Laureline
Cest vers toi que mes pensées senvolent,
Toi dont les mots me rendent folle.
Je rêve de tous ces tendres moments,
Où tes yeux me dévoreront tendrement.
Tes doigts doucement me découvriront,
Tes lèvres légères me donneront le frisson.
Cest pour toi que mon cur cogne si fort,
Je ne le contrôle plus le soir quand je mendors.
Mes yeux se ferment sur de secrets désirs
Et toi seul détient une clé pour les découvrir.
De mon sourire je tente de texprimer
Ses sentiments trop longtemps réprimés.
Cest près de toi que jespère me réveiller,
Sentir ton corps contre le mien serré.
Ton souffle régulier se poser sur mon cou
Comme une plume légère, quil est doux.
Tes yeux souvriront pour me voir sourire,
Heureux, nous uniront nos soupirs.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Toi dont les mots me rendent folle.
Je rêve de tous ces tendres moments,
Où tes yeux me dévoreront tendrement.
Tes doigts doucement me découvriront,
Tes lèvres légères me donneront le frisson.
Cest pour toi que mon cur cogne si fort,
Je ne le contrôle plus le soir quand je mendors.
Mes yeux se ferment sur de secrets désirs
Et toi seul détient une clé pour les découvrir.
De mon sourire je tente de texprimer
Ses sentiments trop longtemps réprimés.
Cest près de toi que jespère me réveiller,
Sentir ton corps contre le mien serré.
Ton souffle régulier se poser sur mon cou
Comme une plume légère, quil est doux.
Tes yeux souvriront pour me voir sourire,
Heureux, nous uniront nos soupirs.
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"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal