[RP ] bureau de la garde d 'Exat

Son ordre de nomination a la main, Soc marchait dans les rues en direction de l ex caserne d Exat,au 55 quartier St thomas.

La veille ,le jeune Baron l avait nommé sergent ,a charge de recruter pour sa garde.

Arrivé devant les porte de la bâtisse , Socrate ,sorti une affiche de desous sa chemise qu il cloua sur la porte.



Ensuite ,il poussa la porte et entra dans la cour .

De cette cours on avait accé a plusieurs bâtiments, il choisi celui le plus prés de la porte pour y installer son nouveau bureau.

Quelques heures plus tard , celui ci était prés a accueillir les futurs candidats .
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Socrate avait prépare le bureau, ouvert les fenêtres afin d aérer un peu les lieux.

Personne ne c était encore présenté pour avoir des renseignements ,qu'importe Soc se tenait prés a toutes éventualités.

Dans la rue , il avait signalé le bâtiment



Puis il avait passé la soirée a rédiger des déclarations a distribuer sur le marché.


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Arrivé de nuit avec Donà Ariana, ma préceptrice, le Senher Jack, mon tuteur, et Séb, un autre Sergent de la bannière d'Exat, je regarde et découvre la cité de Narbonne. Voyant le bureau dont m'a parlé le Sergent, je souris, et frappe à la porte, puis entre, et m'incline.

Bonjòrn Sergent ! Comment allez-vous ?

Notre récent voyage et les soucis sont oubliés, là se tient un ami, une personne que j'apprécie beaucoup.

Dites, vous accepteriez de me faire visiter votre cité ? J'aimerais...

Voir la mer !

Sourire, yeux qui pétillent, envie d'air salé, et de me promener dans la rue, mais conscient de mon jeune âge et des risques pour ma sécurité, surtout après les multiples remontrances de mon tuteur.
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Le soleil commençait a se lever sur la bonne citée de Narbonne , Soc après être passé a l atelier c était directement rendu au bureau de recrutement.

La journée s annonçait encore chaude lors ce que on toqua a la porte .

La porte venait de s ouvrir et la devant lui ce trouvait le jeune baron Djehan

Socrate se raidit et inclina la tête pour saluer l arrivant.

Bonjorn baron , ravi de vous revoir et bienvenue a Narbonne .
Vous êtes ici chez vous !

Socrate tendis un siège au visiteur et l écoutât.

Surpris par cette demande notre ami sergent réagi très vite .

Volontiers senher, j en serai heureux .
Nous pourrions y aller a cheval, les rues sont encore déserte et de ce fait nous pourrions galoper jusqu’à a la plage.

Il me semble que vous étiez curieux de savoir lequel de nos chevaux étaient le plus rapide .

Socrate attendit la réponse du jeune baron.
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Vrai ? Vous vous en souvenez ?

Je le regarde, heureux, les yeux brillants de joie, prêt à lui sauter au cou pour le remercier.

On dit rien à Donà Ariana hein ? Sinon, elle va s'inquiéter pour rien, vous la connaissez !

Je suis tellement content, que mon sourire est large jusqu'aux oreilles.

Un galop ? Zodrome battra votre cheval, j'en suis sûr !

Bon, j'exagère un peu, juste un tout petit peu, vraiment presque rien... Disons que le bais est un bel étalon, mais le cavalier que je suis a forcément moins d'expérience que Socrate, même si je tiens de mon père, fameux cavalier qui pris des cours aux Haras Royaux. En gros, mon sang est mêlé des Shagggash et des Rieucros. J'aime les cheveaux, dans tous les sens du terme. Les Shaggash les aimaient bien cuits, mon père les aimaient bien dressés. Pour en revenir à la course, disons qu'il y a tout de même fort à parier que je perde. Mais qu'à cela ne tienne, je ne vais pas me dégonfler !

Je glisse alors ma main dans celle de Socrate.

Nous y allons ? Je me reposerai quand je serai vieux. Et puis je suis assez grand pour ne plus avoir à faire la sieste non ?
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Socrate vit les yeux du jeune baron briller a l annonce d une petite course jusqu’à la plage,il lui avait promis de la faire et tenait toujours ses promesses.

Je n ai pas oublier Senher et je ne dirai rien a donà Ariana mais promettez de faire attention , de pas prendre de risques inutile.

Je selle Celsior et on y va .

Socrate fut surpris et heureux quand le jeune baron lui prit la main pour l entrainer vers les écuries en souriant
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Aucun superlatif ne serait assez puissant pour décrire l'état de joie et de bonheur que je ressens en cet instant ! Ce serait la même joie que lorsque maman et papa venaient me voir au monastère, quand ils étaient encore là.

Sourire aux lèvres, yeux pétillants, le bonheur absolu ! Une course avec Socrate, jusqu'à la plage ! Découvrir la cité et la mer ! Un rêve !

Je me précipite et lui lâche la main pour courir vers les écuries et faire seller Zodrome. A l'aide du palefrenier, je me mets en selle, et je prends les rennes.

Vous avez ma parole, je ferais attention, Sergent.

Tout ce qu'il voudra pourvu que l'on puisse chevaucher côte à côte, et se laisser aller à un galop, sentir le vent. Rien de tel pour me sentir vivant ! Le soleil est déjà haut, et il me tarde que nous entamions notre virée.
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[Dans les écuries]

Le baron avec l aide du palefrenier avait déjà sellé son étalon, Socrate le regardait s afférer en souriant.

Une fois qu'il eu lui aussi fini d apprêter sa monture ,il regarda le baron et lui dit.

Bien Baron ! nous allons trotter jusqu’à la porte de la ville et une fois celle ci franchi au galop jusqu’à la plage .
Je vous prévient je suis bon cavalier et je n aime pas perdre donc ne compter pas sur moi pour vous laisser gagné!

Soc , de plus en plus s attacher a son jeune baron ,un attachement tel qu il donnerai sa vie sans réfléchir pour lui.

Allez ! Senher suivez moi!

Le sergent enfourcha son cheval et lui fit signe de le suivre .
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Les rennes en mains, je remercie le palefrenier du regard, et un hochement de tête plus tard, talonne mon étalon pour suivre le sergent.

Hum, dites Sergent, vous avez tout de même un sérieux avantage... La plage est vers où ? Je n'ai pas l'intention non plus de vous laisser gagner ! Et puis Zodrome est le meilleur.

Je flatte l'encolure de mon étalon de la main, et me laisse à rire, tellement cette simple petite course me rempli de joie. Qu'importe de gagner ou de perdre en vérité, surtout que même si je joue les bravaches, je ne suis point stupide au point de croire que je puisse gagner contre un adulte, soldat émérite et accompli.

Désorienté ? Bien sûr que non ! Mauvais en géographie incapable de trouver la mer à la plage ? Heu... probable, vu les remontrances que je me suis prises pendant des jours jusqu'à ce qu'enfin, je ne dise plus "Armachose et Commitruc" mais "Armagnac et Comminges" par Donà Ariana. Bref, laissons-là les cours théoriques de géographie. Je montre carrément d'un geste de la main la gauche de la rue sur laquelle nous débouchons.

Est-ce par là ?

Prêt à talonner de nouveau Zodrome pour le lancer au trot, je suis pour le moment le Sergent, prêt à donner de la voix, mais les portes de la villes sont encore loin, et donc ce ne sera que trot près de Socrate.
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Socrate éclata de rire en entendant le jeune cavalier lui dire .

Ne vous inquiétez pas , suivez moi on va prendre a droite ,longer pendant a peu prés 900 mètres les remparts et nous atteindrons la porte ouest de la ville

Et la pour ne pas profiter de ma connaissance du chemin qui est tous droit je vous laisserez partir le premier.

Mais méfiez vous je serais pas loin derrière.

Il sourit au baron lui faisant comprendre que leur promenade aller surement être très amusante pour les deux personnes .
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Je ris, amusé. Mouais, pas trop bête non plus, qui dit porte ouest dit qu'il faudra contourner la cité, parce que à l'Ouest, c'est Carcassonne... héhé. Je ris, m'amusant vraiment avec lui.

Merce Sergent, je vous remercie pour cette course.

Et hop, je talonne Zodrome pour le mettre au trot enlevé, me tenant droit, et utilisant mes jambes pour ce trot. Pas trop fatiguant, j'ai pris l'habitude de chevaucher. C'est même assez plaisant la chaleur n'étant point accablante. Nous longeons donc les remparts, au trot, et je m'amuse vraiment. Pour une fois, nous chevauchons sans but, juste pour le plaisir de la promenade, de sentir la puissance de l'animal qui nous porte. J'adore cette sensation, de liberté, les cheveux dans le vent, les yeux qui vont et viennent, regardant le paysage, les remparts, la cité.

Enfin, nous arrivons rapidement près de la porte, et c'est au pas que nous la franchissons, avec un arrêt pour indiquer saluer les gardes. Les couleurs d'Exat sont bien visibles, tant sur ma vesture que sur les harnachements de mon étalon. Nous passons donc, et dès que nous avons franchi la porte, je talonne Zodrome en riant.

Essayez donc de me rattraper !

Le trot s'allonge et se transforme en galop, je me penche vers l'avant, exhortant ma monture à aller plus vite en lui murmurant :

Allez Zodrome, vas-y mon beau. Montre-lui de quoi nous sommes capables !

Je m'amuse comme un fou, et toujours penché, je tire légèrement sur la renne de droite pour le faire contourner la ville par le nord. Bah oui, pas si bête, la mer, elle peut être qu'à l'est !
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[Dans la citée ]

Les deux cavaliers trottinent vers la porte de la ville ,Socrate légèrement en arrière pour parer a toutes éventualités d agressions.

Le jeune baron se tient bien en selle , entrainement ou hérédité Soc est émerveillé par la prestance du jeune homme.

Ils passent la porte , rende le salut aux gardes de celle ci reconnaissant les couleurs des cavaliers et sortent.

Socrate n a pas le temps de donner le départ que déjà l étalon du baron ,talonné par son maitre ,se met a galoper vers le nord pour contourner la ville.

Voyant cela soc en fait autant.

Yeaaa!!!
On y va mon vieil ami rattrapons les!! Dit Socrate se penchant a l oreille de Celsior.

Voila les deux chevaux lancés aux galop pour une course dont l issue ne pouvais logiquement qu 'être a l avantage de celui qui connait le terrain.
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Riant à perdre haleine, je poursuis mon galop, vite rattrapé cependant, j'entends déjà Socrate tout proche. Je tourne la tête avec précaution, et vois qu'en effet, il est en sur le point de me dépasser.

Toujours aussi amusé, je talonne de plus belle Zodrome, pas question de lui donner une victoire facile, et claque de la langue pour encourager mon étalon.

Cependant, arrive ce qui doit arriver, je me fais dépasser au bout de quelques foulées, vu que le paysage défile et que je viens d'apercevoir la mer, me redressant et perdant ainsi le très maigre avantage que j'avais, mon cheval ayant pris ce signe pour un ordre de ralentissement.

J'allais le relancer au galop, mais le miroir où se reflète le soleil est si beau, la petite mousse blanche venant mollement lécher le sable, que devant un tel spectacle, j'ai vraiment toutes les difficultés du monde. Me repenchant sur l'encolure, talonnant tout en claquant la langue, j'arrive à remettre Zodrome au galop, mais Socrate à quelques bonnes longueurs d'avance. Un instant d'inattention, et la victoire lui est visiblement acquise. Sourire aux lèvres, j'arrive tant bien que mal à réduire la distance et à me mettre à portée de voix.

Vous avez gagné. Si nous allions au pas ? J'aimerais profiter de ce magnifique paysage. La vue est merveilleuse, n'est-ce pas ?
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