[RP OUVERT] L'Inquisition Recrute !

[En plein cœur de Paris]

Mais c'est pas vrai ! Faut faire comment pour qu'on puisse obtenir de l'aide dans ce royaume ???

La blonde rageait contre la vie, contre le manque de motivation et contre tout ce qui allait pas dans le sens qu'elle voulait. Elle tournait en rond dans son bureau dragonal - oui c'était plus simple de tout regrouper - afin de trouver une solution pour son problème. Elle devait trouver des missus, un greffier pour Rome, bon c'était déjà un bon début. Mais comment allait elle faire ? Une annonce, dans toute la France, et dans les autres pays aussi. Elle se moquait bien du prix c'est l'église qui payait et tout le monde sait que l'église est riche. Bon aller il fallait rédiger l'annonce.

Maintenant il n'y a plus qu'à attendre.
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Nouvelle box qui fonctionne !!

Il y avait des jours surprenants, des jours étonnants, des jours qui semblaient particulièrement ternes et qui au final se révélaient aux couleurs et aux saveurs resplendissantes et uniques. Et Ana.lise en était pleinement consciente. Depuis quelques jours déjà, la duchesse avait quitté sa Champagne afin de prendre quelques repos chez les cousines de son époux. Les derniers évènements survenus dans sa vie l’avaient laissé épuisée moralement ainsi que physiquement aussi se devait-elle de se reconstruire petit à petit.

Et c’était donc à Gien que la jeune femme coulait une vie tranquille et sans grande surprise. Les jours se ressemblaient et s’étiraient doucement en longueur, permettant à Ana de laisser ses souvenirs les plus terribles s’évacuer vers la porte de sortie et garder les meilleurs qu’elle rangeait dans un petit coin de sa tête afin de pouvoir les retrouver lorsqu’elle en éprouverait le besoin. La famille dont elle venait de faire la connaissance s’avérait tout à fait charmante et pétillante ce qui était des plus agréables dans une ville où l’on ne connaissait personne et les journées passaient selon le même rituel journalier. Toutefois, à ce rythme là, la duchesse commença rapidement à trouver le temps long. Certes, elle ne devait en aucun cas se fatiguer, certes tout le monde était au petit soin pour elle mais là, cela dépassait ce qu’elle pouvait imaginer. Aussi, lorsqu’après une promenade avec son fils et la dernière des filles de son mari jusqu’au lac de Gien, Ana prit la direction, rejoignant comme à l’accoutumée la famille en taverne, elle prit connaissance d’une annonce bien particulière qui l’interpella rapidement.

En effet, après une première lecture, la jeune femme préféra en faire une deuxième plus calmement afin de prendre conscience de ce qui était écrit. Un léger sourire étira ses lèvres lorsqu’elle se rendit compte que bien malgré elle, elle cherchait déjà à formuler un courrier à l’intention de ce recrutement. Mais avant d’aller plus loin, Ana se devait d’être certaine de ce qu’elle était en train de faire. Elle ne voulait en aucun cas prendre la direction d’une voie qui ne l’intéressait pas car comme toute chose qu’elle faisait, elle s’y investissait sans compter et ne voulait pas abandonner au premier signe qui viendrait la mettre à mal. Et ce fut avec la certitude d’agir dans le bon sens qu’Ana rebroussa chemin afin de se rendre à la maison où elle logeait avec sa petite famille pour prendre plume et vélin et faire ce courrier dont elle espérait beaucoup finalement.

Ana prit le temps de se relire plusieurs fois puis souffla sur le vélin afin de le faire sécher rapidement puis appela un coursier afin de faire porter ce message à qui de droit. Il n’y avait plus qu’à attendre la réponse si réponse il devait y avoir.

[Dans son bureau Dragonesque - Paris]

Les jours ont passé, la blonde travaillait sur différentes choses quand on lui livra le courrier. Après avoir remercier le ou les coursiers, elle décacheta les lettres les unes après les autres. Avant de passer à la lettre suivante, elle prit la plume et répondit à la première personne.

Ensuite lettre suivante, une femme, une noble, une d'Izard ??? La blonde était curieuse.

Maintenant passons au petit monstre. Elle allait s'occuper de son cas à celui là. Alors comme ça il veut me mettre au bucher.

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Nouvelle box qui fonctionne !!

Il ne fallut pas longtemps à la brunette pour recevoir un pli cacheté et signé de Dame Elisabeth Stilton de Lasteyrie l’invitant à se rendre à un rendez-vous afin de discuter de cette annonce à laquelle Ana avait répondu. Ce n’était pas le moment de perdre du temps, il fallait donc se rendre à Paris. Fort heureusement, la jeune femme n’habitait pas au fin fond du royaume et le voyage se faisait assez aisément depuis la Champagne. D’ailleurs, un léger sourire vint fleurir les lèvres de la brunette tandis qu’elle laissait ce courrier sur son secrétaire et qu’elle allait préparer quelques affaires pour le voyage. Un souvenir fugace de son dernier déplacement alors qu’elle se rendait à l’Ostel Dieu lui revint en mémoire et Ana secoua rapidement ses boucles brunes afin de sortir de sa rêverie. Ce n’était pas le moment de traîner, il lui fallait donner moult instructions avant de prendre la route.

La voiture filait sur les chemins en direction de Paris et Ana regardait le paysage défiler sous ses yeux. Parfois, elle relisait la lettre qu’elle avait reçu la veille se demandant à quoi il fallait qu’elle s’attende pour cet entretien puis respirant plus profondément, la jeune femme préférait laisser cela de côté et finissait par ranger ce pli rapidement dans ses affaires. L’impatience des derniers jours la chahutait alors qu’elle faisait pourtant preuve d’une patience exemplaire habituellement. Mais depuis son accident qui avait failli lui couter la vie, Ana voulait croquer la vie à pleines dents et devenait un peu trop pressée. Elle se calma d’une profonde respiration et se cala tant bien que mal dans le siège, le corps balloté par le chaos de la route. Le temps de se rendre à la petite auberge dont elle avait déjà pu apprécier les services lors de son précédent séjour dans la ville, Ana profita de sa soirée de tranquillité. Le lendemain serait le grand jour et elle ne voulait pas rater cet entretien pour rien au monde.

Le jour dit, Ana se fit donc conduire au lieu de rendez-vous. Connaissant que peu les rues et les quartiers de la ville, elle aurait été capable de se perdre dans ces dédales aussi, prudente malgré son envie de mieux connaitre Paris, elle remit à plus tard son envie d’excursion. Il ne lui fallait pas être en retard et ce fut même avec pas mal d’avance qu’Ana se présenta à l'Hôtel Volpone. Quelques coups frappés à la porte et la brunette se fit annoncer.

-Bonjour, je suis dame Ana.Lise d’Izard et j’ai rendez-vous à 10 h avec Dame Elisabeth Stilton de Lasteyrie.
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Kelenn n'en revenait pas d'avoir reçu une réponse.
Il n’arrêtait pas de relire sa lettre, comme pour vérifier qu'il ne rêvait pas, qu'elle était bien là.

Il relut la phrase "vous ayez bien conscience de la charge qui sera la votre si vous voulez persévérer..."

Bien sûr qu'il allait persévérer, il voulait travailler pour l'église, il le sentait c'était sa destinée.
Et cette annonce était un signe de Dieu pour lui prouver qu'il avait raison de suivre cette voie.
Il sourit , plia la lettre et la plaça comme toujours sous son oreiller.
Il était pris d'une urgente envie de prier.

[Hotel volpone, 8h du matin.]

Il était arrivé la veille à Paris, il ne connaissait pas bien la ville, mais grâce a l'amabilité des bons croyants de cette ville, il avait finalement trouvé son chemin.
Ce 4 juillet donc, à 8 heure moins 10 précisément, il se dirigea vers la porte de l’hôtel Volpone. Devant elle, les gardes le reluquèrent de la tête au pied, l'air méprisant, mais le jeune Kelenn leur montra le pli de Dame Stilton et on le laissa entrer.

Il se présenta à l'intendante ou quelque chose comme ça, à une dame en tout cas.

Bonjour, je me nomme Kelenn, j'ai un rendez vous à 8 h avec Dame Stilton.

On lui demanda de patienter, là, ce qu'il fit.
Il en profita pour réciter mentalement quelques prières afin de m'être toutes les chances de son coté.

Le moment était enfin venu.

Kelenn sentit son coeur s'emballer dans sa poitrine alors qu'il entrait dans l'immense pièce et découvrait enfin la Dame Stilton.
Il la détailla rapidement, petite, blonde, plus jeune que lui sans doute mais un air assez froide, voir sévère... Ou alors n'était-ce qu'une impression due à l'inquiétude qu'il ressentait soudain.

Il prit une longue inspiration pour se calmer, il fit un signe de tête poli à la Dame, se présentant avant de s'asseoir devant elle.

Bonjour Dame Stilton, oui, vous supposez bien, je suis Kelenn.
Enchanté.

Maintenant qu'il était assis, Kelenn se sentait plus serein. Son destin était en marche, il n'avait rien à redouter.
Il prit le verre de vin que la Dame lui proposa poliment.

Merci.

Mais il n'en but pas voulant garder l'esprit clair pendant l'entretien, il le boirait sans doute à la fin pour se féliciter ...ou se consoler.

La première question arriva de suite, Dame Stilton n'y allait pas par quatre chemin, elle était directe, calme et le fixer dans les yeux sans ciller.

Un peu surpris, il fallut quelques secondes à Kelenn pour répondre.

Ce que j'attends de cet emploi ? Et bien de l'expérience Dame Stilton.
Voyez vous je suis très intéressé par l'église. Je compte bien devenir prêtre un jour, c'est mon rêve.

Il lança un coup d'oeil à la dame puis reprit:

Je suis en ce moment un séminaire à Narbonne, et j'avoue que plus j'en apprends, plus ça me fortifie dans mon choix.

Et je vous assure Dame Stilton que les quatre mois de formation ne me font pas peur, j'ai au contraire hâte d'y être et de savoir ce que vous m'apprendrez.

Il était sincère dans ce q'il disait, car pour lui Dieu et la religion était sa vie, son destin.
Il voulait en savoir le plus possible, en apprendre d'avantage. Il se sentait prêt.

Kelenn eut un petit sourire à la question de la Dame.
Faisant doucement tournoyer le vin dans le verre qu'il tenait, il répondit :

Et bien je veux devenir prêtre, mais il me faudra attendre longtemps avant d'y parvenir, j'ai besoin d'étudier encore, et d'expérience.
J'ai simplement pensé que travailler à l'inquisition m'apporterait cette expérience.
Je suis un homme de Dieu, et je déteste que l'on manque de respect à la religion ou à l'église. Les hérétiques, les vrais, me hérissent le poil!

Il s'interrompit. Il commençait à s'énerver. Cela se sentait dans le ton de sa voix.
Il reprit plus calme.

Je sais en quoi consiste l'inquisition. On recueille les plaintes et les dénonciations, on mène une enquête, on fait un procès aux seins de tribunaux ecclésiastiques et la personne accusée peut finir au bûcher.
Les inquisiteurs ont pour rôle de lutter contre l'hérésie, ils travaillent en collaboration avec l'Eglise et les évêques.

Il s'arrêta là, ne sachant que dire de plus, il leva ses yeux, qu'il avait d'un bleu très clair, vers la blonde Dame Stilton. Il savait que son manque d'expérience allait jouer contre lui mais il avait confiance. Dieu ne laisserait pas tomber.

Dans une petite maison discrète, perdue au milieu des champs bourguignons, un homme solitaire griffonne un parchemin. Un parmi tant d'autres. Il en aura d'autres à écrire aujourd'hui. La longue retraite qui devait le mener à la purification de son âme est terminée. Il est temps de reprendre la route.
Il a aperçu alors qu'il se procurait son pain quotidien, une affichette qui lui a semblé être un signe. L'inquisition, c'est ce qu'il réclame du plus profond de son être. Un signe du très haut pour lui montrer la voie certainement, lui qui s'est muré dans le silence si longtemps se trouve aujourd'hui dirigé vers le monde des vivants par le doigt de celui pour qui il respire.
C'est pourquoi il griffonne.

Arrange toi pour faire porter ça jusque Paris.

Le grouillot silencieux qui l'assiste depuis maintenant quelques semaines s'empare du message et file sans dire un mot. Le silence est maitre dans cette maison. Moins on en dit, moins on trouble l'âme.
Les mains jointes devant lui, le regard qui se perd au travers de la petite fenêtre de sa maison, il pense.
A son frère.
Quelque chose dans ses tripes lui fait comprendre qu'ils ont été trop longtemps séparés et qu'il est temps maintenant de faire route ensemble.
En silence toujours il se lève et entreprend de préparer son maigre bagage. Nul besoin de richesses pour être au plus près du très haut.
Demain matin il sera sur la route.
Azael l'attend.
Il en est certain.
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Ambiance

Les nouvelles vont et s'en vont...
Les bruits aussi.
Certaines sont sèches et efficaces et d'autres trainent le long des couloirs.

C'est en entendant ce mot... "Inquisition" dans la bouche de paysans effarés et en lisant la copie d'un document accroché sur un panneau face à l'église, que le renard de Normandie eut la chair de poule.
Il se pencha sur l'annonce et il ouvrit de grands yeux...

Elisabeth !!! C'est signé Elisabeth !
Elle... Elle prospecte pour cette pratique de barbare !
Ahhh !!!

Ainsi donc, celle qu'il croyait une bonne connaissance normande et qu'il appréciait... Voulait brûler le renard.
Un frisson glissa sur sa peau moite et il serra les dents.
Ce monde serait-il devenu fou ?
N'y avait-il pas assez de disparition et si peu de monde encore en vie pour vouloir brûler ceux qui restent ?

Lui qui n'avait jamais œuvré pour la violence, qui avait toujours respecté ce que représentait toutes formes de vie.
Il constatait que la perversité de certains esprits allaient jusqu'à vouloir brûler des êtres vivants au nom d'une croyance et il était certain que le plaisir de tuer motivait l'action.
Par principe, il considérait que ceux qui torturent sont des esprits faibles et plus mauvais que la définition du diable.

Il se remémora l'histoire de sa famille pourchassée puis brûlée par les inquisiteurs, l'une des plus grande cruauté gratuite de l'histoire de ce monde.
Il se souvint d'un dicton stupide : "Tuez les tous, Dieu reconnaitra les siens" qui prouvait encore que le choix de ces meurtres n'étaient que l'œuvre arrogante et stupide de fanatiques qui n'avaient aucune valeur de la vie et restaient cloitrés dans leur monde ignorant.

De lire ce torchon sur lequel apparaissait le nom d'une connaissance presque duchesse lui donna un haut-de-cœur.
Il se dit qu'heureusement que le titre ne lui fut pas cédé, dans lequel cas, il aurait été tué depuis un moment.

Il s'empressa de déchirer le document et pesta contre la poisse aveugle, crachant son dégout dans le sable avant de piétiner ce qui restait du papier.

Un dernier vœux face à l'inquisition...
Qu'ils aillent crever dans leurs propres flammes et s'arracher les yeux avec leurs propres instruments !
Puisse le diable s'il existe, leur profaner l'orifice de tous ses rires et puisse t-il faire durer ce plaisir.

Il caressa le fourreau attaché à sa cuisse et remonta en selle.
Une déception dans l'âme et un détachement de plus qui resserrait son cercle de connaissance à une poignée de doigts.
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Kelenn n'en croyait pas ses oreilles, on l'acceptait ?!

Il sourit et répondit:

non pas de question dame Stilton, je viendrais avec plaisir suivre votre formation.


L'entretien touché à sa fin, il était temps pour le jeune brun de sortir, saluer dame Stilton, la remercier encore et la laisser à ses occupations.

Il fallait fêter ça!

Le premier rendez vous de la journée était arrivé à sa fin. Le jeune homme avait été raccompagné par un valet qui devait faire entrer la personne suivante. La journée allait être longue aussi la réserve de vin devait être suffisante.

On toqua ... rapide le valet, espérons qu'il n'oublie pas le vin. Ah qu'est ce qu'elle n'aurait pas fait pour avoir Agius avec elle. Malheureusement l'homme était à l'hôtel Arnvald et on ne pouvait pas le diviser en deux. Elle soupira et vérifia qui devait être le prochain candidat. Ah une femme, et bien nous verrons ce que cela donnera.

Entrez !

Le valet ouvrit la porte en même temps rapportant un verre propre, mais ne masquant pas la vu d'un homme, qu'elle connaissait.

Qu'est ce que cette histoire, vous êtes en avance !
Passons venez vous assoir et dites moi pourquoi vous postulez.
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Nouvelle box qui fonctionne !!

Brûler les Angevins ???

Si elle avait dit ça à Xollir pour sur qu'il aurait soutenu la candidature de l'homme. Lui qui s'était investit tant dans ce pays pour rien ... bref ... Là il fallait répondre à l'homme devant lui.

Oui comme celle de brûler le rédacteur en chef mais cela m'est réservé.
Enfin bon, on ne brûle pas les gens comme ça. Même les angevins.
Donc soit on redevint sérieux soit on arrête là.
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Nouvelle box qui fonctionne !!

Devant la surprise manifeste de son interlocutrice, le blond revint bien vite à la réalité, Il n'était -malheureusement- pas dans le Maine.

Certes, certes. Mais...

Il ne put terminer sa phrase qu'un semblant d'agitation se faisait entendre au dehors. Un regard sur la Stilton, un autre sur la porte de son bureau et bis repetita.

Il semblerait que la révolte gronde.

Et a lui d'arborer son sourire en coin, il faisait toujours polémique là ou il passait. Rassurant ? peut être. Le jour ou ce ne s'appliquerait pas, il serait 20 000 lieux sous les terres (ha..ha !).

Mais laissons le peuple mourir de faim, il ferra moins de bruit une fois sans vie. Je disais donc...

Regard vers le plafond.

Oui, nous savons tous que l'Anjou est un nid d'hérésie, de paganisme, de satanisme, et même le lieu ou vivent les angevins ! Mais soit, si on ne peut pas brûler les gens toussote ainsi. Si je postule, c'est bien évidemment pour combattre les déviances et défendre plus activement la seule vrai foy, la notre.
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Bien.

Et à lui de se lever, sans un mot de plus.

A bientôt.

D'incliner légèrement la tête et de repartir.

Ah, au fait, la Bretagne c'est moche !


Merci d'éditer votre post pour l'allonger quelque peu, CF les èrgles d'or.
Modo Mata
c'fait !
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