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[RP]Baptême et couronnement de la Franc Comtesse

Blanca_corvinus
Blanca s'était assise sur un banc et lisait le Livre des vertus, cherchant le passage qu'elle pourrait bien lire pendant son baptême.
Elle finit par arrêter son choix sur un passage de la Vita d'Aristote qui contait un dialogue avec un ermite.

Elle fut tirée de sa lecture silencieuse par du remue-ménage près de l'entrée. Elle eut à peine le temps de lever les yeux pour voir un homme à la jambe de bois emmené sans autre forme de procès à l'extérieur de la cathédrale. Blanca sentit un frisson la parcourir. C'est qu'elle n'avait pas encore conscience de l'image qu'elle véhiculait. Elle n'était plus simplement La Corvinus mais durant deux mois elle symboliserait la personne la plus importante de Franche-Comté.

Elle referma le livre, se leva et fit quelques pas. Puis, d'un signe discret de la main et un sourire, elle tenta de rassurer sa petite famille en leur montrant que de son côté tout allait bien jusque là. Puis elle retourna s'asseoir sur le banc, attendant que le prêtre la rejoigne et que la cérémonie puisse commencer.

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Raouldarc
le raoul fut désarçonnée par la réponse du curé hum de l archeveque plutot. il ne s attendait pas a ce que celui ci donna son accord . il pris quelques secondes pour répondre le temps de laisser a l archeveque de faire un signe aux gardes .

un parrain et une marraine? il se retourna . mmm il semblait y avoir suffisamment de monde pour répondre a cette demande . il regarda ober et le comte et se dit que quitte a en avoir autant qu ils soient riches

mmmm et bien monsieur l abbé , ils sont pas de la toute première fraicheur mais il me semble que monsieur le comte et la vieille ober pourrai faire l affaire non? enfin si ils me donnent mon accord bien sur .Apres mmmmm un questionnaire .? mmm j ai jamais bien aimé qu on me pose des questions mais bon si il faut en passer par la je suis pret a répondre a vos question petit curieux. Enfin pour la familles des croyants ,je suis prêt a croire en leurs valeurs. j espere qu ils croiront également dans les miennes parce que j ai pas mal de bois a couper pour cet hivers .votre éminence je vous suis fort reconnaissants d avoir donné une suite a ma demande.permettez quelques secondes que je demandes ?

raoul fis quelques pas dans l allée centrale pour aller a la rencontre d obert et jontas. il inclina la tete devant le comte puis tapota l épaule d obert


monsieur le comte ,je sais pas si vous me connaissez mais je suis le tout nouveau seigneur des rousses ,héritier de Acis.j ai pas l habitude de demander un service parce qu en général les gens s en souvienne et en demande un deux fois plus grand en retour .mais bon la c est un cas de force majeure hum. donc accepteriez vous d etre mon parrain et toi ober ma marraine?je vous laisse réfléchir quelques instant le temps que je passe mon exam

il retourna vers l archevêque ,il était pret a être passé a la moulinette par celui ci .

allez y ,je suis prêt.envoyéz le questionnaire avant que ma corvinus ne revienne.a moins que vous préfériez le faire après sa cérémonie plutot
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Brigante59
Brigante arriva devant l'entrée de la cathédrale et il demanda aux gardes:
"Bonjour, je suis un peintre italien. Est-ce que vous pouvez demander à Monseigneur si je peux participer à la cérémonie?"
Jenah
Jenah avait pu entrer dans la cathédrâle, étant membre du clergé de la province, cela aidait à se faire une place alors que la cérémonie n'avait pas encore commencée. La diaconesse avait laissé les enfants à son époux et avança donc seule en le lieu sacré. Elle fouilla l'église du regard, tombant sur les mêches rousses de l'archevêque elle se dirigea vers celui-ci ainsi que vers son collègue de Dôle qui était également présent.

Bonjour Monseigneur et bonjour mon frère, dit-elle saluant les deux autres membres de l'EA, puis-je être utile à quelque chose?
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Jean_de_bien
jean de bien peu friant de ce gendre de lieu entra discrètement et alla au côté de sa cousine.

Bonjour cousine
la regarde

oui je suis venu juste par reespect pour Blanca c'est l'amie que je viens voir pas la comtesse et puis c'est bien de venir c'est un peu comme aller au théâtre


sourit
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Fredyanne
Fredy vit arriver dame Jenah qui alla vers Monseigneur Nufilen ,et Blanca .

Jean avait fait un grand effort ,mais il aimait ses amis ,et était venu pour Blanca .Fredy appréçia le geste de son cousin


Bonjour Jean,comment va mon cher cousin ? bien sur que tu peut t'asseoir à mes cotés ............Je te l'ordonne même !! lui dit elle en souriant
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Brigante59
Brigante59 a écrit:
Brigante arriva devant l'entrée de la cathédrale et il demanda aux gardes:
"Bonjour, je suis un peintre italien. Est-ce que vous pouvez demander à Monseigneur si je peux participer à la cérémonie?"


"Est-ce que vous n'aimez pas les peintres italiens? C'est dommage ne pas représenter une cérémonie si importante."
Jean_de_bien
sourit à sa cousine

Vos désirs sont des ordres très chère.

Je compte sur toi pour m'expliquer la pièce e théâtre du baptême


sourit
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Fernand
Devant la cathédrale Fernand planté comme un poteau les pouces dans les manches de son gilet observait la ruelle parallèle. La charrette de son revendeur s'avançait en grinçant.
Il vit Barramine descendre les marches de l'entrée monumentale en pestant... précipitamment, légèrement aidé par deux gardes à l'aspect vaporeux.

- Eh Bien , Barramine, on veut gouter l'hospitalité aristotélicienne ? Crue, vous savez, ça ne vaut rien, de toute façon, il faut les faisander pour que ça ait un peu de gout.

Le bateleur descendit de son char, nota les deux hachoirs à la ceinture du nomade et s'avança vers lui.
- Vous êtes Fernand.
Fernand se contenta d’acquiescer.
Vous avez commandé trois douzaines d'unités lourdes pour largage de charges de deux livres, paiement effectué il y a deux jours, et tenant compte de la remise de cinq pour-cent.
Ça ne ressemblait pas à une question et Fernand ne prit pas la peine de commenter.
- Nos bêtes sont garanties vivantes à la livraison et exemptes de tout vice pendant une semaine. elle ont une une précision moyenne de six pieds pour les catégories B et de trois pieds pour la catégorie A.
Signez le reçu.


Fernand fit un graffitis graveleux sur le parchemin et rendit le document. L'homme inspecta le paraphe, tiqua, ouvrit la bouche puis renonça et s'éloigna en marmonnant.

Le sergent La Fouine scruta avec méfiance le chargement qui avait été diligemment déposé à terre et demanda:
- Encore des cigognes? C'est pour quoi faire?

- C'est pour l'appui aérien..... dit Fernand .

Il s'agenouilla près des cages et sortit de petites fioles en verre noir dépoli qu'il entreprit de fixer aux pattes des volatiles avec des bagues prévues à cet effet et livrées avec les caisses.


- la pluie à Erin? avec de la foreuse douze ans d'âge? Vous allez les faire sauter dans le ciel?

- Non sergent, l' Appui - Aérien... J'ai prévenu des amis que nous mettons la Franche-comté sous embargo et l'un d'eux m'a dit une chose très sensée .... C'est-à-dire que lorsqu'il l'a dite, elle m'apparaissait comme telle..... sur le moment... là, tout de suite, je ne dirais pas que.....
- Et qu'a dit votre inspiré locuteur?
- Il a dit que sans frappes aériennes, on ne ferait pas tomber le Rat Yss .... ou bien le Rat ici. A vrai dire, tout ça n'est plus très clair... j'étais ivre, mais il m'a paru approprié de mettre en œuvre une solution concrète et réaliste...


Il finit d'équiper les échassiers de leur chargement respectif.

- Elle sont dressées pour piquer droit sur les voyageurs, vous savez....
- Je me doute bien...
- Et voilà....
- Et.... en passant outre sur le fait que vous trouviez réaliste de lancer un escadron de cigognes incendiaires sur la campagne... Comment elles reconnaissent leur cible?

- Justement, il faudrait que vous portiez ça pour éviter d'être accrochés. Distribuez-en à tout le monde.

Il lui tendit un tas de chapeaux plats étranges et de couleur verte sur lesquels étaient peint grossièrement un feuillage stylisé...

- Charmant... vraiment... Vous savez, vraiment, il faut que je vous dise, vous êtes complètement....
- Vous l'avez déjà dit.
Allons, sergent, pensez à votre cambuse. ça va être du tout cuit pour vous.

Rappelé à ses plus basses et secrètes besognes, le sergent gratta son menton et grimaça....

- Faut voir....
si votre truc fonctionne, il va falloir que j'écoule le stock... Il n'y a pas de banquet prévu à Chambéry cette semaine... il faut que je retrouve le marchand de saucisses.....


Perdu dans ses pensées et ayant trouvé une nouvelle motivation, il s’arque-bouta et commença à charger les cages dans une charrette.



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droit devant!
Nufilen
Sur ces entrefaite, un garde avait demandé à Nufilen pour laissez entrer un italien, le roux avait acquiescer et demandé qu'il soit placé dans une chapelle latérale, avec vue sur le choeur. Blanca semblait prête, Nufilen aussi, Jontas s'était présenté et Jenah également, il les prit à part.

Ma soeur, vous vous occuperez du baptême de messire le compagnon de la comtesse, Jontas, une fois n'est pas coutume, vous attraperez l’encens et vous prêcherez pour le baptême si cela vous convient. Nous commenceront par le baptême de la comtesse puis celui de son époux puis nous procéderons au sacre et au couronnement. Pour ce dernier j'aurais besoin que l'on me porte la couronne, et l'huile.

Il partirent ensuite tous les trois, Nufilen envoya deux bedeaux, un pour mander la comtesse et l'autre pour mander son compagnon afin qu'ils se retrouvent tous les cinq à la porte Nord. La cérémonie allait débuter.
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Jenah
Bien, je m'en chargerais donc, mon premier baptême, vous m'en voyez ravie. Jenah se disait cependant qu'il allait être assez long et répétitif de procéder à deux baptêmes, un sacre et un courronnement en une même cérémonie, ainsi lui faudrait-il toute son attention pour arriver à garder celle des autres pendant le baptême qu'elle aurait en charge.

La diaconesse pensive suivit donc les deux hommes en direction de la porte Nord, la cérémonie ne tarderait plus à s'enclencher.

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--Le_sergent_la_fouine

- Garanties, garanties, ... faut voir.... se disait La fouine en marmonnant....

Il avait chargé les gros volatiles dans la charrette pour les mener au campement où des gens du service des postes iraient les distribuer aux artificiers de l'Hydre .
Six douzaines de grosses cigognes qui claquetaient de dépit dans l'espace réduit qui leur était alloué.

La réflexion ne fit qu'un tour dans son crane boiteux.


- J' vais faire un test!


Satisfait de son esprit d'initiative, il se coiffa de son chapeau ridicule puis il choisit une caisse, la déchargea sans ménagement et l'ouvrit. L'oiseau tenta de se déplier mais ne parvint qu'à tendre le cou que le sergent saisit avec brutalité. Il l'approcha de son visage et la regarda droit dans un oeil.


- Écoute-moi bien ma belle, tu vas me faire un belle flambée d'accord? Et tâche d'atterrir sur un casque de militaire compris? fais honneur à la bêtise de ton espèce!
Puis il replia le bras en arrière et la lança avec force.
La cigogne paniquée prit une trajectoire dangereusement rasante en direction de la cathédrale et tenta de redresser, mais sans doute, La Fouine lui avait-il un peu trop comprimé le cou...
Elle grimpa , grimpa, prit de l'assiette, trop.... et décrocha juste devant la petite rosace de vitrail surmontant la porte principale de la cathédrale.

Dans un éclat de verre coloré, l'oiseau traversa la baie avec un cri interrogatif .
Son fragile flacon d'alcool de caillou se brisa et s'embrasa en une magnifique boule de feu,
Ce fut comme si le soleil avait décidé d'entrer momentanément dans la nef, pour y prendre sa revanche contre l'éternelle pénombre des lieux. Une vision grandiose et mystique... surtout avec les petits morceaux de verre de toutes les couleurs qui brillaient de mille feux .

Passé cet instant remarquable, tout redevint à peu près normal. Le verre chut bruyamment sur les dalles et les gouttelettes poisseuses de l'huile essentielle aux composés multiples se mirent à pleuvoir en flammèches collantes et corrosives sur les rangées de sièges du fond qui prirent feu en dégageant une épaisse et âcre fumée noire. ...

Dans la ruelle, La Fouine conclut à l'efficacité du procédé tout autant qu'au manque de fiabilité du bombardier. Il commença à siffloter, comme à chaque fois qu'il était saisit d'une gêne palpable et se coula sur le siège de son véhicule avant de fouetter les mules.
Nufilen
HRP : Merci aux modérateur d'intervenir contre les joueurs qui pourrissent le RP sans aucune autorisation de la part de qui que ce soit et sans avoir le courage d’afficher le nom de leurs perso. Moi j'appel ça des lâches. Quant aux joueurs du baptême, ne prenez pas en compte les messages de ces gens, continuons comme si de rien n'était.
Au passage, un peu de réalité... Des cigognes bombardiers, non mais on croit rêver...

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Nenuphar
Il faisait chaud, lourd même.

Nénuphar s’était faufilée dans la cathédrale pour y trouver du frais, du calme... et en prime, une cérémonie. Elle était entrée dans le bâtiment avec ses vielles bottes noires, ses préférées, celles qui avaient parcouru tant de lieues qu’elles étaient devenues comme une seconde peau, souples et confortables, usées, exactement faites pour elle.


Et, il y avait eu une nouvelle fois matines en plein après-midi…. C’était la deuxième fois en peu de temps. Elle s’était assoupie sur un banc, se demandant si encore, elle se réveillerait hier.
Mais non! C’est près de la porte Nord qu’ elle émergea au milieu d’une cérémonie comme il y en avait tant d’autres. Certaines choses était immuables, à moins qu’on y mette un peu du sien. On retrouvait donc en présence des cloches qui sonnaient et d’autres qui ne sonnaient pas mais qui pensaient… une diaconesse un peu rébarbative, des gamins qui courraient dans les travées, un prêtre indolent, des invités impatients, un peintre italien…- Tiens, ça c’était nouveau !
Elle se rappelait le dernier baptême auquel elle avait assisté. Mais aujourd'hui, enlever le prêtre n’était pas au programme.
Tout était si lent…


Il y eut soudain une déflagration.
Une lumière blanche, éclatante, presque divine baigna brusquement l’édifice de sa clarté et puis une sorte de poulet déplumé vin s’écraser aux pieds du prêtre, dans un Pof mou, accompagné d’une odeur de grillé.
Au dessus d’eux, comme ralentie, une pluie multicolore et cristalline tombait dans la lumière aveuglante du trou laissé dans le mur. Aristote polychrome volait en éclats. Le tintement des morceaux de cristal semblaient égrainer le temps jusqu’au moment où ils vinrent éclater sur les pierres du sol.

Nénuphar avait couvert sa tête avec ses bras en protection mais cela ne l’empêcha pas de sentir le tranchant d’un morceau de cristal découper son oreille. Elle passa la main dans ses cheveux craignant une effusion de sang…
Tout le monde autour avait un air un peu différent, un peu hagard, comme le jour des pluies acides, un mois de février, il y avait déjà longtemps. En un instant des hommes avaient vu barbe et moustache apparaitre, sourcils disparaitre… Et ça recommençait, aujourd’hui, alors qu'il faisait grand beau temps… On ne changeait pas pendant des semaines et des mois. On se séparait de ses compagnons et on les retrouvait identiques, pas une ride pas un gramme, rien de plus, rien de moins… et puis…ça !
Une femme à coté d’elle ne cesser de répéter :


Mais où est mon bustier ? Où est il passé ?

Nénuphar retira sa main de son oreille. Pas une goutte de sang, pas de douleur non plus, aucun picotement… Pourtant son oreille ne dépassait plus de ses cheveux devenus raides … Quelque chose d’étrange s’était produit. Dans sa tête tout se mélangeait. Était-ce du à matines ou à l’explosion du vitrail ?

Elle avait besoin d’air.

En sortant, elle remarqua que ses bottes étaient comme neuves, lacées sur toute la hauteur maintenant. Le Dodécalogue était là, sur le parvis, adossé à un mur dans la chaleur épaisse de cette après-midi étrange. Lui n‘avait pas changé, et c’était bien le seul… On lui aurait presque fait l’aumône. Il ânonnait en boucle une phrase monotone…


On, pronom con qualifie celui qui l’emploie, Eon, prénom con qualifie celui qui le porte ! On, pronom ...

La cavalière nota son sourire en coin quand il l'entendit sortir, et son regard aveugle s’éclaira d’une vivacité instantanée.


Tiens, une crevette…
Des bottes ou des pieds nus ? Un lacet ou pas de lacet ? Pffiou…


Il leva un bras désabusé qui retomba sèchement.


Une oreille ou pas d’oreille… D'ailleurs... Est ce que tu as jamais entendu quelque chose avec?
MOuahaHahahahhhahahHhahahha…


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Fernand
Fernand s'était retourné pour chercher la provenance du vacarme. Celle-ci fut aisée à identifier. Des cris se firent entendre à l'interieur de la cathédrale. De la fumée s'échappait par l'entrée. Il chercha du regard la charrette et vit le sergent qui tentait vainement avec un tortillement insensé du derrière, de faire croire qu'il ne venait pas de prendre tout juste place à l'instant même à la place du conducteur.
Comme s'il sentait un couteau dans son dos, La Fouine jeta un regard en arrière et croisa le regard sévère de Fernand. Le vieux soldat se fendit d'un haussement d'épaule plaidant l'acquittement et commença à s'éloigner en douce.

Reportant son attention sur l'entrée, Fernand vit quelques personnes sortir en courant à la recherche d'air pur et de fraicheur. Certaines portaient des coupures superficielles, c'est-à-dire que tout le monde semblait encore avoir sa tête sur les épaules .

Surgissant de la fumée comme si elle en était issue, Nenuphar apparut sur les marches et descendit le parvis.
Et, ressemblant à un mendiant, le Vieux qui se tenait là et qui comme à son habitude ... "bredouillait quelque chose d'incompréhensible"....
Il regarda la cavalière et désigna le portail fumant du menton :

- Il se passe quoi la dedans?
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droit devant!
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