Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11, ..., 25, 26, 27   >   >>

[RP] Château de Bellegarde en Marche

Sofja
Amara était assise dans un coin, non loin de Bosk, prête à disposer à ses ordres tandis que Carolina était présente derrière la Vicomtesse car elle avait prit l'habitude, à chaque bain d'un petit pêché mignon, le massage. Faut dire que la jeune femme avait des mains d'expertes. C'est ainsi qu'elle s'installa derrière sa maitresse et se mit à la masser.
Pendant ce temps, Amara sortit le paravent à la demande de l'hôte puis revint à sa place.

D'un délicat mouvement de tête, Sofja la pencha vers Bosk. Elle ne voyait que sa tête qui sous l'effet du bain commençait déjà à se détendre. Il avait l'air bien, en tous cas, elle, elle était heureuse de l'avoir non loin d'elle.


Et bien je te laisse l'occassion de choisir du sujet car je t'avoue que je n'ai envie de parler que de nous. De profiter de cet instant présent avant qu'on soit à nouveau séparer car la guerre semble encore d'actualité et non loin de nos portes.
_________________
Boskdeportkar
Rester dans mes pensées, et garder des propos censés....quelle difficulté !
Voir Carolina masser Sofja aurait degelé le plus rigide des curés ...
Je tentai de faire celui que ca ne troublait pas, en jouant une certaine decontraction, mais décidement quelle epreuve !
Que n'aurais je donner pour sauter de cette cuve et rejoindre Sofja aussitot. Mais il y avait des témoins de bienseance.

"Sofja, tu as traversé de lourdes epreuves ces dernieres années...et la disparition de ta Mère adorée m'a peiné également au plus haut point.
Je me demandais toutefois si la periode de deuil qu'il sied à une Dame de ton rang etait à present terminée."


J'avais un peu de mal à parler si franchement devant les deux servantes, car ce n'etait point chose facile pour Sofja que de s'etendre sur ce sujet devant son personnel.

"Car en période de deuil... il y a des evenements joyeux qu'on ne peut envisager ! Même si la vie doit reprendre son cours ... et que le bonheur peut alors venir frapper à sa porte ".

Vois tu où je veux en venir, cela me faciliterait la tâche !
Sofja
Du bout des doigts Carolina masser le crâne de sa maitresse. C'était un massage un peu ferme à la limite du grattage mais sans les ongles. Elle avait placer ses dix doigts en éventail autour de la tête, les pouces vers le bas, rien qu'à se mouvement la Vicomtesse ressentait les premiers effets de bien être. La servante commença par déplacer le cuir chevelu sans déplacer se doigts puis progressa en englobant toujours le crâne de ses dix doigts, les deux petits allant jusqu'aux tempes. Hummmm que c'était bon !!! Elle resserra et écarta ses doigts en effectuant des petites rotations appuyées puis ils descendirent jusqu'aux sourcils. Elle finit se massage par faire aller les pouces de derrière les oreilles à la nuque.

Normalement elle continuait par le visage puis la nuque mais comme Sofja n'était pas seule mais surtout qu'elle discutait, la servante préféra masser les mains de la jeune femme. Une bonne idée que cette dernière remercia d'un sourire.
Ahh les mains, c'était bête, on y pensait pas souvent mais c'était un organe extrêmement développé et important. Toujours à l'aide d'une huile, elle passa ses doigts lentement sur le dessus de la main jusqu’à les passer entre les doigts. Et ainsi de suite jusqu'à ce que huile pénètre.

Sofja n'avait rien à cacher, c'est donc sans une moindre gêne qu'elle posa ses sentiments sur table.


Je te remercie de t'y préoccuper même si je n'avais aucun doute sur ton respect. Le temps officiel est passé depuis un moment mais c'est vrai qu'au fond de moi, c'est toujours présent. Je pense toujours à mon père après tant d'années, donc je te laisse imaginer que pour ma mère, cela me semble encore récent.
Je me console en me disant que la mort n'est pas une fin mais le début d'une autre vie. Ils sont à nouveau ensemble et cela me fait un bien fou de les imaginer.

Comme tu dis, il faut continuer de vivre, d'avancer. Je me le devais pour les petits mais aussi pour le Vicomté et ses gens. Je l'avoue que je l'ai fais dans un premier temps pour me changer les idées mesme si au final, j'en suis plus que ravie.

Et maintenant, c'est à mon tour de penser à moi...d'avancer...de construire.


Sofja adressa un grand sourire. Bien sur qu'elle comprenait et d'ailleurs ce n'était pas pour rien qu'elle avait voulu le laisser parler le premier.
L'eau commençait à se refroidir ou peut être que c'était elle qui commençait à bouillir.

_________________
Boskdeportkar
Ah, que voilà de bonnes paroles à entendre.... point besoin de reflechir plus de mon coté, ou d'attendre une seconde de plus. Meme si cela ne me ressemblait pas, à circonstance exceptionnelle, action exceptionnelle.

"Amara, s'il vous plait, donnez moi une serviette, une grande de preference."

Elle m'apporta un linge suffisament couvrant à priori, et dans un grand mouvement d'eau je me levai dans la cuve, me tournant aux deux tiers, encore recouvert de mousse. Je me drapai comme dans une toge,
et fis attention de ne pas glisser en posant le pied sur le sol.

Sofja, tu permets que je m'avance aupres de toi ?

Je crois bien que dans ma precipitation, je n'attendis pas sa reponse.
Je m'agenouillai pres de son bain, à sa gauche.

"Tu te souviens, je presume, de ce qui nous etait arrivé dans un certain lac ! De ce premier baiser dont tu me gratifias. Comme la marque d'un bapteme qui devait nous unir."
Beaucoup d'eau a coulé sous les ponts depuis...et les obstacles qui nous separaient se sont effacés les uns apres les autres..."
Je ne sais pas ce qui peut nous ariver demain, mais ce que je sais, c'est que je ne veux plus attendre et je veux vivre chaque seconde aupres de toi.
L'endroit et le moment sont peut-etre incongrus...il faut croire que l'eau a un effet bien etrange sur moi.


Veux tu bien poser tes mains dans les miennes ?

Secondes interminables où je n'entendais que mon coeur battre la chamade.
Sofja
C’était sans aucun doute qu’elle comprenait ou il voulait en venir mais elle était loin de d’imaginer que LA CHOSE allait se produire là, dans son bain, les deux nus comme des asticots. Mais cela n’avait pas l'air de le retenir, il demanda une serviette à Amara. Carolina avait dû surement sentir tous les muscles de la jeune femme se raidir ce qui l’a fit lâcher prise.
Bosk sortit de son bain, laissant un joli plan aux yeux de Sofja qui admira soigneusement les fesses de son tendre. Là c’était sûr, c’était son corps qui bouillait et non l'eau qui refroidissait !

Le rouge monta aux joues, son cœur s’emballa, ses membres tremblaient comme une feuille. Il parlait mais elle entendit qu’un brouhaha tellement qu’elle était paralysée. Dieu que c’était intense comme émotion. Autant elle trouvait que c’était long autant cela lui parut parallèlement court. C’est quand elle le vit face à elle qu’elle retomba sur terre, toujours aussi sonnait et pourtant ce n’était que le début. Elle chercha ses mots mais ils allèrent à Carolina
.

Passes moi une serviette et sortez de la salle d’eau.


La servante avait déjà la serviette dans les mains qu’elle entoura soigneusement autour du corps de la Vicomtesse qui était sortie telle un zombi, sans prendre conscience qu’elle était nue face à lui. Les deux femmes quittèrent la pièce, laissant le couple face à face.
Sofja ne dit toujours mots, posant juste ses mains dans les siennes, ses yeux dans les siens. Elles étaient tellement tremblantes qu’il s’en rendrait compte.

Si c’était ça les symptômes de l’amour… elle l’était, pour sûr.

_________________
Boskdeportkar
Sofja avait piqué un fard, rouge comme une pivoine, et je ne mis pas cela sur le compte de l'eau chaude. Elle réclama à son tour une serviette et demanda à ses servantes de nous laisser.
Je ne m'attendais pas qu'elle sorte ainsi de l'eau à son tour. J'avais esperer qu'elle resterait dans son bain.

"Marie Joseph, oh grand Dieu !". Je ne pus retenir ces quelques mots...

J'eus la delicatesse de detourner le regard un instant, sans fixer mes yeux où que ce soit... Non pas par galenterie, mais par reflexe. Dieu sait pourtant que j'avais revé de cette vision bien des fois...mais ce n'etait pas le moment. Sofja s'affaira à couvrir sa nudité, et j'en fus soulagé.
Nous n'etions plus que tous les deux, l'eau degoulinante de nos pieds, de la mousse dans les cheveux. Le coeur à mille à l'heure.

Pour qui aurait pu nous voir, la situation etait cocasse. A nous voir trempés de la tete au pied, vetus à la va vite. Il fallait bien qu'une force etrange et obscure nous ait privés de toute raison.

Sofja posa ses mains dans les miennes, celles ci tremblotaient. Tout son corps etait ...fievreux..ou gelé... j'eusse ete incapable de le preciser. Je repris quelque peu mes esprits.


Que ne te fais-je pas faire, vas tu dire ! Vois nous donc ainsi, transportés pas des sentiments qui nous font perdre la raison et depassent l'entendement. Mais avec toi, depuis le debut de notre rencontre, rien n'est vraiment normal...et j'aime à croire que c'est la marque de l'exceptionnel. Je me sens un peu idiot, dans cette tenue etrange, trempé
comme une soupe, mais à vrai dire, je m'en moque, car tu es devant moi, et tout mon monde se resume au doux regard que tu poses sur moi.


J'hesitai à continuer mes propos, me demandant si c'etait le lieu et l'endroit adequats... Je guettais un signe de Sofja...
Sofja
Il était là, devant elle, la serviette autour de sa taille laissant apparaitre son torse. Ohh ce n'était pas la première fois qu'elle le voyait, cela lui rappela cette baignade dans le lac. C'était il y a quelques années, l'innocence, l'amour, l'été, la simplicité, il n'y avait rien de plus vrai, de naturel. Ils s'étaient enlacés dans ce lac, échangeant leur premier baiser, aujourd'hui, elle touchait du bout du doigt son rêve : officialiser leur histoire.

C'est vrai que je n'avais pas imaginé que cela se ferait, aujourd'hui, dans cette pièce et dans ses tenues. Mais comme tu dis, c'est l'inattendu qui est bon. A trop avoir envie de programmer, nous n'avons plus de suspense, de joie.


Sofja arriva à décrisper son visage pour afficher un petit sourire. Làlàlàlàààà qu'elle avait hâte...

Vivre ensemble au jour le jour sans penser au lendemain. C'est la seule façon d'être heureux.
_________________
Boskdeportkar
Oh, combien cet instant et tes mots me submergent. A vrai dire je n'avais pas reflechi quant à la maniere, quant au lieu , quant aux paroles appropriées. Comme si l'impossibilité d'y croire, au tout debut de notre rencontre, relevait d'une fatalité insurmontable.

Tu me vois tel que je suis, sans artifices, devant toi. Je te sais comme dans mes reves, noble d'âme, emplie de bonté, de generosité, d'abnegation, de sollicitude, et de vertus.
Je ne sais pas ce que demain sera , ce que le Sort nous reserve. Trop de jours sont deja passés sans que nous ne soyons reunis. J'ai le désir d'une union sincere et pleine, où je me reveillerai à tes cotés chaque matin que Dieu nous accordera, baigné par la lumiere de ton visage.
J'ai l'envie de poser ma main sur ton ventre arrondi d'amour, et entendre les cris de nos enfants jouer et chahuter pendant que nous vieillirons ensemble.
Je veux ...ah si tu savais tout ce que je veux, depuis ce temps..depuis cette nuit sur les remparts de Bourganeuf où tous mes sens se sont d'un coup reveillés, où j'ai senti à nouveau du sang chaud couler dans mes veines.


J'etais, dans cette piece embrumée par la vapeur des bains, euphorique, j'avais envie de tout lui dire, que tout ce que j'avais gardé en moi, sorte et traduise au mieux la couleur de mon coeur.

C'etait si simple à dire en verité.
Je la fixai de tout mon amour et les mots vinrent.


Sofja... veux tu m'épouser ?
Sofja
Elle les buvait ses mots... complètement, entièrement, elle se les répétait sans cesse. Il avait envie des mêmes choses qu'elle, il était fait pour elle. Au fur et à mesure qu'il parlait, elle essayait de retenir ses larmes mais rien qu'à l'idée d'attendre un enfant de lui, de vivre avec lui, de voir grandir leurs enfants, elle ne put les retenir. Deux larmes de joie coulèrent sur ses joues mais elle garda ses mains dans les siennes. Elle garda un sourire pour lui montrer que c'était des larmes de joie.

C'est plus moi mais mes sentiments qui parlent. Sans toi, je ne suis rien. T'es dans mon cœur car t'es le plus gros des diamants, une incarnation du bonheur.
Depuis notre rencontre, dans ma vie t'es omniprésent, j'ai besoin de tes bras et de ta présence pour me sentir parfaitement bien. Tu es ma raison d'être, mon obsession pendant tes absences.

Aujourd'hui, je voudrais sentir ton parfum se mélangé au mien, je voudrais entendre les battements de ton cœur quand tu me prendras dans tes bras. Je te veux toi tout simplement...


Il prononça enfin les fameux mots, trois mots qui rendent les femmes les plus heureuses du monde "Veux tu m'épouser?". Sa tête se mit à tourner, ses jambes à trembler, le cœur envahit de bonheur. Heureusement qu'il la tenait fermement.

Ohhhhh que oui !!! Oui, oui, je veux être ta femmeeeeeeeeeeeeeee.

La jeune damoiselle sauta au cou de son tendre et l'embrassa des plus fougueusement.
_________________
Boskdeportkar
Une vraie tornade de joie me sauta au cou....
J'etais au paradis.
Sofja, ma femme !!! Enfin... après tant d'epreuves.


"Doucement ma Cherie, tu vas nous faire choir"


Je ne sais pas comment tenait le simple drap qui me couvrait le bas du corps, et je dus m'employer pour ne pas tomber au sol rendu humide par la vapeur des bains.

Je la serrai fort contre moi, j'etais heureux, simplement heureux. Un baiser déposé sur ses yeux pour secher ses larmes de joie. Puis mes yeux qui s'abandonnent aux siens.

"Sofja, ce que femme veut , Dieu veut..et je ne saurai aller contre la volonté divine. Tu seras bientot ma femme, je serai bientot ton mari...
que c'est bon de l'entendre et enfin d'y croire.

Je crois bien que toute la demeure doit etre au courant maintenant de ta reponse.... j'en souriais, elle m'avait repondu avec tant de sincerité, tant d'elan, tant de force, que les murs n'auraient pu contenir l'echo de son coeur.
Je n'ai aucune idée de ce qui nous attend, de ce qu'il faudra faire pour ce mariage, mais j'ai hâte. J'ai bien peur que nous ne puissions boire de vins de ton domaine à l'occasion... mais peut etre aurons nous d'autres evenements à feter rapidement.


Je te pose si tu veux bien, car nous sommes dans ta chambre, peu couverts tous les deux, et j'ai du mal à contenir mes emotions et mon ardeur... Et te voir presser ton corps sur le mien devient une douce torture
à laquelle il m'est difficile de resister...


Embrasse moi encore un peu ... doucement. Et laisse moi contempler ta beauté triomphante.
Sofja
Doucement, doucement, ça faisait juste des mois et des mois et des mois qu'elle espérait ça, aujourd'hui, elle ne pouvait plus se retenir, c'était plus fort qu'elle ! Mais une autre chose lui fit comprendre qu'il fallait qu'elle se sorte d'entre ses bras. Cette chose qu'elle n'avait jamais vu mais qui constituait un organe précieux chez l'homme. Elle avait entendu que certaines émotions pouvait faire son effet, c'était en effet le cas !
Comme si elle n'avait rien senti, la petite blonde s'écarta, laissant son corps à une certaine distance du sien après l'avoir encore couvert, à sa demande, de baiser.


Oui tu as raison, nous ne sommes pas convenablement habillés et ça va commencer à jaser dans les couloirs de la maison. Surtout qu'ils attendaient tous cette nouvelle. Avec le temps et nos rencontres, ils se doutaient bien que quelque chose se passer entre nous.

Sofja attrapa le nœud de la serviette qui retenait les deux extrémités.

Peut être devions nous allez nous habiller, d'ailleurs, cela me permettrai de t'offrir enfin un cadeau que je gardai chaudement.

La Vicomtesse ouvrit la porte se retrouvant nez à nez avec Carolina, Amara qui furent des plus surprises en se retrouvant face à moi.

Puis je savoir ce que vous faites là Mes Dames ???
Je pensai que je vous avez demandé certaines choses, ont elles été faites ??


Sofja fit sa moue des mauvais jours même si au fond d'elle, elle avait envie de rire, on aurait dis son frère et sa sœur prient en flagrant délit de bêtise. Les filles hochèrent de la tête en montrant les tenues et la table de mise.

Bien, retournez vos occupations et que je ne vous y reprenne pas !

Elles quittèrent la pièce lançant place à Aicelina qui leur fit les gros yeux. Sofja se retourna vers son fiancé (et oui, elle pouvait le dire maintenant) en lui tendant les mains pour qu'il s'approche d'elle.

Voilà, mes tenues sont pour la plupart confectionnées dans un merveilleux atelier de couture qui se trouve en Bourgogne. C'est le plus réputé, le plus chic, ils habillent les plus grands de ce monde ; il s'appelle les doigts d'or.
Alors que je patientai pour prendre commande j'ai complètement craqué pour toi. De ce fait, je t'ai commandé 3 tenues bien différentes qui te permettront de les porter pour des occasions différentes.


Sofja fit signe à Aicelina de tirer le linge laissant apparaitre trois mannequins revêtant chacun une tenue. Elle regarda son tendre, espérant déceler un signe, un bon signe de préférence. Les hommes n'étaient pas forcement chichi comme les femmes mais à l'atelier, elle avait eu l'occassion d'en croiser plusieurs. Alors pourquoi pas ?



J'espère qu'elles te plairont, j'ai un peu osé sur les couleurs, donc si tu n'aimes pas, n'hésites pas à me le dire, ça m'évitera de refaire la bêtise si j'ai encore envie de céder à la tentation.
_________________
Boskdeportkar
Oui, un peu de raison gardée pour calmer ces ardeurs bien naturelles.
Et Sofja, ô grand merci, recula légerement et proposa que nous passions quelques habits... Il etait temps de sortir de la piece, car les servantes devaient se demander ce que nous y faisions.
Sofja ne manqua pas d'ouvrir prestement la porte , se doutant qu'Amara et Carolina devaient tendre l'oreille depuis un moment à ecouter ce qui emanait de la piece fermée. Et depuis la reponse, plus qu'audible, que Sofja m'avait donné, les conciliabules devaient aller bon train.

A peine le temps de me couvrir un peu mieux, que Sofja, ma promise, me prend par la main et me fait decouvrir de somptueuses tenues qu'elle m'a choisies. Cadeaux !

Mais tu es folle, ma tres chère fiancée, d'avoir depensé tant d'argent pour de si somptueux habits.


Ceux ci, effectivement ne manquaient pas de couleurs.

Ah pour sûr, cela me change de mes tenues habituelles plus discretes, mais j'avoue que tu me combles, et j'espere avoir le plaisir de les porter en de prochaines occasions. La tenue centrale retient toute mon attention. Elle convient peut etre plus à mon age. Celle "lavande" me donnerait peut etre un air plus jeune mais est à reserver à des saisons plus estivales. La tenue de droite reunit elegance et sobriete. Ah, oui franchement tu me gâtes vraiment. Je ne m'attendais pas du tout à cela.
En meme temps, mon nouveau statut meritait bien quelques folies vestimentaires pour les representations qui incombent à mon rang.
Quelle folie n'as tu pas fait ! Je n'en reviens pas ! Viens que je t'embrasse...c'est permis à tout heure entre fiancés.


Je lui deposai un baiser léger, sincere et amoureux...


Tu es une perle... Je ne te remercierai jamais assez.

Je..je peux endosser la tenue centrale...pour voir la taille...mais je pense que tu as un compas dans l'oeil. Vous m'aidez Aicelina, pendant que Sofja veut bien se tourner et regarder ailleurs, car j'ai besoin d'oter le drap humide qui me couvre.

Ah, oui, beau comme un prince, enfin presque... vraiment ces habits me vont comme un gant... presque cousus sur moi. Epatant !
Je suis un autre homme ! Ca te plait ?

Tu as un mirroir quelquepart que je fasse mon "Narcisse" ?

Mais tu n'es pas habillée, et tu dois avoir froid à present ! Je te laisse te vetir, et vais chercher de quoi m'admirer et pavaner dans ta grande demeure.


Je lui fis un clin d'oeil....

A tout à l'heure, ma Douce Promise... Rejoignez moi vite, nous avons un evenement à organiser et je ne sais pas par où commencer à vrai dire...
Le jour ? le lieu ? le deroulement ? les tenues ? les temoins ? Le repas ? toutes ces choses pour lesquelles l'esprit d'un homme ne suffit pas.
Sofja
Ne t'inquiète pas mon chéri. Elles sont somptueuses mais les prix ne sont pas exorbitants et puis faut bien que tous le travail que j'effectue m'apporte quelques plaisirs.
Et comme tu dis si bien, maintenant que tu es Seigneur, il va falloir répondre à quelques obligations mondaines. Et tu seras des plus beaux ainsi.


Ahhh oui mais être le plus beau, pouvez être dangereux pour elle... humm... bon elle l'accompagnerai à chaque sortie. Et dès qu'une femme aurait le malheur de lui faire de trop grand sourire, elle lui referait la face niark niiarkkk.

Je te laisse te changer, je vais de mon côté m'habiller car je commence à avoir froid comme ça.

A peine eut elle le temps de sortir de la pièce qu'il avait déjà pris possession de sa tenue. Il avait l'air plutôt content, elle l'était à 100% également. De plus il avait exactement eut les mêmes idées qu'elle sur l'utilité des tenues. Trop jeune... non, il se sous estimé !

Elle alla dans la chambre d’à côté se faire vêtir par Carolina. Ce soir, puisqu'il avait choisi une belle tenue, elle mettrait une jolie robe également, toute dorée. Quelques minutes plus tard, coiffée, habillée et parait d'un joli collier, elle retrouva son tendre dans sa chambre ou une table avait été dressé mais également approvisionné.

Tu es merveilleux, elle te va à la perfection. Je ne leur ai donné que quelques approximations en me basant sur des mannequins, c'est parfait !

Elle décrocha avec difficulté le regard de sur son tendre mais une bonne odeur de cuisine l'attira.

Ahh il ont emmené le repas. On va pouvoir se régaler.
_________________
Boskdeportkar
J'etais decidement bien dans cette tenue toute neuve.. et les servantes de la maison me regarderent differemment. Elles n'avaient pas du me voir si elegant par le passé...ou Amara qui m'avait vu sortir du bain avait peut etre fait quelques commentaires à mon sujet.
Qu'importe... heureux comme un pape, je me mirrai dans une glace du grand couloir... largement le temps pour Sofja de s'habiller à son tour..
Pourtant j'aimais bien quand elle jouait les naïades, vetue de la quasi seule feminité.

Et puis un doux fumet qui traverse le couloir attira mon attention, ces dames s'affairaient avec table et couverts...Une kyrielle de plats se succederent, et me ramenerent dans la grand piece qui servait de chambre principale pour Sofja. C'est vrai que l'espace ne manquait pas. Je m'installai quelques minutes pres de la cheminée, pour rechauffer mes pieds , et pour ne pas gener plus mesure... butinant de l'oeil, les plats les uns apres les autres.

Sofja reapparut quelques instants plus tard dans une robe magnifique...

Décidement vous m'etonnerez toujours tres chère...vous etes resplendissante dans cette nouvelle robe... chercheriez vous à seduire quelqu'un ?

Sofja m'avait complimenté sur ma tenue, minimisant son role une fois de plus quant à l'exactitude des mensurations qu'il avait fallu avoir...

La table etait servie. Un signe d'une servante pour Sofja, signifiait que nous pouvions nous asseoir. Et manifestement nous etions tous deux affamés.


Oui, j'ai egalement tres faim...et tous ces mets me tentent depuis tout à l'heure, je mangerais tout un troupeau de moutons... sans sa bergere bien sûr, cela m'est exclu à present.


Mais dis moi, Sofja, as tu deja reflechi à tous les details, qui ont chacun leur importance toutefois, de notre mariage ? Tu as carte blanche... Et même si j'ai quelques avis, le tien sera surement le mien....
Sofja
Séduire quelqu'un...

La jeune femme s'avança délicatement, un pas l'un après l'autre, d'une non challance bien assurée, laissant son bassin marqué chaques mouvements.

Nonnnnn, sinon je porterai une légère robe blanche, moulant à la perfection mon corps.

Elle avait hésité longuement entre ces deux tenues mais d'un, elle avait eu froid et une bonne épaisseur de tissu lui fit du bien et elle s'était dit, qu'elle la porterait dans d'autres circonstances. Nul doute que cela ne tarderait.
Sofja s'installa sur sa chaise, tout était présent, elle donna encore congés au personnel, ils seraient assez grand pour ce servir.


Oui.. en effet je te conseille dorénavant à ne pas toucher aux bergères même si j'espère que cela fait un moment que tu es à ce régime.

Rooo ben oui, toute femme espérait que son amoureux se garde pour elle, au moins depuis leur rencontre. Elle n'en demandait pas temps.
Mais bon, une femme s'avait se retenir, toute façon valait mieux pour elle si elle voulait un époux. Tandis que pour les hommes, ma foi cela était naturel, ils avaient des besoins eux, on ne leur en tenait pas rigeur.

Elle servit son tendre d'un bon morceau de poulet au miel et au sésame avec les quelques petites pommes de terre qui accompagnaient et pour finir elle. Sofja versa également du vin rouge dans les gobelets.


Je te souhaite un bon appétit mon chéri.

Elle avala la première bouchée puis lui répondit.

Je ne te cache pas que je ne sais pas encore comment cela va se passer. Je sais qu'il y a pas mal de protocole avec des délais à respecter.
Mais il faut avant que je règle un petit problème.


Elle avala une gorgée de vin.

Je n'arrive pas à remettre la main sur mon acte de baptème. Malheureusement leur bibliothèque ont brulé donc tout est parti en fumée. Et pour ne pas arranger les choses, mon parrain (à retrouver) et ma marraine est morte. Paix à son âme. De ce fait, je vais avoir du mal à leur faire certifier de mon baptême.

La Vicomtesse se signa.

Je crois avoir retrouvé le nom du curé, faut maintenant que je sache s'il est encore en vie et si il se souvient surtout, de mon baptème. Mais je ne te cache pas que n'y crois pas !
Donc il va me rester une solution, c'est la confirmation.


Sofja avala une nouvelle gorgée et oui, ça donne soif de boire.

Il faut que demain j'aille voir l'abesse Eloin.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11, ..., 25, 26, 27   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)