Sofja
[De longues semaines plus tard]
Sofja était tendue depuis la matinée. Elle avait essayé de se changer les idées en allant jouer avec les chiens quelques minutes. Mais malgré toute la joie quils y mettaient, elle continuer à penser. La blonde décida de travailler un peu sur ses projets au conseil mais sans grande réussite, elle pensait encore. Cela lui bouffait tout son cerveau, ne laissant aucune place au reste.
Je vais finir folle !!!!!!!!! Toujours rien Aicelina ?????
La vieille servante secoua la tête. Sofja aurait eu besoin de sa mère à cet instant, à défaut delle, elle avait sa seconde mère, sa nourrice. Cest pour cela quelle sadressa à elle plutôt quà son tendre mari ou sa sur.
Non Sofja et arrête de te faire autant de mal, cela ne changera rien. Attend que Jean revienne de la capitale, je suis sûr quil fait aussi vite.
Sofja faisait les cents pas dans son bureau sous lil inquiet de toute la famille. Ils savaient bien que rien ne servirait à calmer la blonde. Cétait ainsi, cétait plus fort quelle. Elle se mangea tous les doigts, les yeux rivaient sur lentrée de Bellegarde.
Mais que fait-il !!!
Alors quelle attrapait ses doigts à rogner, un nuage de poussière naissait au loin des terres Bellagardiennes. Cétait lui, aucun doute cétait lui.
Il est là, Jean arrive.
Alors quelle allait courir, descendre les escaliers en courant au point de se prendre les pieds dans les jupons, de se casser toute les dents. Lorsque la peur lenvahie cétait quoi ça ??? Cela faisait des années quelle navait plus eut peur. Et que fait la peur quand elle vous prend les tripes ? Vous hurlez, vous voulez vous cacher, vous voulez être seule. Son instinct prit le dessus et la peur parla.
Sortez, sortez tous de mon bureau !!!!!
Sans une, ni deux, elle expédia son mari, sa sur, sa dame de compagnie et sa nourrice damour à la porte, senferma à double tour.
Borde de m****.
Elle sasseya dans un recoin et essaya de calmer sa peur Mais les larmes arrivèrent et cela fut plus fort qu'elle, voilà plusieurs années qu'elle n'avait pas pleurer, une fontaine sortie de se yeux.
Certains diront que ce nest quun diplôme
Mais elle, elle vous répondra que cétait sa passion
Que cétait tout un symbole pour elle
Que cétait sa façon de sapprocher de son modèle, sa mère
Que cétait sa façon de montrer à sa maman quelle pouvait être fière delle
Que la médecine lui tenait les tripes
Quelle ne pouvait pas concevoir de ne pas aider son prochain
Alors, si elle devait avoir échoué à cette première année cétait la fin et la honte qui lenvierait et ça, elle en avait peur. A cet instant, elle ne pouvait pas affronter cette réponse.
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Sofja était tendue depuis la matinée. Elle avait essayé de se changer les idées en allant jouer avec les chiens quelques minutes. Mais malgré toute la joie quils y mettaient, elle continuer à penser. La blonde décida de travailler un peu sur ses projets au conseil mais sans grande réussite, elle pensait encore. Cela lui bouffait tout son cerveau, ne laissant aucune place au reste.
Je vais finir folle !!!!!!!!! Toujours rien Aicelina ?????
La vieille servante secoua la tête. Sofja aurait eu besoin de sa mère à cet instant, à défaut delle, elle avait sa seconde mère, sa nourrice. Cest pour cela quelle sadressa à elle plutôt quà son tendre mari ou sa sur.
Non Sofja et arrête de te faire autant de mal, cela ne changera rien. Attend que Jean revienne de la capitale, je suis sûr quil fait aussi vite.
Sofja faisait les cents pas dans son bureau sous lil inquiet de toute la famille. Ils savaient bien que rien ne servirait à calmer la blonde. Cétait ainsi, cétait plus fort quelle. Elle se mangea tous les doigts, les yeux rivaient sur lentrée de Bellegarde.
Mais que fait-il !!!
Alors quelle attrapait ses doigts à rogner, un nuage de poussière naissait au loin des terres Bellagardiennes. Cétait lui, aucun doute cétait lui.
Il est là, Jean arrive.
Alors quelle allait courir, descendre les escaliers en courant au point de se prendre les pieds dans les jupons, de se casser toute les dents. Lorsque la peur lenvahie cétait quoi ça ??? Cela faisait des années quelle navait plus eut peur. Et que fait la peur quand elle vous prend les tripes ? Vous hurlez, vous voulez vous cacher, vous voulez être seule. Son instinct prit le dessus et la peur parla.
Sortez, sortez tous de mon bureau !!!!!
Sans une, ni deux, elle expédia son mari, sa sur, sa dame de compagnie et sa nourrice damour à la porte, senferma à double tour.
Borde de m****.
Elle sasseya dans un recoin et essaya de calmer sa peur Mais les larmes arrivèrent et cela fut plus fort qu'elle, voilà plusieurs années qu'elle n'avait pas pleurer, une fontaine sortie de se yeux.
Certains diront que ce nest quun diplôme
Mais elle, elle vous répondra que cétait sa passion
Que cétait tout un symbole pour elle
Que cétait sa façon de sapprocher de son modèle, sa mère
Que cétait sa façon de montrer à sa maman quelle pouvait être fière delle
Que la médecine lui tenait les tripes
Quelle ne pouvait pas concevoir de ne pas aider son prochain
Alors, si elle devait avoir échoué à cette première année cétait la fin et la honte qui lenvierait et ça, elle en avait peur. A cet instant, elle ne pouvait pas affronter cette réponse.
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