Malou.1er
 |
Afficher le menu |
Menu
Texts
Account
| Information and comments (0) | << < 1, 2, 3, 4, 5, 6 >> |
[RP] Le p chi coin des poetes
Malou.1er
Là tu es sérieuse, je vois que tu me parles comme à un grand.
ze zuis bin content.
Enfin no bien content je suis.
Si je dois grandir viiiiiiiiite donne moi de la bière en taverne et raconte moi comment on fait des petits.
Malounet se mis a genoux, la main sur la dague comme un vrai chevalier.
Souffle coupé, par tes mots confiés
Tremblement, vibration, émotion et grand frison
Le ventre à mal car si peu est donné entre nous
Merci pour ton histoire, que c'est beau la simplicité
La vie avec toi devient transparente, plus pure
Et mon cœur apaisé deviens plus grand tu me donnes la force de l'étreinte
A présent j'offre la force d'échanger, de partager, de créer
Se réaliser de te donner sans t'asservir
Maintenant est trop tard, je guette ce moment ou tu me prendra dans tes bras
Douceur rose de mon passé a te sucer le miel de tes montagnes.
Maintenant ils me délecterons ces monts de la sensation, du désir.
Comment te dire cette amour longtemps tenu en secret
Gagne ma vie , gagne mon âme, gagne ma terre.
Tes baisers suaves prennent vie a mon insu
Telles des illusions conscientes et lumineuses
Sous cette pluie cristalline et céleste tu me bordes chaque soir
Comme des larmes si chaudes et heureuses sous ton charme nu
Immense infini de tes lèvres de velours
pénétrant avec douceur chaque fibres de mon cœur.
Je grandis ma belle aimée.
ze zuis bin content.
Enfin no bien content je suis.
Si je dois grandir viiiiiiiiite donne moi de la bière en taverne et raconte moi comment on fait des petits.
Malounet se mis a genoux, la main sur la dague comme un vrai chevalier.
Souffle coupé, par tes mots confiés
Tremblement, vibration, émotion et grand frison
Le ventre à mal car si peu est donné entre nous
Merci pour ton histoire, que c'est beau la simplicité
La vie avec toi devient transparente, plus pure
Et mon cœur apaisé deviens plus grand tu me donnes la force de l'étreinte
A présent j'offre la force d'échanger, de partager, de créer
Se réaliser de te donner sans t'asservir
Maintenant est trop tard, je guette ce moment ou tu me prendra dans tes bras
Douceur rose de mon passé a te sucer le miel de tes montagnes.
Maintenant ils me délecterons ces monts de la sensation, du désir.
Comment te dire cette amour longtemps tenu en secret
Gagne ma vie , gagne mon âme, gagne ma terre.
Tes baisers suaves prennent vie a mon insu
Telles des illusions conscientes et lumineuses
Sous cette pluie cristalline et céleste tu me bordes chaque soir
Comme des larmes si chaudes et heureuses sous ton charme nu
Immense infini de tes lèvres de velours
pénétrant avec douceur chaque fibres de mon cœur.
Je grandis ma belle aimée.
Pauline56
Citation:
P ar ta conscience, tu sais trouver la bonne voie
A vec cœur et réflexion, tu réfléchis avant d'agir
U ne grande bienveillance t'habite et te mène vers
L es autres qui ont besoin de ton aide et de ton soutien
I lluminant de bonheur la vie de ton entourage, tu
N e laisses jamais la guerre gagner et apportes la paix
E t c'est grâce à toi que notre existence est plus belle
A vec cœur et réflexion, tu réfléchis avant d'agir
U ne grande bienveillance t'habite et te mène vers
L es autres qui ont besoin de ton aide et de ton soutien
I lluminant de bonheur la vie de ton entourage, tu
N e laisses jamais la guerre gagner et apportes la paix
E t c'est grâce à toi que notre existence est plus belle
Saramiel
_________________
Gautier_de_treillere
Elle me manque tant,
Les jours, les nuits passent lentement,
Je rêve de ses mains si douces,
De son sourir charmant.
Moi, fils du vent,
Tu m'as attrapé et sublimé.
Ton corps comme un aimant,
Me rend fou et brulant.
Oui, tu es mon ange,
Tu es ce doux rêve,
je t'attendrai tant qu'il le faut,
En t'aimant d'un amour toujours plus beau...
Les jours, les nuits passent lentement,
Je rêve de ses mains si douces,
De son sourir charmant.
Moi, fils du vent,
Tu m'as attrapé et sublimé.
Ton corps comme un aimant,
Me rend fou et brulant.
Oui, tu es mon ange,
Tu es ce doux rêve,
je t'attendrai tant qu'il le faut,
En t'aimant d'un amour toujours plus beau...
Chantylly
Ces mots sont pour toi ma défunte beauté....
More...
Tu es entrée dans mon cœur comme un rayon de soleil,
En m'apportant toute la sincérité que j'espérais,
Tu as comblé l'immense vide de mes sentiments,
En me permettant de me sentir aimé en retour.
Comment comprendre ce doux sentiment
Qui nous envahit l'un l'autre,
Cette sensation qui ensemble nous transporte,
Et qui chaque instant nous unit.
Mais maintenant tu n'est plus de se monde
Je ne suis plus rien...
Plus rien depuis que tu est partie
Toi le soleil de ma vie...
Lydia00
Mais mais ou ils sont les poetes.
Je vais en préparer un et revenir. Il y a plus depoetes a Albi mais c est ainsi.
_________________
DE TON AMI DIT DU BIEN,
DE TON ENNEMI NE DIT RIEN
Je vais en préparer un et revenir. Il y a plus depoetes a Albi mais c est ainsi.
_________________
DE TON AMI DIT DU BIEN,
DE TON ENNEMI NE DIT RIEN
Magster
Mag s'approcha, prit la plume et gribouilla le parchemin comme promis
Bienvenue à un far breton
"Un Petit vent malin porté par les alizés arriva et se déposa sur les lieux des faits aux liens défaits.
Il s'enroula sur les mots pleins et déliés , humant l'amour qui fut, terni par le vent, les contretemps et les tourments.
Des notes disgracieuses, Il sentit le nectar et en aspira la parfaite, celle du commencement, de la naissance des sentiments.
Des mots prononcés avec sincérité, il refit une portée , dansant jusqu'au
firmament en bel envoûtement .
De la nuit des temps, il refit inlassablement la trame du plus noble des entrelacements.
Pas à pas et jusqu'à l'aube , en effleurant la ligne d'horizon, son souffle s'y déposa délicatement
Telles des notes vibrantes au son cristallin de pureté.
Pas de demi-mesure.... L'amour ne saurait souffrir de médiocrité. "
Bienvenue à un far breton
"Un Petit vent malin porté par les alizés arriva et se déposa sur les lieux des faits aux liens défaits.
Il s'enroula sur les mots pleins et déliés , humant l'amour qui fut, terni par le vent, les contretemps et les tourments.
Des notes disgracieuses, Il sentit le nectar et en aspira la parfaite, celle du commencement, de la naissance des sentiments.
Des mots prononcés avec sincérité, il refit une portée , dansant jusqu'au
firmament en bel envoûtement .
De la nuit des temps, il refit inlassablement la trame du plus noble des entrelacements.
Pas à pas et jusqu'à l'aube , en effleurant la ligne d'horizon, son souffle s'y déposa délicatement
Telles des notes vibrantes au son cristallin de pureté.
Pas de demi-mesure.... L'amour ne saurait souffrir de médiocrité. "
Magster
De mon bras valide j'accompagne la chose promise
Ses Choix
Ne tentez pas d'interpréter ses choix
Ce sont eux qui la construisent
Ils pourront l'alourdir d'un certain poids
Jusqu'à ce qu'ils la détruisent
Elle se relèvera quoiqu'il arrive à chaque fois
Elle constatera les réactions qu'ils produisent
Même s'ils ne respectent pas les lois
Pour atteindre les pires sottises
Elle assumera en toute occurence
Elle restera fière
Non sans prestance
Elle n'est pas de pierre
Ses choix seront sans virulence
Elle y restera accrochée tel le lierre.
Ses Choix
Ne tentez pas d'interpréter ses choix
Ce sont eux qui la construisent
Ils pourront l'alourdir d'un certain poids
Jusqu'à ce qu'ils la détruisent
Elle se relèvera quoiqu'il arrive à chaque fois
Elle constatera les réactions qu'ils produisent
Même s'ils ne respectent pas les lois
Pour atteindre les pires sottises
Elle assumera en toute occurence
Elle restera fière
Non sans prestance
Elle n'est pas de pierre
Ses choix seront sans virulence
Elle y restera accrochée tel le lierre.
Psycotik
J’irais me coucher là,
Le dos sur ces pavés froid et humide.
Ma tête reposée, plongée dans ce silence,
Tu sais ce silence criant, pleurant et qui étouffe ?
Celui qui envole aussi !
Je regarderais la lumière décliner en me caressant,
Et caressant les pans de mur. Et s’éteindre.
Je sentirais ces petites étoiles blanches se posée,
Se posée tout doucement sur mes lèvres,
Qui rêveront violement des tiennes…
Je m’amuserais avec les volutes de fumée,
Celles qui franchiront ma bouche,
Pour se disperser, et danser dans l’air solide et gelé.
J’en oublierais si c’est une cigarette ou non.
J’en oublierais mes mains qui frôlent le vide,
En pensant à ta peau…
Oui, j’irais me poser là,
Le dos sur mes rêves déchainés…
Le dos sur ces pavés froid et humide.
Ma tête reposée, plongée dans ce silence,
Tu sais ce silence criant, pleurant et qui étouffe ?
Celui qui envole aussi !
Je regarderais la lumière décliner en me caressant,
Et caressant les pans de mur. Et s’éteindre.
Je sentirais ces petites étoiles blanches se posée,
Se posée tout doucement sur mes lèvres,
Qui rêveront violement des tiennes…
Je m’amuserais avec les volutes de fumée,
Celles qui franchiront ma bouche,
Pour se disperser, et danser dans l’air solide et gelé.
J’en oublierais si c’est une cigarette ou non.
J’en oublierais mes mains qui frôlent le vide,
En pensant à ta peau…
Oui, j’irais me poser là,
Le dos sur mes rêves déchainés…
Magster
Le bras pansé la promesse tenue, l'horreur de parler du lui, il arrivait pâle et malheureux auprès de l'autel des mots.
Il lui avait dit,
Il devait le faire
Sans interdit
Sans manière
Pour en finir
Seuls parfois sont ainsi les humains,
Même très entourés ils sont seuls.
Par accident ou par volonté, ils errent sur les chemins
Leurs âmes tourmentées bien plus qu’ils ne le veulent.
Ils se perdent dans les méandres du néant
Et comblent leur vie de petit rien
Ils souffrent en silence en faisant semblant,
En espérant un miracle, un meilleur demain.
Mais à quoi bon s’entourer des autres
Lorsque l’indifférence supplante tout !
Je suis différent est-ce ma faute
Dois-je souffrir debout plutôt qu’à genoux ?
Nul regard ne se posera sur moi
Nulle gentillesse, nulle attention
Que de l’indifférence ou des regards froids
Tel est mon quotidien, je dois m’en faire une raison…
La solitude est ma seule compagne sur terre
Et je dois l’accepter ainsi
Seul pour la vie, mon orgueil se terre
Entendez-vous mon silence qui pousse un cri ?
Il lui avait dit,
Il devait le faire
Sans interdit
Sans manière
Pour en finir
Seuls parfois sont ainsi les humains,
Même très entourés ils sont seuls.
Par accident ou par volonté, ils errent sur les chemins
Leurs âmes tourmentées bien plus qu’ils ne le veulent.
Ils se perdent dans les méandres du néant
Et comblent leur vie de petit rien
Ils souffrent en silence en faisant semblant,
En espérant un miracle, un meilleur demain.
Mais à quoi bon s’entourer des autres
Lorsque l’indifférence supplante tout !
Je suis différent est-ce ma faute
Dois-je souffrir debout plutôt qu’à genoux ?
Nul regard ne se posera sur moi
Nulle gentillesse, nulle attention
Que de l’indifférence ou des regards froids
Tel est mon quotidien, je dois m’en faire une raison…
La solitude est ma seule compagne sur terre
Et je dois l’accepter ainsi
Seul pour la vie, mon orgueil se terre
Entendez-vous mon silence qui pousse un cri ?
Aaricia_destempliers
Un seul regard,
Une journée,
Après des semaines passées,
Seule à vos cotés
Et puis …
Un jour un baisé,
Un jeu… une réalité …
Que penser ?
Mais …
La magie a opérée
Et nous nous sommes ….
Ce jour là, c’était vous …
Vous qui avez prit mon cœur…
Vous si tendre, si doux…
Vous si fougueux, si fou..
Vous rien que vous…
Vous oui vous…
Et qui sait …
Peut-être un peu … nous ….
_________________
Magster
Mag revenant à nouveau sur l'autel des mots, après une nuit au pied d'une charrette à contempler le ciel étoilé.
Il déposa un écrit pour toutes celles qui, un jour ou l'autre désespèrent de la vie et du bonheur..........
Pour vous, Madame
Finalement elle l’a trouvé
Celui qu’elle avait tant attendu
Finalement il existait
Mais que de chemin parcouru !
Il en aura fallu du temps,
De chagrins et d’illusions perdues
Pour qu’il arrive au bon moment
A l’instant même où elle n’y croyait plus !
Il en aura fallu des larmes
Des regrets, des propos futiles
Et un chevalier abandonnant ses armes
A bout de forces, fatigué et fragile…
Il en aura fallu des combats
Pour qu’elle y croit encore
Pour que jamais elle ne baisse les bras
Et qu’elle leur prouve qu’ils avaient tord.
Il déposa un écrit pour toutes celles qui, un jour ou l'autre désespèrent de la vie et du bonheur..........
Pour vous, Madame
Finalement elle l’a trouvé
Celui qu’elle avait tant attendu
Finalement il existait
Mais que de chemin parcouru !
Il en aura fallu du temps,
De chagrins et d’illusions perdues
Pour qu’il arrive au bon moment
A l’instant même où elle n’y croyait plus !
Il en aura fallu des larmes
Des regrets, des propos futiles
Et un chevalier abandonnant ses armes
A bout de forces, fatigué et fragile…
Il en aura fallu des combats
Pour qu’elle y croit encore
Pour que jamais elle ne baisse les bras
Et qu’elle leur prouve qu’ils avaient tord.
| See the RP information | << < 1, 2, 3, 4, 5, 6 >> |
Le p chi coin des poetes
Ladylola
C est juste pour s amuser de venir coucher sur le papier vos petits poemes.
Je suis sure que cela fera plaisir a tous de les écrires et les lires.
Alors on laisse sa plumes se promener. Allez poete ou pas on se lance.
En chacun de nous il y a un peu de poésie
-----------------------------------------------------------------------------------
Je voudrais etre un nuage
pour te préserver du soleil!
Je voudrais surtout etre un Ange
pour te sourire a ton réveil
----------------------------
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Je suis sure que cela fera plaisir a tous de les écrires et les lires.
Alors on laisse sa plumes se promener. Allez poete ou pas on se lance.
En chacun de nous il y a un peu de poésie
-----------------------------------------------------------------------------------
Je voudrais etre un nuage
pour te préserver du soleil!
Je voudrais surtout etre un Ange
pour te sourire a ton réveil
----------------------------
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Marvin
Marvin prit un bout de parchemin et y coucha ces quelques mots......
Dans mes souvenirs
Il y a des nuits blanches à faire la fête
Il y a aussi les nuits passées au fond de ses bras
Il y a des mots, il y a des gens
Il y a aussi une route vers nulle part
Un jour dans mes souvenirs
Il y aura un rêve, une histoire entre amour et passion
Où je m’y noierai...
_________________
Dans mes souvenirs
Il y a des nuits blanches à faire la fête
Il y a aussi les nuits passées au fond de ses bras
Il y a des mots, il y a des gens
Il y a aussi une route vers nulle part
Un jour dans mes souvenirs
Il y aura un rêve, une histoire entre amour et passion
Où je m’y noierai...
_________________
Ladylola
Les étoiles brillent dans le ciel
Je tends la main
J oublis mon chagrin
Cette petite étoile un jour j attraperai
Pour la mettre dans mon coeur
Alors peut etre recommencer a aimer
Toi petite étoile, Je t ai tant chercher
Mon coeur est pleins d amour a donner
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Je tends la main
J oublis mon chagrin
Cette petite étoile un jour j attraperai
Pour la mettre dans mon coeur
Alors peut etre recommencer a aimer
Toi petite étoile, Je t ai tant chercher
Mon coeur est pleins d amour a donner
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Anne_cyrella
Amour de ma vie
Caché dans tes bras
Ivre de tendresse
Serrée contre toi
Je t'aime mon ange
Anne
_________________
Caché dans tes bras
Ivre de tendresse
Serrée contre toi
Je t'aime mon ange
Anne
_________________
Ladylola
Sur la brise endormie
Va petite fleur
Porter a mon bien aim/
Le secret de mon coeur.
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Va petite fleur
Porter a mon bien aim/
Le secret de mon coeur.
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Tristan_masselet
Triste et solitaire
Je suis une herbe flottante
À la racine coupée.
Si un courant m'entraîne
Je crois que je le suivrai.
Ceci étant un "Tanka"
_________________
Je suis une herbe flottante
À la racine coupée.
Si un courant m'entraîne
Je crois que je le suivrai.
Ceci étant un "Tanka"
_________________
Tristanduschlossberg
Petite flamme fuyante,
Brisée mais renaissante,
J’attendrai que tu m’ouvres ton cœur et que tu n’ais plus peur,
Qu’un jour ton chevalier ne s’en aille
Et ré-ouvre la faille,
De ton cœur si grand et si bon,
Que nous puissions vivre à l’unisson
Tous ces moments de bonheur et de ferveur.
Brisée mais renaissante,
J’attendrai que tu m’ouvres ton cœur et que tu n’ais plus peur,
Qu’un jour ton chevalier ne s’en aille
Et ré-ouvre la faille,
De ton cœur si grand et si bon,
Que nous puissions vivre à l’unisson
Tous ces moments de bonheur et de ferveur.
Ladylola
Lorsque je plonge mon regard dans tes yeux
Je contemple un paysage merveilleux
et dans ce spectacle grandiose de quiétude
j abandonne sans regret ma solitude
Tu es le refuge de mon coeur...
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Je contemple un paysage merveilleux
et dans ce spectacle grandiose de quiétude
j abandonne sans regret ma solitude
Tu es le refuge de mon coeur...
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Sashah
Elle entra dans un bâtiment qui semblait dédié à l'art, rares étaient ceux-ci, aussi en fut-elle étonnée ! Sashah sourit, sortit un parchemin et le déposa sur la pile. Une trace de son passage... une parmi tant d'autres !
Et j'ai connu la mer où naquit ma Plume
La plus belle et la plus douce des eaux
Je la découvrit un matin dans un crachin de brume
Ses Embruns ont scellé mon destin aussitôt !
Mes mots s'envolaient de ma plume fragile
Comme une goutte de rosée sur des lèvres de miel
Pour m'offrir la saveur des mers tranquilles
Et la tendre couleur azur du bleu du ciel
Les silences que j'écrivais en plongeant
Ma plume dorée dans l'encre Océan
Ont fait couler de scintillantes larmes
Bien vite noyées dans les profondeurs du néant.
Cette mer a éclaboussé mes souvenirs
Y gravant des bonheurs à n'en plus finir
De ma plume de sœur, de ma plume d'ange
De ma plume encrée parfois d'un amour étrange...
Sashah Fille de Murat
_________________
Et j'ai connu la mer où naquit ma Plume
La plus belle et la plus douce des eaux
Je la découvrit un matin dans un crachin de brume
Ses Embruns ont scellé mon destin aussitôt !
Mes mots s'envolaient de ma plume fragile
Comme une goutte de rosée sur des lèvres de miel
Pour m'offrir la saveur des mers tranquilles
Et la tendre couleur azur du bleu du ciel
Les silences que j'écrivais en plongeant
Ma plume dorée dans l'encre Océan
Ont fait couler de scintillantes larmes
Bien vite noyées dans les profondeurs du néant.
Cette mer a éclaboussé mes souvenirs
Y gravant des bonheurs à n'en plus finir
De ma plume de sœur, de ma plume d'ange
De ma plume encrée parfois d'un amour étrange...
Sashah Fille de Murat
_________________
Sashah
Ses pas par instinct la guidèrent là où elle ne pouvait que se sentir bien. Quand elle poussa la porte, l'odeur de l'encre allongée au vinaigre lui chatouilla les narines.
Ca sentait Murat, son atelier, la Gazette... Elle sourit. Ce soir elle serait au couvent, sur les routes en danger chassée par ce duché, ou bien demain en geôle ! Mais elle s'en fichait, mourir ici ou ailleurs, les voyages étaient ainsi faits de chaleureux accueils ou de terribles dangers.
Curieusement elle se surprit à poser la main sur son ventre encore bien plat. Elle saurait, bientôt, elle saurait !
Elle sortit une plume couleur jade de sa besace, cadeau de son soldat Nîmois, blond et la trempa dans une encre violine !
Couleurs étranges toutes en contraste, mais couleurs qui chatoient sous la pâleur du ciel qui installait doucement les primas d'un automne qu'elle n'oublierait surement pas !
Doucement les mots se positionnèrent les uns derrière les autres et elle laissa son esprit guider sa main.
Quand j’écris le mot amour
Mon cœur se glace comme l’hiver
Et me murmure jour après jour
Arrêtes de poursuivre des chimères…
Quand j’écris le mot moineau
Et que mes lèvres de larmes se mouillent
J'entends mon Lys éterneau
Qui m’observe et chante du haut de sa gargouille.
Quand j’écris le mot plume
Je sens le souffle d’un vent de secrets
Qui me révèle sous un voile de lune
Des légendes venues du fin fond des forêts
Mais quand j'entends le mot bébé
Le monde soudain s'illumine et me berce
J’en oublie mes peines et mes regrets
Et tout ne devient alors que caresses...
Sashah
_________________
Ca sentait Murat, son atelier, la Gazette... Elle sourit. Ce soir elle serait au couvent, sur les routes en danger chassée par ce duché, ou bien demain en geôle ! Mais elle s'en fichait, mourir ici ou ailleurs, les voyages étaient ainsi faits de chaleureux accueils ou de terribles dangers.
Curieusement elle se surprit à poser la main sur son ventre encore bien plat. Elle saurait, bientôt, elle saurait !
Elle sortit une plume couleur jade de sa besace, cadeau de son soldat Nîmois, blond et la trempa dans une encre violine !
Couleurs étranges toutes en contraste, mais couleurs qui chatoient sous la pâleur du ciel qui installait doucement les primas d'un automne qu'elle n'oublierait surement pas !
Doucement les mots se positionnèrent les uns derrière les autres et elle laissa son esprit guider sa main.
Quand j’écris le mot amour
Mon cœur se glace comme l’hiver
Et me murmure jour après jour
Arrêtes de poursuivre des chimères…
Quand j’écris le mot moineau
Et que mes lèvres de larmes se mouillent
J'entends mon Lys éterneau
Qui m’observe et chante du haut de sa gargouille.
Quand j’écris le mot plume
Je sens le souffle d’un vent de secrets
Qui me révèle sous un voile de lune
Des légendes venues du fin fond des forêts
Mais quand j'entends le mot bébé
Le monde soudain s'illumine et me berce
J’en oublie mes peines et mes regrets
Et tout ne devient alors que caresses...
Sashah
_________________
Calyca
Caly arriva devant cette piece a peine eclairée par une petite fenetre ronde en hauteur ,pour ne laisser appraitre qu'un rayon de soleil qui illuminait un livre sur une table haute ....
Devant ,etait disposaient une plume ,et un encrier .
Elle lut les quelques poemes laissés et les trouva magnifiques .
Elle decida de prendre la plume et de se laisser aller a son imagination ...
Une mélodie inaudible
Résonne dans la nuit
Chants de deux esprits unis pour la vie
Ils dansent sans prendre conscience du temps
Leur rêve nocturne s'étend indéfiniment
Leurs corps se frolent
Leurs coeurs s'accélérent
Leurs ames se lient
Et ne font plus qu'une
Le bonheur est a son comble
Leur tristesse s'éfface dans l'ombre
Seul leur amour compte
Qui jamais ne pourra se rompre
_________________
Devant ,etait disposaient une plume ,et un encrier .
Elle lut les quelques poemes laissés et les trouva magnifiques .
Elle decida de prendre la plume et de se laisser aller a son imagination ...
Une mélodie inaudible
Résonne dans la nuit
Chants de deux esprits unis pour la vie
Ils dansent sans prendre conscience du temps
Leur rêve nocturne s'étend indéfiniment
Leurs corps se frolent
Leurs coeurs s'accélérent
Leurs ames se lient
Et ne font plus qu'une
Le bonheur est a son comble
Leur tristesse s'éfface dans l'ombre
Seul leur amour compte
Qui jamais ne pourra se rompre
_________________
Calyca
La jeune fille aimait le calme de cette petite piece ,l'ambiance feutrée et l'odeur de l'encre et du papier vieillit .
C'est tout naturellement , qu'elle y revint ,coucher ces quelques lignes sur ce gros livre deja bien remplit .
Que c’est bon d’être aimée
De revivre l’amour
Les yeux refermés
Loin de ces alentours
Quand le coeur vous emballe
Palpitant les envies
En bonheur idéal
On ne peut que dire oui
Que c’est bon d’être aimée
Au milieu des caresses
En se laissant aller
Au coeur de la tendresse
_________________
C'est tout naturellement , qu'elle y revint ,coucher ces quelques lignes sur ce gros livre deja bien remplit .
Que c’est bon d’être aimée
De revivre l’amour
Les yeux refermés
Loin de ces alentours
Quand le coeur vous emballe
Palpitant les envies
En bonheur idéal
On ne peut que dire oui
Que c’est bon d’être aimée
Au milieu des caresses
En se laissant aller
Au coeur de la tendresse
_________________
Ladylola
La mer fait l amour au rivage
Moi je revois ton visage
Ce merveilleux coucher de soleil
Comme toujours m émerveille
Ce sable si chaud et doux
j immagine de voir nos pas a nous
tout en nous murmurant des mots si doux
Les mouettes viennent briser ce silence
vide par ton absence.........
--------------------------
Rever
est une chose si douce
qui ne coute rien
et qui rassure.........
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Moi je revois ton visage
Ce merveilleux coucher de soleil
Comme toujours m émerveille
Ce sable si chaud et doux
j immagine de voir nos pas a nous
tout en nous murmurant des mots si doux
Les mouettes viennent briser ce silence
vide par ton absence.........
--------------------------
Rever
est une chose si douce
qui ne coute rien
et qui rassure.........
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Arnaut.du.perray.
Une gréle de fleur s'abat,sur deux coeurs ébréché,sur tes lévres se noie,La moiteur d'un suave baiser,
ton image chasse les courants d'air,Qui sévise dans mon esprit bouillant,Des bulles d'espoir frémices aux firmament,en voyant s'agité tes courbes en lumiére...
Puis nos mains façonent,Un futur flambloyant,à ton oreille je fredonne,Un petit sons chotoyant..
Des paroles jaillissant puis submerge,mon coeur qui séche à la solitude assasine,Je vogue dans tes bras sur l'océan de tendresse,les paupiére mi clos aveuglé par ta beauté intemporelle.
Arnaut.du.perray.
La plus belle en ce lieu
Abritant une telle douceur
Rousse elle est, comme douce
Où elle passe, plus rien ne me tracasse
Usant de sa douceur, pour atteindre mon coeur
Sussurant des mots touchant
Souriante face a la vie
Eblouissante de beauté et de vie
Pauline56
Pour toi mon amie, pour toi Larousse pour ton anniversaire
Aurore donna une grosse bise a Larousse puis repartie au champs, elle devait travailler, et esperer revoir son Amour ce soir.
Aurore donna une grosse bise a Larousse puis repartie au champs, elle devait travailler, et esperer revoir son Amour ce soir.
Ladylola
Pourquoi mon coeur, errens tu en vain?
Repose toi donc quelque part.
Ne songe pas a ce qui fut
Ou a ce qui sera:
Réjouis-toi des joies qui viennent
Et passent sans que tu ne t y attends
Larousse réfléchit a son poeme et se dit que ce n est que vérités,
Mais pas facile a appliquer.
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Ladylola
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Tristan_masselet
Ebloui dans la nuit !
(un voyage a changé ma vie)
La nuit était lugubre et bien sombre
Je ne voyais plus rien que des ombres
Tu es venue , et tu m'as pris la main
Tu m'as dit "nous partirons demain" !
Tu n'avais pas grand chose à m'offrir !
Un peu de ta folie ,beaucoup de tes sourires ,
Dans ce monde gris tu as été une clarté ,
Comme tu portes bien ton nom , ma beauté !
Maclaire.... aurore d'un nouveau jour
Promesses tenues de ton tendre amour
Compagne de nos routes et nos chemins
Où nous marchions gaiement main dans la main
Maclaire obscure , pas toujours comprise ,
Que je récite hésitant , leçon mal apprise !
Et pourtant , combien de fois j'ai murmuré
Ton nom , ma douce , ces deux mots adorés ...
Maclaire de lune , aussi lorsque vient le soir ,
Qu'en taverne tous deux nous allons boire ,
Et y donner libre cours à nos folies ,
Tels de sales gamins taquins et impolis ....
Maclaire qui même quand est tombée la nuit ,
Dans la chambre est un soleil devenue étoile ,
Et continue toujours de réchauffer celui
Qui est couché près de toi , dans les toiles
Avec toi , les nuits ne sont que des nuits blanches
Que dis-je nuit blanches ... non ... nuits dorées
Nos corps enlacés , mes mains sur tes hanches
Et ma bouche qui murmure : "Ma"Claire adorée ....
_________________
(un voyage a changé ma vie)
La nuit était lugubre et bien sombre
Je ne voyais plus rien que des ombres
Tu es venue , et tu m'as pris la main
Tu m'as dit "nous partirons demain" !
Tu n'avais pas grand chose à m'offrir !
Un peu de ta folie ,beaucoup de tes sourires ,
Dans ce monde gris tu as été une clarté ,
Comme tu portes bien ton nom , ma beauté !
Maclaire.... aurore d'un nouveau jour
Promesses tenues de ton tendre amour
Compagne de nos routes et nos chemins
Où nous marchions gaiement main dans la main
Maclaire obscure , pas toujours comprise ,
Que je récite hésitant , leçon mal apprise !
Et pourtant , combien de fois j'ai murmuré
Ton nom , ma douce , ces deux mots adorés ...
Maclaire de lune , aussi lorsque vient le soir ,
Qu'en taverne tous deux nous allons boire ,
Et y donner libre cours à nos folies ,
Tels de sales gamins taquins et impolis ....
Maclaire qui même quand est tombée la nuit ,
Dans la chambre est un soleil devenue étoile ,
Et continue toujours de réchauffer celui
Qui est couché près de toi , dans les toiles
Avec toi , les nuits ne sont que des nuits blanches
Que dis-je nuit blanches ... non ... nuits dorées
Nos corps enlacés , mes mains sur tes hanches
Et ma bouche qui murmure : "Ma"Claire adorée ....
_________________
Maclaire
Pour toi
Un regard, un sourire, des paroles
Voila que nous nous sommes rencontrés
Un souffle, une pensée, des mots drôles
Et voila que nous nous sommes aimés
Pour un temps, pour la vie, nous n'savions
Le destin a choisi notre voie
Et c'est tous les deux que nous irons
Tout au loin, tout là-bas...
Depuis notre retour,mon amour
C'est avec toi tout les jours
Que je vie cette folie
Qui donne un sens a ma vie
_________________
Un regard, un sourire, des paroles
Voila que nous nous sommes rencontrés
Un souffle, une pensée, des mots drôles
Et voila que nous nous sommes aimés
Pour un temps, pour la vie, nous n'savions
Le destin a choisi notre voie
Et c'est tous les deux que nous irons
Tout au loin, tout là-bas...
Depuis notre retour,mon amour
C'est avec toi tout les jours
Que je vie cette folie
Qui donne un sens a ma vie
_________________
Pauline56
seule
Citation:
je marche, seule
je cherche une main,
quelqu' un qui me console,
detruise tous les chagrins
qui me rongent , me volent le reste de ma vie.
je suis fatiguee des jours sans amour.
des nuits sans envies
suis je devenue si laide
pour ne plus qu il m' aime .
j ai le cancer de la vie......
je marche, seule
je cherche une main,
quelqu' un qui me console,
detruise tous les chagrins
qui me rongent , me volent le reste de ma vie.
je suis fatiguee des jours sans amour.
des nuits sans envies
suis je devenue si laide
pour ne plus qu il m' aime .
j ai le cancer de la vie......
Helia
La Contradiction
Nous fumes amants, nous fumes serpents,
Nous fumes passion, nous fumes poison,
Nous fumes de feu, nous fumes de glace,
Nous fumes fusion, nous fumes éparses.
Entends-tu les cris sourds caressant mon coeur ?
Entends-tu les murmures hurlant mon malheur ?
Peux-tu sentir mes ongles, mes griffes s'accrocher,
Comme ceux du naufragé s'agrippent à un rocher ?
Pour chaque partie de moi qui te désire,
Une autre partie voudrait s’enfuir.
Viens, emmène-moi, partons au delà de tout,
Va, envole toi, volons au dessus de nous.
_________________
Nous fumes amants, nous fumes serpents,
Nous fumes passion, nous fumes poison,
Nous fumes de feu, nous fumes de glace,
Nous fumes fusion, nous fumes éparses.
Entends-tu les cris sourds caressant mon coeur ?
Entends-tu les murmures hurlant mon malheur ?
Peux-tu sentir mes ongles, mes griffes s'accrocher,
Comme ceux du naufragé s'agrippent à un rocher ?
Pour chaque partie de moi qui te désire,
Une autre partie voudrait s’enfuir.
Viens, emmène-moi, partons au delà de tout,
Va, envole toi, volons au dessus de nous.
_________________
Pauline56
Pour toi, mon Flo que j aime
Citation:
Encore aujourd'hui après toutes ces années,
Mon amour grandit sans cesse à tes côtés.
Laisse encore mon coeur te parler d'amour,
Laisse moi te dire je t'aime pour toujours.
Quand je te regarde dans les yeux,
Je vois en toi un coeur heureux.
Si doux et si bon est ton coeur
Vivre avec toi c'est vivre le bonheur.
Nous avons sû prendre le temps
De s'aimer tendrement.
Se dire chaque jour et à chaque instant,
Je t'aime éperdument.
Mon amour pour toi est si grand,
Laisse mon coeur te dire sincèrement :
"Prend ma main et viens
**Toi mon Valentin.**
Ensemble sur ce long chemin,
Car dans tes bras c'est mon destin".
Mon amour grandit sans cesse à tes côtés.
Laisse encore mon coeur te parler d'amour,
Laisse moi te dire je t'aime pour toujours.
Quand je te regarde dans les yeux,
Je vois en toi un coeur heureux.
Si doux et si bon est ton coeur
Vivre avec toi c'est vivre le bonheur.
Nous avons sû prendre le temps
De s'aimer tendrement.
Se dire chaque jour et à chaque instant,
Je t'aime éperdument.
Mon amour pour toi est si grand,
Laisse mon coeur te dire sincèrement :
"Prend ma main et viens
**Toi mon Valentin.**
Ensemble sur ce long chemin,
Car dans tes bras c'est mon destin".
Ladylola
Laisse neiger ton amour et je partagerais
si fort que je m’engagerais dans l’obscurité,
Patience, nous ressusciterons l’affection qui veille en nous,
Tu me parle de confiance, te sent tu sans défense ?
Soulage ta conscience je me dévoue en ton absence,
Laisse fleurir ton amour et je t’offrirais,
mon cœur dévoué au milieu d’un jardin de rose,
Ouvre moi ton cœur secret et laisse toi emporté,
Montre moi le chemin du bonheur commun
Certains que je le suivrais de tes mains
Pour atteindre la fin qui est le destin,
Montre moi l’espoir je le suivrais dans le noir,
La peur d’échouer m’effraie, mais l’amour me force à y croire
Faut dire que lui seul a le pouvoir de percevoir,
Je ne finirais ce poème que par une idée concrète
Celle de garder ma conquete secrete a l abri des bouches indiscrete``
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
si fort que je m’engagerais dans l’obscurité,
Patience, nous ressusciterons l’affection qui veille en nous,
Tu me parle de confiance, te sent tu sans défense ?
Soulage ta conscience je me dévoue en ton absence,
Laisse fleurir ton amour et je t’offrirais,
mon cœur dévoué au milieu d’un jardin de rose,
Ouvre moi ton cœur secret et laisse toi emporté,
Montre moi le chemin du bonheur commun
Certains que je le suivrais de tes mains
Pour atteindre la fin qui est le destin,
Montre moi l’espoir je le suivrais dans le noir,
La peur d’échouer m’effraie, mais l’amour me force à y croire
Faut dire que lui seul a le pouvoir de percevoir,
Je ne finirais ce poème que par une idée concrète
Celle de garder ma conquete secrete a l abri des bouches indiscrete``
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Katalina
Une mélodie inaudible, résonne dans la nuit.
Chant de deux épris unis pour la vie.
Ils dansent sans prendre conscience du temps.
Leur rêve nocturne s'étend, indéfiniment.
Leurs corps se frolent,
Leurs cœurs s'accélèrent, leurs âmes se lient et ne font plus qu'une.
Le bonheur est a son comble, leur tristesse s'efface dans l'ombre.
Seul leur amour compte, qui jamais ne pourra ce rompre...
Chant de deux épris unis pour la vie.
Ils dansent sans prendre conscience du temps.
Leur rêve nocturne s'étend, indéfiniment.
Leurs corps se frolent,
Leurs cœurs s'accélèrent, leurs âmes se lient et ne font plus qu'une.
Le bonheur est a son comble, leur tristesse s'efface dans l'ombre.
Seul leur amour compte, qui jamais ne pourra ce rompre...
Ladylola
mon silence
----------
silence plein de tristesse
tristesses des pensées
pensées de détresse
detresse à faire pleurer
silence du coeur
coeur qui a peur
Peur de ne pas etre aimer
Peur de trop aimer
silence rempli de bruit
bruit qui ne laisse rien
rien ressemblant à la nuit
nuit jusqu au matin
Seule avec le bruit de la pluie
silence des mots
mots qui ne veulent rien dire
dire que c'est trop
peut etre reviendra t il bientot
Silence à écouter
écouter ses battements
battement qui font penser
penser qu'il est temps
Temps de mettre fin au silence
le silence de sa présence
Le silence de son absence
reveil qui fait du bruit
bruit pour dire qu il est parti
Et que peut etre me dire qu il m oubli
sans avoir vraiment commencer
Peut etre que c est deja fini
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Pauline56
Citation:
Seuls Sur Le Sable, Seule avec toi mon Flo
Je respire l'odeur de ton corps chaleureux.
Tu m'embrasse et vois s'afficher un sourire radieux
Sur mon visage éclairé d'une exquise lumière
Celle que m'offre tes yeux bleu clair.
L'élixir de ta bouche où l'amour se propage
Et de part en part enveloppe mon visage
Rempli à jamais mon coeur de douceur
Et vers toi mes désirs partent sans peur.
J'aime voir ton être frémir avec ton âme
Quand dans le mien ton corps s'enflamme
Et boire ton souffle comme un cadeau de la vie
Ainsi nous sommes réunis en une parfaite harmonie.
Puis, quand la nuit voluptueuse pénètrera les cieux,
Que tu dormiras paisiblement à l'ombre de mes seins,
Je déposerai, éternel et muet, un baisé d'adieux
Sur les lèvres de ton sommeil divin.
pauline
Je respire l'odeur de ton corps chaleureux.
Tu m'embrasse et vois s'afficher un sourire radieux
Sur mon visage éclairé d'une exquise lumière
Celle que m'offre tes yeux bleu clair.
L'élixir de ta bouche où l'amour se propage
Et de part en part enveloppe mon visage
Rempli à jamais mon coeur de douceur
Et vers toi mes désirs partent sans peur.
J'aime voir ton être frémir avec ton âme
Quand dans le mien ton corps s'enflamme
Et boire ton souffle comme un cadeau de la vie
Ainsi nous sommes réunis en une parfaite harmonie.
Puis, quand la nuit voluptueuse pénètrera les cieux,
Que tu dormiras paisiblement à l'ombre de mes seins,
Je déposerai, éternel et muet, un baisé d'adieux
Sur les lèvres de ton sommeil divin.
pauline
Ladylola
Tienne 
Des que je te vit mon cœur battit,
Mon corps frémit et ce n’était que le début de l’hystérie
Mon cœur battait dans un bain de sang pauvre d’amour
Il est comme une passerelle sur laquelle en y passe
En y laissant des traces, tu la piétiné tellement de fois
Que j’ai cru quelle s’écroulerait en moi.
Je te respecte comme une divin
tu est mon soleilPendant l’été,
Et tout ce que je peux désiré pendant le printemps
Vérité celui qui a dit que l’amour est un courant qui
Attire mais qui ne lâche jamais.
Je voudrait te criée mon amour mais les mots
Pourrait te choqué les actes seraient déplacés
Car pour une autre tu as pleurer
Et les écrit ne peuvent exprimé mes idées.
Au moment ou le désespoir me mis a part une petite
Voix me fit savoir qu’est ce que l’espoir.
Ce n’est qu’une question de temps
quant on aime vraiment.....
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Des que je te vit mon cœur battit,
Mon corps frémit et ce n’était que le début de l’hystérie
Mon cœur battait dans un bain de sang pauvre d’amour
Il est comme une passerelle sur laquelle en y passe
En y laissant des traces, tu la piétiné tellement de fois
Que j’ai cru quelle s’écroulerait en moi.
Je te respecte comme une divin
tu est mon soleilPendant l’été,
Et tout ce que je peux désiré pendant le printemps
Vérité celui qui a dit que l’amour est un courant qui
Attire mais qui ne lâche jamais.
Je voudrait te criée mon amour mais les mots
Pourrait te choqué les actes seraient déplacés
Car pour une autre tu as pleurer
Et les écrit ne peuvent exprimé mes idées.
Au moment ou le désespoir me mis a part une petite
Voix me fit savoir qu’est ce que l’espoir.
Ce n’est qu’une question de temps
quant on aime vraiment.....
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Lenny
Au commencement, nous étions petits
Puis petit à petit nous avons grandi
Un petit sourire se format
Un petit peu de joie
Des enfants puis petits enfants
A la fin, nous étions grands
La mort s'est rapproché à grands pas,
Nos derniers baisers de grands
Et nous sombrâmes dans une fin sans fin.
Puis petit à petit nous avons grandi
Un petit sourire se format
Un petit peu de joie
Des enfants puis petits enfants
A la fin, nous étions grands
La mort s'est rapproché à grands pas,
Nos derniers baisers de grands
Et nous sombrâmes dans une fin sans fin.
Ysaltanya
Ah ouai !
Tien là, je pensais ne rien faire.
Hors, je suis en train de penser.
Penser serait-ce faire quelque chose ?
Sans que les autres puisent voir ces choses ?
Et m’empêcher de les penser ?
C’est mon problème, c’est mon affaire.
Je peux arrêter de penser.
Arrêter de penser à "ça".
En me laissant penser ailleurs.
Mais faire un tel choix est-ce meilleur ?
Elles me reviendront je le crois.
Si elles ne sont pas terminées.
Si je m’isole sans distractions,
Le cheminement de cette pensée,
Me permettra de mieux comprendre,
Le difficile à entreprendre,
Que j’aimerais réaliser,
En moi, faire vivre, mes réflexions.
Katalina
Si regarder en avant te donne du chagrin et que regarder en avant t'inspire du chagrin, alors regarde à côté de toi, je serais toujours là !.
Tristanduschlossberg
J'eus de ces maux
qui ne se guérissent pas
quand l'amour s'en va
même pas avec les mots
J'eus de ces pleurs
qu'on ne console pas
quand l'amour s'en va
surtout ceux du cœur
J'eus de ces douleurs
qui ne cicatrises pas
quand l'amour s'en va
personne n'en sort vainqueur
J'eus de ces craintes
qu'on n'oublie pas
quand l'amour s'en va
il laisse ses empreintes
qui ne se guérissent pas
quand l'amour s'en va
même pas avec les mots
J'eus de ces pleurs
qu'on ne console pas
quand l'amour s'en va
surtout ceux du cœur
J'eus de ces douleurs
qui ne cicatrises pas
quand l'amour s'en va
personne n'en sort vainqueur
J'eus de ces craintes
qu'on n'oublie pas
quand l'amour s'en va
il laisse ses empreintes
Ysaltanya
Adossée au pied d'un chêne, rêvassant à la belle étoile et d'une plume maladroite je commence sur un parchemin à écrire ....
Ce petit poême, je le dédie à une personne qui, je l'espère se reconnaitra ...
TON OMBRE ?
Puis-je être ton ombre ?
Me déplaçant
En même temps
Que toi ?
D’une seule couleur,
De caméléon.
Comme une chanson,
Qui vient du cœur.
En mots discrets,
Pour contenir,
Tant de secrets.
Oui ! Que toi seul,
Pourra sentir.
Ces mots le veulent.
Puis-je t’accompagner ?
Sans encombrement d’esprit ?
Je serai discrete.
Je dépose le parchemin au pied de l'arbre espérant que le vent ne l'emporte, désirant qu'il soit lu en temps voulu, par la personne intéressée.
Ce petit poême, je le dédie à une personne qui, je l'espère se reconnaitra ...
TON OMBRE ?
Puis-je être ton ombre ?
Me déplaçant
En même temps
Que toi ?
D’une seule couleur,
De caméléon.
Comme une chanson,
Qui vient du cœur.
En mots discrets,
Pour contenir,
Tant de secrets.
Oui ! Que toi seul,
Pourra sentir.
Ces mots le veulent.
Puis-je t’accompagner ?
Sans encombrement d’esprit ?
Je serai discrete.
Je dépose le parchemin au pied de l'arbre espérant que le vent ne l'emporte, désirant qu'il soit lu en temps voulu, par la personne intéressée.
Albatore
Je serai pour toi
Je serais, ton soleil sur ce ciel d'été,
la plume dansant sur un bout de papier.
Tu seras, mon rayon de lune,
l'inspiration de ma plume.
Je serais cet iris de feu,
celui qui brillera dans tes yeux.
Tu seras, l'air de mes poumons,
car vivre sans toi c'est l'oppression.
Je serais cette douce neige qui tombe,
de tes paroles tu me feras fondre.
Tu seras cette saveur, cette essence,
celle qui donnera à ma vie un sens.
Je serais ce grand vent de passion,
celui qui balayera ta raison.
Tu seras cette douce lueur,
celle qui éclairera mon coeur.
Je serais pour toi,
et pour moi, tu seras
Accroche le parchemin à une branche et repart
Je serais, ton soleil sur ce ciel d'été,
la plume dansant sur un bout de papier.
Tu seras, mon rayon de lune,
l'inspiration de ma plume.
Je serais cet iris de feu,
celui qui brillera dans tes yeux.
Tu seras, l'air de mes poumons,
car vivre sans toi c'est l'oppression.
Je serais cette douce neige qui tombe,
de tes paroles tu me feras fondre.
Tu seras cette saveur, cette essence,
celle qui donnera à ma vie un sens.
Je serais ce grand vent de passion,
celui qui balayera ta raison.
Tu seras cette douce lueur,
celle qui éclairera mon coeur.
Je serais pour toi,
et pour moi, tu seras
Accroche le parchemin à une branche et repart
Ladylola
--------------------------
`Chaque poeme est un trésor de sentiments``
---------------------
Ignorer pour oublier, détester pour se rassurer
Mon cœur comme une sphère éteinte
Vide de bonheur plein de solitude
Mais remplis de connaissance.
Enfin je saigne des larmes d’un seul sens
Qui glisse sur un corps de bois sans conscience
Attiré vers une perspective malheureuse et sans référence
Ignoré pour vivre, détesté pour survivre
L’actualité fait revivre un océan de souvenir qui me rive.
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
`Chaque poeme est un trésor de sentiments``
---------------------
Ignorer pour oublier, détester pour se rassurer
Mon cœur comme une sphère éteinte
Vide de bonheur plein de solitude
Mais remplis de connaissance.
Enfin je saigne des larmes d’un seul sens
Qui glisse sur un corps de bois sans conscience
Attiré vers une perspective malheureuse et sans référence
Ignoré pour vivre, détesté pour survivre
L’actualité fait revivre un océan de souvenir qui me rive.
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Pauline56
Ce n est pas un poéme mais une petite histoire qui est très mignone et j ai voulu la partager avec vous
Citation:
Le repas de famille :
> >
> > Une famille est en train de déjeuner.
> > La petite fille de 10 ans ne mange pas beaucoup,
> > et elle garde le nez dans son assiette....
> >
> > > Au bout d'un moment, elle dit :
> > - J'ai quelque chose à vous annoncer.
> > > Le silence se fait et tous écoutent
> >
> > - Je ne suis plus vierge, et elle se met à pleurer.
> >
> > De nouveau un long silence....et puis....
> > Le père s'adresse à sa femme :
> > - C'est de ta faute, toujours habillée et maquillée comme une pute, tu crois que tu es un exemple pour ta fille ?
> > Toujours à te vautrer sur le canapé, la chatte à l'air ...
> > C'est lamentable, c'est comme ça que les problèmes arrivent !
> >
> > À son tour, la femme s'adresse à son mari :
> > - Et toi, tu crois que tu es un exemple ?
> > À gaspiller ta paie avec des pétasses qui viennent parfois te raccompagner jusque devant la maison, tu crois que tu es un exemple pour ta fille de 10 ans ?
> > Et le père de continuer:
> > - Et sa grande soeur, cette bonne à rien, avec son copain chevelu et drogué, toujours en train de se tripoter et de baiser dans tous les recoins de la maison, tu crois que c'est un exemple ?Et ça continue comme ça...
> >
> > La grand-mère prend sa petite fille par les épaules pour la consoler et lui demande:
> > - Alors ma petite fille, comment cela est-il arrivé ?
> > Et la petite de répondre en étouffant ses sanglots:
> > - C'est le curé...
> > La grand-mère :
> > - Comment ça le curé ?
> > - Le curé a choisi une autre fille pour faire la Vierge dans la Crèche de Noël.
Le repas de famille :
> >
> > Une famille est en train de déjeuner.
> > La petite fille de 10 ans ne mange pas beaucoup,
> > et elle garde le nez dans son assiette....
> >
> > > Au bout d'un moment, elle dit :
> > - J'ai quelque chose à vous annoncer.
> > > Le silence se fait et tous écoutent
> >
> > - Je ne suis plus vierge, et elle se met à pleurer.
> >
> > De nouveau un long silence....et puis....
> > Le père s'adresse à sa femme :
> > - C'est de ta faute, toujours habillée et maquillée comme une pute, tu crois que tu es un exemple pour ta fille ?
> > Toujours à te vautrer sur le canapé, la chatte à l'air ...
> > C'est lamentable, c'est comme ça que les problèmes arrivent !
> >
> > À son tour, la femme s'adresse à son mari :
> > - Et toi, tu crois que tu es un exemple ?
> > À gaspiller ta paie avec des pétasses qui viennent parfois te raccompagner jusque devant la maison, tu crois que tu es un exemple pour ta fille de 10 ans ?
> > Et le père de continuer:
> > - Et sa grande soeur, cette bonne à rien, avec son copain chevelu et drogué, toujours en train de se tripoter et de baiser dans tous les recoins de la maison, tu crois que c'est un exemple ?Et ça continue comme ça...
> >
> > La grand-mère prend sa petite fille par les épaules pour la consoler et lui demande:
> > - Alors ma petite fille, comment cela est-il arrivé ?
> > Et la petite de répondre en étouffant ses sanglots:
> > - C'est le curé...
> > La grand-mère :
> > - Comment ça le curé ?
> > - Le curé a choisi une autre fille pour faire la Vierge dans la Crèche de Noël.
Pauline sourit en repartant a ses occupations actives a la prévoté
My_a_
Moré passa par ici et laissa un poème pour sa belle Chacha.
Citation:
Tu es ma perle mon bijoux
Ma reine ma déesse,
Demande moi n'importe quoi
Je suis tienne pour la vie mon amour,
Je ne cesserais de t'aimer
Que lorsque ma vie s'achèvera
Pour emporter notre amour
Dans un lieu ou jamais il ne périra...
Ma reine ma déesse,
Demande moi n'importe quoi
Je suis tienne pour la vie mon amour,
Je ne cesserais de t'aimer
Que lorsque ma vie s'achèvera
Pour emporter notre amour
Dans un lieu ou jamais il ne périra...
Lenny
Clairement inégalable
Horriblement délicieux
Onctueusement parfait
Corecctement ajusté
Ouvertement coulant
Lourdement craquant
Aridement doux
Terriblement bon
Horriblement délicieux
Onctueusement parfait
Corecctement ajusté
Ouvertement coulant
Lourdement craquant
Aridement doux
Terriblement bon
Anne_cyrella
La guerre
La guerre une folie pour certains une joie pour les autres
La folie certains tombent dedans et n'en sorte point
La joie tout homme devrait y avoir droit en autre
La guerre que dire a ce sujet je ne sais point
Certains y resteront
D'autres en reviendront
Seul le très haut peut dire qui !!!!!
_________________
Taniia
J'arrive dans ce village de St Claude
St Claude un village pas comme les autres
Les autres villages c'est pas si chaleur comme celui ci
Celui ci c'est de L'humour, la joie ..
La joie a St Claude ..
Depuis quelques temps je suis ici
est ici j'ai eu des ami(e)s et aussi quelques ennemi(e)s
Je revient donc ici pour me faire un plaisir
Un plaisir de tout les êtres villageois
S'en aller d'ici et de revenir après c'est de la joie !
Ladylola
Le vent souffle en bourasque
Et je suis seule
Le soleil est disparu derriere les nuages
Et je suis seule
Dans la nuit sans étoiles autour de ma maison
la neige s amoncelle en congeres
Et je suis seule
Mes amis m abandonne ,m oublie
Je suis seule
Mes ennemis ont éclaté de rire
Je suis seule
Mon corps dépérit mon coeur meurtri de peine
ne peut se ressaisir.
Je suis seule
Au fond de moi j aillit une lumiere
J entends ta voix, Je vois ton visage,
Tu es la pres de moi
Meme si ce n est que dans mes pensées ou mes reves
Peu importe si c est reve ou réalité.
Jamais plus je ne serai seule
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Et je suis seule
Le soleil est disparu derriere les nuages
Et je suis seule
Dans la nuit sans étoiles autour de ma maison
la neige s amoncelle en congeres
Et je suis seule
Mes amis m abandonne ,m oublie
Je suis seule
Mes ennemis ont éclaté de rire
Je suis seule
Mon corps dépérit mon coeur meurtri de peine
ne peut se ressaisir.
Je suis seule
Au fond de moi j aillit une lumiere
J entends ta voix, Je vois ton visage,
Tu es la pres de moi
Meme si ce n est que dans mes pensées ou mes reves
Peu importe si c est reve ou réalité.
Jamais plus je ne serai seule
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Chantylly
Cha arriva et lus tout les poème un a un laissant couler quelque larmes de tant a autres et pleura carrément en lisant le poème de sa douce qui lui était dédié.
Elle décida a son tour d'écrire un poème pour sa blonde, celle qu'elle aimait plus que tout.
Elle prit donc le nécessaire pour écrire s'assit sur un tabouret en bois s'accouda a la table réfléchit quelques seconde et écrit en italique avant son poème :
J'écris ces quelques lignes pour la femme la plus douce qu'il soit au monde la plus belle et j'en passe
bref.... je l'aime et j'ai envie de passer ma vie avec elle...
Oups.... je m'égare, je vous raconte ma vie la... ^^
Elle rit en relisant ces lignes et chercha un poème a la hauteur de ce qu'elle espérait.
Tout en ce creusant la tête une idée émergea enfin :
D'un baiser sous une nuit étoilée
Tu m'as rendu dingue à jamais
Ta beauté
A su me faire chavirer
Grâce a toi
Notre si grand et si bel amour
File tel une rivière douce
Amenant dans ma vie, folie et gaieté
Bordé d'une grande sincérité
Ni l'enfer ni le paradis
Ne ce mettrons entre nous
Notre amour tel une forteresse
Restera plus forte que tout
-je t'aime-
_________________
Elle décida a son tour d'écrire un poème pour sa blonde, celle qu'elle aimait plus que tout.
Elle prit donc le nécessaire pour écrire s'assit sur un tabouret en bois s'accouda a la table réfléchit quelques seconde et écrit en italique avant son poème :
J'écris ces quelques lignes pour la femme la plus douce qu'il soit au monde la plus belle et j'en passe
bref.... je l'aime et j'ai envie de passer ma vie avec elle...
Oups.... je m'égare, je vous raconte ma vie la... ^^
Elle rit en relisant ces lignes et chercha un poème a la hauteur de ce qu'elle espérait.
Tout en ce creusant la tête une idée émergea enfin :
D'un baiser sous une nuit étoilée
Tu m'as rendu dingue à jamais
Ta beauté
A su me faire chavirer
Grâce a toi
Notre si grand et si bel amour
File tel une rivière douce
Amenant dans ma vie, folie et gaieté
Bordé d'une grande sincérité
Ni l'enfer ni le paradis
Ne ce mettrons entre nous
Notre amour tel une forteresse
Restera plus forte que tout
-je t'aime-
_________________
Laureline
Ce matin je l’ai rencontré en taverne
Ce midi il faisait de moi une reine
Cet après midi je lui ouvrais mon cœur
Ce soir j’osais enfin croire au bonheur
Parfois la félicité est à porté de notre main
Il faut juste arriver à oublier ses chagrins
Je ne sais pas ce que va me réserver l’avenir
Mais je vais regarder demain avec le sourire
Par sa ténacité et ses mots il m'a apprivoisé
Faisant renaître les rêves que j'avais oublié
De son cœur avec les fleurs j'ai un aperçu
Si j'entrouvre le mien c'est pour toi Arthus
C'est en vert que j'écris ton nom, le vert de l'espoir, du renouveau.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Ce midi il faisait de moi une reine
Cet après midi je lui ouvrais mon cœur
Ce soir j’osais enfin croire au bonheur
Parfois la félicité est à porté de notre main
Il faut juste arriver à oublier ses chagrins
Je ne sais pas ce que va me réserver l’avenir
Mais je vais regarder demain avec le sourire
Par sa ténacité et ses mots il m'a apprivoisé
Faisant renaître les rêves que j'avais oublié
De son cœur avec les fleurs j'ai un aperçu
Si j'entrouvre le mien c'est pour toi Arthus
C'est en vert que j'écris ton nom, le vert de l'espoir, du renouveau.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Laureline
A vouloir nommer la passion, j’en perd la raison
Je sais qu’elle porte ton nom, gravé sur l’horizon
Je l’ai rencontré un beau jour, comme un troubadour
Avec trompette et tambour, je l’ai nommé amour
Tu es devenu le double de moi, ma vie ma foi ma loi
Que ne ferais je pour toi, dans mon cœur tu es roi
Dans tes yeux je vois le désir, sur tes lèvres un soupir
De bonheur je vais souffrir, me noyer dans le plaisir
J’ai longtemps chercher, savoir pourquoi j’étais née
Mon rêve est de te combler, le bonheur est de t’aimer
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Je sais qu’elle porte ton nom, gravé sur l’horizon
Je l’ai rencontré un beau jour, comme un troubadour
Avec trompette et tambour, je l’ai nommé amour
Tu es devenu le double de moi, ma vie ma foi ma loi
Que ne ferais je pour toi, dans mon cœur tu es roi
Dans tes yeux je vois le désir, sur tes lèvres un soupir
De bonheur je vais souffrir, me noyer dans le plaisir
J’ai longtemps chercher, savoir pourquoi j’étais née
Mon rêve est de te combler, le bonheur est de t’aimer
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Ladylola
A quoi bon ouvrir son coeur
Quand les autres ferment le leur
A quoi bon donner son amour
Si on n a rien en retour
A quoi bon chercher sans cesse le bonheur
Quand on sait que ca finira dans la douleur
A quoi bon tout cela
Moi je ne le sais pas
Je sais juste que j ai envie d y croire
Ne jamais perdre espoir
Continuer a espérer
Qu un jour quelqu un pourrait m aimer
Avec sincérité et pouvoir tout partager.
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Quand les autres ferment le leur
A quoi bon donner son amour
Si on n a rien en retour
A quoi bon chercher sans cesse le bonheur
Quand on sait que ca finira dans la douleur
A quoi bon tout cela
Moi je ne le sais pas
Je sais juste que j ai envie d y croire
Ne jamais perdre espoir
Continuer a espérer
Qu un jour quelqu un pourrait m aimer
Avec sincérité et pouvoir tout partager.
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Laureline
C’est vers toi que mes pensées s’envolent,
Toi dont les mots me rendent folle.
Je rêve de tous ces tendres moments,
Où tes yeux me dévoreront tendrement.
Tes doigts doucement me découvriront,
Tes lèvres légères me donneront le frisson.
C’est pour toi que mon cœur cogne si fort,
Je ne le contrôle plus le soir quand je m’endors.
Mes yeux se ferment sur de secrets désirs
Et toi seul détient une clé pour les découvrir.
De mon sourire je tente de t’exprimer
Ses sentiments trop longtemps réprimés.
C’est près de toi que j’espère me réveiller,
Sentir ton corps contre le mien serré.
Ton souffle régulier se poser sur mon cou
Comme une plume légère, qu’il est doux.
Tes yeux s’ouvriront pour me voir sourire,
Heureux, nous uniront nos soupirs.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Toi dont les mots me rendent folle.
Je rêve de tous ces tendres moments,
Où tes yeux me dévoreront tendrement.
Tes doigts doucement me découvriront,
Tes lèvres légères me donneront le frisson.
C’est pour toi que mon cœur cogne si fort,
Je ne le contrôle plus le soir quand je m’endors.
Mes yeux se ferment sur de secrets désirs
Et toi seul détient une clé pour les découvrir.
De mon sourire je tente de t’exprimer
Ses sentiments trop longtemps réprimés.
C’est près de toi que j’espère me réveiller,
Sentir ton corps contre le mien serré.
Ton souffle régulier se poser sur mon cou
Comme une plume légère, qu’il est doux.
Tes yeux s’ouvriront pour me voir sourire,
Heureux, nous uniront nos soupirs.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Laureline
Un jour, au milieu d’une grande ville, est née une toute petite pâquerette. Partout où elle tournait ses pétales elle voyait de grands immeubles menaçants. Chaque soir elle tremblait à l’idée de ne pas voir le soleil le lendemain.
Les mois passants, elle apprit à se dissimuler pour ne pas être arrachée, elle apprit à se courber pour ne pas être piétinée. Elle grandit comme elle pu au milieu de cette jungle.
Mais un jour sa sève ne fit qu’un tour quand le vent lui porta une odeur nouvelle.
Quel était donc ce parfum qui l’attirait tant ?
Elle décida de prendre la route pour suivre ce qui lui semblait être son destin.
Pendant des jours elle marcha s’arrêtant à chaque fois qu’il lui semblait reconnaître cette odeur qui l’avait appelée.
Elle fit ainsi la connaissance d’un buis, d’un souci, d’un coquelicot et même d’un peuplier.
Tous étaient toujours très gentils avec elle et lui parlait de leurs vies mais aucun n’était celui qu’elle cherchait. Elle reprenait donc sa route après quelques jours de repos.
Un soir, épuisée d’avoir marché si longtemps, elle s’endormit contre un chêne.
Au matin, le chêne avait déposé délicatement quelques gouttes de rosée sur ses pétales.
Quel délicate attention, elle s’étira, se redressa, respira a plein poumon.
Son petit cœur se mit à battre plus fort, elle reconnu aussitôt ce parfum qu’elle cherchait depuis si longtemps. Enfin elle allait pouvoir s’arrêter, se reposer au pied de ce chêne si grand et fort qui serait toujours la pour la protéger.
Une grande complicité naquit entre eux, le chêne était heureux de ne plus être seul au milieu de son pré et la petite pâquerette se sentait à l’abri de cet arbre si fort.
Souvent le chêne se penchait pour caresser la petite pâquerette du bout de ses branches et la petite fleur tendait vers lui son petit cœur tout jaune laissant ses pétales s’ouvrir pour lui offrir son doux parfum.
Au pied de SON chêne elle ne pouvait qu’être heureuse.
Moralité : C'est avec son contraire que l'on s'accorde le mieux. Unissez du bleu avec du bleu, vous n'obtiendrez rien, mêlez le bleu avec du jaune et vous aurez une large palette de couleurs. Les différences n’empêchent pas l’amour, il suffit juste de le désirer.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Les mois passants, elle apprit à se dissimuler pour ne pas être arrachée, elle apprit à se courber pour ne pas être piétinée. Elle grandit comme elle pu au milieu de cette jungle.
Mais un jour sa sève ne fit qu’un tour quand le vent lui porta une odeur nouvelle.
Quel était donc ce parfum qui l’attirait tant ?
Elle décida de prendre la route pour suivre ce qui lui semblait être son destin.
Pendant des jours elle marcha s’arrêtant à chaque fois qu’il lui semblait reconnaître cette odeur qui l’avait appelée.
Elle fit ainsi la connaissance d’un buis, d’un souci, d’un coquelicot et même d’un peuplier.
Tous étaient toujours très gentils avec elle et lui parlait de leurs vies mais aucun n’était celui qu’elle cherchait. Elle reprenait donc sa route après quelques jours de repos.
Un soir, épuisée d’avoir marché si longtemps, elle s’endormit contre un chêne.
Au matin, le chêne avait déposé délicatement quelques gouttes de rosée sur ses pétales.
Quel délicate attention, elle s’étira, se redressa, respira a plein poumon.
Son petit cœur se mit à battre plus fort, elle reconnu aussitôt ce parfum qu’elle cherchait depuis si longtemps. Enfin elle allait pouvoir s’arrêter, se reposer au pied de ce chêne si grand et fort qui serait toujours la pour la protéger.
Une grande complicité naquit entre eux, le chêne était heureux de ne plus être seul au milieu de son pré et la petite pâquerette se sentait à l’abri de cet arbre si fort.
Souvent le chêne se penchait pour caresser la petite pâquerette du bout de ses branches et la petite fleur tendait vers lui son petit cœur tout jaune laissant ses pétales s’ouvrir pour lui offrir son doux parfum.
Au pied de SON chêne elle ne pouvait qu’être heureuse.
Moralité : C'est avec son contraire que l'on s'accorde le mieux. Unissez du bleu avec du bleu, vous n'obtiendrez rien, mêlez le bleu avec du jaune et vous aurez une large palette de couleurs. Les différences n’empêchent pas l’amour, il suffit juste de le désirer.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Taniia
La vie ma donné une mère
La vie ma donné un père
La vie ma donné naissance
La vie m'a faite ainsi
La vie m'a t-elle donné une mission ?
Je me demande pourquoi
Je me demande pourquoi tout ce mal j'ai reçu
Je me demande pourquoi je suis née
Je me demande pourquoi J'ai tant de mal a faire confiance
Je me demande pour tout cela
Je suis faite comme ceci
Je suis faite comme celà
Ma vie est ainsi peut être
Dur, difficile, moyen et facile
Je me demande..
J'ai enfin tourner la page de mon passé..
Declermont
----- Fidèle compagnon de certaines personnes
----- Je cherche amour et câlins
----- Si tu me frotte dans le dos
----- Je te ferai de grands sourirs
----- Si tu me fais plein de caresses
----- Je te montrerai mes plus belles prouesses
----- Si tu viens avec moi
----- Je te prendrai dans mes bras
----- Je voudrais ête ton seul ami
----- Je souhaiterais que tu m'aimes aussi
----- Sur ma joue , fais moi un bisou
----- Et de joie , je serai le plus fou.
----- Je cherche amour et câlins
----- Si tu me frotte dans le dos
----- Je te ferai de grands sourirs
----- Si tu me fais plein de caresses
----- Je te montrerai mes plus belles prouesses
----- Si tu viens avec moi
----- Je te prendrai dans mes bras
----- Je voudrais ête ton seul ami
----- Je souhaiterais que tu m'aimes aussi
----- Sur ma joue , fais moi un bisou
----- Et de joie , je serai le plus fou.
Taniia
Je veux devenir reine d'un humble cœur..
Je veux être aimé,
Je veux que ma vie est changé,
J'ai besoin de souvenirs gravé,
J'ai besoin de me remotivé,
J'ai envie de vous retrouvée,
J'ai voulu un chemin,
qui se trace devant moi,
ce chemin la ,
Va me montrer le bonheur de la réalité.
Laureline
L’amour sans voyelle
(5 petits écrits différents, aucune suite logique)
A
Le soleil est de retour, quel bonheur.
Il me donne envie de rêver étendue sur l’herbe
Et de sentir toutes ces odeurs exploser en gerbe
Toi serré tout contre mon cœur.
Nos yeux tourner vers l’horizon
Nos doigts entremêlés
Nous voulons espérer
Des moments pleins d’émotions.
E
Si un jour tu crois au pouvoir du mot amour,
Tu pourras couvrir ton chagrin d’un abat jour.
Tu sortiras la nuit pour courir dans son lit,
La couvrir d’un doux câlin, sans un bruit.
Tu pourras ainsi la voir jouir à l’unisson
Car tu lui offriras tout, sans omission.
Du don d’amour allant jusqu’à la fusion,
Tu la voudras, sans tabou, dans la soumission.
I
Chaque seconde je rêve d’un amour fou
Le supposant beau, tendre et doux
Chaque heure je le cherche du regard
Espérant toujours le trouver par hasard
Chaque jour mes espérances s’envolent
Me rappelant mon âge sans protocole
Chaque année mes larmes coulent
Je les cache, me fondant dans cette foule
O
Ses mains sur mes hanches glissent
Par magie, le chemin elles suivent
Du creux de mes reins, elles délivrent
Des caresses que je veux divines.
Sans elles je ne peux survivre
U
Elles rêvent de l’homme idéal
Mais s’il existait je le promets
Croyez-moi, ce n’est pas banal
Dans cette cage on l’enfermerait
Elles viendraient ainsi à loisir
Contempler ce spécimen rare
Choisissant dans la liste des désirs
Le baiser volé payer trois dollars
Le mercredi, vendredi et samedi
Le matin, l’après midi et le soir
Venez tenter, ce n’est pas interdit
De gagner votre dernier espoir.
Y
Ne me rudoyez pas, apitoyez vous.
J’ai essayé d’envoyer sans Y mais, effrayée, j’ai ployé.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
(5 petits écrits différents, aucune suite logique)
A
Le soleil est de retour, quel bonheur.
Il me donne envie de rêver étendue sur l’herbe
Et de sentir toutes ces odeurs exploser en gerbe
Toi serré tout contre mon cœur.
Nos yeux tourner vers l’horizon
Nos doigts entremêlés
Nous voulons espérer
Des moments pleins d’émotions.
E
Si un jour tu crois au pouvoir du mot amour,
Tu pourras couvrir ton chagrin d’un abat jour.
Tu sortiras la nuit pour courir dans son lit,
La couvrir d’un doux câlin, sans un bruit.
Tu pourras ainsi la voir jouir à l’unisson
Car tu lui offriras tout, sans omission.
Du don d’amour allant jusqu’à la fusion,
Tu la voudras, sans tabou, dans la soumission.
I
Chaque seconde je rêve d’un amour fou
Le supposant beau, tendre et doux
Chaque heure je le cherche du regard
Espérant toujours le trouver par hasard
Chaque jour mes espérances s’envolent
Me rappelant mon âge sans protocole
Chaque année mes larmes coulent
Je les cache, me fondant dans cette foule
O
Ses mains sur mes hanches glissent
Par magie, le chemin elles suivent
Du creux de mes reins, elles délivrent
Des caresses que je veux divines.
Sans elles je ne peux survivre
U
Elles rêvent de l’homme idéal
Mais s’il existait je le promets
Croyez-moi, ce n’est pas banal
Dans cette cage on l’enfermerait
Elles viendraient ainsi à loisir
Contempler ce spécimen rare
Choisissant dans la liste des désirs
Le baiser volé payer trois dollars
Le mercredi, vendredi et samedi
Le matin, l’après midi et le soir
Venez tenter, ce n’est pas interdit
De gagner votre dernier espoir.
Y
Ne me rudoyez pas, apitoyez vous.
J’ai essayé d’envoyer sans Y mais, effrayée, j’ai ployé.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Ladylola
Souris a la vie
Oublie tes ennuis
Le reve existe
Ne cherche pas trop loin
ce qui est au creux de ta main
apres l orage il fera beau demain
le bonheur n est pas trop loin
il est surement sur ton chemin
vis aujourd hui sans lendemain
laisse faire le destin
parfois il fait les choses si bien....
================
L amour est un cadeau
emballé de confiance,de respect
et enrubanné de compréhension
et de pardon .........................
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Oublie tes ennuis
Le reve existe
Ne cherche pas trop loin
ce qui est au creux de ta main
apres l orage il fera beau demain
le bonheur n est pas trop loin
il est surement sur ton chemin
vis aujourd hui sans lendemain
laisse faire le destin
parfois il fait les choses si bien....
================
L amour est un cadeau
emballé de confiance,de respect
et enrubanné de compréhension
et de pardon .........................
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
My_a_
Citation:
Corps à corps endiablé
De deux êtres si enlacés
Pour atteindre l’apogée
Et rentrer en fusion
Guidés par nos émotions
Qui débordent de passion
Je chevauche avec adresse
Ce corps qui se redresse
Sous les mille caresses.
De mes lèvres qui parcourent
Ton entrejambe que je laboure
Ton envie à qui je ne suis par sourde
Union des âmes et des corps
Tu cris toujours et encore
Je te rejoints mon trésor
De deux êtres si enlacés
Pour atteindre l’apogée
Et rentrer en fusion
Guidés par nos émotions
Qui débordent de passion
Je chevauche avec adresse
Ce corps qui se redresse
Sous les mille caresses.
De mes lèvres qui parcourent
Ton entrejambe que je laboure
Ton envie à qui je ne suis par sourde
Union des âmes et des corps
Tu cris toujours et encore
Je te rejoints mon trésor
Ladylola
Mon Amour
Je serais toujours la c est une promesse
Que j ais faites la comme une caresse
Les mots du coeur sont merveilleux
Au fond je sais l amour s apelle nous deux
J marretrais pas de t aimer quoiqu il arrive
je sais te mentir ca sert a rien
Et tout te dire ca m fait du bien
Je sonnais ton coeur,
Je connais ton corps par coeur
Meme quand tu blesses C est la tendresse qui pleure
Faut que je te dises a tout moment j ais peur
Si peur, de me bruler le coeur...
Lara Fabien
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Je serais toujours la c est une promesse
Que j ais faites la comme une caresse
Les mots du coeur sont merveilleux
Au fond je sais l amour s apelle nous deux
J marretrais pas de t aimer quoiqu il arrive
je sais te mentir ca sert a rien
Et tout te dire ca m fait du bien
Je sonnais ton coeur,
Je connais ton corps par coeur
Meme quand tu blesses C est la tendresse qui pleure
Faut que je te dises a tout moment j ais peur
Si peur, de me bruler le coeur...
Lara Fabien
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Taniia
Depuis ce jour,
Une personne de confiance,
Une personne qui est mon ami,
Cette personne là,
Est une personne que je considère,
Que je considère plus qu'un ami,
Il se reconnaîtra,
Du moins je l'espère,
Mais n'allons pas trop vite..
Une personne de confiance,
Une personne qui est mon ami,
Cette personne là,
Est une personne que je considère,
Que je considère plus qu'un ami,
Il se reconnaîtra,
Du moins je l'espère,
Mais n'allons pas trop vite..
Ladylola
Tant de fois j'ai tenté d'aller toucher les étoiles
Que souvent en tombant, je m'y suis fait mal
Tant de fois j'ai pensé avoir franchi les limites
Mais toujours un homme m'a remis en orbite
Tant de fois j'ai grimpé jusqu'au plus haut des cimes
Que je m'suis retrouvé seul au fond de l'abîme
Celui qui n'a jamais été seul au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit, seul au bout de la nuit
Peut-il seulement aimer ? Peut-il aimer jamais ?
Tant d'amis sont partis du jour au lendemain
Que je sais aujourd'hui qu'on peut mourir demain
On a beau tout avoir, l'argent, l'amour, la gloire
Il y a toujours un soir ou l'on se retrouve seul
Seul au point de départ
de Garou
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
invité, incarné par Larousse
Adieu
Aux arbres mouillés de décembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L'adieu n'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L'adieu, c'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui je pars
Et tu ne sais pas qui m'embrassera
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh adieu !
L'adieu c'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient
L'adieu c'est le loup
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh adieu ............................................................garou
Aux arbres mouillés de décembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L'adieu n'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L'adieu, c'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui je pars
Et tu ne sais pas qui m'embrassera
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh adieu !
L'adieu c'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient
L'adieu c'est le loup
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh adieu ............................................................garou
Anne_cyrella
Pour mon bourgmestre préferé
Nos chemins se sont croisés
Nos yeux se sont accrochés
Tu as longuement hésité
Pourtant tu m'aimais
Puis un jour tu as osé
Enfin m'aborder
Ton sourire est devenu mon soleil
Ta tendresse une grande merveille.
Je t'offre dans mes mains
Mille baisers câlins
Pour que jamais tu n'en sois privé
Jamais non jamais
_________________
Nos chemins se sont croisés
Nos yeux se sont accrochés
Tu as longuement hésité
Pourtant tu m'aimais
Puis un jour tu as osé
Enfin m'aborder
Ton sourire est devenu mon soleil
Ta tendresse une grande merveille.
Je t'offre dans mes mains
Mille baisers câlins
Pour que jamais tu n'en sois privé
Jamais non jamais
_________________
Laureline
A mour et amitié ne faisant qu’un, tu seras Am dans mon cœur
R epoussant d’un baiser le chagrin, ensemble trouvons le bonheur
T u me charmes de tes doux mots, avec les fleurs tu me fais la cour
H issant l’oriflamme au plus haut, nous montrons à tous notre amour
U nissons au plus vite nos vies, construisons nous un passé heureux
S uivons le chemin de nos envies, l’avenir regardons le en amoureux.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
R epoussant d’un baiser le chagrin, ensemble trouvons le bonheur
T u me charmes de tes doux mots, avec les fleurs tu me fais la cour
H issant l’oriflamme au plus haut, nous montrons à tous notre amour
U nissons au plus vite nos vies, construisons nous un passé heureux
S uivons le chemin de nos envies, l’avenir regardons le en amoureux.
_________________
"On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait."
Stendhal
Ladylola
Si certaines personnes refusent d aimer
Peur de se donner
Peur d etre décus
Peur de se laisser aller
Peur
Peur
Cette peur de se faire abandonner
Par celui a qui elle aura tout donner
Pourtant au fond
Elle sait qu elle peut aimer
Peur de se l avouer
Peur qu il puissent deviner
Peur d immaginer le perdre un jour.........
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Saramiel
Fermer la porte
Avant que les tourments ne m'emportent
Me mettre à l'abri
Avant que ne me blessent à jamais les mots dits
Ne plus rien laisser passer
Afin de me protéger
Tu me dis que je vois tout en noir
C'est peut être le désespoir
De ne pas être aimée
Comme je l'aurais souhaité
Tu me dis que je ne sais plus rire
C'est peut être de trop souffrir
Fermer mon coeur aux sentiments
Pour sortir du néant
Laisser au dehors les agressions
Je sais ce n'est pas une solution
Mais c'est tout ce que j'ai trouvé
Pour ne pas que la bulle vienne à ...............éclater
_________________
My_a_
Citation:
Je errais dans un labyrinthe,
J’ai suivis cette étoile qui m’a mener à toi,
J’ai croisé ton regard et mes yeux ont brillés ;
J’ai découvert ta bouche, mes lèvres s’y sont posées ;
j’ai touché ta peau, mon corps à frissonné ;
J’ai approché ton cœur, le mien s’est enflammé ;
J’ai gouter à tes nuits, ne peux plus m’en passer ;
J’ai partagé ton lit, me suis donnée ,
Nous nous sommes aimés ;
Je bénie le ciel de m’avoir offert la chance de t’aimer,
Ma vie est éblouie de ta beauté,
De tes sourires, de tes baisers, de tes caresses … de toi … …
Un frisson remonte le long de mon dos
Et je tremble à la seule évocation de ton nom,
A la seule pensée de toi,
Et mon âme n’a plus qu’une envie
Celle de rester toujours mêlée à la tienne …
Afin de t'aimer pour la vie...
J’ai suivis cette étoile qui m’a mener à toi,
J’ai croisé ton regard et mes yeux ont brillés ;
J’ai découvert ta bouche, mes lèvres s’y sont posées ;
j’ai touché ta peau, mon corps à frissonné ;
J’ai approché ton cœur, le mien s’est enflammé ;
J’ai gouter à tes nuits, ne peux plus m’en passer ;
J’ai partagé ton lit, me suis donnée ,
Nous nous sommes aimés ;
Je bénie le ciel de m’avoir offert la chance de t’aimer,
Ma vie est éblouie de ta beauté,
De tes sourires, de tes baisers, de tes caresses … de toi … …
Un frisson remonte le long de mon dos
Et je tremble à la seule évocation de ton nom,
A la seule pensée de toi,
Et mon âme n’a plus qu’une envie
Celle de rester toujours mêlée à la tienne …
Afin de t'aimer pour la vie...
Ladylola
Des paroles de douceurs
Des moments de bonheur,
Belle complicité voir les étoiles
au fond de nos yeux
C est magique comme le feu
Deux corps qui se déchainent
Deux corps qui s enchaine
Perdre la raison
Avec tant de passion
Vivre tout ce bonheur
Alors qu on sais qu il n apportera
que douleur
C est ce que nous vivons
avec tant de passion
Juste la magie de ce moment
Restera a jamais dans nos coeurs
toujours présent
Pensé a ces moments
vécus si intensément
Aidera a traverser le temps
Pour toujours et a jamais
Anital
_________________
``Etre contestée! Cest etre constatée``
Tristanduschlossberg
Ce n'est qu'âme à écrire que d'avoir le cœur brisé.
Il fait connaître le pire par des mots et des pensées
Qui animent de pleurs les longues nuits passées
Dans le noir et la peur de perdre un être aimé.
L'ambiance silencieuse où l'on se souvient
De ses lèvres doucereuses qui désormais n'offrent plus rien
Que des mots douloureux claquant tel un fouet
Et rendant trop malheureux le cœur ensanglanté...
Ce cœur est enserré dans de durs barbelés
Qui le pendent et le blessent, et même le déchirent.
Il ne fait que saigner, et tente d'oublier
La douleur qui l'agresse de mots qu'on ne peut lire...
Il fait connaître le pire par des mots et des pensées
Qui animent de pleurs les longues nuits passées
Dans le noir et la peur de perdre un être aimé.
L'ambiance silencieuse où l'on se souvient
De ses lèvres doucereuses qui désormais n'offrent plus rien
Que des mots douloureux claquant tel un fouet
Et rendant trop malheureux le cœur ensanglanté...
Ce cœur est enserré dans de durs barbelés
Qui le pendent et le blessent, et même le déchirent.
Il ne fait que saigner, et tente d'oublier
La douleur qui l'agresse de mots qu'on ne peut lire...
Lujan
Lorsque les forces du coeur
Nous font profiter de leurs lueurs...
L'amour révèle ses couleurs
Et le temps s'en va par pudeur !
Au-delà de la vie
Nos jours ne sont que des confettis
Etalés sur un vaste tapis
Qui nous mènent au paradis !
On se dit qu'il n'est jamais trop tard
Quand à l'intérieur d'un regard
On trouve l'espoir
D'un début d'histoire !
Lujan
Cette conversation entendu en halle sur la vieillesse avait rappelé au jeune blondinet l'un de ses poèmes, écrits dans le Nord du Royaume de France il y a déjà quelque temps...
Ce sont de forts et innombrables souvenirs,
Témoins d'un bonheur rapidement révolu,
Qui transparaissent encore à travers mon sourire,
Pâle et d'une gaieté depuis longtemps perdue.
La vieillesse comme la foudre s'abat sur mon corps,
Un poison qui me ronge inexorablement,
Une terreur pour mes os, qui comme un vaillant fort,
Assiégé par l'ennemi, voit ses murs tombant,
Dans l'oubli. D'un héros, je deviens une loque
Humaine. Fatale, je garde mes esprits
Avec peine. Tous éperdument, ils s'en moquent !
Je troque vitalité contre sagesse,
Je prodigue des conseils. De la voir, je ris
Oui, elle tarde à venir chercher mon allégresse.
Ce sont de forts et innombrables souvenirs,
Témoins d'un bonheur rapidement révolu,
Qui transparaissent encore à travers mon sourire,
Pâle et d'une gaieté depuis longtemps perdue.
La vieillesse comme la foudre s'abat sur mon corps,
Un poison qui me ronge inexorablement,
Une terreur pour mes os, qui comme un vaillant fort,
Assiégé par l'ennemi, voit ses murs tombant,
Dans l'oubli. D'un héros, je deviens une loque
Humaine. Fatale, je garde mes esprits
Avec peine. Tous éperdument, ils s'en moquent !
Je troque vitalité contre sagesse,
Je prodigue des conseils. De la voir, je ris
Oui, elle tarde à venir chercher mon allégresse.
Lujan
Sa conversation avec la Jolie Muselia lui avait rappelé l'un de ses poèmes écrit à Orthez pour sa belle Marainne...
Le cœur brisé,
J'avance toujours tête baissée,
Malgré que j'ai déjà été blessé,
J'essaye encore d'avancer.
Est-il possible de modifier son avenir ?
J'espère désespérément que le meilleur reste à venir,
J'espère pouvoir retrouver un jour un vrai sourire,
Seulement le présent est de pire en pire.
Je suis consciente d'avoir fait des erreurs,
Mais je ne pensais pas mériter ce malheur,
On m'a dit tellement d'horreurs,
Que j'ai depuis bien longtemps perdu tout mon honneur.
Mes pensées ne reposent plus que sur des questions,
Je vis au dépend des réflexions,
Qui insiste dans ma tête.
Libérer mon cœur de toutes ces horreurs,
Sera le seul moyen de m'ouvrir au bonheur ...
Le cœur brisé,
J'avance toujours tête baissée,
Malgré que j'ai déjà été blessé,
J'essaye encore d'avancer.
Est-il possible de modifier son avenir ?
J'espère désespérément que le meilleur reste à venir,
J'espère pouvoir retrouver un jour un vrai sourire,
Seulement le présent est de pire en pire.
Je suis consciente d'avoir fait des erreurs,
Mais je ne pensais pas mériter ce malheur,
On m'a dit tellement d'horreurs,
Que j'ai depuis bien longtemps perdu tout mon honneur.
Mes pensées ne reposent plus que sur des questions,
Je vis au dépend des réflexions,
Qui insiste dans ma tête.
Libérer mon cœur de toutes ces horreurs,
Sera le seul moyen de m'ouvrir au bonheur ...
Lujan
Lujan avait utilisé sa pause journalière à la mine à bon escient,
même si le travail était plus qu'éreintant...
Un poème avait vu le jour,
son esprit ne faisant qu'un tour,
après quelques minutes de reflexion,
la pioche posée à ses pieds comme inspiration...
J'ai perdu la caboche,
à cause d'une pioche...
Qu'à heurté celle-çi??
Un jour les étincelles,
Ont fait fondre ton zéle,
dans tes petites mirettes,
L'envie s'était faite frêle!
J'ai perdu la caboche,
les yeux au fond des poches,
Je suis un peu endormi..
J'ai zaper la syntaxe,
Etalé sous l'amas,
quant t'as déviée de ton axe,
J'ai sortie l'armada,
Griffonant cette préface..
Puis ma téte se visse,
en gibier de potence,
Sur l'écrou du suplice,
Je céde à l'avance...
Et dans nos caboches,
Un ou deux p'tits mioches,
cautionnent nos interdits...
Pour ton air hébéter,
l'espace d'une saison,
mon coeur c'est ennivré,
à l'odeur de tes jupons,
J'ai perdu ma caboche,
pris un peu de brioche,
c'est la grande zizanie..
même si le travail était plus qu'éreintant...
Un poème avait vu le jour,
son esprit ne faisant qu'un tour,
après quelques minutes de reflexion,
la pioche posée à ses pieds comme inspiration...
J'ai perdu la caboche,
à cause d'une pioche...
Qu'à heurté celle-çi??
Un jour les étincelles,
Ont fait fondre ton zéle,
dans tes petites mirettes,
L'envie s'était faite frêle!
J'ai perdu la caboche,
les yeux au fond des poches,
Je suis un peu endormi..
J'ai zaper la syntaxe,
Etalé sous l'amas,
quant t'as déviée de ton axe,
J'ai sortie l'armada,
Griffonant cette préface..
Puis ma téte se visse,
en gibier de potence,
Sur l'écrou du suplice,
Je céde à l'avance...
Et dans nos caboches,
Un ou deux p'tits mioches,
cautionnent nos interdits...
Pour ton air hébéter,
l'espace d'une saison,
mon coeur c'est ennivré,
à l'odeur de tes jupons,
J'ai perdu ma caboche,
pris un peu de brioche,
c'est la grande zizanie..
Taniia
Taniia passa par là et y déposa un poème..
Une vie de cette façon
Une vie est faite Ainsi
Cette vie me donne envie de la continuer
De continuer de voyager..
De continuer de peindre et d'écrire
Une vie celle ci
Celle ci qui me donne pas L'ange
L'ange de L'amour
L'amour arrivera peut être un jour
Un jour dirai-je ?
Peut être ..
Cette vie ma donner le gout de vire,
Ma donner une belle famille,
Cette vie ma donner la tristesse,
Tristesse de perde de mes parents,
Mais elle ma aussi donner le sourire,
Le sourire de cette Vie.
Une vie de cette façon
Une vie est faite Ainsi
Cette vie me donne envie de la continuer
De continuer de voyager..
De continuer de peindre et d'écrire
Une vie celle ci
Celle ci qui me donne pas L'ange
L'ange de L'amour
L'amour arrivera peut être un jour
Un jour dirai-je ?
Peut être ..
Cette vie ma donner le gout de vire,
Ma donner une belle famille,
Cette vie ma donner la tristesse,
Tristesse de perde de mes parents,
Mais elle ma aussi donner le sourire,
Le sourire de cette Vie.
Gondebaud
Le jeune homme prit sa plume et se mit alors à gribouiller quelques vers sur un petit morceau de parchemin à peine chiffonner. Il le déposa ensuite dans un coin, et nous nous en fûmes aussi vite que possible. Je ne suis qu'un âne, vous savez ?
L'on ne sait, l'on ne vit ; oublierais-je ? Mais
Qu' importe le dessein auquel l'on fut promis !
Tant que l'instant présent efface cette plaie
Du temps où je rêvais peut-être d'une autre vie...
L'on ne sait, l'on ne vit ; oublierais-je ? Mais
Qu' importe le dessein auquel l'on fut promis !
Tant que l'instant présent efface cette plaie
Du temps où je rêvais peut-être d'une autre vie...
Pauline56
Citation:
Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.
Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.
Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?
- Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie !
Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.
Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.
Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?
- Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie !
Tristanduschlossberg
La douleur est un cri
Un cri qui vient du fond du cœur
Un cœur blessé, meurtri de chagrin
Ce chagrin de n'avoir plus d'amour
L'amour qui faisait ce bonheur
Bonheur qui existe peu comme un voile
Un voile qui cache la face
La face de la conscience
La conscience de la réalité tel qu'elle est .
Un cri qui vient du fond du cœur
Un cœur blessé, meurtri de chagrin
Ce chagrin de n'avoir plus d'amour
L'amour qui faisait ce bonheur
Bonheur qui existe peu comme un voile
Un voile qui cache la face
La face de la conscience
La conscience de la réalité tel qu'elle est .
Pauline56
Citation:
Moi je veux
Ma liberté de penser
Moi je veux
Ma liberté d’évoquer
D’évoquer un de mes sujets
Sans avoir à les jugées
Tous en le partageant
Comme pour mes sentiments
Sur cette terre
On ne doit pas se taire
Moi je veux parler
Et je veux le crier
La liberté peut se trouver
Il suffit de l’attrapée
Et il faut espérer
De ne pas la détournée
Il ne faut pas la laisser s’échappée
Il faut la préservée
Une fois qu’on l’a gagnée
Il faut la gardée
Pour pouvoir la partagée
Pour pouvoir la révélée
Ainsi la donner
Pour qu’elle puisse nous guidée
Ma liberté à moi
C’est toute me joie
C’est de pouvoir rêver
Sans vouloir désespérer
Rêver de mes envies
Pour avoir un destin
Rêver de ma vie
Pour avoir mon chemin
Tout le monde à sa liberté
Sinon alors vous me mentez
Au pire demandez à votre entourage
De vous donner le courage
Ainsi vous verrez
Que je vous dis
Toute la vérité
Car on le vient
Ma liberté de penser
Moi je veux
Ma liberté d’évoquer
D’évoquer un de mes sujets
Sans avoir à les jugées
Tous en le partageant
Comme pour mes sentiments
Sur cette terre
On ne doit pas se taire
Moi je veux parler
Et je veux le crier
La liberté peut se trouver
Il suffit de l’attrapée
Et il faut espérer
De ne pas la détournée
Il ne faut pas la laisser s’échappée
Il faut la préservée
Une fois qu’on l’a gagnée
Il faut la gardée
Pour pouvoir la partagée
Pour pouvoir la révélée
Ainsi la donner
Pour qu’elle puisse nous guidée
Ma liberté à moi
C’est toute me joie
C’est de pouvoir rêver
Sans vouloir désespérer
Rêver de mes envies
Pour avoir un destin
Rêver de ma vie
Pour avoir mon chemin
Tout le monde à sa liberté
Sinon alors vous me mentez
Au pire demandez à votre entourage
De vous donner le courage
Ainsi vous verrez
Que je vous dis
Toute la vérité
Car on le vient
Gautier_de_treillere
Elle est belle, très belle.
Sa beauté n'a d’égal que sa douceur
D'un sensible regard comme un appel,
Puis d'une douce étreinte, elle envahit mon cœur.
Elle est extraordinaire.
À la fois réservée et si exaltée
Cette sagesse, cette impétuosité vont de paire
Et elle a su me faire chavirer.
Elle est tendre et si passionnée
Que cette merveilleuse Princesse
A réveillé en moi un amour exalté
En mettant mon cœur en liesse.
Mais toi seule, Muse, mon cœur
Toi qui me comble de tendresse
Toi qui me donne tant de bonheur
Est cette merveilleuse et douce Princesse.
Sa beauté n'a d’égal que sa douceur
D'un sensible regard comme un appel,
Puis d'une douce étreinte, elle envahit mon cœur.
Elle est extraordinaire.
À la fois réservée et si exaltée
Cette sagesse, cette impétuosité vont de paire
Et elle a su me faire chavirer.
Elle est tendre et si passionnée
Que cette merveilleuse Princesse
A réveillé en moi un amour exalté
En mettant mon cœur en liesse.
Mais toi seule, Muse, mon cœur
Toi qui me comble de tendresse
Toi qui me donne tant de bonheur
Est cette merveilleuse et douce Princesse.
Couleurs
Pour Malou
Citation:
Jour après jour, année après année
Je t'ai vu grandir, changer
Mon petit bonhomme
Bien loin est le temps de tes grimaces
Tous tes petits jeux d'enfants,
Le petit polisson a eu une belle enfance
Jamais il ne se plaignait,
Un enfant si plaisant
Mais que s'est-il passé?
En un jour tu as changé à mes yeux
Tout change avec le temps
Les doux rêves de l'enfant s'effacent
Naissent des idylles résidu de l'enfance
et je te regarde autrement
tu deviens un jeune homme Malou
je serai attendre
Tu as l'air d'être dans un autre monde
Mais je peux lire dans tes pensées
Comment peux-tu être aussi loin
Alors que tu couché à mes côtés
Chaque jour et chaque nuit, mais...
Promets-moi de m'attendre
Car je garderai tout mon amour pour toi
Promets-moi de m'attendre
J'ai besoin de savoir si tu ressens la même chose
Jour après jour, année après année
Je t'ai vu grandir, changer
Mon petit bonhomme
Bien loin est le temps de tes grimaces
Tous tes petits jeux d'enfants,
Le petit polisson a eu une belle enfance
Jamais il ne se plaignait,
Un enfant si plaisant
Mais que s'est-il passé?
En un jour tu as changé à mes yeux
Tout change avec le temps
Les doux rêves de l'enfant s'effacent
Naissent des idylles résidu de l'enfance
et je te regarde autrement
tu deviens un jeune homme Malou
je serai attendre
Tu as l'air d'être dans un autre monde
Mais je peux lire dans tes pensées
Comment peux-tu être aussi loin
Alors que tu couché à mes côtés
Chaque jour et chaque nuit, mais...
Promets-moi de m'attendre
Car je garderai tout mon amour pour toi
Promets-moi de m'attendre
J'ai besoin de savoir si tu ressens la même chose
Couleurs
Malou.1er
gloupssss
Malou.1er
Là tu es sérieuse, je vois que tu me parles comme à un grand.
ze zuis bin content.
Enfin no bien content je suis.
Si je dois grandir viiiiiiiiite donne moi de la bière en taverne et raconte moi comment on fait des petits.
Malounet se mis a genoux, la main sur la dague comme un vrai chevalier.
Souffle coupé, par tes mots confiés
Tremblement, vibration, émotion et grand frison
Le ventre à mal car si peu est donné entre nous
Merci pour ton histoire, que c'est beau la simplicité
La vie avec toi devient transparente, plus pure
Et mon cœur apaisé deviens plus grand tu me donnes la force de l'étreinte
A présent j'offre la force d'échanger, de partager, de créer
Se réaliser de te donner sans t'asservir
Maintenant est trop tard, je guette ce moment ou tu me prendra dans tes bras
Douceur rose de mon passé a te sucer le miel de tes montagnes.
Maintenant ils me délecterons ces monts de la sensation, du désir.
Comment te dire cette amour longtemps tenu en secret
Gagne ma vie , gagne mon âme, gagne ma terre.
Tes baisers suaves prennent vie a mon insu
Telles des illusions conscientes et lumineuses
Sous cette pluie cristalline et céleste tu me bordes chaque soir
Comme des larmes si chaudes et heureuses sous ton charme nu
Immense infini de tes lèvres de velours
pénétrant avec douceur chaque fibres de mon cœur.
Je grandis ma belle aimée.
ze zuis bin content.
Enfin no bien content je suis.
Si je dois grandir viiiiiiiiite donne moi de la bière en taverne et raconte moi comment on fait des petits.
Malounet se mis a genoux, la main sur la dague comme un vrai chevalier.
Souffle coupé, par tes mots confiés
Tremblement, vibration, émotion et grand frison
Le ventre à mal car si peu est donné entre nous
Merci pour ton histoire, que c'est beau la simplicité
La vie avec toi devient transparente, plus pure
Et mon cœur apaisé deviens plus grand tu me donnes la force de l'étreinte
A présent j'offre la force d'échanger, de partager, de créer
Se réaliser de te donner sans t'asservir
Maintenant est trop tard, je guette ce moment ou tu me prendra dans tes bras
Douceur rose de mon passé a te sucer le miel de tes montagnes.
Maintenant ils me délecterons ces monts de la sensation, du désir.
Comment te dire cette amour longtemps tenu en secret
Gagne ma vie , gagne mon âme, gagne ma terre.
Tes baisers suaves prennent vie a mon insu
Telles des illusions conscientes et lumineuses
Sous cette pluie cristalline et céleste tu me bordes chaque soir
Comme des larmes si chaudes et heureuses sous ton charme nu
Immense infini de tes lèvres de velours
pénétrant avec douceur chaque fibres de mon cœur.
Je grandis ma belle aimée.
Pauline56
Citation:
P ar ta conscience, tu sais trouver la bonne voie
A vec cœur et réflexion, tu réfléchis avant d'agir
U ne grande bienveillance t'habite et te mène vers
L es autres qui ont besoin de ton aide et de ton soutien
I lluminant de bonheur la vie de ton entourage, tu
N e laisses jamais la guerre gagner et apportes la paix
E t c'est grâce à toi que notre existence est plus belle
A vec cœur et réflexion, tu réfléchis avant d'agir
U ne grande bienveillance t'habite et te mène vers
L es autres qui ont besoin de ton aide et de ton soutien
I lluminant de bonheur la vie de ton entourage, tu
N e laisses jamais la guerre gagner et apportes la paix
E t c'est grâce à toi que notre existence est plus belle
Saramiel
_________________
Gautier_de_treillere
Elle me manque tant,
Les jours, les nuits passent lentement,
Je rêve de ses mains si douces,
De son sourir charmant.
Moi, fils du vent,
Tu m'as attrapé et sublimé.
Ton corps comme un aimant,
Me rend fou et brulant.
Oui, tu es mon ange,
Tu es ce doux rêve,
je t'attendrai tant qu'il le faut,
En t'aimant d'un amour toujours plus beau...
Les jours, les nuits passent lentement,
Je rêve de ses mains si douces,
De son sourir charmant.
Moi, fils du vent,
Tu m'as attrapé et sublimé.
Ton corps comme un aimant,
Me rend fou et brulant.
Oui, tu es mon ange,
Tu es ce doux rêve,
je t'attendrai tant qu'il le faut,
En t'aimant d'un amour toujours plus beau...
Chantylly
Ces mots sont pour toi ma défunte beauté....
More...
Tu es entrée dans mon cœur comme un rayon de soleil,
En m'apportant toute la sincérité que j'espérais,
Tu as comblé l'immense vide de mes sentiments,
En me permettant de me sentir aimé en retour.
Comment comprendre ce doux sentiment
Qui nous envahit l'un l'autre,
Cette sensation qui ensemble nous transporte,
Et qui chaque instant nous unit.
Mais maintenant tu n'est plus de se monde
Je ne suis plus rien...
Plus rien depuis que tu est partie
Toi le soleil de ma vie...
Lydia00
Mais mais ou ils sont les poetes.
Je vais en préparer un et revenir. Il y a plus depoetes a Albi mais c est ainsi.
_________________
DE TON AMI DIT DU BIEN,
DE TON ENNEMI NE DIT RIEN
Je vais en préparer un et revenir. Il y a plus depoetes a Albi mais c est ainsi.
_________________
DE TON AMI DIT DU BIEN,
DE TON ENNEMI NE DIT RIEN
Magster
Mag s'approcha, prit la plume et gribouilla le parchemin comme promis
Bienvenue à un far breton
"Un Petit vent malin porté par les alizés arriva et se déposa sur les lieux des faits aux liens défaits.
Il s'enroula sur les mots pleins et déliés , humant l'amour qui fut, terni par le vent, les contretemps et les tourments.
Des notes disgracieuses, Il sentit le nectar et en aspira la parfaite, celle du commencement, de la naissance des sentiments.
Des mots prononcés avec sincérité, il refit une portée , dansant jusqu'au
firmament en bel envoûtement .
De la nuit des temps, il refit inlassablement la trame du plus noble des entrelacements.
Pas à pas et jusqu'à l'aube , en effleurant la ligne d'horizon, son souffle s'y déposa délicatement
Telles des notes vibrantes au son cristallin de pureté.
Pas de demi-mesure.... L'amour ne saurait souffrir de médiocrité. "
Bienvenue à un far breton
"Un Petit vent malin porté par les alizés arriva et se déposa sur les lieux des faits aux liens défaits.
Il s'enroula sur les mots pleins et déliés , humant l'amour qui fut, terni par le vent, les contretemps et les tourments.
Des notes disgracieuses, Il sentit le nectar et en aspira la parfaite, celle du commencement, de la naissance des sentiments.
Des mots prononcés avec sincérité, il refit une portée , dansant jusqu'au
firmament en bel envoûtement .
De la nuit des temps, il refit inlassablement la trame du plus noble des entrelacements.
Pas à pas et jusqu'à l'aube , en effleurant la ligne d'horizon, son souffle s'y déposa délicatement
Telles des notes vibrantes au son cristallin de pureté.
Pas de demi-mesure.... L'amour ne saurait souffrir de médiocrité. "
Magster
De mon bras valide j'accompagne la chose promise
Ses Choix
Ne tentez pas d'interpréter ses choix
Ce sont eux qui la construisent
Ils pourront l'alourdir d'un certain poids
Jusqu'à ce qu'ils la détruisent
Elle se relèvera quoiqu'il arrive à chaque fois
Elle constatera les réactions qu'ils produisent
Même s'ils ne respectent pas les lois
Pour atteindre les pires sottises
Elle assumera en toute occurence
Elle restera fière
Non sans prestance
Elle n'est pas de pierre
Ses choix seront sans virulence
Elle y restera accrochée tel le lierre.
Ses Choix
Ne tentez pas d'interpréter ses choix
Ce sont eux qui la construisent
Ils pourront l'alourdir d'un certain poids
Jusqu'à ce qu'ils la détruisent
Elle se relèvera quoiqu'il arrive à chaque fois
Elle constatera les réactions qu'ils produisent
Même s'ils ne respectent pas les lois
Pour atteindre les pires sottises
Elle assumera en toute occurence
Elle restera fière
Non sans prestance
Elle n'est pas de pierre
Ses choix seront sans virulence
Elle y restera accrochée tel le lierre.
Psycotik
J’irais me coucher là,
Le dos sur ces pavés froid et humide.
Ma tête reposée, plongée dans ce silence,
Tu sais ce silence criant, pleurant et qui étouffe ?
Celui qui envole aussi !
Je regarderais la lumière décliner en me caressant,
Et caressant les pans de mur. Et s’éteindre.
Je sentirais ces petites étoiles blanches se posée,
Se posée tout doucement sur mes lèvres,
Qui rêveront violement des tiennes…
Je m’amuserais avec les volutes de fumée,
Celles qui franchiront ma bouche,
Pour se disperser, et danser dans l’air solide et gelé.
J’en oublierais si c’est une cigarette ou non.
J’en oublierais mes mains qui frôlent le vide,
En pensant à ta peau…
Oui, j’irais me poser là,
Le dos sur mes rêves déchainés…
Le dos sur ces pavés froid et humide.
Ma tête reposée, plongée dans ce silence,
Tu sais ce silence criant, pleurant et qui étouffe ?
Celui qui envole aussi !
Je regarderais la lumière décliner en me caressant,
Et caressant les pans de mur. Et s’éteindre.
Je sentirais ces petites étoiles blanches se posée,
Se posée tout doucement sur mes lèvres,
Qui rêveront violement des tiennes…
Je m’amuserais avec les volutes de fumée,
Celles qui franchiront ma bouche,
Pour se disperser, et danser dans l’air solide et gelé.
J’en oublierais si c’est une cigarette ou non.
J’en oublierais mes mains qui frôlent le vide,
En pensant à ta peau…
Oui, j’irais me poser là,
Le dos sur mes rêves déchainés…
Magster
Le bras pansé la promesse tenue, l'horreur de parler du lui, il arrivait pâle et malheureux auprès de l'autel des mots.
Il lui avait dit,
Il devait le faire
Sans interdit
Sans manière
Pour en finir
Seuls parfois sont ainsi les humains,
Même très entourés ils sont seuls.
Par accident ou par volonté, ils errent sur les chemins
Leurs âmes tourmentées bien plus qu’ils ne le veulent.
Ils se perdent dans les méandres du néant
Et comblent leur vie de petit rien
Ils souffrent en silence en faisant semblant,
En espérant un miracle, un meilleur demain.
Mais à quoi bon s’entourer des autres
Lorsque l’indifférence supplante tout !
Je suis différent est-ce ma faute
Dois-je souffrir debout plutôt qu’à genoux ?
Nul regard ne se posera sur moi
Nulle gentillesse, nulle attention
Que de l’indifférence ou des regards froids
Tel est mon quotidien, je dois m’en faire une raison…
La solitude est ma seule compagne sur terre
Et je dois l’accepter ainsi
Seul pour la vie, mon orgueil se terre
Entendez-vous mon silence qui pousse un cri ?
Il lui avait dit,
Il devait le faire
Sans interdit
Sans manière
Pour en finir
Seuls parfois sont ainsi les humains,
Même très entourés ils sont seuls.
Par accident ou par volonté, ils errent sur les chemins
Leurs âmes tourmentées bien plus qu’ils ne le veulent.
Ils se perdent dans les méandres du néant
Et comblent leur vie de petit rien
Ils souffrent en silence en faisant semblant,
En espérant un miracle, un meilleur demain.
Mais à quoi bon s’entourer des autres
Lorsque l’indifférence supplante tout !
Je suis différent est-ce ma faute
Dois-je souffrir debout plutôt qu’à genoux ?
Nul regard ne se posera sur moi
Nulle gentillesse, nulle attention
Que de l’indifférence ou des regards froids
Tel est mon quotidien, je dois m’en faire une raison…
La solitude est ma seule compagne sur terre
Et je dois l’accepter ainsi
Seul pour la vie, mon orgueil se terre
Entendez-vous mon silence qui pousse un cri ?
Aaricia_destempliers
Un seul regard,
Une journée,
Après des semaines passées,
Seule à vos cotés
Et puis …
Un jour un baisé,
Un jeu… une réalité …
Que penser ?
Mais …
La magie a opérée
Et nous nous sommes ….
Ce jour là, c’était vous …
Vous qui avez prit mon cœur…
Vous si tendre, si doux…
Vous si fougueux, si fou..
Vous rien que vous…
Vous oui vous…
Et qui sait …
Peut-être un peu … nous ….
_________________
Magster
Mag revenant à nouveau sur l'autel des mots, après une nuit au pied d'une charrette à contempler le ciel étoilé.
Il déposa un écrit pour toutes celles qui, un jour ou l'autre désespèrent de la vie et du bonheur..........
Pour vous, Madame
Finalement elle l’a trouvé
Celui qu’elle avait tant attendu
Finalement il existait
Mais que de chemin parcouru !
Il en aura fallu du temps,
De chagrins et d’illusions perdues
Pour qu’il arrive au bon moment
A l’instant même où elle n’y croyait plus !
Il en aura fallu des larmes
Des regrets, des propos futiles
Et un chevalier abandonnant ses armes
A bout de forces, fatigué et fragile…
Il en aura fallu des combats
Pour qu’elle y croit encore
Pour que jamais elle ne baisse les bras
Et qu’elle leur prouve qu’ils avaient tord.
Il déposa un écrit pour toutes celles qui, un jour ou l'autre désespèrent de la vie et du bonheur..........
Pour vous, Madame
Finalement elle l’a trouvé
Celui qu’elle avait tant attendu
Finalement il existait
Mais que de chemin parcouru !
Il en aura fallu du temps,
De chagrins et d’illusions perdues
Pour qu’il arrive au bon moment
A l’instant même où elle n’y croyait plus !
Il en aura fallu des larmes
Des regrets, des propos futiles
Et un chevalier abandonnant ses armes
A bout de forces, fatigué et fragile…
Il en aura fallu des combats
Pour qu’elle y croit encore
Pour que jamais elle ne baisse les bras
Et qu’elle leur prouve qu’ils avaient tord.