Aldyr
Aldyr avait dormi avec un sommeil sans rêve...Quoiquentre les genoux ! Il était en pleine forme. Il s'était bien dépensé, bien lâché, tout lâché même ! Il avait tout donné...Sans reprendre.
Au petit matin, il remarqua dans la couche bien froissée que son amour amoureux n'était plus présent. Cela le fit se réveiller d'une manière brusque et brusqueuse !! Dans le même instant, il sentit une odeur si bonne, si belle, si doucereuse, lui donnant lenvie d'aller voir de ses yeux vus ce que c'était sur la branchette, tout en étant lui même d'une apparente pleine forme...vigoureuse et dure, surtout de part cette odeur alléchante et léchant !!
Dès sur ses deux pieds, il entendit enfin son compagnon de toujours et de tous les jours entre deux tours, s'esclaffait sur la branchette. Il le rejoignit à grandes enjambées et tomba nez-nez sur le petit déjeuner préparé par leur ami le furet...
Lui aussi, ne put s'empêcher de s'acclamer...signifiant aussi que l'écureuil n'était pas prêt de se reposer après le petit déjeuner:
-Ouhahou ! Quel petit déjeuner !! J'en ai la salive qui salive d'une bave qui a trop faim et abondante!!! Qui qui qua fait cela mon amour ? C'est ton ami le Furet ?! Qu'il est trop gentil tout plein d'une gentillesse trop pleine qu'il serait temps qu'elle accouche !!! Merci à lui !! Heureusement qu'il couche...ici !
Aldyr s'attabla sans plus tardé, en face de son amour de sa vie ! Il dégusta en s'empiffrant, le petit-déjeuner...Tout en jetant des regards torves à son écureuil, pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas que faim du petit déjeuner !
Bien beaucoup plus tard de chez très longtemps après le petit-déjeuner mouvementé pour l'écureuil et jouissif pour Aldyr, le couple coulait des jours trop heureux et d'un écoulement si trop magnifiquement gnifique.
L'écureuil était en réalité un trop bien fêtard qui aimait la fête, entouré de ses amis amicaux. Avant qu'il ne rencontre Aldyr et qu'il soit obligé de prendre un rythme pépère-pantouflard à se coucher avec les poules du village, mais à ne pas dormir de la nuit à cause de son compagnon. Avant dêtre en couple, le rongeur veillait jusqu'à l'aube du matin des premières heures de la journée matinale en compagnie de ses amis, en mangeant, buvant jusqu'à plus de raison comme des fous de folie furieuse.
Aldyr n'avait pas encore rencontré tous les amis de la forêt aux bois jolis de son amour. Ce dernier était connu et appréciait de tous...Surtout apprécié par son dévouement physique et le don de sa personne, très personnel à lui-même. Un jour, en manque de fête festive et de top délire entre ses amis, l'écureuil proposa à sa moitié du double dappendice d'inviter sur leur branchette, déjà tellement bien aménagée et tout et tout, pour fêter ça. Aldyr s'empressa d'accepter de faire une pendaison de crème-à-hier. Le moment était plus que venu bienvenu. Il avait trop hâtement hâtivement hâte de rencontrer tous les amis de son ami très amical et si doué pour lui dans le don de sa personne qui sonne.
Pendant que l'écureuil faisait le tour de la forêt pour inviter en invitation toute la forêt, sauf les arbres bien sûr, Aldyr s'attela sans harnais à préparer la branchette conjugale à la réception pour la crème-à-hier.
Le moment tant et trop attendu était arrivé sans se presser en trottant. Le soir de la journée était arrivé Aussi. La branchette était gravement prête à recevoir les amis trop fêtards de son compagnon et à faire la fête jusqu'au bout de la nuit nocturne. Ces derniers arrivèrent les uns après les autres, à la queuleuleu. Le couple les reçut avec grand plaisir. Aldyr était surexcité et l'écureuil en avait l'il plus que torve.
Aldyr faisait les allers et retours entre le coin de la branchette où se trouvait la réception de la crème et celui où le manger se faisait.
L'écureuil discutait avec ses convives, continuait de recevoir les autres, suite à la suite, lun derrière lautre. Tout se passait trop bien bonnement. Les discussions s'accompagnaient même de plus en plus de frottements de pelages et autres poils entre son compagnon et ses amis bien plus que fêtard. Aldyr apprenait dans le même temps, avec un il juvénile et tout embué de buée, les murs et coutumes de la forêt et de ses résidents.
Au petit matin, il remarqua dans la couche bien froissée que son amour amoureux n'était plus présent. Cela le fit se réveiller d'une manière brusque et brusqueuse !! Dans le même instant, il sentit une odeur si bonne, si belle, si doucereuse, lui donnant lenvie d'aller voir de ses yeux vus ce que c'était sur la branchette, tout en étant lui même d'une apparente pleine forme...vigoureuse et dure, surtout de part cette odeur alléchante et léchant !!
Dès sur ses deux pieds, il entendit enfin son compagnon de toujours et de tous les jours entre deux tours, s'esclaffait sur la branchette. Il le rejoignit à grandes enjambées et tomba nez-nez sur le petit déjeuner préparé par leur ami le furet...
Lui aussi, ne put s'empêcher de s'acclamer...signifiant aussi que l'écureuil n'était pas prêt de se reposer après le petit déjeuner:
-Ouhahou ! Quel petit déjeuner !! J'en ai la salive qui salive d'une bave qui a trop faim et abondante!!! Qui qui qua fait cela mon amour ? C'est ton ami le Furet ?! Qu'il est trop gentil tout plein d'une gentillesse trop pleine qu'il serait temps qu'elle accouche !!! Merci à lui !! Heureusement qu'il couche...ici !
Aldyr s'attabla sans plus tardé, en face de son amour de sa vie ! Il dégusta en s'empiffrant, le petit-déjeuner...Tout en jetant des regards torves à son écureuil, pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas que faim du petit déjeuner !
Bien beaucoup plus tard de chez très longtemps après le petit-déjeuner mouvementé pour l'écureuil et jouissif pour Aldyr, le couple coulait des jours trop heureux et d'un écoulement si trop magnifiquement gnifique.
L'écureuil était en réalité un trop bien fêtard qui aimait la fête, entouré de ses amis amicaux. Avant qu'il ne rencontre Aldyr et qu'il soit obligé de prendre un rythme pépère-pantouflard à se coucher avec les poules du village, mais à ne pas dormir de la nuit à cause de son compagnon. Avant dêtre en couple, le rongeur veillait jusqu'à l'aube du matin des premières heures de la journée matinale en compagnie de ses amis, en mangeant, buvant jusqu'à plus de raison comme des fous de folie furieuse.
Aldyr n'avait pas encore rencontré tous les amis de la forêt aux bois jolis de son amour. Ce dernier était connu et appréciait de tous...Surtout apprécié par son dévouement physique et le don de sa personne, très personnel à lui-même. Un jour, en manque de fête festive et de top délire entre ses amis, l'écureuil proposa à sa moitié du double dappendice d'inviter sur leur branchette, déjà tellement bien aménagée et tout et tout, pour fêter ça. Aldyr s'empressa d'accepter de faire une pendaison de crème-à-hier. Le moment était plus que venu bienvenu. Il avait trop hâtement hâtivement hâte de rencontrer tous les amis de son ami très amical et si doué pour lui dans le don de sa personne qui sonne.
Pendant que l'écureuil faisait le tour de la forêt pour inviter en invitation toute la forêt, sauf les arbres bien sûr, Aldyr s'attela sans harnais à préparer la branchette conjugale à la réception pour la crème-à-hier.
Le moment tant et trop attendu était arrivé sans se presser en trottant. Le soir de la journée était arrivé Aussi. La branchette était gravement prête à recevoir les amis trop fêtards de son compagnon et à faire la fête jusqu'au bout de la nuit nocturne. Ces derniers arrivèrent les uns après les autres, à la queuleuleu. Le couple les reçut avec grand plaisir. Aldyr était surexcité et l'écureuil en avait l'il plus que torve.
Aldyr faisait les allers et retours entre le coin de la branchette où se trouvait la réception de la crème et celui où le manger se faisait.
L'écureuil discutait avec ses convives, continuait de recevoir les autres, suite à la suite, lun derrière lautre. Tout se passait trop bien bonnement. Les discussions s'accompagnaient même de plus en plus de frottements de pelages et autres poils entre son compagnon et ses amis bien plus que fêtard. Aldyr apprenait dans le même temps, avec un il juvénile et tout embué de buée, les murs et coutumes de la forêt et de ses résidents.