Arutha
Ouvert -> français / Open -> anglais / Opener -> allemand / Ouverus -> latin... Z'êtes les bienvenues quoi...
Reviens mon am... Oui, non, quand même pas.
On reprend... Reviens Bourgogne. Ah, c'moi qui suis parti ? Bon... euh...
Reviens me retrouver, reviens ma Bourgogne. Reviens me retrouver, reviens... ATCHOUM !
Chiotte, il avait pris froid. Saleté d'Eilinn !
Le môme Gisors-Breuil avait pris la décision, ô combien difficile, ô combien nécessaire, ô combien attristante, de quitter la Mortandie... Normandie, pour (re)venir couler des jours heureux -ou pas- en Bourgogne. En début d'années, alors qu'il séjournait à Sémur avec sa nourrice, le blondinet était parti pour ses terres natales, dans l'espoir de voir cette Normandie que ses parents avaient tant servi, tant aimé, tant chéri.
Mais cette Normandie n'était plus, hantée par de tristes personnages, que le moutard ne détestait pas, mais qu'il n'aimait pas non plus. Cela lui passait bien au dessus de la tête, à vrai dire ; il souhaitait s'amuser, être tranquille. Et, en Normandie, il ne s'amusait pas. A son retour d'Angloiserie, il avait, vite, pris ses affaires, pour venir s'établir en Bourgogne.
Finies les journées entières passées à Gisors.
Finies, aussi, les emmerdes causés par des... emmerdeurs ?
Fini le calva.
Bonjour la Bourgogne.
Bonjour la liberté...
Bonjour les boudins de Maud !
Sémur fut en vue. Une quinzaine de jours, oui, voilà quinze jours que la petite charrette, conduite par deux ânes, avec, à son bord, le blondinet, sa nourrice Keyliah, et assez de boîtes de macarons pour nourrir l'armée en Afghanistan pendant dix ans. Cette petite charrette avait fait son effet ; ils n'avaient rencontré aucun brigand. Et la petite fortune amassée durant sa courte vie était là. Les boîtes de macarons ! Hiiiii !
Ah, Sémur, enfin ! J'ai envie de caca. Et ils passèrent sous les portes de la ville.
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Reviens mon am... Oui, non, quand même pas.
On reprend... Reviens Bourgogne. Ah, c'moi qui suis parti ? Bon... euh...
Reviens me retrouver, reviens ma Bourgogne. Reviens me retrouver, reviens... ATCHOUM !
Chiotte, il avait pris froid. Saleté d'Eilinn !
Le môme Gisors-Breuil avait pris la décision, ô combien difficile, ô combien nécessaire, ô combien attristante, de quitter la Mortandie... Normandie, pour (re)venir couler des jours heureux -ou pas- en Bourgogne. En début d'années, alors qu'il séjournait à Sémur avec sa nourrice, le blondinet était parti pour ses terres natales, dans l'espoir de voir cette Normandie que ses parents avaient tant servi, tant aimé, tant chéri.
Mais cette Normandie n'était plus, hantée par de tristes personnages, que le moutard ne détestait pas, mais qu'il n'aimait pas non plus. Cela lui passait bien au dessus de la tête, à vrai dire ; il souhaitait s'amuser, être tranquille. Et, en Normandie, il ne s'amusait pas. A son retour d'Angloiserie, il avait, vite, pris ses affaires, pour venir s'établir en Bourgogne.
Finies les journées entières passées à Gisors.
Finies, aussi, les emmerdes causés par des... emmerdeurs ?
Fini le calva.
Bonjour la Bourgogne.
Bonjour la liberté...
Bonjour les boudins de Maud !
Sémur fut en vue. Une quinzaine de jours, oui, voilà quinze jours que la petite charrette, conduite par deux ânes, avec, à son bord, le blondinet, sa nourrice Keyliah, et assez de boîtes de macarons pour nourrir l'armée en Afghanistan pendant dix ans. Cette petite charrette avait fait son effet ; ils n'avaient rencontré aucun brigand. Et la petite fortune amassée durant sa courte vie était là. Les boîtes de macarons ! Hiiiii !
Ah, Sémur, enfin ! J'ai envie de caca. Et ils passèrent sous les portes de la ville.
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