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Info:
Reconstruction des remparts de Bordeaux suite à l'invasion gasconne.

[RP/IG] Chantier des remparts: A votre bon coeur!

Falco.
Partie RP: Toute aide bienvenue pour doter de remparts la capitale.
Partie IG: Dons et achats taxés sont à disposition: la somme récoltée ira renflouer, un peu, votre duché .


Prologue

Bénis soit Lorca! Son talus de glaise servira de fondations!
Combien manque t'il pour ériger jolie barbacane par dessus cette entrée de Bordeaux?
400? 500 écus? Plus nous aurons, plus coriace sera l'endroit.

Juché sur le monstrueux Ch'val, le sac d'Os qui hier assiegeait la cité fait le tour au pas du futur chantier.
Derriére lui tentent de suivre quelques gueux sachant écrire assez vite.

Falco de
Cartel. Ainé d'une famille ayant la guerre en metier et oeuvrant pour Ducs ou Barons au grés des agitations du Sud.
Des remparts, des citadelles, des fortins, il en a assiégé autant qu'il en a consolidé .

L'idée est née à la Taverne du Val qui Rit, parmis les guerriers Gascons.
Trés vite moult gens de Guyenne ont répondu à l'appel.

Bordeaux se doit d'être fortifiée comme capitale, et non pas comme un simple bourg.

Posons ici une table, les plans..Et les ruines de ce poste de garde servirons à vendre ou acheter les Dons.
Il est tôt..Patientons!


Une affiche est posée.
Un crieur embauché pour la lire, la déclamer, la reciter aux illettrés.
Citation:


Gens de Guyenne!
Donnez votre temps, donnez un peu de vos Ecus pour vos Remparts!
Soyez solidaires!
Donnez à boire aux ouvriers.
Prenez leur truelle une journée.
Aidez à payer pierres , bois et fer pour que votre ville ne tombe jamais!

N'hésitez pas, approchez!





Dessous, sur panneau, à la grosse craie
Citation:


Premiers Dons!
Achetez pour les premiéres pierres!

3 Epis de Maîs à 5 écus!

Chaque donateur aura son nom gravé ici même!
Qu'Aristote le bénisse!


_________________
Tableau de chasse de Guyenne:

Cerenia
Cerenia s'approche et lit le panneau..elle sourit en voyant le Messir falco compter ses trois épis de maïs...

Elle tortille sa mèche de cheveux...s'imaginant porter des pierres pour la fabrication des remparts..c'est qu'elle a pas beaucoup de muscles sous sa peau la gitane..un popotin de danseuse bien rebondit , mais question bicepts...


Elle attrappe les trois maïs,les soupèsent ,les sent en fermant les yeux...


" Tu les vends chère tes épis fossoyeur!!!Mais bon c'est pour la bonne cause!!Et pis après tout chuis qu'une bohémienne!!Je me demande pourquoi je participe à tout ça!!Ah ouè je sais!!Pour avoir mon nom inscrit la première sur les pierres de la ville....Allez que ceux qui participe à la vente aura droit à une danse d'un fessiers musclè de gitane!!!"
Elle ne peut s'empêcher de le taquiner dans ses paroles...le fixant droit dans les yeux....Elle ne veut pas lui faire voir qu'elle est impressionnée rien qu'en le voyant...
Elle lui pose 15 écus sortis tout droit de son décoltée...et lui fait un clin d'oeil....

S'éloignant et tortillant son fessier ,elle passe devant deux juments maigre comme des clous...elle leur donne les épis...sourit en les caressant..


"Tenez mes belles vous aurez participès vous aussi aux remparts.."

La douce jeune femme chantonne un air gaie...qui annonce une belle aventure...
_________________
Dnartreb
[ BOIS EN STOCK ] ou woodstock

Ce fut après quelques bières éclusées, que Reb vint à gagner le lieu où il semblait y avoit mouvement de bois. De loin 'lon aurait pu croire qu'il y avait échafaudages mais il m'en était rien. Seuls quelques planches de bois empilées attendaient qu'on les montât. Certes cela pouvait atendre car les fondations n'étaient point faites.
La bière aidant, Reb lu la missive affichée par deux fois.

Par mortes couilles et pisse dru! Il faut en plus donner écus?

Il y avait bien là une donzelle se trémoussant quelque peu. Si c'était là qu'il fallait mettre pierres en fondation, la déroute serait de proportion.

Holla la donzelle, vous payer en monnaie de singe? Qu'avez vous à danser pour quelques écus à ne point donner? N'êtes vous point à la solde de ce pauvre falco?

S'il compte sur mes deniers pour l'aider à faire maison de bois ou pierre à tailler, il se trompe. J'étais venu voir si les travaux avançaient.
Donner 15 écus pour vous voir danser est une farce qui fait sourire...Cet argent irait donc au duché ou à la mairie, si j'en crois les dires?
Pourquoi la noblesse de ce pays ne s'engage t-elle pas elle même et vendre le maïs sous contrôle?


Le drôle qui a pondu cela mériterait autre scène faite de ces planches de bois.

Reb salua la damoiselle tout en affichant petit sourire amusé.

Je reviendrai voir si le crieur a autre choses à nous dire...Pour cette heure, je dois regagner mon stand. Il est facile à trouver...Pas loin de la taverne du Val qui rit!
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Cerenia
La gitane se retourne ...insolente...qui ose lui parler ainsi....
"Holla la donzelle, vous payer en monnaie de singe? Qu'avez vous à danser pour quelques écus à ne point donner? N'êtes vous point à la solde de ce pauvre falco? "

Elle ne peut s'empêcher d'esquisser un sourire aux coin de ses lèvres ,elle prend son air fière de gitane ,cambre ses reins...et dans un regard de feu elle lui lance....

"Sachez ,messir que je ne fait partie d'aucune chevauché...je connais Messir falco car il est le fossoyeur du village ou j'étais un temps...Et puis on vous oblige pas à donner vos écus si vous le voulez pas...."

Elle se rapproche de lui et lui tourne autour...tel une buse à une souris...

"....vous avez l'air bien musclé messir...donnez vos bras...et vous aurez fait une bonne action!!!...De quoi avez -vous peur?Perdre quelques écus? eh bien si vous en voulez ,je vous donnerais de ma monnaie de singe!!...Et pensez vous que le falco soit assez stupide d'arnaquer une bohémienne...sachant que les gitans sont qu'une famille...et que si un me touche...la famille lui tombe dessus..."

Elle le fixe dans les yeux ,se mordillant la lèvre...lance sa chevelure d'ébéne dans les airs pour dégager son visage,faisant voir que ,elle! pauvre fille n'a pas peur de donner quelques écus...pour un projet qu'elle trouve bien...et que si elle se fait avoir par sa naïvetè elle sait qu'elle est prête aàaider ...et elle en est fière...
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Falco.
Hola le Timoré de l'épée! Si ta noblesse de Guyenne cessait de se jeter sur des lances ou échafauder quelques elections, elle assumerait ses devoirs de vassales..
Mais vois tu Baronnet icelieu?
Nenni!

Une enjambée de grue ayant vue une grenouille, il déplace sa longue carcasse contre une pile de pierres de taille.
Ayant troqué l'épée pour un T de charpentier, sa robe et ses manches sont maculées de séve fraîche.
Du chataigner ira ici et la, ça pourri pas, ça chasse la vermine.
La Porte de Bordeaux est un solide talus encore piqueté de pieux, mais déjà une ligne ondulante de fondations est coulée.
A crédit pour l'heure.

J'promet pas une citadelle imprenable..Mais au moins jolie porte forte ou vos gueux auront utilités...Chercheur de milice fantôme!
Allez..Vois Aelyce la bas, et verse ton obole..

Le cou craque quand la tête opine de coté, les épaules bougent comme anguilles dans un sac. Une drôle d'idée se lit sur la face striée.
Ou préféres tu que je prenne moi même ta bourse aux portes de la ville?

Amusement pour passer le temps.
Ici comme partout ailleur, noblesse déroge à ses devoirs.
Au mieux une allégeance furtive histoire de garder jolies armoiries..
Le Sac d'Os n'est pas un ange, mais petit hobereau de campagne qui sait que cen'est pas en sifflant qu'on attrape des merles.

A cérénia il donnerait bien coup de main pour immobiliser le damné popotin. Y a des choses à pas trop faire sous sonnez quand on le sait abstinent depuis des mois.


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Tableau de chasse de Guyenne:

Aelyce_h
Flatter en vain le dos de l'âne pour qu'il avance en tirant la charrette où trône deux tonneaux couchés et bringueballants, et tout le matériel qu'elle a acheté le matin même * (Voir Rp : taverne val qui rit sur gargotte) pour les vendre sur place.

Las des fourrages secs et de plus en plus maigres d'un hiver finissant, l'équidé s'arrêtait à chaque touffe vert tendre qui surgissait de la terre. C'était à présent imprimé dans sa tête : "Emprunter" un âne oui, mais un âne repu uniquement!
Autrement si elle avait eu la force de tout porter sur son dos à elle, elle serait arrivée depuis belle lurette puisqu'elle les voyait d'ici les tentes qui poussaient tel des champignons en vue d'abriter la main d'œuvre venue en renfort.

Elle s'arrête un instant, les mains posées sur ses hanches tournant autour de la charrette en sifflotant, avant d'assener le postérieur de l'âne d'une claque sonore , tout en imprimant un bond en arrière : pas folle la guêpe, elle savait que la réaction n'allait pas tarder, mais espérait qu'au lieu de ruer comme il le fit, soulevant légèrement la charrette et renversant la moitié des truelles par terre, il ait plutôt eu la miraculeuse mais néanmoins ingénieuse idée d' avancer, non?.


-oulah tout doux l'âne! Y'en a qui appérécient les fessées je t'assure!
...se rattrapper comme on peut.. Bon tu dois être de ceux qui préfèrent avoir une carotte qui pendouille devant les yeux peut être, mais j'ai pas de carotte c'est pas la saison...

Il remua ses oreilles acquiesçant mais regardant obstinément un point fixe, la queue se balançant de gauche à droite narguant la brune de Dax, tandis que les pattes elles demeuraient immobiles.

Elle fixa une touffe d'herbe fraîche ornée de paquerêttes qu'elle s'imagine alléchante, et la maintient au bout de sa canne plantée dans la charrette, par une corde pendouillant devant la monture têtue :
Elle approche la touffe jusqu'à ses narines, le temps qu'il salive et l'éloigne aussitôt dès que ses lèvres excessivement charnues, limite atrophiées, se tendent tel des bras vers l'appât.
Les pattes bougent : Un pas, deux pas, la touffe-mirage joue le jeu, et garde constamment une distance honorable entre elle et le baiser fatal.
C'est à cet instant là qu'elle aurait dû crier victoire, mais non L'âne n'avait pas encore dit son dernier mot. Il s'arrêta devant une autre touffe enracinée, avec des pâquerettes moins fanées avant de lui jeter un oeil condescendant.
Elle lève les yeux au ciel refusant de s'avouer vaincue. On peut perdre bien des batailles et gagner la guerre.

Et si elle essayait le charme..non pas qu'elle ait des airs d'ânesse, mais c'était le printemps et elle avait remarqué que ses attributs..mâles sans doute aucun..n'étaient pas si discrets.
Hop une pensée à Cérénia et sa fabuleuse démarche qui fait que tous les hommes la suivent sans brancher, et elle se mit à tortiller les fesses sans trop y croire devant l'équidé qui avait cessé de brouter pour remuer une queue qui avait tout d'un coup la bougeotte.
Soudain elle l'entend la charrette qui démarre, et le tintement du métal qui se balance dessus. Elle ose un coup d'oeil sans cesser de tortiller son popotin, vibrant hommage à la bohémienne Labritoise.

Elle frôle le foulage de chevilles à force de faire tanguer les hanches de gauche à droite et de droite à gauche de manière prononcée.


Elle passe auprès de Cérénia en pleine discussion avec Reb, et qui s'était interrompue pour lui lancer un regard effaré :

- Céré c'est pas que je me moque hein ma belle, mais cet âne ne voulait bouger que comme ça...enfin bref! je cale la charrette et j'arrive


Elle entend deux paysans se chuchoter avec la discrétion d'un âne en rût :
-T'as vu comment elles marchent les Gasconnes?

Elle leur répond d'un regard noir lancé par dessus le dos de l'âne, tandis qu'elle relâche l'équidé et transforme la charrette en étalage de fortune
Elle escalade agilement un tas de pierres amoncelé depuis ce matin et leur crie de sa petite voix qui ne porte hélas pas très loin :


-Besoin d'acquérir des outils? venir me voir!

Ah finalement le vent a aidé, quelques visages se retournèrent, c'est le moment où jamais de faire tinter le métal du petit seau qu'elle tenait pour ramasser l'obole, elle y verse 24 écus en petite monnaie, ce qui fut plus parlant que mille discours, elle crut tout de même bon de rajouter :


-L'obole pour financer les remparts c'est ici!


Petits sauts de pierre en pierre, jusqu'à redescendre sur terre et rejoindre le Gypaète et Dnartreb qui discutaient.

-Alors Reb? tu aimes toujours autant jaser? et si tu nous montrais tout ce que tu sais faire? Elle joint le geste à la parole et lui lance la truelle juste devant les yeux, de façon à ce que ce soit impossible de l'éviter, soit elle lui écrase le nez soit il l'attrape.

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Grandelf
Comme à chaque matin, Grandelf se promène dans la ville de bordeaux. La soif lui arrive à la bouche.

Ha, la taverne du Val qui rit n'est qu'à quelques pas. J'irai donc boire un verre et connaître les nouvelles du jours.

[La Taverne du Val qui rit] Grandelf arrive à la taverne et entre. Il s'offre un verre et écoute les conversation. Il y avait Simone De Beauvoir et Aelyce. Simone est la maraine de cet homme. Pour lui, c'est la personne la plus chère à qui il fait le plus confiance. Et Aelyce, elle pour lui sa plus grande amie. Grandelf entend parler d'un grand projet à Bordeaux. Pour lui, cette ville est adorable. Il y a pleine de bonnes personnes. En entendant des mots sur ce projet, le chauve leur pose des questions.

Quel est ce gros projet que vous parliez qui est commencé?

Grandelf apprend que ce projet est la reconstruction des remparts de Bordeaux. Il apprend aussi que Falco est présentement sur le chantier. Laissant son verre à moitié plein, il court droit au chantier.

[Chantier Des Ramparts] Arrivée, il voit un homme qui regarde les plans du projet. C'est messire Falco. Il s'approche de lui et lui propose son aide sur ce projet.


Je vous connait vous, vous êtes messire Falco! Je me présente en cas ou ne me reconnaissez pas, je suis Grandelf, je suis d'ici. J'adore cette ville et j'aimerais bien participer a ce projet. Ce sera peut-être pas si facile que ça, mais je ferai de mon mieux. Jai une truelle, elle n'est peut-être pas en si bonne état, mais elle devrait faire l'affaire. J'attend juste que vous me disiez ce que je devrais faire et je le ferai.

Grandelf écoute attentivement tout ce que messire Falco lui propose et se met prêt à agir.
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Falco.
Ah! Voila un brave bonhomme!
Bah tu vois ce tas de moellons et les deux murs de soutiens?
Remplis mon gars! Pis rameute un max de bras, car on va pas monter une tour de chochottes!
Y en a qui savent pas que l'artillerie est l'arme de l'avenir par ici! Ah!Ah!


En fait c'est une montagne de gravats qui va venir remplir les remparts, et si du monde arrive, ils couleront avec un mortier de derriére les fagots. Un truc qu'il a vu dans le Sud dans des ruines romaines.
Ca a l'air de rien, mais si ça a tenu des siécles contre les saisons et les voleurs de pavés..Ya pas de raisons.
Il montre les plans à Grandelf, du moins la partie essentielle.

Si nos finances sont bonnes, le Val qui Rit fournira des menus ouvriers..Aller hop! A ta brouette !

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Tableau de chasse de Guyenne:

Narvath
Arrivant sagement, une mini-brouette d'outils plus ou moins utiles pour le chantier, un bout de poisson coincé dans la bouche, Narvath aperçut un grand chantier qui commençait. Un homme criait à la vente de produits qui serviraient à financer le Duché, ou la Ville. Le jeune homme sourit, et vint positionner sa brouette à proximité des autres outils et gravats entassés dans un vaste espace.

Puis, il vit une sorte de bureau planté au milieu du décor, où plusieurs gens discutaillaient autour d'un plan, pour le moins explicite. L'Blayois décida d'aller y j'ter un coup d'oeil.

Une fois les quelques mètres passés, il se présenta aux deux bonhomme debout, penchés sur la table. Tirant sur une légère révérence.


Bonjour, messieurs, je suis Narvath, venu tout droit de Blaye pour prêter main fort à ce chantier.

Regardant précisément sur le plan, il s'aperçut l'immensité des travaux. Ah ça, ce serait des remparts ! Espérons au moins qu'ils serviraient à quelque chose d'autre qu'à être détruits, ceux-là.

Mais dites moi, si je ne m'abuse, ce sont bien les plans ? Vous m'expliquez un peu comment ce sera ?
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Dnartreb
[ Manière à donner matière ]
Alors qu'il tournait talons, Reb se fit bien vite accoster. Etre en eau trouble n'est point de tout repos. La donzelle semblait vouloir dire autre chose avec ses lèvres. Il écouta son blablabla sans moquerie mais se demandait si cette rouleuse de popotin avait bien cervelle en tête.
A deux pas de ronde, le sieur Falco fit apparition non sans porter voix. Reb ne retint que quelques mots, venant faire vibrer marteaux sur enclume. Il regarda Falco de haut en bas puis rétorqua:

Héhéhé aurais-je réveillé le leu, que l'on y voit le bout de sa queue?

Je venais prendre air de ce coté du mur. Les travaux avancent on dirait. Je ne savais pas que l'on pouvait autant se tacher en si peu de temps. C'est une maison pour les petits cochons de Bordeaux? ou pour les moutons de Guyenne venus des plaines?

Reb prit expression plus grave tout en se grattant sous l'oreille.

La noblesse de ce pays ne comprend rien. Elle laisse faire à sa guise. Trop de leu en ce pays!
En réponse à votre impatience de me voir payer, je puis vous dire que je ne donnerai pas écus à cette heure car je n'ai point cette somme. Mes muses viendront sans doute donner de leur temps pour les gens d'ici et gratuitement.
Après tout, je leur avais promis aventures ;


Reb semblait maintenant impatient de regagner son stand. Il n'aimait point les Gascons

Je vous propose un marché! Tout le temps que je resterai ici, je dépenserai mes écus à votre établissement qui se trouve non loin de mon stand. Je compte payer à boire à mes muses, mais...Je crains que votre taverne ne puisse plus laisser entrer autres personnes.
Ou alors peut-être vendrais-je un bouclier de trop et vous ferai grâce sur son prix...Si vous avez autre arrangement, dites le moi, car j'ai 1 écu d'hotel à payer par jour et je ne paie pas en monnaie de singe!


Reb salua Falco, lui promettant de revenir au plus tôt.


[désolé pour décalage mai plus de net depuis 15h je peux pas changer car pas chez moi]
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--La_cruche
De retour, collée aux basques d'une fourmi maussade, elle cavale dans tous les sens, à la recherche de l'homme de sa vie... Son Casse-Bonbon d'amouuuur !
C'est que la journée sera vite passée et l'autre chieuse ne veut pas rester... trop pressée de rejoindre son homme, alors elle s'en carre de les séparer...

C'est dans l'idée de pouvoir bisouiller de tout son saoul son namoureux délaissé depuis trop longtemps, et de lui rappeler qu'elle veille, et qu'il ne se laisse pas trop tenter par les sirènes bordelaises, sinon il tâtera de son pied au derrière, avant de pouvoir lui coller ses paluches sur le sien céans qu'elle se rue vers le chantier, criant à tue tête :


CASSE BONBONS!!!!! MON NAMOUUUUUUURRR ! J'SUIS REVENUUUUEEEE !

Elle cherche, fouille, soulève les rares caillasses qui sont déjà posées, dévisage sans vergogne les rares présents, travailleurs et autres paresseux, surprenant certaines bribes de conversation amusantes... Ousskil a vu un leu l'autre... le grand machin tout maigre est pas un leu, c'est un faucon, ce qui n'est pas la moitié d'un vrai... elle l'a entendu dire ça, alors elle y croit dur comme fer.

Reprenant ses recherches et son hurlement de crécelle à vous péter les tympans à dix lieues à la ronde :



CASSE BONBONS!!!!! VIENS VOIR TA CRUCHE ADOREE !!!!! ON A DE BEAUX SEXTUPLES A FAIRE MON AMOUUUUUURRRRRRR !!!!


Le cri exaspérant de la nunuche se perd dans les rues de Bordeaux, dont les murs tremblent à son passage...


Falco.
] Sur le chantier

Alors le plan la..C'est une élévation de porte fortifiée. Ici et ici, une base trapue, pentue, pour éviter les sapes et devier les projectiles..Le Rempart ne sera pas haut..Mais large..Et en face, coté exterieur on élévera un vaste remblais.
Ainsi les defenseurs et les murs seront plus ou moins à l'abris des armes à poudre, tout en pouvant tirer sur tout assaillant..

Quant à la porte elle même..Et bien si quelques forgerons et charpentiers se remuaient les fesses..Et que nous avions plus d'écus..Nous referions une herse et un pont levis à bascule.

Voili chére Narvath..Mais pour l'heure, faut aligner les pierres, et combler le mur de mortier et moellons! AhAh!!

Son épée repose, poussiéreuse, sur la table ou le livre de comptes reste trop blanc à son goùt.
Sa principale tâche , en bon nobliaut féru d'art militaire, est de mesurer et calculer divers choses et volumes.
Quand il en a marre, il se détend avec les brouettes et les seaux de glaise.
Le soleil est taquin. Un tonneau d'eau entonne un chant de siréne..Il est sec et sale comme un rat fouisseur.

_________________
Tableau de chasse de Guyenne:

--Casse_bonbons


[A proximité du chantier]


Agenouillé derrière un talus, écoutant religieusement le bourdonnement de quelques mouches bleues (ou vertes?^^) venue bénir son offrande à dame nature. Il savoure le Casse_burnes ce moment de solitude où il peut enfin s'arracher à une Guyennoise en manque de mâle au point où ils vécurent d'amour et de cochonnailles pendant tout ce temps.
Il avait prétexté d'aller aider aux remparts, mais le but était de faire son gros besoin puis somnoler seul..loin des femmes..
La bouche grande ouverte, les yeux mis clos, il fait le vide tandis qu'un filet de bave coule le long de la commissure de ses lèvres..Quand un cri déchirant la quiété du moment retentit au loin :


CASSE BONBONS!!!!! VIENS VOIR TA CRUCHE ADOREE !!!!! ON A DE BEAUX SEXTUPLES A FAIRE MON AMOUUUUUURRRRRRR !!!!


Il secoue ses joues aussi flasques que deux flans pas tout à fait pris et cherche incrédule à savoir s'il rêve ou pas! sa cruche! sa femelle Gasconne est revenue!! Ses jours ici-bas seraient comptés si elle savait!
Une mouche verte se faufile à cet instant précis dans sa bouche grande ouverte et se colle à ses amygdales enflées. Il se donne une claque sur son visage imprimant en rouge ses 5 doigts écartés, se poussant lui même vers l'arrière perdant ainsi un équilibre des plus précaires


[scène au ralenti]
Aristote perché sur son nuage de loin le confondrait avec un papillon battant gracieusement des ailes près à décoller et rejoindre le firmament, puis le décollage échoue et le train arrière du dit papillon se colle sur le sol dans un "splash" qui préconise qu'une matière humide fut misérablement aplatie

[retour à la vitesse normale]

Il remonte vite son pantalon sans s'essuyer, il y'avait urgences : prendre ses jambes à son cou et fuir. Puis finalement non, il s'immobilise un instant et réfléchit : Elle a bien dit sa cruche qu'elle voulait des sextuplés, non? Ils n'auront qu'à faire la chose six fois de suite, et hop la voilà engrossée de six enfants, sitôt pondus qu'elle s'embarrassera que de les élever, les nourrir et les torcher, le laissant lui batifoler à sa guise.

Ni une ni deux, il attrape ses braies et court les jambes désarticulées et le ventre ballotant jusqu'à elle, lui murmure moults mots mièvres dégoulinants de miel et l'attirer derrière un talus pour de chaudes retrouvailles.
Il la détrousse vulgairement car pas de temps à perdre et hop la culbute à la hussarde à 6 reprises, nageant dans sa sueur, les cheveux collés sur son visage déformé par l'intensité du moment. Quelques râles mâles inidentifiables même par les chasseurs les plus avertis déchirent l'espace.


[Scène au ralenti]

(Bande de voyeurs pervers vous êtes démasqués !^^)

[scène en accéléré]
L'ancêtre du marteau piqueur est né.

[Epilogue]

C'est beau l'amour!
--Narvi


Un petit pas musarde dans la campagne, à l’orée de la ville.

Le môme est arrivé le matin même, alléché par la perspective de voir de près la nouvelle capitale poussée comme un champignon à quelques lieues de chez lui. Tout impressionné, il n’a encore oser y pénétrer, et pour l’heure la contourne et l’admire.

Elle est belle est grande, mais lui paraît fragile sans les défenses qui entourent habituellement les villes. Il s’attendait à l’inverse à une immense forteresse farouchement gardée par de preux soldats armés jusqu’aux dents. Comme souvent son imagination est un poil désappointée par la réalité, mais il lui en faudrait plus pour se décourager. Il a entendu parler de grands travaux de fortification. Et le voilà déjà qui s’imagine y participer, du haut de ses trois pommes, et bâtir pour de vrai la citadelle qu’il a rêvée.

Quelques bruits incongrus le tirent de ses glorieuses pensées.


Tiens, il y a une ferme dans l’coin ?

Aucun doute. Ça piaille, ça couine, ça roucoule, ça ahane, ça halète, ça glougloute. C’est tout proche, et pourtant il n’aperçoit aucune bâtisse qui pourrait en être la provenance. Il tourne la tête de droite et de gauche, s’enfonce dans les taillis, intrigué, affamé aussi. Dans une ferme il y a toujours un œuf à grappiller, et la route a été longue pour ses petites jambes.

À proximité d’une motte de terre, les bruits se font plus insistants. Tapi derrière, il jette un œil discret. Tiens non, ce n’est pas une ferme, mais c’est intéressant tout de même. Le petit nez se fronce. Le gosse ferme un œil, penche la tête. Il avait déjà mené une vache au taureau, il avait déjà vu des seaux d’eau balancés sur des chiens, mais ignorait que ces pratiques étaient courantes aussi chez les humains. Curieux de tout et féru de savoir, il observe donc attentivement, avec tout le sérieux dont est capable un petit garçon, et qui dépasse de loin celui d’un pape.

Jusqu’à ce qu’une image germe dans sa tête. Celle de la Blanchette, la chatte de la boulangère, qui par crises se juche sur le muret pour brailler son désespoir, toute la nuit s’il le faut avant qu’un matou quelconque ne la monte. Alors dans sa tête, la donzelle épiée se substitue à la minette. L’enfant la visualise accroupie sur ledit muret, miaulant à pleins poumons pour attirer son mâle.


Et il rit, d’un rire clair d’innocence.
Grandelf
Grandelf regatde attentivement les plans des ramparts et écoute ce que messire Falco lui dit. Ayant bien compris ce qu'il doit faire, Grandelf se met en action. N'ayant pas de chariot pour transporter les moellons, il jette un coup d'oeil dans le chantier pour emprunter une brouette.

Ha! En voilà une brouette. Elle ne semble pas très bonne état, mais c'est mieux que de transporter les moellons un par un tous à la main.

Grandelf court chercher la brouette. Il la pose à côté du tas de moellons et commence à remplir cette brouette mal en point. Aussitôt qu'il ne réussi à poser un moellon de plus sans qu'elle tombe, Grandelf tente de lever la brouette. Les bras de la brouette lui reste dans les mains et le reste tombe sur le côté.

Foutu brouette!!!!! J'espère que personne n'a vu ça. Tu vas voir foutu brouette que tu ne gagnera pas. Tu ne me feras pas déplacer les moellons un par à la main!!

Grandelf regarde autour de lui pour voir si quelqu'un l'a vu. Il donne un bon coup de pied sur cette brouette. AÏE!!! Il déchire des lisières de son linge pour en faire des lacets et rattache les bras de la brouette. En espérant que son chef d'oeuvre résiste, il recharge un peu moin la brouette et commence à remplir entre les murs de soutients.

Le soleil se fait fort et Grandelf a très soif. Il regarde autour de lui espérant avoir de l'eau.
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