Amory
Il naime pas faire ça, il naime pas torturer mais personne ne semble pouvoir le faire. Il nen peux plus et veux des noms. Il na quune image en mémoire leur chevaucher démentielle et la Reyne pendue dans son coche. Cette image il la gardera à vie. Cest alors quil se déchaine sur la Sadnezz. Une baffe puis une seconde, puis un coup de pied. Elle le regarde encore avec cette haine et cette force. Il sait quelle ne dira rien. Alors au comble de sa fureur, il lui rentre deux doigts dans sa plaies qui saigne et il tire lui arrachant un crie de douleur.
Il se met à hurler tel un dément à lhomme de lautre coté du mur:
"Tu ne laime pas pour la laisser endurer tout ça. La je vais la faire se reposer pour quelle souffre encore plus après. Hersent faite votre besogne vite et bien. Soignez la un peu mais Je ne veux pas quelle est le temps de trop se reprendre. Toi le garde au lieu de bailler aux corneille approche la chaise ça sera sa prochaine punition."
Il naime pas lhomme quil est en train de devenir, il nest pas fière de lui mais pourtant il ne fait que ce quon lui a demander. Surement quil vomirait ce soir en repensant à tout cela mais la il ne pense qua une chose, il na pas pu sauver la Reyne. Et les assassins qui sont la ont été sans pitié pour cette femme. Ils ont massacré avec le plaisir de le faire.
Ce plaisir cette force quil voit encore briller dans leur yeux. Ils devraient être cassés, détruits il nen nai rien il y a toujours dans leur regard cette arrogance des fous.
Il se précipite sur lhomme et le prend par ses bourses quil Broye avec force.
"Tu me dégoute, tu la laisse souffrir tout ça pourquoi? Sauver des commanditaires. Alors souffre à ton tour." Il desserre puis Broye de nouveau les bijoux de famille de lhomme.
Il plonge son regard dans le sien puis le prend par le cou et serre la aussi.
"Donne moi le nom, le nom et tu la retrouveras. Vous serez mis dans la même cellule jusquà votre condamnation. Donne moi les noms et tout cette souffrance sarrêtera, la sienne et la tienne. Tu pourras la serrer encore un peu dans tes bras."
Il relâche le coup et voit encore cette arrogance, ça le fait sortir de ses gons et sans sen rendre compte il lui remonte les bourses dun coup de genoux sec.
"Donne moi les nom et tout sarrêtera." On dirait quil veut se convaincre lui-même que toute cette horreur va stopper.
"DONNE LE NOM. Sinon je retourne finir ma besogne vers elle."
Il montre la salle dà cotés dun signe de tête. La chaise est prête et Sadnezz a du reprendre un peu de force.
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Il se met à hurler tel un dément à lhomme de lautre coté du mur:
"Tu ne laime pas pour la laisser endurer tout ça. La je vais la faire se reposer pour quelle souffre encore plus après. Hersent faite votre besogne vite et bien. Soignez la un peu mais Je ne veux pas quelle est le temps de trop se reprendre. Toi le garde au lieu de bailler aux corneille approche la chaise ça sera sa prochaine punition."
Il naime pas lhomme quil est en train de devenir, il nest pas fière de lui mais pourtant il ne fait que ce quon lui a demander. Surement quil vomirait ce soir en repensant à tout cela mais la il ne pense qua une chose, il na pas pu sauver la Reyne. Et les assassins qui sont la ont été sans pitié pour cette femme. Ils ont massacré avec le plaisir de le faire.
Ce plaisir cette force quil voit encore briller dans leur yeux. Ils devraient être cassés, détruits il nen nai rien il y a toujours dans leur regard cette arrogance des fous.
Il se précipite sur lhomme et le prend par ses bourses quil Broye avec force.
"Tu me dégoute, tu la laisse souffrir tout ça pourquoi? Sauver des commanditaires. Alors souffre à ton tour." Il desserre puis Broye de nouveau les bijoux de famille de lhomme.
Il plonge son regard dans le sien puis le prend par le cou et serre la aussi.
"Donne moi le nom, le nom et tu la retrouveras. Vous serez mis dans la même cellule jusquà votre condamnation. Donne moi les noms et tout cette souffrance sarrêtera, la sienne et la tienne. Tu pourras la serrer encore un peu dans tes bras."
Il relâche le coup et voit encore cette arrogance, ça le fait sortir de ses gons et sans sen rendre compte il lui remonte les bourses dun coup de genoux sec.
"Donne moi les nom et tout sarrêtera." On dirait quil veut se convaincre lui-même que toute cette horreur va stopper.
"DONNE LE NOM. Sinon je retourne finir ma besogne vers elle."
Il montre la salle dà cotés dun signe de tête. La chaise est prête et Sadnezz a du reprendre un peu de force.
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