Aphrodyti
Alors que Lancelin se levait d'un bond pour se jeter à la fenêtre de la portière, la jeune femme poussa un cri et lança ses deux mains en direction de ses yeux pour ne pas voir le rebondi de son derrière se promener sous son nez. Misère ! Mais que croyait-il ? Qu'elle était insensible à sa nudité ? Que rien en elle ne frémissait à chacun de ses mouvements libres d'entrave vestimentaire ?
Bon, quand allez vous comprendre que je ne veux pas être votre animal de compagnie ?
Elle rouvrit les yeux, soupirant de cette guerre lassante, où il devait comprendre que son sort en était jeté, qu'il devait accepté ce qu'elle lui offrait comme une opportunité inespérée !
Sa proximité soudaine la troubla ! Ah non ! Elle ne voulait pas de cela ! Elle était là pour ne plus s’épancher de la sorte ! Ses lèvres tremblèrent alors qu'elle lui répondait tant bien que mal, refoulant quelques idées saugrenues qui pour sur l'auraient décidé à la suivre au bout du monde.
Je ne puis trouver époux, je suis maudite, je ne veux point quelque savoyard, de quelle classe sociale soit-il. Peut-être n’êtes vous qu'un simple paysan mais à l’intérieur de ce corps, vous cachez une valeur bien plus grande ....
Elle fixait sa bouche si proche, trop proche, comme un fruit défendu et se mordit la lèvre inférieure, déglutissant lentement lorsqu'il souffla une phrase troublante.
Prenez un jeune homme, il tombera amoureux de vous en secret, et vous le modèlerez à votre façon, il vous sera fidèle, j'en suis certain.
Elle remonta son regard jusqu'à celui de Lancelin, sentant son pouvoir faiblir, comme s'il avait trouve une faille à son armure. Que savait-il de l'ange gardien qui veillait sur elle ?
Allons, ne faites pas votre enfant, écoutez votre raison, et ramenez moi chez moi...
Elle appliqua ses deux mains sur son torse et le poussa violemment, le rejetant en arrière, sa tête heurtant le montant du coche, elle espéra un instant qu'il s’évanouirait et cesserait de lire en elle une fois pour toutes !
Je ne suis pas une enfant, je sais ce que je veux et j'obtiens ce que je veux, d'une manière ou d'une autre ! marmonna-t-elle, légèrement vexée.
Elle l'observa, un peu désolée d'avoir agit ainsi mais après tout, il l'avait cherchée, pour ne pas dire tentée !
Le jour commençait à tomber, les étals avaient fermés leur devanture, il leur était impossible d'acheter quoi que ce soit à présent. Le cocher n’obéissant qu'à elle, prendrait surement la direction de la sortie de la ville. Elle pressa ses mains l'une contre l'autre, son regard ne le quittant pas un instant, espérant qu'il ne souffre point trop.
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Bon, quand allez vous comprendre que je ne veux pas être votre animal de compagnie ?
Elle rouvrit les yeux, soupirant de cette guerre lassante, où il devait comprendre que son sort en était jeté, qu'il devait accepté ce qu'elle lui offrait comme une opportunité inespérée !
Sa proximité soudaine la troubla ! Ah non ! Elle ne voulait pas de cela ! Elle était là pour ne plus s’épancher de la sorte ! Ses lèvres tremblèrent alors qu'elle lui répondait tant bien que mal, refoulant quelques idées saugrenues qui pour sur l'auraient décidé à la suivre au bout du monde.
Je ne puis trouver époux, je suis maudite, je ne veux point quelque savoyard, de quelle classe sociale soit-il. Peut-être n’êtes vous qu'un simple paysan mais à l’intérieur de ce corps, vous cachez une valeur bien plus grande ....
Elle fixait sa bouche si proche, trop proche, comme un fruit défendu et se mordit la lèvre inférieure, déglutissant lentement lorsqu'il souffla une phrase troublante.
Prenez un jeune homme, il tombera amoureux de vous en secret, et vous le modèlerez à votre façon, il vous sera fidèle, j'en suis certain.
Elle remonta son regard jusqu'à celui de Lancelin, sentant son pouvoir faiblir, comme s'il avait trouve une faille à son armure. Que savait-il de l'ange gardien qui veillait sur elle ?
Allons, ne faites pas votre enfant, écoutez votre raison, et ramenez moi chez moi...
Elle appliqua ses deux mains sur son torse et le poussa violemment, le rejetant en arrière, sa tête heurtant le montant du coche, elle espéra un instant qu'il s’évanouirait et cesserait de lire en elle une fois pour toutes !
Je ne suis pas une enfant, je sais ce que je veux et j'obtiens ce que je veux, d'une manière ou d'une autre ! marmonna-t-elle, légèrement vexée.
Elle l'observa, un peu désolée d'avoir agit ainsi mais après tout, il l'avait cherchée, pour ne pas dire tentée !
Le jour commençait à tomber, les étals avaient fermés leur devanture, il leur était impossible d'acheter quoi que ce soit à présent. Le cocher n’obéissant qu'à elle, prendrait surement la direction de la sortie de la ville. Elle pressa ses mains l'une contre l'autre, son regard ne le quittant pas un instant, espérant qu'il ne souffre point trop.
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