Alycianne
Sémur, le samedi 9 juillet 1459.
Elle sourit, encore, toujours, cette mioche à la robe rouge. La raison ? Il fait beau, elle est à Sémur, elle porte du rouge, elle a encore au palais le goût sucré dune pâte de fruit à la framboise, le boulanger lui renvoie un sourire effr charmant, toutes ces petites choses qui la mettent en joie Cest Alycianne, voilà tout.
Elle clopine donc dans les rues de la petite cité, sapprête à rendre visite à Marie-Alice. La canne pour laider frappe les pierres qui pavent les rues. Il lui faudra traverser la ville. Elle avance dun pas déterminé, sait où elle va, promène son regard clair sur les bâtiments qui lentourent sans paraître en quoi que ce soit étonnée. Elle na pas à saventurer sur les routes de campagne où, elle est bien placée pour le savoir, tout peut arriver. Non, son cheminement dans les ruelles calmes se fait serein.
Pourtant, figurez-vous quau détour dune ruelle
... Et la Bourgogne ne reverra plus jamais la frimousse de la petite Blanc-Combaz.
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Elle sourit, encore, toujours, cette mioche à la robe rouge. La raison ? Il fait beau, elle est à Sémur, elle porte du rouge, elle a encore au palais le goût sucré dune pâte de fruit à la framboise, le boulanger lui renvoie un sourire effr charmant, toutes ces petites choses qui la mettent en joie Cest Alycianne, voilà tout.
Elle clopine donc dans les rues de la petite cité, sapprête à rendre visite à Marie-Alice. La canne pour laider frappe les pierres qui pavent les rues. Il lui faudra traverser la ville. Elle avance dun pas déterminé, sait où elle va, promène son regard clair sur les bâtiments qui lentourent sans paraître en quoi que ce soit étonnée. Elle na pas à saventurer sur les routes de campagne où, elle est bien placée pour le savoir, tout peut arriver. Non, son cheminement dans les ruelles calmes se fait serein.
Pourtant, figurez-vous quau détour dune ruelle
- *SChPOF !*
... Et la Bourgogne ne reverra plus jamais la frimousse de la petite Blanc-Combaz.
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