Maud
Un porc, y a pas d'autres mots..
Rien à voir avec les gentils cochons que Maud saignait pour faire du boudin. Un porc les a rejetées elle et la reyne si fragile si démunie à l'intérieur du carrosse. Prise en sandwich avec une broche qui perce la coque comme un boucher troue la viande pour en exprimer le jus.
Une broche folle, maniée par celui dont elle a perçu le visage un court instant... la furie brune est de nouveau rentrée . Furie que Maud pique de son bâton comme elle le peut.
Un délire de bras et de jambes et la Reyne.;
Touche pas à la Reyne!!!!!!!!!! Pourriture ! Vermine!
Et d'essayer de dégager la reyne de l'étau féminin.. Elle mord au sang.. tire les cheveux mais rien n'y fait. Elle est possédée par le malin .
La sueur lui pique les yeux...elle en pleurerait...
Majestééééééééé! Battez-vouuuuuuus! Battez-vo....
Mais la royauté a baissé les bras, l'esprit, comme résignée. Un mot que la petite paysanne n'a pas appris.
Un cri de rage et d'impuissance coupé par le jugement dernier qui descend du toit. Ne sentant plus rien que la fureur, elle le pique du bout de son bâton cassé:
Je vais te saigner, porc que tu es!
Ca ne servait plus à rien.. un coup habile la chopa au bas de la nuque. La petite Maud ne verrait pas l'infâmie de sa reyne traînée et pendue.
_________________
Rien à voir avec les gentils cochons que Maud saignait pour faire du boudin. Un porc les a rejetées elle et la reyne si fragile si démunie à l'intérieur du carrosse. Prise en sandwich avec une broche qui perce la coque comme un boucher troue la viande pour en exprimer le jus.
Une broche folle, maniée par celui dont elle a perçu le visage un court instant... la furie brune est de nouveau rentrée . Furie que Maud pique de son bâton comme elle le peut.
Un délire de bras et de jambes et la Reyne.;
Touche pas à la Reyne!!!!!!!!!! Pourriture ! Vermine!
Et d'essayer de dégager la reyne de l'étau féminin.. Elle mord au sang.. tire les cheveux mais rien n'y fait. Elle est possédée par le malin .
La sueur lui pique les yeux...elle en pleurerait...
Majestééééééééé! Battez-vouuuuuuus! Battez-vo....
Mais la royauté a baissé les bras, l'esprit, comme résignée. Un mot que la petite paysanne n'a pas appris.
Un cri de rage et d'impuissance coupé par le jugement dernier qui descend du toit. Ne sentant plus rien que la fureur, elle le pique du bout de son bâton cassé:
Je vais te saigner, porc que tu es!
Ca ne servait plus à rien.. un coup habile la chopa au bas de la nuque. La petite Maud ne verrait pas l'infâmie de sa reyne traînée et pendue.
_________________