Orandin
Reprenant son souffle, il n'avait pas encore jeté un coup dil dans sa propre taverne pour savoir combien de personnes étaient présentes, environ. D'après son ouïe, il pouvait affirmer que la taverne n'était pas vide ce qui n'arrangeait pas le Rouquin. Il tourna légèrement sa tête dans sa capuche afin de chercher un coin sombre afin d'éviter d'être reconnu. Par chance, un petit coin était disponible. Il décida, donc, de s'y rendre. Avant d'entamer le premier pas vers sa destination finale, une voix masculine s'adressait à lui: Et bien ? Quelque chose ne va pas, Messire ? . Il s'inquiétait pour le Rouquin ce qui le fit, immédiatement, sourire. Il commençait à prendre goût à sa discrétion ainsi qu'à sa comédie. Tout le monde le croyait mort alors qu'il était bien plus proche qu'ils ne pouvaient le prévoir.
Il entama, cette fois, sa marche vers son petit coin. Les clients semblaient presque terrifiés de le voir s'approcher de leur table. Situation assez favorable au Rouquin car personne n'oserait se mettre sur son chemin. Cependant, il ne voulait pas trop paraitre malpoli, bien qu'il ne daigne pas à retirer son capuchon. Il répondit au Messire qui lui avait, gentiment, adressé la parole.
« Ne vous inquiétez pas, Messire ! Tout va pour le mieux ! »
Il savait pertinemment qu'il pouvait être démasqué rien qu'au son de sa voix mais ces derniers temps, le Rouquin avait mal à la gorge ce qui avait modifié légèrement sa voix. Un atout non-négligeable dans ce genre de situation. Sa crainte était presque effacée, les clients n'allaient pas le reconnaitre tellement que ces derniers étaient simple d'esprits. C'est en arrivant et en s'installant qu'il pu mettre un visage sur la voix de l'inconnu. C'était Larry, un habitué de la taverne trainant toujours proche du comptoir avec qui il avait discuté d'un évènement, tragique, de Bazas. Orandin devait donc se méfier de ce Messire qui est loin d'avoir un sombre esprit.
Puis, il remarqua que son verre n'avait toujours pas bougé du comptoir et la tavernière, son employée, narrêtait pas de le fixer. Il lança dans la taverne:
« Et bien ? Elle arrive cette chope ? »
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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin
Il entama, cette fois, sa marche vers son petit coin. Les clients semblaient presque terrifiés de le voir s'approcher de leur table. Situation assez favorable au Rouquin car personne n'oserait se mettre sur son chemin. Cependant, il ne voulait pas trop paraitre malpoli, bien qu'il ne daigne pas à retirer son capuchon. Il répondit au Messire qui lui avait, gentiment, adressé la parole.
« Ne vous inquiétez pas, Messire ! Tout va pour le mieux ! »
Il savait pertinemment qu'il pouvait être démasqué rien qu'au son de sa voix mais ces derniers temps, le Rouquin avait mal à la gorge ce qui avait modifié légèrement sa voix. Un atout non-négligeable dans ce genre de situation. Sa crainte était presque effacée, les clients n'allaient pas le reconnaitre tellement que ces derniers étaient simple d'esprits. C'est en arrivant et en s'installant qu'il pu mettre un visage sur la voix de l'inconnu. C'était Larry, un habitué de la taverne trainant toujours proche du comptoir avec qui il avait discuté d'un évènement, tragique, de Bazas. Orandin devait donc se méfier de ce Messire qui est loin d'avoir un sombre esprit.
Puis, il remarqua que son verre n'avait toujours pas bougé du comptoir et la tavernière, son employée, narrêtait pas de le fixer. Il lança dans la taverne:
« Et bien ? Elle arrive cette chope ? »
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« Si vis pacem, para bellum » ~ Bourgmestre déchu de Bazas ~ By Orandin