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[RP/IG] Bericons, brecons, potons, TOURANGEAUX

Fcpa79
Il manquais plus que ça.. La pluie ! Un superviseur mouillé sa faisait pas fière allure m'enfin bon.. Il entendit un bruit, un ruissellement et des cris de rage.
Sa devait chauffer en bas. Mais pas de bruit d'explosion. Surement du à une coulée de boue. Petit à petit il vit ses compagnon remonter et ne pu s'empêcher de rire en les voyant tout boueux.
Certes ce n'était pas sympathique de ce moquer de ses camarades mais sur le coup c'était drôle.

Il les scruta et déjà des réaction fusait à son égard. Il pouffa encore et les vit tous en colère, et même en rage. Ha la la ! Qu'est-ce que cet armée est génial !

D'abord Esta.


Citation:
.Ah tu es encore là! Ou tu es déjà revenu?


Puis ensuite l'air narcissique de Furette...

Citation:
oooh Jeremy..tu as eu le temps de prendre un bain ???


Euh... Je suis resté là.. histoire de superviser et de vous prévenir en cas de pluie.
Et non j'aurais préférer prendre un bain mais j'ai pris un de ses nuages !! Pfff je suis tout mouillé !

Il le faisait exprès histoire de faire rager un peu ses compagnon car il préférais être tout mouillé que être mouillé et boueux. Il courait aucun risque à par celui de prend un câlin boueux de la part de ses compagnon. Sa ça serais vraiment pas cool. Il regarda Miss s'énerver contre le ciel..

Je vois que vous avez eu des soucis au fond ! J'ai pas vu le nuage arrivé !

Normal ! Il était entrain de boire une de ses bouteilles pendant que les autres était au fond de la mine.. Il cacha les preuve telle que la bouteille de Bourgogne. Comme ça pas de reproche envers lui. Pas folle la guêpes. Malheureusement la bouteille se renversa et était à la vue de tout le monde. Bon il devait se racheter..

Bon je peux vous sécher si vous voulez j'ai quelque serviettes à disposition..
Theking5
[Tours ? Vendôme ? Frontière du Berry ? Que sais je ! En tout cas en Touraine !]


Maire, Commissaire aux mines, conseiller ducal.... Le vieux, l'ancien Tk attablé en salle du conseil ducal de Touraine, avec pour mission de gérer les mines sous contrôle de la belle province.
La carrière était prise depuis jeudi dernier au Berry.
L'ordre à était donner d'entretenir celle ci quoi qui en coûtera et à ouvrir l'accès au mineurs Berrichon à son maximum de capacité ! Le peuple devait servir la Couronne ! Celle de la France ! Et non celle de la félonie du Ponant.
Le CaM ordonna donc l'ouverture sous consignes du Duc de Touraine.

Arrivé au dimanche matin, second arrivé au château ducal, après Phenix, le capitaine de Touraine. Où Tk lui remonta les bretelles en premier suivit de tous les autres conseillers.
Traîtrise était le mot.
Sa seigneurie, le Duc ordonna immédiatement la mise aux arrêts des individus traites.

Le lendemain de cette action, le début du commencement ;
Le Commissaire aux mines arriva a son bureau ayant croiser le Duc dans les couloirs avec de nouveaux ordres.
Sa secrétaire était présente.

Et bien ma chère, parchemin et plume !
Transmettez sous ma dictée
.



Citation:
Au Seigneur Falco
Aux forces Tourangelles et alliées à la carrière de pierre berrichonne.

Ordre à était donner, d'entretenir la carrière.
Ordre à était d'augmenter le salaire à 17 écus pour que la population Berrichonne viennent soutenir les troupes royalistes à la carrière.

Nous avons ordonner de mettre tout en place pour acheminés les matériaux nécessaire à l'entretien de la carrière.

Cependant, vu que la carrière est en premier ligne, les transporteurs pourraient être attaqué par des brigands voir félons sur leur route.
Dans ce cas là, que nous pardonne nostre dieu, et la Reyne, mais nous ne pourrons que vous donnez comme instruction d’abandonner la carrière de peur de faire des victimes du pauvre peuple berrichon ou des forces Tourangelles qui sécurise le secteur au servir de la Couronne.

A vous soldats, tenez au maximum la carrière le temps que les matériaux arrive ou écartez toute population si celle ci est sous le point de s'ecroulé.

Seigneur Falco, consigne à était donner, que chacun sache les ordres donnés sur le destin de la carrière berrichonne, je compte sur vostre soutien à cet égard. Si savère que la mine est en sale état et met en danger les troupes royalistes et les mineurs, vous avez accord par tout les moyens, même la plus extrême (par la voie de la poudre) à la faire éffrondré.

Pour la Touraine, Pour la Reyne, Pour la France !

Tk du Lys
CaM de Touraine.

_________________
Betoval
Posté aussi dans le sujet ad hoc de la gargote berrichonne. faut pit'èt diviser?Remonter le sujet de la bas?



[ Saint Aignan avant la bataille ]

Qu'est ce qu'on fait là?

Question maintes fois posée à sa raison

Qu'est ce que pouvait faire dans une guerre sans merci quelqu'un qui avait tourné le dos aux combats depuis une enfance faite de fer et de sang.

Lui qui avait choisi la voie des mots en était revenu en définitive a ses origines, il devait avoir hérité de son chien de guerre de père qu'il n'avait pas connu.

Les cause, il se les remémoraient comme pour raffermir son courage.
Les serments d'abord, il n'était pas homme à les faire à la légère, dans un monde corrompu, il gardait une vieille éducation dépassée.
Serment à son Duché, Guyenne avait fait serment à ses alliés, il était là.
Guyenne en chaos, sans direction, mais elle était toujours là, il la respectait même sans tête.

Ensuite, le constat amer que plus personne dans le royaume ne respectait ses propres lois.
L'art de la Justice n'était devenu que génuflexion pour obtenir tel ou tel appui, la loi, tout le monde s'asseyait dessus sans vergogne.
De la Reyne qui trahissait ses vassaux, ses institutions plus corrompues qu'un claque à soldat, des provinciaux qui n'en avait cure de produire des verdicts faisant au moins semblant.
Justice avait disparue, fallait bien se reconvertir.

L'épée restait le seul moyen de faire valoir son droit, il n'était pas manchot en la matière, il l'avait reprise.
Miséricorde, drôle de nom pour une lame, la paix de l'âme par le fer.

L'armée, une bonne âmes de brutes Guyennoises, un cœur de vétérans, fer de pied en cap, "qui venaient tous de leur plein gré vider les poubelles à Paris."[Lily P.Peret]
Le reste; des locaux armés de fourches.
Pas sur que même avec l'avantage énorme qui s'était présenté à eux il en sorte quelque chose.

On verrait bien, on est pas venu enfiler des perles juste des gueuses.



[Bourges l'assaut]

Bon alors ben... Allez CHARGEZ OUAAAAAAAAAAAAAAAHHH.


On cri, on arrive par le flanc comme prévu, peu de monde les plans étaient bons.

Poussée, quelques personne tombent.

Une ennemie esseulée haha on va bien s'amuser.


Vient mignonne je vais t'apprendre la danse en armure. Je suis sur que tu prendra goût au braquemart.

Seule réponse de l'intéressée : BANG

Doit être frigide la pute

Se dit notre vicomte avec la mauvaise foi inhérente aux mâles repoussés.
L'armet enfoncé genre boite de conserve, plus aucune vision.
On le tire, il entend la retraite au milieu des cuicui.


Pas un bon coup.

Dans tous les sens du terme.

28-08-2011 04:07 : Exquise vous a donné un coup de baton. Ce coup ne vous a pas blessé.

_________________
Falco.
Berry-La Mine et la Crève Charogne

Duchesse? Vous disiez?
Il est hors de question que j'aille me casser un ongle dans la mine. Je n'ose déjà même plus me regarder dans un miroir! si je vous obéissais, au sortir de ces boyaux malodorants fréquentés par des berrichons, je ressemblerais à Breiz, la procureur de Bourgogne.
Je désirer...non j'exige pouvoir décrasser mon visage, me recoiffer, et même me parfumer au lilas!!!



Hum...


Quand il fait "hum", ça se cloture toujours par un silence qui peut sembler interminable. Genre un Ent qui réfléchit dans un conte de Tolkien.
Un voile semble recouvrir le regard comme si soudain de sombres choses passaient derriére, dans le crâne cabossé.
Un "Hum" qu'on entend plutot quand on est à terre, en armure , qu'on demande "pitié" et que l'autre soupèse sa miséricorde et jauge de votre valeur vivant ou en piéces détachées.

Si vous tuez un baron ou un officier du Ponant, je vous promet des étuves et même un bain de vapeur..C'est ce qui se fait de mieux pour extraire de la peau l'odeur de la mort et des sanies de cadavres..Mais en attendant, sauf votre respect..Si je vois un bout de miroir ou la moindre savonnette avant que cette Mine soit effondrée ...
Je vous laverai aux orties fraîches de ma main et devant les portes de Bourges...Du bout des orteils jusqu'aux oreilles.


Il prend et lit la missive qui vient d'arriver.
Fronce les sourcil, se mord la lèvre.

Duchesse..Si Estainoise vous dis: Entassez cette poudre avec les pieds au fond de ce puit de mine..Vous y sautez en souriant..Et si elle dit de courir...Courez en laissant votre chignon sur place...Pouvez disposer..J'ai à faire..Je vous reverrai ce soir aux colations à la Sapeuse Sèche..


Il relit la missive et lève les yeux au ciel.
Autours de lui tout est monticules de pierres, pans de carriéres et fortifications inachevées.
Avec des averses et toute une équipe de sape qui semble..
Il souffle..

Merdaille, Seigneur d'Oserez..J'crois que t'as fais un excés de zèle dépassant les envies ducales..Hum....Christos en culotte de putois..


Il a donné l'ordre de sape.
Seule la pluie ou un coup de bol a encore évité un éboulement de galerie.
Pour la troisième fois il relit la missive.
Regarde autours de lui puis la fourre dans sa sacoche.
Bin on dira que les matériaux sont jamais arrivés...

Il se gratte le crâne, d'un coup pris d'une envie de rigoler.
Vue les enragés de l'escouade d'artillerie, ce n'est qu'une question de temps avant que la mine commence à s'affaisser.
Ou alors leur exploser sous les pieds, d'ailleur...

La bas il entre aperçoit le reflet d'une bouteille vide.
Des sapeurs boueux..

Son Duc sera peut être furieux, peut être pas...En tout cas il va garder par devers lui la missive.
De toute façon le Pitaine Pervert est aux abonnés absents..Qui le saura?

_________________
Estainoise
Berry....Mission Miner la Mine.....

C’était la deuxième tentative…..
Il faisait beau ce lendemain. Plus une once d’humidité….même s’il y avait encore quelques flaques d’eau retenues par les pierres.
Le stock de poudre noire d’Esta avait été vérifié et elle n’avait pas souffert de la pluie.
Il est vrai qu’Esta savait la protéger, elle en prenait soin comme la prunelle de ses yeux.
Même si la veille, elle avait eu son moral mis à mal suite à l’échec de la mission miner la mine, elle avait retrouvé son allant…..

Elle n’allait tout de même pas se laisser aller et les ordres sont les ordres!…..
Alors, elle avait préparé les charges elle-même, minutieusement, dans le calme…..

A la taverne de la sapeuse Sèche, elle avait ensuite retrouvé ses compagnons…..et leur avait exposé son plan…

On va y aller tous ensemble, avec nos charges et nos mèches….
Mais on va les suspendre ces charges…..
On va les suspendre aux poutres de soutien…..et ensuite, on mettra le feu aux mèches….


Puis avant d'entrer dans la mine, avec ses compagnons avide d'artifices, elle s'adressa à ceux qui restaient là....

Vous autres…leur dit-elle ….Tenez la garde et refoulez tous mineurs zélés et perdus…..On ne veut pas faire de cette mine un caveau…..

C’est ainsi qu’un petit groupe s’enfonça dans la mine. Ce petit groupe était le plus soudé…
Furette, Alpha, Miss, Kay qui avait décidé de s’initier à la poudre, Marine, la duchesse Angelyque qui semblait pas très convaincu…..Jérémi….et oui, même Jérémi qui en tout cas, faisait acte de présence…..

Esta tenait bien haut la torche et les autres prenaient soin de leur charge préparée…..
Arrivés là où justement jérémi avait laissé le petit mot de Touraine la veille…..Esta s’arrêta….

Là……

Et Esta désigne en hauteur les tenants en bois…..
On va y accrocher les charges….allez y…
Alpha, tu as pris ton échelle, j’espère ? Ou alors, faites vous la courte échelle, ou encore poser marine sur vos épaules pour qu’elle puisse fixer les charges dans les hauteurs….enfin, débrouillez vous…..
Quand vous serez prêts, vous reculerez….et j’allumerai alors les mèches avec ma torche….
Capito ?

_________________
--Le_coursier.
Berry... cantonné






Les danses s'établissent sur la poussière des morts, et les tombeaux poussent sous les pas de la joie.

Le Vicomte de Chateaubriand


Terminé de plastronner sur la lice, les écailles d'acier de son harnois luisant à la lumière du jour, le heaume étincelant qui laissait à peine deviner un regard impitoyable. Le chevalier berrichon menait alors son palefroi à une allure lente qui faisait onduler le caparaçon azur de sa monture à chacun de ses pas. Il brandissait aussi sa lance, provoquant les acclamations de la foule, des nobles, des roturiers, de la menuaille. C'était la saison des tournois où il portait fièrement les couleurs de son maître.

Ce temps semblait révolu et les vivats de la foule avaient fait place aux cris de terreur qui précède la guerre.
Le cliquetis des pièces d'armures avait cédé à celui des armes. Son palefrois s'était mué en fin coursier et nulle parade pour lui ce jour, il galopait comme si sa vie en dépendait. Porteur du message de ceux qui ne voulaient pas de cette indépendance qu'on leur disait si prometteuse mais qui portait déjà en elle les germes de l'infamie.

Comment ces gens, dépouillés de morale, aveuglés par le pouvoir, inspirés par les forces néfastes de Bretagne étaient parvenus à semer un tel chaos au cœur même du Royaume de France ? A quel moment l'ivraie avait-elle contaminé le bon grain, qui était innocent, qui était coupable ?

Des questions auxquelles le coursier n'avait aucune réponse. Ils étaient plusieurs comme lui à parcourir la campagne berrichonne, à sillonner les artères des villes afin de clouer les mots.





Citation:
Nobles du Berry,


Aujourd’hui, Alleaume de Niraco vous a demandé de faire un choix.

Lui ou la Reyne...

Et pour vous aider à faire ce choix, il y adjoint les menaces.
« Suivez-moi ou je vous destitue »

Est-ce là, la Liberté que l’on nous promet ?
Est-ce les façons de faire d’un Duc censé apporter justice, protection et subsistance ?

On vous fait miroiter les feux de l’Indépendance.
Mais vous êtes-vous demandé quels intérêts cela va-t-il servir ?

Ceux du Berry qui se verra alors doté de ses propres institutions ?
Qui n’a pas rêvé de voir George-Aristote à la tête de l’Héraldique Berrichonne ou Berruyer revêtir la toque de Président de la Cour d’Appel du Berry.

Ou bien est-ce les intérêts des pilleurs de châteaux qui trouvent déjà asile en Berry ?
Pourquoi donc le Berry a-t-il dans ses rangs les mêmes Bretons qui ont attaqué le Limousin et pris deux villes alors que nous avions un traité avec eux ?
Pourquoi les armées bretonnes ont-elles été autorisées par le Duc ?
Pourquoi Nilas (pilleur de Bourganeuf) a-t-il en toute impunité été reçu au Castel de Bourges ?
Est-ce ça la force militaire et économique ponantaise qu’on nous promet ?
Celle d'une armée composée en partie de troupes de l'ombre qui feront planer sur nos voisins la menace d'une prise de mairie ou de château ?
Celle d'une économie gonflée par de multiples pillages dans des contrées comme le Limousin ou la Lorraine?

Pensez-vous sincèrement que la Noblesse Berrichonne qu'on va vous vendre portera haut les couleurs du Berry ?
Pensez-vous sincèrement que ceux, qui jusqu'à présent, vous crachaient dessus, niaient votre implication, souillaient votre image vont dorénavant vous respecter ?
Pensez-vous sincèrement qu'ils écouteront vos paroles si elles devaient être contraire à leur opinion ?
Pensez-vous sincèrement que ceux qui n'hésitaient pas à molester un jeune paysan en public sous prétexte qu'il les contredisait vont adopter une attitude plus en accord avec leur position de nobles berrichons ?

Voulez-vous d’un Berry à « Pensée Unique » comme le dit un des acolytes Poilus ?
Mais de quelle pensée unique s’agit-il au juste ?
Et qu’adviendra-t-il de ceux qui pensent différemment de la « Pensée Unique » ?
Ils se feront destituer, emprisonner, bannir, assassiner ?

Cette liberté qu’on nous promet, n’a de liberté que le nom !

C’est en vérité une jolie cage en dehors de laquelle vos titres n’auront plus aucune valeur, en dehors de laquelle les Berrichons seront assimilés à des félons et des brigands.
A l’intérieur règnera la dictature et vous savez déjà qui en sera les auteurs.
Vous vivrez chaque jour avec un couteau sous la gorge et devrez ravaler votre libre-arbitre pour vous fondre dans le moule de "L'indépendantiste Berrichon" qu'ils auront forgé à LEUR image.

Alleaume vous dit que la Reyne a rompu son serment de vassalité en attaquant le Berry et qu’elle est de ce fait félonne.
Hors, lui seul a parjuré son serment en refusant d’obéir à l’ultimatum de la Reyne qui demandait le démantèlement des armées et de ne plus s’allier aux Bretons, devenant de facto un félon et perdant ainsi toute légitimité.
Il avait ses raisons de le faire. Peut-être estimait-il que les ordres de sa suzeraine n'était pas à l'avantage du Berry et qu'elle était partiale.
Aussi, il se doit d'en prendre seul la responsabilité et ne pas se cacher derrière un soit-disant acte de félonie de la Reyne Nébisa de Malemort.


Libre à vous d’aller vers ce où il nous entraîne, mais préservez-vous bien d’avoir un avis contraire à la « Pensée Unique ». Et surtout, faite-le en ayant toutes les cartes en main, ne vous contentez-pas des informations « choisies » que certains Indépendantistes portent à votre connaissance comme étant les seules et uniques causes de la guerre.

Des personnes assumant aussi peu leur désir farouche d'indépendance et préférant crier à l'ignominie de la Reyne, à la traitrise de leurs opposants (d'ailleurs, ne les entendez-vous vomir d'ignobles insultes en montrant du doigt les nobles qui auront ratifié cette annonce ?) pour expliquer le parjure, ne sont pas digne de confiance.

Libre à vous aussi de refuser et de rester droit dans vos bottes.

En ce jour, notre choix se porte vers un Berry vassal de la Couronne de France, un Berry où la liberté d'opinion fait partie des valeurs que nous avons toujours défendu, et notre lige va à la Reyne. Nous plaçons nos terres sous Sa Protection.

Faict en Berry
Le trente août mil quatre cent cinquante-neuf




Isidore Bluette
Vicomte de Meillant et de Jussy-Champagne




Vroqu Cornedrue

Vicomtesse d'Anguillon
Baronne d'Anay-le-vieil




Baronne de Valençay



Yannis Dello

Seigneur de Neuillay-les-Bois






[imghttp://img832.imageshack.us/img832/3899/ren2.png[/img]
Duc de Graçay
Baron de Brécy





Baronne de Culan et douairière d’Aupic
Titulaire de l’Ordre du Lys
Grand Officier de l’Ordre de St-Georges
Grand Académicien Royal




Seigneur de Les Aix d'Angillon



En gargote berrichonne et International RP
Angelyque
Berry - Mission Crêve Charogne

Même si elle n'en menait pas large, la Mirandole soutint le regard du Cartel, le menton levé en signe d'insoumission

Vous êtes l'homme le plus cruel qu'il m'est été donné de rencontrer. Je vous ramenerai du baron ou de l'officier et cette fois-ci c'est vous qui me frotterez le dos dans un bain à vapeur! On vous surnommera moignon de fée tant il sera doux!

Et je vais vous laisser tranquille, ne vous en faites pas. Je vais rejoindre Estainoise, qui a de la sensibilité, elle! Mais tout sera rapporté à votre Duc, dans les moindres détails, il saura trouver punition à hauteur de votre insolence une fois que notre mission aura été couronnée de succès!


Un petit reniflement de défi ponctua sa phrase, et elle s'empressa de rejoindre la Lieutenant d'artillerie avant que Falco ne mette une menace à exécution.

Elle marmonna tout le trajet en l'imaginant subir mille tortures.

Une fois devant la mine, elle perdit tout de même de sa morgue.


Esta, en réalité le souci est que je risque d'avoir des hauts le coeur en entrant trop loin dans la mine. Ca sent la transpiration.

Rien que d'en parler, elle sentait la nausée lui venir.

Les autres soldats risquent de se demander ce qui m'arrive et je ne souhaite pas que mon état soit connu de tous. C'est gênant.

Le Vice chambellan de Bourgogne m'a envoyé des macarons, c'est bon les macarons, j'en ai assez pour tous.


La Mirandole la regarda de son air le plus malheureux, espérant toucher la corde sensible d'Esta.
_________________

http://img148.imageshack.us/img148/9315/19690614.png[/img]
--Arthur_de_nogel
* le p'tit coursier en avait à faire décidément des déplacements pour amener une annonce ici, une annonce là, il devait encore aller voir un groupe ducaillon, et nobliaux pour leur apporter une réponse du Duc de Berry. Lui aussi à son tour, il placarda l'annonce partout, c'était tellement plus facile les annonces.. Alors que le face à face exister ! *


Citation:
De Nous, Alleaume de Niraco, Duc de Berry,

A l'ancienne Noblesse, toujours minoritaire, voulant dicter ses choix,
Au peuple du Berry, afin qu'ils sachent les Nobles qui veulent à tout prix garder leurs couronnes,


Salut !

Nous n'avons menacés personnes, et nous détonons de la présence de la signature d'un certains Renlie.
Ce même Renlie, qui en cachette m'assurait œuvrer pour la paix, et la fin des hostilités entre le Berry et le Périgord. Fourberie, quant on sait que le Périgord nous a insulté en salle des Feudataires, et projette des attaques sur le Ponant.
Ce même Renlie qui n'est pas venu une seule fois dans la salle de la Noblesse, de même que Tadek, et ils signent un papiers portant de fausse informations ? Encore deux qui ne savent pas faire un choix sans qu'on leur prenne la main.


Nous l'avons répondu à Zoyah, et nous le répondons encore et encore, forcément, n'étant plus présent dans la salle de la vrai Noblesse du Berry, vous ne pouviez pas savoir ce qui se disait.
Nous avons opté pour une indépendance temporaire, jusqu'à ce que la Reyne vienne dans le droit chemin.


Vous parlez des alliés du Berry ici.. Les mêmes alliés avec qui Hugoruth voulez selon ses mots "péter la gueule à la Touraine", quant Vroqu était Duchesse du Berry. De même qu'elle avait elle même rétorqué, que vu que c'était l'occasion, il le fallait.
Les gens versatiles comme vous n’intéresse aucunement les Berrichons.

Ce même Renlie, qui avait autorisé l'armée du Breton Pit51, et leyah ( avec qui il a fait une liste au Périgord ). Cet même armée, poutré par une erreur de communication de la grande Duchesse du Berry, Vroqu.

Les Bretons ne vous intéressent que quant vous en avez besoins.
Qui sont vos alliés ? Ceux et celles qui mettent le Berry en sang, quel tristesse que vous montriez que vous êtes tous et tous des traîtres.

Le Berry à pensée unique ? Étonnant d'entendre cela !

C'est l'histoire dans un Duché de Berry, où le FIER a la majorité une fois de plus, et le conseil est composé de deux autres partis. Soit 5 personnes, nous avons Claire_g, Pandorha, Josybabas, Agalee, Crazypunk65..
La pensée unique en Berry a confié le poste de Procureur à Claire et Josybabas.
Le poste de Juge à Pandorha ( ah oui, étrange dans une dictature de laisser la justice à une personne d'un autre parti )
Le poste de porte parole pour Agalee.

Ce qui fait plusieurs postes non détenus par des fieristes. Et nous ne voulons que la pensée unique ? Pathétique.

Nous avons personnellement appelé l'opposition à monter une liste, afin de construire le Berry autonome temporaire, avec TOUTE les idées.
Mais des traîtres comme vous, qui renie sa patrie, personne n'en veut, et vous l'avez bien compris.

Alors oui, il y a eu deux guignols, mis au ban du conseil Ducal.
Vroqu > Pour avoir volé un courrier privé, créer des disputes avec les 3/4 du Conseil Ducal.
Parlons de Blackhorn... Le mec que vous aviez désigné pour devenir Duc, n'avez vous donc pas honte ? Un incompétent incapable de verser le dimanche matin l'argent à la Prévôté.

C'est vrai que je suis un Dictateur, j'ai pensé maintes fois à les faire pendre, je me demande d'ailleurs pourquoi je ne l'ai jamais fait ?


Vous avez tous bon dos de parler de serment de vassalité.... Quel honte que d'entendre des Nobles dire ça.. :

Icyblue : Incapable de comprendre pendant trois jours ce que veut dire le mot ralliement à une armée. Ah oui mais c'est vrai, suis-je bête, le Maire lui a donné l'ordre de ne pas le faire. N'oubliez pas d'aller baiser les mains du nouveau Suzerain de la noblesse Berrichonne, le Maire de Châteauroux.

Vroqu : Quant on lui dit défendre Bourges, elle va à Châteauroux. Quant on lui dit de défendre Châteauroux, elle travail pour se remplir les bourses. Mais c'est vrai m'dame ne voulez défendre que Châteauroux, sinon elle partait en retraite, nah !

Anne : Qui nous fait croire depuis un mois et demi qu'elle va devenir Maire afin de ne pas répondre au ban, pire, nous envoyant une gueuse sans armes ni forces.

Ydello : Qui n'a jamais répondu à l'appel du ban, que Clealan a sympathiquement accepté de remplir, mais lorsqu'on parle de félonie, encore un qui se réveil.



Est ce donc cela la loyal noblesse du Berry ? Combien de fois vous êtes vous parjurés au nom de fausse excuse pour ne pas défendre vos terres ?

Ce que nous voyons ici, n'est pas même le quart de la Noblesse du Berry. Autrement dit une minorité, menteuse et trompeuse.
Qui use de tout les leviers possibles afin de descendre leur Duc, et de renverser la population contre lui.

Une minorité, qui comme toujours ne peut s'empêcher dans chacune de ses déclarations de parler politique, de parler du FIER, cela en devient maladif. Allez donc vous faire un peu soigner, cela vous fera grand bien.

Quant vous comprendrez qu'il y a autant de personnes du RP, de BIL, de USB, qui me suivent que d'apolitique, et de fieristes, vous aurez enfin ouvert les yeux, mais ceci n'arrivera jamais.

Car vous êtes de cet opposition maladif que la politique à rendue complètement fou et paranoïaque.


PS : Renlie est en Berry ? Vu que c'est signé au Berry ? Non parce que vu qu'il trouve des excuses depuis le début pour que ses amis et lui ne viennent pas... Je me pose la question.


Fait à Saint Aignan, le trente août 1459, de l'an de Pâques 1459

Alleaume de Niraco,
Duc de Berry

Ysabeau
Arrivée à Bourges

Elle avait marché toute la nuit. Seule, comme on le lui avait demandé. De Sancerre à Bourges, le chemin passait par la forêt. La forêt qu'elle aimait, où elle avait longtemps bûcheronné, s'était promenée, aux doux temps de la paix.
La paix... quand reviendrait-elle en Berry ?
Elle marchait d'un bon pas, elle n'était pas seule, d'autres personnes cheminaient aussi vers la capitale. Oui, quelques sancerrois avaient décidé de défendre la capitale.
La guerre... l'affreuse guerre, qui ruinait les marchés, appauvrissait les habitants, faisait couler le sang.
La guerre... pour des raisons qu'elle n'avait jamais complètement comprises, même si elle restait fidèle à son duché. Ne pouvait-on vraiment pas s'entendre, arriver à des compromis, discuter ?
Visiblement tous voulaient en découdre. Il fallait bien suivre.
Son seul réconfort était qu'à Bourges, elle retrouverait son époux bien-aimé, Oxytan de Tabarka, qui défendait la capitale depuis quelque temps.
A l'aube, elle franchit les remparts, se présenta aux sentinelles.


Bonjour, je suis Ysabeau de Tabarka, dame de Sury près Léré. Je viens de Sancerre pour aider autant que faire se peut à la défense du Berry.

Passez dame, répondirent les gardes. Ils allaient voir du monde sans nul doute...

Elle franchit donc la porte, et s'en fut vers la grand place. Il lui faudrait prendre les consignes.
Deux annonces... L'une de nobles berrichons fidèles au Royaume de France, l'autre la réponse du duc Alleaume.
Elle les lut avec tristesse.
Elle avait des amis des deux côtés. Elle-même n'était pas une farouche indépendantiste, préférant, vu la situation et la taille du Berry, mettre le duché sous la protection du Royaume de France. Et puis, elle l'aimait ce Royaume...
Si elle s'était engagée à défendre le Berry, c'était parce qu'il lui semblait que la Reyne n'avait pas fait tout ce qu'elle pouvait pour arriver à un accord acceptable, ne donnant pas le temps nécessaire aux parties prenantes pour réagir sereinement, ne donnant que quelques heures pour exiger une réponse...
Tristesse, que de voir ceux qui auraient dû s'entendre, s'insulter et s'accuser des pires méfaits.
Pour l'information de tous, elle colla à son tour un article qu'elle avait lu le matin même, émanant de l'AAP, et donnant des explications qui lui semblaient neutres sur cette sinistre guerre.



Citation:
29-08-2011 Guerre entre le Royaume de France et le Ponant


PARIS (AAP) - Les dissensions qui couvaient depuis longtemps entre la Couronne de France et le Ponant ont fini par dégénérer. Des centaines de soldats sont d'ores et déjà engagés dans une guerre civile entre certaines provinces françaises alliées au Grand duché de Bretagne et le reste du Royaume.

Pour comprendre, il faut remonter au règne de Levan III de Normandie, et plus précisément au 16 décembre 1457, date de signature du traité du Ponant entre le Grand duché de Bretagne, le comté du Poitou et le duché d'Anjou. Celui-ci contrevient en effet au principe d'alors selon lequel tous les accords comportant des clauses militaires entre des provinces françaises et des Etats étrangers doivent être validés avant ratification par la Curia Regis. Malgré la formulation très claire de l'article 4, à savoir "l’Alliance du Ponant se donne par ailleurs pour but d’assurer la défense collective de ses membres contre toute forme d’agression [...]", les signataires n'attendent pas l'aval des autorités parisiennes. Celles-ci ne réagissent cependant pas aussi vivement qu'on aurait pu s'y attendre, même lorsque la Guyenne puis l'Artois rejoignent le Ponant en janvier et février 1458. Le statu quo prévaut longtemps, aucune des deux parties ne souhaitant commencer une guerre potentiellement dévastatrice.

Après l'abdication de Levan III, une des candidates à l'élection royale, Béatrice de Castelmaure, fait campagne dans les provinces françaises du Ponant en soulignant sa volonté de maintenir les choses en l'état. Une fois élue, Béatrice 1ère ne se penche donc pas davantage que son prédécesseur sur la question, et si d'épisodiques conflits frontaliers ne cessent de se produire, aucun ne dégénère réellement.

Le prétexte fondateur de celui qui déchire actuellement le Royaume trouve pourtant son origine à cette période. Le 27 mai 1459, Béatrice 1ère fait état dans un édit de son "affliction" suite au comportement de Georgepoilu d'Aigurande, maintient son statut de félon et refuse son allégeance en tant que duc du Berry, invitant les électeurs berrichons à "désigner pour les représenter une autre personne de leur choix". Le mois suivant, des troupes tourangelles entrent en Berry, province amie du Ponant, au motif de faire respecter la décision royale, approuvées par la Curia Regis dans deux annonces des 29 et 31 juin. Au moment du décès de Béatrice 1ère, la régente Icie de Plantagenêt, elle-même condamnée pour félonie sous le règne de Levan III, invite pourtant les forces tourangelles et leurs alliés bourguignons et bourbonnais-auvergnats à se retirer du Berry, puisqu'il ne leur appartient pas de faire respecter de leur propre chef les décisions de la Couronne. Un officier royal engagé dans le conflit, le capitaine Namaycush, est également vivement rappelé à l'ordre, et la régente propose une résolution pacifique et l'occupation conjointe du Berry par une armée pontantaise et une armée tourangelle toutes deux sous étendards royaux.

Trois jours plus tard, le 12 juillet, une nouvelle déclaration d'Icie de Plantagenêt signe le début d'une longue série de communiqués diplomatiques parfois contradictoires de la part des deux camps. La guerre, d'abord interdite, est ensuite déclarée "privée". L'arrivée sur le sol français d'une armée bretonne, officiellement dépêchée pour mettre un terme aux agissements du brigand Thoros, mais prêtant concrètement assistance militaire au Berry, ne simplifie pas la situation. La mobilisation s'accentue dans les deux camps, mais la régente persiste à se poser en arbitre et affirme qu'il n'est pas dans son pouvoir de faire entrer le Domaine royal dans le conflit, ce qui lui vaut notamment des accusations de lâcheté de la part du régnant tourangeau Llyr di Maggio, à tel point qu'elle le menace indirectement d'une action en justice. La trêve qu'elle propose est refusée sous prétexte, selon le duc du Bourbonnais-Auvergne qu'elle "nuirait aux objectifs de sécurité". Jusqu'à la fin du mois, puis courant août, et malgré les rappels à l'ordre successifs adressés par la régente à tous les protagonistes, des émissaires bretons aux régnants coalisés en passant par le duc d'Anjou, les armées poursuivent des combats épisodiques. Le point de non-retour est sans doute franchi lorsque les forces bretonnes attaquent Chinon dans la nuit du 2 août, et qu'en représailles une armée commandée par le Connétable de France rejoint les coalisés.

Les élections royales touchent à leur terme dans le même temps, et c'est Nebisa de Malemort, déjà membre de la Curia Regis sous Levan III et opposante déclarée de Béatrice 1ère, qui monte sur le Trône le 12 août. Elle ordonne aussitôt la cessation immédiate des hostilités, la restitution de Bourbon, entre temps envahie par le Berry, à son duché d'origine, le départ des soldats bretons présents sur le sol français, et la tenue de négociations entre tous les régnants concernés. Un ultimatum posé durant ces dernières expire toutefois le 22 août sans que les régnants du Ponant ni leur allié berrichon n'aient accepté de rompre leur alliance militaire avec le Grand duché de Bretagne. Ceux-ci sont conséquemment déclarés félons à la Couronne, et le ban est levé dans tout le Royaume pour les mettre à bas. La Bretagne est fermement invitée à se conformer aux clauses du Traité du Mont Saint-Michel signé après la dernière guerre, sous peine de se voir incluse dans la déclaration de guerre à ses alliés français du Ponant.

Mais au même moment, le duc du Berry, le duc d'Anjou et la comtesse d'Artois publient une lettre ouverte dans laquelle ils accusent la Reyne de chercher sciemment à envenimer le conflit. Ils en veulent pour preuve la rupture des négociations en cours, la présence parmi les belligérants de plusieurs officiers royaux, et la large tolérance dont bénéficient les régnants loyalistes à propos de leurs actions militaires contre le Ponant. Le communiqué commun se conclut par une accusation de parjure et de rupture du lien vassalique à l'encontre de Nebisa de Malemort. Le comte du Poitou cherche quant à lui d'abord à justifier l'existence du Ponant dans le cas d'une hypothétique invasion anglaise, puis en appelle à des précédents concernant le Marquisat des Alpes Occidentales et la Franche-Comté, alors qu'il n'existe aucun traité liant une de ces deux provinces à une voisine française. Délaissant finalement cet argumentaire curieux, il affirme à son tour la considérer comme félonne, et l'invite à "retrouver la raison avant qu’il ne soit trop tard". Le 24 août, Elfyn de Montfort, Grand duc de Bretagne, publie une déclaration de guerre contre le Royaume de France, déclaration dont la Couronne prend acte le lendemain, alors même que le Marquisat des Alpes Occidentales sus-cité se range au côté du Ponant. Le 26, la Guyenne, dernier membre du Ponant non impliqué, appelle à la fronde contre "une Reyne parjure, félonne et dérogeante au vivre noblement", au motif que cette dernière a refusé les allégeances de deux des élus hérétiques excommuniés, Sancte Iohaness et Agnès de Saint-Just.

Il semble ainsi que ce sont les armes qui décideront de l'avenir du Royaume de France, d'un Ponant au bord de l'indépendance, et de leur voisin breton. Dernier coup de théâtre militaire en date, la trahison du capitaine tourangeau dans la nuit du 28 août, qui n'a cependant pas suffi pour couronner de succès l'assaut des forces sécessionnistes. L'arrivée constante de renforts dans les deux camps au bout d'une semaine de mobilisation générale ne laisse pas présager une issue rapide, malgré l'appel conjoint à une trêve de quinze jours de la part des primaties françaises et bretonnes.

Nicolas de Firenze, pour l'AAP


copie de ce que j'ai posté en gargote berrichonne

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Renlie
Après avoir chevauché une partie de la nuit, un messager déposé une missive à l'attention d'Alleaume de Niraco.

Citation:
De nous, Renlie d'Evrecy, Duc de Graçay, Baron de Brécy, Seigneur de La Clavière et de Déols.

A vous, Alleaume de Niraco, félon à la tête d'un Berry en perdition.



Nous nous amusons de vous voir gesticuler et lever les bras en l'air, braillant plus que de raison, marquant là bien votre impuissance devant une situation qui vous dépasse. Qu'il est aisé de prétendre ce jour ne jamais avoir menacé, quand vous exigiez des nobles fidèles à la Couronne qu'ils rendent leurs terres.

Depuis tant d'années, le Berry via ses félons, provoque la Couronne de France, une liste non exhaustive en a été dressée.

Depuis tant d'années, nous avons oeuvré pour un Berry en paix, lui consacrant trois années de notre vie. Aujourd'hui, vous en êtes le fossoyeur, usant de mensonge, de malice et de menaces pour parvenir à vos fins, abusant de l'arme ultime politique: le matraquage à outrance d'informations partielles et erronées aux berrichons.

Après avoir maintes fois foulé au pied les mises en garde de la Couronne, après avoir refusé d'écouter l'ultimatum de votre Suzeraine, à qui vous avez prêté allégeance, à qui vous avez offert la reddition du Berry pour ensuite faire volte face, la Reyne n'avait d'autre choix que de mettre en oeuvre tous les moyens à sa disposition pour faire respecter le bon ordre dans son Royaume.

Votre Berry, c'est celui de vils indépendantistes, dont les plus fourbes ont poussé le vice à devenir Officier Royal, tandis qu'ils conspuaient la Couronne en des lieux confinés. Ceux là même qui très récemment menaçaient d'offrir Sancerre aux troupes royalistes s'ils n'obtenaient pas leur petit caprice du jour.

Votre Berry, c'est celui où il n'y aura plus aucun garde fou, où tout ne sera que la vision d'un parti omniprésent à travers moult listes parallèles, voilà la diversité que vous prônez, elle n'a pour diversité que l'apparence, nous en voulons pour preuve votre verve à mon égard, et à l'égard de tous ceux qui aiment un Berry que vous n'avez jamais servi.

Ce Berry là n'est pas le nôtre, il ne représente en rien les valeurs qui sont nôtres. Le Berry est un duché vassal de Sa Majesté, à laquelle nous avons prêté allégeance par deux fois, et dont nous continuerons à servir fièrement les intérêts, dans une vision globale du Royaume de France, aujourd'hui menacé par des visions nombrilistes.

Notre devoir envers le Berry, nous l'avons honoré. Nous avons dû nous-même réclamer accès à l'Assemblée de la Noblesse, afin de pouvoir honorer notre devoir de conseil. Notre présence a d'ailleurs réveillé vos chiens de garde, l'auriez-vous déjà oublié?
Nos terres furent représentées dans les rangs berrichons, étant élu en Périgord, conformément au courrier que vous m'avez adressé en ce sens.
Nous ne pensons pas devoir continuer là l'étalage de vos mensonges, ne voulant gâcher le reste de votre représentation théâtrale.

Votre indépendance n'a rien de temporaire, elle représente le souhait jamais réalisé par votre père spirituel, qui il faut le souligner, n'a jamais eu quant à lui le courage de ses prétentions, préférant se contenter de l'illusion créée lors des campagnes électorales.

Notre signature sur ce document est tout à fait légitime, nous ne vous demandons pas comment vous pouvez être à la fois à Paris pour prêter une allégeance que vous avez renié, et à Bourges en même temps.

Nous ne pouvons à cette heure que prier pour le salut des Berrichons, puissent-ils leur ouvrir les yeux et constater la chimère qu'on leur sert sur un plateau de fer blanc vendu pour de l'argent massif.

Qu'Aristote vous pardonne.





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Marineblanche
[ Enece Morticinus : Mission miner la Mine ]

La discussion avec Drunk lui avait permis de retrouver le moral, elle allait mieux. Autant dire qu'elle est enthousiaste de faire péter cette mine. Marine Blanche n'a pas conscience qu'en faisant péter cette mine, l'économie du Berry allait chuter. Pour elle, c'est entendre le "BOUM". Un jeu, quoi. Après tout, qu'est-ce qu'ils pouvaient faire d'autres? Aller ramasser les champignons? Et cueillir les fleurs pour les offrir au Ponant? Une petite idée germe soudain dans la tête de la gamine, il faudrait qu'elle l'expose à Falco. Bref, comme toujours, elle était en taverne quand Esta dit son plan. La rouquine approuve. Si ça ne marche pas, c'est que la Crève Charogne est vraiment maudite et que le Berry a surtout beaucoup de chance.

Alors qu'ils se dirigent vers la mine, Roxy suivait sa maitresse comme toujours. En tout les cas, elle ne risque pas de monter la garde et de refouler tout les mineurs qui vont travailler. Un jeu si marrant, elle ne va pas refuser ça. Bref, ils s'enfoncent dans les tréfonds de la mine. Marine Blanche suit bien Esta, même elle lui colle aux chausses. C'est qu'il fait noir... Elle peut sentir son chiot qui marche sur ses pas.

Marine Blanche lève la tête vers les tenants en bois et grimace, c'est qu'elle est trop petite pour poser quelques choses mais comme dit Esta, faire la courte échelle, qu'on la prenne sur les épaules.


Compris !

La petite fille se retourne alors vers Miss. C'est qu'elle se demande si la femme peut la prendre sur ses épaules pour qu'elle pose les charges. Quoiqu'elle n'est pas très lourde Marine Blanche mais le mieux, c'est de demander directement.

T'me prends sur tes z'épaules, dis? Et ze m'dépêche de mettre les charges.
Fanfanlarose
Fort énervé par les écrits du Duc du Berry lors de sa dernière annonce, Fanfanlarose prit la plume et, pour la première fois depuis le début août, prit position sur les évènements politiques.

Citation:
De Nous, Fanfanlarose, Maire de Châteauroux,

A Messire Alleaume de Niraco, Duc du Berry,
A ceux qui liront ou se feront lire cette missive,

Salut !

Nous prenons la plume afin de laver l'affront dont Châteauroux fut victime par le Duc du Berry.

En effet, dans sa lettre du trente août 1459, fait à Saint-Aignant, le Duc du Berry a écrit, je cite "Icyblue : Incapable de comprendre pendant trois jours ce que veut dire le mot ralliement à une armée. Ah oui mais c'est vrai, suis-je bête, le Maire lui a donné l'ordre de ne pas le faire. N'oubliez pas d'aller baiser les mains du nouveau Suzerain de la noblesse Berrichonne, le Maire de Châteauroux."

Jamais, jamais, dans aucune de ses déclarations, le Maire de Châteauroux a précisé à la noblesse castelroussine, dont la plupart, ne sont pas en accord avec la politique menée par la majorité actuelle au Conseil Ducal, la conduite qu'ils devaient adopter !

Au contraire, dans notre annonce municipale, datée du vingt quatre août 1459, dans ce "climat de division", nous n'avons pas appelé "à la désunion, mais à la mobilisation" pour défendre Châteauroux !

De ce fait, l'administration castelroussine est en parfaite concordance avec la jurisprudence, tant vantée par la majorité actuelle, que les mairies appartiennent au Duché. Par conséquent, défendre la mairie, c'est défendre le Berry, c'est faire acte patriotique ! Il en est de même pour les personnes ayant suivi ces recommandations !

Cette calomnie publique du Duc du Berry envers Châteauroux, fief d'une véritable opposition, prouve que des Berrichons ayant une autre idéologie, seront toujours l'objet d'attaques infondées et victimes de dénigrements persistants qu'ils soient de bonne ou mauvaise foie.

Nous demandons au Duc du Berry des excuses publiques afin que l'honore de Châteauroux soit restauré là où il se doit c'est-à-dire haut et grand.

Fait à Châteauroux
Le trente et un août mil quatre cent cinquante-neuf

Fanfanlarose,
Maire de Châteauroux



Posté en gargotte berrichonne, en halle castelroussine et en international

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"Châteauroux, petite bourgade aux grands évènements"
Fanfanlarose

Maire de Châteauroux
Archiviste politique du Berry
--Le_tourangeau_sympa
Le tourangeau sympa se promenait tranquillou dans la capitale berrichonne. Bien évidemment il le faisait à couvert, il ne souhaitait pas se faire intercepter par des gardes ce qui forcément le conduirait devant la justice et se solderait au bout d'une corde.

Il était prêt depuis plusieurs jours à se battre pour sa patrie sans en connaître réellement les raisons, et pour cause, il était isolé de toutes informations d'origine tourangelle. Tout le monde sait qu'il vaut mieux écouter les informations de son camp pour trouver un soupçon d'objectivité...

Il était là, à lire la lettre ouverte de quelques nobliaux à d'autre nobliaux.
Il éclata de rire, puis se retint rapidement pour se réfugier dans la discrétion.

Il ne put s'empêcher de s'adresser à son voisin sans révéler son identité. Assez facile, il fallait dire qu'il y avait une multitude d'étranger dans le coin depuis des semaines.


C'est ca les nobles du Berry? quatre ou cinq poltrons qui s'unissent par lâcheté pour éviter d'aller froisser leur chemise? J'peux vous dire qu'en Tou... euh chez moi ca fait longtemps que des pleutres comme eux se seraient fait lyncher par les petits gens de leur terre respective. Pas étonnant qu'on va gagn... euh gagner le droit de se prendre une rouste par les royalos.


Ca le faisait rire le tourangeau de voir cette troupe de troubadours diviser les forces ponantaises par simple trouillardise.

Puis voyant déferlante de déclarations,


Ben dites donc, vous en avez des rigolos chez vous, entre la maire castelroussin perdu réagissant d'une façon égoiste et le faux berrichon planqué loin de la guerre, vous êtes pas gâtés!
Il ferait mieux de déménager et pour l'autre de rendre ses terres qu'il n'a le courage de défendre.


D'un air dépité le voisin acquiesça d'un mouvement de menton.
Theking5
[Au château Ducal de Touraine... Et les dépendances]

Dans le couloir avec les rapports des mines et deux, trois serviteurs qui lui rapporter les nouvelles des mines... La plus intéressante, celle du Berry !

Quoi ? En Danger !
Et la fréquentation ?

La moitié de la mine est rempli de mineurs berrichon !
Bien ! Très bien, il est à peine midi, la carrière du Berry sera rempli d'ici ce soir... Ils tiendront les poutres...


Le commissaire aux mines hâta la marche vers les dépendances du château où les stocks était entreposé...
De l'étage où il se trouver les fenêtres était ouverte, la vue donner sur les dépendances et un cri, lui fit donner un regard par une de ses fenêtres.
C'était la CaC de Touraine, Dame Gatimase, en pleine furie !
Oui, elle était folle... De joie !
Les première pierre berrichonne était arriver, gonflant les stocks.

Un sourire à voir la scène puis il descendu rapidement les marches pour aller dans la cour.

Très bien, les pierres sont là.

Un sourire narquois en lui, avec une pensée envers les soldats au front.

Faites chargé la poudre sec sur les charrettes et hâtons nous de leur envoyer à la carrière du Berry.
Le Duc souhaite un feu d'artifice, il l'aura, je lui ai promis.


Il ria un bon coup !
Puis il donna une missive au meneur des charrettes.

Pour le Seigneur Falco.

Les hommes se mirent en route aussitôt, les bruits des hommes disant d écarter la population des chariots au cas où cela exploserai en chemin.
Compte au CaM, il remonta au conseil ducal en chantonnant.

Badaboum, boum boum
Badaboum, boum boum
badaboum, boum boum
boum boum...



Citation:

Au Seigneur Falco.

Rapport nous a était transmit à ce jours.
Apparemment les matériaux ne sont pas arrivés...
Où un soucis de contre-ordre.
Enfin, ce n'ai pas le conseil ducal qui vous jettera la première pierre !

Aujourd'hui :
Nous n'avons plus aucun choix possible à par celui ci :

Faites sauter la mine !

Vous trouverez de la poudre sec dans les charrettes de meilleure qualité.
Vous pourrez ainsi faire au minimum sauter d'un niveau cette carrière.
Si elle s’effondre, ordre à était donner d'interdire à la population d'aller la reconstruire. Nos ressources sont destinée à la guerre, et non pas à un tas de cailloux.

Si l'idée ne vous ai pas venue. Nous vous autorisons à vous servir de la pierre comme boulet sur le Ponant, cela devrait faire son effet.

La Touraine souhaite un feu d'artifice !

Avec mes respects, Seigneur Falco.

Pour la Touraine ! Pour la Reyne ! Pour la France !

Tk du Lys.
CaM de Touraine.

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Eusaias
Nevers, la grande citée.
Nevers, la ville Royale.
Nevers… De Castelmaure.

Le Balbuzard remontait du sud du Royaume, royaume de France qui n’était plus, royaume de France qui se déchirait et mourrait pour les ambitions des uns, par les idioties des autres.

Le Balbuzard, remis son épée entre les mains de l’écorcheur Ratbold ainsi que ses gantelets.


Attends-moi là, j’ai à faire…

Le Balbuzard n’avait pas mangé, un jeûne, simple pénitence avant de se retrouver près du tombeau de la Grande Reine. Les mains closes la tête baissée et le genou au sol le Balbuzard s’adressait a Dieu afin que celui-ci veille sur la Bourguignonne.

Le Bourguignon avait tenté de servir du mieux possible celle qui désormais reposait. Ce n'était pas de l'amitié, ce n'était pas de la curiosité qui l'animait fasse à elle. C'était tout simplement un respect profond, pour elle, pour ce qu'elle représentait qui le faisait agir en sa présence.

Pourquoi ce petit bout de femme arrivait à le tempérer ? Pourquoi arrivait elle à lui faire entendre raison ? Tout s'expliquait sans doute par le seul mot : Respect.

Puis quelques mots furent prononcés à l’attention de la défunte avant que le Balbuzard ne se redresse et retrouve la sortie.



Citation:
31-08-2011 04:07 : Vous êtes affaibli : vous avez perdu des points à certaines de vos caractéristiques.

31-08-2011 04:56 : Vous vous êtes recueilli sur la tombe d'un roi.


Ratbold ! Fait moi porter une table de l’encre et une plume à l’ombre de cet arbre. Je dois écrire à quelqu’un. Et fait-moi porter du vin !

Ce fut donc à l’ombre, le vent nivernais jouant avec sa chevelure corbeau, que le Balbuzard rédigea une série de lettres, dont une destinée à Maud.

Citation:
Maud,

J’ai appris que vous aviez franchi, les lignes ennemies, ou au moins la frontière berrichonne afin de porter la guerre chez nos voisins. Grande fut ma joie de savoir que la pucelle venue me réclamer des friandises désormais portait son audace sur le choix des armes.

Vous aviez réussi, je le sais, quelques assauts d’effrontée et mis à mal le grand Falco avec votre compère et ami Rickles. Mais de là à vous voir participer à une guerre j’avoue que je m’y attendais pas.

Je vais aussi rentrer en guerre, plusieurs de mes fidèles se battent déjà depuis longtemps, je me dois donc de venir aussi.

J’attends tout un groupe d’écorcheurs et j’espère aussi toute lance noble, mais je sens cette histoire, les nobles, mal engagée.

Qu’importe, mes pressentiments et faites moi savoir ce qu’il en est en Berry.

J’arrive.







La lettre fut pliée et scellée avant d’être remise valet de la mesnie.


Glabert ! Sulpice ! Faites battre les tambours de Digoine et de Bouillon qu’on les entende jusqu’en Germanie ! Mobilisez tous les hommes aptes à tenir un bâton, une faux, un pique ils vont nous soutenir. Que les hommes de Digoine, du Montet, de Beauregard, des Bouviots, de la Chevalée, de Saint Bonnet de Vieille Vigne et de Courcelle prennent armes. Faites prévenir madame ma fille, la Baronne de Uchon ainsi que madame notre nièce que son suzerain d’oncle réclame ses aide armée, ses cavaliers de Lusigny feront l’affaire.

Petite pause parmi les consignes.

Faites moi un raffut de tous les diables ! Les Blanc Combaz s’en vont en guerre que tous le sachent !
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