Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

[RP] Mariage de Camille et Altaiir

Yolanda_isabel
[Avisées, avisez-vous d’avoir toujours un avis d’avance.]

Dans le calme, le luxe et la volupté.. C’est c’la oui.. Et la vicomtesse, elle met la madeleine dans le vélin d’alu, mais oui, mon bon monsieur..

-« Mais Eilinn.. C’est siiiiiiimp’ ! Si les duchés et comtés du Domaine Royal, ils charrient au Louvre, une soixantaine de pains chacun toutes les douzaines et que tu utilises quinze miches pour faire office de tranchoir par repas, sachant qu’y a deux buffets par jour, et qu’en plus, y a les pannetiers du Louvre, tu peux pas être en manque de pain.. On s’en moque que les commis y mangent sur les plans de travail.. Et même.. Y pourraient même se faire des tartines.. Et on pourrait mettre un tranchoir pour chaque personne, même limite pour chaque plat ! »

Bah quoi ? C’est simple, non de compter la bouffe !


-« En plus, le meilleur, c’est le pain de maïs.. Alors les autres, c’est pas trop important.. MAIS CA VA ALLER OUI, LE BRUIT DERRIERE ! Non mais Eilinn ! Jette pas le boulier ! »

[La sceptique & la fanatique à la noce !]

Belle ! Belle ! Elle est si belle l’Etoile Angevine ! Une vraie Princesse des Etoiles, filante ! Vers les malles à la suite d’Eilinn et maugréant aussi.

-« J’ai à peine pris quelques macarons, même pas une douzaine de boîtes ! »

Le couvercle s’ouvre, et la bouche aussi..

-« N’amoureux.. L’homme il a crée les carrosses pour qu’on se s’asseoit dedans, pas pour aller dans les malles.. Tu sais, je crois, Eillin, qu’il faut tout y expliquer aux hommes.. »

Quinze ou sept ans ? La résignation féminine à l’égard du sexe masculin est plus ou moins la même. Traduction ? Faichier.
_________________

« Que Saint-Louis bénisse le Royaume de France.»
Guiizmoo_x
[ A Tours ]

Guiizmoo_x n'avait pas besoin de faire le voyage, car elle était déjà arrivée à Tours, il y avait de ça plus d'une dizaines de jours.
Elle s'était très vite adaptée au village, à ses habitants, ..
Enfin plutôt l'inverse..
Semant la zizanie sur son passage.., elle s'était très vite sentie chez elle ici.
Elle avait rencontré pas mal de personnes toute plus sympathique les unes que les autres, et avait donc décider de rester..
Au départ ce n'était pas réellement son choix, mais plus les jours passaient, plus elle se sentait chez elle..
Puis il y eu l'invitation de Camille, qui lui proposait de venir au mariage !
C'était donc ce que fesait la donzelle, elle marchait en direction de la cathédrale, pour aller souhaiter tout ses voeux de bonheur au futur couple.


[ Arrivée devant la Cathédrale ]

La brune arriva devant la Cathédrale, vêtue d'une belle robe verte, ce qui mettait très en valeur son regard couleur prairie.
Elle vu l'attroupement de personne devant l'établissement, et un sourire se décocha :


Décidement, Camille et Altaiir en connaissent du monde ! pensa-t-elle

Elle resta à l'écart, attendant d'apercevoir qui sait, un visage familier..
_________________
Fildais
Avertissement au public non averti ! Ma blonde est folle, et en rouge et autres dérivés de cette couleur, ce sont ses voix dans sa tête, hein !

[Domaine de Saint Paterne, aile de la Roche Majeure]


Au matin d'une journée majeure pour quelques uns... et banalement basique pour certaine...
Volute de vapeur qui s’échappe d’un baquet parfumé, la carcasse maigrelette trempe, la Compostelle aime bien les ablutions, ça la détend.
‘fin en général, parce que là…


-UN MARIAGE !!! La voix ulcérée et froide de Fild résonne dans la tête auréolée de blondeur. UN MARIAGE !!!!

Oui, elle répète aux cas où les personnalités planquées en fond de crâne n’entendent pas.

-UN MARIAAAAAAAAAAAAAAGEUUUUUUUU !!!!
-Oui bon ça va, on a compris que c’était un mariage !
-Ah ? On se marie ? Avec qui ?
-Mais qu’elle est cruche cel’là !
-Ah ? On se marie pu, alors ?
-Nan mais faites-moi taire c’te dégénérée du cervelet !
-C’était qui qu’on devait épouser ?

-Huuuu Fifounette chérie, c’est pas de nous qu’on cause là…
-Comment se fait-il que nous avons accepté cette invitation ? Depuis le mariage du père d’Alandrisse nous…
-C’est le père de Lucie aussi !
-Oui nous le savons ! Depuis le mariage de…
-Lucie qu’est notre fille aussi, hein !
-ON SAIT !
-Bref depuis ce mariage, nous nous étions promis de ne plus assister à ce genre d’événement, trop pénible pour… hum… nous !
-Oui mais on nous a promis des macarons et du vin !
-On nous a achetées ? C’est vil ça ! C'est très moche même !


Soupir las.
Le tas d’os et de porcelaine s’ébroue, l’eau de son bain s’agite, il est temps de se préparer.



[Parvis de la Cathédrale : "Nan j'voulais pas viendre, on m'a forcée !"]


Du monde, plein de monde, trop de monde.
Comme si déjà les bécasses qui squattent son pinacle à réflexion ne suffisent pas, v’là la Compostelle qui va s’immerger dans la foule.

Eurk.
Fildaïs n’aime pas du tout ça et du fond du coche, où elle se trouve recluse, elle en grimace légèrement. L’ombre a cela de rassurant et la jeune femme parfois la préfère à la lumière. S’y terre.
Les azurs suivent la silhouette d’Alandrisse qui descend lentement de la voiture, aidé d’Anthoyne, compagnie improvisée par la Première Secrétaire d’ État.
Dans son illusion de quiétude, bien calée en fond du siège, la Compostelle reste prostrée, hésitante à rejoindre le allo lumineux qu’offre le soleil.
Le sourire bienveillant qu’Al glisse à ses lèvres, l’invite à sortir, tandis que le jeune homme les accompagnant lui offre une main secourable afin que le blonde ne s’étale pas en descendant du coche.
Ça serait ballot, hein ! Et ça ferait désordre surtout.

La carcasse s’étire et les doigts glacés de la Citadelle d’Ivoire rejoignent la paume chaleureuse d’Anthoyne, s’y glisse doucement, y prend appui.
Malgré l’événement heureux à lequel Fildaïs va assister, elle arbore comme glacis à la joie ambiante une mise endeuillée. L’étoffe de soie blanche finement piquetée de borderie la recouvre tel un linceul, dernier rempart qui lui apporte réconfort dans ce monde si bruyant.
Au brun, elle ébauche un sourire poli alors que ses prunelles inquiètes frôlent les siennes, cet homme a quelque chose de fascinant et d’effrayant à la fois, la Compostelle ne saurait dire quoi…


Je vous remercie Maillé.

Oui ben tant qu'à faire, être aimable ça bouffe pas de foin.
Le corps tenu de la jeune femme se range sagement près de celui de son amie, un bras passé au sien, juste au cas où une de ses entités Hydriques décide de se faire la malle emportant son tas de viande avec.

_________________

Chimère et Hydre... Éther en mouvance...[En rouge : ses voix pensionnaires dans sa tête...]
Theking5
- Mairie de Vendôme. -


Une silhouette, un bruit pas possible dans les coffres de la mairie de Vendôme.
Un messire cherchant quelque chose, mais quoi ?

Mais il n'y a rien ici !

L'homme continua à chercher les cheveux décoiffé, les vêtements froissées, mais il s'en taper, il fallait qu'il puisse en trouvé !

Ah ! Un fromage de vache !

L'idée de trouver du fromage à cet instant là, le surprit mais surtout lui rendit un sourire aussi large puisqu'il pensé à quelque chose au même moment, mais à quoi ?!
Theking avec dans la main un fromage et de l'autre main du sel...

Bon, le sel c'est le cadeau.
Et le fromage faut le jeter sur les mariés.


Avançant vers son bureau de maire, où se trouvé sa garde robe du dimanche, il réfléchit à ce qu'il venait de dire tout haut.
Mais sa pensée s'arrêta net, un anglais, un orléanais, et une pile de lettres l'attendais sur son bureau...
Pas moins de 80 lettres reçu en 4 jours et autant envoyer à travers le Royaume de France.
Les pigeons allait faire grève a ce train là !
Il envoya boulet l'anglais avec ses stères de bois. L'anglais voulait absolument vendre sur le marché de Vendôme.
Mais Tk lui interdit formellement sous peine de lui coller un procès s'il voyait un seul stère de bois English sur le sol de sa ville.
Après un contrat commercial fini avec le CaC de Blois.
Le maire commença à s'habiller tout en lisant les courriers de ses concitoyens, s arrêtant parfois de lire, pour ce regarder dans les carreaux de la fenêtre ou dans le miroir qui trôné à l'entrée de la mairie, au cas où il y aurait un faux pli...

Un homme entra dans la mairie, c'était son Adjoint, Messire Mega.
La maire avait prit le soin de choisir un fidèle et une personne connaissant la mairie de Vendôme par cœur. Il n'allait pas laissé pendant ses absences la direction de la ville à n'importe qui.

Il lui tendis quelques documents et prédit quelques conseils de gestion.
Tout en attrapant sa besogne il passa le pavillon de la mairie, en saluant le gardien remplaçant de la ville.

Allez direction Tours.
Cham
[Depart pour un mariage ]

Cham depuis sa nomination en tant qu'ambassadrice en Touraine du BA avec lié d'amitié avec son homologue Altaiir qui l'avait inviter a se rendre a son mariage . Durant une discutions il avait souhaiter lui présenter sa compagne et futur épouse ce que la jeune femme accepta avec le plus grand plaisir .

C'est donc avec engouement que Cham se prépara enfilant une de ces plus jolie houppelande de circonstance , un bon coups de brosse a sa chevelure brune , quelques bijoux de famille et la voilà fin prête pour aller s'occuper de sa fille Aelys .
La fillette allait assister a son second mariage , du haut de ces bientôt 4 ans elle prenait cette invitation avec excitation surtout que celui qu'elle conciderait comme son père allait les accompagner pour cet événement.
Cham habilla sa fille d'une jolie robe qu'elle lui avait confectionnée avec soin étant tisserand de métiers , elle finit par lui nouée un joli ruban autour de la taille , coiffa ses quelques boucles et lui mit un soupçon d'eau de rose pour cet occasion.

Toute deux fin prêtent elles montèrent dans le carrosse avec Benoît élégamment vêtu comme toujours ce qui ne laissa pas Cham indifférente et firent route en la cathédrale de Tour ou allait avoir lieux la cérémonie du mariage .
Alandrisse
[Parvis de la Cathédrale : "Nan j'voulais pas viendre, on m'a forcée !"Ouep fallait bien]

Le plus utile quant on vivait quasiment à côté, c'était que le matin au départ d'un mariage on partageait le carrosse. Comme aujourd'hui par exemple, un carrosse, deux femmes, un homme et une possibilité. D'ailleurs la brune avait mis en place un plan machiavélique pour effacer les dernières traces d'un Angevin peu ragoûtant selon elle. Elle avait besoin de voir son amie heureuse et ce qui était sur c'est que cela n'allait pas être de la tarte ou de la chopine selon les coins. Déjà, la jeune femme s'était mis sur une banquette et avait bien étalé sa robe pour prendre toute la place. Histoire qu'Anthoyne prenne place à côté de Fil. Pour l'occasion, la brune avait du prendre exemple sur une de ses amies et ses robes qui pourraient servir de tente lors des joutes. Mais bon à nul sacrifice, nul gloire. Du coup, la Montbazon avait ce côté bling bling qu'elle détestait, qu'est ce qu'on ne faisait pas pour ses amies? Lorsque le véhicule s'arrêta, Anthoyne vint à son secours et l'aida à descendre. Heureusement car avec des kilos sur le dos, son centre de gravité penchait dangereusement vers les pavés.

Ensuite vint Fil la sauvage qui ne voulait pas sortir. Elle usa de son sourire qui avait tendance à rassurer ou l'inverse, mais bon cela dépendant de la situation. La première option marcha car la Compostelle se décida à mettre un pied dehors, Alouette fit quelques pas en direction de la Cathédrale. Observant avec attention le ciel et ses oiseaux, ce qui était très fascinant quand on ne voulait pas ennuyer une possible idylle. Enfin l'interlude ne dura pas longtemps, Filounette attrapa la jeune femme et le trio se dirigea vers la Cathédrale. Des salutations par ci et par là et ils entrèrent dans l'enceinte sacré.


Bon au moins on a le choix de la place.
_________________

Poutrée le 03/07 à prendre en consideration pour les RPs.
Aalys
[A peine deux jours auparavant, au Mans]

Les mains rougit par le sang, la robe souillée par celui ci, Lys venait de participer une nouvelle fois en tant que Sage Femme - qui a dit que les nobles ne pouvaient ?- au miracle de la nature ou plutôt de la vie. Un petit être au bout de ses bras, poussant son premier cri strident, qui n'était autre que la fille de quelqu'un de cher.
Tout allait bien dans le meilleur des mondes quand un domestique vint rappeler à Lys l'échéance quasi proche du mariage de son bien aimé cousin.

Aussitôt les amis entouraient la nouvelle petite famille, et elle les laissa tout à leur bonheur auquel, finalement, la jeune femme était ravie d'échapper. Se dandinant aussi vite que le permettait sa corpulence de femme enceinte jusqu'à son auberge de fortune, elle prit une robe choisie avec soin pour le jour tant attendu avant de partir prestement dans une confortable voiture attelée sans attendre son cavalier, celui ci venant d'un tout autre lieu.
Autant ne rien se refuser en voyage quand on dors dans un lit aussi dur depuis quelques jours.


[Tour, le jour du Mariage]

La mine pour une fois fraîche comme la rosée, bien qu'elle conserve comme toujours sa peau d'albâtre, la jeune femme se prépara dès l'aurore. Il faut dire que les coups répétés en son sein n'aidait en rien quant au sommeil.
Elle se vêtit alors de sa robe. La jeune rousse évitait de serrer sa taille, préférant ceinturer sous la poitrine pour faire ressortir celle ci et permettre au bas de robe d'être plus évasif, même si désormais elle ne pouvait cacher d'avantages la rondeur de son ventre.
Ce fut une de mousseline blanche entremêlée de fils d'or qu'elle choisi pour l'occasion, afin de faire ressortir sa chevelure de feu et ses yeux d'émeraude. L'ex Bretonne retrouvait un tantinet le goût de se faire belle, troquant tenue de Chevalier contre une plus féminine.

Satisfaite et surtout prête, ce fut à son tour d'arriver à la Cathédrale après une fastidieuse marche...
C'est avec surprise et grand ravissement qu'elle aperçue son amie fouetteuse. Elle arbora dès lors un grand sourire avant de se précipiter, non sans se contenir de lui sauter dessus, à sa suite dans le lieu Saint.
Il était encore bien vide et l'on pouvait aisément profiter de ce calme pour admirer la belle facture de la bâtisse. Un frisson lui parcourut l'échine lorsqu'elle y pénétra, le froid ambiant la saisissant un instant ainsi que le souvenir de son propre mariage quasi princier dans la grande Cathédrale de Nantes. En somme de quoi faire de nouveau disparaître son sourire. Pourvu qu'elle tienne jusqu'à la fin.

_________________
Benoit560
[le Voyage depuis Souvigny]

l'Ambassadrice du Bourbonnais Auvergne, Cham de Montesquieu avait demandé a son ami Benoit ancien Ambassadeur de l'accompagner au mariage de son homologue Altaiir en Touraine, et c’était donc avec honneur que le Seigneur de Combronde et de Meillers l'accompagna avec sa fille Aelys.

le voyage depuis Souvigny était agréable, Aelys aussi élégante que belle que sa mère jouait avec Benoit dans le Carosse, ily avait bien longtemps que ce dernier n'avait point rit de la sorte et était heureux d’être a nouveau présent prés d'eux.

Benoit ne s'etait point montré publiquement depuis le décès de son épouse et ne connaitrait surement personne au mariage, mais peu importe, il était avec deux personnes chères a son cœur et c’était le plus important


[Parvis de la Cathédrale ]

le Carrosse s’arrêta devant la Cathédrale qui se remplissait un peu, Benoit déposa une bise a la petite Aelys qui s’était endormie durant le voyage

Mesdames, nous sommes arrivées!


Benoit descendit du Carrosse et prit la main d' Aelys pour la faire descendre puis se fut le tour de Cham, il tendit son bras vers elle pour pouvoir monter les marches de la Cathédrale et de participer au mariage.
_________________
Arutha
[Le voyage, ça secoue...]

L'môme s'était joint à la partie. Ça va chier des haricots en chocolat ! Il s'était glissé, un peu plus tôt, dans la journée, dans une des malles, au Louvre. Par chance, pour lui, et par malchance pour la bouboule rose, il s'était glissé dans la malle de macarons. Les uns avaient fini écrasés sous son postérieur, les autres s'étaient carrément vu dévorés par un morfale blond.

Dans le luxe et la volupté, et oui ! Y'a de la bonne bouffe, dans les malles ! Pour le calme, c'était autre chose.

Putain, qu'est-ce que c'est bon. Aïe. Outch. Humpf. Norf. Aïe. Marde, j'ai déjà dit...
Oui, la malle n'était guère grande, et les routes guère en bon état. Et ça secouait, derrière, faut pas croire !

RRRRRRRRRRR.
Un rôt. Les macarons, c'est pire que le coca en bouteille. Ou la limonade qui ressemble à du doliprane.

Aïe'ham comingue heaume, comingue heaume, Telle ze worldeu Aïe'ham coming heaume...
Dernière chanson à la mode.

Un cri rose.
-« MAIS CA VA ALLER OUI, LE BRUIT DERRIERE ! Non mais Eilinn ! Jette pas le boulier ! » Ça roule, ma grosse boule !

[La sceptique & l& fanatique à la noce ! ... Et Arutha aussi !]

Les macarons, dans le ventre aruthien ! Les boîtes, et quelques macarons ? Écrasés sur les parois de la malle ! La malle se souleva. Une crainte, celle d'être enlevée. Quoique... qui voudrait de lui ? Héveribodi ! La malle fut ouverte.

Kikoo ! Vous allez bien ? Moi, ça va. Yoli, c'est un de tes nouveaux amis ? Il s'appelle comment ? Tu t'appelles comment ? Oui, il l'avait prise pour un garçon. En même temps, au premier coup d’œil, ça ne se voit pas trop ! J'ai bien mangé. Tous les macarons. Et je sais, Yoli, mais dans cette malle, y'avait des macarons ! Genre le mec qui trouvait des excuses. Ah, fallait une tenue de rechange ?
_________________

Absent du 30 juillet au 13 ou 15 août... Si besoin, MP ou courrier IG !
Angelyque
La Duchesse du Charolais avait insisté pour que Charles Marie l'accompagne au mariage de Camille et d'Altaiir. Elle trouvait sa compagnie des plus charmantes et avait une grande envie de se rendre en Touraine en sa compagnie. Elle n'avait cessé de babiller durant le trajet afin d'être certaine qu'il ne change pas d'avis et c'est en souriant qu'elle lui offrit son bras pour qu'il l'aide à descendre de la voiture une fois qu'ils furent arrivés à destination.

Charles, je suis ravie d'être à vos côtés ce jour, vous avez bien fait d'accepter de m'accompagner. La mariée est la vassale d'une de mes proches amies, et le fiancé est vraiment adorable. Vous verrez nous passerons une merveilleuse journée!

[A l'interieur de la Cathédrale]

Elle adressa un signe de tête à Rhiana ainsi qu'à son époux pour les saluer et le couple s'installa vers le fond dans l'attente que la cérémonie commence. La Charolaise adorait les mariages, en particulier celui-ci. Elle était non loin du futur marié lorsqu'il avait fait sa demandé lors du Sâcre de la Reyne, cela l'avait profondément émue.
_________________
Anthoyne
Il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir le stratagème d'Alandrisse. A vrai dire, cela ne déplaisait pas à Anthoyne. Fildaïs était une femme tout à fait charmante, noble mais de sa condition, c'est à dire de petite noblesse. Il ne serait pas déplaisant de l'épouser afin de se fondre dans la masse. Quoi de plus banal qu'un mariage entre une Dame et un Seigneur ? Et elle lui ferait un héritier mâle et là tout irait pour le mieux. Un petit garçon pour reprendre l'affaire familiale, ne trouvez-vous pas ça mignon ? C'est adorable, n'est-ce pas ? Quoi de plus beau qu'un père partageant ses connaissances et sa vision des choses à son fils bien aimé ? Maillé comptait bien inculquer à ce futur mais hypothétique fils les bases du parfait meurtrier. Cela peut toujours servir.

Envolées les pensées de progéniture, ils venaient d'arriver à la cathédrale de Tours. Poli, galant, aimable et toutes les qualités qu'on pourrait lui prêter, Anthoyne descendit en premier pour aider les deux femmes à descendre. Un sourire courtois à Alandrisse et un doux sourire à Fildaïs. Il est beaucoup plus facile de faire semblant quand la femme en face est charmante. Mais à peine eut-elle posé le pied à terre qu'elle rejoignit son amie. Légère frustration pour Anthoyne mais ce n'était sûrement pas ça qui allait lui faire baisser les bras. Il rattrapa les deux femmes et se plaça aux cotés de la blonde à qui il adressa un second sourire.

Puis son regard se porta sur les différents visages. Il reconnut le Grand Maître de l'Ordre du Saint Sépulcre ainsi que sa femme, la Capitaine de la Garde Royale. Il attribua à tous les deux un large sourire, ravi de les voir. Il ira les saluer plus amplement après la cérémonie. Ses yeux balayèrent le reste de la foule et reconnut quelques personnes qu'il avait croisé au Louvre. Ce mariage rassemblait du beau monde. Ceci fit sourire Anthoyne. Peu appréciés en Touraine mais ce n'était pas le cas à Paris comme il pouvait le voir. Cela fit plaisir au brun qui continuait de progresser vers la cathédrale toujours en charmante compagnie.

_________________

[Comment ça, il a un sourire niais ?! C'est de la faute de LJd Nae' !]
Exquiz
Farfouillant dans l’immense pile des papiers inutiles, du genre missives publicitaires et annonces impersonnelles, l’Exquise cherchait, désespérément…
Bah voui, pas évidement de réaliser une recette quand on à oublier les proportions ! Pourtant, son soufflé d’escargot, elle l’avait bien noté c’coup ci, sur un p’tit papier jaune même… avec des p’tits gribouillis à côtés…

Mais, ni les escargots, ni elle ne savait ou se trouvait c’te fichue recette, et voilà qu’une partie de la paperasse se fit la malle, dégringolant sur ses divins pieds. « Hé défection ! »Plus qu’à re-ranger l’bordel. Se baissant alors pour récupérer la masse, elle en extirpa un faire-part, faire-part qu’elle n’avait pas pris la peine d’ouvrir auparavant et qui pourtant, était tapissé d’un joli A aux allures familières. Etrange.

En découvrant la lettre, ses yeux ne manquèrent pas de défaillir, se plissant, s’ouvrant grand, se fermant une demie seconde, réitérant l’enchainement… Alors comme ça, il allait s’marier !
Whouaw. C’est que ça faisait un choc dans la cervelle blondissante. Un vrai tsunami nostalgique.
Elle se rappelait encore, leur joyeuse soirée autour d’un feu, avec toute la clique, à s’enivrer jusqu’au matin, où il fallait reprendre la route. Les bouteilles de rhum et d’autres liquides douteux, les lames effilées qui zèbraient le ciel, les coups foireux et prestigieux, les tavernes remplies et tout ce qui s’en suit…
Ainsi.. mademoizelle était conviée, et il fallait se hâter, car à en voir la date, elle était presque en retard.

Aussitôt dit aussitôt fait, ou presque.
Fallait encore trouver une tenue. Quoique…. Sa belle robe rouge, qu’elle sortait à toutes les occasions, même à la mort de Korri ferait pt’être l’affaire… Ou pas. Finalement pas. C’pas comme si Korri et Alta avaient eu un quelconque lien auparavant…
C’est donc pour une tenue plus pourpre qu’elle opta, ralliant la magnifique couleur au noir qu’elle chérissait tant. Dans sa crinière d’or, elle plaça une fleur en tulle, et à sa ceinture, un petit crâne finement sculpté. A chacun ses bijoux.
Ça plus tout son barda fourré dans un baluchon, et en route mauvaise troupe!


Une longue traversée s’ensuivit alors, accompagnée de ses fidèles comparses, Sinistros le ch'val, Macabé l'corbeau et Yuki la chauve souris. Pour sur qu'ils ne passaient pas inaperçu. Puis, rallier la Touraine c'était pas donné, surtout par les temps qui court. Et vas y que j'te demande un Laissé Passé, et qu'on m'le refuse.. et que j'chiale. Voilà que blondie est obligé d'se terrer dans les fourrées pour passer incognito. En mode discrétos avec le ch'val, j'vous jure que c'est pas du luxe.

Heureusement que les gardes sont un peu noeud-noued, et qu'ils sont plus occupés à perdre leur temps sur les chemins qu'à chasser l'immigré en pleine forêt. C'est donc avec une étonnante facilité, que la Farfelue s’immisça dans la vielle ville... rejoignant la cathédrale.


"c'quoi ça une cathédrale, comment que j'vais la r'connaitre?"

*se répondant à elle même*

"faut regarder en l'air qu'il à dit Alta.."

*et là voilà qui lève le museau, avançant toujours*

POC

"Aieuuuuh"

*à agresser les passants *
"t'peux pas r'garder d'vant toi pauvre gueuse!"
_________________
Della
On s'était dit : "Rendez-vous à Cruzy" dans dix jours.
De là, on prendra le carrosse de Mère/Soeur et on se rendra au Louvre, main dans la main. 'Fin, façon de parler...pas vraiment main dans la main, mais tous les deux...'Fin, pas tous les deux, tous les deux...tous les deux, ensemble.
C'est utile de préciser ces choses là parce que sinon, on ne sait jamais comment c'est interprété, genre : "Oh, t'as vu la Baronne avec le Vicomte, gnagnagna..."
Alors que la situation est tout autre !
Vous allez comprendre...très bientôt.
Posons nos regards sur le fameux carrosse aux armes des Mirandole...là, tenez, devant la cathédrale Saint Gatien. Vous voyez le cocher qui ouvre la porte ? Observez la scène...
Un homme, bien mis, élégant, tête haute, regard droit et fier descend, bientôt suivi d'une Blonde très élégante, pas bien grande, regard bleuté un rien hautain...


Tonton Flex, donnez-moi votre main, je vous prie, que je puisse descendre de ce carrosse sans risquer de me rompre le cou. Il faudra que je dise à Mère d'un acquérir un nouveau, celui-ci est par trop inconfortable! Ne trouvez-vous pas ?
L'homme, poli jusque là, tend sa main et hoche la tête aux paroles de sa nièce. L'a-t-il écoutée, entendue ? Oui/non/peut-être...vous choisirez.

Ainsi donc le couple Nièce-Tonton gravit les marches menant aux portes de l'édifice religieux.
Della prit le temps d'admirer l'architecture car elle adorait ça, les églises, elle était fascinée par le travail de tant d'hommes à la Gloire de Dieu.
Le Vicomte la tira peut-être un peu, l'histoire ne le dit pas, et tous deux entrèrent...Della avança, tenant le bras de son Oncle, laissant encore son regard caresser les décors flamboyants avant de chercher dans l'assemblée, et sa Mère, et des connaissances.
Ainsi, elle reconnut sa chef, en la personne de Eilinn, entourée des enfants terribles Yoyo et Arutha ! Elle leur adressa un petit signe de la main, jugeant qu'il serait déplacé d'aller jusqu'à eux pour leur faire la bise. Pas à Eilinn...la bise, pas à sa chef mais bien à Yoyo et à Arutha.
Puis, elle vit sa Mère en compagnie d'un Comte, aperçu déjà vaguement une fois ou l'autre.
Discrètement, elle tira la manche de Tonton Flex en indiquant d'un tout petit doigt aussi discret :
Mère est là...
_________________
--Une_silhouette


Un beau mariage allait avoir lieu dans la magnifique cathédrale Saint Gatien de Tours en ce 29eme jour du mois de Juin, celui qui unirait Camille et Altaiir. Les gens allaient venir en masse du royaume entier pour soutenir les futurs époux dans l’échange de leurs vœux. La proportion de non Tourangeaux risquait d’être énorme, aux vues des amitiés des héros du jour. Ces derniers n’avaient pas dû dormir de la nuit, et être excités, stressés mais pressés à l’idée que le jour « j » était enfin là. Cela était bien sur tout à fait compréhensible.

Alors que les gens s’étaient dirigés par vagues dans la cathédrale, cherchant à ne pas être en retard et à se trouver une place avec une vue parfaite sur la cérémonie tout en étant bien vu de tous, une ombre avait fuit la foule de la grande rue menant à la cathédrale, se réfugiant au coin d’une ruelle moins agitée pour se reposer quelques instants de la longue route qu’elle avait fait pour venir jusqu’ici, observant avec attention l’édifice et les personnes entrant.
Cette dernière n’avait pas peur de la foule non, mais la fuyait tout de même, s’y sentant mal, et angoissée. Ne laissant rien paraître d'ordinaire de cet état de malaise qu'elle pouvait ressentir, tous ceux qui l'observaient tout au long de l'année, ne pouvaient le deviner hormis quelques personnes bien informées.

Elle venait pourtant comme tous pour le mariage, elle n’avait bien sûr pas l’intention de gâcher cette cérémonie, bien au contraire, elle avait choisi de rester passive et ne rien faire, de rester dans son mutisme. C’était tout de même leur jour, leur instant de bonheur, leur moment de gloire à tous les deux, et personne ne devrait priver quelqu’un d’un moment d’amour pur. A cet instant, la silhouette se surprit à repenser au passé, elle chassa bien vite ses idées pour se concentrer sur le présent.

Remarquant que le flot de personne s’était tari pour un petit moment, elle prit son tour à l’entrée de la cathédrale, passant par une porte dérobée qu’elle connaissait bien, laissant entrevoir quelques instants un lourd trousseau de clefs dont elle venait de jouer, revenu très vite sous la cape de son propriétaire filant comme un courant d’air, prenant garde à ne laisser aucun bruit trahir sa présence, se dirigeant rapidement vers les collatéraux, à l’abris des imposantes colonnades et de leur ombre réconfortante.
Que tout le monde la voit, lui était totalement égal, ce qu’elle voulait éviter c’était le regard des futurs mariés, elle ne voulait pas qu’ils apprennent sa présence à leur mariage, bien qu’elle ai été invitée.

Enveloppée dans sa cape, elle s’était adossée à un mur posant son regard sur les personnes présentes. Elle pourrait ainsi voir la cérémonie sans être vue.
Eilinn_melani
Eilinn saisit l'oreille du blondinet pour l'extraire de force de la malle aux macarons décédés, non sans obtenir quelques couinements désapprobateurs de la part d'Arutha.
Elle fit les présentations.


Moi c'est Eilinn Melani, Vicomtesse d'Avize, Premier Maitre d'Hôtel. Donc j'serai toi, j'la bouclerai.

Désignant du doigt la cathédrale.

Donc maintenant, tu la mets en veilleuse, et tu t'essuies un peu.


Regardant les deux enfants, d'un ton assez peu amène, puisqu'elle était visiblement contrariée de la présence soudaine du blondinet :


Bon, vous avez intérêt à être sage, sinon j'vous file une fessée déculottée sur l'autel. Même pas peur.

Eilinn lissa sa tenue "made in DTC", qu'elle avait fait harmoniser à celle que porterait Yolanda-Isabel.



En avant les monstres !

Et de se diriger vers la cathédrale en s'assurant que les 2 mômes mouftaient pas. Eilinn rendit son signe de la main à Della au passage, mais vu qu'elle était en plein baby-sitting, elle avait pas envie de devoir trimballer le duo de blonds avec elle dans le lieu sacré.
_________________

Vicomtesse d'Avize, Premier Maitre d'Hotel de Sa Majesté.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)