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[RP] Ducales : OUSTE ! Où est-ton fessier ?

Griotte


Oyez ! Oyez ! Braves gens, approchez !

Un saltimbanque à la tenue colorée se pavanait au bas d'une petite scène au rideau tiré. Il interpellait les passants de sa voix portante :

Connaissez-vous l'histoire de OUSTE ? NooOON ?! Mais comment cela se fesse ? Et bien je vais vous la raconter !

Levée de rideau. Une gamine à la chevelure hirsute faisait les cents pas. Son attention était accaparée par un je-ne-sais quoi qu'elle malmenait entre ses doigts. Un torchon peut-être ?

Il était une fois une morveuse qui rêvait de devenir bourreau pour pouvoir torturer les gens sans risquer de se faire passer la corde au cou. Son rêve était inhabituel et dérangeant pour une gringalette mal fagotée. Comme toutes les autres jeunes filles de son âge, elle aurait du avoir les yeux qui brillent en s'imaginant vêtue d'une robe de princesse et la tête ornée d'une couronne dorée, mais elle préférait fantasmer sur un gibet de potence ou une vierge de fer.

La jeune fille en question leva le nez du morceau de chiffon qu'elle était en train de triturer. Elle le tendit devant elle, dévoilant une main gantée d'une marionnette en tissu à la chevelure flamboyante. Prenant une voix exagérément outrée, Griotte se mit à agiter le petit personnage :

Être bourreau c'est le maaaaaal ! Haaan la laaa ! Si tu fais ça, je te paaaaarleuh plus ! Tu pourrais être médecin, ou avocate ! Et pourquoi pas duchesse ?

La morveuse leva les yeux au ciel et se débarrassa négligemment de la marionnette, qu'elle envoya valser par dessus son épaule.
S'avançant au devant de la scène, elle s'adressa directement à la foule, du ton de la confidence :


Moi quand je serais duchesse, ce sera le règne de la terreur. Si quelqu'un pète de travers, il finira au trou ! Les blonds seront obligés de porter un casque pour cacher leur cheveux couleur de pisse et les femmes à forte poitrine seront enrôlées de force dans la future armée d'amazones bourguignonnes. Zouic ! Zouic les grosses mamelles !

Sourire carnassier sur les lèvres, elle poursuivit :

La cueillette de cerises sera strictement réglementée et fera l'objet d'une nouvelle taxe qui filera tout droit dans mon coffre personnel. Quant à la consommation de griottes, elle sera tout bonnement interdite et si quelqu'un venait à être surpris à enfreindre cette loi, son geste sera considéré comme un acte de haute trahison envers ma gracieuse personne. Ce sera la peine de mort assurée !

S'interrompant pour reprendre son souffle, elle se fit bousculer par le saltimbanque qui la chassa à coups de balai.

Héhé ! Quand elle est lancée, elle pourrait continuer comme ça pendant des heures et des heures. C'était de l'humour, hein, évidemment ! Ah ah !

Même pas vr...gruuuluuumpf !

Oui, il se passe des choses étranges derrière le rideau des coulisses.

Fin de l'acte un !

[Post-it by {R} 2/7/11]
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Un petit tambour, incarné par Breiz24
[J’ai reçu plan plan…]

Léon est tambour. C’est son métier. Il a huit ans, et avec son beau tambour, il chante dans les rues pour qui lui donne une pièce.
Aujourd’hui, c’est une dame rousse et complètement surexcitée qui la lui a donnée. Pour inviter des gens à la taverne. A un petit spectacle. Il aurait bien aimé le voir lui aussi le spectacle. Mais il avait eu la pièce, alors il chantait.


Plan et vlam et bim et paf et pouf ! Un spectacle ! Blaf ! Du vin ! OUSTE ! Un bon coup de balai ! Et boum et pouf et crac et vlan ! Ou est ton fessier ? OUSTE ! OUSTE ! Pan et paf et outch ! Ou est ton fessier que j’y mette un coup d’balai !

Qu’est-ce qu’il y pouvait lui, si on lui faisait chanter des trucs débiles ? Il avait eu la pièce, on lui en avait promis une autre si des gens venaient écouter le spectacle à la taverne. Alors il y mettait tout son cœur. Il n’avait jamais eu une si belle pièce. Un bel écu tout rond et tout brillant. Alors il chantait et tapait plan plan sur son beau tambour.

AUJourD’hUI à la tAvErne ! OUSTE ! Un BON COUP D’BALAI ! SpEctAcle grAtUIt et bOIsson OffErte ! OUSTE ! Ou est ton Fessier ! Qu’on y cOlle un cOUp d’bAlAI ! OUSTE ! A la TAVERNE !

Plan plan ! Plan plan ! Plan plan ! Un beau tambour que voila, dans les rues. Plan plan ! Plan plan ! Plan plan ! Il espérait bien qu’il y aurait tout plein de gens ! Une belle pièce toute dorée !Plan plan plan plan plan !
Attia.
Il y a la Griotte, la rouquine et l'engrossée qui asseoit un popotin anormalement large sur le banc de la taverne qui abrite le spectacle saugrenu.

Elle a passé la nuit a coudre une large housse qui une fois ourlée et bourrée forme une vache, une grosse belle vache, rousse la vache, rouge de Bourgogne.
Gigi l'avait aidée a la bourrer de sciure de bois et avec la permission d'un Sévère mauvais joueur ils y avaient glissé quelques ecus.
Quand Gigi avait demandé a quoi cela servirait il, la gitane avait répondu :


- Bah visusalise Gigi! La Vache c'est tout ce qui peut agacer le bourguignon lambda, on lui offre un balai...
- A la vache ?
-... meuuuh pas la vache! le Bourgmignon!
- Ah ...
- on lui offre le balai, un slogan qui venu des tripes donne assez de courage pour donner un coup, un bon gros coup! un beau OUSTE !
-...


Face au regard de merlan frit du milanais elle avait levé les yeux.

- Bon Gigi! c'est comme quand t'as mangé trop de fayots et que ça te chatouille dans les intestins, tu fais quoi ?
-...

Le regard encore plus dépité finit d'achever la patience de la gitane.

- Laisse tomber... aide moi a emporter ça!

Et la Vache avait été emportée et envers et malgré un tavernier a qui on avait pas demandé son avis, la pinata est accrochée a un candelabre avec un magnifique et imposant balai.

- Ho l'saltimbanque, OUSTE!!!

Une poupée habillée en vache, avec de belles taches noires et blanches, de la vraie vache bourguignonne, entre les mains, la gitane s'avance de la scene poussant au passage la Griotte.

- T'sais ce qu'elles te disent les mamelues ? OUSTE!

Alors la Gitane entre en scene.

- Public du OUSTE tu vas en souper! Tu as toujours rêvé de les frapper ces vieillards empoussiérés des belles institutions bourguignonnes ? Tu en as assez de voir toujours les mêmes, tu reves de voir les gens comme toi y sieger, te représenter comme il se doit au lieu de courir apres les titres de noblesse et honneurs, tu veux du neuf Public, alors dis OUSTE! Prend un Balai et frappe la Vache ! Dis OUSTE, Dis oui au changement! Dis oui a la Fra-ter-ni-té ! Aie la Bravitude public! Ici personne ne te baillonera...Pas encore...

Et la gitane ceci fini, le bidon en avant pose la poupée et attrape le balai, pour donner un grand coup dans la vache.


Ahem... Belle introduction... Passons a l'acte deux!!
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Saltimbanque, incarné par Attia.
Le Saltimbanque leva les yeux au ciel.
Non mais quand on l'avait engagé pour animer le stand de cette liste assez excentrique il s'était dit pourquoi pas, en plus c'était bien payé.
Mais alors depuis qu'il était la il n'en revenait pas du flot de bêtises qu'il entendait débiter.
Mais dans le fond, un brin de folie de faisait pas de mal, mais alors il fallait absolument qu'il dépatouille un peu tout ça sinon les donzelles n'auraient jamais aucune chance.
Aussi alors que l'engrossée qui ressemblait elle même a la vache qu'elle venait de frapper fut rassise, le saltimbanque frappa dans ses mains.


- mes braves gens! bienvenue chez Ouste ! Ici point de programme, nous ne sommes pas la pour vous assommer, pour ça il ya la bière et en plus c'est payant! pouhahahahahahaha !

Se reprenant il poursuivit.

- Non chers gueux et gueuses car c'est bien a vous que je m'adresse, vous qui n'y comprenez quasi rien a ses similis politico-romanesques, vous qui votez par dépit parcequ'un tel était la avant et que s'il était la avant c'est qu'il était bien et que ben il est bien de revoter pour! Non ! Vous avez le droit et meme le devoir de connaitre vos élus! Et surtout vous devez encourager l'égalité des chances pour permettre à la jeunesse de votre duché de prétendre a en prendre les rennes, a permettre que ceux qui ont l'experience et qui jamais n'ont pensé a la mettre au profit de ce beau duché puissent le faire et être reconnus pour!
Je t'invite toi le bourmignon qui reve de changement à lever la main et t'exprimer!
Mais avant cela, l'acte 2 de ce chapitre mes gueux et gueuses intitulé "le Conseiller Déconseillé" illustre une partie de ce que propose cette formidable Liste...



La le saltinbanque pensa qu'il ferait mieux de demander une prime speciale compliments.

- Voyez plutot!

Deux marionnettes aux fils soigneusement enroulés entre ses doigts le saltimbanque passa a l'arrière du théatre.
Alycianne
Et Alycianne, benjamine de la liste, elle est où ? Ben dans les spectateurs, pardi. Là où elle est le plus utile. Car cette gamine est bien le meilleur public que vous ne pourrez jamais trouver.

Cri de fan hystérique quand apparait sur scène sa soeur.
Rires devant la marionnette.
Sourire et applaudissements pour la gitane.


- Ouais, OUSTE ! OUSTE !

A sa voisine :

- Ouste les bourguignons qui ne savent pas reconnaître des leurs, ceux qui trucident les petits innocents ! Et les grands aussi.
C'est ma sœur et mes amis là, et ils sont très déterminants quand il veulent changer les choses.


Le doux minois hoche la tête pour appuyer ses propos. A son autre voisin :
Et si vous avez des questions, il faut les poser aussi, comme je les connais les gens de la liste, je suis dans l'absolue sérénité qu'ils répondent. Même ils sont du genre bavard. Gueulard. Enfin... Drôle. Parfois. Vous voyez, spectacle, marionnettes, drôle !

Elle ferme son clapet avant de s'enfoncer davantage, s'appuie un peu plus sur sa canne.

- Ouste l'acte 1, acte 2 !

Clin d'oeil à la voisine, petit gloussement.
- C'est mon préféré.
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--Maxence.la.canaille.
[Bazard et guignols]





Il avait suivit celui qu’il considérait comme son l’homme qu’il voudrait être, de loin, très loin de ses terres. Les mains dans les poches par mime.
Max’ déambulait sur la place publique avec son chapeau bien trop grand pour lui, en quête de délester de ses mains habiles quelques bourses bien remplit.

Une animation se faisait entendre sur le coté avec une petite scène qui dissimulé par un rideau, on pouvait apercevoir quelques marionnettes de chiffons.
Le garnement s’approcha d’un pas gambadeur puis se stoppa net pour mieux regarder ce qu’il s’y passe. Il écouta une jeune fille qui se vantait de ses proches à son voisin.
Un sourire narquois arrivait doucement sur son visage, avant de lâcher un mot :


« Qu’elle belle truite de latrine ! »


Son regard polisson se dirigea vers la scène qui avait le mérite du ridicule, même lui ne pouvait pas en rire, avait il grandit trop vite, puis regarda un homme à la bourse pendante
qui lui faisait pensé qu’elle devait être bien remplie. Sans plus attendre, il sortie son petit couteau et se dirigea vers ça cible choisie.
Max’ avait un don de passer inaperçu, se fondre dans la masse sans se faire remarqué, c’était le prix de la faim pour mangé, il fallait ce débrouiller. La bourse était si proche,
l’homme était captivé par le spectacle, ses yeux rivés vers la scène sans même un désir de la quitter. Un petit coup de lame rapide coupa le lien de cuir qui retenait le trésor.
En un geste rapide, le mioche s’empara de celui-ci puis doucement commença à partir avec une mine de désintéressement tout en sifflotant.





Enguerranddevaisneau
L'Enguerrand également était là, bien présent soutien malgré lui de la bâtarde Blanc-Combaz. Il fallait signifier qu'il s'était fait enrôler chez OUSTE sans que son avis lui soit demandé, chose d'importance moindre quand on savait l'attachement qu'il avait pour la semi-gueuse.
Attentif à la scène, il ne tenu pas compte des paroles d'Alyciane, ni même du gosse qui s'exclama de manière un peu trop préjudiciable. Il n'eut même pas la présence d'esprit de vérifier que sa bourse était encore présente, son colosse de Breton se chargeant pour lui de cette tâche ingrate.

Et le Breton avait tout vu, c'est pourquoi de sa main puissante il attrapa le col du garnement, dextre de fer, pour lui arracher la bourse des mains.

Au Vaisneau alors de se retourner, nullement surpris de la scène qui se jouait dans son dos précédemment. Regard navré pour le bambin, sourire de
circonstance pour le colosse et à ce dernier de lâcher l'intraitable garnement tout en rendant la bourse au baron.
Parole est d'ailleurs prise par ce dernier:


Sachez jeune homme, que chez OUSTE nous n'acceptons pas les voleurs et malandrins, la mendicité, bien que peu glorieuse, à souvent plus d'impacte et permet de garder bonne santé. Gagez donc que je suis dans mon bon jour, je ne couperai guère votre main pour ce geste malvenu...

Lippe qui se rehausse de manière sardonique, voila la teigne lasse qui conclut:

Travaillez ou étudiez, et gloire vous sera apportée... En attendant, ouste, du balai!

Un écus est placé dans la menotte du fripon, tout de suite repoussé plus loin par l'Igor... L'échange avait été silencieux, et bientôt le blondin se replongea dans son activité favorite, le lorgnage de bâtarde, qu'il n'avait pas encore croisé, au demeurant...
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En pause!
--Maxence.la.canaille.



Max’ ne se savait contant de sa prise, toute aussi bien venu qu’un bon repas pouvait l’attendre après ceci, il le méritait bien… Quand une chose le stoppa net et sans vergogne…
Une main…Son col…Le mioche se sentit décoller du sol sans même comprendre ce qu’il se passait, les azures écarquillés, l’enfant essayait de regarder qui pouvait appartenir la poigne qui le saisissait.
Un homme d’une grandeur sans conteste pour lui, s’en suivit d’un froncement de sourcils avant de se voir délester de se prise. Diantre, il l’avait vu mais de quoi se mêle t il…
Après un sermon digne d’un homme au service de la foy, il le relâcha avec une pièce d’un écu dans sa main, le fripon réajusta ses vêtements trop grand pour lui comme il le peut.
Il savait ce qu’il devait faire comme son maitre lui à apprit tantôt mais un repoussement d’un des sbires de cet inconnu ne se fit pas attendre…
Le mioche fit demi tour avec un sourire cruel qui donnait un autre visage que celui d’un ange, plongent ses mains dans ses fouilles, en même temps que quelques pas feintant un lorgneur regard sur d’autre cible potentiel,
mais il sortit sa fronde et y plaça dans le bout de cuir l’écu, il se retourna en faisant tournoyer les lanières de cuirs rapidement puis le propulsa d’un geste sûr de lui…
La pièce prit pour cible la tête de l’homme aux leçons facile et fini par la touchée… Le garnement sourit, satisfait avant de crier :



« Pauv’ type, n’sâchez qu’on m’touche pas ! »



L’enfant n’attendit pas la réponse pour faire un demi-tour et fuir à toutes gambettes, pour disparaitre rapidement dans la foule, un art qu’il avait su exploiter depuis longtemps avec la pensée que son maitre serait fier.

Aelis
Avis de chaleur sur la Bourgogne, et l'encore bien ronde Vicomtesse au carré, faisait pourtant acte de présence sur la grande place... Mais, si, vous savez, LA grande place, celle qu'il y a dans TOUS les villages de France et de Navarre ! Bref, elle s'éventait avec un tract du BOUM précédemment récupéré au stand de la liste, et se promenait, bien heureuse d'échapper aux braillements de son tout neuf rejeton bien aimé, qu'elle aurait pourtant bien volontiers chopé par les pieds et balancé par la fenêtre (toute ressemblance avec des faits réels est purement fortuite, ndlr.), histoire qu'il ait au moins une raison de donner de la voix.

Comme on l'aura compris, la patience n'était pas le fort d'Aélis, qui du coup avait refilé son môme à la vieille Sally, son ancienne gouvernante/chambrière nouvellement promue gardienne de mioche, et s'en était allée faire un petit tour, malgré le Soleil qui tapait (un peu trop) sur les caboches. Et la sienne en particulier. Mais c'est une autre histoire.

Tout ça pour dire qu'au final elle se retrouvait encore une fois fourrée en taverne, par l'annonce alléchée, pour fuir la canicule qui fait crever les vieux, espérant pouvoir déguster une spécialité locale... Taverne qui était donc réquisitionnée pour servir de... Théâtre de marionnettes sauce politique ? Soit, cela lui allait, tant qu'elle pouvait s'en jeter une petite. Et une fois son verre à la main, la noble dame commença par écouter Griotte, qui la fit bien rire dans sa (future) moustache (de quand elle serait très très très vieille) ; elle n'osait le faire franchement car, finalement, elle ne savait pas trop si c'était du lard ou du cochon. Ce qui ne l'empêcha pas de s'auto-reluquer le décolleté, encore plus fourni qu'à l'habitude, les joies de l'allaitement, quand la jeune demoiselle parla de créer un troupeau d'Amazones. Et en filigrane, la Montjoie se félicitait d'être Savoyarde... En fin de compte ce n'était pas si mal, on n'y parle pas de vous amputer des mamelles...

Puis... Ô miracle, une consœur d'infortune ! Manifestement elle était toujours sous l'effet de la carte baleine, ne passez pas par la case délivrance, ne recevez pas des bô cadeaux ni un usage quasi-normal de votre vessie... Pas de bol ! Enfin, c'est donc avec encore plus d'attention qu'elle l'écouta débiter son mini-monologue (dites-le 10 fois très vite et vous verrez...!) et saquer dans la piñata. Bordel de zob, mais quelle belle invention ! Il lui fallait une piñata, et elle aurait sa piñata, foi d'Aélis.

Ne restait plus qu'à observer le reste du pestacle... Tout en gardant un coin d'oeil sur l'agitation qui semblait se faire un peu plus loin... C'était pas un cri de môme ça ? Youhou, va y avoir du sport ! Si seulement elle pouvait y accéder... Une espèce de matrone manifestement en surpoids lui obstruait le champ de vision.


Bord... Ventregris, bougez vos grosses fesses de là, je VEUX voir !
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