Orandin
Levé tôt ce matin, le Rouquin avait décidé de donner un coup de main à Millie pour le nettoyage de son Auberge qui était sale à cause de la soirée qu'ils avaient passé, la veille. Ils avaient l'habitude car tout les soirs, ils faisaient les fous dans la partie taverne. Lorsque les soirées se terminèrent, la taverne était presque comme une porcherie, de la boisson un peu partout... et parfois, assez rarement, une sauce assez visqueuse sur le sol, le repas d'un client qui avait dû trop boire. C'était la partie la moins joyeuse d'une taverne et il ne fallait, pour rien au monde, le montrer aux clients du lendemain. C'était probablement la raison pour laquelle, la taverne n'était pas ouverte avant un bon dix heure.
La journée avait bien commencé, le soleil avait fait son apparition. La journée allait être ensoleillé avec un soupçon de vent frais traversant les ruelles, caressant les joues des passants ainsi que celle des enfants. C'était tellement magnifique que plus d'un gosse allait oublier de se couvrir sous prétexte qu'il y a du soleil et qu'il en fait plus froid pour enfin, tomber malade quelques jours ensuite.
Une notion que lui avait enseigné sa seconde mère. Il en avait conclus de derrière toute bonne chose ce cacher une mauvaise, qui par moment, était tout sauf drôle.
Il aurait dû se douter ce qu'il allait lui arriver, au dû moins, ce que Millie, sa tavernière, allait lui annoncer. Elle lui faisait face apparemment ce qui était presque une habitude chez Orandin mais cette fois-ci, c'était bien différent.
Je viens t'annoncer une bonne nouvelle, le Rouquin.
Il aurait pu se réjouir car elle allait lui annoncer une bonne nouvelle mais c'était justement ce qui n'était pas normal. Une bonne nouvelle pour le Rouquin ?
Une certaine inquiétude l'envahi et il se méfia au cas où...
Je part et je te ficherais enfin la paix. Donc tu te trouve une tavernière plus conciliante que moi et tu t'en sortira bien. Au moins tu n'aura plus d'employée qui te tiendra tête."
Un rire s'empara d'elle, ce qui signifié qu'elle ne pensait pas ce qu'elle venait de dire ce qui apaisa légèrement le Rouquin. Cependant, voila, elle l'avait dit et aujourd'hui, c'était chose faite. Il ne pourrait certainement plus essayer de gagner des jours pour qu'elle reste car elle semblait décidée.
« Ça y est ?... Tu es décidée à partir ? Je suppose que je ne dois même pas essayer de te retenir encore quelques jours, ici... »
Il lâcha un soupire et baissa légèrement la tête. Triste. Il était rare qu'Orandin soit triste, il était généralement narquois, sournois mais là, rien de tout cela. Il savait qu'il ne pouvait plus rien faire désormais...
« Le départ est pour quand ? »
Il espérait qu'elle dise: "Jamais... ce n'était qu'une blague" mais c'était même plus un rêve, une pensée non réalisable. Il attendit, tristement, une réponse de la part de sa future ancienne Tavernière.
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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin
La journée avait bien commencé, le soleil avait fait son apparition. La journée allait être ensoleillé avec un soupçon de vent frais traversant les ruelles, caressant les joues des passants ainsi que celle des enfants. C'était tellement magnifique que plus d'un gosse allait oublier de se couvrir sous prétexte qu'il y a du soleil et qu'il en fait plus froid pour enfin, tomber malade quelques jours ensuite.
Une notion que lui avait enseigné sa seconde mère. Il en avait conclus de derrière toute bonne chose ce cacher une mauvaise, qui par moment, était tout sauf drôle.
Il aurait dû se douter ce qu'il allait lui arriver, au dû moins, ce que Millie, sa tavernière, allait lui annoncer. Elle lui faisait face apparemment ce qui était presque une habitude chez Orandin mais cette fois-ci, c'était bien différent.
Je viens t'annoncer une bonne nouvelle, le Rouquin.
Il aurait pu se réjouir car elle allait lui annoncer une bonne nouvelle mais c'était justement ce qui n'était pas normal. Une bonne nouvelle pour le Rouquin ?
Une certaine inquiétude l'envahi et il se méfia au cas où...
Je part et je te ficherais enfin la paix. Donc tu te trouve une tavernière plus conciliante que moi et tu t'en sortira bien. Au moins tu n'aura plus d'employée qui te tiendra tête."
Un rire s'empara d'elle, ce qui signifié qu'elle ne pensait pas ce qu'elle venait de dire ce qui apaisa légèrement le Rouquin. Cependant, voila, elle l'avait dit et aujourd'hui, c'était chose faite. Il ne pourrait certainement plus essayer de gagner des jours pour qu'elle reste car elle semblait décidée.
« Ça y est ?... Tu es décidée à partir ? Je suppose que je ne dois même pas essayer de te retenir encore quelques jours, ici... »
Il lâcha un soupire et baissa légèrement la tête. Triste. Il était rare qu'Orandin soit triste, il était généralement narquois, sournois mais là, rien de tout cela. Il savait qu'il ne pouvait plus rien faire désormais...
« Le départ est pour quand ? »
Il espérait qu'elle dise: "Jamais... ce n'était qu'une blague" mais c'était même plus un rêve, une pensée non réalisable. Il attendit, tristement, une réponse de la part de sa future ancienne Tavernière.
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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin