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[RP/IG] Chantier des remparts: A votre bon coeur!

Kit.
Kit cherchait du regard le responsable des travaux quand soudain il entendit une voix
Citation:
Hé, jeune homme, ça ne te fait rien de me donner un coup de main? Je t'en serai très reconnaissant.

Il se tourna vers la personne qui avait parlé et répondit:
Bien monsieur j arrive tout de suite vous aider
Puis après avoir finis de prononcer sa phrase il se mit debout et alla voir la personne qui chargeait et déchargeait du moellon.Une fois sur place il se mit à la tache .
Baron_arwin
PAR SAINT JACQUES A L'ATTAQUE DES REMPARTS DE BORDEAUX !!!!! SANTIAGO

Euh non, avant de partir à l'assaut il faut déjà construire les remparts et ça c'est loin, très loin d'être aisé. Voila les méchants, gentils Gascons (pas vraiment possibles de savoir qu'est-ce qu'ils étaient) partis et ils laissent en plan le chantier qu'il avait commencé.

Arwin grogne que quand on commence quelque chose on le finit mais non. Ce ne doit pas être dans les us de la Gascogne.

En tout cas soit c'est une erreur de quartier soit il n'y a pas de Bordelais à Bordeaux. A part quelque vagabonds natifs, les notable de la cité ne sortent que peu. Ou alors ils sont tranquillement enfermé de le palais de l'Ombrière en train de faire de la politique.
Enfin bref, le soldat du Très-Haut se dit qu'en attendant de trouver la duchesse de l'Aigle il pourrait aller voir ce fameux chantier qui tracasse le sieur Grandelf.

Une petite promenade à Bordeaux, une bien bonne idée. Arwin sort de l'auberge des philosophes de Bordeaux "Le Flore" où il a choisi de séjourner moyennant un écu par nuit et va tranquillement sur les nuages gris déambuler sur le port le long de l'estuaire. Il voit le palais de l'Ombrière au loin et la cathédrale aussi. Il regarde un moment les bateaux de pêcheurs et se dit qu'ici les bateaux marchands pourrait remplacer ces vieux rafiots pourris. L'odeur de l'iode lui chatouille les narine et et quitte les quai en sifflotant.

Il part en direction des remparts. Ces fameux remparts. Il n'a pas trop compris le pourquoi du comme ça ce fait que c'est l'ennemi qui construit les remparts. Peut être qu'en y faisait un tour il élucidera le mystère.

Il arrive là-bas au bout d'un quart d'heure de marche. Il voit t qu'il y a le sieur Kit, l'un des rare badaud Bordelais, le sieur Grandelf un autre et des parfaits inconnus Mais pas l'ombre d'une duchesse de l'aigle, d'une Enorig Von Frayner par ici. Dieu il ne faut pas rêver non plus. Le jour ou une noble de cette importance mettra les pieds sur un chantier alors il s'agira de ses propres remparts. Déjà que lui ne devrait pas être ici. C'est pour faire plaisir qu'il est venu mais il n'est pas du tout enchanté de travailler la pierre dans un bourbier et à sa petite idée pour y échapper.


Bonjour sieur Grandelf. Je suis venu vous..aider dans votre tache. Je me suis dit que je pourrais porter ma contribution de manière moins......... salissante et "manante" tant que diplomate du chantier. Car quoi ce serait bien que ce chantier soit reconnu officiellement. Vous savez auprès du maire ou même au palais de l'Ombrière

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Lorca
Et sur un tas de pierre, croix d'argent planté dans le sol, robe volant au vent et poing dressé vers la Teste et la trainée de poussière laissée par les gascons, le prêtre hurle.

En vérité je vous le dis. Les méchants seront punis à l'heure du jugement dernier, car ainsi que le préchait sainte Kirene, apotre du prophète Christos, l'usage du fer est la marque de la créature sans nom. Et par leurs actes et leurs paroles, ils nous ont prouvé combien ils révéraient le fer dans ses aspects sanglants.

Et de dévoiler les horribles cicatrices qui défigurent son corps déjà bien torturé par une nature capricieuse.

Regardez mes frères, regardez les traces qu'ils m'ont laissé. Les horribles cicatrices que leur fer hérétique a laissé sur le corps de votre humble serviteur. Et contemplez leur fuite alors qu'ils se rendent compte de leur crime et des tourments qu'ils encoureront pour l'éternité.

le reste de son discours est bientôt emporté par la tempête qui se lève, réponse divine au discours du prêtre ou simple coincidence.
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Grandelf
Travaillant avec messire Kit, Grandelf apperçoit un homme s'approcher de lui.

Ha messire Arwin, content de vous revoir, et ici en plus, au chantier. Que puis-je faire pour vous?

Citation:
Bonjour sieur Grandelf. Je suis venu vous..aider dans votre tache. Je me suis dit que je pourrais porter ma contribution de manière moins......... salissante et "manante" tant que diplomate du chantier. Car quoi ce serait bien que ce chantier soit reconnu officiellement. Vous savez auprès du maire ou même au palais de l'Ombrière


Humm, je ne suis pas celui qui dirige ce chantier, mais puisque ceux qui s'occupe de ce projets sont parti, et que pour l'instant personne accepte de prendre la relève, je pourrai vous demander de convaincre le maire ou quelqu'un de haut niveau pour s'occuper du projet. Ou bien, vous pourriez attirer du monde pour avancer cette construction. Le gros problème, c'est le manque de personnel et de financement. Je ne pourrai m'occuper de tout ça.

Après ces dires, le chauve jette un coup d'oeil vers les portes en construction. Il grimpe sur le dessus du plus gros tas de moellons

AVIS À TOUS LES BORDELAIT, JE CROIS QU'IL FAUDRAIT UNE DEVISE DE BORDEAUX TROUVER PAR DES BORDELAITS ET LE GRAVER AU DESSUS DES PORTES DE BORDEAUX.

Grandelf descend du tas et en mettant le pied sur un des moellons instable, descend du tas rapidement. oulaaaaaaaa aïeux

Le chauve se relève, se tappe le derrière pour s'essuyer et reprend son travail avec sa brouette et son compagnon.

En travaillant, il voit messire Dnartreb avec un rouleau de parchemin dans ses mains

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Dnartreb
Reb avait bien quelques idées sur la façon de poursuivre mais le temps était compté. La main d'oeuvre n'était point au rendez-vous. La noblesse de ce pays n'avait même pas pris peine de venir préter mains. Il est vrai que vivre en à l'écart du peuple est monnaie courante. L'on a pas le même usage des mains.

Il y avait âmes aux remparts et Reb voulu les aider, ne serait-ce qu'une journée. Il avait trouvé un chariot, puis avait mis ses deux montures pour transporter pierres à monter.

Hola de la muraille! J'ai pour vous pierres à dresser!


Une fois arrivé au chantier, Reb libéra les deux chevaux puis laissa retomber le chario, libérant de grosse pierres.

Je suis fort aise de vous trouvez ici Grandefl, j'espère que d'autres personnes vous aident à cette tâche. Je vais refaire un autre voyage et vous porter plans pour finir une barbacanne et mettre devise en place.

Reb salua les autres personnes, puis repartit avec ses montures vers la carrère.
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Kit.
Kit continuait de faire son travail quand il vit un sir discutait avec Grandelf et celui ci se mit à crier:
Citation:
AVIS À TOUS LES BORDELAIT, JE CROIS QU'IL FAUDRAIT UNE DEVISE DE BORDEAUX TROUVER PAR DES BORDELAITS ET LE GRAVER AU DESSUS DES PORTES DE BORDEAUX.

Kit s ' arrêta un peu surpris et se remit au travail tout en réfléchissant à une devise perdu dans ses réflexions il fit tomber du moellon par terre ce qui le ramena à la réalité et s ' appliqua dans son travail .Un autre sir arriva ,celui-ci apportait des pierres et écoutait distraitement car il était occupés par le travail .
Ladyelisa
Elisa rejoignit Reb à la carrière. Elle avait décidé elle aussi, pour le peu de temps qu'il lui restait à passer à Bordeaux, de se rendre utile.

Elle arriva essoufflée d'avoir couru.

Eh Reb! Laissez-moi vous aider! Prenez les grosses, je prendrai les plus petite...il y en aura bien usage!

Elisa banda ses muscles et, de son corps frêle mais tendu, hissa sur le charriot bon nombre de pierres de taille modeste. Ses allés retours étaient ponctués de quintes de toux provoquées par la poussière qui se soulevait chaque fois qu'elle lâchait l'une d'elle dans la carriole. Elle ne pouvait s'empêcher, lors de ses nombreux passages, de flatter l'encolure des deux patientes montures qui elles aussi, parfois, se laissaient aller à un éternuement.

Elle jeta un coup d'oeil à Reb, qui ne ménageait pas ses efforts.


Je crois que ce soir, nous pourrons aller boire quelques chopes! lui dit-elle en riant.

Elle avait retrouvé un peu de sa bonne humeur et de sa joie de vivre. Elle savait Ersinn hors de danger, et cela lui donnait force et détermination. Elle était en pleine forme et c'est en chantonnant qu'elle hissa les dernières pierres.
--Narvi


Son air hautain se mua en mine inquiète en remarquant la légère claudication de la petite. Se pouvait-il qu’elle soit due à sa chute ? La demoiselle aurait-elle par fierté voulu masquer sa douleur derrière ce grand éclat de rire ? Si c’était le cas il avait de quoi être impressionné. De la part d’une baronnette il se serait plutôt attendu à des geignardises voire à des menaces de mort et de damnation jusqu’à la septième génération.

La petite voix interrogatrice le tira de ses réflexions et il se força à détourner le regard de la jambe incriminée. Regardant la gamine dans les yeux, il mit un instant à comprendre le sens de la question à peine écoutée.


Heu ! Du solide ? Pour sûr ! Rien d’plus solide qu’un rempart construit des blanches mains de vot’serviteur. Et le jour où une nouvelle armée d’pleutres s’paiera la fantaisie d’nous attaquer, soyez certaine que j’serai juché sur les remparts l’arbalète à la main. N’avez rien à craindre, damoiselle.

Le torse bombé et le menton haut, il fixait l’horizon comme il aurait regardé l’avenir. Pas de quoi impressionner son interlocutrice, semblait-il, qui se contenta de se présenter. Tout décontenancé il laissa retomber les épaules, ne sachant trop s’il lui fallait se contenter de répondre ou se fendre d’un baisemain, comme il en avait déjà vu faire de loin chez les grands de ce monde. Oui mais voilà, peu habitué à la chose, il redoutait de lui baver malencontreusement sur la main. Il se décida rapidement pour une simple inclinaison du buste, qui lui parut à la fois digne de la demoiselle et point trop emprunté pour le rendre ridicule.

Narvi, Narvi de Marmande. C’est où, Vergy ?

Avant qu’elle ait pu répondre, une voix chantante s’éleva soudain dans le crépuscule.

ALLEZ !!!tout le monde à la bouffe !!!! La Cere s’est donner la peine de nourrir tout ce beaux mONde !!!!

Narvi sursauta. De la bouffe gratuite ? Tu parles d’une occase ! Ce chantier était décidément providentiel. Il n’était là que depuis quelques heures, et il avait déjà grappillé un écu, fait la connaissance d’une princesse, ou du moins de quelque chose d’approchant, et voilà qu’on lui offrait à manger. Il sourit largement, prêt à répondre à l’appel de la gitane, quand l’évidence s’imposa à son esprit. Jamais la jolie nobliote ne le suivrait. À sa propre table devait foisonner le gibier rare, les fruits exotiques, les cuissots de licorne et les steacks de chimère. Ce n’est certes pas l’exquise odeur de ragoût émanant des casseroles de Cérénia qui allait faire saliver une gosse de riches.

Avec une moue piteuse, il délaissa à regret l’idée de se remplir la panse aux frais des Gascons. Bah, il reviendrait demain, et en attendant il lui restait l’écu soutiré à moindre effort à Aelyce.
Dnartreb
Reb revint avec Elisa sur les remparts et firent encore plusieurs voyages. Déjàvu et Jamévu firent de grands efforts pour tirer toutes ces pierres à destination. Il n'y avait point assez de pierres pour faire autre avancée sur la porte mais il fallait échauguettes sur les parties les plus vulnérables de la muraille.
Il n'oublia point d'amener des plans qu'un maître d'oeuvre lui avait fournis et marbre poli pour poser la devine.

Reb détailla les plans à Grandefl puis fit dessin complémentaire au sol.

Il présenta le plan.



Ces échauguettes au-dessous des mâchicoulis; elles ne consistent qu'en deux contre-forts extérieurs entre lesquels est pratiqué un talus dont nous allons reconnaître l'utilité; un arc réunit ces deux contre-forts. L'échauguette s'élève beaucoup au-dessus de la courtine; elle est munie, à son sommet, comme celle-ci, de beaux mâchicoulis de pierre sur sa face et ses deux retours; au droit du mur faisant fond entre les contre-forts, est pratiqué un second mâchicoulis. comme une rainure de 0,25 c. de largeur environ. Si l'assaillant se présente devant l'échauguette, il recoit d'aplomb les projectiles lancés par les mâchicoulis et, obliquement, ceux qu'on laissait tomber par le second mâchicoulis. Grâce au talus , les boulets de pierre qu'on laisse choir par ce second mâchicoulis devent nécessairement ricocher sur ce talus et aller frapper les assaillants à une certaine distance du pied de l'échauguette au fond du fossé. Les deux contre-forts, le vide entre eux et le talus est donc une défense de ricochet, faite pour forcer l'assaillant à s'éloigner du pied du rempart et, en s'éloignant, à se présenter aux coups des arbalétriers .

Il tira une corde sa besace puis lui donna.

L'on appelle cela une corde à treize noeuds. L'espacement entre ceux-ci est égal. Douze et donc, treize noeuds. Elle te servira de mesure.

Reb n'avait point le temps de lui expliquer tout ceci car n'avait plus temps. Le soleil déclinait il lui fallait regagner son campement.

Tu me reverras à Bordeaux Grandelf! J'ai espoir que tu y feras de grandes choses.
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Zorgl
Assise sur un moellon , les pieds ballants , elle regarde les batisseurs s'affairer, tandis que Lorca jette l'opprobe a tout vent.

Sautant à terre elle s'approche de lui

Salut ,Fier defenseur de Bordeaux,des jours durant sans que le moindre secours vienne vous arracher aux branches qui vous supliciaient , abandonné par cette population que vous chérissez tant. Et vous voici maintenant, debout, humble créature à invoquer le très grand. Tant de mansuétude vous honore.

Laissant l'homme hurler , persuadée qu'il n'avait n'avait pas entendu l'une de ses paroles , tant il semble en transe , elle rejoint Dnartreb et Ladyélisa prés des remparts.

Hé , vous deux , rudes à l'ouvrage....il est vrai que vous aviez fait réserve de pierres depuis un moment mais qu'il vous repugnait d'en faire usage.

Elle souriait a les voir mettre autant d'ardeur a ces remparts maintenant que les gascons n'en étaient plus maitre d'oeuvre.

Voyant les plans et la corde

Voici donc défenses à dresser et mesures a prendre , mais que seront ces murailles sinon un perchoir à mouettes s'il n'y a d'hommes et de femmes pour les défendre. Les remparts sont bien vulnérables à leurs architectes, assurément

S'adressant à Grandelf , bien décidé a prendre le chantier en main.

Facon de prendre quelques précautions, mais pour ma part je vous l'avoue , je n'entends rien à ces choses là.

Elle sortit de sa besace un caillou de granit gris, de belle forme , qui présentait sur toute ses faces un pailleti argenté . Elle longea la muraille, cherchant l'endroit ou trouver place pour la pierre . Au bout d'un temps qu'elle se deplacait , elle trouva une loge qui sembla convenir, à hauteur de regard et face au soleil levant. Elle y placa la pierre , de facon a ce que la face la plus brillante de mica soit visible, et la scella avec un mélange de glaise et de sable.

Advienne que pourra, Guyenne brillera.

Elle posa les mains puis les lèvres sur le caillou.

Puisses tu briller toujours
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Voix de guyenne et gazette de Montauban

Elianor_de_vergy
Je rougis comme un coquelicot en voyant le regard de mon compagnon s'attarder sr ma jambe. Maudite boiterie! Si seulement je n'avais pas fait cette chute de cheval. Je retins un soupir. Il ne servait à rien de ressasser le passé, ca ne me rendrait pas ma jambe intacte hélas. Je préférais, et de loin, me laisser convaincre par les rassurantes paroles du jeune garçon. "N’avez rien à craindre, damoiselle." Admirative, je lui lançais un regard impressionné. Il paraissait si sûr de lui ! Narvi, de Marmande. Sa question suivante me fit sourire, et je secouai à nouveau mes boucles, comme à mon habitude.

De Vergy ça n'est pas un endroit, c'est mon nom !

En fait, Vergy était peut être aussi un vague hameau surmonté d'un maison forte quelque part en Bourgogne, vu que la famille venait de là-bas et qu'elle devait bien tirer son nom de quelque part. M'enfin ce genre de considération n'intéresserait probablement que très moyennement mon interlocuteur.

Là où j'habite, quand je ne suis pas à Bordeaux, ça s'appelle Lesparre. C'est un château à quelques lieues au-dessus de Bordeaux. Si tu viens là-bas un jour, c'est moi qui te servirais de guide !

J'allais me réjouir de cette perspective lorsqu'un cri se fit entendre. Sursautant, je regardai tout autour de moi et pâlis. La nuit tombait, combien d'heures avais-je donc passer sur le chantier? Mordillant ma lèvre, je marmonnai.

Ouhlàlà.... Je vais me faire sermonner d'importance moi...
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Lorca
Lance un regard narquois à l'imprudente.

Vas y ô fille du malin, gausse toi de moi, humble serviteur du seigneur. Va porter le fer et le feu dans des contrées étrangères, va massacrer les fils et les filles de celui que tu ne connais pas mais qu'on ta ordonné de tuer. Va et épargne moi mes salamalecs trompeurs.

embrasse avec ferveur sa croix d'argent.

A l'heure du jugement, le Très Haut reconnaitra les siens et pardonnera les péchés mineurs s'ils sont compensés par une foi sincère et une grande vertu. Alors je te le dis solennellement, il n'est pas encore trop tard pour toi. Abjure ton amour de la guerre et rejoins moi, et la lumière du soleil auréolera ta vie ma fille.

Certain de la force de son discours, le prêtre cherche sa gourde d'eau bénite et s'apprête à bénir le soldat.
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Kit.
Kit. qui commençait à fatigué à cause du travail décida de faire une pause et pausa la brouette qu ' il utilisait pour transporter le moellon et décida de faire un tour dans le chantier lorsqu 'il vit un prêtre qui visiblement était hors de lui .Kit le regarda d ' abord étonné car il pensait que tous les prêtres avaient un calme olympien puis il ne put s 'empêcher d 'esquisser un sourire puis reprenant son sérieux il retourna à l ' endroit ou il avait laisser la brouette et reprit son travail.
--Narvi


Elle rougit, elle le dévore des yeux, elle secoue ses boucles d’or. Et le pauvre petit se sent tout chose. Le sourire amusé qui répond à sa question n’est pas pour amoindrir son embarras. De Vergy n’était donc pas un endroit ? Mais comment peut-on être « de » quelque chose qui n’est pas un lieu ? À moins que Vergy ne fût tout bonnement le nom de son père. Elianor de Vergy, fille de son père. Ça concordait. Dans le doute, il préféra néanmoins s’abstenir de partager ses conclusions, des fois que celles-ci lui vaillent de nouveaux rires.

Un château… Elle habitait un château. Son instinct ne l’avait pas trompé, il était tombé sur une princesse. Une vraie de vraie, de celles qui habitent des châteaux. Et la voilà qui parlait de l’y guider, comme un enfant de gueux de son espèce ne risquait pas d’y déparer cruellement. Il hocha la tête en silence, sans oser la contredire mais sans trop croire à une réelle invitation.

Elle parut soudain prendre conscience de l’heure tardive, de la lumière déclinante. Alors qu’il lui vit l’air soucieux, la petite bouche mordue sous l’effet de l’inquiétude, il lui offrit de nouveau son bras.

Permettez… Euh… Peut-être désirez-vous que… ‘Fin il n’serait pas prudent à une heure pareille… Si j’pouvais euh, vous escorter… À mes côtés on n’osera vous gronder, n’ayez de crainte…

Et le petit torse de se gonfler de plus belle.
Elianor_de_vergy
J'étais déjà en train d'imaginer le savon qu'allait me passer le Dragon et la perspective n'avait rien de réjouissant.... Tout allait y passer, les convenances, le respect de mon nom, la mémoire de mes parents qui devaient se retourner dans leur tombe les pauvres.... Face à ce démoralisant futur, la proposition de Narvi me parût tomber à pic! D'abord parce qu'Eudeline n'oserait jamais me morigéner devant un étranger, roturier de surcroît, ce qui me laisserait le temps de l'amadouer. Et puis après tout, face à mon dragon de gouvernante, quelle meilleure protection aurais-je pu trouver qu'un apprenti chevalier?

Un sourire ravi éclaira donc ma frimousse tandis que je posais délicatement ma menotte sur la manche _ à la propreté douteuse mais que m'importait! _ de mon vaillant défenseur.


Grand merci mon preux ! Avec vous à mes côtés, je n'ai plus peur! Je loge sur la place de la cathédrale, à deux pas de Saint André.

Ainsi escortée, je me sentais prête à affronter les rues de Bordeaux qui s'assombrissaient de plus en plus. Nul doute que seule, je me serais mise à claquer des dents de peur, la témérité n'étant pas ma qualité majeure.
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