elle en un autre temps, un autre lieux, un passé révolue.
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La blonde était rentré faut dire qu'un petit creux s'était fait sentir. Ca devient chiant de manger autant si il grossit trop comment allait-elle le sortir ? Qu'on lui ouvre pas une nouvelle fois le ventre ça serait super. Enfin bref, elle déambule un peu dans les couloir, faut dire qu'elle ne connait pas encore trop Landrevarzec et que l'orientation en milieu habitable c'est pas son fort. Virage a droite, puis a gauche, cul de sac, demi-tour...

Finalement la blonde s'arret et s'appuie contre un mur sa main poser sur son ventre. Celui-ci était déchirer pour une sorte de crampe a ramener un mort a la vie. Qu'est-ce qu'il se passait encore ? La blonde ferme les yeux et serre les dents sous la douleur le temps que ça se passe. Quand une voix se fait entendre et des bruit de pas précipiter.

Madame !!!

La jeune blonde ouvre les yeux et remarque une servante courir vers elle sans doute paniquer l'ayant vu. Rater pour la discrétion. Maira se redresse et sourit.

Tout va bien ! Un étourdissement ! Par contre je trouve plus mon chemin vers les cuisines !

Rit de sa bêtise pour détendre l'atmosphère espérant que de une son époux n'est pas entendu le cris de la servante et de deux que son explication ai été accepter pour que l'affaire ne lui soit pas apporter.
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Une ombre, une armoire a glace éventuellement qui faisait la route avec la jeune blonde au ventre arrondie. Pas question de la laisser sans surveillance une minute. Figurez-vous qu'apres avoir aprit qui était son époux, le capitaine de la garde de Ploveilh mettait un point d'honneur a veiller sur Maira comme sur son ombre. Pour sur qu'il ne faillirait pas de peur d'être mal vue par l'héritier Montfort qu'il n'avait encore jamais vu pour le moment mais il esperait bien que ça arriverait un jour tout de même.

La blonde devait voir un medicastre et il avait fallut qu'il insiste et rabache longuement pour la forcer a faire cet effort. Ce que les femmes peuvent être agassante par moment. En attendant, il y avait pas mal de jolie servante en ce lieux et le brun aux yeux vert qui ne laissait que rarement les femmes indifférentes commençait a se dire que ce déplacement avait du bon.

[Le début de la fin...]
Les jours se suivent et se ressemblent. Dans une chambre au volet et rideau tiré, la jeune blonde est allité plus blanche qu'un linge. Sa respiration ets difficile et l'ambiance est ettouffante tout comme la solitude encore et toujours. Elle savait a quoi s'attendre mais ne pensait pas finir dans cet état si tôt. Sa première grossesse avait faillit la tuer cette seconde allait l'achever.

Hey oui, la jeune blonde était accablé d'un mal plus qu'inconnu qui faisait que l'enfant qu'elle portait la tuer a petit feu. De plus, l'absence de son époux tant aimer ne l'aider pas a s'accrocher et se battre comme il le fallait. Il était toujours occuper a droite a gauche si bien que lorsqu'elle avait besoin de lui comme jamais et bien, il n'était pas là...Depuis qu'elle lui avait annoncer son futur poste de papa qui semblait lui faire plus que plaisir et bien, elle se débrouiller seule et n'attirait plus son attention.

A présent, même dans cet état, il n'était pas en la capitale. Des bruits de pas se firent entendre dans le couloir, on venait prendre de ses nouvelles comme tous les jours. Les serviteurs ne la lachait pas une seconde de peur de la voir partir toute seule. On vint ouvrir la chambre pour y faire entrer la lumière permettant a la jeune femme de regarder dehors, le temps y était radieux. Son corps se mourai et son âme ne se battait pas. Elle ne voyait personne pour qui se battre. Lui qu'elle aimait a en mourir ne semblait pas l'aimer le moins du monde. Tout ceci n'avait donc était qu'un rêve ? Une suppercherie ? Finalement elle s'était fait trop d'illusion, depuis sa naissance le malheure s'acharnait sur elle et sa famille. Elle avait trouver le bonheur dans ses yeux mais lui la fuyer...

Madame ? Je...
Il fait beau aujourd'hui !

Le serviteur laissa tomber, elle ne lui parlerait pas de son état qui au premier coup d'oeil paraissait bien plus mal que la veille. Que pouvait-il bien faire ? Les médicastre s'était succéder en vain a son chevet annonçant que l'enfant qu'elle portait l'empoisonner et a présent même tenter de l'enlever n'y changerait plus rien...
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