Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

[RP] Sur leur branchette, chez Aldyr et l’Ecureuil

Aldyr
Aldyr avait dormi avec un sommeil sans rêve...Quoiqu’entre les genoux ! Il était en pleine forme. Il s'était bien dépensé, bien lâché, tout lâché même ! Il avait tout donné...Sans reprendre.

Au petit matin, il remarqua dans la couche bien froissée que son amour amoureux n'était plus présent. Cela le fit se réveiller d'une manière brusque et brusqueuse !! Dans le même instant, il sentit une odeur si bonne, si belle, si doucereuse, lui donnant l’envie d'aller voir de ses yeux vus ce que c'était sur la branchette, tout en étant lui même d'une apparente pleine forme...vigoureuse et dure, surtout de part cette odeur alléchante et léchant !!

Dès sur ses deux pieds, il entendit enfin son compagnon de toujours et de tous les jours entre deux tours, s'esclaffait sur la branchette. Il le rejoignit à grandes enjambées et tomba nez-nez sur le petit déjeuner préparé par leur ami le furet...

Lui aussi, ne put s'empêcher de s'acclamer...signifiant aussi que l'écureuil n'était pas prêt de se reposer après le petit déjeuner:


-Ouhahou ! Quel petit déjeuner !! J'en ai la salive qui salive d'une bave qui a trop faim et abondante!!! Qui qui qu’a fait cela mon amour ? C'est ton ami le Furet ?! Qu'il est trop gentil tout plein d'une gentillesse trop pleine qu'il serait temps qu'elle accouche !!! Merci à lui !! Heureusement qu'il couche...ici !

Aldyr s'attabla sans plus tardé, en face de son amour de sa vie ! Il dégusta en s'empiffrant, le petit-déjeuner...Tout en jetant des regards torves à son écureuil, pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas que faim…du petit déjeuner !


Bien beaucoup plus tard de chez très longtemps après le petit-déjeuner mouvementé pour l'écureuil et jouissif pour Aldyr, le couple coulait des jours trop heureux et d'un écoulement si trop magnifiquement gnifique.

L'écureuil était en réalité un trop bien fêtard qui aimait la fête, entouré de ses amis amicaux. Avant qu'il ne rencontre Aldyr et qu'il soit obligé de prendre un rythme pépère-pantouflard à se coucher avec les poules du village, mais à ne pas dormir de la nuit à cause de son compagnon. Avant d’être en couple, le rongeur veillait jusqu'à l'aube du matin des premières heures de la journée matinale en compagnie de ses amis, en mangeant, buvant jusqu'à plus de raison comme des fous de folie furieuse.

Aldyr n'avait pas encore rencontré tous les amis de la forêt aux bois jolis de son amour. Ce dernier était connu et appréciait de tous...Surtout apprécié par son dévouement physique et le don de sa personne, très personnel à lui-même. Un jour, en manque de fête festive et de top délire entre ses amis, l'écureuil proposa à sa moitié du double d’appendice d'inviter sur leur branchette, déjà tellement bien aménagée et tout et tout, pour fêter ça. Aldyr s'empressa d'accepter de faire une pendaison de crème-à-hier. Le moment était plus que venu bienvenu. Il avait trop hâtement hâtivement hâte de rencontrer tous les amis de son ami très amical et si doué pour lui dans le don de sa personne qui sonne.

Pendant que l'écureuil faisait le tour de la forêt pour inviter en invitation toute la forêt, sauf les arbres bien sûr, Aldyr s'attela sans harnais à préparer la branchette conjugale à la réception pour la crème-à-hier.

Le moment tant et trop attendu était arrivé sans se presser en trottant. Le soir de la journée était arrivé…Aussi. La branchette était gravement prête à recevoir les amis trop fêtards de son compagnon et à faire la fête jusqu'au bout de la nuit nocturne. Ces derniers arrivèrent les uns après les autres, à la queuleuleu. Le couple les reçut avec grand plaisir. Aldyr était surexcité et l'écureuil en avait l'œil plus que torve.

Aldyr faisait les allers et retours entre le coin de la branchette où se trouvait la réception de la crème et celui où le manger se faisait.

L'écureuil discutait avec ses convives, continuait de recevoir les autres, suite à la suite, l’un derrière l’autre. Tout se passait trop bien bonnement. Les discussions s'accompagnaient même de plus en plus de frottements de pelages et autres poils entre son compagnon et ses amis bien plus que fêtard. Aldyr apprenait dans le même temps, avec un œil juvénile et tout embué de buée, les mœurs et coutumes de la forêt et de ses résidents.
--L_ecureuil


La soirée battait son plein de battements trop forts et trop délires. L’écureuil, en plus de son œil, se sentait gonflé à bloc, dur de chez durement. Sa queue en avait le poil hérissait et pointait droit. C’était comme avant qu’il ne rencontra son amour, et même en beaucoup très mieux car ce dernier était présent pour ce qui allait être sûrement la soirée trop fêtarde. L’écureuil sentait qu’il n’allait plus savoir où donner de la tête et plus si affinité au bout.

Les premiers invités avec invitation étaient arrivés. Le rongeur les accueillait comme il se devait et en guise de doigt, sa queue en avant, pour, notamment, leur indiquer le chemin.
Plus la branchette de l’arbre se remplissait plus l’écureuil exultait :


-Gnit Gnit Gnit !!! NUT !...NUT !...NUT !...Gnit…Gnit !!...Gnit !!!...Gnit !!!!...GNIT !!!!

De parole en discussion en parlant, l’écureuil accueillait ses invités avec de plus en plus d’enthousiasme. Aux bienvenues, le rongeur les accompagnait par des frottements frotteurs très-trop proches à proximité mixte. Aldyr en était assez étonné de ces mœurs ou coutumes. Mais, cela n’était que l’habitude de son compagnon si chou et de ses amis amicaux. Ces derniers se frottaient poils contre poils, pelages contre fourrures, de manière de plus en plus insistante, et avec des yeux de plus en torves.

L’écureuil exultait de partout vraiment de partout, il lâchait tout et pour chacun !
--Le_sanglier.


Le Sanglier avait été invité par son ami l’écureuil. Il en avait été très heureux d’un bonheur sans borne et trop heureux. Il était aussi surexcité de venir à une nouvelle soirée de l’écureuil ! Enfin ! Frottements, papouilles, briquages de fourrure avec langues plus ou moins râpeuses, la soirée de crème-à-hier promettait beaucoup de promesses et elle commençait vraiment bien du début.

A peine sur la branchette, le Sanglier s’annonça avec force et fit comprendre aux invités comme pour les hôtes qu’il n’était pas venu les patounettes vides, autrement que cela allait être leur fête :


-Grouin GROUIN !!


En langage Sanglier, cela signifiait qu’il avait de quoi boire ou téter selon les envies. Le Sanglier était venu avec une bariquette d’alcool de noix et une autre aux glands.

L’Ecureuil redoubla de sautillements à la vue de ses présents. Il se précipita vers le Sanglier et les boissons pour les faire péter toutes deux. L’alcool giclait, tout le monde s’en mettait dans le gosier et même ailleurs. Cela n’était que meilleur moyen de manière pour que la fêfête puisse se dérouler dans un déroulement encore plus chaud qu’une cheminée.
--Le_furet


Le Furet était sur la branchette lorsque son ami le Sanglier entra. Il était en conversation très chaleureuse et proche avec l’Ecureuil. Leur pelage en était déjà tout chaud. La venue de l’alcool ne pouvait que décupler leur joie joyeuse manifeste. Les yeux torves et les regards en coin seront encore mieux faits et compris par chacun.

Le Furet fut le premier à avaler et à s’étaler les fluides aphrodisiaques. Il en profita pour lancer à l’assemblée :


-Fit-fit-fit ! Frut !...Frut !!


Brièvement mais efficace, comme savait le faire le Furet, aussi bien en parole qu’en gestes aidés par l’atmosphère de plus en plus lourde et humide de promiscuité, toute l’assemblée comprit que le Furet et le sanglier allait se marier prochainement. Par la même occasion, ils avouèrent leur union à tous les membres de la fête, et à ceux propres aux membres, leur union. Toute la forêt le savait maintenant !

Les signes de plus en plus amicaux et tendres, à la limite de la franche camaraderie où l’on partageait tout, même ce qu’on avait de plus intime, se firent de plus en plus ostensiblement ostensibles. La joie trop joyeuse était très communicative entre et dans les invités.
--L_ecureuil


L’Ecureuil, apprenant la nouvelle dans le même temps, comme pour son compagnon aussi, dans un excès de bonheur heureux, se permit de surenchérir à la suite de l’annonce :


GNIT !! GNIT !! GNIT !!

Il se tourna vers son compagnon, s’occupant de la nourriture, dans un œil qui en disait long comme deux bras à moignons et un petit filet de bave très mignon à la commissure de ses babines…C'était maintenant la double occasion neuve de faire la fêfête, autrement dit la sur-fêfête sans dessus-dessous ! Mêlé à l'alcool, aux fluides de toute sorte, la crème-à-hier se battit fermement et d'un redoublement doublant. Pèle-mêle, pelages emmêlés, plus rien ne distinguait les invités des hôtes, d'une couleur de pelage à une autre, d'une queue en panache, d'une défense...Quelle communion communicative !!
Aldyr
Aldyr écoutant d’une oreille les grognements et autres exultations plus ou moins parlés, fut très heureux d’une joie sans borne ni limite de l’annonce du Sanglier et du Furet. Ils formaient déjà un très beau couple modèle.
A la suite, entendant son amour faire une annonce encore plus trop magnifique, Aldyr se retourna vers lui, et ne put que tomber dans les pommes…La joie avait été tellement trop puissante à en péter, peut-être…


La soirée se déroula sans Aldyr, enfin sans qu’il ne put s’apercevoir de rien. Son inconscience dura jusqu’au petit matin…Ses amis de la forêt n’avaient pas voulu le réveiller et le laisser se reposer…
Aldyr se réveilla donc à l’aube du matin matinal, au milieu de la branchette, où les stigmates de la soirée étaient encore visibles. En se levant, il sentit une violente douleur au niveau de son postérieur de séant…Peut-être aussi un des stigmates de la soirée et de la bienveillance de ses amis de la forêt…
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)