[RP] Le p chi coin des poetes

C est juste pour s amuser de venir coucher sur le papier vos petits poemes.
Je suis sure que cela fera plaisir a tous de les écrires et les lires.

Alors on laisse sa plumes se promener. Allez poete ou pas on se lance.
En chacun de nous il y a un peu de poésie
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Je voudrais etre un nuage
pour te préserver du soleil!
Je voudrais surtout etre un Ange
pour te sourire a ton réveil

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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Les étoiles brillent dans le ciel
Je tends la main
J oublis mon chagrin
Cette petite étoile un jour j attraperai
Pour la mettre dans mon coeur
Alors peut etre recommencer a aimer
Toi petite étoile, Je t ai tant chercher
Mon coeur est pleins d amour a donner
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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Sur la brise endormie
Va petite fleur
Porter a mon bien aim/
Le secret de mon coeur.
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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Petite flamme fuyante,
Brisée mais renaissante,
J’attendrai que tu m’ouvres ton cœur et que tu n’ais plus peur,
Qu’un jour ton chevalier ne s’en aille
Et ré-ouvre la faille,
De ton cœur si grand et si bon,
Que nous puissions vivre à l’unisson
Tous ces moments de bonheur et de ferveur.

Elle entra dans un bâtiment qui semblait dédié à l'art, rares étaient ceux-ci, aussi en fut-elle étonnée ! Sashah sourit, sortit un parchemin et le déposa sur la pile. Une trace de son passage... une parmi tant d'autres !

Et j'ai connu la mer où naquit ma Plume
La plus belle et la plus douce des eaux
Je la découvrit un matin dans un crachin de brume
Ses Embruns ont scellé mon destin aussitôt !

Mes mots s'envolaient de ma plume fragile
Comme une goutte de rosée sur des lèvres de miel
Pour m'offrir la saveur des mers tranquilles
Et la tendre couleur azur du bleu du ciel

Les silences que j'écrivais en plongeant
Ma plume dorée dans l'encre Océan
Ont fait couler de scintillantes larmes
Bien vite noyées dans les profondeurs du néant.

Cette mer a éclaboussé mes souvenirs
Y gravant des bonheurs à n'en plus finir
De ma plume de sœur, de ma plume d'ange
De ma plume encrée parfois d'un amour étrange...

Sashah Fille de Murat
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Caly arriva devant cette piece a peine eclairée par une petite fenetre ronde en hauteur ,pour ne laisser appraitre qu'un rayon de soleil qui illuminait un livre sur une table haute ....
Devant ,etait disposaient une plume ,et un encrier .
Elle lut les quelques poemes laissés et les trouva magnifiques .
Elle decida de prendre la plume et de se laisser aller a son imagination ...

Une mélodie inaudible
Résonne dans la nuit
Chants de deux esprits unis pour la vie
Ils dansent sans prendre conscience du temps
Leur rêve nocturne s'étend indéfiniment
Leurs corps se frolent
Leurs coeurs s'accélérent
Leurs ames se lient
Et ne font plus qu'une
Le bonheur est a son comble
Leur tristesse s'éfface dans l'ombre
Seul leur amour compte
Qui jamais ne pourra se rompre



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La mer fait l amour au rivage
Moi je revois ton visage
Ce merveilleux coucher de soleil
Comme toujours m émerveille
Ce sable si chaud et doux
j immagine de voir nos pas a nous
tout en nous murmurant des mots si doux
Les mouettes viennent briser ce silence
vide par ton absence.........

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Rever
est une chose si douce
qui ne coute rien
et qui rassure.........
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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Pourquoi mon coeur, errens tu en vain?
Repose toi donc quelque part.
Ne songe pas a ce qui fut
Ou a ce qui sera:
Réjouis-toi des joies qui viennent
Et passent sans que tu ne t y attends


Larousse réfléchit a son poeme et se dit que ce n est que vérités,
Mais pas facile a appliquer.


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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Ebloui dans la nuit !
(un voyage a changé ma vie)

La nuit était lugubre et bien sombre
Je ne voyais plus rien que des ombres
Tu es venue , et tu m'as pris la main
Tu m'as dit "nous partirons demain" !

Tu n'avais pas grand chose à m'offrir !
Un peu de ta folie ,beaucoup de tes sourires ,
Dans ce monde gris tu as été une clarté ,
Comme tu portes bien ton nom , ma beauté !

Maclaire.... aurore d'un nouveau jour
Promesses tenues de ton tendre amour
Compagne de nos routes et nos chemins
Où nous marchions gaiement main dans la main

Maclaire obscure , pas toujours comprise ,
Que je récite hésitant , leçon mal apprise !
Et pourtant , combien de fois j'ai murmuré
Ton nom , ma douce , ces deux mots adorés ...

Maclaire de lune , aussi lorsque vient le soir ,
Qu'en taverne tous deux nous allons boire ,
Et y donner libre cours à nos folies ,
Tels de sales gamins taquins et impolis ....

Maclaire qui même quand est tombée la nuit ,
Dans la chambre est un soleil devenue étoile ,
Et continue toujours de réchauffer celui
Qui est couché près de toi , dans les toiles

Avec toi , les nuits ne sont que des nuits blanches
Que dis-je nuit blanches ... non ... nuits dorées
Nos corps enlacés , mes mains sur tes hanches
Et ma bouche qui murmure : "Ma"Claire adorée ....
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seule

Pour toi, mon Flo que j aime

Adossée au pied d'un chêne, rêvassant à la belle étoile et d'une plume maladroite je commence sur un parchemin à écrire ....



Je dépose le parchemin au pied de l'arbre espérant que le vent ne l'emporte, désirant qu'il soit lu en temps voulu, par la personne intéressée.

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`Chaque poeme est un trésor de sentiments``

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Ignorer pour oublier, détester pour se rassurer

Mon cœur comme une sphère éteinte

Vide de bonheur plein de solitude

Mais remplis de connaissance.

Enfin je saigne des larmes d’un seul sens

Qui glisse sur un corps de bois sans conscience

Attiré vers une perspective malheureuse et sans référence

Ignoré pour vivre, détesté pour survivre

L’actualité fait revivre un océan de souvenir qui me rive.
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``Etre contestée! Cest etre constatée``

La guerre

La guerre une folie pour certains une joie pour les autres
La folie certains tombent dedans et n'en sorte point
La joie tout homme devrait y avoir droit en autre
La guerre que dire a ce sujet je ne sais point

Certains y resteront
D'autres en reviendront

Seul le très haut peut dire qui !!!!!
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Le vent souffle en bourasque
Et je suis seule
Le soleil est disparu derriere les nuages
Et je suis seule
Dans la nuit sans étoiles autour de ma maison
la neige s amoncelle en congeres
Et je suis seule
Mes amis m abandonne ,m oublie
Je suis seule
Mes ennemis ont éclaté de rire
Je suis seule
Mon corps dépérit mon coeur meurtri de peine
ne peut se ressaisir.
Je suis seule
Au fond de moi j aillit une lumiere
J entends ta voix, Je vois ton visage,
Tu es la pres de moi
Meme si ce n est que dans mes pensées ou mes reves
Peu importe si c est reve ou réalité.
Jamais plus je ne serai seule
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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Ce matin je l’ai rencontré en taverne
Ce midi il faisait de moi une reine
Cet après midi je lui ouvrais mon cœur
Ce soir j’osais enfin croire au bonheur

Parfois la félicité est à porté de notre main
Il faut juste arriver à oublier ses chagrins
Je ne sais pas ce que va me réserver l’avenir
Mais je vais regarder demain avec le sourire

Par sa ténacité et ses mots il m'a apprivoisé
Faisant renaître les rêves que j'avais oublié
De son cœur avec les fleurs j'ai un aperçu
Si j'entrouvre le mien c'est pour toi Arthus

C'est en vert que j'écris ton nom, le vert de l'espoir, du renouveau.
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"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal

A quoi bon ouvrir son coeur
Quand les autres ferment le leur

A quoi bon donner son amour
Si on n a rien en retour

A quoi bon chercher sans cesse le bonheur
Quand on sait que ca finira dans la douleur

A quoi bon tout cela
Moi je ne le sais pas

Je sais juste que j ai envie d y croire
Ne jamais perdre espoir

Continuer a espérer
Qu un jour quelqu un pourrait m aimer
Avec sincérité et pouvoir tout partager.
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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Un jour, au milieu d’une grande ville, est née une toute petite pâquerette. Partout où elle tournait ses pétales elle voyait de grands immeubles menaçants. Chaque soir elle tremblait à l’idée de ne pas voir le soleil le lendemain.
Les mois passants, elle apprit à se dissimuler pour ne pas être arrachée, elle apprit à se courber pour ne pas être piétinée. Elle grandit comme elle pu au milieu de cette jungle.
Mais un jour sa sève ne fit qu’un tour quand le vent lui porta une odeur nouvelle.
Quel était donc ce parfum qui l’attirait tant ?
Elle décida de prendre la route pour suivre ce qui lui semblait être son destin.
Pendant des jours elle marcha s’arrêtant à chaque fois qu’il lui semblait reconnaître cette odeur qui l’avait appelée.
Elle fit ainsi la connaissance d’un buis, d’un souci, d’un coquelicot et même d’un peuplier.
Tous étaient toujours très gentils avec elle et lui parlait de leurs vies mais aucun n’était celui qu’elle cherchait. Elle reprenait donc sa route après quelques jours de repos.
Un soir, épuisée d’avoir marché si longtemps, elle s’endormit contre un chêne.
Au matin, le chêne avait déposé délicatement quelques gouttes de rosée sur ses pétales.
Quel délicate attention, elle s’étira, se redressa, respira a plein poumon.
Son petit cœur se mit à battre plus fort, elle reconnu aussitôt ce parfum qu’elle cherchait depuis si longtemps. Enfin elle allait pouvoir s’arrêter, se reposer au pied de ce chêne si grand et fort qui serait toujours la pour la protéger.
Une grande complicité naquit entre eux, le chêne était heureux de ne plus être seul au milieu de son pré et la petite pâquerette se sentait à l’abri de cet arbre si fort.
Souvent le chêne se penchait pour caresser la petite pâquerette du bout de ses branches et la petite fleur tendait vers lui son petit cœur tout jaune laissant ses pétales s’ouvrir pour lui offrir son doux parfum.
Au pied de SON chêne elle ne pouvait qu’être heureuse.

Moralité : C'est avec son contraire que l'on s'accorde le mieux. Unissez du bleu avec du bleu, vous n'obtiendrez rien, mêlez le bleu avec du jaune et vous aurez une large palette de couleurs. Les différences n’empêchent pas l’amour, il suffit juste de le désirer.
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"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal

----- Fidèle compagnon de certaines personnes
----- Je cherche amour et câlins
----- Si tu me frotte dans le dos
----- Je te ferai de grands sourirs
----- Si tu me fais plein de caresses
----- Je te montrerai mes plus belles prouesses
----- Si tu viens avec moi
----- Je te prendrai dans mes bras
----- Je voudrais ête ton seul ami
----- Je souhaiterais que tu m'aimes aussi
----- Sur ma joue , fais moi un bisou
----- Et de joie , je serai le plus fou.

L’amour sans voyelle
(5 petits écrits différents, aucune suite logique)

A
Le soleil est de retour, quel bonheur.
Il me donne envie de rêver étendue sur l’herbe
Et de sentir toutes ces odeurs exploser en gerbe
Toi serré tout contre mon cœur.

Nos yeux tourner vers l’horizon
Nos doigts entremêlés
Nous voulons espérer
Des moments pleins d’émotions.


E
Si un jour tu crois au pouvoir du mot amour,
Tu pourras couvrir ton chagrin d’un abat jour.

Tu sortiras la nuit pour courir dans son lit,
La couvrir d’un doux câlin, sans un bruit.

Tu pourras ainsi la voir jouir à l’unisson
Car tu lui offriras tout, sans omission.

Du don d’amour allant jusqu’à la fusion,
Tu la voudras, sans tabou, dans la soumission.


I
Chaque seconde je rêve d’un amour fou
Le supposant beau, tendre et doux

Chaque heure je le cherche du regard
Espérant toujours le trouver par hasard

Chaque jour mes espérances s’envolent
Me rappelant mon âge sans protocole

Chaque année mes larmes coulent
Je les cache, me fondant dans cette foule


O
Ses mains sur mes hanches glissent
Par magie, le chemin elles suivent
Du creux de mes reins, elles délivrent
Des caresses que je veux divines.

Sans elles je ne peux survivre


U
Elles rêvent de l’homme idéal
Mais s’il existait je le promets
Croyez-moi, ce n’est pas banal
Dans cette cage on l’enfermerait

Elles viendraient ainsi à loisir
Contempler ce spécimen rare
Choisissant dans la liste des désirs
Le baiser volé payer trois dollars

Le mercredi, vendredi et samedi
Le matin, l’après midi et le soir
Venez tenter, ce n’est pas interdit
De gagner votre dernier espoir.


Y
Ne me rudoyez pas, apitoyez vous.
J’ai essayé d’envoyer sans Y mais, effrayée, j’ai ployé.
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"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal

Depuis ce jour,
Une personne de confiance,
Une personne qui est mon ami,
Cette personne là,
Est une personne que je considère,
Que je considère plus qu'un ami,
Il se reconnaîtra,
Du moins je l'espère,
Mais n'allons pas trop vite..

Adieu
Aux arbres mouillés de décembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer

L'adieu est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs

L'adieu n'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés

L'adieu, c'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui je pars
Et tu ne sais pas qui m'embrassera
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh adieu !

L'adieu c'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient

L'adieu c'est le loup
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh adieu ............................................................garou

A mour et amitié ne faisant qu’un, tu seras Am dans mon cœur

R epoussant d’un baiser le chagrin, ensemble trouvons le bonheur

T u me charmes de tes doux mots, avec les fleurs tu me fais la cour

H issant l’oriflamme au plus haut, nous montrons à tous notre amour

U nissons au plus vite nos vies, construisons nous un passé heureux

S uivons le chemin de nos envies, l’avenir regardons le en amoureux.
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"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal

Fermer la porte
Avant que les tourments ne m'emportent
Me mettre à l'abri
Avant que ne me blessent à jamais les mots dits
Ne plus rien laisser passer
Afin de me protéger
Tu me dis que je vois tout en noir
C'est peut être le désespoir
De ne pas être aimée
Comme je l'aurais souhaité
Tu me dis que je ne sais plus rire
C'est peut être de trop souffrir
Fermer mon coeur aux sentiments
Pour sortir du néant
Laisser au dehors les agressions
Je sais ce n'est pas une solution
Mais c'est tout ce que j'ai trouvé
Pour ne pas que la bulle vienne à ...............éclater
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Des paroles de douceurs
Des moments de bonheur,
Belle complicité voir les étoiles
au fond de nos yeux
C est magique comme le feu
Deux corps qui se déchainent
Deux corps qui s enchaine
Perdre la raison
Avec tant de passion
Vivre tout ce bonheur
Alors qu on sais qu il n apportera
que douleur
C est ce que nous vivons
avec tant de passion
Juste la magie de ce moment
Restera a jamais dans nos coeurs
toujours présent
Pensé a ces moments
vécus si intensément
Aidera a traverser le temps
Pour toujours et a jamais



Anital
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``Etre contestée! Cest etre constatée``

Sa conversation avec la Jolie Muselia lui avait rappelé l'un de ses poèmes écrit à Orthez pour sa belle Marainne...

Taniia passa par là et y déposa un poème..

Couleurs

Là tu es sérieuse, je vois que tu me parles comme à un grand.
ze zuis bin content.
Enfin no bien content je suis.
Si je dois grandir viiiiiiiiite donne moi de la bière en taverne et raconte moi comment on fait des petits.

Malounet se mis a genoux, la main sur la dague comme un vrai chevalier.

Souffle coupé, par tes mots confiés
Tremblement, vibration, émotion et grand frison
Le ventre à mal car si peu est donné entre nous
Merci pour ton histoire, que c'est beau la simplicité
La vie avec toi devient transparente, plus pure
Et mon cœur apaisé deviens plus grand tu me donnes la force de l'étreinte
A présent j'offre la force d'échanger, de partager, de créer
Se réaliser de te donner sans t'asservir
Maintenant est trop tard, je guette ce moment ou tu me prendra dans tes bras
Douceur rose de mon passé a te sucer le miel de tes montagnes.
Maintenant ils me délecterons ces monts de la sensation, du désir.

Comment te dire cette amour longtemps tenu en secret
Gagne ma vie , gagne mon âme, gagne ma terre.
Tes baisers suaves prennent vie a mon insu
Telles des illusions conscientes et lumineuses
Sous cette pluie cristalline et céleste tu me bordes chaque soir
Comme des larmes si chaudes et heureuses sous ton charme nu
Immense infini de tes lèvres de velours
pénétrant avec douceur chaque fibres de mon cœur.


Je grandis ma belle aimée.

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Mag s'approcha, prit la plume et gribouilla le parchemin comme promis


Bienvenue à un far breton


"Un Petit vent malin porté par les alizés arriva et se déposa sur les lieux des faits aux liens défaits.

Il s'enroula sur les mots pleins et déliés , humant l'amour qui fut, terni par le vent, les contretemps et les tourments.

Des notes disgracieuses, Il sentit le nectar et en aspira la parfaite, celle du commencement, de la naissance des sentiments.

Des mots prononcés avec sincérité, il refit une portée , dansant jusqu'au
firmament en bel envoûtement .

De la nuit des temps, il refit inlassablement la trame du plus noble des entrelacements.

Pas à pas et jusqu'à l'aube , en effleurant la ligne d'horizon, son souffle s'y déposa délicatement

Telles des notes vibrantes au son cristallin de pureté.

Pas de demi-mesure.... L'amour ne saurait souffrir de médiocrité. "

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