Kalimalice
De mots en mots ,de feuilles en feuilles ,de ratures en ratures ,du papier froissé , jeté ,ne remarquant même pas le vent .Elle finit par arrivée a un rapport satisfaisant .Par moment les mots couraient et de se replonger dans cette nui nuit du 8 juillet ,finalement les souvenirs remontait à sa mémoire et sans trop de difficulté ,elle fini part les joncher sur le vélin .
Citation:
De kalimalice d'Austrasie ,dame de Stfirmin des bois et d'Allanche prevot de Paris
à McLegrand Vicomte de Montgomery, Seigneur de Gaudigny,Chancelier de france
Rapport de la nuit du 8eme jour de juillet de l'an MCDLIX ou la Reyne tomba dans une embuscade mortelle
Dans la nuit du sept au huit juillet, un de mes hommes, connu sous le nom de Serge en Garce me fait prévenir. Il savère quil a des informations sur la venue imminente et restée secrète de Sa Majesté Béatrice Ière.
Effectivement, mon homme me raconte sa rencontre en taverne avec le cocher royal qui vient de ramener les malles de la Reyne depuis la Bourgogne jusquau Louvre. Malles qui annoncent larrivée de Sa Majesté pour le lendemain.
Forte de cette information et car il est du devoir du Guet Royal descorter dans les alentours de la Capitale la Reyne, en matinée je forme une petite escouade composée de mon bras droit Amory de Lucas officier de valeur qui massiste fidèlement, Fildaïs de Compostelle, jeune femme à la grande loyauté, Serge et moi-même.
Nous partons peu avant le midi, chevauchant durant quatre heures en nous octroyant seulement les pauses de commodité usuelle et dans une après midi bien avancée nous pénétrons sous les frondaisons de Fontainebleau, cest là où, daprès mes calculs, nous devions croiser le carrosse royal ainsi que son escorte.
Et là tout senchaine à une vitesse folle. Les bruits darbalètes, se mêlent aux hennissements des bêtes, des hommes chutent, des cris et nous qui sommes encore hors de les atteindre.
Je reconnais la Garde Royal et sais dès lors que Sa Majesté se trouve là, mais le chaos semble régner et la distance est encore trop grande pour pouvoir avec précision me rendre compte de lampleur de la chose. Mes hommes et moi poussons les chevaux au maximum pour arriver au plus vite.
Ma première vision me fait penser à un cauchemar, celle de Stephandra Dandolo Dumoutier, moribonde, tournoyant son épée dans le vent, moulinant des bras comme égarée dans cet enfer. Des gardes à terre, la carcasse dun cheval qui obstrue le chemin et enfin le carrosse mis à sac. Et sur le toit comme une ombre malsaine qui commet méfait.
Arrivée à flan de la voiture royale, une odeur de sang, du rouge partout. Le spectacle démontre la violence de l'assaut. Des gardes sont à terre, morts ou inconscients.
Je cherche du regard Sa Majesté et lorsque quenfin mes yeux tombent sur son corps, je suis glacée deffroi, La Reyne est là, à semi sur le toit du carrosse, ses pieds ballants à lintérieur du coche par louverture béante de son toit. Suspendue, non pendue à laide des rideaux qui garnissent sa voiture.
Fildaïs est déjà sur le toit et soccupe de descendre le corps inanimé de la Reyne.
Tandis quAmory et le Serge se démènent avec deux des protagonistes de lassassinat, Sadnezz Corléone, femme bien connue de la prévôté parisienne, rencontrée à maintes reprises à la cour des miracles et un homme à l'identité encore inconnue.
Pendant ce temps, jai vu lombre qui se trouvait sur le carrosse, un homme assurément, cheveux frisés, couleur poivre et sel, la mâchoire carrée piquée d'une légère barbe, stature solide toute en longueur et une tenue négligée. Lhomme senfuit dans les fourrées. La végétation est dense, et je fouille du bout de ma rapière les buissons en vain, mais il est difficile de sy retrouver et je préfère revenir auprès de mes hommes sur les lieux du drame. Je regarde autour de moi le désastre, je ne peux que constater lampleur des dégâts et de la tragédie qui s'est jouée en ce maudit jour de Juillet 1459 qui voit la France Orpheline de sa Reine.
Rapatriement des trois corps gisants à terre, éteints pour la fin des temps et des blessés dont la Capitaine de la Garde Royale Stephandra Dandolo Dumoutier , Della d'Amahir-Euphor, Dame de Compagnie de la Reyne ; Maud de Saint Anthelme fournisseuse royale et Anthoyne de la Louveterie, membre de la Garde Royale.
Une des femmes accompagnant notre souveraine, dit clairement avoir entendue Sadnezz appeler un de ses complices, celui qui aurait à proprement parlé pendu Sa Majesté, « Finn », reste à savoir si il sagit de son nom légitime ou dun sobriquet, voir même une abréviation de son nom complet.
Nous avons fait route pour le Châtelet et jeté les deux vermines assassines dans les geôles. Elles resteront là pour subir la question afin de connaître les commanditaires, ainsi que la durant la durée du procès.
Jai détaché quelques hommes et en compagnie de Fildaïs ,nous avons escorter la dépouille royale jusquau Grand Maître de France, Dotch de Cassael afin quelle constate de visu la triste mort de la Reyne.
Les blessés quant à eux furent accompagnés par des gardes jusquà lhôtel Dieu pour soigner leurs plaies.
à McLegrand Vicomte de Montgomery, Seigneur de Gaudigny,Chancelier de france
Rapport de la nuit du 8eme jour de juillet de l'an MCDLIX ou la Reyne tomba dans une embuscade mortelle
Dans la nuit du sept au huit juillet, un de mes hommes, connu sous le nom de Serge en Garce me fait prévenir. Il savère quil a des informations sur la venue imminente et restée secrète de Sa Majesté Béatrice Ière.
Effectivement, mon homme me raconte sa rencontre en taverne avec le cocher royal qui vient de ramener les malles de la Reyne depuis la Bourgogne jusquau Louvre. Malles qui annoncent larrivée de Sa Majesté pour le lendemain.
Forte de cette information et car il est du devoir du Guet Royal descorter dans les alentours de la Capitale la Reyne, en matinée je forme une petite escouade composée de mon bras droit Amory de Lucas officier de valeur qui massiste fidèlement, Fildaïs de Compostelle, jeune femme à la grande loyauté, Serge et moi-même.
Nous partons peu avant le midi, chevauchant durant quatre heures en nous octroyant seulement les pauses de commodité usuelle et dans une après midi bien avancée nous pénétrons sous les frondaisons de Fontainebleau, cest là où, daprès mes calculs, nous devions croiser le carrosse royal ainsi que son escorte.
Et là tout senchaine à une vitesse folle. Les bruits darbalètes, se mêlent aux hennissements des bêtes, des hommes chutent, des cris et nous qui sommes encore hors de les atteindre.
Je reconnais la Garde Royal et sais dès lors que Sa Majesté se trouve là, mais le chaos semble régner et la distance est encore trop grande pour pouvoir avec précision me rendre compte de lampleur de la chose. Mes hommes et moi poussons les chevaux au maximum pour arriver au plus vite.
Ma première vision me fait penser à un cauchemar, celle de Stephandra Dandolo Dumoutier, moribonde, tournoyant son épée dans le vent, moulinant des bras comme égarée dans cet enfer. Des gardes à terre, la carcasse dun cheval qui obstrue le chemin et enfin le carrosse mis à sac. Et sur le toit comme une ombre malsaine qui commet méfait.
Arrivée à flan de la voiture royale, une odeur de sang, du rouge partout. Le spectacle démontre la violence de l'assaut. Des gardes sont à terre, morts ou inconscients.
Je cherche du regard Sa Majesté et lorsque quenfin mes yeux tombent sur son corps, je suis glacée deffroi, La Reyne est là, à semi sur le toit du carrosse, ses pieds ballants à lintérieur du coche par louverture béante de son toit. Suspendue, non pendue à laide des rideaux qui garnissent sa voiture.
Fildaïs est déjà sur le toit et soccupe de descendre le corps inanimé de la Reyne.
Tandis quAmory et le Serge se démènent avec deux des protagonistes de lassassinat, Sadnezz Corléone, femme bien connue de la prévôté parisienne, rencontrée à maintes reprises à la cour des miracles et un homme à l'identité encore inconnue.
Pendant ce temps, jai vu lombre qui se trouvait sur le carrosse, un homme assurément, cheveux frisés, couleur poivre et sel, la mâchoire carrée piquée d'une légère barbe, stature solide toute en longueur et une tenue négligée. Lhomme senfuit dans les fourrées. La végétation est dense, et je fouille du bout de ma rapière les buissons en vain, mais il est difficile de sy retrouver et je préfère revenir auprès de mes hommes sur les lieux du drame. Je regarde autour de moi le désastre, je ne peux que constater lampleur des dégâts et de la tragédie qui s'est jouée en ce maudit jour de Juillet 1459 qui voit la France Orpheline de sa Reine.
Rapatriement des trois corps gisants à terre, éteints pour la fin des temps et des blessés dont la Capitaine de la Garde Royale Stephandra Dandolo Dumoutier , Della d'Amahir-Euphor, Dame de Compagnie de la Reyne ; Maud de Saint Anthelme fournisseuse royale et Anthoyne de la Louveterie, membre de la Garde Royale.
Une des femmes accompagnant notre souveraine, dit clairement avoir entendue Sadnezz appeler un de ses complices, celui qui aurait à proprement parlé pendu Sa Majesté, « Finn », reste à savoir si il sagit de son nom légitime ou dun sobriquet, voir même une abréviation de son nom complet.
Nous avons fait route pour le Châtelet et jeté les deux vermines assassines dans les geôles. Elles resteront là pour subir la question afin de connaître les commanditaires, ainsi que la durant la durée du procès.
Jai détaché quelques hommes et en compagnie de Fildaïs ,nous avons escorter la dépouille royale jusquau Grand Maître de France, Dotch de Cassael afin quelle constate de visu la triste mort de la Reyne.
Les blessés quant à eux furent accompagnés par des gardes jusquà lhôtel Dieu pour soigner leurs plaies.