Spacewolflenoirs
Arrivé se matin, aux abords de Guéret Space s'était mis en quête d'un endroit ou poser leur campement. La chevauché c'était bien passée, mais sa monture rassemblait tous les signes de fatigues. Il faut dire que tous lui avaient passé leurs affaires pour qu'il prépare le lieu de la nuit. Haaaa se disait il mon bien eu ceux la et ne put s'empêcher de rire tout seul.
Son, chemin au abord de la foret , lui permis de tomber sur une petite clairière. Elle était largement assez grande pour installer un campement de Roy et assez proche de la forêt pour le veilleur de nuit. La matinée avançait tranquillement. Space ce mis a louvrage débarrassant son cheval de tout ce surpoids. Celui en profita dailleurs pour le remercier en lui donnant un grand coup de tête, qui fit tomber le blond. Il ce releva en jurant mais le mal était fait et le cheval sétait déjà barré bien loin de lui dans la clairière en hennissant comme pour le provoquer.
En recherchant des idées de vengeances, Space plaça le cercle pour le feu dans un coin de la clairière. Voila ce dit il le plus simple est fait. Ouvrant les paquets, et il sortit des larges toiles ainsi que des cordes.
Et bien me vla bien avancé ou sont les pieux.
Le reste du groupe ne lavait pas encore rejoint. Space pris sa hache avec un sourire aux lèvres.
Il entra dans la forêt en chantant un petit refrain :
Ce petit chemin qui sent la noisette...
Me rappelle soudain ce grand jour de fête
Où plusieurs sapins me prenaient la tête,
Mais comme je suis bourrin, je leur pète la tête,
Je prends tous leurs troncs , leurs branches et me la pette,
Ah cest tellement bien, de piller ces hêtres !
Je noublierais point cette chansonnette
Du petit chemin qui sent la noisette
!
Et ne put sempêcher de rajouter
A par quici sa sent pas la noisette.
Et éclata de rire.
Il trouva son bonheur et abattit quelques arbres donc les troncs étaient bien droits. Il les tira au campement. Et la ce mis a les débiter tranquillement, puis a taillé une pointe sur chacun deux. Le midi avais pointé le bout de son nez, et lui restait encore du boulot.
Il travaillait d arrache pied, pour enfoncer les pieux dans la terre et tendre les toiles. Il passait plus de temps a les éviter quand il tombait ou a chercher la sorti sous la toile.
Vers la fin daprès-midi, deux grandes toiles étaient enfin tendues, le feu allumé mais il restait encore a préparer les lieux pour dormir, Space était lessivé mais content de lui quand même. Il se posa quelques longues minutes et regarda le ciel , ou des nuages passant doucement
Aubisque31
Chasser! Parmi les supposés ordres de Selva, Aubi s'était précipité vers un art qu'il affectionnait particulièrement... et se retrouver seul, entouré par l'obscurité d'une forêt dense et impénétrable, il appréciait. Là, il ressentait toutes les essences que Dame Nature voulait bien lui offrir. Nature Sauvage... très sauvage! Aubi ne cherchait pas à l'apprivoiser celle là non plus, le sauvage devait rester sauvage... Parfois on réussissait à y trouver une complicité, une harmonie...
Communion, respect, liberté, humilité, Aubi se ressourçait, seul, un besoin récurrent.
Attendre, se fondre, gagner la confiance pour qu'elle se dévoile et s'offre sans méfiance.
L'animal avait fini par s'approcher, innocent et naïf, il ne devait pas souffrir.
Respiration coupée, l'arc se bande, sifflement, bruit sourd, on expire, c'est la fin!
L'animal gisait non loin.
Le camp maintenant. Space avait du le préparer en lisière, facile à repérer.
Les deux brunettes étaient là aussi, il leur faudrait du temps pour s'apprivoiser mais le respect était présent, c'était une belle relation...
Avant de boire jolies brunettes, r'gardez c'que je ramène...
Aubi jeta ce chevreuil près du feu et s'approcha d'elles. Sourire et clin d'oeil habituel pour Selva, hochement de tête vers Violetta, il aimait bien les retrouver.
Spacewolflenoirs
Tiré de son sommeil par des sons de discutions, Space ouvrit doucement les yeux. Non loin de lui le petit groupe semblait fort occupé. Il remarqua Aubi transportant quelque chose, la chasse devait être bonne. Une crampe dans son estomac se fit sentir, il comprit que cétait lheure de partir.
Space se releva doucement, mit son bouclier dans le dos prit sa couverture ainsi quun morceau de pain et de viande quil avait dans son sac. Le blond ramassa sa hache, regarda discrètement vers le groupe tous lui tournaient le dos. Rien navait changé. Parfais se dit il, puis il parti tranquillement dans la forêt, tout en espérant ne pas être suivit.
Malgré la chaleur ambiante, lair frais de la forêt venait lui caresser ses joues. Il prit le temps de fermer les yeux quelque s minutes pour se laisser envahir par cette douceur. Puis il reparti un peu plus loin dans la forêt.
Peu à peu la forêt semblait se refermer sur le blond. Le silence arrivait petit à petit. Lair devenait encore un peu plus frais, quand tout son corps fut parcouru par des frissons. Il resserra sa main sur la poignée de sa hache
. Son regard parcourait lendroit. Ici ce sera bien se dit' il. Il allât se placer dos a un arbre se sassit, en oubliant denlever le bouclier se qui produisit un beau en communion avec la nature. Il jura en plaçant sa hache sur ses genou, et la couverture sur ses jambes. Il reposa sa main sur le manche et sa tête contre larbre et attendit tranquillement un signe. En commençant à grignoter son morceau de pain.
--Wulfen
Soir tombant, obscurité grandissante, était le domaine de certaine créature de la nuit. Silencieux comme pas deux, le loup noir sortait de nul part.
Depuis le début il rodait, silencieux autour du camp, évitait les patrouilles dune brunette, et dun chasseur. Il humait lair, et son poil se gonflait une odeur familière lattirait. Qui ne tarda pas se déplacer dans la forêt.
Tête baissé, muscle tendu, le loup suivait doucement sa proie.Qu'il ne tarda pas à voir. Un homme blond posé contre un arbre. Tapis dans un buisson le loup attendait tranquillement le bon moment. Mais une autre odeur larrêtât. Sortant doucement de sa cachette, il fit le tour. Pas un son ne sortait, pas un grognement aussi silencieux que le vent, le loup avançait rapidement parmi les fourrée. Le silence et la rapidité était ses armes, la surprise son atout.
Lodeur devenait de plus en plus forte. Au fur et a mesure quil se rapprochais. Arrivant devant la scène, il vit une autre brunette qui surveillait cacher le blond. Ses poils hérissaient doucement, les crocs apparaissant petit à petit il changeait de posture. Il se plaça a quelque mètre derrière cette intruse.
Gonflant ses poumons, le loup poussa un long hurlement coupant le silence qui sétait installé depuis quelque temps. Tête baisser le regard sur sa nouvelle proie, il avançais vers elle les crocs ressortis prés a bondir au moindre geste.