[Rp] A l'auberge du souvenir

Dutton se réveilla à nouveau pour entamer une nouvelle journée, mais voila que Dusty râle déjà... il leva les yeux aux ciels.

bon sang ! Y'en a qui sont de mauvais poil, le matin...

Il commença à s'habiller, et descendit pour prendre son déjeuner. Dutton voulait garder sa bonne humeur, malgré le ronchon qui se trouva en face de sa place.
Il s'installa, salua Dusty d'un simple signe de tête pour ne pas le déranger, et être poli en même temps sinon il pouvait s'attendre à un savon de sa part.
Il se servit délicatement, et commença à manger.

Dragones rejoint la troupe et laisse Iroise au bon soin du palefrenier de l’auberge…
Elle entre dans la taverne et ne vois personne…
Dragones prend place et se demande bien ou ils se trouvent tous et qui est avec les enfants…
Rien ne servait de faire le tour du village à leur recherche car elle pourrait les louper…
Pour le moment le voyage se passait bien et tout le monde s’entendaient bien…
Faut dire que les enfants connaissaient les deux hommes ainsi qu’elle.
Il n’y avait en faite que Lam et Buch qui ne se connaissaient sans plus…
Dragones prit une tisane est rédigea quelques missives après avoir sorti son écritoire…
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Une fois arrivé et avoir dormi pendant la moitier du voyage, partagé les rennes avec un peu tout le monde et montré a willow qu'il avait pris soin de le prendre sur ses genoux comment dirigé la charette...

Ils arriverent tous.. Drag etait parti en avant au bureau des douanes puis s'instala en taverne..
Lam avait la forme et voyant les enfant commencé a courire pour se dégourdire les jambes Lamorgat la invita a visité la ville..
Tout les quatres d'accord il partir avec polisson et wool en ville, et Buch layant vite perdu de vu il ne pure l'invité...
Les enfant et lui meme chahutere un moment dans les rue soudain ils passe devant un menuisier et Lam s'arreta net
regardé les enfant ce monsieur la c'est un menuisier et moi je fais comme lui quand jai du temps.. et quand jetais petit comme vous je faisais sa avec mon grand pere et je faisant des cabanes, vous en avez deja faite ??
Les regarde limite emerveillé entrain de le voir fair Lam toujour pacionné le regarde
Puis Howel se retourne et lui répond oui on en a fais une quand on etait en Italie..
Hooo daccord... bah si sa vous dis on pourra en faire une
Puis Lam commence a se dire que Drag dois etre seul et qu'il faudrai revinir.. pour pas trop l'inquiete il revienne vers la ou ils sont arrivé le matin Deirdre fatigant pour la monté marche plus lentement trainant les pied... tu veux que je te porte sur mes epaule Deirdre ??
La jeune fille alors ce fais pas prié et grimpe sur ses epaules.. merci
Il continure tous et arriverent à la taverne là les enfant voulai resté dehors Lam hocha la tete mais leur dis de resté a l'ombre puis Lam rentra a l'interieur..

[Quelques jours après... ]

Orandin ouvra la taverne plus tôt que prévu… et oui aujourd’hui, départ pour Montauban pour ce fameux match de soule !
Bazas contre Montauban… il avait donné rendez-vous aux souleurs dans son auberge s’ils le désiraient.

Essuyant les derniers verres plongés dans l’eau toute la nuit… le soleil commençait tout juste à ce lever. Il fallait qu’ils partent pour la fin de soirée mais aussi il fallait s’entrainer !

Quelques échauffements derrière son bar… il frotta la table d’un mouvement vif et rapide pareil pour les chaises. Un petit coup de balai… et voila la taverne nettoyé !
Il n’eut même pas le temps de souffler qu’il décida de prendre le sac de maïs qu’il avait acheté sur le marché… il l’attacha avec une corde qui fut suspendu à une poutre…
Remontant ces manches… il commença à frapper dans le sac de maïs. Une droite… une gauche… coup de genoux, tout cela d’un geste vif et rapide… Quelques goûtes de sueur apparaissaient sur son visage au bout de quelques minutes… c’est à ce moment là, qu’il intensifia les coups…
Il fallait qu’il ait mal… qu’il souffre… qu’il ait envie de hurler. Il commençait aussi à avoir chaud… très chaud… ce qui était bon signe !
Puis, vint le moment où il n’en pouvait plus… c’est là que le moral joue un rôle essentiel car tout ce passe dans la tête.

Il réussit à résister pendant quelques petites minutes, et abandonna… épuisé, il attrapa une chope et la remplit d’un breuvage mousseux avec de l’alcool, on appelle ça de la bière... Il bu cul sec, se frottant les babines avec sa manche.

« Aaaahh… ça fait du bien ! »

Orandin s’approcha d’un seau d’eau propre qu’il avait ramené en venant ouvrir son auberge. Il versa un peu du liquide dans une bassine.
Devant la bassine, il fit pénétrer ses mains dans l’eau approchant en même temps sa tête pour frotter son visage avec ses mains imbibées d’eau, il répéta le mouvement plusieurs fois pour enfin se frotter avec une serviette.

Souffla un bon coup, profitant d’avoir un visage propre… mais ses avant-bras libéraient une odeur infecte ! Il enleva sa chemise… passa un coup d’eau rapide sous ses avant-bras et profitant qu’il soit torse-nu pour passer un coup rapide sur son torse et s’essuya. Il prit sa chemise toute collante… la jeta dans un panier. Fouilla dans sa besace, sortit une nouvelle chemise et l’enfila.

Les rayons du soleil avaient reculé... il n'était plus à auteur de la chaise mais elles était assez proche de la fenêtre ce qui voulait dire que le Soleil était déjà levé
Orandin, en retard, rangea vite le sac de maïs ainsi que la corde … se tenant prêt derrière le comptoir à accueillir les clients en attendant sa tavernière.
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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin

Camille arriva à l'auberge. Elle l'aimait bien, elle trouvait cette auberge accueillante. Elle entra, puis salua Orandin qui avait l'air épuisé. Elle lui demanda:

-Eh bien que t'arrive t'il! Tu m'as l'air bien épuiser. Sinon comment vas tu ??
Elle lui fit la bise.

[Quelques jours après la fin du match, de retour à Bazas]

Orandin revenant à peine du match qu'il avait livré contre Montauban, où chaque équipé s'était donné à fond malgré cela il a toujours une équipe gagnante et une perdante...
Il n'avait aucune émotion négative que positive. Il était juste fatigué, épuisé mais cela ne l'empêcha pas d'ouvrir son auberge comme d'habitude.

Après avoir fait les poussières, qui se sont accumulé pendant son absence, il allait nettoyer le comptoir quand la porte s'ouvrit. Une femme entra, c'était Camille, l'écouta puis lui fit la bise avant de répondre:

« Ah ben oui… j’reviens du match de soule qui s’est déroulé à Montauban… un peu épuisé mais sinon ça va, et toi ?! »

Une tache lui revint en tête. De suite, il alla changer l'ardoise avec le menu de la taverne.

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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin

« Ah ben oui… j’reviens du match de soule qui s’est déroulé à Montauban… un peu épuisé mais sinon ça va, et toi ?! »
ELle répondit:
Moi sa va bien merci ! =) Si tu veut jpeut te filer un coup de pouce pour ta taverne en attendant va te reposer!
Elle sourit.

Remettant l'ardoise en place, il écouta en même temps Camilee. Se tourna pour la regarder, il jeta en même temps un coup d'oeil à sa taverne qui s'était légèrement remplit.
Les commandes s'enchainèrent... sans regarder le cadran solaire placé sur la mairie. On pouvait deviner qu'il était midi, rien qu'en écoutant les demandes:

"Hey ! M'dame, trois brioches...", " Le menu du jour !", "La même chose qu'hier !"

Dans tout se bruits, il répondit en haussant un peu la voix pour qu'elle puisse l'entendre correctement:

« Laisse va ! J'ai trouvé une tavernière qui remplace Millie, le temps de son voyage.
Sinon j'aurai jamais pu m'en sortir... »

Il lui sourit, et commanda à son tour un menu.

« Une Brioche dorée pour moi ! »

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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin

Gatty, qui avait accepté avec joie la proposition du Messer Orandin. Arriva à 10 heures exceptionnellement pour ce premier jour.
A peine arrivé, elle s'installa derrière le comptoir où elle passa un coup rapide avant de prendre les commandes des clients.

Du comptoir, elle voyait la totalité de la Taverne. Nettoyant les verres, elle fit interpellé par un client:

«- Hey ! L'tavernière ! T'es nouvelle ici ?
- Ouep... j'remplace votre tavernière Millie, elle est absente pour le moment.
- Vous avez entendu ? Elle est nouvelle...
- Oui, je suis nouvelle... pourquoi c'est une honte ? , coupa Gatty
- Oh que non... mais à mon avis, l'patron ne t'a pas parler de la coutume ici. , dit le client en souriant en coin
- Une coutume ? C'est quoi cette coutume ? , répondit Gatty d'une voix inquiète.
- C'est très simple... chaque nouveau doit offrir une tournée générale aux anciens, c'est-à-dire nous !
- C'est tout ?
- Ah non... pas pour toi...
- Comment ça pas pour moi ?, s'exclama la tavernière.
- Doucement... j'ai pas fini ma phrase, détend toi !
Je reprends... comme t'es la nouvelle tavernière. Tu vas devoir nous rendre joyeux... en nous offrant un tonneau de bière !
- Rêve, vieillard... ça ne marche pas avec moi ! Passe ton ch'min !
- J'aurai essayé au moins... mais on peut pas avoir au moins une tournée offerte ?»

Gatty souriant, décida de les rendre quand même heureux. Elle offrit alors une tournée aux habitués.
Il était maintenant, environ onze heures et demi... et les commandes commencèrent à exploser.

"Hey ! M'dame, trois brioches...", " Le menu du jour !", "La même chose qu'hier !"

Notant chaque commandes, elle faisait des aller-retour cuisine/taverne. Pour prendre et servir les menus aux clients affamés. En échange du menu, elle recevait la somme exacte du prix du menu.

La bourse de l'Auberge se remplit rapidement...
Tout d'un coup, à son grand étonnement... elle entendit la voix de son patron qui commandait lui aussi un menu. Ne sachant pas où le servir, elle le déposa sur le comptoir et dit:

« Voila Patron... v'tre menu est sur le comptoir ! »

[Arrivée à Bazas]

Le genet d'Espagne chevauchait tranquille quand elle arriva en vue de Bazas. La douanière l'inscrivit sur le registre des arrivées et elle passa les portes de la ville.

Descendant de monture, elle marchait, le cheval d'un côté, son chien de l'autre, regardant et cherchant une auberge.
Là, avec une écurie. L'endroit qu'elle cherchait. Son cheval en premier, elle ensuite.


[Devant l'Écurie]

Elle avisa un gamin :

Bonjour petit. Un denier pour toi si tu t'occupes convenablement de ma jument.

Oui Dame. Répondit vivement le gamin.
Il prend les rênes et entraine l'animal, alors que la damoiselle entre dans l'Auberge.


[Dans l'Auberge]

Il y a du monde quand elle passe la porte. Hoax à ses côtés ne la lâche d'une semelle. Elle se dirige vers le comptoir et salue la servante :

Ola,ola ! Je suis damoiselle Xanthi. Je pense rester quelques jours. Avez-vous chambre de libre ?

La gamine sourit, tout en notant la propreté de l'établissement et grattouillant les oreilles de son chien qui a son habitude s'est assis sur son pied dès qu'elle s'arrête de marcher.
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[Dans l'Auberge]

Hoax la suivait, il en était heureux, dans la mesure où un chien peut l'être.
Elle avait trouvé une auberge et il profita qu'elle attendait pour s'assoir sur son pied.
Il y avait beaucoup de monde et l'animal avait soif et sommeil. Il s"appuya un peu plus sur les jambes de sa maitresse, en profita même pour poser sa tête sur sa hanche.

Tout d'un coup elle le pousse et bouge. Il se rattrape et la suit alors qu'elle s'écrie :

Eh bien ! Je vous laisse. Je vois que vous êtes débordée. Je trouverai à me loger ailleurs.

Elle passe la porte un peu énervée mais ne la claque. Heureusement qu'il la colle toujours......

[A l'Écurie]

Il la voit jeter le tapis sur sa jument, placer la selle, sangler sa monture.
Le gamin arrive, étonné :

V' p'rtez Dame ?

Oui. Voilà pour toi.

Elle lui lance un denier, finit de préparer sa monture et remonte en selle.
Elle repart au trot, elle trouvera sûrement à dormir ailleurs. Où elle va, il la suit.

Gatty qui était légèrement débordé, ne fit pas très attention à l'aventurière.
Essayant de trouver une minute se consacrer à la dame, un client gueula soit pour commander un menu ou une bière...

Elle répéta sans cesse:

Excusez-moi... j'arrive de suite !

Malheureusement, elle s'y attendait... la femme prit le chemin du départ.
Gatty hurla presque dans toute la taverne pour au moins s'excuser au près de la femme:

Navré... repassez dans la journée ! Je serai moins débordée !

Elle voulait rattraper le femme, et prendre sa demande. Malheureusement elle se devait de servir les clients affamés qui hurlaient après leur repas... Soupirant, elle reprit le service.

[Orandin is back...]

Le rouquin, après deux jours de route seul, retrouve son chez lui. N'ayant pas encore franchi les portes de sa cité, il sourit rien qu'à l'idée de retrouver ses propriétés foncières et ses rues qui étaient un peu plus animé lors de son départ.
La ville était un peu plus chaleureuse mais ce n'était qu'éphémère...
En franchissant les portes, le sourire satisfait du roux disparu très rapidement. Les rues étaient désertes, sa taverne vide, pas de nouvelles annonces... un silence de mort s'était installé à Bazas.
Comble du bonheur, ils étaient en pleine élection municipale et rien... peu de bruit dans les rues. Il se posa la question: "Y a t'il encore quelqu'un, ici ?".

Lâchant un sombre soupire, il décida de retrouver sa taverne qui portait décidément bien son nom "L'auberge du Souvenir" à croire que Bazas ne vivait que dans le passé et non dans le présent.
Il poussa la porte, entrouverte, et machinalement, il dit:

« Bien le Bonjour à tous ! »

Il n'y avait que le vieux et un autre homme dans la taverne, des fidèles clients comme d'habitude. Il remarqua que sa Tavernière faisait du bon boulot, ça taverne était un peu près correcte. Il en était très satisfait et d'ailleurs, il remarqua un message sur le comptoir, lui demandant de remplir les caves de bières.
Faisant confiance à Millie, il alla acheter des tonneaux de bières pour remplir les réserves.

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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin

Noël était arrivé, la joie des enfants se faisaient entendre dans les rues ainsi que les rires, et les sourires des familles partageant un même repas. Pour ceux qui n'avait malheureusement plus de famille, la taverne était un des seuls endroits où pouvez passer un bon moment avec les autres qui eux aussi n'avait pas de famille. Le Rouquin faisait parti de ses gens sans famille... il aurait bien aimé ne serait que d'avoir un membre de sa famille pour fêter Noël dans la joie et la bonne humeur mais ce n'était plus le cas. Il était orphelin et cela depuis quelques années déjà.
Passer dans les rues où il pouvait entendre toutes ses familles être heureuse était un calvaire pour lui. Il aurait même pu se mettre à lâcher de lourdes larmes car tout cela lui faisait penser à ses défunts parents mort par les armes des Barbares. Certainement brulé, piétiné, ayant perdu toute dignité... mais heureusement pour lui, sa taverne n'était jamais bien loin. Il passait la moitié voir la totalité de son temps enfermé dans son Domaine ou dans sa Taverne pour ne pas voir ses familles heureuses, souriantes. La joie des enfants avec leur nouveau jouet qui n'est rien d'autre qu'un vulgaire bout de bois taillé en guise d'épée.

Les clients de sa taverne avaient les mêmes pensées que lui certainement, leur famille... morte ou vivante. Elle n'était pas là pour eux pour cette période de fête. Ils préféraient donc être coupés du monde extérieur comme Orandin. La fin du Mois de Décembre est l'un des pires mois pour ses misérables personnes seules... la plus horrible de leur vie et pour certains, comme le rouquin, elle se répète chaque année à croire que leur destin voulait qu'il soit torturé pendant cette période de l'année...
Le Rouquin avait perdu tous ses sourires, même son fameux sourire en coin. Son visage était comme du bois, pâle et sans expression enfin si... de la tristesse, il ne dégageait aucun vie mais que du malheur... Même le vin n'arrivait pas à le rendre heureux, Orandin était même presque lassé de cette boisson luxueuse alors qu'il ne peut tenir, en temps normal, quelques heures sans boire de vin.

Essuyant le comptoir avec une énergie tout sauf débordante. Il inscrivit ensuite sur son écriteau sa fameuse offre de Noël qui ne lui faisait ni chaud, ni froid...
Il soupira un bon coup, et essaya de retrouver le sourire avec ses clients qui eux aussi avaient perdu le sourire. Ensemble, peut-être qu'ils arriveront à retrouver le sourire.
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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin

Millie entra en claquant la porte.
Les cheveux partiellement défaits, elle n'avait pas prit le temps de se recoiffer avant de venir, une trace de poussière sur la joue et le tablier maculé, elle n'était pas franchement au top de la mode.
Il était rare de voir l'ancienne mairesse dans cet état là mais elle était débordée par les préparatifs de son prochain voyage.
Posant sa grande besace sous le comptoir, elle fit face à son "patron".

Je viens t'annoncer une bonne nouvelle, le Rouquin. Je part et je te ficherais enfin la paix. Donc tu te trouve une tavernière plus conciliante que moi et tu t'en sortira bien. Au moins tu n'aura plus d'employée qui te tiendra tête."

Elle rit à ces mots, car elle n'était pas franchement du genre employée modèle. Ils en avaient eu des mots tous les deux.
Mais le passé reste le passé et elle voyait l'avenir loin de cette Guyenne qui la décevait de plus en plus.
Elle s'installa pour une des dernière fois à sa place, posa les coudes sur le comptoir et le menton dans ses mains placées en coupe et le regarda amusée, attendant sa réponse.
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