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[RP]Le Retour de la Cérémonie d'Allégeance !

Blanca_corvinus
La jeune femme suivante s'approcha de la Franc Comtesse et elle ne put s'empêcher de retenir son souffle en entendant prononcer ce nom... Titannick... sa chère marraine de coeur... celle qui lui avait la première ouvert les yeux sur le monde de la politique. Celle aussi grâce à qui, en partie, elle se retrouvait là, car elle lui avait transmis quelque chose d'indéfinissable, une sorte de foi inébranlable en ses projets.

Comme il était étrange de voir son titre porté désormais par une personne si dissemblable, une jeune femme qui certes n'avait pas sa langue dans sa poche mais encore si jeune et si pleine de hargne quand Tita n'était que bienveillance et bonheur de partager son savoir avec tous.

Le moment de la surprise dépassée, Blanca prit la parole à son tour.


Nous vous remercions Lara von Dumb de Sparte, Dame des Planches en Montagne et nous vous promettons en retour justice, subsistance et protection tout au long de notre mandat et sur vos terres franc-comtoises.


Puis elle posa sa main sur le bras de Lara von Dumb, en guise d'accolade vassalique, puisque le Poursuivant d'Armes semblait lui faire les gros yeux d'avoir passé sur cette partie-là dans les allégeances précédentes.
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Labaronne
Labaronne de l'Hydre poussa les portes avec fracas. Echevellée qu'elle était après que quelques gardes eurent tenté de le la retenir, mais aujourd'hui il y avait réunion de nobles, et elle en était.

Proclamée, Baronne de l'Hydre ce qui pour elle voulait dire Baronne des Baronnes, elle avait décidé de se rendre à la cérémonie d'allégeance.
Tenant un garde, tout gémissant, par les cheveux, elle avait une pelle à la main. De sa botte Labaronne de l'Hydre avait poussé la porte.


M'sieurs Dames ! Hurla-t-elle à l'assistance.

J'ai bien failli ne pas vous trouver, heureusement que j'ai le sens de l'orientation.


Elle lacha le garde qui s'écrasa sur le sol dans un vague gargouillis.


Je n'ai pas reçu d'invitation. Surement une erreur de votre part, pourtant, je suis Baronne de l'Hydre, et comme vous le savez surement, l'Hydre est la plus grande seigneurie du Royaume, puisqu'elle est partout chez elle.


Elle arpentait les lieux, lorgnant chaque objet, chaque tenture. Tatant les coussins, les étoffes, vérifiant si la poussière ne c'était accumulée sur les meubles et les bibelots.


Et bien ? c'est donc ici que vous vous alléchez ?


Elle émit un petit rire narquois
.

C'est ici que vous exposez votre soi-disant mérite, vos soi-disant actes héroiques. Mmmmh ... vous seriez pas un peu exhibitionnistes ?


Labaronne scruta avec dédain chacun des participants.


Bien-entendu, je ne m'abaisserai pas à préter allégeance à l'un d'entre vous, cela va de soit. Par contre vous alléger ... je suis pas contre.

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Lara_von_dumb
Tout se passa rapidement, et zouh s'en était déjà fini, y avait pas à dire, c'était finalement pas si terrible, si et seulement si... On arrivait en début de cérémonie, et repartait immédiatement. Ne jamais s'attarder, car ça finissait invariablement en grand n'importe quoi.

L'avantage de ne pas s'agenouiller c'est qu'il n'y a pas à se relever, juste tourner les talons, et se diriger directement et assurément vers la sortie, ne pas se laisser distraire par les bêtises qui commencent à se dire, comme le fait qu'une folle se lançait dans le spectacle, convaincue que par ses actes, on lui donnerait de l'importance et retiendrait son nom sur une voir deux génération. Pauvre imbécile que voilà, elle serait oublié dès qu'elle se déciderait à quitter le comté.

Quel intérêt donc de s'arrêter pour écouter personne parler, ne jamais donner de l'importance aux actes des imbéciles, ça les poussait à continuer. Ainsi donc la jeune femme quitta les lieux en entendant comme dernière phrase "vous vous alléchez", totalement perdue dans ses songes, pour un peu elle en aurait dit : quelle sécurité de défection !.

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Imladris
Imladris se releva et salua la Franc Comtesse. Il n'avait pas forcément envie de voir les autres nobles de Franche-Comté donc il se hâta de partir. Il croisa en chemin Lara et Labarone.

Il se retourna et écouta l'allégeance et l'intervention de Labaraone. Il sourit... Elle n'avait pas encore compris que pour le pourléchage de nobles c'était à la cérémonie d'allégeance qu'il fallait aller mais plutôt dans les couloirs secrets de l'Empire... Elle devrait poser la question à certaines personnes de haut rang dans l'Empire.

Il quitta la pièce. Ce n'était pas son problème.

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Fredyanne
Tout se déroulait bien jusqu'à l'arrivée d'une certaine Labaronne .........Labaronne de quoi ? de l'hydre ? mais que faisait 'elle ici ?.Aussitôt Fredy alla près de La Franc -comtesse qui faisait ses allégeances à dame Lara Von Dumb sans paraitre le moins du monde troublée et fit signe au Herault ,comte Debenja ,d'appeler les gardes afin de mettre illico presto et sans aucun ménagement cette personne dehors .
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Galovert
Galovert était resté dehors...
La cérémonie se passait en mode transmission de pensée, langage des pleutres et des cruches ...


Tiens, la Von-Dumb de Sparte...
Alors ta...

Au fait... comment dit-on déjà pour s'adresser à une telle caricature de Grande Dame ?

Ta Succulence?
Heuuu...non quand même pas.
Un trognon de pomme doit être plus goûteux à sucer.


Ta Splendeur?
Ha... La vlà de profil.
Nan.... Plutôt ratatinée la splendeur.


Ta Croupitude?
Quoi que... Vu de dos...
Son tailleur doit-être un grand artiste.


Ta Décrépitu...
Trop tard, déjà partie ...

Ne laissant qu'un vague souvenir de fadasses effluves musquées.
Ne laissant point de regret que sa bouche fut restée close.
Pourtant, j'aurais voulu lui dire... que si sa langue n'était point encore trop momifiée...
Lui dire...

Passes le bonjour à Victor !
En attendant qu'on le fasse nous-même.

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Labaronne
Labaronne pris un siège et s'installa dans un fauteuil qu'elle trouvait confortable. Elle jeta un regard amusé à tous les fuyards et grands penseurs courageux. Elle murmura pour elle même :


Et bien ... avec des poltrons pareils, m'étonne pas que la situation de la Franche Comté soit si dramatique.

Elle croisa les jambes, elle profitait du conford de la pièce, situation qui n'allait surement pas durer.

Je pense que vous allez me jeter dehors dans quelques minutes, pas vous même bien entendu, vous enverrez quelques gardes que vous utilisez, manipulez comme bon vous semble. Bref, là n'est pas la question. J'ai cependant une exigeance ...

Elle sourit.

Je tiens, personnellement, à ce que Monsieur de Bien me vire lui même. Vous pouvez le faire venir ?

Labaronne espèrait que Jean de Bien vienne en personne la saisir.

A lui, je n'opposerai aucune résistance ...
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Jean_de_bien
Jean de Bien qui arriva par sachant que Labaronne était présente entendit les propose de celle-ci.

Il entra et se dirigea vers elle.
La salua car il respect toujours les adversaires qui combattent pour une cause. Il préfère avoir affaire a des combattants idéalistes plutôt qu'à des soit disant amis et/ou parlementaires qui manipulent la traîtrise et les coups par derrière


Bonjour dame Labaronne, il fut un temps ou je vous cherchais sur les nœuds pour vous envoyer dans un monde meilleur et vous qui cherchiez à éviter mon armée. En peu de temps, c’est notre seconde rencontre.

Toujours fidèle à votre idéale de purification


Sourit

Mais la comtesse Blanca n’est pas une pourrie de Sparte,comme vous dites. Elle a même commencé à parler avec l’Hydre alors pourquoi gâcher sa cérémonie.


Veuillez me suivre et si voulez vous défoulez nous pourrons engager un brûlant corps à corps dans un autre lieu. Depuis le temps que l’on se coure après


Sourit
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Blanca_corvinus
Blanca étouffait un baillement lorsque la porte s'ouvrit sur d'étranges personnages qui semblaient venus mettre un peu d'ambiance dans la cérémonie.

Cela n'aurait pas été pour déplaire à la Franc Comtesse, sauf qu'elle s'aperçut bien vite qu'ils n'étaient pas venus pour amuser la galerie mais juste pour se mettre en avant...


Dommage...
soupira-t-elle. Dans le fond ces gens de l'Hydre, du moins ceux qui venaient de se présenter en ces lieux, ne se comportaient pas mieux que ceux qu'ils critiquaient. Seule leur propre personne comptait à leurs yeux et le fait qu'on parle d'eux, peu importait le moyen... Tant d'énergie dépensée pour... rien...

Elle regarda le bal entre Labaronne qui semblait tenter une approche suggestive sur l'ex-Capitaine Jean de Bien et un messire qui semblait venu tout exprès pour joûter verbalement avec Lara von Dumb, qui elle le snobait royalement. Mais la Franc Comtesse, ils s'en fichaient bien...

Dans le fond ce n'était pas pour déplaire à Blanca, que l'attention se détourne d'elle pendant un moment et elle en profita pour soulever sa couronne et se gratter l'oreille, attendant que les réjouissances reprennent leur cours, tout en ne pouvant s'empêcher de penser qu'elle aurait préféré être tranquille chez elle à Saint Claude qu'assise sur ce trône.

Mais elle se reprit bien vite car elle n'était pas là pour faire le spectacle ni pour épater la galerie, elle. Si elle était là, c'est qu'elle l'avait mérité, qu'elle avait donné toute son énergie et sa volonté pour ça.


Rien ne tombe du ciel à part la pluie ma p'tite Blanca... lui disait sa mère quand elle était jeune. Il n'y a que le travail acharné et la foi en toi qui te méneront quelque part un jour...

Prenant une forte inspiration, elle se redressa sur son trône et fixa son regard droit devant elle, bien décidée à en découdre avec cette cérémonie d'allégeances.
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Ignace.
On lui avait jacté d'une orgie payé par l'duché, où qu'on pouvait s'y pochetronner à l'oeil et où qu'les robes et les cuisses seraient légères. Alors sur qu'il pouvait pas rater ça l'ivrogne. Ca s'faisait pas d'rater une sauterie de la franc comtesse !!

Alors, il ne se fit pas beau. Ses cheveux gras toujours en bataille. Ses vêtements noirs sur le dos, qui sentent la sueur. Ses bottes boueuses et je parle pas de leur odeur à elles si on les retire, un mélange de cancoillote et de patchouli. Il déboula avec sa roulotte devant le palais et se stoppa dans les escaliers qui menaient à l'entrée.

D'un saut il descendit de la carriole et tendit les longues rênes à un garde.


Tiens, tu vas m'garer ça. Et prends garde à tes miches si tu m'la rayes !

La sauterie franc comtal était là, à quelques pas. Il avait même l'impression d'entendre les couinements comtals.

Il salua Galo' et gravit les marches quatre à quatre, bien trop pressé de participer à la fêtes et de se glisser entre quelques nobles cuisses qui ne demandaient que ça.

Sans saluer les gardes, il franchit enfin les portes de la salle du trône en criant à l'assemblée ...
TOUT L'MONDE A POIL LA D'DANT !!!!!

Un rapide coup suffit pour comprendre que rien n'avait encore commencé, hormis Lab' et son amoureux transi qui commençaient à peine. La déception put se lire sur la gueule du bougre.

Il s'approcha d'un garde et lui demanda :
C'est quoi c'te daube ! J'arrive en avance, ou quoi

Question à laquelle le grouillot ne préféra pas répondre, en faisant le sourd ou le muet. Allez savoir.

Abandonnant le crétin, il salua Lab' qui s'amusait avec l'amoureux transi, en se dirigeant vers le buffet, au moins lui il avait commencé, et prit un amuse gueule qu'il fourra dans la sienne, ainsi qu'un verre d'un alcool quelconque, en jetant un regard au serveur le plus proche de lui …
J'espère pour toi qu'c'est pas d'la piquette

Il se rapprocha ensuite du trône devant lequel se dressait la Bianca. Fière comme un I et entourée de quelques nobles en armes.

Alors ma beauté. Serais je le premier à t'honorer ? Ne m'dis pas qu't'as pas encore trouvé un vrai mâle dans ç'poulailler ?

Il observa alors l'assemblée de culs bénits d'nobliots présents, et se reprit … Mouais. Non, j'ai rien dit. J'suis pas trop étonné, en fait.

Alors ma jolie, comment qu'on l'fait not' ... « cérémoniel ».

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Fredyanne
Toujours aux cotés de Blanca,Fredy qui avait fait appel aux gardes par l'intermédiaire du Herault qui n'avait rien put faire car ,ce fut son cousin Jean qui fit sortir Labaronne puisqu'elle le lui avait demandé ,il s"était éxécuté toujours avec politesse et élégance avec les dames quelles qu'elles soient .

Tout se passa bien ,Blanca restait calme ,et avait, lors des épisodes un peu épiques ,sut garder son très grand calme et se parlait à elle même .

Fredy restait sagement derrière le trône car c'était au Herault ,au Capitaine ou aux gardes d'intervenir si il le fallait .

La cérémonie continuait tranquillement quand un autre messire , qui n'avait l'air de n'avoir pas toute sa tête ou alors il était en manque de femmes ........Ce qu'il dit et fit laissa Fredy entre la colère par ce manque de respect envers Blanca , le passage à l'acte pour le sortir manu militari de la salle ........Tout compte fait laissa faire ceux qui étaient sensés s'occuper de la Franc-comtesse en restant près d'elle au cas où ..........

Elle se demanda à quoi servaient les gardes postés à l'entrée .

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Kreems
kreems ne prit pas la peine d'entrer, ce genre de cérémonie onanique le laissait de marbre.
Il s'approcha tranquillement de l'entrée où se tenait les deux pleutres qui faisait office de gardes.
D'un geste il s'assoma le premier et mis son épée sous la gorge du second.


Baisse ton futal !!!!! Ordonna-t-il au vieux bougre mais à peine avait-il finit sa phrase que ce dernier laissa transparaitre de son fond de culotte une auréole jaunâtre

Ah ces Franc Comtois, à peine tu les bouscules!!!!!!

La voie était désormais libre pour ses compagnons.
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Jean_de_bien
Pendant que Jean de Bien accompagne labaronne vers la sortie il lui murmure

vous êtes un drôle d'oiseau toujours imprévisible mais de parole puisque je n'ai pas du vous taper dessus .
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Blanca_corvinus
Et l'invasion continuait...

Blanca reconnut l'Ignace avec qui elle avait bu quelques chopines en taverne à Pontarlier lorsqu'elle faisait le tour de la Franche-Comté.
A sa grande surprise, ce dernier réussit à se faufiler parmi les nobles qui faisaient la queue pour prester allégeance à leur comtesse, bien qu'ils fussent tous armés de leur épée et que l'homme eût pu être facilement maîtrisé, étant donné son état d'ébriété avancé.
Seule Fredyanne, surgie d'on ne sait où, sembla vouloir s'interposer courageusement. Mais Blanca murmura à voix basse à son amie:


Laisse-le... il est tellement saoul qu'il serait incapable de faire du mal à une mouche.

L'Ignace vint donc se planter devant elle, avec le regard niais de celui qui s'imbibe les neurones de vinasse bon marché et lui dit:

Alors ma beauté. Serais je le premier à t'honorer ? Ne m'dis pas qu't'as pas encore trouvé un vrai mâle dans ç'poulailler ?

Blanca sourit légèrement, amusée par le jeu de mots grivois. Son regard glissa imperceptiblement en direction de son Raoul, occupé à s'empiffrer près du buffet. Comme elle lui enviait son insouciance...
L'Ignace lança lui aussi un regard à la ronde et ne sembla rien y voir qui fût à son goût.


Alors ma jolie, comment qu'on l'fait not' ... « cérémoniel ».

Blanca blanchit légèrement puis après une pause, dit:

Pour commencer, il est de coutume de s'agenouiller ou de s'incliner devant le régnant en signe de respect.
Ensuite le vassal dit quelque chose comme "Je vous promets fidélité, aide et conseil", ce à quoi je réponds ensuite que je promets en retour subsistance, protection et justice.


Tandis qu'elle expliquait ceci, une grande lassitude s'empara d'elle. Car si l'ivrogne décidait de la prendre au mot et de lui prester allégeance, l'aspect sacré de la cérémonie serait entâché à jamais.

Elle sentit les regards empruntés de l'assistance autour d'eux, certains choqués, d'autres amusés sans doute, heureux de la voir se trahir de la sorte. Elle, qui n'était qu'une petite roturière destinée à redevenir roturière sitôt son mandat terminé, savait qu'elle n'aurait pas fait illusion longtemps dans ce monde de nobliaux. "Ils" attendaient juste qu'elle commette LE faux pas et voilà que l'Hydre venait de "leur" donner l'occasion rêvée et qu'elle y sautait à pieds joints.

Pourtant dieu sait qu'elle avait voulu y échapper à ces allégeances, mais rien à faire, la tradition était la tradition et quand on était cheffe du gouvernement comtois on assumait tout ce qui va avec, bon gré mal gré.

Sentant tous les muscles de son corps se contracter sous la tension et la colère, elle baissa légèrement le regard en attendant sa sentence.

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Labaronne
[quelques instants avant qu'on ne décide à sa place ...]

Il était déjà là, sans qu'on ait besoin de l'appeler. Jean de Bien la chassait depuis des semaines des mois sur les routes Comtoises. Ils avaient finis par se croiser dans une taverne.


Elle se leva. Ignace hurla. Elle sourit. Ses compagnons, toujours là pour pimenter un peu les soirées un peu guindées. Ils étaient toujours joyeux, provocateurs. Ces gens engoncés dans l'amidon hurlaient souvent à l'infamie ... pauvres gens. Ils n'avaient pas finis d'hurler.

Elle se pencha vers Jean
.

Sont taquins, vous trouvez pas
?

Elle salua ses comparses, hésita à leur coller une bise, elle appréciait toujours leurs manières.

Elle prit le bras de Jean de Bien, et se dirigea vers la sortie, comme convenu.

Drole d'oiseau ? vous trouvez ? Hummmmm


Elle réfléchit un instant.


Vous savez quoi ? je crois que vous n'avez pas fini de venir me chercher dans des endroits incongrus et aussi peu propices à mon rang. Les votres ne souhaitent pas nous voir partir ? et bien, vous allez entendre parler de nous, encore longtemps ... très longtemps.


Elle s'arrêta, et regarda le chasseur
.

Jean de Bien, je crois bien que nous allons passer beaucoup de temps ensemble. Je suis là, l'Hydre est là, et jamais elle ne sera aussi présente.


Elle émit un petit rire sarcastique, et continua sa route.

Je vous ai déjà parlé du chaos ?
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